74 Changements de l'information professionelle Prazine 25 mg |
-Principe actif: Promazini hydrochloridum
-Excipients: Dragée à 50 mg: color E110
-Dragée à 100 mg: color E127
-Excipiens pro compresso obducto
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Dragée à 25 mg: Promazini hydrochloridum 25 mg
-Dragée à 50 mg: Promazini hydrochloridum 50 mg
-Dragée à 100 mg: Promazini hydrochloridum 100 mg
-Indications / Possibilités d’emploi
-Troubles psychotiques manifestes, dont la phase maniaque d’états maniaques ou dépressifs, psychoses involutives, psychoses des personnes âgées et psychoses toxiques; sédation de l’agitation et de l’hyperactivité accompagnant des troubles du comportement; soulagement des nausées et des vomissements lors d’urémies, de cancer, de syndrome d’irradiation, lors de l’emploi de médicaments cytotoxiques et en présence de toxines.
-Pour le traitement des troubles du comportement chez l’handicapé mental, la Prazine demeure inefficace.
-Posologie / Mode d’emploi
- +Principes actifs
- +Promazine chlorhydrate.
- +Excipients
- +Prazine à 25 mg:
- +102,43 mg de saccharose, gélatine, gomme arabique, stéarate de magnésium, copolymère d'acide méthacrylique et de méthacrylate de méthyle (1:1), copolymère basique d'acrylate de butyle et de méthyle, talc, carbonate de calcium, astragale, dioxyde de titane (E 171), cire blanchie, cire de carnauba.
- +Prazine à 50 mg:
- +123,43 mg de saccharose, gélatine, fécule de maïs, gomme arabique, stéarate de magnésium, copolymère d'acide méthacrylique et de méthacrylate de méthyle (1:1), copolymère basique d'acrylate de butyle et de méthyle, talc, carbonate de calcium, astragale, dioxyde de titane (E 171), cire blanchie, cire de carnauba, 0,36 mg de jaune orangé S (E 110).
- +Prazine à 100 mg:
- +133,68 mg de saccharose, gélatine, fécule de maïs, gomme arabique, stéarate de magnésium, copolymère d'acide méthacrylique et de méthacrylate de méthyle (1:1), copolymère basique d'acrylate de butyle et de méthyle, talc, carbonate de calcium, astragale, dioxyde de titane (E 171), cire blanchie, cire de carnauba, érythrosine (E 127).
- +
- +Indications/Possibilités d’emploi
- +Troubles psychotiques manifestes, dont la phase maniaque d'états maniaques ou dépressifs, psychoses involutives, psychoses des personnes âgées et psychoses toxiques; sédation de l'agitation et de l'hyperactivité accompagnant des troubles du comportement; soulagement des nausées et des vomissements lors d'urémies, de carcinome, de syndrome d'irradiation, lors de l'emploi de médicaments cytotoxiques et en présence de toxines.
- +Prazine est inefficace pour le traitement des troubles du comportement chez l'handicapé mental.
- +Posologie/Mode d’emploi
-La dose, la forme galénique et la fréquence de l’administration seront déterminées en fonction de la gravité de l’état et de la réponse thérapeutique du malade.
-Troubles mentaux et émotionnels
-La dose d’entretien varie de 25 mg à 200 mg, administrés à des intervalles de 4–6 heures, suivant l’effet thérapeutique.
- +La dose ainsi que la forme et la fréquence de l'administration seront déterminées en fonction de la gravité de l'état et de la réponse thérapeutique du malade.
- +Troubles mentaux et émotionnels:
- +La dose d'entretien varie de 25 mg à 200 mg, administrés à des intervalles de 4 à 6 heures, suivant l'effet thérapeutique.
-Lors d’états d’ébriété aigus, la dose initiale ne devrait pas dépasser 50 mg, pour ne pas renforcer l’effet sédatif de l’alcool.
-Remarque
-Il ne semble pas que l’administration de doses journalières dépassant 800–1000 mg puisse augmenter le taux de résultats positifs de façon importante. Il est donc recommandé de ne pas dépasser la dose totale de 1000 mg.
-Nausées et vomissements
-En cas de nausées et de vomissements, administrer 25 mg–50 mg de Prazine par voie buccale à des intervalles de 4–6 heures.
- +Lors d'états d'ébriété aigus, la dose initiale ne devrait pas dépasser 50 mg, pour ne pas renforcer l'effet sédatif de l'alcool.
- +Remarque:
- +Il ne semble pas que l'administration de doses journalières dépassant 800 mg à 1000 mg puisse augmenter le taux de résultats positifs de façon importante. Il est donc recommandé de ne pas dépasser la dose totale de 1000 mg.
- +Nausées et vomissements:
- +En cas de nausées et de vomissements, administrer 25 mg à 50 mg de Prazine par voie orale à des intervalles de 4 à 6 heures.
-Lors de crises aiguës de troubles psychotiques chroniques chez l’enfant à partir de 12 ans, administrer 25 mg de Prazine par voie buccale à des intervalles de 4–6 heures.
