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Accueil - Information professionnelle sur Synalar-N - Changements - 24.06.2022
18 Changements de l'information professionelle Synalar-N
  • -Nourrissons, petits enfants et enfants: voir sous «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions».
  • +Nourrissons, petits enfants et enfants: voir sous «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions». Aucune étude spécifique n'a été menée chez les enfants.
  • +L'utilisation continue ou incorrecte à long terme de stéroïdes topiques peut entraîner des effets de rebond à la fin du traitement (topical steroid withdrawal syndrome). Une forme grave d'effet rebond peut se développer sous la forme d'une dermatite accompagnée de rougeurs intenses, de picotements et de brûlures, qui peut s'étendre au-delà de la zone initialement traitée. La probabilité d'apparition est plus grande lorsque des zones de peau sensibles comme le visage ou les plis sont traités. Si les troubles initiaux réapparaissent dans les jours ou les semaines suivant un traitement réussi, on peut suspecter une réaction d'arrêt (voir "Effets indésirables"). La réutilisation ne doit se faire qu'avec prudence et il convient dans ces cas de demander l'avis d'un spécialiste ou d'envisager un autre traitement.
  • -Lors de l’utilisation de la crème, le 4-hydroxybenzoate de méthyle et le 4- hydroxybenzoate de propyle peuvent susciter des réactions d’hypersensibilité, même des réactions tardives. L’alcool cétylique et l’alcool stéarylique peuvent causer des irritations localisées de la peau (par ex.: dermatite de contact).
  • +Lors de l’utilisation de la crème, le 4-hydroxybenzoate de méthyle et le 4hydroxybenzoate de propyle peuvent susciter des réactions d’hypersensibilité, même des réactions tardives. L’alcool cétylique et l’alcool stéarylique peuvent causer des irritations localisées de la peau (par ex.: dermatite de contact).
  • -Si une dermatose ne présente pas une réponse suffisante au traitement ou même s’aggrave, il convient d’arrêter le médicament et vérifier le diagnostic, en particulier grâce au diagnostic on devra écarter la possibilité d’une allergie à un des principes actifs (néomycine) ou un des excipients (p-hydroxybenzoate) ou d’une infection à germes résistants (entre autres d’origine fongique).
  • +Si une dermatose ne présente pas une réponse suffisante au traitement ou même s’aggrave, il convient d’arrêter le médicament et vérifier le diagnostic, en particulier grâce au diagnostic on devra écarter la possibilité d’une allergie à un des principes actifs (néomycine) ou un des excipients (phydroxybenzoate) ou d’une infection à germes résistants (entre autres d’origine fongique).
  • -Dans le premier trimestre, chez 30 couples de mère et enfant, aucune malformation congénitale n’a été trouvée après l’utilisation de la néomycine, une des substances actives de Synalar-N, mais un cas de surdité a été signalé chez un nouveau-né dont la mère avait été traité avec la néomycine durant la grossesse. Aucune autre étude épidémiologique correspondante n’est à dispositon jusqu’à présent. La néomycine traverse la barrière placentaire.
  • +Dans le premier trimestre, chez 30 couples de mère et enfant, aucune malformation congénitale n’a été trouvée après l’utilisation de la néomycine, une des substances actives de Synalar-N, mais un cas de surdité a été signalé chez un nouveau-né dont la mère avait été traitée avec la néomycine durant la grossesse. Aucune autre étude épidémiologique correspondante n’est à disposition jusqu’à présent. La néomycine traverse la barrière placentaire.
  • -atrophie cutanée, notamment sur le visage, dans la région génitale ou les plies cutanées, striae distensae, téleangiectasies, purpura, diminution de la pigmentation cutanée, acné aux corticostéroïdes, manifestations d’irritation, dermatite périorale ou rosacée, dermatite de contact (due, par exemple, à la néomycine, au p-hydroxybenzoate, très rarement au fluocinone acétonide), macération cutanée, folliculite, hypertrichose, miliaire.
  • +atrophie cutanée, notamment sur le visage, dans la région génitale ou les plies cutanées, striae distensae, téleangiectasies, purpura, diminution de la pigmentation cutanée, acné aux corticostéroïdes, manifestations d’irritation, dermatite périorale ou rosacée, dermatite de contact (due, par exemple, à la néomycine, au phydroxybenzoate, très rarement au fluocinone acétonide), macération cutanée, folliculite, hypertrichose, miliaire.
  • -Les enfants, à cause du plus grand rapport entre surface du corps et poids corporel, sont plus sensibles que les adultes à un effet de suppression de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien induit par le glucocorticoïde et aux effets exogènes des corticostéroïdes. Chez les enfants traités avec corticostéroïdes par usage externe, on a observé une suppression de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien, le syndrome de Cushing, un retard de la croissance, une prise de poids réduite et une augmentation anormale de la pression dans le crâne (hypertension intracrânienne).
  • -Chez l’enfant, la suppression de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien se manifeste par un bas niveau de cortisol plasmatique et par manque de réponse à la stimulation à l’ACTH.
  • +Les enfants, à cause du plus grand rapport entre surface du corps et poids corporel, sont plus sensibles que les adultes à un effet de suppression de l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien induit par le glucocorticoïde et aux effets exogènes des corticostéroïdes. Chez les enfants traités avec corticostéroïdes par usage externe, on a observé une suppression de l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien, le syndrome de Cushing, un retard de la croissance, une prise de poids réduite et une augmentation anormale de la pression dans le crâne (hypertension intracrânienne).
  • +Chez l’enfant, la suppression de l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien se manifeste par un bas niveau de cortisol plasmatique et par manque de réponse à la stimulation à l’ACTH.
  • +Fréquence inconnue : Réactions au sevrage - rougeur de la peau pouvant s'étendre au-delà de la zone initialement touchée, sensation de brûlure ou de piqûre, démangeaisons, peau qui pèle, vésicules suintantes (voir "Mises en garde et précautions").
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
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  • -Code ATC: D07CC02
  • +Code ATC:
  • +D07CC02
  • +Mécanisme d’action
  • +Pharmacodynamique
  • +Efficacité clinique
  • +Pas de données
  • +Absorption
  • +Distribution
  • +Pas de données
  • +Métabolisme
  • +Pas de données
  • +Elimination
  • +Pas de données
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Pas de données
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +
  • -Farmaceutica Teofarma Suisse SA.
  • +Farmaceutica Teofarma Suisse SA, Lugano
  • -Août 2010.
  • +Janvier 2022.
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