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Accueil - Information professionnelle sur Tegretol 200 - Changements - 02.06.2021
134 Changements de l'information professionelle Tegretol 200
  • -Substance active: Carbamazepinum.
  • -Excipients:
  • -Comprimés: Carboxyméthylcellulose sodique (fabriquée à partir de coton génétiquement modifié); Excip. pro compr.
  • -CR Divitabs: Excip. pro compr. obduct.
  • -Suspension orale 2%: Saccharinum natricum; Conser.: E 200, E 216, E 218, Arom.: vanilline et autres arômes; Excip. ad suspensionem.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés à 200 mg et 400 mg de carbamazepinum
  • -CR Divitabs (comprimés filmés sécables à libération contrôlée) à 200 mg et 400 mg de carbamazepinum
  • -Suspension orale à 100 mg de carbamazepinum/5 ml (= 1 cuillère graduée). La suspension orale contient 875 mg/5 ml de sorbitol, qui se transforme lentement en glucose; la suspension orale convient aux diabétiques.
  • +Principes actives
  • +Carbamazepinum.
  • +Excipients
  • +1 comprimé avec rainure de fragmentation contient: Cellulosum microcristallinum, Carmellosum natricum corresp. 0.23 mg Natrium, Magnesii stearas, Silica colloidalis anhydrica.
  • +1 CR Divitabs avec rainure de fragmentation contient: Enrobage: Cellulosum microcristallinum, Carmellosum natricum conexum corresp. Natrium 2 mg (Divitabs 200 mg) aut 3 mg (Divitabs 400 mg), Polyacrylatis dispersio 30 per centum, Ethylcellulosum, Talcum, Silica colloidalis anhydrica, Magnesii stearas.
  • +Pelliculage: Hypromellosum, Talcum, Macrogolglyceroli hydroxystearas 0.22 mg (Divitabs 200 mg) aut 0.44 mg (Divitabs 400 mg), E171, E172 (flavum et rubrum).
  • +5 ml (= 1 cuillère graduée) de suspension orale contiennent: Macrogoli 8 stearas typus I, Saccharinum natricum, Hydroxyethylcellulosum, Cellulosum microcristallinum, Carmellosum natricum, Sorbitolum liquidum non cristallisabile 1.25 g, Propylenglycolum 125 mg, Methylis parahydroxybenzoas 6 mg, Propylis parahydroxybenzoas 1.5 mg, Acidum sorbicum (E200), Aromatica (Caramel), Aqua purificata, 0.6 mg Natrium.
  • +La suspension orale contient 875 mg/5 ml de sorbitol, qui se transforme lentement en glucose, la suspension orale convient aux diabétiques.
  • +
  • +
  • -Sujet âgé
  • +Patients âgés
  • -Formes orales: commencer par 100 à 200 mg 1 ou 2×/j; augmenter lentement la dose jusqu'à obtention d'une réponse optimale, habituellement à 400 mg 2 à 3×/j (soit 8001200 mg). Chez certains patients la posologie adéquate pourra atteindre 1'600 mg ou même 2'000 mg par jour, ces doses élevées devant toutefois être évitées en raison des effets indésirables accrus.
  • +Formes orales: commencer par 100 à 200 mg 1 ou 2×/j; augmenter lentement la dose jusqu'à obtention d'une réponse optimale, habituellement à 400 mg 2 à 3×/j (soit 8001200 mg). Chez certains patients la posologie adéquate pourra atteindre 1600 mg ou même 2000 mg par jour, ces doses élevées devant toutefois être évitées en raison des effets indésirables accrus.
  • -Suspension orale: 10 à 20 mg de carbamazépine par kg de poids corporel par jour, répartis en plusieurs doses individuelles; c'est-à-dire:
  • -·jusqu'à 1 an: 100 à 200 mg/j (= 5-10 ml = 1 à 2 cuillères graduées);
  • -·de 1 à 5 ans: 200 à 400 mg/j (= 10-20 ml = 2× 1 à 2 cuillères graduées);
  • -·de 6 à 10 ans: 400 à 600 mg/j (= 20-30 ml = 2-3× 2 cuillères graduées);
  • -·de 11 à 15 ans: 600 à 1'000 mg/j (= 30-50 ml = 3× 2 à 3 cuillères graduées).
