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Information destinée au patient sur Zaldiar®:Grünenthal Pharma AG
Information patient complèteimprimé 
PropriétésAmendmentsContre-Ind.PrécautionsGrossessePosolog./mode d'empl.Effets indésir.Conseils généraux
Composit.PrésentationsEstampilleTitulaire de l'AutorisationMise à jour 

Quelles sont les précautions à observer lors de la prise de Zaldiar?

·Si vous pensez avoir une dépendance à d'autres analgésiques (opioïdes),
·si vous souffrez d'un trouble de la conscience (si vous vous sentez proche de l'évanouissement),
·dans un état de choc (des sueurs froides pouvant en être l'un des signes),
·si vous souffrez d'états avec une augmentation de la pression intracrânienne (éventuellement après un traumatisme crânien ou une maladie du cerveau),
·si vous avez des difficultés pour respirer,
·si vous êtes sujet aux crises d'épilepsie ou aux convulsions,
·si vous souffrez d'une maladie hépatique ou rénale,
·si vous avez une infection grave (par ex. une septicémie),
Dans tous ces cas, parlez-en à votre médecin avant de commencer à prendre le traitement. Dépendance et abus
L'utilisation répétée d'opioïdes tels que Zaldiar peut entraîner une accoutumance et une dépendance physique et/ou psychique ainsi que l'abus de ces substances. L'abus de Zaldiar peut entraîner un surdosage mettant en danger le pronostic vital et éventuellement entraîner la mort. Si vous craignez de devenir dépendant à Zaldiar, veuillez impérativement contacter votre médecin.
Le traitement par Zaldiar ne doit être effectué que pendant une courte période et sous la surveillance médicale la plus stricte chez les patients sujets à l'abus ou à la dépendance aux médicaments.
Problèmes respiratoires
Lorsque vous utilisez Zaldiar, votre respiration peut devenir dangereusement lente ou superficielle (dépression respiratoire), et une baisse de la tension artérielle est possible. Votre état de conscience peut être réduit, vous pouvez vous sentir somnolent, ou vous pouvez avoir l'impression que vous allez vous évanouir. Si tel est le cas, veuillez contacter votre médecin. Zaldiar peut provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil tels que l'apnée du sommeil (pause respiratoire pendant le sommeil) et l'hypoxémie liée au sommeil (faible taux d'oxygène dans le sang). Les symptômes peuvent inclure des pauses respiratoires pendant le sommeil, un réveil nocturne dû à un essoufflement, des troubles de la continuité du sommeil ou une somnolence excessive pendant la journée. Si vous ou quelqu'un d'autre observez ces symptômes, contactez votre médecin. Votre médecin envisagera une réduction de la dose.
Utilisation non intentionnelle
L'utilisation accidentelle de Zaldiar, en particulier chez les enfants, peut entraîner un surdosage fatal. Zaldiar doit être conservé hors de la portée et de la vue des enfants et les unités de dose ouvertes ou non utilisées doivent être éliminées conformément à la réglementation.
Grossesse
L'utilisation prolongée de Zaldiar pendant la grossesse peut déclencher des symptômes de sevrage chez votre nouveau-né (syndrome
néonatal de sevrage aux opioïdes), qui peuvent mettre le pronostic vital en danger s'ils ne sont pas détectés et traités. Si vous êtes enceinte ou souhaitez le devenir, veuillez informer votre médecin. Il/elle décidera de l'utilisation de Zaldiar.
Sensibilité accrue à la douleur
Contactez votre médecin si pendant que vous utilisez Zaldiar, vous souffrez de douleurs ou d'une sensibilité accrue à la douleur (hyperalgésie) qui ne répond pas à une dose plus élevée de votre médicament prescrite par votre médecin ou si vous ressentez une douleur lorsque quelque chose qui ne fait normalement pas mal touche votre corps (allodynie).
Insuffisance surrénale
Faiblesse, fatigue, perte d'appétit, nausées, vomissements ou hypotension artérielle peuvent être des symptômes d'une production insuffisante de l'hormone appelée cortisol par les glandes surrénales; vous pourriez avoir besoin de recevoir un complément hormonal.
