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Accueil - Information professionnelle sur Nitrolingual - Changements - 19.05.2018
56 Changements de l'information professionelle Nitrolingual
  • -Excipients: triglycérides à chaînes moyennes, glycérides partiels à chaînes moyennes, éthanol abs., huile de menthe.
  • +Excipients: triglycérides à chaînes moyennes, glycérides partiels à chaînes moyennes, éthanol anhydre, huile de menthe poivrée.
  • -Vaporisateur de 11,2 g (12,2 ml) de solution correspondant à au moins 200 pulvérisations. Une pulvérisation contient 0,4 mg de trinitrate de glycéryle (solution de 48 mg).
  • +Spray pour utilisation dans la cavité buccale
  • +Flacon nébuliseur de 11,2 g (12,2 ml) de solution correspondant à au moins 200 pulvérisations. Une pulvérisation contient 0,4 mg de trinitrate de glycéryle (48 mg de solution).
  • -Angine de poitrine, (prévention de crise et traitement de crise), insuffisance cardiaque gauche aiguë avec ou sans œdème pulmonaire dans le cadre d’autres mesures thérapeutiques.
  • -Nitrolingual Pompe peut aussi être utilisé en cas de:
  • -spasmes coronariens induits par cathétérisme, pour prolonger la tolérance à l’ischémie pendant une PTCA, crises hypertensives accompagnées de décompensation cardiaque, coliques spastiques des voies biliaires.
  • +-Angine de poitrine, (prévention des crises et traitement des crises)
  • +-Insuffisance cardiaque gauche aiguë avec ou sans œdème pulmonaire dans le cadre d’autres mesures thérapeutiques
  • +Nitrolingual Flacon nébuliseur peut aussi être utilisé en cas de:
  • +spasmes coronariens induits par cathétérisme,
  • +pour prolonger la tolérance à l’ischémie pendant une angioplastie coronarienne transluminale percutanée (ACTP),
  • +crises hypertensives accompagnées de décompensation cardiaque,
  • +coliques spastiques des voies biliaires.
  • -L’utilisation et la sécurité d’emploi de Nitrolingual Pompe n’ont jusqu’à présent pas été évaluées chez les enfants et les adolescents.
  • +Pédiatrie
  • +L’utilisation et la sécurité d’emploi de Nitrolingual Flacon nébuliseur n’ont jusqu’à présent pas été évaluées chez les enfants et les adolescents.
  • -Le trinitrate de glycéryle ne doit pas être utilisé dans les cas suivants:
  • -·hypersensibilité aux dérivés nitrés ou à l’un des excipients selon la composition;
  • -·défaillance cardiovasculaire aiguë (choc, collapsus circulatoire);
  • -·hypotension sévère (pression artérielle systolique 90 mmHg);
  • -·choc cardiogénique, sauf si une pression télédiastolique suffisante peut être assurée dans le ventricule gauche par une contrepulsation intra-aortique ou l’administration de médicaments inotropes positifs;
  • -·cardiomyopathie obstructive hypertrophique;
  • -·péricardite constrictive;
  • -·tamponnade péricardique;
  • -·patients présentant une hypertension pulmonaire primaire, car une hypoxie peut survenir en raison d’une hypervascularisation potentielle des territoires alvéolaires hypoventilés (formation d’un «shunt» pulmonaire). Ceci concerne surtout les patients présentant une maladie coronarienne.
  • -·prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase (p. ex. sildénafil, tadalafil, vardénafil) pour le traitement de la dysfonction érectile ou de l’hypertension artérielle pulmonaire, car ces médicaments peuvent considérablement renforcer l’effet hypotenseur de Nitrolingual Pompe. Veuillez donc respecter les limitations d’emploi de tels médicaments chez les patients coronariens.
  • -·Nitrolingual Pompe ne doit pas non plus être utilisé chez des patients qui développent des troubles angineux aigus après la prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase pour le traitement de la dysfonction érectile ou de l’hypertension artérielle pulmonaire.
