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Accueil - Information professionnelle sur Rapidocain 10 mg/ml con epinefrina 10 mcg/ml - Changements - 30.10.2024
32 Changements de l'information professionelle Rapidocain 10 mg/ml con epinefrina 10 mcg/ml
  • -Rapidocain 20 mg/ml avec Epinéphrine 5 µg/ml, 12 µg/ml
  • +Rapidocain 20 mg/ml avec Epinéphrine 5 µg/ml, 12.5 µg/ml
  • -Rapidocain 20 mg/ml avec Epinéphrine 5 µg/ml, 12 µg/ml
  • +Rapidocain 20 mg/ml avec Epinéphrine 5 µg/ml, 12.5 µg/ml
  • +Personnes âgées: pour les personnes âgées, les doses doivent être calculées individuellement en tenant compte de l'âge et du poids.
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, dont l'état général est diminué ou dont la fixation des protéines plasmatiques est modifiée (comme dans le cas de maladies carcinomateuses), il faut en principe utiliser des doses plus faibles.
  • +L'utilisation de Rapidocain / Rapidocain avec Epinéphrine est contre-indiquée chez les patients présentant une hypovolémie, une insuffisance cardiaque aiguë décompensée, un bloc cardiaque et d'autres troubles de la conduction, un choc sévère et une myasthénie grave. Ne pas injecter Rapidocain / Rapidocain avec Epinéphrine dans des zones infectées ou enflammées.
  • +
  • -Lors de blocages importants ou d’administration de doses importantes, une canule i.v. doit être introduite avant l’injection de l’anesthésique local.
  • -Les médecins pratiquant l’anesthésie locale doivent disposer d’une expérience et d’un entraînement suffisants. De même, ils doivent impérativement maîtriser le diagnostic et le traitement d’effets secondaires potentiels, et savoir gérer la toxicité systémique ou d’autres complications éventuelles (voir «Surdosage»).
  • -Afin de réduire les risques d’effets secondaires dangereux, il convient daccorder une attention particulière aux patients suivants:
  • +Les médecins pratiquant l’anesthésie locale doivent disposer d’une expérience et d’un entraînement suffisants. De même, ils doivent impérativement maîtriser le diagnostic et le traitement d’effets secondaires potentiels, et savoir gérer la toxicité systémique ou d’atres complications éventuelles (voir «Surdosage»).
  • +·Pour éviter des effets indésirables, les points suivants doivent être pris en considération:Veiller à l'équilibre hémodynamique avant une anesthésie locale. Corriger toute hypovolémie existante.
  • +·Vérifier la pression artérielle, la fréquence cardiaque et la dilatation des pupilles.
  • +·Veiller au bon positionnement du patient.
  • +·Poser une canule i.v. avant d'injecter l'anesthésique local.
  • +·Injecter lentement et éviter l'administration intravasculaire en répétant l'aspiration.
  • +Il convient d'accorder une attention particulière aux patients suivants:
  • -Patients avec bloc cardiaque partiel ou complet, car l’anesthésique local peut affaiblir la conduction du myocarde.
  • +Patients avec bloc cardiaque partiel ou complet, car l’anesthésique local peut affaiblir la conduction du myocarde. Une surveillance constante des paramètres fonctionnels est requise, même après la fin de l'effet de l'anesthésique local.
  • +Chez les patients souffrant d'épilepsie cérébrale, il convient de prêter une attention accrue à la manifestation de symptômes neurologiques. Une augmentation de la propension à convulser est probable.
  • +Une augmentation de la tendance aux saignements est à prévoir chez les patients traités par anticoagulants, anti-inflammatoires non stéroïdiens ou substituts du plasma. Toute lésion vasculaire accidentelle peut entraîner une hémorragie grave.
  • +Il convient d'accorder une attention particulière aux nouveau-nés, considérés comme particulièrement vulnérables à l'intoxication par les anesthésiques locaux.
  • +En cas de syndrome de Melkersson-Rosenthal, les réactions allergiques et toxiques du système nerveux aux anesthésiques locaux peuvent être plus fréquentes.
  • +En principe, tous les anesthésiques locaux sont susceptibles de provoquer des lésions des fibres musculaires squelettiques, voire des myonécroses, en fonction de leur concentration. Les troubles réversibles de la motilité oculaire après un bloc péri- ou rétrobulbaire sont particulièrement significatifs; ils sont clairement dus à des lésions directes des muscles oculaires externes.
