Stivarga
Limitation valide pour toutes les indications (CCR, GIST et CHC)
Stivarga n’est remboursé dans toutes ses indications qu’après obtention d’une garantie de prise en charge des coûts par la caisse-maladie, faisant suite à une consultation préalable du médecin-conseil.
Pour toutes les indications, en cas d’arrêt définitif du traitement dû à des effets indésirables liés à STIVARGA survenus au cours des 21 jours suivant le début du traitement, Bayer (Schweiz) AG remboursera à l’assureur-maladie les coûts de la totalité de l’emballage. Ces interruptions de traitement doivent être annoncées par le médecin traitant à l’assureur-maladie immédiatement et de façon informelle, par ex. au moyen de la phrase « Je confirme par la présente l’interruption définitive du traitement par Stivarga dans les 21 jours suivant son instauration en raison d’effets indésirables liés au médicament ».
En cas de progression, le traitement par STIVARGA doit être interrompu pour toutes les indications.
Les critères de traitement suivants doivent être remplis pour toutes les indications :
• performance status ECOG 0 – 1
• fonction hépatique, fonction rénale et fonction de la moelle osseuse adéquate
Carcinome colorectal (CCR)
Traitement de patients souffrant d’un cancer colorectal métastatique qui ont déjà reçu une chimiothérapie à base de fluoropyrimidine, d’oxaliplatine et d’irinotécan, un traitement anti-VEGF et – chez les patients porteurs d'un gène RAS de type sauvage – un traitement anti-EGFR et répondant aux critères mentionnés ci-dessus valides pour toutes les indications.
Tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST)
Traitement de patients atteints de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) avec métastases ou inopérables, traités auparavant avec deux inhibiteurs tyrosine-kinase (imatinib et sunitinib) et répondant, en plus des critères mentionnés ci-dessus valides pour toutes les indications, au critère suivant :
• au moins une nouvelle lésion GIST mesurable (>2cm) avec CT ou MRI
Carcinome hépatocellulaire (CHC)
Traitement de patients souffrant d’un carcinome hépatocellulaire traités auparavant par le sorafénib et répondant, en plus des critères mentionnés ci-dessus valides pour toutes les indications, aux critères suivants :
• progression radiologique documentée au cours d’un traitement antérieur par le sorafénib
• tolérance au traitement antérieur par le sorafénib
• en présence d’une cirrhose hépatique, uniquement si la fonction hépatique est conservée (max. Child Pugh A)
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