50 Changements de l'information professionelle Solu-Cortef 100 mg |
-Traitement systémique pour aider le patient à surmonter la phase critique d'une maladie, telle que: colite ulcéreuse, entérite régionale (Maladie de Crohn).
- +Traitement systémique pour aider le patient à surmonter la phase critique d'une maladie, telle que: colite ulcéreuse, maladie de Crohn.
-Anémie hémolytique (autoimmune) acquise, purpura thrombopénique idiopathique chez les adultes (uniquement par voie i.v.; l'application i.m. est contre indiquée), érythroblastopénie (anémie érythrocytaire), anémie hypoplastique (érythroïde) congénitale, thrombopénie secondaire chez les adultes.
- +Anémie hémolytique (autoimmune) acquise, purpura thrombopénique idiopathique chez les adultes (uniquement par voie i.v.; l'application i.m. est contre indiquée), érythroblastopénie (pure red cell aplasia), anémie hypoplastique (érythroïde) congénitale, thrombopénie secondaire chez les adultes.
-La dose la plus faible possible de corticostéroïde doit être utilisée pour contrôler l'état sous traitement pendant la période minimale nécessaire. La dose d'entretien appropriée doit être déterminée en réduisant la dose initiale par petites étapes à des intervalles appropriés jusqu'à ce que la dose la plus faible permettant le maintien d'une réponse clinique adéquate soit atteinte.
-Pour réduire les effets indésirables, la posologie sera diminuée et le passage à un traitement par glucocorticoïdes par voie orale sera instauré dès que l'état du patient le permet. Afin d'éviter une détérioration aiguë de l'affection et une insuffisance corticosurrénalienne, on prendra soin de réduire la posologie progressivement lorsque la durée du traitement aura dépassé quelques jours (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La dose la plus faible possible de corticostéroïde doit être utilisée pendant la période la plus courte possible qui soit suffisante pour contrôler l'état sous traitement. La dose d'entretien appropriée doit être déterminée en réduisant la dose initiale par petites étapes à des intervalles appropriés jusqu'à ce que la dose la plus faible permettant le maintien d'une réponse clinique adéquate soit atteinte.
- +Pour réduire les effets indésirables, la posologie sera diminuée et le passage à un traitement par glucocorticoïdes par voie orale sera instauré dès que l'état du patient le permet. Afin d'éviter une détérioration aiguë de l'affection et une insuffisance corticosurrénalienne, on prendra soin de réduire la dose progressivement lorsque la durée du traitement aura dépassé quelques jours (voir «Mises en garde et précautions»).
-La dose intrathécale s'élève à 15 mg/m2 de surface corporelle de succinate sodique d'hydrocortisone, 30 mg/m2 de cytarabine, et elle est déterminée en fonction de l'âge pour le méthotrexate (<1 an: 6 mg, ≥1 an: 8 mg, ≥2 ans: 10 mg, ≥3 ans: 12 mg, ≥9 ans: 15 mg, voir aussi l'information professionnelle sur le méthotrexate). La dose unique maximale absolue de méthotrexate, administrée par voie intrathécale, s'élève à 15 mg.
-Solu-Cortef est injecté lentement par voie intrathécale après la reconstitution.
- +La dose intrathécale s'élève à 15 mg/m2 de surface corporelle de succinate sodique d'hydrocortisone. Pour les autres médicaments faisant partie du schéma de chimiothérapie, il convient de consulter l'information professionnelle se rapportant à chaque préparation.
- +Solu-Cortef doit être injecté lentement par voie intrathécale après la reconstitution.
-Le métabolisme de l'hydrocortisone étant ralenti chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ou une hypothyroïdie, son effet peut être augmenté. Une adaptation posologique appropriée peut s'avérer nécessaire.
- +Le métabolisme de l'hydrocortisone étant ralenti chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ou une hypothyroïdie, son effet peut être augmenté. Une réduction posologique appropriée peut s'avérer nécessaire (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
-·Hypersensibilité connue à la substance active ou à l'un des excipients selon la «Composition».
