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Accueil - Information professionnelle sur Glucose 5 % B. Braun - Changements - 24.02.2025
56 Changements de l'information professionelle Glucose 5 % B. Braun
  • - Solution d’hydrates de carbone pour la thérapie liquidienne intraveineuse.
  • -Solution vectrice pour médicaments physiquement et chimiquement compatibles.
  • +Apport de glucose pour un apport énergétique
  • +●Traitement de l’hypoglycémie
  • +●Solution vectrice pour concentrés électrolytiques et médicaments compatibles
  • +La posologie est ajustée au besoin individuel en glucose et en liquide.
  • +Solution vectrice pour médicaments compatibles
  • +Le choix du volume dépend de la concentration souhaitée du médicament pour que la solution puisse être utilisée comme vecteur, en tenant compte de la dose maximale mentionnée ci-dessus.
  • -Solution d’hydrates de carbone pour la thérapie liquidienne intraveineuse
  • -La posologie dépend de l’âge, du poids, de l’état clinique du patient (p. ex. équilibre acido-basique) ainsi que du traitement concomitant, et doit être déterminée par le médecin traitant.
  • -Lors de l’administration, il faut tenir compte du besoin journalier total en liquide et en glucose.
  • -Il convient de noter qu’il est contre-indiqué d’assurer l’apport journalier total en liquide avec uniquement cette solution. (Voir « Contreindications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Solution vectrice pour médicaments physiquement et chimiquement compatibles
  • -Le choix du volume dépend du degré de dilution souhaité du médicament pour que la solution puisse être utilisée comme solution vectrice et la dose maximale mentionnée ci-après ne doit pas être dépassée.
  • -Adultes
  • -Dose journalière maximale
  • -La dose journalière maximale de Glucose 5 % B. Braun dépend du besoin journalier maximal en liquide et ne doit pas dépasser 40 ml/kg de poids corporel par jour (soit 2 g de glucose/kg de poids corporel par jour).
  • -Vitesse de perfusion maximale
  • -5 ml/kg de poids corporel/h, soit 4,1 mg de glucose/kg de poids corporel/min.
  • +Adultes et adolescents à partir de 15 ans
  • +La dose journalière maximale s’élève à 40 ml par kg de poids corporel par jour, soit 4 g de glucose par kg de poids corporel par jour.
  • +La vitesse de perfusion maximale s’élève à 2,5 ml par kg de poids corporel par heure, soit 0,25 g de glucose par kg de poids corporel par heure.
  • -Patients avec troubles de la fonction hépatique ou rénale
  • +Patients présentant une altération du métabolisme du glucose
  • +En cas d’altération du métabolisme oxydatif du glucose (p. ex. lors de la phase postopératoire ou post-traumatique précoce, en cas d’hypoxie ou de défaillance d’organe), la dose doit être ajustée de sorte à garantir une glycémie proche de la normale. Une surveillance étroite de la glycémie est recommandée pour éviter toute hyperglycémie.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique ou rénale
  • -La dose, la vitesse de perfusion et la durée du traitement dépendent de l’âge, du poids ainsi que des pathologies de base et concomitantes, et doivent être déterminées par un médecin expérimenté en matière de traitement par perfusion chez les enfants et les adolescents.
  • -La posologie de cette solution doit être aussi restrictive que possible et accompagnée d’une substitution d’électrolytes adaptée (voir également «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +La sécurité et l’efficacité de Glucose B. Braun chez les enfants et les adolescents n’ont pas été évaluées spécifiquement. La dose et la vitesse de perfusion dépendent de l’âge, du poids et de l’état clinique général, ainsi que de la glycémie individuelle en cas d’états hypoglycémiques. Elles doivent être déterminées par un médecin expérimenté en matière de traitement par perfusion chez les enfants.
