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Accueil - Information professionnelle sur Duphaston - Changements - 24.05.2022
40 Changements de l'information professionelle Duphaston
  • -Principe actif: Dydrogestérone.
  • -Excipients: Lactose monohydraté 111.1mg, hypromellose (E464), amidon de maïs, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium, macrogol 400, dioxyde de titane (E171).
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimé pelliculé à 10 mg de dydrogestérone.
  • +Principes actifs
  • +Dydrogestérone.
  • +Excipients
  • +Lactose monohydraté 111.1 mg, hypromellose (E464), amidon de maïs, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium, macrogol 400, dioxyde de titane (E171).
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • +Instructions posologiques particulières
  • -·Troubles aigus thrombophlébitiques ou thromboemboliques veineux ou artériels;
  • -·Grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»);
  • +·Maladies thromboemboliques veineuses ou artérielles aiguës;
  • +·Grossesse (voir «Grossesse, Allaitement»);
  • +En cas d'administration de Duphaston en association avec des œstrogènes, il faut également tenir compte des contre-indications de la préparation œstrogénique concernée.
  • +
  • -Tout traitement hormonal doit être précédé d'un examen de l'état clinique général et d'un examen gynécologique approfondi, à répéter au moins une fois par an. Dans ce cadre, l'anamnèse individuelle et familiale doit également être prise en compte. Le rapport avantages-risques doit être évalué soigneusement avant chaque traitement, pour chaque patiente individuelle. En particulier dans le cas d'un traitement hormonal substitutif, il faut toujours choisir la plus faible dose efficace et la plus courte durée de traitement possible.
  • +Tout traitement hormonal doit être précédé d'un examen de l'état clinique général et d'un examen gynécologique approfondi, à répéter au moins une fois par an. Dans ce cadre, l'anamnèse individuelle et familiale doit également être prise en compte. Le rapport bénéfice-risque doit être évalué soigneusement avant chaque traitement, pour chaque patiente individuelle. En particulier dans le cas d'un traitement hormonal substitutif, il faut toujours choisir la plus faible dose efficace et la plus courte durée de traitement possible.
  • -Les patientes doivent être surveillées étroitement si elles présentent ou ont présenté par le passé l'une des conditions ou maladies ci-dessous ou si celles-ci ont empiré lors d'une grossesse ou d'un traitement hormonal par le passé. Vu que ces conditions ou maladies peuvent réapparaître ou se détériorer à nouveau sous Duphaston, on envisagera un arrêt du traitement dans les cas suivants:
  • +La patiente doit être surveillée étroitement si elle présente ou a présenté par le passé l'une des conditions ou maladies ci-dessous ou si celles-ci ont empiré lors d'une grossesse ou d'un traitement hormonal par le passé. Vu que ces conditions ou maladies peuvent réapparaître ou se détériorer à nouveau sous Duphaston, on envisagera un arrêt du traitement dans les cas suivants:
  • -Pour le traitement des symptômes postménopausiques, un THS ne doit être commencé que si les symptômes affectent la qualité de vie. Il faut en tout cas procéder au moins une fois par an à une évaluation soigneuse des avantages et des risques et ne poursuivre le THS que tant que les avantages prédominent par rapport aux risques.
  • -Dans le cas d'une aggravation ou première survenue des maladies ou facteurs de risque suivants, le rapport avantages-risques individuel doit être vérifié et le traitement doit éventuellement être arrêté en conséquence.
  • +Pour le traitement des symptômes postménopausiques, un THS ne doit être commencé que si les symptômes affectent la qualité de vie. Il faut en tout cas procéder au moins une fois par an à une évaluation soigneuse des bénéfices et des risques et ne poursuivre le THS que tant que les bénéfices prédominent par rapport aux risques.
  • +Dans le cas d'une aggravation ou première survenue des maladies ou facteurs de risque suivants, le rapport bénéfice-risque individuel doit être vérifié et le traitement doit éventuellement être arrêté en conséquence.
