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Information destinée aux professionnels Stocrin® MSD Merck Sharp & Dohme AG OEMéd 9.11.2001CompositionPrincipe actif: Efavirenz. Excipients
Capsules: dodécylsulfate de sodium, monohydrate de lactose, stéarate de magnésium et glycolate d'amidon sodique. L'enveloppe de la capsule contient les excipients suivants: gélatine, dodécylsulfate de sodium, dioxyde de titane (E 171) pour les capsules de 50 et 100 mg, oxyde de fer jaune (E 172) pour la capsule de 200 mg. Du dioxyde de silicium peut également être présent. Colorants de l'inscription sur la capsule: cochenille (E 120), carmin d'indigo (E 132) et dioxyde de titane (E 171). Comprimés filmés: noyau du comprimé: croscarmellose sodique, cellulose microcristalline, laurylsulfate de sodium, hydroxypropylcellulose, lactose monohydraté, stéarate de magnésium. Le film contient comme exipient: hypromellose (E 464), dioxyde de titane (E 171), macrogol 400 et oxyde de fer jaune (E 172). Colorants de l'impression du comprimé: hypromellose (E 464), propylèneglycol, cochenille (E 120), carmin d'indigo (E 132), oxyde de titane (E 171). Solution à avaler: triglycérides à chaînes moyennes; agent conservateur: acide benzoïque (E 210) et aromatisants: arômes de fraise/menthe. Forme galénique et quantité de principe actif par unitéCapsules à 50 mg, 100 mg et 200 mg.Comprimés filmés à 600 mg.Solution à avaler de 30 mg/ml. Indications/Possibilités d'emploiUtilisé en association avec d'autres substances antirétrovirales, Stocrin est indiqué pour les adultes, les adolescents et les enfants dès 3 ans présentant une infection au VIH-1 et nécessitant un traitement antirétroviral. Stocrin solution convient uniquement aux enfants et adolescents qui n'arrivent pas à avaler les capsules. Posologie/Mode d'emploiStocrin doit être utilisé uniquement en association avec d'autres médicaments antirétroviraux (voir «Interactions»). Adultes: La dose orale recommandée de Stocrin associé à un inhibiteur de la protéase et/ou des inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) est de 600 mg (capsules ou comprimés filmés) ou 24 ml de solution une fois par jour. Enfants et adolescents (jusqu'à 17 ans): la dose recommandée de Stocrin utilisé en association avec un inhibiteur de la protéase et/ou un analogue des nucléosides chez les patients jusqu'à 17 ans est présentée dans le tableau 1. Les capsules ou comprimés filmés de Stocrin ne peuvent être administrées qu'à des enfants capables de les avaler. Selon les préférences du patient, Stocrin capsules ou comprimés filmés peut être pris pendant ou en dehors des repas. On ne dispose à ce jour d'aucune expérience avec l'emploi de Stocrin chez les enfants de moins de 3 ans ou présentant un poids corporel inférieur à 13 kg. Tableau 1
Dose journalière unique pour les enfants
---------------------------------------------------- Capsules Comprimés Solution de Stocrin de filmés de (30 mg/ml) Stocrin Stocrin dose (mg) dose (mg) dose (ml) ---------------------------------------------------- Poids Enfants Adultes corporel kg 3 à et enfants <5 ans 5 ans ou plus ---------------------------------------------------- 13 à <15 200 - 12 9 15 à <20 250 - 13 10 20 à <25 300 - 15 12 25 à <32,5 350 - - 15 32,5 à <40 400 - - 17 Â≥40 600 600 - 24 ----------------------------------------------------* Stocrin solution à avaler présente chez les enfants de moins de 5 ans, lors d'une comparaison mg/mg, une biodisponibilité inférieure de 35% à celle des capsules. Pour les recommandations posologiques citées plus haut, la différence des biodisponibilités a été prise en compte. Il n'existe à ce jour aucune donnée relative à la biodisponibilité lors de la prise simultanée du solution et nourriture. Par conséquent, la solution ne devrait être prise qu'à jeun. Stocrin solution à avaler doit être administré à l'aide de la seringue jointe. L'emballage contient, outre l'information destinée aux patients, un mode d'emploi séparé pour la solution à avaler. Indications posologiques spéciales
