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Information professionnelle sur LIVMARLI®:Mirum Pharmaceuticals AG
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Mises en garde et précautions

Valeurs hépatiques anormales
Avant de commencer le traitement par LIVMARLI, déterminez les valeurs hépatiques initiales du patient afin de pouvoir reconnaître les signes éventuels d’une lésion hépatique. Surveillez les valeurs hépatiques (c’est-à-dire l’ALT [alanine aminotransférase], l’AST [aspartate aminotransférase], la bilirubine totale, la bilirubine directe et l’INR [International Normalized Ratio]) pendant le traitement par LIVMARLI. Interrompez le traitement par LIVMARLI si des valeurs hépatiques anormales apparaissent en l’absence d’autres causes. Dès que les valeurs hépatiques sont soit revenues aux valeurs initiales, soit se stabilisent à une nouvelle valeur, vous devez envisager de reprendre le traitement par LIVMARLI à une dose de 190 µg/kg et de l’augmenter à 380 µg/kg si elle est bien tolérée. Envisagez d’arrêter définitivement LIVMARLI si des valeurs hépatiques anormales apparaissent à nouveau ou si des symptômes associés à une hépatite clinique sont observés.
Les patients qui ont participé à l’étude 1 présentaient des valeurs hépatiques altérées au début de l’étude. Au cours de l’étude 1, des augmentations des valeurs hépatiques en lien avec le traitement ou une détérioration des valeurs hépatiques par rapport aux valeurs initiales ont été observées. La plupart des valeurs anormales consistaient en une augmentation de l’ALT, de l’AST ou de la bilirubine directe/totale. Dans l’étude 1, un patient (bilirubine totale élevée au début de l’étude) a interrompu LIVMARLI en raison d’une augmentation de la bilirubine totale par rapport à la valeur initiale à 28 semaines. 4 patients ont présenté des augmentations de l’ALT qui ont conduit à une adaptation de la dose (n = 1), à une interruption du traitement (n = 2) ou à un arrêt définitif (n = 2) de LIVMARLI pendant la phase d’extension de longue durée en ouvert de l’étude 1 (voir «Effets indésirables»).
LIVMARLI n’a pas été étudié chez les patients présentant un syndrome d’Alagille atteints de cirrhose. Surveillez les patients pendant le traitement par LIVMARLI afin de détecter toute augmentation des valeurs hépatiques et le développement de réactions indésirables liées au foie. Évaluez les risques potentiels en regard des bénéfices concernant la poursuite du traitement par LIVMARLI chez les patients qui présentent des valeurs hépatiques anormales persistantes ou récurrentes. Arrêtez définitivement le traitement par LIVMARLI si un patient déclare de l’hypertension portale ou une décompensation hépatique.
Effets indésirables gastro-intestinaux
La diarrhée, les douleurs abdominales et les vomissements ont été les effets indésirables les plus fréquemment rapportés chez les patients traités par LIVMARLI (voir «Effets indésirables»). Chez 3 patients (3%), les vomissements se sont manifestés comme effet indésirable grave ayant nécessité une hospitalisation ou l’administration de liquides par voie intraveineuse.
Si une diarrhée, des douleurs abdominales et/ou des vomissements surviennent et qu’aucune autre cause n’est identifiée, envisagez de réduire la dose de LIVMARLI ou d’interrompre le traitement par LIVMARLI. En cas de diarrhée ou de vomissements, ne négligez pas la déshydratation et mettez en place un traitement adéquat si nécessaire. Envisagez d’interrompre le traitement par LIVMARLI si un patient présente une diarrhée persistante accompagnée de signes et de symptômes tels que des selles sanglantes, des vomissements, une déshydratation nécessitant un traitement ou de la fièvre. Une réduction de la dose ou une pause dans le traitement étaient autorisées dans les études pivots pertinentes.
Après la disparition de la diarrhée, des douleurs abdominales et/ou des vomissements, LIVMARLI doit être réintroduit à 190 µg/kg/jour, puis la dose doit être augmentée en tenant compte de la tolérance. Si les symptômes réapparaissent lors d’une nouvelle administration de LIVMARLI, il faut envisager de mettre fin au traitement par LIVMARLI.
Carence en vitamines liposolubles (VLS)
Les vitamines liposolubles (VLS) sont composées des vitamines A, D, E et K (évaluées au moyen de valeurs INR). Les patients atteints du syndrome d’Alagille peuvent présenter une carence en VLS au début du traitement. LIVMARLI peut nuire à l’absorption des vitamines liposolubles. Dans l’étude 1, une carence en VLS liée au traitement a été observée chez 3 patients (10%) pendant les 48 semaines de traitement.
Déterminez les taux sériques de VLS au début du traitement et surveillez-les pendant le traitement, tout comme l’ensemble des manifestations cliniques. Si une carence en VLS est diagnostiquée, une supplémentation en VLS est nécessaire. Envisagez d’arrêter le traitement par LIVMARLI si la carence en VLS persiste ou s’aggrave malgré une supplémentation suffisante en VLS.
Ce médicament contient 364,5 mg de propylène glycol par ml. L’utilisation concomitante avec un substrat d’alcool déshydrogénase, comme l’éthanol, peut provoquer des effets secondaires graves chez les nouveau-nés.
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.‑à‑d. qu’il est essentiellement «sans sodium».

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