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Accueil - Information professionnelle sur Aldomet 250 - Changements - 23.03.2017
14 Changements de l'information professionelle Aldomet 250
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients.
  • -Affections hépatiques aiguës (p.ex. hépatite) et insuffisance hépatique chronique sévère (cirrhose).
  • -Traitement simultané par des inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO).
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients.
  • +·Affections hépatiques aiguës (p.ex. hépatite) et insuffisance hépatique chronique sévère (cirrhose).
  • +·Traitement simultané par des inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO).
  • +·Tumeur sécrétant des catécholamines telle qu’un phéochromocytome ou un paragangliome.
  • +·Porphyrie.
  • +·Insuffisance cardiaque sévère.
  • +·Anémies hémolytiques.
  • +·Antécédents de dépression.
  • +Les effets indésirables suivants, répertoriés selon les classes d’organes, ont été rapportés. La fréquence doit être indiquée comme suit : « très fréquents » (≥1/10), « fréquents » (<1/10, ≥1/100), « occasionnels » (<1/100, ≥1/1000), « rares » (<1/1000, ≥1/10’000), « très rares » (<1/10'000 ou cas isolés (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +
  • -Sialoadénite.
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Rare: anémie hémolytique, thrombocytopénie, granulocytopénie, leucopénie.
  • -Dépression médullaire, éosinophilie.
  • -Troubles endocriniens
  • -Hyperprolactinémie.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Troubles psychiques, y compris cauchemars, baisse de l’attention et psychoses ou dépressions légères et réversibles.
  • -Troubles du système nerveux
  • -Parésie faciale, vertiges, céphalées, mouvements involontaires choréo-athétosiques, étourdissements, paresthésies, parkinsonisme, sédation (généralement transitoire), symptômes d’insuffisance cérébro-vasculaire (pouvant être dus à la baisse de la tension artérielle), syncopes chez les patients âgés (cf. «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • -Troubles cardiaques
  • -Aggravation de l’angine de poitrine, bradycardie, myocardite, péricardite.
  • -Troubles vasculaires
  • -Hypotension orthostatique (diminuer la dose journalière), aggravation d’un syndrome du sinus carotidien.
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • -Congestion nasale.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Colite, constipation, diarrhée, distension abdominale, légère sécheresse de la bouche, flatulence, nausées, pancréatite, glossite ou glossophytie, vomissements.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Perturbations de la fonction hépatique, ictère, hépatite, nécrose hépatique (rare).
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Eczéma, éruption psoriasiforme, nécrolyse épidermique toxique, érythème, prurit.
  • -Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Légères arthralgies avec ou sans gonflement des articulations, myalgies.
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Aménorrhée, gonflement des seins, impuissance, diminution de la libido, gynécomastie, galactorrhée.
  • -Troubles généraux
  • -Oedèmes (et prise de poids) auxquels on parvient généralement à remédier au moyen d’un diurétique (arrêter la méthyldopa en présence d’un oedème progressif ou de signes d’insuffisance cardiaque), asthénie ou faiblesse, fièvre médicamenteuse, syndrome lupoïde.
  • +Cas isolés: sialoadénite.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Rares: anémie hémolytique, thrombocytopénie, granulocytopénie, leucopénie.
  • +Dépression médullaire.
  • +Cas isolés: éosinophilie.
  • +Affections endocriniennes
  • +Très rares: Hyperprolactinémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Occasionnels: Troubles psychiques, y compris cauchemars, psychoses ou dépressions légères et réversibles.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: Vertiges, céphalées, sédation (généralement transitoire).
  • +Occasionnels: paresthésies, syncopes chez les patients âgés (voir «Instructions spéciales pour le dosage»), diminution de l’attention.
  • +Rares: parésie faciale, mouvements choréoathétosiques involontaires, parkinsonisme, symptômes de troubles de l’irrigation sanguine cérébrale (pouvant être dus à une baisse de la pression artérielle), accentuation d’une hypersensibilité sino-carotidienne.
  • +Cas isolés: obnubilation.
  • +Affections cardiaques
  • +Rares: Aggravation de l’angine de poitrine, bradycardie, myocardite, péricardite.
  • +Cas isolés: bloc auriculo-ventriculaire.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: Hypotension orthostatique (diminuer la dose journalière), œdème (et prise de poids), doit de manière générale être traité par un diurétique (en cas d’œdème progressif ou de signes de défaillance cardiaque, il convient d’arrêter la méthyldopa).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquents: Congestion nasale.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: Diarrhée, légère sécheresse de la bouche, nausées, vomissements.