  • +La dose journalière maximale en g par kg de poids corporel ou en ml de solution par kg de poids corporel par jour s’élève à:
  • +11-14 ans 8 g par kg de poids corporel 80 ml par kg de poids corporel
  • +6-10 ans 10 g par kg de poids corporel 100 ml par kg de poids corporel
  • +3-5 ans 12 g par kg de poids corporel 120 ml par kg de poids corporel
  • +1-2 ans 15 g par kg de poids corporel 150 ml par kg de poids corporel
  • +Nouveau-nés 15 g par kg de poids corporel 150 ml par kg de poids corporel
  • +Prématurés 18 g par kg de poids corporel 180 ml par kg de poids corporel
  • +
  • +L’apport journalier total de liquide doit être pris en compte lors de l’administration de la solution, mais aussi la quantité de liquide recommandée pour l’âge et le poids correspondants (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -La possibilité d’une perfusion par voie veineuse périphérique dépend de l’osmolarité du mélange préparé.
  • +La solution peut être injectée dans une grosse veine périphérique.
  • -·Hyperglycémie ne répondant pas à des doses d’insuline allant jusqu’à 6 unités d’insuline/heure.
  • -·Hypokaliémie
  • -·Acidose
  • -Cette solution ne doit pas être utilisée seule pour un apport en liquide/une réhydratation, car elle ne contient aucun électrolyte (voir « Mises en garde et précautions»).
  • -Si l’administration de plus gros volumes est nécessaire, la charge de liquide associée peut entraîner d’autres contreindications :
  • -·Hyperhydratation hypotonique
  • -·Hyperhydratation isotonique
  • -·Insuffisance cardiaque aiguë
  • -·Œdème pulmonaire.
  • -
  • +Hyperglycémie ne répondant pas à des doses d’insuline allant jusqu’à 6 unités d’insuline/heure
  • +●Delirium tremens chez les patients déjà déshydratés
  • +●États de choc aigu et collapsus
  • +●Acidose métabolique
  • +Hyperhydratation
  • +●Œdème pulmonaire
  • +Insuffisance cardiaque aiguë
  • -Glucose 5 % B. Braun est une solution isotonique. Les liquides contenant du glucose peuvent toutefois devenir hypotoniques dans le corps du fait du métabolisme rapide du glucose.
  • -En raison du risque d’hyponatrémie (voir ci-après), l’équilibre hydroélectrolytique, l’équilibre acido-basique et la glycémie doivent être étroitement surveillés avant et pendant l’administration. Cela vaut en particulier pour les patients présentant le syndrome de sécrétion inappropriée d’HAD (SIADH) et en cas de traitement concomitant avec des agonistes de la vasopressine. Une surveillance très étroite est également indiquée chez les enfants (voir ci-après).
  • -La surveillance de la natrémie est particulièrement importante dans le cas des liquides hypotoniques.
  • -
  • +L’administration de perfusions de glucose doit uniquement commencer après avoir compenser les déficits en liquide et en électrolytes préexistants, tels qu’une déshydratation hypotonique, une hyponatrémie et une hypokaliémie.
  • +Un apport de glucose à forte dose doit commencer progressivement. Un apport de glucose trop rapide ou à trop forte dose peut entraîner une hyperglycémie et, le cas échéant, un coma hyperosmolaire (voir la rubrique «Métabolisme du glucose» ci-après).
  • +En raison du risque d’hyponatrémie (voir ci-après), l’équilibre hydroélectrolytique, l’équilibre acido-basique et la glycémie doivent être étroitement surveillés avant et pendant l’administration de Glucose 10 % B. Braun. Le type et la fréquence des analyses de laboratoire correspondantes dépendent de l’état général du patient, de la situation métabolique actuelle, de la dose administrée et de la durée du traitement. Le volume total et la quantité de glucose administrée doivent également être pris en considération.
  • +Une attention particulière doit être accordée à une éventuelle hypokaliémie. Le cas échéant, une substitution de potassium doit être mise en place.
  • +Une surveillance très étroite est nécessaire pour les patients présentant le syndrome de sécrétion inappropriée d’HAD (SIADH) et en cas de traitement concomitant avec des agonistes de la vasopressine. Elle est également indiquée chez les enfants (voir «Mises en garde particulières pour la population pédiatrique»).