  • -Chez les femmes dont l'utérus est intact, la prise prolongée d'œstrogènes est associée à un risque de développer une hyperplasie ou un carcinome de l'endomètre.
  • -L'utilisation adjuvante d'un progestatif comme la dydrogestérone pendant au moins 12 jours par mois/par cycle de 28 jours peut réduire l'excès de risque associé à un THS par œstrogène seul.
  • +Chez les femmes non hystérectomisées, la prise prolongée d'œstrogènes est associée à un risque de développer une hyperplasie ou un carcinome de l'endomètre.
  • +L'utilisation adjuvante d'un progestatif comme la dydrogestérone pendant au moins 12 jours par mois/par cycle de 28 jours peut réduire le risque associé à un THS par œstrogène seul.
  • -Des études randomisées et contrôlées ainsi que des études épidémiologiques ont révélé un risque accru de cancer du sein chez les femmes ayant suivi un traitement hormonal substitutif (THS) pendant plusieurs années. Toutes les femmes recevant un THS doivent se soumettre à un examen des seins par le médecin avant le début du THS et une fois par an par la suite, et pratiquer l'auto-examen des seins une fois par mois. Les patientes doivent être instruites des modifications des seins qu'elles doivent signaler au médecin ou à leur professionnel de la santé. Selon l'âge de la patiente et les facteurs de risque présents, un recours complémentaire à l'imagerie médicale (p.ex. mammographie) peut être indiqué.
  • -Une méta-analyse de 51 études épidémiologiques a montré que le risque de développer un cancer du sein augmente avec la durée du THS et baisse après l'arrêt du THS. Le risque relatif de développer un cancer du sein était de 1,35 (IC à 95%: 1,21 à 1,49) chez les femmes ayant suivi un THS pendant 5 ans ou plus longtemps.
  • -L'étude WHI (Women's Health Initiative), une grande étude prospective randomisée, contrôlée contre placebo, a constaté qu'un THS œstro-progestatif composé d'œstrogènes conjugués et de MPA était associé à une survenue accrue de cancers du sein dans le groupe sous traitement œstro-progestatif versus placebo au bout d'une durée de traitement moyenne de 5,6 ans (risque relatif: 1,24 [IC à 95%: 1,02 à 1,50]). On ignore si un risque comparable existe pour d'autres préparations œstro-progestatives pour le THS. Le risque n'était toutefois pas accru sous œstrogène seul (risque relatif de 0,77 [IC à 95%: 0,59 à 1,01]).
  • -La Million Woman Study, une étude de cohortes non randomisée, a recruté 1'084'110 femmes. L'âge moyen des participantes était de 55,9 ans lors de leur inclusion à l'étude. La moitié d'entre elles a reçu un THS avant et/ou au début de l'étude, tandis que l'autre moitié n'a jamais reçu de THS. 9364 cas de cancer du sein invasif et 637 décès dus au cancer du sein ont été enregistrés après une durée d'observation de 2,6 et de 4,1 ans. Les femmes qui étaient sous THS lors de leur inclusion à l'étude avaient un risque plus élevé de morbidité (1,66 [IC à 95%: 1,58 à 1,75]) – et éventuellement en plus faible mesure un risque plus élevé de mortalité due au cancer du sein (1,22 [IC à 95%: 1,00 à 1,48]) – que les femmes n'ayant jamais reçu un tel traitement. Le risque le plus élevé a été constaté sous traitement œstro-progestatif (2,00 [IC à 95%: 1,88 à 2,12]). Le risque relatif associé à un traitement par un œstrogène seul était de 1,30 (IC à 95%: 1,21 à 1,40). Les résultats étaient similaires sous différents œstrogènes et progestatifs, avec différents dosages et voies d'administration et différents régimes d'administration (continu ou séquentiel). Pour tous les types de THS, le risque augmentait avec la durée d'utilisation. Le risque régressait par contre après l'arrêt du traitement (dernière dose remontant à >5 ans: risque relatif de 1,04 [IC à 95%: 0,95 à 1,12]).