- +·L'administration de vaccins vivants ou de vaccins vivants atténués est contre-indiquée chez les personnes recevant des doses immunosuppressives de corticostéroïdes.
- +·Hypersensibilité connue à la substance active ou à l'un des excipients selon la «Composition».
-Les dosages pharmacologiques de corticostéroïdes, qui sont appliqués sur une période prolongée (>2 semaines), peuvent conduire à une suppression de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) (insuffisance surrénalienne secondaire). L'étendue et la durée d'une insuffisance adrénocorticale varient de patient à patient et dépend de la dose, de la fréquence, du moment de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes. Cet effet peut être réduit par une thérapie alternée.
- +Les dosages pharmacologiques de corticostéroïdes, qui sont appliqués sur une période prolongée (>2 semaines), peuvent conduire à une suppression de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénal (insuffisance surrénalienne secondaire). L'étendue et la durée d'une insuffisance adrénocorticale varient de patient à patient et dépend de la dose, de la fréquence, du moment de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes. Cet effet peut être réduit par une thérapie alternée.
-Les corticostéroïdes peuvent augmenter la sensibilité aux infections ainsi que masquer les symptômes d'une infection. Ainsi la résistance vis-à-vis du pathogène peut être diminuée en cas d'utilisation de corticostéroïdes et la localisation de l'infection peut être rendue difficile. De telles infections peuvent être légères, mais également évoluer de façon sévère et parfois avoir une issue fatale. Le taux de complications infectieuses augmente avec les doses de corticostéroïdes. En cas de maladies infectieuses sévères, il faut veiller à une protection antibiotique ou chimiothérapeutique suffisante.
- +Les corticostéroïdes peuvent augmenter la sensibilité aux infections ainsi que masquer les symptômes d'une infection. Ainsi la résistance vis-à-vis du pathogène peut être réduite en cas d'utilisation de corticostéroïdes et la localisation de l'infection peut être rendue difficile. De telles infections peuvent être légères, mais également évoluer de façon sévère et parfois avoir une issue fatale. Le taux de complications infectieuses augmente avec les doses de corticostéroïdes. En cas de maladies infectieuses sévères, il faut veiller à une protection antibiotique ou chimiothérapeutique suffisante.
-L'importance des corticostéroïdes dans le traitement de chocs septiques est controversée. L'utilisation routinière en cas de choc septique n'est pas recommandée.
-Les corticostéroïdes peuvent aggraver les mycoses systémiques. C'est pourquoi ils ne doivent être administrés qu'en cas d'urgence pour maîtriser les réactions indésirables suite à un traitement par l'amphotéricine B. De plus, des cas de dilatation cardiaque et d'insuffisance cardiaque congestive après administration simultanée d'amphotéricine B et d'hydrocortisone ont été rapportés.
- +Les corticostéroïdes peuvent aggraver les mycoses systémiques. C'est pourquoi ils ne doivent être administrés qu'en cas d'urgence pour maîtriser les réactions indésirables suite à un traitement par l'amphotéricine B. De plus, il existe des cas connus d'hypokaliémie accompagnée, chez certains patients, de dilatation cardiaque et d'insuffisance cardiaque congestive après administration simultanée d'amphotéricine B et d'hydrocortisone (voir «Interactions»).
- +L'importance des corticostéroïdes dans le traitement de chocs septiques est controversée. L'utilisation routinière en cas de choc septique n'est pas recommandée.
-Les effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent augmenter le risque de complications cardiovasculaires chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire préexistants et qui reçoivent des doses plus élevées durant une période plus longue. Par conséquent, les corticostéroïdes doivent uniquement être utilisés avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients ayant subi un infarctus du myocarde récent.
-Le cas échéant, une modification du risque est à envisager et/ou un monitorage cardiaque complémentaire est à effectuer. Un dosage peu élevé et/ou une thérapie alternative peut réduire la fréquence des complications du traitement par des corticostéroïdes.