  • +Nitrolingual Flacon nébuliseur ne doit pas être utilisé dans les cas suivants:
  • +·hypersensibilité au trinitrate de glycéryle, à d’autres dérivés nitrés, à l’huile de menthe poivrée ou à l’un des excipients selon la composition;
  • +·défaillance cardiovasculaire aiguë (choc, collapsus circulatoire, choc hypovolémique);
  • +·hypotension marquée (pression artérielle systolique inférieure à 90 mmHg);
  • +·choc cardiogénique, sauf si une pression télédiastolique suffisante peut être assurée dans le ventricule gauche par une contre-pulsation intra-aortique ou l’administration de médicaments inotropes positifs;
  • +·cardiomyopathie obstructive hypertrophique, car l’obstruction peut être renforcée durant la phase d’éjection;
  • +·
  • +·maladies accompagnées d’une élévation de la pression intracrânienne telles qu’une hémorragie cérébrale ou un traumatisme crânien (à ce jour, une élévation de la pression n’a été observée qu’après l’administration i.v. de doses élevées de trinitrate de glycéryle);
  • +·anémie sévère.
  • +L’utilisation concomitante de trinitrate de glycéryle avec les principes actifs suivants est contre-indiquée (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»):
  • +·inhibiteurs de la phosphodiestérase (p. ex. sildénafil, tadalafil, vardénafil),
  • +·stimulateurs de la guanylate cyclase soluble, p. ex. riociguat.
  • -En cas d’infarctus myocardique aigu associé à une faible pression de remplissage, le trinitrate de glycéryle doit uniquement être utilisé avec prudence.
  • -En cas d’infarctus myocardique aigu, la prise de trinitrate de glycéryle doit être effectuée sous contrôle médical car il faut éviter une baisse de la pression artérielle systolique au-dessous de 90 mmHg. Une surveillance médicale particulièrement attentive est nécessaire dans les cas suivants:
  • -·sténose aortique et/ou mitrale;
  • -·tendance à des troubles orthostatiques de la régulation circulatoire;
  • -·maladies accompagnées d’une élévation de la pression intracrânienne (à ce jour, une élévation de la pression n’a été observée qu’après l’administration i.v. de doses élevées de trinitrate de glycéryle);
  • -·cardiomyopathie obstructive hypertrophique, péricardite constrictive et tamponnade péricardique.
  • -En raison de leur effet pharmacologique (inhibition de la dégradation de la GMPc), le sildénafil (Viagra®) et d’autres inhibiteurs de la phosphodiestérase tels que le tadalafil (Cialis®) et le vardénafil (Levitra®), renforcent l’effet hypotenseur des dérivés nitrés et autres donneurs de NO, ce qui peut induire une hypotension sévère réfractaire au traitement. La prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase est donc contre-indiquée pendant le traitement par Nitrolingual Pompe. Le patient doit être informé de cette interaction qui peut mettre sa vie en danger.
  • +En raison de son effet pharmacologique (inhibition de la dégradation de la GMPc), les inhibiteurs de la phosphodiestérase (tels que le sildénafil, le vardénafil ou le tadalafil) renforcent l’effet hypotenseur des nitrates et autres donneurs de NO, ce qui peut induire une grave hypotension résistant au traitement. La prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase est par conséquent contre-indiquée pendant le traitement par Nitrolingual Flacon nébuliseur. Le patient doit être informé de cette interaction qui peut mettre sa vie en danger.
  • +Nitrolingual Flacon nébuliseur ne doit pas être utilisé en cas d’insuffisance du myocarde consécutive à une obstruction, à une sténose aortique ou mitrale ou à une péricardite constrictive.
  • +Le trinitrate de glycéryle ne doit être utilisé qu’avec précaution dans les cas suivants:
  • +·faible pression de remplissage, p. ex. en cas d’infarctus du myocarde aigu ou de fonction restreinte du ventricule gauche (insuffisance cardiaque gauche). Une diminution de la pression artérielle systolique sous les 90 mmHg doit être évitée;
  • +·tendance à présenter des troubles orthostatiques de la régulation de la circulation, patients atteints de maladies cérébrovasculaires, leurs symptômes pouvant être déclenchés par une hypotension.
  • +Comme avec toutes les préparations contenant du trinitrate de glycéryle, l’utilisation de Nitrolingual Flacon nébuliseur chez les patients présentant un glaucome débutant doit être évitée.