Contre-indicationsStocrin est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité d'importance clinique vis-à-vis de l'un des composants du médicament. Mises en garde et précautionsStocrin ne doit pas être utilisé en monothérapie pour le traitement de l'infection à VIH, ni comme unique traitement supplémentaire à un schéma thérapeutique antirétroviral inefficace. Le traitement au Stocrin devrait toujours être instauré en association avec un ou plusieurs nouveaux principes actifs antirétroviraux, n'ayant encore jamais servi au traitement du patient. Lors du choix du (des) nouveau(x) médicament(s) antirétroviral (antirétroviraux) pour le traitement combiné avec Stocrin, il faudrait toujours prendre en considération le risque potentiel d'une résistance croisée. Des souches virales résistantes émergent rapidement au cours d'une monothérapie au Stocrin. Grossesse: des malformations ont été observées sur des foetus d'animaux traités à l'efavirenz (voir «Grossesse/Allaitement»); par conséquent, les femmes prenant du Stocrin doivent éviter une grossesse. Comme moyen de contraception, les patients doivent recourir à une méthode «barrière» (préservatifs) en association avec une méthode de contraception supplémentaire, p.ex. des contraceptifs oraux ou d'autres types de contraceptifs hormonaux (voir «Interactions»). Eruptions cutanées: en cas d'apparition d'éruptions cutanées, l'emploi d'antihistaminiques appropriés et/ou de corticostéroïdes peut améliorer la tolérance et accélérer la guérison. Chez les patients présentant des éruptions cutanées sévères, accompagnées de la formation de vésicules ou de squames, d'effets sur une muqueuse ou de la fièvre, le traitement au Stocrin doit être interrompu (voir «Effets indésirables»). Enzymes hépatiques: chez les patients présentant des antécédents d'hépatite B ou C avérée ou supposée, et chez ceux faisant usage de médicaments associés à une hépatotoxicité, il convient de surveiller les valeurs hépatiques. Chez les patients dont les valeurs des transaminases sont élevées de façon permanente, équivalentes à 5 fois la limite supérieure de la normale, il convient de peser le risque potentiel d'une hépatotoxicité significative aux bénéfices escomptés de la poursuite du traitement antirétroviral (voir «Effets indésirables»). L'expérience avec le traitement de patients souffrant d'une affection hépatique sévère est limitée, c'est pourquoi l'administration de Stocrin à ces patients requiert une prudence particulière. Cholestérol: il convient d'envisager une surveillance des valeurs du cholestérol chez les patients sous Stocrin (voir «Effets indésirables»). InteractionsL'efavirenz induit le cytochrome CYP3A4. D'autres substances qui sont également des substrats de cette isoenzyme peuvent donner lieu à des concentrations plasmatiques plus basses lorsqu'elles sont administrées en même temps que Stocrin. Administration simultanée d'autres antirétroviraux
Inhibiteurs de la protéase
Indinavir: lorsque l'indinavir (800 mg toutes les 8 heures) est administré en même temps que Stocrin, l'AUC et la Cmax de l'indinavir diminuent de près de respectivement 31% et 16%, en raison de l'induction enzymatique. L'effet de l'induction métabolite par l'efavirenz peut être compensé par l'administration de doses plus importantes. Par conséquent, lorsque Stocrin et l'indinavir sont administrés en même temps, il convient d'augmenter la dose d'indinavir de 800 mg toutes les 8 heures à 1'000 mg toutes les 8 heures. Aucune adaptation de la dose de Stocrin n'est nécessaire lorsqu'il est administré en même temps que l'indinavir. Nelfinavir: l'AUC et la Cmax du nelfinavir augmentent de respectivement 20% et 