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Accueil - Information professionnelle sur Ritalin - Changements - 22.07.2024
106 Changements de l'information professionelle Ritalin
  • -La posologie de Ritaline/-LA doit être individualisée en fonction des besoins ou des réactions du patient.
  • +La posologie de Ritaline/-LA doit être individualisée en fonction des besoins ou des réponses du patient.
  • -Enfants dès 6 ans: Ritaline LA (capsules de méthylphénidate à longue durée d'action) est prévu pour une administration orale journalière le matin.
  • +Enfants dès 6 ans: Ritaline LA (capsules de chlorhydrate de méthylphénidate à longue durée d'action) est prévu pour une administration orale journalière le matin.
  • -Ritaline LA peut être pris indépendamment des repas. Ritaline LA peut être absorbé soit en avalant la capsule entière telle quelle, soit le contenu de la capsule peut être dispersé sur un peu de nourriture (voir les instructions ci-après).
  • +Ritaline LA peut être pris pendant ou en dehors des repas. Ritaline LA peut être absorbé soit en avalant la capsule entière telle quelle, soit le contenu de la capsule peut être dispersé sur un peu de nourriture (voir les instructions ci-après).
  • -Les capsules peuvent être ouvertes avec précaution et les globules dispersés sur un peu de nourriture molle (p.ex. de la purée de pommes). L'aliment ne doit pas être chaud car il pourrait alors influencer les caractéristiques de libération modifiée de la substance active de cette formulation. Le mélange ainsi préparé d'aliment et de médicament doit être absorbé immédiatement et complètement. Ce mélange ne doit pas être conservé.
  • +Les capsules peuvent être ouvertes avec précaution et les globules dispersés sur un peu de nourriture molle (p.ex. de la compote de pommes). L'aliment ne doit pas être chaud car il pourrait alors influencer les caractéristiques de libération modifiée de la substance active de cette formulation. Le mélange ainsi préparé d'aliment et de médicament doit être absorbé immédiatement et complètement. Ce mélange ne doit pas être conservé pour une prise ultérieure.
  • -·Maladies cérébrovasculaires préexistantes comme anévrismes cérébraux, vaisseaux anormaux, y compris vasculite ou accident vasculaire cérébral.
  • +·Maladies cérébrovasculaires préexistantes comme anévrismes cérébraux, vaisseaux anormaux, y compris vascularite ou accident vasculaire cérébral.
  • -En cas de surdosage, à savoir de dépassement des dosages thérapeutiques, une myopathie ou une rhabdomyolyse peut se manifester chez des patients ayant des facteurs prédisposants (voir «Surdosage»).
  • +En cas de surdosage, à savoir de dépassement des doses thérapeutiques, une myopathie ou une rhabdomyolyse peut se manifester chez des patients ayant des facteurs prédisposants (voir «Surdosage»).
  • -Des indices cliniques montrent que des troubles psychiatriques (y compris comportements de dépendance et suicidaires) ainsi qu'une perte de poids et d'appétit surviennent plus fréquemment lors de l'administration de médicaments à base de méthylphénidate. Il faut donc procéder lors de toute visite et adaptation de la posologie à un relevé soigneux de ces changements mais aussi des signes pouvant indiquer une mauvaise utilisation ou un abus du médicament. Il faut attirer l'attention des patients et de leurs aides-soignants sur le fait qu'ils doivent être attentifs à la survenue d'une aggravation clinique, d'un comportement suicidaire, de pensées suicidaires ou de changements inhabituels du comportement, et qu'un médecin doit immédiatement être consulté dans un tel cas. Le médecin doit initier un traitement approprié de chaque maladie psychiatrique sous-jacente et envisager un arrêt éventuel ou un changement du traitement du TDAH.