  • +Glucose 10 % B. Braun est une solution hypertonique. Les liquides contenant du glucose peuvent toutefois devenir très hypotoniques dans le corps du fait du métabolisme rapide du glucose. La surveillance de la natrémie est particulièrement importante dans le cas des liquides hypotoniques (voir la rubrique «Risque d’hyponatrémie»).
  • +En raison du risque de développement d'une acidose lactique sévère et/ou d'une encéphalopathie de Wernicke, une carence préexistante en thiamine (vitamine B1) doit être compensée avant la perfusion de solutions contenant du glucose
  • +
  • -Les patients présentant une libération non-osmotique de la vasopressine (p. ex. en cas d’affection aiguë, de douleurs, de stress postopératoire, d’infections, de brûlures, d’anxiété, de fièvre, de septicémie, de volume sanguin réduit, d’affections respiratoires, du métabolisme, endocriniennes et du système nerveux central), les patients présentant des affections cardiaques, hépatiques ou du rein ainsi que les patients exposés à des agonistes de la vasopressine (voir Interactions) encourent un risque élevé d’hyponatrémie aiguë après la perfusion de solutions hypotoniques.
  • -Une hyponatrémie aiguë peut conduire à une encéphalopathie hyponatrémique aiguë (œdème cérébral) caractérisée par des céphalées, des nausées, des convulsions, une léthargie, un coma et des vomissements. Un œdème cérébral s’accompagne d’un risque de lésions cérébrales sévères, irréversibles et engageant le pronostic vital, il constitue donc une urgence médicale. Les enfants, les femmes en âge de procréer et les patients présentant une compliance cérébrale réduite (p. ex. en cas de méningite, de saignements intracrâniens ou de contusion cérébrale) encourent un risque élevé d’œdème cérébral sévère.
  • +Les patients présentant une libération non-osmotique de la vasopressine (p. ex. en cas d’affection aiguë, de douleurs, de stress postopératoire, d’infections, de brûlures ou d’affections du système nerveux central), les patients présentant des affections cardiaques, hépatiques ou du rein ainsi que les patients exposés à des agonistes de la vasopressine (voir « Interactions ») encourent un risque élevé d’hyponatrémie aiguë après la perfusion de solutions hypotoniques.
  • +Une hyponatrémie aiguë peut conduire à une encéphalopathie hyponatrémique aiguë (œdème cérébral) caractérisée par des céphalées, des nausées, des convulsions, une léthargie et des vomissements. Un œdème cérébral s’accompagne d’un risque de lésions cérébrales sévères, irréversibles et engageant le pronostic vital, il constitue donc une urgence médicale. Les enfants, les femmes en âge de procréer et les patients présentant une compliance cérébrale réduite (p. ex. en cas de méningite, de saignements intracrâniens ou de contusion cérébrale) encourent un risque élevé d’œdème cérébral sévère.
  • -Glucose 5 % B. Braun doit donc uniquement être administré avec une prudence particulière chez les patients présentant des troubles du métabolisme du glucose, c’est-à-dire en contrôlant régulièrement la glycémie, les électrolytes sanguins (en particulier le potassium et le sodium) ainsi que l’équilibre acido-basique et hydrique. La posologie doit être ajustée individuellement.
  • +Une situation métabolique instable (p. ex. postopératoire ou après un traumatisme, en cas d’hypoxie ou de défaillance d’organe) altère le métabolisme oxydatif du glucose et peut conduire à une acidose métabolique.
  • +L’arrêt brusque d’une perfusion de glucose à une vitesse élevée peut conduire à une forte hypoglycémie en raison du taux d’insuline élevé qui en résulte. Cela concerne en particulier les enfants de moins de 2 ans (voir « Mises en garde particulières pour la population pédiatrique ») ainsi que les patients présentant un diabète sucré ou d’autres affections accompagnées d’un trouble de l’homéostasie du glucose. Chez les patients présentant des facteurs de risque reconnaissables, la vitesse de perfusion doit être réduite progressivement lors des 30-60 dernières minutes. Lors d’un arrêt brusque de la nutrition parentérale, le patient doit être surveillé pendant 30 minutes en cas d’apparition de symptômes d’hypoglycémie.