21% lorsque le nelfinavir est administré en même temps que Stocrin. L'association est généralement bien tolérée; aucune adaptation de la dose n'est nécessaire lorsque ce médicament est associé au Stocrin. Ritonavir: l'association de 600 mg de Stocrin (une fois par jour avant le coucher) et de 500 mg ritonavir (toutes les 12 heures) a été testée chez des volontaires non infectés; cette association s'est alors avérée plutôt mal tolérée et était accompagnée d'un taux plus élevé d'effets cliniques indésirables (p.ex. obnubilation, nausées, paresthésies) et de valeurs de laboratoires anormales (augmentation des enzymes hépatiques). L'association de Stocrin et de Retrovir n'est généralement pas recommandée. Lorsque cette association est administrée, il convient de surveiller les enzymes hépatiques. Saquinavir: après administration simultanée de Stocrin et de saquinavir (1'200 mg trois fois par jour, sous forme de capsules soft-gel) l'AUC et la Cmax du saquinavir ont baissé de respectivement 62% et 45-50%. L'emploi de Stocrin en association avec le saquinavir n'est pas recommandé. Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI)
Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI)
Antibiotiques
Rifamycines: chez des volontaires non infectés, la rifampicine a diminué l'AUC et la Cmax de l'efavirenz de respectivement 26% et 20%. La dose de Stocrin lors d'une prise simultanée de rifampicine doit être portée à 800 mg par jour. En cas d'administration simultanée de Stocrin et de rifampicine, aucune adaptation de la dose de ce dernier n'est recommandée. Aucune étude sur l'association de rifabutine et de Stocrin n'est disponible. Macrolides
Azithromycine: l'administration d'une dose unique d'azithromycine en même temps que des administrations multiples de Stocrin à des volontaires non infectés n'a pas provoqué d'interaction pharmacocinétique cliniquement significative. En cas d'administration combinée d'azithromycine et de Stocrin, aucune adaptation de la dose n'est nécessaire. Clarithromycine: l'administration simultanée de 400 mg de Stocrin une fois par jour et de 500 mg de clarithromycine toutes les 12 heures pendant 7 jours a provoqué un effet significatif de l'efavirenz sur la pharmacocinétique de la clarithromycine. Lors d'administration simultanée de Stocrin et de clarithromycine, l'AUC et la Cmax de ce dernier a augmenté de respectivement 39% et 26%, alors que l'AUC et la Cmax des métabolites hydroxylés de la clarithromycine ont augmenté de respectivement 34% et 49%. La signification clinique des modifications au niveau des concentrations plasmatiques de la clarithromycine est encore inconnue. Parmi les volontaires non infectés, 46% ont développé une éruption cutanée lors de l'emploi simultané de Stocrin et de clarithromycine. En cas d'administration combinée de clarithromycine et de Stocrin, aucune adaptation de la dose de ce dernier n'est recommandée. Il convient d'envisager une solution de remplacement à la clarithromycine. Antifongiques
Extraits d'hypericum
Autres interactions
Antacides/famotidine: l'absorption d'efavirenz chez des volontaires non infectés ne subit l'effet ni de l'hydroxyde d'aluminium ou de magnésium, ni de la famotidine. Cela laisse supposer qu'une modification du pH gastrique par d'autres médicaments ne devrait pas influencer l'absorption de l'efavirenz. Contraceptifs oraux: parmi les contraceptifs oraux, seul le composé éthinylestradiol a été étudié. L'efavirenz provoque une hausse de 37% de l'AUC de l'éthinylestradiol près une administration unique de ce dernier. La Cmax de l'éthinylestradiol n'a pas subi de modification significative. L'importance clinique de ces effets est inconnue à ce jour. Ni la Cmax, ni l'AUC de l'efavirenz ne sont influencées par l'éthinylestradiol. Comme les interactions potentielles entre l'efavirenz et les contraceptifs oraux