  • +Des indices cliniques montrent que des troubles psychiatriques (y compris comportements de dépendance et suicidaires) ainsi qu'une perte de poids et d'appétit surviennent plus fréquemment lors de l'administration de médicaments à base de méthylphénidate. Il faut donc procéder lors de toute visite et adaptation de la posologie, à un relevé soigneux de ces changements mais aussi des signes pouvant indiquer une mauvaise utilisation ou un abus du médicament. Il faut attirer l'attention des patients et de leurs aides-soignants sur le fait qu'ils doivent être attentifs à la survenue d'une aggravation clinique, d'un comportement suicidaire, de pensées suicidaires ou de changements inhabituels du comportement, et qu'un médecin doit immédiatement être consulté dans un tel cas. Le médecin doit initier un traitement approprié de chaque maladie psychiatrique sous-jacente et envisager un arrêt éventuel ou un changement du traitement du TDAH.
  • -L'administration concomitante de méthylphénidate et de médicaments sérotoninergiques n'est pas recommandée, car cela peut provoquer le développement d'un syndrome sérotoninergique. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre: altérations de l'état mental (p.ex. agitation, hallucinations, délire et coma), instabilité du système autonome (p.ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, vertiges, diaphorèse, flush, hyperthermie), symptômes neuromusculaires (p.ex. tremblements, rigidité, myoclonie, hyperréflexie, troubles de la coordination), convulsions et/ou symptômes gastro-intestinaux (p.ex. nausées, vomissements, diarrhée). Le syndrome sérotoninergique dans sa forme la plus sévère peut ressembler à un syndrome malin des neuroleptiques qui comprend des symptômes tels qu'hyperthermie, rigidité musculaire, instabilité du système autonome avec éventuelle fluctuation rapide des signes vitaux et altérations de l'état mental. Il est important d'identifier rapidement ces symptômes.
  • +L'administration concomitante de méthylphénidate et de médicaments sérotoninergiques n'est pas recommandée, car cela peut provoquer le développement d'un syndrome sérotoninergique. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre: altérations de l'état mental (p.ex. agitation, hallucinations, délire et coma), instabilité du système autonome (p.ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, vertiges, diaphorèse, flush, hyperthermie), symptômes neuromusculaires (p.ex. tremblements, rigidité, myoclonie, hyperréflexie, troubles de la coordination), convulsions et/ou symptômes gastro-intestinaux (p.ex. nausées, vomissements, diarrhée). Le syndrome sérotoninergique dans sa forme la plus sévère peut ressembler à un syndrome malin des neuroleptiques, qui comprend des symptômes tels qu'hyperthermie, rigidité musculaire, instabilité du système autonome avec éventuelle fluctuation rapide des signes vitaux et altérations de l'état mental. Il est important d'identifier rapidement ces symptômes.
  • -Une interaction avec l'anticoagulant éthylbiscoumacétate chez 4 patients n'a pas pu être confirmée avec un plus grand nombre de cas (n = 12).
  • +Une interaction avec l'anticoagulant biscoumacétate d'éthyle chez 4 patients n'a pas pu être confirmée avec un plus grand nombre de cas (n = 12).
  • -Administration concomitante avec des substances hypertensives:
  • +Utilisation concomitante avec des substances hypertensives:
  • -Administration concomitante d'alpha-2-agonistes à action centrale (p.ex. clonidine):
  • +Utilisation concomitante d'alpha-2-agonistes à action centrale (p.ex. clonidine):
  • -Administration concomitante de dopaminergiques:
  • +Utilisation concomitante de dopaminergiques:
  • -Administration concomitante de médicaments sérotoninergiques:
  • +Utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques:
  • -Administration concomitante d'alcool:
  • +Utilisation concomitante d'alcool:
  • -Les données d'une étude de cohorte incluant environ 3400 grossesses exposées au cours du premier trimestre n'indiquent pas une augmentation globale du risque d'anomalies congénitales. La fréquence des malformations cardiaques a été légèrement augmentée (risque relatif ajusté groupé 1,3; IC 95%: 1,0 – 1,6), correspondant à 3 enfants supplémentaires présentant une malformation cardiaque pour 1000 femmes ayant reçu du méthylphénidate pendant le premier trimestre de la grossesse comparativement à des grossesses non exposées. Des cas de toxicité cardiorespiratoire chez des nourrissons ont été signalés dans le cadre de déclarations spontanées; des cas de tachycardie et de dyspnée fœtales ont été en particulier rapportés.