  • +En raison des conséquences d’une tachycardie et d’une pression diastolique diminuée, l’utilisation du trinitrate de glycéryle pourrait en théorie compromettre l’irrigation sanguine du myocarde chez les patients présentant une hypertrophie ventriculaire gauche et une sténose associée de la valve aortique.
  • +Des études hémodynamiques détaillées sur un petit nombre de patients présentant une sténose de la valve aortique avec et sans maladie coronarienne concomitante significative n’ont montré aucune conséquence négative du trinitrate de glycéryle sublingual en position allongée. La prudence est toutefois de mise lors du traitement des patients ambulatoires présentant une angine de poitrine associée à une sténose de la valve aortique modérée à sévère.
  • +Le médicament contient 9,6 mg d’éthanol (alcool) par pulvérisation.
  • -La prise concomitante d’autres vasodilatateurs, de diurétiques, d’inhibiteurs de l’ECA, d’antihypertenseurs, de β-bloquants, d’antagonistes calciques, d’antidépresseurs tricycliques, de neuroleptiques ainsi que d’alcool peut renforcer l’effet hypotenseur du trinitrate de glycéryle.
  • -Chez les patients préalablement traités par des dérivés nitrés organiques (p. ex. dinitrate d’isosorbide, 5-mononitrate d’isosorbide), il peut s’avérer nécessaire d’augmenter les doses de trinitrate de glycéryle afin d’obtenir l’effet désiré.
  • -Lors de l’utilisation concomitante de dihydroergotamine, le trinitrate de glycéryle peut induire une élévation du taux de dihydroergotamine et donc renforcer l’effet de cette substance.
  • -Lors de l’utilisation concomitante d’héparine et de trinitrate de glycéryle, une diminution de l’action de l’héparine, d’importance inégale, a été décrite. La dose d’héparine doit être adaptée en fonction des contrôles étroits des paramètres de la coagulation sanguine. L’arrêt de la nitroglycérine peut entraîner une nette diminution de la coagulation sanguine (élévation du PTT), pouvant nécessiter une réduction des doses d’héparine.
  • -L’ajout d’inhibiteurs de la phosphodiestérase (p. ex. sildénafil, tadalafil, vardénafil) pour traiter une dysfonction érectile ou une hypertension artérielle pulmonaire, à un traitement préexistant par dérivés nitrés (p. ex. Nitrolingual Pompe) peut provoquer un renforcement considérable de l’effet hypotenseur (voir sous «Contre-indications»). La prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase est donc contre-indiquée pendant le traitement par Nitrolingual Pompe.
  • -Toutefois, si un inhibiteur de la phosphodiestérase a été pris, l’utilisation de Nitrolingual Pompe sera contre-indiquée pendant les 24 h qui suivent la prise de l’inhibiteur de la phosphodiestérase.
  • +L’administration concomitante d’autres vasodilatateurs, d’autres antihypertenseurs (p. ex. bêta-bloquants, antagonistes calciques, inhibiteurs de l’ECA, diurétiques), d’antidépresseurs tricycliques, de neuroleptiques, d’alcool et de saproptérine peut renforcer l’effet hypotenseur de Nitrolingual Flacon nébuliseur.
  • +La saproptérine (tétrahydrobioptérine, BH4) est un cofacteur de l’oxyde nitrique synthase. La prudence est de mise en cas d’utilisation simultanée de médicaments contenant de la saproptérine et de principes actifs vasodilatateurs exerçant une influence sur le métabolisme ou l’action de l’oxyde nitrique (NO), y compris les donneurs de NO classiques tels que le trinitrate de glycéryle (GTN), le dinitrate d’isosorbide (ISDN), le 5-mononitrate d’isosorbide (ISMN), etc.
  • +La N-acétylcystéine peut renforcer l’effet vasodilatateur du trinitrate de glycéryle.
  • +Chez les patients préalablement traités par des dérivés nitrés organiques (p. ex. dinitrate d’isosorbide, 5-mononitrate d’isosorbide), il peut s’avérer nécessaire d’augmenter les doses de trinitrate de glycéryle afin d’obtenir l’effet souhaité.