  • +La lidocaïne pouvant endommager de manière irréversible les chondrocytes humains, on a pu observer des modifications de leur morphologie et de leur fonction ainsi qu'une perte de la matrice cartilagineuse protectrice. Le cartilage articulaire hyalin abimé et vieillissant semble être particulièrement vulnérable.
  • -Les solutions pour anesthésies locales contenant des conservateurs ne doivent pas non plus être utilisées pour d’autres blocages nécessitant plus de 15 ml.Parahydroxy-benzoates (Propylis parahydroxybenzoas (E216) et E218)) peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées), et exceptionnellement, des bronchospasmes.
  • +Les solutions pour anesthésies locales contenant des conservateurs ne doivent pas non plus être utilisées pour d’autres blocages nécessitant plus de 15 ml.
  • +Parahydroxy-benzoates (Propylis parahydroxybenzoas (E216) et E218)) peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées), et exceptionnellement, des bronchospasmes. Une augmentation de la bilirubine dans le sang après son déplacement de l’albumine peut aggraver un ictère néonatal et entraîner un ictère nucléaire (dépôts de bilirubine non conjuguée dans le tissu cérébral).
  • -En règle générale, les solutions contenant de l’epinéphrine doivent être évitées ou administrées avec extrême prudence chez les patients sous traitement par antidépresseurs tricycliques, car elles peuvent provoquer une hypertension sévère durable.
  • +Les contraceptifs oraux peuvent augmenter la fraction libre de lidocaïne dans le sang en diminuant la concentration de l'alpha-1-glycoprotéine acide (orosomucoïde).
  • +Les bêtabloquants non cardio-sélectifs comme le propranolol augmentent la concentration plasmatique de lidocaïne (en raison d’une clairance réduite) et renforcent l’effet vasoconstricteur de l’epinéphrine, ce qui peut provoquer une hypertension sévère ou une bradycardie.
  • +La cimétidine, un antagoniste des récepteurs H2, peut augmenter la concentration plasmatique de lidocaïne de jusqu'à 50%.
  • +Des concentrations plasmatiques accrues s'observent également avec l'amiodarone, la quinidine, le diltiazem, l'érythromycine, le fluconazole, la fluvoxamine, l'itraconazole, le kétoconazole, la nifédipine, la roxithromycine, l'acide valproïque et le vérapamil.
  • +Les substances inductrices d'enzymes, telles que les barbituriques (surtout le phénobarbital), la phénytoïne et les benzodiazépines accélèrent la dégradation de la lidocaïne.
  • +De même, des concentrations plasmatiques plus faibles sont induites par l'administration simultanée d'aminoglutéthimide, de carbamazépine, de primidone et de rifampicine.
  • +En outre, la lidocaïne renforce l'effet du suxaméthionium et d'autres myorelaxants.
  • +L'administration concomitante de lidocaïne et d'alcaloïdes de l'ergot de seigle (tels que la bromocriptine) ou d'adrénaline peut entraîner une chute marquée de la pression artérielle.
  • +Les sédatifs qui affectent le fonctionnement du SNC peuvent modifier les effets toxiques des anesthésiques locaux. D'autre part, il existe un antagonisme entre les anesthésiques locaux et les sédatifs/hypnotiques. Ces deux derniers groupes de médicaments élèvent le seuil de convulsion du SNC.En règle générale, les solutions contenant de l’epinéphrine doivent être évitées ou administrées avec extrême prudence chez les patients sous traitement par antidépresseurs tricycliques, car elles peuvent provoquer une hypertension sévère durable.
  • -Les bêtabloquants non cardio-sélectifs comme le propranolol renforcent l’effet vasoconstricteur de l’epinéphrine, ce qui peut provoquer une hypertension sévère ou une bradycardie.
  • -Une éventuelle bradycardie chez le fœtus due à l’administration d’un anesthésique local peut se manifester lors d’un blocage anesthésique paracervical, en raison des concentrations élevées d’anesthésique local atteignant le fœtus.
  • -Allaitement
  • +La lidocaïne ne doit pas être utilisée en obstétrique à des concentrations supérieures à 1%.