  • -Dans les expérimentations animales, le méthylphénidate peut provoquer des anomalies chez l'embryon (voir «Données précliniques»).
  • +Les données d'une étude de cohorte incluant environ 3400 grossesses exposées au cours du premier trimestre n'indiquent pas une augmentation globale du risque d'anomalies congénitales. La fréquence des malformations cardiaques a été légèrement augmentée (risque relatif ajusté groupé 1,3; IC 95%: 1,0 – 1,6), correspondant à 3 enfants supplémentaires présentant une malformation cardiaque pour 1000 femmes ayant reçu du méthylphénidate pendant le premier trimestre de la grossesse comparativement à des grossesses non exposées. Des cas de toxicité cardiorespiratoire chez des nourrissons ont été signalés dans le cadre de déclarations spontanées; des cas de tachycardie et de dyspnée fœtales ont été en particulier rapportés.Dans les expérimentations animales, le méthylphénidate peut provoquer des anomalies chez l'embryon (voir «Données précliniques»).
  • -Aucune donnée concernant l'effet de l'utilisation du méthylphénidate sur la fertilité n'est disponible. Le méthylphénidate ne limite pas la fertilité chez les souris mâles et femelles (voir «Données précliniques»).
  • +Aucune donnée concernant l'effet de l'utilisation du méthylphénidate sur la fertilité humaine n'est disponible. Le méthylphénidate ne limite pas la fertilité chez les souris mâles et femelles (voir «Données précliniques»).
  • -Définition des fréquences: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000).
  • +Définition des fréquences: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnel» (≥1/1000 à < 1/100), «rare» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rare» (< 1/10 000).
  • -Très fréquents: rhinopharyngite*.
  • +Très fréquent: rhinopharyngite*.
  • -Très fréquents: diminution de l'appétit**.
  • +Très fréquent: diminution de l'appétit**.
  • -Très fréquents: insomnie, nervosité. Ils apparaissent en début de traitement et peuvent cependant céder à une réduction de la dose et/ou à l'omission de la dose de l'après-midi ou du soir.
  • -Fréquents: labilité affective, agressivité, agitation*, sentiment d'agitation, anxiété*, dépression, irritabilité, comportement anormal, troubles du sommeil*, bruxisme*.
  • +Très fréquent: insomnie, nervosité. Ils apparaissent en début de traitement et peuvent cependant en général être contrôlés par une réduction de la dose et/ou par l'omission de la dose de l'après-midi ou du soir.
  • +Fréquent: labilité affective, agressivité, agitation*, sentiment d'agitation, anxiété*, dépression, irritabilité, comportement anormal, troubles du sommeil*, bruxisme*.
  • -Fréquents: céphalées, vertiges, dyskinésie, tremblement*, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
  • +Fréquent: céphalées, vertiges, dyskinésie, tremblement*, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
  • -Fréquents: arythmie, tachycardie, palpitations, modifications de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque (habituellement à la hausse).
  • +Fréquent: arythmie, tachycardie, palpitations, modifications de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque (habituellement à la hausse).
  • -Fréquents: phénomène de Raynaud**, sensation de froid aux extrémités**, hypertension artérielle.
  • +Fréquent: phénomène de Raynaud**, sensation de froid aux extrémités**, hypertension artérielle.
  • -Fréquents: toux*, douleurs pharyngées et laryngées.
  • +Fréquent: toux*, douleurs pharyngées et laryngées.
  • +Fréquence inconnue: épistaxis.
  • +
  • -Très fréquents: nausées**, bouche sèche**.
  • -Fréquents: douleurs abdominales, diarrhée, douleurs gastriques et vomissements. Ceux-ci apparaissent généralement en début de traitement et peuvent être soulagés par la prise concomitante de nourriture.
  • +Très fréquent: nausées**, bouche sèche**.