- +Population pédiatrique
- +Lors de crises aiguës de troubles psychotiques chroniques chez l'enfant à partir de 12 ans, administrer 25 mg de Prazine par voie orale à des intervalles de 4 à 6 heures.
- +Prazine ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
- +
-Hypersensibilité à un composant de Prazine.
-La Prazine est contre-indiquée chez les malades se trouvant en état comateux causé par l’absorption de produits à action sédative centrale (alcool, barbituriques, opiacés, etc.). Hypoplasie médullaire. Glaucome à angle étroit.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Prazine selon la composition de Prazine.
- +Prazine est contre-indiqué chez les patients qui se trouvent en état comateux causé par l'absorption de produits à action sédative centrale (alcool, barbituriques, opiacés, etc.). Dépression médullaire. Glaucome à angle étroit.
-La Prazine ne doit pas être administrée aux enfants au-dessous de 12 ans.
-L’absorption d’alcool doit être évitée en raison d’une éventuelle potentialisation des effets du médicament et d’un risque d’hypotension.
-En qui concerne l’apparition de dyskinésies tardives, de syndromes neuroleptiques malins et d’agranulocytose, voir «Effets indésirables».
-Chez les malades souffrant d’artériosclérose cérébrale, de coronaropathies, d’hypotension grave ou d’autres états dans lesquels une baisse tensionnelle n’est pas souhaitable, la Prazine devrait être administrée avec prudence.
-Les patients présentant des antécédents d’épilepsie ne doivent être traités par des phénothiazines qu’en cas de nécessité absolue. Dans de tels cas, un traitement concomitant par des anticonvulsivants appropriés doit être pratiqué.
-La Prazine doit être administrée avec précaution aux personnes qui sont exposées à une forte chaleur ainsi qu’aux patients souffrant de maladies cardiovasculaires et hépatiques.
-L’effet antiémétique de la Prazine peut masquer l’effet toxique d’autres médicaments ou d’autres diagnostics comme par exemple l’obstruction gastro-intestinale.
-Chez les malades souffrant d’insuffisance respiratoire consécutive à des infections pulmonaires aiguës ou à des troubles respiratoires chroniques (asthme sévère ou emphysème), la Prazine doit être administrée avec prudence.
-Une urticaire légère et une photosensibilité ont été observées. Pour maintenir ces effets secondaires au minimum, le patient doit éviter une exposition excessive au rayonnement solaire. Le personnel infirmier sensible aux phénothiazines devrait manipuler ces produits avec circonspection, pour éviter un eczéma de contact.
-Agranulocystose
-Une agranulocytose apparaît en général entre la quatrième et la dixième semaine de traitement. L’attention des patients devrait être attirée sur le fait que toute apparition soudaine de symptômes d’infection, tels qu’une angine, devra immédiatement être signalée au médecin traitant.
- +Population pédiatrique
- +Prazine ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
- +La consommation d'alcool doit être évitée en raison d'une éventuelle potentialisation des effets du médicament et d'un risque d'hypotension.
- +Concernant l'apparition de dyskinésies tardives, de syndromes neuroleptiques malins et d'agranulocytose, se référer à la rubrique « Effets indésirables ».
- +Prazine ne devrait être administré qu'avec prudence chez les patients souffrant de sclérose cérébrale, de maladies coronariennes, d'hypotension sévère ou d'autres états dans lesquels une diminution de la pression artérielle n'est pas souhaitable.
- +Les patients présentant des antécédents d'épilepsie ne doivent être traités par des phénothiazines qu'en cas de nécessité absolue. Dans de tels cas, un traitement concomitant par des anticonvulsivants appropriés doit être pratiqué.
- +Prazine doit être administrée avec précaution aux personnes qui sont exposées à une forte chaleur ainsi qu'aux patients souffrant de maladies cardiovasculaires et hépatiques.
- +L'effet antiémétique de Prazine peut masquer l'effet toxique d'autres médicaments ou d'autres diagnostics comme par ex. l'obstruction gastro-intestinale.
- +Prazine doit être administrée avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance respiratoire consécutive à des infections pulmonaires aiguës ou à des troubles respiratoires chroniques (asthme sévère ou emphysème).
- +Une urticaire légère et une photosensibilité ont été observées. Pour maintenir ces effets secondaires au minimum, le patient doit éviter une exposition excessive au rayonnement solaire. Le personnel infirmier sensible aux phénothiazines devrait manipuler ces produits avec circonspection pour éviter une dermatite de contact.
- +Agranulocytose
- +Une agranulocytose apparaît en général entre la quatrième et la dixième semaine de traitement. L'attention des patients devrait être attirée sur le fait que toute apparition soudaine de symptômes d'infection, tels qu'une angine, devra immédiatement être signalée au médecin traitant.
-L’action sédative du médicament est le plus souvent souhaitée. Dans certains cas cependant, la Prazine peut entraîner une somnolence indésirable. Celle-ci disparaît en général en cours de traitement ou peut être atténuée par une réduction de la posologie.