  • +La lidocaïne traverse rapidement le placenta. Chez les nouveau-nés présentant des concentrations plasmatiques élevées, la lidocaïne peut entraîner une dépression du SNC et donc une diminution du score d'Apgar. Une injection accidentelle dans l'hypoderme du foetus au cours d'un bloc paracervical ou périnéal peut entraîner une apnée, une hypotonie, des troubles du rythme cardiaque et des convulsions, présentant ainsi un risque vital pour le nouveauné.Allaitement
  • -Les conducteurs d’automobiles et de machine doivent tenir compte du fait que les anesthésiques locaux peuvent, en fonction de la dose, provoquer des légers troubles de la concentration et de la coordination et restreindre passagèrement la capacité de locomotion. Par conséquent, la prudence est de mise.
  • +Les conducteurs d’automobiles et de machine doivent tenir compte du fait que les anesthésiques locaux peuvent, en fonction de la dose, provoquer des nausées, des troubles de la vision (diplopie), des légers troubles de la concentration et de la coordination et restreindre passagèrement la capacité de locomotion. Par conséquent, la prudence est de mise.
  • -Fréquences: «très fréquents» (≥1/10), « fréquents » (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000).
  • +Fréquences: «très fréquents» (≥1/10), « fréquents » (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000), «Fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Rare: Les réactions allergiques, réactions anaphylactiques, choc anaphylactique (voir «Contre-indications»/«Mises en garde et précautions»).
  • +Rare: Les réactions allergiques sous forme d'urticaire, d'oedème, de bronchospasme, de syndrome de détresse respiratoire et de réactions circulatoires, réactions anaphylactiques, choc anaphylactique (voir «Contre-indications»/«Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence inconnue: hyperthermie.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquence inconnue: méthémoglobinémie.
  • +
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinalesRare: dépression respiratoire.
  • -Affections système gastrointestinalFréquent: nausées, vomissements.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Rare: dépression respiratoire.
  • +Affections système gastro-intestinal
  • +Fréquent: nausées, vomissements.
  • -Elle se manifeste progressivement avec des signes d’aggravation croissante. Les premiers signes en sont normalement: paresthésies circumorales, anesthésie de la langue, torpeur, hyperacousie, acouphènes et troubles de la vision. La dysarthrie et les spasmes musculaires sont plus sévères et précèdent des spasmes généralisés. Ces signes ne doivent pas être confondus avec des troubles psychiatriques. Ils peuvent être suivis de perte de connaissance et de crises de grand mal, qui peuvent durer de quelques secondes à quelques minutes. Une hypoxie et une hypercapnie surviennent rapidement, du fait de l’augmentation de l’activité musculaire, en même temps qu’une interférence de la respiration normale et une perte du réflexe de protection des voies aériennes. Dans les cas graves, une apnée peut apparaître.
  • +Elle se manifeste progressivement avec des signes d’aggravation croissante. Les premiers signes en sont normalement: paresthésies circumorales, insensibilité de la langue, vertiges, hyperacousie, acouphènes.
  • +Les autres symptômes sont torpeur, excitation, agitation, nervosité, désorientation, confusion, tremblements, frissons, troubles du langage, nausées, vomissements.
  • +La dysarthrie et les spasmes musculaires sont plus sévères et précèdent des spasmes généralisés. Ces signes ne doivent pas être confondus avec des troubles psychiatriques. Ils peuvent être suivis de perte de connaissance et de crises de grand mal, qui peuvent durer de quelques secondes à quelques minutes. Une hypoxie et une hypercapnie surviennent rapidement, du fait de l’augmentation de l’activité musculaire, en même temps qu’une interférence de la respiration normale et une perte du réflexe de protection des voies aériennes. Dans les cas graves, une apnée peut apparaître.
  • +Des traumatismes nerveux, neuropathie, occlusion de l'artère rachidienne antérieure, arachnoïdite, etc. ont été associés aux techniques d'anesthésie régionales, quel que soit l'anesthésique utilisé.
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  • -Dans des cas graves, des effets sur le système cardiovasculaire peuvent apparaître. Ceux-ci commencent généralement par des signes de toxicité au niveau du système nerveux central. Lorsque des sédatifs puissants ont été administrés ou sous anesthésie générale, il est possible que les symptômes SNC prodromiques ne se manifestent pas ou que la détection des premiers signes d’une toxicité soit difficile. Unehypotension, une bradycardie, une arythmie et même un arrêt cardiaque peuvent survenir comme conséquence de concentrations systémiques élevées d’anesthésiques locaux. Il est arrivé dans des cas rares qu’un arrêt cardiaque se produise sans symptômes SNC prodromiques.
  • +Dans des cas graves, des effets sur le système cardiovasculaire peuvent apparaître. Initialement, des symptômes cardiaques excitatoires tels que l'hypertension, la tachycardie et d'autres troubles du rythme apparaissent généralement. Lorsque l'intoxication progresse, on assiste à une dépression des fonctions cardiaques.