  • +Fréquent: douleurs abdominales, diarrhée, douleurs gastriques et vomissements. Ceux-ci apparaissent généralement en début de traitement et peuvent être soulagés par la prise concomitante de nourriture.
  • -Fréquents: alopécie (tête), prurit, éruptions cutanées, urticaire, hyperhidrose*.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Fréquents: arthralgie.
  • +Fréquent: alopécie (tête), prurit, éruptions cutanées, urticaire, hyperhidrose*.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquent: arthralgie.
  • -Fréquents: fièvre, ralentissement de la croissance en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
  • +Fréquent: fièvre, ralentissement de la croissance en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
  • -Fréquents: perte de poids*.
  • +Fréquent: perte de poids*.
  • -Affections vasculaires: troubles cérébrovasculaires ou hémorragie, vasculite.
  • +Affections vasculaires: troubles cérébrovasculaires ou hémorragie, vascularite.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané: dermatite exfoliatrice, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, exanthème médicamenteux.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, exanthème médicamenteux.
  • -Occasionnels: anorexie, prise de poids et de taille modérément réduite en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
  • +Occasionnel: anorexie, prise de poids et de taille modérément réduite en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
  • -Très rares: leucopénie, thrombopénie, anémie.
  • +Très rare: leucopénie, thrombopénie, anémie.
  • -Très rares: réactions d'hypersensibilité, y compris angioedème et anaphylaxie.
  • +Très rare: réactions d'hypersensibilité, y compris angioedème et anaphylaxie.
  • -Très rares: hyperactivité, hallucinations visuelles et tactiles, états dépressifs transitoires (tristesse, anxiété, états larmoyants), troubles psychotiques, tics ou aggravation de tics existants.
  • +Très rare: hyperactivité, hallucinations visuelles et tactiles, états dépressifs transitoires (tristesse, anxiété, états larmoyants), troubles psychotiques, tics ou aggravation de tics existants.
  • -Très rares: convulsions, choréoathétose, tics ou exacerbation de la symptomatologie et maladie de Gilles de la Tourette, état dépressif passager, artérite cérébrale et/ou occlusion, troubles cérébrovasculaires, hémorragies cérébrales et accidents vasculaires cérébraux.
  • +Très rare: convulsions, choréoathétose, tics ou exacerbation de la symptomatologie et maladie de Gilles de la Tourette, état dépressif passager, artérite cérébrale et/ou occlusion, troubles cérébrovasculaires, hémorragies cérébrales et accidents vasculaires cérébraux.
  • -Rares: troubles de l'accommodation et vision floue.
  • +Rare: troubles de l'accommodation et vision floue.
  • -Rares: angine de poitrine.
  • -Très rares: arrêt cardiaque.
  • +Rare: angine de poitrine.
  • +Très rare: arrêt cardiaque.
  • -Très rares: troubles cérébrovasculaires, vasculite.
  • +Très rare: troubles cérébrovasculaires, vascularite.
  • -Très rares: diarrhée, constipation.
  • +Très rare: diarrhée, constipation.
  • -Très rares: troubles de la fonction hépatique, pouvant aller de l'augmentation des transaminases jusqu'au coma hépatique.
  • +Très rare: troubles de la fonction hépatique, pouvant aller de l'augmentation des transaminases jusqu'au coma hépatique.
  • -Très rares: purpura thrombocytopénique, dermatite exfoliatrice, érythème polymorphe, œdème angioneurotique, inflammations de la muqueuse buccale (chez les adultes présentant une narcolepsie).
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Occasionnels: trismus*.
  • -Très rares: crampes musculaires.
  • +Très rare: purpura thrombocytopénique, dermatite exfoliative, érythème polymorphe, œdème angioneurotique, inflammations de la muqueuse buccale (chez les adultes présentant une narcolepsie).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnel: trismus*.
  • +Très rare: crampes musculaires.
  • -Occasionnels: hyperhidrose.
  • -Rares: en cas de traitement prolongé chez l'enfant, une réduction modérée de la prise de poids ainsi qu'un léger retard de croissance peuvent survenir.
  • +Occasionnel: hyperhidrose.