- +L'action sédative du médicament est le plus souvent souhaitée. Dans certains cas cependant, Prazine peut entraîner une somnolence indésirable. Celle-ci disparaît en général en cours de traitement ou peut être atténuée par une réduction de la posologie.
-Les symptômes sont persistants et, chez certains patients, irréversibles. Le risque d’une dyskinésie tardive semble être accru chez les femmes âgées, traitées par de fortes doses. Il n’existe aucun traitement efficace pour les dyskinésies tardives. Il semblerait que des mouvements vermiculaires de la langue puissent être considérés comme un signe avant-coureur du syndrome. De plus fortes doses d’antipsychotiques risquent de masquer ce syndrome pendant une certaine période, donnant ainsi l’impression d’une amélioration. On ignore quels effets cette suppression de symptômes peut produire à long terme sur l’évolution de la maladie. Pour réduire l’apparition de dyskinésies tardives à un minimum, il faut prescrire la posologie la plus faible pour la période la plus brève que possible aux malades dont l’état exige un traitement de longue durée et contrôler périodiquement la nécessité de poursuivre le traitement.
- +Les symptômes sont persistants et, chez certains patients, irréversibles. Le risque d'une dyskinésie tardive semble être accru chez les femmes âgées, traitées par de fortes doses. Il n'existe aucun traitement efficace pour les dyskinésies tardives. Il semblerait que des mouvements vermiculaires de la langue puissent être considérés comme un signe avant-coureur du syndrome. De plus fortes doses d'antipsychotiques risquent de masquer ce syndrome pendant une certaine période, donnant ainsi l'impression d'une amélioration. On ignore quels effets cette suppression de symptômes peut produire à long terme sur l'évolution de la maladie. Pour réduire l'apparition de dyskinésies tardives à un minimum, il faut prescrire la posologie la plus faible pour la période la plus brève que possible aux patients dont l'état exige un traitement de longue durée et contrôler périodiquement la nécessité de poursuivre le traitement.
-Sous traitement par les neuroleptiques, des cas de syndrome neuroleptique malin, associé à une hyperthermie, une rigidité, une altération de l’état psychique ou à une fragilité du système végétatif, ont été observés. Ce syndrome se développe rapidement et conduit probablement à une issue fatale. A son apparition, il faut donc immédiatement arrêter le traitement antipsychotique et instaurer une thérapie symptomatique, pratiquée sous surveillance étroite.
- +Sous traitement par des neuroleptiques, des cas de syndrome neuroleptique malin, associé à une hyperthermie, une rigidité, une altération de l'état psychique ou à une fragilité du système végétatif, ont été observés. Ce syndrome se développe rapidement et conduit probablement à une issue fatale. À son apparition, il faut donc immédiatement arrêter le traitement antipsychotique et instaurer une thérapie symptomatique, pratiquée sous surveillance étroite.
-Il a été rapporté que le syndrome a spontanément régressé et que la faiblesse et les vertiges ont disparu. Dans certains cas, surtout chez les éthyliques, il a fallu réduire la dose ou supprimer le médicament. Lorsqu’un effet vasopresseur doit être obtenu, il convient d’utiliser la noradrénaline. L’adrénaline ne doit pas être utilisée vu que la Prazine est susceptible d’en inverser l’effet et d’aggraver par la même occasion l’hypotension.
- +Il a été rapporté que le syndrome a spontanément régressé et que la faiblesse et les vertiges ont disparu. Dans certains cas, surtout chez les éthyliques, il a fallu réduire la dose ou supprimer le médicament. Lorsqu'un effet vasopresseur doit être obtenu, il convient d'utiliser la noradrénaline. L'adrénaline ne doit pas être utilisée vu que Prazine est susceptible d'en inverser l'effet et d'aggraver par la même occasion l'hypotension.
-L’ictère apparaît d’habitude au cours des premières semaines de traitement. Son incidence totale est faible. L’ictère est en général réversible à l’arrêt du traitement par les phénothiazines ; cependant, des cas d’ictère chronique ont également été rapportés.
-Dragées de Prazine à 50 mg
-Les dragées de Prazine à 50 mg contiennent le colorant azoïque E 110 (jaune orange S). Le médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l’acide acétylsalicylique et à d’autres inhibiteurs des prostaglandines.
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- +L'ictère apparaît d'habitude au cours des premières semaines de traitement. Son incidence totale est faible. L'ictère est en général réversible à l'arrêt du traitement par les phénothiazines; cependant, des cas d'ictère chronique ont également été rapportés.
-Les phénothiazines (dont la Prazine) ne créent en général aucune dépendance psychique. Cependant, lorsqu’un traitement à fortes doses a été brusquement interrompu, des cas de gastrite, de nausées et de vomissements, de vertiges et de tremblements ont été signalés. Selon ces rapports, une administration concomitante d’un antiparkinsonien permet de réduire de tels symptômes, à condition que celui-ci soit utilisé plusieurs semaines encore après l’arrêt du traitement par les phénothiazines.