- +Les effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent augmenter le risque de complications cardiovasculaires chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire préexistants et qui reçoivent des doses plus élevées durant une période plus longue. Par conséquent, les corticostéroïdes doivent uniquement être utilisés avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients ayant subi un infarctus du myocarde récent.Le cas échéant, une modification du risque est à envisager et/ou un monitorage cardiaque complémentaire est à effectuer. Un dosage peu élevé et/ou une thérapie alternative peuvent réduire la fréquence des complications du traitement par des corticostéroïdes.
-Effets sur le psychisme
-Des troubles psychiques potentiellement graves peuvent apparaître sous traitement par des corticostéroïdes. Ceux-ci peuvent aller de l'euphorie jusqu'à des dépressions graves ou des psychoses manifestes, en passant par de l'insomnie et des changements d'humeur et de la personnalité. Des troubles affectifs déjà existants ainsi qu'une tendance à la psychose peuvent s'aggraver à cause des effets des corticoïdes.
-Les symptômes apparaissent généralement dans les jours ou les semaines suivant le début du traitement.
-La plupart des réactions disparaissent après réduction de la dose ou arrêt du traitement; malgré cela, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiques ont également été rapportés après l'arrêt de la prise de corticostéroïdes.
-Les patients et les proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiques pendant le traitement, durant ou après la réduction progressive de la dose/l'arrêt du traitement, en particulier en cas de suspicion d'humeur dépressive ou d'intentions suicidaires.
-Effets gastro-intestinaux indésirables
-Un traitement à base de glucocorticoïdes peut masquer les symptômes d'affections gastro-intestinales, si bien que des complications, telles que des hémorragies, une obstruction, une perforation et/ou une péritonite, peuvent survenir de manière inaperçue (c'est-à-dire sans symptomatologie douloureuse importante). Les corticostéroïdes doivent donc être utilisés uniquement avec prudence chez les patients présentant des affections telles que diverticulite, anastomoses intestinales récentes ou ulcères gastroduodénaux (actifs ou latents). Cette prudence s'impose également chez les patients atteints de colite ulcéreuse, en présence d'un risque de perforation imminente, d'abcès ou d'autres infections pyogènes.
-De plus, des cas de réapparition d'ulcères gastroduodénaux ont été rapportés sous corticothérapie. On ignore cependant s'il existe un lien de cause à effet entre la corticothérapie et les ulcères. Il existe un risque accru d'ulcère gastroduodénal en association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
-Des doses élevées de corticostéroïdes peuvent déclencher une pancréatite aiguë.
- +Effets sur le psychisme
- +Des troubles psychiques potentiellement graves peuvent apparaître sous traitement par des corticostéroïdes. Ceux-ci peuvent aller de l'euphorie jusqu'à des dépressions sévères ou des psychoses manifestes, en passant par des insomnies et des changements d'humeur et de la personnalité. Des troubles affectifs déjà existants, ainsi qu'une tendance à la psychose peuvent s'aggraver à cause des effets des corticoïdes. Les symptômes apparaissent généralement dans les jours ou les semaines suivant le début du traitement.
- +La plupart des réactions disparaissent après réduction de la dose ou arrêt du traitement; malgré cela, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiques ont également été rapportés après l'arrêt de la prise de corticostéroïdes.
- +Les patients et les proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiques pendant le traitement, durant ou après la réduction progressive de la dose/l'arrêt du traitement, en particulier en cas de suspicion d'humeur dépressive ou d'intentions suicidaires.