  • +Rares: colite, constipation, distension, flatulence, pancréatite, langue douloureuse ou glossophytie.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Rares: Perturbations de la fonction hépatique, ictère, hépatite, nécrose hépatique.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Rares: Eczéma, éruption psoriasiforme, nécrolyse épidermique toxique, érythème, prurit, syndrome lupoïde.
  • +Cas isolés: angio-œdème, urticaire.
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Rares: Légères arthralgies avec ou sans gonflement des articulations, myalgies.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Fréquents: Impuissance, diminution de la libido.
  • +Rares: Aménorrhée, gonflement des seins, gynécomastie, galactorrhée.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Fréquents: Fièvre médicamenteuse.
  • +Occasionnels : Faiblesse
  • -Test de Coombs positif (très fréquent, 10–20%), tests positifs pour les anticorps antinucléaires, cellules LE et facteur rhumatoïde, hyperazotémie.
  • +Très fréquents: Test de Coombs positif.
  • +Rares: tests positifs pour les anticorps antinucléaires, cellules LE et facteur rhumatoïde, hyperazotémie.
  • -L’effet antihypertenseur de la méthyldopa repose vraisemblablement sur une transformation en alpha-méthylnoradrénaline laquelle stimule les récepteurs alpha-adrénergiques centraux inhibiteurs, simule une neurotransmission et/ou réduit l’activité de la rénine plasmatique et, par ce mécanisme, diminue la pression artérielle. La méthyldopa diminue la concentration de sérotonine, de dopamine, d’adrénaline et de noradrénaline dans les tissus. Elle est un inhibiteur de la décarboxylase des acides aminés aromatiques chez l’animal et l’être humain. La faculté d’inhiber la dopa-décarboxylase et de diminuer la noradrénaline dans les tissus est due exclusivement à l’isomère L de la méthyldopa.
  • +L’effet antihypertenseur de la méthyldopa repose vraisemblablement sur une transformation en alphaméthylnoradrénaline laquelle stimule les récepteurs alpha-adrénergiques centraux inhibiteurs, simule une neurotransmission et/ou réduit l’activité de la rénine plasmatique et, par ce mécanisme, diminue la pression artérielle. La méthyldopa diminue la concentration de sérotonine, de dopamine, d’adrénaline et de noradrénaline dans les tissus. Elle est un inhibiteur de la décarboxylase des acides aminés aromatiques chez l’animal et l’être humain. La faculté d’inhiber la dopa-décarboxylase et de diminuer la noradrénaline dans les tissus est due exclusivement à l’isomère L de la méthyldopa.
  • -La méthyldopa peut fausser le dosage de l’acide urique dans les urines par la méthode à l’acide phosphotung­stique, le dosage de la créatinine sérique par la méthode à l’acide picrique et le dosage de la SGOT par la méthode colorimétrique. Aucune interférence faussant la détermination spectrophotométrique de la SGOT n’a été signalée.
  • -Comme la méthyldopa dans les échantillons d’urine provoque une fluorescence à la même longueur d’onde que les catécholamines, les résultats des catécholamines urinaires peuvent être faussement élevés. Ceci rend le diagnostic du phéochromocytome plus difficile. Il importe donc d’identifier ce phénomène avant de décider d’opérer un patient pour un phéochromocytome présumé. La méthyldopa ne produit pas d’interférences lors du dosage de l’acide vanillyl mandélique par les méthodes convertissant cet acide en vanilline. La méthyldopa n’est pas recommandée pour le traitement des patients atteints d’un phéochromocytome.
  • +La méthyldopa peut fausser le dosage de l’acide urique dans les urines par la méthode à l’acide phosphotungstique, le dosage de la créatinine sérique par la méthode à l’acide picrique et le dosage de la SGOT par la méthode colorimétrique. Aucune interférence faussant la détermination spectrophotométrique de la SGOT n’a été signalée.
  • +Comme la méthyldopa dans les échantillons d’urine provoque une fluorescence à la même longueur d’onde que les catécholamines, les résultats des catécholamines urinaires peuvent être faussement élevés. Ceci rend le diagnostic du phéochromocytome ou du paragangliome plus difficile. Il importe donc d’identifier ce phénomène avant de décider d’opérer un patient présentant probablement une tumeur sécrétant des catécholamines. La méthyldopa ne produit pas d’interférences lors du dosage de l’acide vanillyl mandélique par les méthodes convertissant cet acide en vanilline. La méthyldopa est contre-indiquée pour le traitement de patients présentant une tumeur sécrétant des catécholamines (telle qu’un phéochromocytome ou un paragangliome).
  • -Aldomet cpr pell 250 mg 100. (B)
  • +Aldomet cpr pell 250 mg 100. [B]
  • -Avril 2010.
  • +Octobre 2016.
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