  • +Lors de l’utilisation concomitante de dihydroergotamine (DHE), Nitrolingual Flacon nébuliseur peut induire une élévation du taux de DHE et donc renforcer l’effet hypertenseur de cette substance.
  • +Une prudence particulière est par conséquent nécessaire, car la DHE antagonise l’effet du trinitrate de glycéryle et peut entraîner une vasoconstriction coronaire.
  • +Lors de l’utilisation concomitante d’héparine et de Nitrolingual Flacon nébuliseur, l’effet de l’héparine est diminué. La dose d’héparine doit être adaptée en conséquence sous des contrôles stricts des paramètres de la coagulation sanguine. L’arrêt du trinitrate de glycéryle peut entraîner une nette diminution de la coagulation sanguine (forte augmentation du temps de céphaline activée, TCA), pouvant nécessiter une réduction de la dose d’héparine.
  • +L’effet hypotenseur de nitrates et d’autres donneurs de NO administrés de façon aiguë ou chronique est renforcé par les inhibiteurs de la phosphodiestérase (p. ex. sildénafil (Viagra®, Revatio®), vardénafil (Levitra®) ou tadalafil (Cialis®)). La prise d’inhibiteurs de la phosphodiestérase est par conséquent contre-indiquée pendant le traitement par Nitrolingual Flacon nébuliseur. Si du sildénafil (Viagra®) a toutefois été pris, l’utilisation de Nitrolingual Flacon nébuliseur est contre-indiquée pendant les 24 h qui suivent la prise de cet inhibiteur de la phosphodiestérase.
  • +L’utilisation de GTN (trinitrate de glycéryle) avec des stimulateurs de la guanylate cyclase soluble, tels que le riociguat, est contre-indiquée (voir «Contre-indications»), car l’effet hypotenseur de chacun des médicaments peut se renforcer mutuellement.
  • +
  • -Il n’existe ni études contrôlées menées chez l’animal ni études menées chez des femmes enceintes. Dans ces conditions, le médicament ne doit être administré qu’en cas de nécessité absolue.
  • -On ignore si la substance passe dans le lait maternel. Mais l’utilisation chez la femme qui allaite est malgré tout déconseillée.
  • +Il n’existe ni études contrôlées menées chez l’animal ni études menées chez la femme enceinte. Dans ces conditions, le médicament ne doit être administré qu’en cas de nécessité absolue.
  • +On ignore si la substance passe dans le lait maternel. L’utilisation chez la femme qui allaite est déconseillée.
  • -Même en cas d’utilisation conforme, ce médicament peut modifier la capacité de réaction de telle sorte que l’aptitude à prendre activement part à la circulation routière ou l’utilisation des machines peut être altérée. Ceci est plus marqué encore en cas de prise simultanée d’alcool.
  • +Même en cas d’utilisation conforme à l’usage auquel il est destiné, ce médicament peut modifier la capacité de réaction de telle sorte que l’aptitude à prendre activement part à la circulation routière ou à l’utilisation de machines peut être altérée. Lorsqu’un patient se sent faible, est pris de vertiges ou ne se sent pas bien, il doit attendre de se sentir mieux. Cela est plus marqué encore en cas de prise simultanée d’alcool.
  • -L’évaluation des effets indésirables est basée sur les données de fréquence suivantes:
  • -Très fréquents: 1/10 Fréquents: <1/10, ≥1/100
  • -Occasionnels: <1/100, ≥1/1000 Rares: <1/1000, ≥1/10’000
  • -Très rares: <1/10’000
  • +Au début du traitement, les céphalées induites par les nitrates peuvent survenir de façon très fréquente, mais l’expérience a montré qu’elles régressent malgré la poursuite du traitement.
  • +On observe également souvent lors de la première utilisation, mais également après augmentation de la dose, une chute de la pression artérielle et/ou une hypotension orthostatique s’accompagnant parfois d’une accélération réflexe de la fréquence du pouls (tachycardie), d’obnubilation et d’une sensation de vertige et de faiblesse.
  • +Des états de collapsus surviennent occasionnellement et sont parfois accompagnés de bradycardie et de syncopes.
  • +De graves réactions hypotensives ont été rapportées lors de l’utilisation de nitrates organiques, y compris nausées, vomissements, agitation, pâleur et transpiration excessive.