  • +Rare: en cas de traitement prolongé chez l'enfant, une réduction modérée de la prise de poids ainsi qu'un léger retard de croissance peuvent survenir.
  • -Le méthylphénidate est un stimulant du système nerveux central avec un effet marqué sur les activités mentales et motrices. Son mode d'action chez l'homme n'est pas complètement élucidé, mais on suppose que l'effet stimulant repose sur une inhibition de la recapture de la dopamine et de la noradrénaline dans les neurones présynaptiques et sur l'augmentation de la concentration de ces neurotransmetteurs dans l'espace extraneural qui en résulte.
  • +Le méthylphénidate est un stimulant du système nerveux central avec un effet marqué sur les activités mentales et motrices. Son mode d'action chez l'homme n'est pas complètement élucidé, mais on suppose que l'effet stimulant repose sur une inhibition de la recapture de la dopamine et de la noradrénaline dans les neurones présynaptiques et sur l'augmentation de la concentration de ces neurotransmetteurs dans l'espace extraneuronal qui en résulte.
  • -Aucune information
  • +Aucune information.
  • -Aucune information
  • +Aucune information.
  • -Après administration orale de Ritaline LA (capsules de hydrochlorure de méthylphénidate avec libération modifiée de la substance active pour administration orale 1×/j) à des enfants avec diagnostic de TDAH ainsi qu'à des adultes, le méthylphénidate est rapidement absorbé et présente une courbe bimodale de concentration plasmatique (i.e. deux pics séparés par une période de 4 h env.). Chez les enfants et les adultes, la biodisponibilité relative de Ritaline LA administré 1x/j est comparable à celle d'une dose globale équivalente administrée sous forme de deux doses par jour séparées de Ritaline ou de comprimés de méthylphénidate.
  • +Après administration orale de Ritaline LA (capsules de chlorhydrate de méthylphénidate avec libération modifiée de la substance active pour administration orale 1×/j) à des enfants avec diagnostic de TDAH ainsi qu'à des adultes, le méthylphénidate est rapidement absorbé et présente une courbe bimodale de concentration plasmatique (i.e. deux pics séparés par une période de 4 h env.). Chez les enfants et les adultes, la biodisponibilité relative de Ritaline LA administré 1x/j est comparable à celle d'une dose globale équivalente administrée sous forme de deux doses par jour séparées de Ritaline ou de comprimés de méthylphénidate.
  • -Pour les patients ne pouvant pas avaler les capsules, l'administration peut se faire en répartissant le contenu de la capsule sur de la nourriture molle, comme de la purée de pommes (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Pour les patients ne pouvant pas avaler les capsules, l'administration peut se faire en répartissant le contenu de la capsule sur de la nourriture molle, comme de la compote de pommes (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -La biotransformation du méthylphénidate par la carboxylestérase CES1A1 est rapide et extensive. Les concentrations plasmatiques maximales du métabolite principal désestérifié, l'acide alphaphényl-2pipéridineacétique (forme acide de Ritaline), sont atteintes environ 2 h après administration de méthylphénidate et sont 30–50× plus élevées que celles de la substance inchangée. La demi-vie d'élimination de l'acide alphaphényl-2pipéridine-acétique est environ deux fois supérieure à celle du méthylphénidate et la clairance systémique moyenne est de 0.17 l/h/kg. Les métabolites hydroxylés, par exemple l'hydroxyméthylphénidate ou l'acide hydroxyritalinique, ne sont décelables qu'en faibles quantités. L'activité thérapeutique semble due essentiellement à la substance inchangée.
  • +La biotransformation du méthylphénidate par la carboxylestérase CES1A1 est rapide et ample. Les concentrations plasmatiques maximales du métabolite principal désestérifié, l'acide alphaphényl-2pipéridineacétique (forme acide de Ritaline), sont atteintes environ 2 h après administration de méthylphénidate et sont 30–50× plus élevées que celles de la substance inchangée. La demi-vie d'élimination de l'acide alphaphényl-2pipéridine-acétique est environ deux fois supérieure à celle du méthylphénidate et la clairance systémique moyenne est de 0.17 l/h/kg. Les métabolites hydroxylés, par exemple l'hydroxyméthylphénidate ou l'acide hydroxyritalinique, ne sont décelables qu'en faibles quantités. L'activité thérapeutique semble due essentiellement à la substance inchangée.