  • +Ceux-ci commencent généralement par des signes de toxicité au niveau du système nerveux central. Lorsque des sédatifs puissants ont été administrés ou sous anesthésie générale, il est possible que les symptômes SNC prodromiques ne se manifestent pas ou que la détection des premiers signes d’une toxicité soit difficile. Unehypotension, une bradycardie, une arythmie et même un arrêt cardiaque peuvent survenir comme conséquence de concentrations systémiques élevées d’anesthésiques locaux. Il est arrivé dans des cas rares qu’un arrêt cardiaque se produise sans symptômes SNC prodromiques.
  • -Si les convulsions ne disparaissent pas spontanément en 15–20 secondes, injecter un myorelaxant par voie i.v. Thiopental sodique 1–3 mg/kg en i.v. fait rapidement cesser les convulsions. Une autre possibilité consiste à administrer du diazépam 0,1 mg/kg en i.v. bien qu’il agisselentement. Des convulsions persistantes peuvent mettre en danger la respiration et l’apport en oxygène du patient. L’injection d’un relaxant musculaire (par ex. succinylcholine 1 mg/kg) stoppera rapidement les convulsions, facilitant la respiration et permettant le contrôle de l’apport en oxygène. Dans de tels cas, une intubation endotrachéale doit rapidement être envisagée.
  • +Si les convulsions ne disparaissent pas spontanément en 15–20 secondes, injecter un myorelaxant par voie i.v. Thiopental sodique 1–3 mg/kg en i.v. fait rapidement cesser les convulsions. Une autre possibilité consiste à administrer du diazépam 0,1 mg/kg en i.v. bien qu’il agisselentement. Le propofol ou un traitement lipidique constituent d'autres options. Des convulsions persistantes peuvent mettre en danger la respiration et l’apport en oxygène du patient. L’injection d’un relaxant musculaire (par ex. succinylcholine 1 mg/kg) stoppera rapidement les convulsions, facilitant la respiration et permettant le contrôle de l’apport en oxygène. Dans de tels cas, une intubation endotrachéale doit rapidement être envisagée.
  • -Si une dépression cardiovasculaire (hypotonie, bradycardie) est évidente, l’injection i.v. d’un sympathomimétique, par ex. éphédrine 5 à 10 mg, doit être administrée et si nécessaire renouvelée après 2 à 3 minutes. Chez les enfants, la posologie de l’éphédrine doit être adaptée en fonction de l’âge et du poids.
  • -En cas de collapsus circulatoire, une réanimation cardio-pulmonaire rapide est nécessaire: un apport optimal d’oxygène, un soutien de la respiration et de la circulation ainsi qu’un traitement de l’acidose sont vitales.
  • +Si une dépression cardiovasculaire (hypotonie, bradycardie) devient manifeste, un sympathomimétique tel que l'éphédrine 5-10 mg i.v. ou l'adrénaline en petits bolus i.v. de 10-100 μg par exemple (≤1 μg/kg PC), doit être administré et répété si nécessaire après 2 à 3 minutes. Chez les enfants, la posologie de l’éphédrine doit être adaptée en fonction de l’âge et du poids. Il convient également de procéder à une substitution volumique.
  • +En cas de collapsus circulatoire, une réanimation cardio-pulmonaire rapide est nécessaire: un apport optimal d’oxygène, un soutien de la respiration et de la circulation ainsi qu’un traitement de l’acidose sont vitaux, il convient de tenir compte des directives actuellement en vigueur en matière de réanimation.
  • +Il n'existe pas d'antidote spécifique. La lidocaïne n'est pas hémodialysable.
  • +Après une intoxication, le patient doit être surveillé pendant une période adéquate (au moins 2 heures).
  • +La lidocaïne passe la barrière hémato-encéphalique.
  • +La lidocaïne est métabolisée par le foie.
  • +Troubles de la fonction hépatique :
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique ou d'insuffisance cardiaque, la demi-vie de la lidocaïne est prolongée, c'est pourquoi la dose doit être réduite.
  • +Troubles de la fonction rénale :
  • +En cas d'insuffisance rénale, la clairance de la lidocaïne n'est pas altérée, mais une accumulation de métabolites actifs peut se produire. En cas d'insuffisance rénale et de patients âgés, il est recommandé de réduire les doses (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Mai 2021
  • +Juillet 2024
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