  • +Les indications de fréquence des effets indésirables reposent sur les catégories suivantes:
  • +Très fréquents: (≥ 1/10)
  • +Fréquents: (< 1/10, ≥ 1/100)
  • +Occasionnels: (< 1/100, ≥ 1/1000)
  • +Rares: (< 1/1000, ≥ 1/10 000)
  • +Très rares: (< 1/10 000)
  • +Fréquence inconnue: (la fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles)
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnels: réactions d’hypersensibilité.
  • +Affections psychiatriques
  • +Très rares: agitation.
  • -Très fréquents: céphalées
  • -Investigations
  • -Occasionnels: chute de la pression artérielle
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Fréquents: vertiges et obnubilation.
  • +Occasionnels: syncope.
  • +Très rares: ischémie cérébrale.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquents: tachycardie.
  • +Occasionnels: accentuation des symptômes de l’angine de poitrine, bradycardie.
  • +Fréquence inconnue: palpitations.
  • -Occasionnels: syndrome orthostatique, érythème facial, collapsus cardiovasculaire
  • -Affections gastro-intestinales Occasionnels: nausées, vomissements
  • +Fréquents: hypotension orthostatique, chute de la pression artérielle.
  • +Occasionnels: érythème passager (flush), collapsus circulatoire, parfois accompagné de bradycardie et d’une syncope.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Très rares: détérioration de la respiration.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Occasionnels: nausées, vomissements.
  • +Fréquence inconnue: gonflement de la langue*.
  • -Occasionnels: réaction cutanée allergique
  • -Très rares: dermatite exfoliative
  • -*) symptômes connus pour être liés aux réactions d’hypersensibilité.
  • -Les céphalées sont très fréquentes en début de traitement («céphalées aux nitrates»), mais on sait par expérience qu’elles régressent généralement après quelques jours malgré la poursuite du traitement.
  • -On observe souvent lors de la première administration, et également après augmentation de la dose, une baisse de la pression artérielle et/ou une hypotension orthostatique s’accompagnant parfois d’une accélération du pouls, d’obnubilation et d’une sensation de vertige et de faiblesse.
  • -Occasionnellement, une forte chute de la pression artérielle, avec exacerbation de la symptomatologie de l’angine de poitrine et collapsus a été observée, s’accompagnant souvent de bradyarythmies et de syncopes.
  • -Le développement d’une tolérance ainsi que la survenue d’une tolérance croisée avec d’autres dérivés nitrés ont été décrits.
  • -Afin d’éviter une diminution ou une perte d’effet, il faut éviter les posologies élevées sur de longues périodes.
  • -Remarque:
  • -Nitrolingual Pompe peut entraîner une hypoxie transitoire due à une redistribution relative du flux sanguin dans les territoires alvéolaires hypoventilés, de même qu’une hypoxie myocardique chez les patients coronariens.
  • +Occasionnels: dermatite allergique*.
  • +Très rares: dermatite exfoliative.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Fréquents: asthénie.
  • +Fréquence inconnue: développement d’une tolérance.
  • +*Des réactions d’hypersensibilité peuvent occasionnellement survenir et se manifestent p. ex. sous la forme d’une dermatite allergique ou dans des cas isolés sous la forme d’un gonflement de la langue.
  • +L’utilisation de Nitrolingual Flacon nébuliseur peut entraîner une hypoxémie transitoire due à une redistribution relative du flux sanguin dans les régions alvéolaires hypoventilées, de même qu’une hypoxie myocardique chez les patients atteints d’une coronaropathie.
  • -Symptômes et intoxication
  • -Le tableau clinique se compose essentiellement des symptômes suivants, en fonction de l’importance de l’intoxication:
  • -chute de la pression artérielle accompagnée de troubles de la régulation orthostatique, tachycardie réflexe et céphalées. Sensation de faiblesse, vertiges, obnubilation, flush, nausées, vomissements et diarrhées peuvent survenir.
  • -En cas de doses élevées, les ions nitriques libérés par la dégradation du trinitrate de glycéryle peuvent entraîner une méthémoglobinémie, une cyanose, une détresse respiratoire et une tachypnée.