  • -L’apport de solutions de glucose n’est pas recommandé après un accident ischémique aigu, car une augmentation des lésions cérébrales ischémiques et un ralentissement de la convalescence ont été rapportés après des hyperglycémies.
  • -Cette solution doit uniquement être administrée avec une prudence particulière chez les patients présentant une insuffisance rénale.
  • +L’administration de solutions de glucose n’est pas recommandée après un accident ischémique aigu, car une augmentation des lésions cérébrales ischémiques et un ralentissement de la convalescence ont été rapportés après des hyperglycémies.
  • +Chez les patients présentant une lésion de la barrière hémato-encéphalique, l’administration de solutions de glucose hyperosmolaires peut entraîner une augmentation de la pression intracrânienne/intrarachidienne.
  • +Dans les situations suivantes, Glucose 10 % B. Braun doit être administré avec une prudence particulière:
  • +·Hypervolémie
  • +·Insuffisance rénale
  • +·Insuffisance cardiaque
  • +·Augmentation de l’osmolarité sérique
  • +·Diabète sucré manifeste ou subclinique, ou intolérance aux glucides d’origine diverse.
  • +Si des patients présentant une malnutrition ou une cachexie sont nourris par voie parentérale dès le début avec une dose complète et à une vitesse de perfusion correspondante sans que le potassium, le magnésium et le phosphate ne soient substitués de manière adéquate, un « Refeeding-Syndom » accompagné d’une hypokaliémie, d’une hypophosphatémie et d’une hypomagnésémie peut survenir. Des manifestations cliniques peuvent également apparaître quelques jours après le début de la nutrition parentérale. Le traitement par perfusion doit être mis en place progressivement chez ces patients. Une substitution des électrolytes adaptée aux écarts existants par rapport aux valeurs normales est nécessaire.
  • +Les électrolytes et les vitamines doivent être substitués si besoin. Les vitamines B, en particulier la thiamine, sont nécessaires au métabolisme du glucose.
  • +Si les symptômes d’une infection veineuse, d’une phlébite ou d’une thrombophlébite surviennent pendant une perfusion par voie veineuse périphérique, un changement de la voie veineuse doit être envisagé.
  • -La thérapie liquidienne intraveineuse doit être étroitement surveillée chez les enfants et les adolescents, car leur capacité de régulation hydroélectrolytique peut être limitée. Il faut s’assurer que l’hydratation et le débit urinaire sont adéquats, une surveillance étroite de l’équilibre hydrique ainsi que des concentrations d’électrolytes dans le plasma et l’urine est obligatoire.
  • +L’apport de liquide par voie intraveineuse doit être étroitement surveillé chez les enfants et les adolescents, car leur capacité de régulation hydroélectrolytique peut être limitée. Il faut s’assurer que l’hydratation et le débit urinaire sont adéquats, une surveillance étroite de l’équilibre hydrique ainsi que des concentrations d’électrolytes dans le plasma et l’urine est nécessaire.
  • +Les enfants de 1-2 ans présentent un risque élevé d’hypoglycémie de rebond après l’arrêt brusque d’un traitement par perfusion à forte dose (voir la rubrique « Métabolisme du glucose »).
  • +Les nouveau-nés, en particulier les prématurés de faible poids de naissance, courent un risque élevé d’hypoglycémie ou d’hyperglycémie. Une surveillance étroite de la glycémie est donc nécessaire pendant l’administration d’une solution de glucose par voie intraveineuse afin d’éviter les éventuelles complications d’hypoglycémie ou d’hyperglycémie. Une hypoglycémie peut déclencher des convulsions prolongées, un coma et une lésion cérébrale chez les nouveau-nés. Une hyperglycémie a été associée à des hémorragies ventriculaires cérébrales, une rétinopathie du prématuré, une augmentation du besoin en oxygène, une dysplasie bronchopulmonaire, des infections bactériennes et mycosiques ainsi qu’une entérocolite nécrotique, en partie à issue fatale.