- +Les phénothiazines (dont Prazine) ne créent en général aucune dépendance psychique. Cependant, lorsqu'un traitement à fortes doses a été brusquement interrompu, des cas de gastrite, de nausées et de vomissements, de vertiges et de tremblements ont été signalés. Selon ces rapports, une administration concomitante d'un antiparkinsonien permet de réduire de tels symptômes, à condition que celui-ci soit utilisé plusieurs semaines encore après l'arrêt du traitement par les phénothiazines.
- +Saccharose
- +Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au fructose/galactose, une malabsorption du glucose-galactose ou un déficit en sucrase-isomaltase ne devraient pas utiliser ce médicament.
- +Jaune orangé S (E 110)
- +Les dragées de Prazine à 50 mg contiennent le colorant azoïque E 110 (jaune orangé S) qui peut provoquer des réactions allergiques.
- +
-Remarque
-Parmi les interactions indiquées ci-après, certaines, mais non toutes, ont été observées lors du traitement par la Prazine. Etant donné les propriétés pharmacologiques analogues de divers dérivés de la phénothiazine, il faut cependant tenir compte de chacune de ces interactions lors d’un traitement par la Prazine.
- +Parmi les interactions indiquées ci-après, certaines, mais non toutes, ont été observées lors du traitement par Prazine. Étant donné les propriétés pharmacologiques analogues de divers dérivés de la phénothiazine, il faut cependant tenir compte de chacune de ces interactions lors d'un traitement par Prazine.
-Lors d’une administration simultanée de Prazine, la posologie requise ne s’élève qu’à la moitié, voire même qu’au quart de la dose habituelle.
-L’effet anticholinergique d’autres anticholinergiques (par exemple de l’atropine, des antidépresseurs tricycliques) peut être potentialisé par la Prazine.
-L’administration concomitante de Prazine et d’antiacides, notamment de gel à l’aluminium ou au magnésium, ainsi que d’antidiarrhéiques contenant de l’attapulgite, peut réduire l’absorption de la Prazine.
-La Prazine peut antagoniser les effets des produits stimulant le système nerveux central (amphétamines, par exemple).
-Les médicaments ayant pour effet l’induction des enzymes microsomiques dans le foie peuvent réduire l’action de la Prazine.
-Le cytochrome P et ses isoformes pouvant contribuer à une 5-sulfoxydation et une Ndéméthylation de la promazine, il est possible que les inhibiteurs des CYP ralentissent le métabolisme de la promazine et augmentent par la même occasion les concentrations plasmatiques.
-D’autre part, le métabolisme de la promazine a pu être stimulé par des inducteurs enzymatiques, ce qui pourrait conduire à des concentrations plasmatiques plus basses.
-Grossesse / Allaitement
-Des études chez la femme ou chez l’animal ne sont pas disponibles. La Prazine ne devrait pas être utilisée durant la grossesse, à moins que cela soit clairement nécessaire. Si un arrêt du traitement s’avère nécessaire pendant la grossesse, celui-ci ne devra, dans la mesure du possible, pas être brutal. Lorsque des phénothiazines ont été administrées pendant la grossesse, un ictère a été signalé chez les nouveau-nés.
-Effets non teratogènes
-Les nouveau-nés dont les mères ont pris des antipsychotiques (dont la Prazine) pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque de symptômes extrapyramidaux et/ou de symptômes de sevrage après la naissance. Ces symptômes chez les nouveau-nés peuvent comprendre agitation, augmentation ou diminution inhabituelle du tonus musculaire, tremblements, somnolence, difficultés respiratoires ou problèmes d'alimentation.
-Ces complications peuvent avoir un degré de sévérité variable. Dans certains cas, ils ont été autolimitants ; dans d'autres cas, les nouveau-nés ont nécessité une surveillance en service de soins intensifs ou une hospitalisation prolongée. On ignore si la Prazine passe dans le lait maternel. D’autres phénothiazines (chlorpromazine, trifluopérazine, prochlorpérazine) ont été décelées en faibles quantités dans le lait maternel, mais aucun effet secondaire important n’a été observé chez les nouveau-nés.
-Il est néanmoins conseillé d’évaluer soigneusement l’effet thérapeutique escompté et le risque éventuel pour le nourrisson et soit de sevrer ce dernier, soit de supprimer le médicament.
- +Lors d'une administration simultanée de Prazine, la posologie requise ne s'élève qu'à la moitié, voire même qu'au quart de la dose habituelle.
- +L'effet anticholinergique d'autres anticholinergiques (par ex. de l'atropine, des antidépresseurs tricycliques) peut être potentialisé par Prazine.
- +L'administration concomitante de Prazine et d'antiacides, notamment de gel à l'aluminium ou au magnésium, ainsi que d'antidiarrhéiques contenant de l'attapulgite, peut réduire l'absorption de Prazine.