  • -Un THS accroît la densité des clichés mammographiques, ce qui peut affecter dans certains cas la détection radiologique de cancers du sein.
  • +Des études randomisées et contrôlées ainsi que des études épidémiologiques ont révélé un risque accru de cancer du sein chez les femmes ayant suivi un traitement hormonal substitutif (THS) pendant plusieurs années. Le risque est particulièrement accru lors d'une durée d'utilisation de plus de 5 ans. Dans une métaanalyse d'études épidémiologiques, le risque relatif chez les femmes ayant utilisé un THS pendant 5 ans ou plus était de 1,35 (IC à 95%: 1,21 à 1,49). Dans certaines études, une augmentation du risque a toutefois également été observée après une durée de traitement plus courte (1 à 4 ans). En général, l'augmentation du risque était plus élevée avec un traitement combiné œstro-progestatif qu'avec une monothérapie œstrogénique.
  • +Toutes les femmes recevant un THS doivent se soumettre à un examen des seins par le médecin avant le début du THS et une fois par an par la suite, et pratiquer l'auto-examen des seins une fois par mois. Les patientes doivent être instruites des modifications des seins qu'elles doivent signaler au médecin ou à leur professionnel de la santé. Selon l'âge de la patiente et les facteurs de risque présents, un recours complémentaire à l'imagerie médicale (p.ex. mammographie) peut être indiqué.
  • +Deux larges méta-analyses d'études épidémiologiques ont montré que le risque de développer un cancer du sein augmente avec la durée du THS et baisse après l'arrêt du THS. Le temps nécessaire pour revenir au risque de base correspondant à l'âge dépend de la durée de l'utilisation antérieure du THS. Avec une durée d'utilisation de plus de 5 ans, le risque peut être augmenté pendant 10 ans ou plus après l'arrêt du traitement.
  • +L'étude WHI (Women's Health Initiative), une grande étude prospective randomisée, contrôlée contre placebo, a constaté qu'un THS œstro-progestatif composé d'œstrogènes conjugués et d'acétate de médroxyprogestérone était associé à une survenue accrue de cancers du sein dans le groupe sous traitement œstro-progestatif versus placebo au bout d'une durée de traitement moyenne de 5,6 ans (risque relatif: 1,24 [IC à 95%: 1,02 à 1,50]). On ignore si un risque comparable existe pour d'autres préparations œstro-progestatives pour le THS. Le risque n'était toutefois pas accru sous œstrogène seul (risque relatif de 0,77 [IC à 95%: 0,59 à 1,01]).
  • +La Million Woman Study, une étude de cohortes non randomisée, a recruté 1'084'110 femmes. L'âge moyen des participantes était de 55,9 ans lors de leur inclusion à l'étude. La moitié d'entre elles a reçu un THS avant et/ou au début de l'étude, tandis que l'autre moitié n'a jamais reçu de THS. 9364 cas de cancer du sein invasif et 637 décès dus au cancer du sein ont été enregistrés après une durée d'observation de 2,6 et de 4,1 ans. Les femmes qui étaient sous THS lors de leur inclusion à l'étude avaient un risque plus élevé de morbidité (1,66 [IC à 95%: 1,58 à 1,75]) – et éventuellement en plus faible mesure un risque plus élevé de mortalité due au cancer du sein (1,22 [IC à 95%: 1,00 à 1,48]) – que les femmes n'ayant jamais reçu un tel traitement. Le risque le plus élevé a été constaté sous traitement œstro-progestatif (2,00 [IC à 95%: 1,88 à 2,12]). Le risque relatif associé à un traitement par un œstrogène seul était de 1,30 (IC à 95%: 1,21 à 1,40). Les résultats étaient similaires sous différents œstrogènes et progestatifs, avec différents dosages et voies d'administration et différents régimes d'administration (continu ou séquentiel). Pour tous les types de THS, le risque augmentait avec la durée d'utilisation. Un THS accroît la densité des clichés mammographiques, ce qui peut affecter dans certains cas la détection radiologique de cancers du sein.