  • -Dans l'une de ces études, on a utilisé la même souche de souris B6C3F1 que celle ayant présenté des tumeurs hépatiques lors d'un bioessay de carcinogénicité. Des mesures des mutations cII dans le foie et les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique de souris Big-Blue, dans les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique et des mutations HPRT, ainsi que des aberrations chromosomiques chez le macaque Rhésus et des mutations du gène PIG-A chez de jeunes rats, de la fréquence dans le sang de réticulocytes contenant des micronoyaux et des altérations de l'ADN dans les cellules sanguines, cérébrales et hépatiques chez les rats mâles adultes traités en continu durant 28 jours, ainsi que la mesure des micronoyaux des érythrocytes dans le sang périphérique de souris n'ont pas mis en évidence de potentiel génotoxique.
  • +Dans l'une de ces études, on a utilisé la même souche de souris B6C3F1 que celle ayant présenté des tumeurs hépatiques lors d'un bioassay de carcinogénicité. Des mesures des mutations cII dans le foie et les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique de souris Big-Blue, dans les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique et des mutations HPRT, ainsi que des aberrations chromosomiques chez le macaque Rhésus et des mutations du gène PIG-A chez de jeunes rats, de la fréquence dans le sang de réticulocytes contenant des micronoyaux et des altérations de l'ADN dans les cellules sanguines, cérébrales et hépatiques chez les rats mâles adultes traités en continu durant 28 jours, ainsi que la mesure des micronoyaux des érythrocytes dans le sang périphérique de souris n'ont pas mis en évidence de potentiel génotoxique.
  • -Dans une expérimentation animale sur la durée de vie chez la souris, le méthylphénidate a provoqué une augmentation de la fréquence des adénomes hépatocellulaires (tumeur hépatique bénigne) et, dans les espèces de sexe masculin seulement, une survenue accrue d'hépatoblastomes (tumeur hépatique maligne), à une dose d'environ 60 mg/kg/jour (environ 35× supérieure à la MRHD calculée en mg/kg). L'hépatoblastome est une forme de tumeur maligne relativement rare chez les rongeurs. Aucune augmentation générale de l'incidence des tumeurs hépatiques malignes n'a été observée. La race de souris testée est particulièrement sujette au développement de tumeurs hépatiques. L'on suppose que l'hépatoblastome est causé par des mécanismes non-génotoxiques, tels qu'une augmentation de la prolifération des cellules hépatiques. Cette hypothèse correspond à l'augmentation du poids du foie observée chez les souris durant cette étude sur la carcinogénicité.
  • +Dans une expérimentation animale sur la durée de vie chez la souris, le méthylphénidate a provoqué une augmentation de la fréquence des adénomes hépatocellulaires (tumeur hépatique bénigne) et, dans les espèces de sexe masculin seulement, une survenue accrue d'hépatoblastomes (tumeur hépatique maligne), à une dose d'environ 60 mg/kg/jour (environ 35× supérieure à la MRHD calculée en mg/kg).
  • +L'hépatoblastome est une forme de tumeur maligne relativement rare chez les rongeurs. Aucune augmentation générale de l'incidence des tumeurs hépatiques malignes n'a été observée. La race de souris testée est particulièrement sujette au développement de tumeurs hépatiques. L'on suppose que l'hépatoblastome est causé par des mécanismes non-génotoxiques, tels qu'une augmentation de la prolifération des cellules hépatiques. Cette hypothèse correspond à l'augmentation du poids du foie observée chez les souris durant cette étude sur la carcinogénicité.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Capsules à 40mg: 30 et 100 [A+]
  • +Capsules à 40 mg: 30 et 100 [A+]
  • -Décembre 2022
  • +Mai 2024
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