- +Syndrome de lyse tumorale (SLT)
- +Au cours de la surveillance du marché, un syndrome de lyse tumorale a été rapporté chez des patients atteints de tumeurs malignes (en particulier de tumeurs hématologiques malignes, mais aussi de tumeurs solides) après l'utilisation de corticostéroïdes systémiques en monothérapie ou en association avec une chimiothérapie. Il s'agit d'un état susceptible de menacer le pronostic vital pouvant survenir consécutivement à une désintégration rapide des cellules tumorales. Le SLT peut être accompagné d'une augmentation de l'acide urique, du potassium et du phosphate dans le sérum, ainsi que d'une baisse du calcium sérique. La fonction rénale peut ensuite être perturbée et se dégrader jusqu'à la survenue d'une insuffisance rénale aiguë. Les facteurs de risque sont les tumeurs dont la charge tumorale et/ou le taux de prolifération sont élevés, ainsi qu'une réponse rapide à un traitement cytotoxique.
- +Sous traitement par corticostéroïdes, les patients présentant un risque élevé de SLT doivent donc être étroitement surveillés et des mesures prophylactiques appropriées doivent être prises.
- +Des cas de SLT représentant la première manifestation d'une tumeur maligne jusqu'alors inconnue ont également été rapportés.
-Système hépatobiliaire
-Des troubles hépatobiliaires ont été rapportés. Ceux-ci peuvent être réversibles après l'arrêt du traitement. Une surveillance appropriée est nécessaire.
-Le métabolisme et l'élimination de l'hydrocortisone sont significativement réduits chez les patients présentant des affections hépatiques préexistantes. Les effets souhaités et les effets indésirables peuvent donc être renforcés chez ces patients.
-Interactions notables
-Une toxicité stéroïdienne accrue pouvant aller jusqu'à des cas de syndrome de Cushing a été rapportée lors de l'administration simultanée de corticostéroïdes et de cobicistat, un inhibiteur puissant du CYP3A et inhibiteur de plusieurs protéines de transport utilisé dans le traitement des infections par le VIH. Par conséquent, Solu-Cortef ne doit être utilisé en association avec du cobicistat qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque. Dans ce cas, il convient de surveiller attentivement l'apparition éventuelle d'effets indésirables dus aux stéroïdes chez le patient. Si possible, l'utilisation d'un autre stéroïde dont le métabolisme est indépendant du CYP3A doit être envisagée.
-L'utilisation d'hydrocortisone avec d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 requiert également une prudence particulière. La dose de stéroïdes doit, le cas échéant, être adaptée.
- +Effets gastro-intestinaux indésirables
- +Un traitement à base de glucocorticoïdes peut masquer les symptômes d'affections gastro-intestinales, si bien que des complications, telles que des hémorragies, une obstruction, une perforation et/ou une péritonite, peuvent survenir de manière inaperçue (c'est-à-dire sans symptomatologie douloureuse importante). Les corticostéroïdes doivent donc être utilisés uniquement avec prudence chez les patients présentant des affections telles que diverticulite, anastomoses intestinales récentes ou ulcères gastroduodénaux (actifs ou latents). Cette prudence s'impose également chez les patients atteints de colite ulcéreuse, en présence d'un risque de perforation imminente, d'abcès ou d'autres infections pyogènes.
- +De plus, des cas de réapparition d'ulcères gastroduodénaux ont été rapportés sous corticothérapie. On ignore cependant s'il existe un lien de cause à effet entre la corticothérapie et les ulcères. Il existe un risque accru d'ulcère gastroduodénal en association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
- +Des doses élevées de corticostéroïdes peuvent déclencher une pancréatite aiguë.
- +Effets hépatobiliaires
- +Des troubles hépatobiliaires ont été rapportés. Ceux-ci peuvent être réversibles après l'arrêt du traitement. Une surveillance appropriée est nécessaire.
- +Patients présentant une insuffisance hépatique
- +Le métabolisme et l'élimination de l'hydrocortisone sont significativement réduits chez les patients présentant des affections hépatiques préexistantes et une insuffisance hépatique sévère. Les effets souhaités et les effets indésirables peuvent donc être renforcés chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
-Autres précautions
-·Métabolisme: les corticostéroïdes peuvent augmenter le taux de glucose dans le sang, aggraver un diabète existant et, en cas de thérapie à long terme, augmenter le risque d'un diabète.