- +Prazine peut antagoniser les effets des produits stimulant le système nerveux central (par ex. les amphétamines).
- +Les médicaments ayant pour effet l'induction des enzymes microsomiques dans le foie peuvent réduire l'action de Prazine.
- +Le cytochrome P et ses isoformes pouvant contribuer à une 5-sulfoxydation et une N-déméthylation de la promazine, il est possible que les inhibiteurs des CYP ralentissent le métabolisme de la promazine et augmentent par la même occasion les concentrations plasmatiques. D'autre part, le métabolisme de la promazine a pu être stimulé par des inducteurs enzymatiques, ce qui pourrait conduire à des concentrations plasmatiques plus basses.
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
- +Des études chez l'animal ou chez la femme enceinte ne sont pas disponibles.
- +Prazine ne devrait pas être utilisée durant la grossesse, à moins que cela soit clairement nécessaire. Si un arrêt du traitement s'avère nécessaire pendant la grossesse, celui-ci ne devra, dans la mesure du possible, pas être brutal.
- +Lorsque des phénothiazines ont été administrées pendant la grossesse, un ictère a été signalé chez les nouveau-nés.
- +Effets non tératogènes:
- +Les nouveau-nés dont les mères ont pris des antipsychotiques (dont Prazine) pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque de symptômes extrapyramidaux et/ou de symptômes de sevrage après la naissance. Ces symptômes chez les nouveau-nés peuvent comprendre agitation, augmentation ou diminution inhabituelle du tonus musculaire, tremblements, somnolence, difficultés respiratoires ou problèmes d'alimentation.
- +Ces complications peuvent avoir un degré de sévérité variable. Dans certains cas, ils ont été autolimitants; dans d'autres cas, les nouveau-nés ont nécessité une surveillance en service de soins intensifs ou une hospitalisation prolongée.
- +Allaitement
- +On ignore si Prazine passe dans le lait maternel. D'autres phénothiazines (chlorpromazine, trifluopérazine, prochlorpérazine) ont été décelées en faibles quantités dans le lait maternel, mais aucun effet secondaire important n'a été observé chez les nouveau-nés.
- +Il est néanmoins conseillé d'évaluer soigneusement l'effet thérapeutique escompté et le risque éventuel pour le nourrisson et soit de sevrer ce dernier, soit de supprimer le médicament.
-Notamment au début du traitement, la Prazine peut réduire les réflexes nécessaires dans des activités impliquant un risque potentiel, telles que l’utilisation de machines ou la conduite de véhicules. La maladie sous-jacente doit être prise en compte. Les patients doivent en être informés.
- +Notamment au début du traitement, Prazine peut réduire les réflexes nécessaires dans des activités impliquant un risque potentiel, telles que l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules. La maladie sous-jacente doit être prise en compte. Les patients doivent en être informés.
-Remarque
-La fréquence des effets indésirables observés ne peut pas être déterminée à partir des données disponibles. Les effets secondaires indiqués ci-après sont apparus lors de l’utilisation de la Prazine / Promazini hydrochloridum.
-Système sanguin et lymphatique
-Des cas d‘agranulocytose, éosinophilie, leucopénie, anémie hémolytique, purpura thrombocytopénique et pancytopénie ont été signalés. Une agranulocytose apparaît en général entre la quatrième et la dixième semaine de traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La fréquence des effets indésirables constatés ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles.
- +Les effets indésirables suivants sont apparus lors de l'utilisation de Prazine / promazine chlorhydrate.
- +Troubles du système sanguin et lymphatique
- +Des cas d'agranulocytose, éosinophilie, leucopénie, anémie hémolytique, purpura thrombocytopénique et pancytopénie ont été signalés. Une agranulocytose apparaît en général entre la quatrième et la dixième semaine de traitement (voir «Mises en garde et précautions».)
-Une hyperglycémie, une hypoglycémie et une glycosurie ont également été observées. Des modifications de l’appétit et du poids ont été constatées.
- +Une hyperglycémie, une hypoglycémie et une glycosurie ont également été observées.
- +Des modifications de l'appétit et du poids ont été constatées.
-Des symptômes tels que apathie et confusion ont été observés. Des troubles paradoxaux du comportement tels que excitation, état d’agitation ou insomnie peuvent survenir si le médicament est administré à faible dose.
-Système nerveux
-Généralités:
-Etat confusionnel, vertige, maux de tête, sédation (voir « Mises en garde et précautions »).
- +Des symptômes tels que apathie et confusion ont été observés. Des troubles paradoxaux du comportement tels que excitation, état d'agitation ou insomnie peuvent survenir si le médicament est administré à faible dose.
- +Troubles du système nerveux
- +État confusionnel, vertige, maux de tête, sédation (voir «Mises en garde et précautions»).