Diminution des hormones sexuelles et augmentation de la prolactine
L'utilisation à long terme d'opioïdes peut entraîner une diminution des taux d'hormones sexuelles et une augmentation des taux de l'hormone appelée prolactine. Veuillez contacter votre médecin si des symptômes tels qu'une diminution de la libido, une impuissance ou une absence de règles (aménorrhée) se produisent.
Faibles niveaux de sucre dans le sang
Les gélules de Tramal peuvent entraîner une baisse du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie). Dans la plupart des cas, les patients présentaient des facteurs de risque prédisposants tels que le diabète. Si vous soupçonnez un faible taux de sucre dans le sang, votre médecin surveillera votre taux de sucre dans le sang et envisagera d'arrêter le traitement si nécessaire. Les symptômes d'une hypoglycémie peuvent inclure des sueurs, de la nervosité, des tremblements, des évanouissements, des palpitations cardiaques, des étourdissements, de la faiblesse, de la confusion et des troubles d'élocution.
Douleur abdominale/inflammation du pancréas
Consultez votre médecin si une douleur intense dans la partie supérieure de l'abdomen, qui peut irradier dans le dos, des nausées, des vomissements ou de la fièvre apparaissent, car ces symptômes peuvent être associés à une inflammation du pancréas (pancréatite) et des voies biliaires.
Les patients qui réagissent fortement (p.ex. par des crises d'épilepsie) aux médicaments de type opiacé (comme la codéine) doivent prendre du Zaldiar avec prudence.
Des crises d'épilepsie ont été rapportées chez des patients qui avaient pris du tramadol à la dose recommandée. Le risque peut augmenter si la dose quotidienne maximale recommandée
Veuillez également informer votre médecin si l'un de ces problèmes survient pendant l'utilisation du Zaldiar ou s'ils se sont déjà produits dans le passé.
Prise de Zaldiar avec d'autres médicaments:
Veuillez en parler à votre médecin avant de prendre Zaldiar avec d'autres médicaments, en particulier les suivants:
l'utilisation concomitante de Zaldiar avec de l'alcool ou des médicaments susceptibles de vous rendre somnolent (par ex. des somnifères, des médicaments pour le traitement de l'épilepsie, des douleurs nerveuses ou des états anxieux, certains médicaments contre les réactions allergiques (antihistaminiques) ou des tranquillisants (par ex. des benzodiazépines)) augmente le risque d'apparition d'effets indésirables dangereux pouvant être fatals. Informez votre médecin de tous les médicaments que vous prenez et suivez scrupuleusement ses recommandations.
Zaldiar ne doit pas être pris en même temps que des inhibiteurs de la MAO (certains médicaments utilisés pour le traitement de la dépression et de la maladie de Parkinson, voir la rubrique «Quand ne faut-il pas prendre Zaldiar?»).
Il existe un faible risque que vous présentiez un syndrome sérotoninergique susceptible de survenir après avoir pris du tramadol en association avec certains antidépresseurs ou du tramadol seul. Consultez immédiatement un médecin si vous avez des symptômes liés à ce syndrome sévère (voir rubrique «Quels sont les effets indésirables éventuels?»).
L'effet antalgique du Zaldiar peut s'estomper et sa durée d'action être écourtée si vous prenez en même temps des médicaments contenant l'un des principes actifs suivants:
·de la carbamazépine (contre les crises d'épilepsie)
·de l'ondansétron (contre les nausées).
Votre médecin vous dira si vous pouvez prendre Zaldiar dans un tel cas et, le cas échéant, à quelle dose.
Le risque d'effets secondaires augmente
·si vous prenez Zaldiar en même temps que des antidépresseurs (tels que citalopram, duloxétine, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine, sertraline, venlafaxine, amitriptyline, clomipramine, imipramine, nortriptyline). Consultez votre médecin si vous présentez les symptômes suivants: modifications de l'état de conscience (par ex. agitation, hallucinations, coma), accélération du rythme cardiaque, instabilité de la tension artérielle, fièvre, accentuation des réflexes, altération de la coordination, raideur musculaire, symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhée)
·si vous prenez des médicaments qui peuvent provoquer des convulsions (crises d'épilepsie), comme par ex. certains médicaments contre la dépression ou les maladies psychiques. Le risque de convulsions peut augmenter si vous prenez du Zaldiar en même temps. Votre médecin vous dira si Zaldiar est adapté à votre cas.