n'ont pas été caractérisées de manière exhaustive, une méthode contraceptive «barrière» devrait être utilisée en plus du contraceptif oral. Méthadone: dans le cadre d'une étude incluant des toxicomanes infectés au VIH, l'administration simultanée d'efavirenz et de méthadone a donné des taux plasmatiques de méthadone plus bas accompagnés de symptômes de sevrage. La dose de méthadone a été augmentée de 22% en moyenne, afin de compenser les symptômes de sevrage. Il convient de surveiller l'apparition de symptômes de sevrage et d'augmenter la dose de méthadone de façon à les faire disparaître. Grossesse/AllaitementCatégorie de grossesse D: pendant une étude toxicologique en cours, des malformations ont été constatées chez 3 parmi 20 foetus/nouveau-nés de singes cynomolgus traités à l'efavirenz. Les singes gestants ont été traités avec une dose journalière de 60 mg/kg, qui a provoqué la même concentration plasmatique chez l'homme qu'une dose journalière de 600 mg. Une anencéphalie et une anophtalmie d'un côté ont été observées chez un foetus, une microphtalmie chez un deuxième singe, et une fente labiale chez un troisième foetus (voir »Mises en garde et précautions»). Allaitement: Des études chez le rat donnent à penser que l'efavirenz passe dans le lait maternel. On ignore si le médicament passe dans le lait maternel chez l'être humain. Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machinesAucune étude spécifique portant sur l'effet du Stocrin sur la capacité à conduire des véhicules à moteur et des machines n'a été effectuée. Des effets possibles du Stocrin sont une obnubilation, des difficultés de concentration et/ou une somnolence. Il convient d'informer les patients du fait que, lors de l'apparition de tels symptômes, ils doivent renoncer à la conduite de véhicules à moteur et d'autres activités liées à un risque, comme la conduite de machines. Effets indésirablesStocrin a été testé au cours d'études cliniques sur plus de 2'000 patients. Chez 413 patients ayant reçu 600 mg de Stocrin par jour en association avec des inhibiteurs de la protéase et/ou des INTI au cours d'études cliniques contrôlées, les effets secondaires de sévérité modérée au moins ci-après ont été rapportés le plus fréquemment: éruption cutanée (13,1%), nausées (10,4%), obnubilation (9,2%), diarrhée (6,8%), mal de tête (6.3%), insomnie (6,1%), somnolence (5,6%), difficultés de concentration (5,3%). Eruption cutanée: au cours des études cliniques, un total de 28% des patients ayant reçu 600 mg de Stocrin par jour a développé une réaction cutanée, par rapport à 18% des patients dans les groupes contrôle. L'éruption a été imputée au traitement pour 18% des patients traités au Stocrin. Des formes sévères d'éruption cutanée se sont manifestées chez 0,7% des patients sous Stocrin, 1,7% des patients ont interrompu le traitement en raison d'une éruption cutanée. L'incidence de l'érythème multiforme ou du syndrome de Stevens-Johnson parmi plus de 2'000 patients traités au Stocrin se montait à 0,14%. Symptômes liés au système nerveux: des symptômes tels qu'une obnubilation, une insomnie, une somnolence, des difficultés de concentration, des rêves inhabituels ont fréquemment été rapportés par des patients ayant reçu 600 mg de Stocrin par jour dans le cadre d'études cliniques. Ceux-ci apparaissent habituellement au cours des deux premiers jours du traitement et disparaissent généralement après les 2 à 4 premières semaines. Ces symptômes sont mieux tolérés lorsque le médicament est pris avant le coucher. Par conséquent, on recommande de prendre Stocrin immédiatement avant le coucher au cours des premières semaines du traitement, et de continuer à le faire si les symptômes persistent (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Une réduction ou une fragmentation de la dose en plusieurs prises n'a pas apporté de bénéfice supplémentaire et n'est pas recommandée. Valeurs de laboratoire