-Dystonie, tremblements, acathisie, dyskinésies, dysarthrie, syndrome parkinsonien. Ces symptômes sont réversibles, mais lorsqu’il s’agit de formes sévères, la Prazine doit être supprimée. Des cas de dyskinésies tardives ont été signalés. Une dyskinésie persistante et irréversible, survenant au niveau faciolinguo-maxillaire, a été observée en particulier chez des patients âgés présentant des lésions cérébrales (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Dystonie, tremblements, acathisie, dyskinésies, dysarthrie, syndrome parkinsonien. Ces symptômes sont réversibles, mais lorsqu'il s'agit de formes sévères, le traitement par Prazine doit être interrompu. Des cas de dyskinésies tardives ont été signalés.
- +Une dyskinésie persistante et irréversible, survenant au niveau facio-linguo-maxillaire, a été observée en particulier chez des patients âgés présentant des lésions cérébrales (voir « Mises en garde et précautions »).
-Hyperthermie, rigidité, dysfonction du système nerveux autonome et troubles de la conscience peuvent survenir (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Hyperthermie, rigidité, dysfonction du système nerveux autonome et troubles de la conscience peuvent survenir (voir « Mises en garde et précautions »).
-Œdèmes cérébraux et modifications de la protéinorachie. Des convulsions ont aussi été observées, notamment chez les patients présentant des altérations au niveau de l’EEG et des antécédents de crises spasmodiques.
-Yeux
-Troubles visuels, crises de glaucome. Une formation de dépôts pigmentés, cutanés et oculaires (cornée, conjonctive et rétine) ainsi qu’une opacification du cristallin ont été observées sous traitement par d’autres phénothiazines. Ces troubles devraient éventuellement aussi être pris en compte pour la Prazine, en particulier si le médicament a été administré à de fortes doses pendant une période prolongée.
-Cœur
-Tachycardie. Comme d’autres phénothiazines, la Prazine peut provoquer des modifications électrocardiographiques (ECG) avec une prolongation de l’intervalle QT et des modifications de l’onde T, des arythmies ventriculaires, des torsades de pointe. Des cas d’altérations non spécifiques de l’ECG, normalement réversibles ont été observés.
-Des cas soudains de décès suite à un arrêt cardiaque/respiratoire, attribué à une défaillance du réflexe tussigène ou à une arythmie, ont été rapportés sans preuve d’une relation causale durant l’utilisation de la promazine et également durant l‘utilisation d’autres phénothiazines.
-Troubles vasculaires
-Des cas d’une hypotension orthostatique ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»). Hypertension.
-Voies respiratoires
-Des cas d’obstruction nasale ont été signalés.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Œdèmes cérébraux et modifications de la protéinorachie. Des convulsions ont aussi été observées, notamment chez les patients présentant des altérations au niveau de l'EEG et des antécédents de crises spasmodiques.
- +Maladies oculaires
- +Troubles visuels, crises de glaucome. Une formation de dépôts pigmentés, cutanés et oculaires (cornée, conjonctive et rétine) ainsi qu'une opacification du cristallin ont été observées sous traitement par d'autres phénothiazines. Ces troubles devraient éventuellement aussi être pris en compte pour Prazine, en particulier si le médicament a été administré à de fortes doses pendant une période prolongée.
- +Maladies cardiaques
- +Tachycardie. Comme d'autres phénothiazines, Prazine peut provoquer des modifications électrocardiographiques (ECG) avec une prolongation de l'intervalle QT et des modifications de l'onde T, des arythmies ventriculaires, des torsades de pointe. Des cas d'altérations non spécifiques de l'ECG, normalement réversibles ont été observés.
- +Des cas soudains de décès suite à un arrêt cardiaque/respiratoire, attribué à une défaillance du réflexe tussigène ou à une arythmie, ont été rapportés sans preuve d'une relation causale durant l'utilisation de la promazine et également durant l'utilisation d'autres phénothiazines.
- +Maladies vasculaires
- +Des cas d'une hypotension orthostatique ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»). Hypertension artérielle.
- +Affections des voies respiratoires, de la cage thoracique, du médiastin
- +Des cas d'obstruction nasale ont été signalés.
- +Affections gastro-intestinales
-Foie et vésicule
-Des dysfonctionnements hépatiques passagers sans jaunisse peut survenir
-Dans ce contexte, une cholestase avec stase de la bile dans les voies biliaires peut également survenir. Le cas échéant, le traitement devrait immédiatement interrompu et ne devrait pas être poursuivi (voir «Mises en garde et précautions»).
-Peau
-Des réactions d’hypersensibilité telles que allergies cutanées, éruptions, photosensibilisation et allergie de contact peuvent apparaître.
-Reins et voies urinaires
- +Affections hépatobiliaires
- +Des dysfonctionnements hépatiques passagers, sans jaunisse, peuvent survenir.
- +Dans ce contexte, une cholestase avec stase de la bile dans les voies biliaires peut également survenir. Le cas échéant, le traitement devrait immédiatement être interrompu et ne devrait pas être poursuivi voir «Mises en garde et précautions».
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Des réactions d'hypersensibilité telles que allergies cutanées, éruptions, photosensibilisation et allergie de contact peuvent apparaître.