  • -Les analogues de la vasopressine (tels que la desmopressine, la terlipressine ou la vasopressine) ainsi que d’autres médicaments potentialisant l’action de la vasopressine entraînent une diminution de l’excrétion rénale d’eau sans électrolyte et une augmentation du risque d’hyponatrémie après une thérapie liquidienne intraveineuse pas suffisamment équilibrée (voir « Mises en gardes et précautions »). Cela inclut par exemple les amphétamines, les neuroleptiques, la carbamazépine, le cyclophosphamide, l’ifosfamide, les stupéfiants, les AINS, l’ocytocine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine et la vincristine.
  • +Les analogues de la vasopressine (tels que la desmopressine, la vasopressine, la terlipressine) ainsi que d’autres médicaments potentialisant l’action de la vasopressine entraînent une diminution de l’excrétion rénale d’eau sans électrolyte et une augmentation du risque d’hyponatrémie après une thérapie liquidienne intraveineuse pas suffisamment équilibrée (voir « Mises en gardes et précautions »). Cela inclut par exemple les amphétamines, les neuroleptiques, la carbamazépine, le cyclophosphamide, l’ifosfamide, les stupéfiants, les AINS, l’ocytocine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine et la vincristine.
  • -Les expériences d’administration de solutions de glucose chez des femmes enceintes sont jusqu’à présent inexistantes ou très limitées (moins de 300 grossesses). Les études expérimentales animales n’ont révélé aucun effet nocif direct ou indirect sur la santé en ce qui concerne la toxicité pour la reproduction à des doses thérapeutiques (voir « Données précliniques»).
  • -Glucose 5 % B. Braun peut être utilisé pendant la grossesse. Une surveillance étroite de la glycémie est nécessaire.
  • -La perfusion de glucose par voie intraveineuse chez la mère pendant l’accouchement peut entraîner une augmentation de la production d’insuline chez les fœtus, laquelle est associée à un risque d’hyperglycémie et d’acidose métabolique chez les fœtus ainsi qu’à un risque d’hypoglycémie de rebond chez les nouveau-nés. Glucose 5 % B. Braun doit donc être administré avec une prudence particulière pendant l’accouchement, notamment en cas d’administration en association avec de l’ocytocine (voir « Interactions»).
  • +Les expériences d’administration de glucose monohydraté chez des femmes enceintes sont jusqu’à présent inexistantes ou très limitées (moins de 300 grossesses). Les études expérimentales animales n’ont révélé aucun effet nocif direct ou indirect sur la santé en ce qui concerne la toxicité pour la reproduction à des doses thérapeutiques (voir « Données précliniques »).
  • +Si nécessaire, l’administration de Glucose 10 % B. Braun peut être envisagée pendant la grossesse, dans la mesure où l’équilibre hydroélectrolytique est surveillé et qu’il se situe dans la plage physiologique. Une surveillance étroite de la glycémie est également nécessaire.
  • +Glucose 10 % B. Braun doit donc être administré avec une prudence particulière pendant l’accouchement en raison du risque d’hyponatrémie, notamment en cas d’administration concomitante d’ocytocine (voir « Mises en garde et précautions » et « Interactions »). La perfusion de glucose par voie intraveineuse chez la mère peut en outre entraîner une augmentation de la production d’insuline chez les fœtus, laquelle est associée à un risque d’hyperglycémie et d’acidose métabolique chez les fœtus ainsi qu’à un risque d’hypoglycémie de rebond chez les nouveau-nés.
  • -Le glucose et ses métabolites passent dans le lait maternel. Il ne faut cependant pas craindre un effet sur le nourrisson allaité à des doses thérapeutiques de Glucose 5 % B. Braun. Glucose 5 % B. Braun peut être utilisé pendant l’allaitement.
  • +Le glucose et ses métabolites passent dans le lait maternel. Il ne faut cependant pas craindre un effet sur le nourrisson allaité à des doses thérapeutiques de Glucose 10 % B. Braun. Glucose 10 % B. Braun peut être utilisé pendant l’allaitement.
  • -Aucune donnée clinique disponible.