·si vous prenez certains médicaments antidépesseurs, (comme les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline) ou des tranquillisants puissants. Les effets de ces médicaments et du Zaldiar peuvent avoir une influence mutuelle et vous pouvez souffrir d'un syndrome sérotoninergique (voir la rubrique «Quels sont les effets secondaires du Zaldiar?»).
·si vous prenez certains anticoagulants (médicaments qui empêchent la coagulation normale du sang, par ex. Marcoumar) en même temps que Zaldiar. L'effet de ces médicaments sur la coagulation peut s'en trouver modifié et des hémorragies peuvent survenir.
·En cas d'utilisation simultanée d'un antibiotique comprenant comme principe actif la flucloxacilline, votre médecin doit également en être informé, car il existe une augmentation du risque d'hyperacidité du sang (acidose métabolique avec élévation du trou anionique). Un suivi médical attentif est recommandé afin de détecter l'apparition d'une acidose métabolique.
Ne consommez pas d'alcool pendant le traitement par Zaldiar, car cela renforce les effets de l'alcool et l'action du médicament peut être influencée de manière imprévisible. Le risque de lésions hépatiques augmente, notamment en l'absence de prise alimentaire simultanée. La consommation de boissons non alcoolisées et l'alimentation n'ont pas d'influence sur l'action du Zaldiar.
L'interruption ou l'arrêt prématuré du traitement par Zaldiar entraînera probablement une réapparition des douleurs. Si vous souhaitez interrompre le traitement en raison de symptômes secondaires désagréables, veuillez consulter votre médecin.
En général, l'interruption du traitement par Zaldiar n'entraîne pas d'effets secondaires. Pour autant, chez certains patients qui ont pris du tramadol pendant une très longue période, des effets secondaires peuvent apparaître. Vous pouvez vous sentir agité, anxieux, nerveux ou tremblant. Vous pouvez être hyperactifs, présenter des troubles du sommeil ou des problèmes gastro-intestinaux. Dans de très rares cas, on a pu signaler des crises de panique, des hallucinations, des sensations anormales telles que des démangeaisons, des picotements et des engourdissements ou des bruits dans les oreilles (acouphènes). D'autres symptômes inhabituels du système nerveux central, tels que la confusion, le délire, l'altération de la perception de soi (dépersonnalisation) et de la réalité (déréalisation), le délire de persécution (paranoïa), ont été très rarement observés. Si vous présentez l'un de ces effets secondaires après l'arrêt du traitement par Zaldiar, veuillez consulter votre médecin.
En cas de lésions rénales ou hépatiques préexistantes ou de troubles des voies biliaires, une surveillance attentive du patient est nécessaire.
En cas de maladie héréditaire rare des globules rouges, appelée «déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase», ainsi qu'en cas d'utilisation simultanée de médicaments qui ont des effets sur le foie, notamment certains médicaments contre la tuberculose et les troubles épileptiques (épilepsie) ou l'utilisation de médicaments contenant le principe actif zidovudine, indiqué lors des déficiences immunitaires (SIDA), la prise de Zaldiar ne doit se faire que sur recommandation du médecin.
Certaines personnes présentant une hypersensibilité aux analgésiques ou aux antirhumatismaux peuvent également être hypersensibles au paracétamol contenu dans Zaldiar (voir la rubrique «Quels sont les effets secondaires du Zaldiar?»).
Pendant le traitement par Zaldiar, la prise simultanée d'autres médicaments contenant du paracétamol (même des médicaments en vente libre) ou du tramadol est à exclure sans avis médical, pour éviter le risque d'un surdosage.
Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé pelliculé, ce qui signifie qu'il ne contient pratiquement «pas de sodium».
Ce médicament peut affecter la capacité de réaction, l'aptitude à utiliser des outils ou des machines et l'aptitude à conduire! Cela vaut en particulier avec la prise concomitante de psychotropes et avec l'alcool.
Veuillez informer votre médecin ou votre pharmacien
·si vous souffrez d'une autre maladie,
·si vous êtes allergique ou
·si vous prenez ou utilisez déjà d'autres médicaments en usage interne ou externe (y compris en automédication)!

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