- +Affection des reins et des voies urinaires
-Changement de couleur ou d’odeur de l’urine.
-Affectations lors de la grossesse, puerpérales et périnatales
- +Changement de couleur ou d'odeur de l'urine.
- +Grossesse, post-partum et affections périnatales
-Organes de reproduction et seins
-Femmes: troubles de la menstruation, sécrétion glandulaire, gonflement mammaire de moyen degré et aménorrhée.
-Hommes: gynécomastie, impotence.
- +Affections des organes sexuels et des glandes mammaires
- +Femmes:
- +Troubles de la menstruation, sécrétion glandulaire, gonflement mammaire de moyen degré et aménorrhée.
- +Hommes:
- +Gynécomastie, impotence.
-Des réactions d’hypersensibilité peuvent se produire.
-Dragées de Prazine à 50 mg
-Le colorant azoïque E 110 (jaune orange S) contenu dans les dragées de Prazine à 50 mg peut provoquer des réactions d’hypersensibilité cutanées et voies respiratoires, en particulier chez les patients souffrant d’asthme, d’urticaire chronique ou hypersensibles aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
- +Des réactions d'hypersensibilité peuvent se produire.
- +Description d'effets spécifiques indésirables et informations complémentaires
-Etant donné les propriétés pharmacologiques analogues de divers dérivés de la phénothiazine, il faut également tenir compte de chacun des effets secondaires décrit pour cette classe lors d’un traitement par la Prazine.
-Comme tous les neuroleptiques, le traitement par la Prazine peut avoir des effets secondaires extrapyramidaux.
- +Étant donné les propriétés pharmacologiques analogues de divers dérivés de la phénothiazine, il faut également tenir compte de chacun des effets secondaires décrits pour cette classe lors d'un traitement par Prazine.
- +Comme tous les neuroleptiques, le traitement par Prazine peut avoir des effets secondaires extrapyramidaux.
-Des troubles de l'hématopoïèse, une cholestase, une perturbation endocrinienne, des eczémas et une photosensibilisation apparaissent. Des convulsions ou formation d’un glaucome ont également été observés dans des cas isolés. Des dyskinésies ainsi que des dyskinésies tardives ont été signalées après un traitement de longue durée.
- +Des troubles de l'hématopoïèse, une cholestase, une perturbation endocrinienne, des eczémas et une photosensibilisation apparaissent. Des convulsions ou formation d'un glaucome ont également été observés dans des cas isolés. Des dyskinésies ainsi que des dyskinésies tardives ont été signalées après un traitement de longue durée.
-Une formation de dépôts dans la cornée et le cristallin de l’œil peut être observée lors d’un traitement de longue durée et/ou à dose élevée de Prazine.
- +Une formation de dépôts dans la cornée et le cristallin de l'œil peut être observée lors d'un traitement de longue durée et/ou à dose élevée de Prazine.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
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-La dose létale de Prazine chez l’homme n’est pas connue. En cas d’intoxication, il se produit des obnubilations, allant jusqu’à un coma, et des convulsions tonico-cloniques peuvent être déclenchées à la suite d’une baisse du seuil de convulsion. Peuvent apparaître une chute de la tension artérielle, des tachycardies, des arythmies ventriculaires, une hyperthermie et finalement une paralysie respiratoire et, en conséquence, un arrêt cardiaque.
-Le traitement est, pour l’essentiel, symptomatique et adjuvant. Des lavages gastriques, effectués au moment opportun, et des lavements purgatifs peuvent s’avérer utiles. Les antiémétiques à action centrale sont antagonisés par l’effet antiémétique de la Prazine. Les expériences avec la dialyse indiquent que celle-ci n’est pas utile.
-Propriétés / Effets
-Code ATC: N05AA03
-Mécanisme d’action / Pharmacocinétique
-La promazine est un neuroleptique du groupe des phénothiazines possédant les propriétés pharmacologiques caractéristiques de celles-ci. On leur attribue une action antipsychotique par le blocage des récepteurs postsynaptiques dopaminergiques situés dans le cerveau, une action antiémétique par l’inhibition des chémorécepteurs se trouvant à l’intérieur de la zone détente médullaire et une action sédative par une réduction indirecte de la stimulation du système réticulé. Comme d’autres phénothiazines, la promazine peut entraîner une prolongation de l’intervalle QT dose-dépendante.
- +La dose létale de Prazine chez l'homme n'est pas connue. En cas d'intoxication, il se produit des obnubilations, allant jusqu'à un coma, et des convulsions tonico-cloniques peuvent être déclenchées à la suite d'une baisse du seuil de convulsion. Peuvent apparaître une chute de la tension artérielle, des tachycardies, des arythmies ventriculaires, une hyperthermie et finalement une paralysie respiratoire et un arrêt cardiaque.