  • -Lors d’administration de doses très élevées, une élévation de la pression intracrânienne avec symptômes cérébraux peut se produire.
  • +Symptômes d’un surdosage
  • +Les signes et symptômes d’un surdosage sont généralement semblables aux effets indésirables décrits: p. ex. chute de la pression artérielle accompagnée de troubles orthostatiques de la régulation, tachycardie réflexe et céphalées, sensation de faiblesse, vertiges, obnubilation, flush, nausées, vomissements et diarrhée.
  • +En cas de doses très élevées (supérieures à 20 mg/kg de poids corporel), il faut s’attendre à la formation de méthémoglobine ainsi qu’à la survenue d’une cyanose, d’une détresse respiratoire et d’une tachypnée suite à la formation de ions nitrite lors de la dégradation du GTN.
  • +Lors de l’administration de doses très élevées, une élévation de la pression intracrânienne s’accompagnant de symptômes cérébraux peut se produire.
  • -Traitement de l’intoxication
  • -Les mesures thérapeutiques consistent avant tout à normaliser la pression artérielle; dans les cas peu sévères, la position horizontale du patient avec les jambes surélevées mène à la disparition des symptômes.
  • -En cas d’intoxications sévères, il convient de suivre les directives générales concernant le traitement d’une intoxication et/ou de lutte contre l’état de choc. En cas d’hypotension marquée, il peut être utile de pratiquer une substitution volémique.
  • -Dans des cas exceptionnels, il est possible de perfuser de la noradrénaline et/ou de la dopamine pour soutenir le traitement des troubles circulatoires. L’administration d’adrénaline et de substances apparentées est contre-indiquée. Selon la gravité de la méthémoglobinémie, les antidotes suivants sont disponibles:
  • -1.Vitamine C: 1 g p.o. ou i.v. sous forme de sel sodique
  • -2.Bleu de méthylène: jusqu’à 50 ml d’une solution de bleu de méthylène à 1% i.v.
  • -3.Bleu de toluidine: dose initiale de 2 à 4 mg/kg de poids corporel par voie intraveineuse stricte; si nécessaire, injecter 2 mg/kg de poids corporel toutes les heures.
  • -4.Oxygénothérapie, hémodialyse, transfusion sanguine.
  • +Mesures thérapeutiques en cas de surdosage
  • +En cas de surdosage, l’état clinique du patient doit être surveillé, y compris ses fonctions vitales et son état mental. Les mesures thérapeutiques visant à soutenir le système cardiovasculaire et les voies respiratoires doivent être mises en œuvre conformément aux exigences cliniques et, le cas échéant, aux recommandations nationales.
  • +Dans le cas d’une hypotension modérée, l’élévation des jambes du patient et/ou le fait d’abaisser sa tête peuvent s’avérer efficaces.
  • +Une méthémoglobinémie sévère doit être envisagée lorsque la gazométrie artérielle présente des signes d’acidose ou que les symptômes du patient indiquent une cyanose.
  • +En plus d’une oxygénothérapie, du bleu de méthylène doit être administré par voie i.v. (1 à 2 mg/kg de poids corporel) pendant 5 minutes; à moins que le patient ne présente un déficit en G-6-PD.
  • -Code ATC: C01DA02, vasodilatateur utilisé en cardiologie.
  • +Code ATC: C01DA02, vasodilatateur coronarien issu de la classe des nitrates organiques.
  • -L’effet du trinitrate de glycéryle repose sur une relaxation de la musculature lisse. Les vaisseaux postcapillaires de capacitance et les grandes artères, en particulier les segments d’artères coronaires encore capables de réagir, sont plus fortement concernés que les vaisseaux de résistance. La vasodilatation au niveau de la circulation systémique entraîne une augmentation de la capacité veineuse («pooling»), le retour sanguin diminue, le volume ventriculaire et de la pression de remplissage chutent («diminution de la précharge»). La réduction du diamètre ventriculaire et la diminution de la tension pariétale systolique entraînent une diminution du besoin myocardique en énergie et en oxygène.
  • -La baisse des pressions de remplissage cardiaques permet une meilleure perfusion des couches pariétales sous-endocardiques menacées d’ischémie, le mouvement pariétal local et le volume systolique peuvent être améliorés.