Enzymes hépatiques: chez 2% de 391 patients traités avec 600 mg de Stocrin et chez 3% de 283 patients dans les groupes contrôle, des valeurs d'ASAT plus que cinq fois supérieures à la valeur limite supérieure normale ont été notées. Des valeurs cinq fois supérieures à la valeur limite supérieure normale ont également été relevées pour l'ALAT chez 3% des patients traités avec 600 mg de Stocrin et chez 2% des patients dans les groupes contrôle. Parmi 53 patients séropositifs pour l'hépatite B et/ou C traités avec 600 mg de Stocrin 6% ont présenté des valeurs d'ASAT, et 13% des valeurs d'ALAT de cet ordre de grandeur. Une élévation des valeurs de g-GT chez quelques patients sous Stocrin est probablement due à une induction enzymatique non hépatotoxique (voir «Mises en garde et précautions»). Lipides: chez certains volontaires non infectés ayant reçu du Stocrin, une élévation de 10 à 20% des valeurs du cholestérol total a été notée. De légères augmentations des valeurs des triglycérides sériques et du cholestérol ont également été observées chez des patients traités au Stocrin; la signification clinique de ces observations est toutefois inconnue à ce jour. L'effet de Stocrin sur le cholestérol total, LDL et HDL chez les patients soumis à un traitement de longue durée au Stocrin n'a pas été établi (voir «Mises en garde et précautions»). SurdosageCertains patients ayant accidentellement pris deux fois par jour 600 mg de Stocrin ont rapporté un renforcement des symptômes neurologiques. Un patient a présenté des contractions musculaires involontaires. Propriétés/EffetsATC Code: J05AG03 Mécanisme d'action
Microbiologie
Résistance
Résistance croisée
PharmacocinétiqueSauf mention contraire, les données ont été obtenues avec les capsules. Absorption
Influence de la prise de nourriture: La biodisponibilité d'une dose unique de 600 mg d'efavirenz chez des volontaires non infectés était de respectivement 24% et 22% plus élevée lors de la prise au cours d'un repas riche en graisses ou de composition normale que lors de la prise à jeun. Stocrin capsules peut être pris au cours d'un repas ou indépendamment de toute prise de nourriture; la solution de Stocrin ne peut être prise qu'à jeun. Distribution
Métabolisme
Elimination
Cinétique pour certains groupes de patients
Pharmacocinétique chez les enfants: chez 48 enfants (âgés de 3 à 17 ans) ayant reçu une dose de Stocrin (correspondant à une dose de 600 mg calculée en fonction de la taille corporelle déterminée au moyen du poids corporel), les valeurs de l'état stationnaire étaient les suivants: Cmax: 14,2 µM, Cmin: 5,6 µM et AUC 218 µM · h. La pharmacocinétique chez les enfants était semblable à celle chez les adultes. Chez 17 patients pédiatriques ayant reçu, par rapport à leur taille, une dose équivalente à celle de 600 mg chez les adultes, la Cmax à l'état stationnaire était de 11,8 mM, la Cmin à l'état stationnaire de 5,2 µM et l'AUC de 188 µM · h. Influence du sexe, de la race et de l'âge: La pharmacocinétique de l'efavirenz est semblable chez les patients étudiés de toute race et des deux sexes. Données précliniquesAucune donnée. Remarques particulièresInteraction avec le test des cannabinoïdes: l'efavirenz ne se lie pas aux récepteurs des cannabinoïdes. Des cas de faux positifs de tests de cannabinoïdes dans les urines ont été rapportés pour des volontaires non infectés. Des faux positifs ne sont apparus que lors du test CEDIA DAU Multi-level THC Test, employé en screening, et non avec d'autres tests bien établis, employés p.ex. pour confirmer des résultats positifs de tests des cannabinoïdes. Conservation
Estampille54908, 55779, 56000. Titulaire de l'autorisationMSD, Merck Sharp & Dohme-Chibret AG, Schaffhauserstrasse 136, 8152 Glattbrugg. Mise à jour de l'informationJanvier 2002. |