  • -Le THS doit immédiatement être arrêté lors d'une survenue de symptômes correspondants (p.ex. gonflement douloureux d'une jambe, apparition soudaine de douleurs thoraciques, dyspnée) ou d'une suspicion de TEV. Les patientes présentant des facteurs de risque d'événements thromboemboliques doivent être surveillées attentivement. Chez ces femmes, le rapport avantages-risques doit être évalué soigneusement et d'autres traitements doivent être envisagés, si possible. Les facteurs de risque de thromboembolies veineuses englobent une anamnèse personnelle ou familiale correspondante, l'obésité (IMC >30 kg/m2), le tabagisme, le lupus érythémateux disséminé et des maladies cancéreuses. En outre, le risque de TEV augmente avec l'âge. La signification éventuelle de varices pour les TEV reste incertaine.
  • +Le THS doit immédiatement être arrêté lors d'une survenue de symptômes correspondants (p.ex. gonflement douloureux d'une jambe, apparition soudaine de douleurs thoraciques, dyspnée) ou d'une suspicion de TEV. Les patientes présentant des facteurs de risque d'événements thromboemboliques doivent être surveillées attentivement. Chez ces femmes, le rapport bénéfice-risque doit être évalué soigneusement et d'autres traitements doivent être envisagés, si possible. Les facteurs de risque de thromboembolies veineuses englobent une anamnèse personnelle ou familiale correspondante, l'obésité (IMC >30 kg/m2), le tabagisme, le lupus érythémateux disséminé et des maladies cancéreuses. En outre, le risque de TEV augmente avec l'âge. La signification éventuelle de varices pour les TEV reste incertaine.
  • -Bien qu'on ignore dans quelle mesure ces résultats peuvent être transposés à une population plus jeune ou à des préparations de THS contenant d'autres principes actifs, ils doivent être pris en compte par le médecin lors de l'évaluation du rapport avantages-risques d'un THS.
  • +Bien qu'on ignore dans quelle mesure ces résultats peuvent être transposés à une population plus jeune ou à des préparations de THS contenant d'autres principes actifs, ils doivent être pris en compte par le médecin lors de l'évaluation du rapport bénéfice-risque d'un THS.
  • -Les risques du THS décrits ci-dessus ont été rapportés en majorité dans le cadre du traitement de femmes âgées de ≥50 ans. On ne dispose pas de données sur le degré auquel ces données d'études peuvent être applicables aux patientes qui ont une ménopause précoce (perte de la fonction ovarienne avant l'âge de 40 ans suite à des maladies endocrines/génétiques, à une ovariectomie, au traitement d'un cancer, etc.) jusqu'à ce qu'elles aient atteint l'âge normal de la ménopause. Ce groupe d'âge doit faire l'objet d'une évaluation spécifique des avantages et des risques, avec prise en compte entre autres de l'étiologie (chirurgicale versus autre) de la ménopause précoce.
  • +Les risques du THS décrits ci-dessus ont été rapportés en majorité dans le cadre du traitement de femmes âgées de ≥50 ans. On ne dispose pas de données sur le degré auquel ces données d'études peuvent être applicables aux patientes qui ont une ménopause précoce (perte de la fonction ovarienne avant l'âge de 40 ans suite à des maladies endocrines/génétiques, à une ovariectomie, au traitement d'un cancer, etc.) jusqu'à ce qu'elles aient atteint l'âge normal de la ménopause. Ce groupe d'âge doit faire l'objet d'une évaluation spécifique des bénéfices et des risques, avec prise en compte entre autres de l'étiologie (chirurgicale versus autre) de la ménopause précoce.
  • -Des données obtenues in vitro ont montré que le métabolisme conduisant à la formation du métabolite principal pharmacologiquement actif, la 20α-dihydrodydrogestérone (DHD), s'effectue essentiellement par catalyse par l'aldo-céto-réductase 1C dans le cytosol. À côté de ce métabolisme dans le cytosol, il existe aussi une métabolisation par les isoenzymes à cytochrome P450 (CYP), presque exclusivement par l'isoenzyme CYP3A4, produisant différents métabolites sans importance. Le métabolite principal actif DHD est un substrat pour la métabolisation par le CYP3A4.