- +Le traitement est, pour l'essentiel, symptomatique et adjuvant. Des lavages gastriques, effectués au moment opportun, et des lavements purgatifs peuvent s'avérer utiles. Les antiémétiques à action centrale sont antagonisés par l'effet antiémétique de Prazine. Les expériences avec la dialyse indiquent que celle-ci n'est pas utile.
- +Propriétés/Effets
- +Code ATC
- +N05AA03
- +Mécanisme d'action / Pharmacodynamique
- +Prazine est un neuroleptique du groupe des phénothiazines possédant les propriétés pharmacologiques caractéristiques de celui-ci.
- +On attribue aux phénothiazines une action antipsychotique par le blocage des récepteurs postsynaptiques dopaminergiques situés dans le cerveau, une action antiémétique par l'inhibition des chémorécepteurs se trouvant à l'intérieur de la zone détente médullaire et une action sédative par une réduction indirecte de la stimulation du système réticulé.
- +Comme d'autres phénothiazines, la promazine peut entraîner une prolongation de l'intervalle QT dose-dépendante.
- +Efficacité clinique
- +Aucune donnée disponible.
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-Les phénothiazines administrées par voie orale sont bien absorbées. Après l’administration orale d’une dose unique de 50 mg de promazine, les concentrations plasmatiques maximales moyennes de 14,33 ng/ml sont atteintes au bout de 3,9 heures. Après l’administration répétée de doses orales de 100 mg, l’état d’équilibre est atteint dans un délai de 12 jours; aucune accumulation n’a été enregistrée après cette période.
- +Les phénothiazines administrées par voie orale sont bien absorbées. Après l'administration orale d'une dose unique de 50 mg de promazine, les concentrations plasmatiques maximales moyennes de 14,33 ng/ml sont atteintes au bout de 3,9 heures. Après l'administration répétée de doses orales de 100 mg, l'état d'équilibre est atteint dans un délai de 12 jours; aucune accumulation n'a été enregistrée après cette période.
-La promazine est bien distribuée dans les tissus corporels et se fixe, à haut degré, aux protéines plasmatiques (90–95 %).
- +La promazine est bien distribuée dans les tissus corporels et se fixe, à haut degré, aux protéines plasmatiques (90 à 95 %).
-Les phénothiazines sont métabolisées dans une large mesure au premier passage, ceci se traduisant en général par de faibles concentrations plasmatiques du principe actif inchangé. Le processus métabolique varie fortement d’un patient à l’autre et un grand nombre de métabolites peut être mis en évidence. La promazine est métabolisée dans une large mesure.
-Elimination
-La demi-vie d’élimination est de 2–35 heures. Environ 33 % du principe actif administré sont éliminés dans les urines sous la forme de 26–30 métabolites, dont la plupart sont des glucuronides ou des sulfates éthérés des dérivés phénoliques. La quantité restante de principe actif administré est excrétée par voie fécale.
- +Les phénothiazines sont métabolisées dans une large mesure au premier passage, ceci se traduisant en général par de faibles concentrations plasmatiques du principe actif inchangé. Le processus métabolique varie fortement d'un patient à l'autre et un grand nombre de métabolites peut être mis en évidence. La promazine est métabolisée dans une large mesure.
- +Élimination
- +La demi-vie d'élimination est de 2 à 35 heures. Environ 33 % du principe actif administré sont éliminés dans les urines sous la forme de 26 à 30 métabolites, dont la plupart sont des glucuronides ou des sulfates éthérés des dérivés phénoliques. La quantité restante de principe actif administré est excrétée par voie fécale.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Aucune donnée disponible.
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-Il n’existe pas de données précliniques significatives concernant l’administration.
- +Il n'existe pas de données précliniques significatives concernant l'administration.
-Chez les patients maintenus sous phénothiazines, les tests de la fonction hépatique peuvent subir des changements, même sans lésion hépatique décelable sur le plan clinique. Des diagnostics biologiques de grossesse ayant fourni des résultats faussement positifs ont été rapportés ; ceux-ci sont cependant très rares lorsqu’on procède à un test sérique.
-Conservation
-Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l’emballage avec la mention «EXP».
-Indications particulières concernant la conservation
-Conserver à température ambiante (15–25 °C).
- +Influence sur les méthodes de diagnostic
- +Chez les patients maintenus sous phénothiazines, les tests de la fonction hépatique peuvent subir des changements, même sans lésion hépatique décelable sur le plan clinique. Des diagnostics biologiques de grossesse ayant fourni des résultats faussement positifs ont été rapportés; ceux-ci sont cependant très rares lorsqu'on procède à un test sérique.
- +Stabilité
- +Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à température ambiante (15-25°C). Conserver hors de portée des enfants.
-23527 (Swissmedic).
- +23527 (Swissmedic)
-Dragées de Prazine 25 mg, 50 mg et 100 mg, à 50 dragées [B]
- +Récipients de 50 dragées de Prazine à 25 mg, 50 mg et 100 mg [B]
-Novembre 2013.
-FI_Prazine/05.14
- +Juin 2023
- +FI_Prazine/03.24
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