- +Interactions notables
- +Une toxicité stéroïdienne accrue pouvant aller jusqu'à des cas de syndrome de Cushing a été rapportée lors de l'administration simultanée de corticostéroïdes et de cobicistat, un inhibiteur puissant du CYP3A et inhibiteur de plusieurs protéines de transport utilisé dans le traitement des infections par le VIH. Par conséquent, Solu-Cortef ne doit être utilisé en association avec du cobicistat qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque. Dans ce cas, il convient de surveiller attentivement l'apparition éventuelle d'effets indésirables dus aux stéroïdes chez le patient. Si possible, l'utilisation d'un autre stéroïde dont le métabolisme est indépendant du CYP3A doit être envisagée.
- +L'utilisation d'hydrocortisone avec d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 requiert également une prudence particulière (voir «Interactions»). La dose de stéroïdes doit, le cas échéant, être adaptée.
- +Autres mises en garde et précautions
- +·Métabolisme du glucose: les corticostéroïdes peuvent augmenter le taux de glucose dans le sang, aggraver un diabète existant et, en cas de thérapie à long terme, augmenter le risque d'un diabète.
-·Traitement simultané avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'administration d'acide acétylsalycilique et d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens simultanément aux corticostéroïdes doit être envisagée avec prudence. Elle est également particulièrement de rigueur en cas d'hypoprothrombinémie lors de l'administration d'acide acétylsalycilique.
-·Autres affections: la prudence est également de rigueur en cas d'abcès ou d'autres infections pyogènes ainsi qu'en cas de migraine dans l'anamnèse.
-L'apparition de sarcomes de Kaposi a été rapportée chez les patients sous corticothérapie. L'arrêt de la corticothérapie peut entraîner la rémission clinique.
- +·Traitement simultané avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'administration d'acide acétylsalycilique et d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens simultanément aux corticostéroïdes doit être envisagée avec prudence. Elle est également particulièrement de rigueur en cas d'hypoprothrombinémie lors de l'administration d'acide acétylsalycilique.
- +·Sarcome de Kaposi: l'apparition de sarcomes de Kaposi a été rapportée chez les patients sous corticothérapie. L'arrêt de la corticothérapie peut entraîner la rémission clinique.
- +·Autres affections: la prudence est également de rigueur en cas d'abcès ou d'autres infections pyogènes, de diverticulite, d'anastomoses intestinales récentes et de cirrhose du foie ainsi qu'en cas de migraine dans l'anamnèse.
- +Excipients revêtant un intérêt particulier
-Inhibiteurs enzymatiques: en cas d'utilisation simultanée d'inhibiteurs modérés à puissants du CYP3A4 (par ex. les antifongiques azolés, les macrolides, le cobicistat, les inhibiteurs de la protéase du VIH, le diltiazem, l'isoniazide, le vérapamil), la métabolisation de l'hydrocortisone est ralentie et tant l'efficacité que les effets indésirables peuvent s'en trouver renforcés. Une réduction de la dose d'hydrocortisone peut être obligatoire pour éviter une toxicité stéroïdienne. Le jus de pamplemousse constitue également un inhibiteur du CYP3A4.
- +Inhibiteurs enzymatiques: en cas d'utilisation simultanée d'inhibiteurs modérés à puissants du CYP3A4 (par ex. les antifongiques azolés, les macrolides, le cobicistat, les inhibiteurs de la protéase du VIH, le diltiazem, l'isoniazide, le vérapamil, mais aussi le jus de pamplemousse), la métabolisation de l'hydrocortisone est ralentie et tant l'efficacité que les effets souhaités comme indésirables peuvent s'en trouver renforcés. Une réduction de la dose d'hydrocortisone peut être obligatoire pour éviter une toxicité stéroïdienne.
-L'utilisation concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (par ex. cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant) peut également influencer la clairance hépatique de l'hydrocortisone et nécessiter une adaptation posologique.
- +Substrats du CYP3A4: l'utilisation concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (par ex. cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant) peut également influencer la clairance hépatique de l'hydrocortisone et nécessiter une adaptation posologique.