  • -La dilatation des grandes artères proches du cœur entraîne une diminution à la fois de la résistance systémique (diminution de la postcharge) et de la résistance pulmonaire à l’éjection.
  • -Le trinitrate de glycéryle provoque en outre une relaxation de la musculature des bronches, des voies urinaires excrétrices, de la musculature de la vésicule biliaire, des voies biliaires ainsi que de l’œsophage, de l’intestin grêle et du côlon et des sphincters.
  • -Au niveau moléculaire, les nitrates agissent par formation de monoxyde d’azote (NO) et de guanosine monophosphate cyclique (GMPc), qui est considéré comme médiateur de la relaxation.
  • +L’effet du trinitrate de glycéryle repose sur une relaxation de la musculature lisse. Les vaisseaux postcapillaires de capacitance et les artères de gros calibre, en particulier les segments d’artères coronaires encore capables de réagir, sont dès lors plus fortement touchés que les vaisseaux de résistance. La vasodilatation au niveau de la circulation systémique entraîne une augmentation de la capacité veineuse («pooling»), le retour veineux vers le cœur diminue, le volume ventriculaire et la pression de remplissage chutent (diminution de la «précharge»).
  • +La réduction du rayon ventriculaire et la diminution de la tension pariétale systolique entraînent une diminution du besoin du myocarde en énergie et en oxygène.
  • +La baisse des pressions de remplissage cardiaques permet une meilleure perfusion des couches pariétales sousendocardiques menacées d’ischémie, le mouvement pariétal local et le volume systolique peuvent être améliorés.
  • +La dilatation des artères de gros calibre proches du cœur entraîne une diminution à la fois de la résistance systémique (diminution de la «postcharge») et de la résistance pulmonaire à l’éjection.
  • +Le trinitrate de glycéryle provoque en outre une relaxation de la musculature des bronches, des voies urinaires excrétrices, de la musculature de la vésicule biliaire, des voies biliaires ainsi que de l’œsophage, de l’intestin grêle et du gros intestin, y compris des sphincters.
  • +Au niveau moléculaire, les nitrates agissent par formation de monoxyde d’azote (NO) et de guanosine monophosphate cyclique (GMPc), qui est considérée comme médiateur de la relaxation.
  • -En cas d’administration sublinguale, jusqu’à 70% de la dose est absorbée par la muqueuse buccale. L’effet débute au bout de 2 à 3 minutes, la durée d’action est de 30 à 60 minutes.
  • +En cas d’utilisation sublinguale, jusqu’à 70% de la dose est absorbée par la muqueuse buccale. L’effet débute au bout de 2 à 3 minutes, la durée d’action est de 30 à 60 minutes.
  • -Une analyse de la biodisponibilité de Nitrolingual Pompe effectuée chez 24 sujets a révélé les valeurs suivantes pour les métabolites 1,2-dinitrés: C max: 3777 pg/ml (± 1905 pg/ml). t max : 20,5 min (± 20,0 min).
  • +Une analyse de la biodisponibilité de Nitrolingual Flacon nébuliseur effectuée chez 24 sujets a révélé les valeurs suivantes pour les métabolites 1,2-dinitrés:
  • +Cmax: 3777 pg/ml (± 1905 pg/ml).
  • +tmax: 20,5 min (± 20,0 min).
  • -Après administration intraveineuse, le volume de distribution du trinitrate de glycéryle est de 3 l/kg de poids corporel environ. La liaison aux protéines plasmatiques est de 60% environ. La fourchette de concentrations sanguines thérapeutiques se situe entre 0,1 ng/ml et 5 ng/ml.
  • +Après administration intraveineuse, le volume de distribution du trinitrate de glycéryle est de 3 l/kg de poids corporel environ. La liaison aux protéines plasmatiques est de 60% environ. L’intervalle thérapeutique de concentrations sanguines se situe entre 0,1 ng/ml et 5 ng/ml.
  • -La demi-vie d’élimination du trinitrate de glycéryle est courte. Après une prise sublinguale, des valeurs de 2,5 à 4,4 minutes ont été indiquées.