  • -Par conséquent, la métabolisation de la dydrogestérone et de la DHD peut être accélérée par l'utilisation concomitante de substances dont on sait qu'elles sont des inducteurs des enzymes CYP: antiépileptiques (p.ex. phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine), anti-infectieux (p.ex. rifampicine, rifabutine, névirapine, éfavirenz) et certaines préparations à base de plantes (p.ex. millepertuis (Hypericum perforatum), sauge ou Ginkgo biloba).
  • -Bien que le ritonavir et le nelfinavir soient connus pour leurs effets inhibiteurs puissants sur les enzymes du cytochrome, ils ont également des propriétés inductrices d'enzymes lorsqu'ils sont utilisés en même temps que des hormones stéroïdiennes.
  • +Des données obtenues in vitro ont montré que le métabolisme conduisant à la formation du métabolite principal pharmacologiquement actif, la 20α-dihydrodydrogestérone (DHD), s'effectue essentiellement par catalyse par l'aldo-céto-réductase 1C dans le cytosol. À côté de ce métabolisme dans le cytosol, il existe aussi une métabolisation par les isoenzymes à cytochrome P450 (CYP), presque exclusivement par l'isoenzyme CYP3A4, produisant différents métabolites sans importance. Le métabolite principal actif DHD est un substrat du CYP3A4.
  • +Par conséquent, le métabolisme de la dydrogestérone et de la DHD peut être renforcé par l'utilisation concomitante de substances qui induisent des enzymes métabolisant les médicaments. Ces substances regroupent notamment les antiépileptiques (p.ex. phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine), les anti-infectieux (p.ex. rifampicine, rifabutine, névirapine, éfavirenz) et les préparations à base de plantes qui contiennent p.ex. du millepertuis (Hypericum perforatum), de la sauge ou du Ginkgo biloba.
  • +Bien que le ritonavir et le nelfinavir soient connus pour leurs effets inhibiteurs puissants sur les enzymes, ils ont également des propriétés inductrices d'enzymes lorsqu'ils sont utilisés en même temps que des hormones stéroïdiennes.
  • -Les inhibiteurs d'enzymes (p.ex. antifongiques azolés, macrolides) peuvent renforcer les effets de la dydrogestérone.
  • +Les inhibiteurs d'enzymes (p.ex. antifongiques azolés, macrolides) peuvent renforcer les effets désirables et indésirables de la dydrogestérone.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Code ATC: G03DB01
  • +Code ATC
  • +G03DB01
  • -Aucune donnée disponible
  • +Aucune donnée.
  • -Comme caractéristique commune, tous les métabolites décrits possèdent la configuration 4,6-dien-3-on de la substance initiale, tandis qu'une 17α-hydroxylisation ne survient pas. Cela explique la non-existence d'activité œstrogénique et androgénique de la dydrogestérone.
  • -Le risque réel d'hypospadias chez l'homme ne peut pas être déterminé par des expérimentations animales parce que les différences de métabolisation entre l'être humain et le rat sont considérables (pour les risques chez l'homme, voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Le risque réel d'hypospadias chez l'homme ne peut pas être déterminé par des expérimentations animales parce que les différences de métabolisation entre l'être humain et le rat sont considérables (pour les risques chez l'homme, voir «Grossesse, Allaitement»).
  • -Le métabolisme de la dydrogestérone n'aboutit ni à la libération de progestérone ni à la production de prégnandiol. Les dosages de progestérone plasmatique ou de prégnandiol urinaire sont donc possibles, ces investigations conservant toute leur valeur.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
  • +Ce médicament peut présenter un risque pour l'environnement aquatique. Les médicaments qui ne sont plus utilisés ne doivent pas être jetés au tout-à-l'égout ou avec les ordures ménagères.
  • +
  • -Janvier 2020
  • -[Version 106 F]
  • +Novembre 2021
  • +[Version 107 F]
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