De quoi faut-il tenir compte en dehors du traitement?Avant de commencer à prendre Qlaira, veuillez lire les informations sur les caillots sanguins figurant à la rubrique «Quelles sont les précautions à observer lors de la prise de Qlaira?». Il est particulièrement important de lire les informations relatives aux symptômes annonciateurs d'un possible caillot (cf. «Signes évocateurs d'un possible caillot sanguin»).
Avant que vous ne commenciez à prendre des produits hormonaux à visée contraceptive, votre médecin devra s'informer avec précision de vos antécédents médicaux personnels et familiaux (maladies dont vous avez souffert ou survenues dans votre famille) et réaliser un examen général et gynécologique approfondi. L'éventualité d'une grossesse doit être exclue.
Durant la prise de Qlaira, il est recommandé de pratiquer des examens médicaux de contrôle tous les six mois ou une fois par an. Votre médecin mettra en balance les risques éventuellement existants (p.ex. âge, poids, intervention chirurgicale, modification de votre état de santé et/ou de vos risques) avec les bénéfices attendus et décidera avec vous de la poursuite ou non de la prise de Qlaira.
Si vous avez pris jusqu'à présent un autre contraceptif hormonal ou avez l'intention de commencer à prendre Qlaira très peu de temps après un accouchement ou une fausse couche, veuillez d'abord demander l'avis de votre médecin. Jusqu'à 12 semaines après l'accouchement, le risque de formation de caillots sanguins est plus élevé. Il vous faudra donc demander à votre médecin quand vous pouvez reprendre Qlaira.
Qlaira est un médicament. En cas d'accident ou d'intervention chirurgicale, informez les médecins que vous prenez Qlaira.
Veuillez suivre strictement les recommandations d'utilisation. Compte tenu du schéma posologique (préparation à quatre phases), il est très important de prendre les comprimés pelliculés de Qlaira dans l'ordre indiqué pour éviter la survenue d'une grossesse non désirée.
Tout comme les autres contraceptifs hormonaux, Qlaira ne protège aucunement contre les infections à VIH (SIDA), ni contre les autres maladies sexuellement transmissibles.
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