  • +La demi-vie d’élimination du trinitrate de glycéryle est courte. Après une utilisation sublinguale, des valeurs de 2,5 à 4,4 minutes ont été indiquées.
  • -L’analyse du trinitrate de glycéryle dans des cultures cellulaires et au cours d’études expérimentales menées chez les animaux n’a révélé aucun effet mutagène ou carcinogène significatif dans la fourchette posologique thérapeutique. Au cours d’études d’embryotoxicité et de fertilité, aucun indice en faveur d’un effet sur l’embryon et aucun trouble de la fertilité n’ont été mis en évidence, dans une fourchette posologique allant jusqu’à des doses toxiques pour les animaux adultes. En particulier, aucun indice en faveur de propriétés tératogènes n’a été mis en évidence. On ignore si des études de détermination de la concentration de principe actif dans le lait maternel ont été menées.
  • +L’analyse du trinitrate de glycéryle dans des cultures cellulaires et au cours d’études expérimentales menées chez les animaux n’a révélé aucun effet mutagène ou carcinogène significatif dans l’intervalle posologique thérapeutique.
  • +Au cours d’études portant sur l’embryotoxicité et la fertilité, aucun indice en faveur d’un effet sur l’embryon et aucun trouble de la fertilité n’ont été mis en évidence, dans un intervalle posologique allant jusqu’à des doses toxiques pour les animaux adultes. En particulier, aucun indice en faveur de propriétés tératogènes n’a été mis en évidence. On ignore si des études de détermination de la concentration de principe actif dans le lait maternel ont été menées.
  • -Conserver dans l’emballage original à l’abri de l’humidité et à température ambiante (15-25 °C), ne pas congeler.
  • +Conserver dans l’emballage d’origine à l’abri de l’humidité et à température ambiante (15-25 °C), ne pas congeler.
  • -Pour utiliser le vaporisateur, retirer le capuchon protecteur en le tirant vers le haut. Afin de se familiariser avec la manipulation de Nitrolingual Pompe et pour remplir entièrement l’espace doseur lors de la première utilisation, actionner d’abord une fois la soupape et pulvériser le contenu dans l’air (effectuer une pression franche et totale sur la tête de pulvérisation, puis relâcher). Ceci peut aussi être nécessaire si le vaporisateur n’a pas été utilisé depuis longtemps. Le vaporisateur est à présent prêt à l’emploi et il n’est pas nécessaire de le secouer avant l’utilisation.
  • -En vaporisant, tenir le flacon verticalement, la tête de pulvérisation dirigée vers le haut. Tenir l’ouverture de la tête de pulvérisation le plus près possible de la bouche.
  • -L’ouverture se repère facilement au toucher. Ceci constitue aussi un repère d’orientation sûr en cas d’administrations nocturnes. Une recharge doit être disponible lorsque le flacon est vide.
  • +Pour utiliser le spray, retirer le capuchon protecteur en le tirant vers le haut. Afin de se familiariser avec la manipulation de Nitrolingual Flacon nébuliseur et de remplir entièrement la chambre de dosage lors de la première utilisation, actionner d’abord une fois la valve et pulvériser le contenu dans l’air (effectuer une pression franche et totale sur la tête de pulvérisation, puis relâcher). Cela peut aussi être nécessaire si le spray n’a pas été utilisé depuis longtemps. Le spray est à présent prêt à l’emploi et il n’est pas nécessaire de le secouer avant l’utilisation. En vaporisant, tenir le flacon verticalement, la tête de pulvérisation dirigée vers le haut. Tenir l’ouverture de la tête de pulvérisation le plus près possible de la bouche. L’ouverture se repère facilement au toucher. Cela constitue aussi un repère d’orientation sûr en cas d’administrations nocturnes. Il convient d’avoir un flacon de remplacement à disposition lorsque le flacon nébuliseur est vide.
  • -40 558 (Swissmedic).
  • +40558 (Swissmedic).
  • -Nitrolingual® Pompe: 200 doses. [B]
  • +Nitrolingual® Flacon nébuliseur: 200 doses. [B]
  • -Gebro Pharma AG, Liestal
  • +Gebro Pharma SA, Liestal
  • -Janvier 2015
  • +Septembre 2017
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