  • +Aucune donnée clinique disponible. Il ne faut craindre aucun effet à des doses thérapeutiques.
  • -Aucune étude correspondante n’a été effectuée. Il ne faut toutefois craindre aucune influence de Glucose 5 % B. Braun sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines.
  • +Aucune étude correspondante n’a été effectuée. Il ne faut toutefois craindre aucune influence de Glucose 10 % B. Braun sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines.
  • -Les effets indésirables sont rangés par classe de système d’organes (MedDRA) et par fréquence selon la convention suivante :
  • -Les fréquences suivantes sont utilisées:
  • +Les effets indésirables listés ci-après par classe de système d’organes (MedDRA) et par fréquence ont été rapportés lors de l’administration par voie intraveineuse de solutions de glucose à 10 %. Les fréquences suivantes sont utilisées :
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration:
  • +Fréquence inconnue : réactions locales au site d’application, telles que des douleurs locales, une infection veineuse, une thrombophlébite, une nécrose tissulaire en cas d’extravasion.
  • -L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L’annonce d’effets indésirables présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Les perfusions excessives de glucose peuvent entraîner hyperglycémie, glycosurie et déshydratation hyperosmolaire, voire coma hyperosmolaire hyperglycémique.
  • -Symptômes d’un surdosage de liquide
  • -Un surdosage de liquide peut entraîner une hyperhydratation accompagnée d’une augmentation de la turgescence de la peau, d’une congestion veineuse, d’œdèmes (dans les cas sévères également d’œdèmes pulmonaires et/ou cérébraux), de troubles électrolytiques (en particulier hyponatrémie et hypokaliémie, voir « Mises en garde et précautions ») et de troubles de l’équilibre acido-basique.
  • -Des nausées, vomissements et convulsions peuvent survenir comme symptômes cliniques de l’intoxication hydrique. D’autres symptômes d’un surdosage peuvent se manifester en fonction du type de médicament associé avec la solution de perfusion.
  • +Hyperglycémie, hypervolémie, glycosurie, hyperosmolarité et déshydratation, voire coma hyperosmolaire hyperglycémique. En cas de surdosages sévères, une lipogenèse avec stéatose hépatique consécutive est également possible.
  • +Symptôme de surcharge liquidienne
  • +Une surcharge liquidienne peut entraîner une hyperhydratation accompagnée d’une augmentation de la turgescence de la peau, d’une congestion veineuse, d’œdèmes (dans les cas sévères également d’œdèmes pulmonaires et/ou cérébraux), de troubles électrolytiques (en particulier hyponatrémie et hypokaliémie) et de troubles de l’équilibre acido-basique.
  • +Des nausées, vomissements et convulsions peuvent survenir comme symptômes cliniques de l’intoxication hydrique.
  • -Les solutions de glucose à faible pourcentage conviennent comme solution vectrice, car, en tant que substrat naturel des cellules, le glucose est métabolisé de façon ubiquitaire dans l’organisme. Dans les conditions physiologiques, le glucose est le glucide le plus important fournissant de l’énergie avec une valeur énergétique d’environ 17 kJ/g ou 4 kcal/g. La glycémie normale à jeun s’élève à 70-100 mg/dl ou 3,9-5,6 mmol/l chez les adultes.
  • +En tant que substrat naturel des cellules, le glucose est métabolisé de façon ubiquitaire dans l’organisme. En conditions physiologiques, le glucose est le glucide le plus important fournissant de l’énergie avec une valeur énergétique d’environ 17 kJ/g ou 4 kcal/g. La glycémie normale à jeun s’élève entre 70 et 100 mg/dl ou 3,9 et 5,6 mmol/l chez les adultes.
  • -Aucune donnée disponible.
  • +Non pertinent.
  • -Après la perfusion, le glucose se répartit d’abord dans l’espace intravasculaire pour être ensuite absorbé dans l’espace intracellulaire.
  • +Lors de la perfusion, le glucose se répartit d’abord dans l’espace intravasculaire pour être ensuite absorbé dans l’espace intracellulaire.