- +En cas d'administration simultanée d'hydrocortisone et de ciclosporine, le métabolisme est réciproquement inhibé. Par conséquent, des effets indésirables des deux substances peuvent apparaître renforcés. En particulier, une augmentation des cas de convulsions a été observée en cas d'administration simultanée d'hydrocortisone et de ciclosporine.
- +
-En cas de prise simultanée d'hydrocortisone et de ciclosporine, le métabolisme est réciproquement inhibé. Par conséquent, des effets indésirables des deux substances peuvent apparaître renforcées. En particulier, une augmentation des cas de convulsions a été observée en cas de prise simultanée d'hydrocortisone et de ciclosporine.
- +Les glucocorticoïdes peuvent à la fois induire et inhiber le CYP3A4 et, par conséquent, augmenter ou réduire les concentrations plasmatiques d'autres substrats du CYP3A4.
- +Les glucocorticoïdes peuvent induire le métabolisme des inhibiteurs de la protéase du VIH et ainsi entraîner une réduction de leurs taux plasmatiques.
-Inhibiteurs de la cholinestérase: les stéroïdes peuvent diminuer l'effet des inhibiteurs de la cholinestérase en cas de myasthénie grave.
- +Inhibiteurs de la cholinestérase: les stéroïdes peuvent diminuer l'effet des inhibiteurs de la cholinestérase en cas de myasthénie grave. Une crise de myasthénie peut donc survenir en cas d'utilisation simultanée d'hydrocortisone et d'inhibiteurs de la cholinestérase tels que la néostigmine ou la pyridostigmine.
-Antidiabétiques: en raison de l'effet diabétogène des glucocorticoïdes, les taux de glucose doivent être surveillés chez les diabétiques. Le cas échéant, le dosage des antidiabétiques doit être adapté.
- +Antidiabétiques: en raison de l'effet diabétogène des glucocorticoïdes, les taux de glucose doivent être surveillés en cas d'administration concomitante d'insuline ou d'antidiabétiques. Le cas échéant, le dosage des antidiabétiques doit être adapté.
-Les nouveau-nés dont les mères ont reçu des doses élevées de stéroïdes pendant la grossesse doivent faire l'objet d'une observation attentive et les signes d'une insuffisance surrénalienne doivent être surveillés. Un traitement substitutif à diminuer progressivement sera éventuellement instauré.
-On ignore les effets des corticostéroïdes sur le déroulement de l'accouchement.
- +Les nouveau-nés dont la mère a reçu des doses élevées de stéroïdes pendant la grossesse doivent faire l'objet d'une observation attentive pour détecter les signes d'une insuffisance corticosurrénalienne. Un traitement substitutif à diminuer progressivement sera éventuellement instauré. Cependant, une insuffisance corticosurrénalienne cliniquement significative semble être rare chez les nouveau-nés exposés aux corticostéroïdes in utero.
-Enfants et adolescents
- +Sécurité chez les patients pédiatriques
-Efficacité clinique
-La dose d'équivalence relative de l'hydrocortisone en comparaison aux autres glucocorticoïdes est: 30 mg d'hydrocortisone = 35 mg de cortisone = 7.5 mg de prednisone ou prednisolone = 6 mg de triamcinolone ou méthylprednisolone = 1 mg de dexaméthasone.
- +La dose d'équivalence relative de l'hydrocortisone en comparaison des autres glucocorticoïdes est: 30 mg d'hydrocortisone = 35 mg de cortisone = 7.5 mg de prednisone ou prednisolone = 6 mg de triamcinolone ou méthylprednisolone = 1 mg de dexaméthasone.
- +Efficacité clinique
- +Aucune donnée.
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-En cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de l'hydrocortisone est retardée de sorte que des effets souhaités et indésirables peuvent être renforcés.
- +En cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de l'hydrocortisone est retardée (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
-Avril 2022.
-LLD V036
- +Octobre 2023.
- +LLD V040
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