  • -Aucune étude conventionnelle sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité en administration répétée, la génotoxicité, le potentiel cancérogène et la toxicité pour la reproduction n’a été réalisée avec Glucose 5 % B. Braun. Le glucose est un composant physiologique du plasma animal et humain. Les données précliniques avec les solutions contenant des électrolytes et du glucose en différentes concentrations et compositions n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme à des doses thérapeutiques.
  • +Aucune étude conventionnelle sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité en administration répétée, la génotoxicité, le potentiel cancérogène et la toxicité pour la reproduction n’a été réalisée avec Glucose 10 % B. Braun. Le glucose est un composant physiologique du plasma animal et humain. Les données précliniques avec les solutions contenant des électrolytes et du glucose en différentes concentrations et compositions n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme à des doses thérapeutiques.
  • -Des incompatibilités peuvent survenir en cas de mélange à d’autres médicaments et à du sang, car Glucose 5 % B. Braun a un pH acide.
  • +Des incompatibilités peuvent survenir en cas de mélange à d’autres médicaments et à du sang, car Glucose 10 % B. Braun a un pH acide.
  • -Remarques particulières concernant le stockage
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C), hors de portée des enfants et dans l’emballage d’origine.
  • -Le contenu doit être utilisé immédiatement après ouverture du récipient. Voir la rubrique «Remarques concernant la manipulation».
  • -Après l’ajout d’additifs
  • -Pour des raisons microbiologiques, le médicament devrait être utilisé immédiatement. Si la solution n’est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage «inuse» avant l’utilisation relèvent de la responsabilité de l’utilisateur, mais l’entreposage ne devrait pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C, si la dilution ne se déroule pas dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
  • -Les instructions dans l’information professionnelle de l’additif correspondant ou du médicament à diluer doivent être respectées.
  • +Non pertinent, voir la rubrique «Remarques concernant la manipulation».
  • +Après dilution
  • +Pour des raisons microbiologiques, le produit devrait être utilisé immédiatement. S’ il n’est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage de la solution prête à l’emploi avant l’utilisation relèvent de la responsabilité de l’utilisateur, mais, de manière générale, l’entreposage ne devrait pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C, si la dilution ne se déroule pas dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
  • -L’administration doit commencer immédiatement après avoir raccordé le récipient au système de perfusion.
  • -La compatibilité physique et chimique doit être confirmée avant l’ajout d’un additif ou la préparation d’un mélange nutritif (voir « Incompatibilités»).
  • -Lors de l’ajout d’additifs, les précautions aseptiques usuelles doivent être strictement respectées. Les solutions avec ajout d’additifs doivent être utilisées immédiatement après l’ajout de l’additif.
  • +L’administration doit être commencée immédiatement après le raccordement du récipient au système de perfusion.
  • +La compatibilité physique et chimique doit être garantie avant l’ajout d’additifs ou la préparation d’un mélange nutritif.
  • +Lors de l’ajout d’additifs, les règles usuelles d’asepsie doivent être strictement respectées. Les mélanges nutritifs ou les solutions avec ajout d’additifs doivent être administrés immédiatement après la préparation du mélange ou l’ajout de l’additif.
  • -Glucose B. Braun 5 % Mini-Plasco connect 20 × 10 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Miniflac 20 × 50 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Miniflac 20 × 100 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecoflac plus 10 × 250 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecoflac plus 10 × 500 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecoflac plus 10 × 1 000 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Stechamp 20 × 50 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecobag 20 × 100 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecobag 20 × 250 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecobag 30 × 250 ml dans 500 ml (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecobag 20 × 500 ml. (B)
  • -Glucose B. Braun 5 % Ecobag 10 × 1 000 ml. (B)
  • +Glucose B. Braun 10 % Ecoflac plus 10 × 250 ml. (B)
  • +Glucose B. Braun 10 % Ecoflac plus 10 × 500 ml. (B)
  • +Glucose B. Braun 10 % Ecoflac plus 10 × 1 000 ml. (B)
  • +Glucose B. Braun 10 % Stechamp 20 × 100 ml. (B)
  • -Mars 2023
  • +Février 2025.
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