  • -·plus de 15 ans: 800 à 1'200 mg/j (correspond à la dose quotidienne chez l'adulte).
  • +Suspension orale: 10 à 20 mg de carbamazépine par kg de poids corporel par jour, répartis en plusieurs doses individuelles; c'est-à-dire selon l'âge*:
  • +·jusqu'à 1 an: 100 à 200 mg/j (= 510 ml = 1 à 2 cuillères graduées);
  • +·de 1 à 5 ans: 200 à 400 mg/j (= 1020 ml = 2 × 1 à 2 cuillères graduées);
  • +·de 6 à 10 ans: 400 à 600 mg/j (= 2030 ml = 2–3 × 2 cuillères graduées);
  • +·de 11 à 15 ans: 600 à 1000 mg/j (= 3050 ml = 3 × 2–3 cuillères graduées).
  • +·plus de 15 ans: 800 à 1200 mg/j (correspond à la dose quotidienne chez l'adulte).
  • -·jusqu'à 6 ans: 35 mg/kg/j
  • -·de 6 à 15 ans: 1'000 mg/j
  • -·plus de 15 ans: 1'200 mg/j
  • +·jusqu'à 6 ans: 35 mg/kg/j;
  • +·de 6 à 15 ans: 1000 mg/j;
  • +·plus de 15 ans: 1200 mg/j.
  • -La posologie initiale est de 200 à 400 mg/j (chez les patients âgés, de 100 mg 2×/j), elle sera augmentée lentement jusqu'à disparition des douleurs (habituellement à 200 mg 3 à 4×/j), puis réduite progressivement jusqu'au niveau d'entretien le plus bas possible du taux plasmatique. La dose quotidienne maximale recommandée est de 1'200 mg/j. Lorsque les douleurs ont disparu, il convient ensuite d'essayer d'arrêter progressivement le traitement, jusqu'à une nouvelle exacerbation des douleurs.
  • +La posologie initiale est de 200 à 400 mg/j (chez les patients âgés, de 100 mg 2×/j), elle sera augmentée lentement jusqu'à disparition des douleurs (habituellement à 200 mg 3 à 4×/j), puis réduite progressivement jusqu'au niveau d'entretien le plus bas possible du taux plasmatique. La dose quotidienne maximale recommandée est de 1200 mg/j. Lorsque les douleurs ont disparu, il convient ensuite d'essayer d'arrêter progressivement le traitement, jusqu'à une nouvelle exacerbation des douleurs.
  • -200 mg 3-4×/j pendant les deux premiers jours. Dans les cas graves, la posologie peut être augmentée à 1'200mg/j durant les premiers jours. Ensuite, la dose devrait être diminuée lentement par paliers jusqu'à l'arrêt du traitement (cf. «Mises en garde et précautions/Interruption du traitement»).
  • +La posologie est de 200 mg 34×/j pendant les deux premiers jours. Dans les cas graves, la posologie peut être augmentée à 1200 mg/j durant les premiers jours. Ensuite, la dose devrait être diminuée lentement par paliers jusqu'à l'arrêt du traitement (cf. «Mises en garde et précautions/Interruption du traitement»).
  • -Intervalle de posologie: environ 400 à 1'600 mg par jour; habituellement 400 à 600 mg/j en 2 à 3 prises. Dans les accès maniaques aigus, les doses doivent être augmentées assez rapidement alors que pour le traitement à long terme des troubles bipolaires, de légères augmentations posologiques sont recommandées afin de garantir une tolérance optimale.
  • +Intervalle de posologie: environ 400 à 1600 mg par jour; habituellement 400 à 600 mg/j en 2 à 3 prises. Dans les accès maniaques aigus, les doses doivent être augmentées assez rapidement alors que pour le traitement à long terme des troubles bipolaires, de légères augmentations posologiques sont recommandées afin de garantir une tolérance optimale.
  • -Les comprimés et la suspension orale (agiter avant l'emploi!) peuvent être pris avec un peu d'eau, pendant, après ou entre les repas. Avaler les CR Divitabs tels quels (entiers ou selon prescription par moitié) avec un peu d'eau, sans les mâcher.
  • -La suspension orale (1 cuillère graduée = 5 ml = 100 mg; ½ cuillère graduée = 2.5 ml = 50 mg) convient particulièrement aux patients qui ont des difficultés à avaler les comprimés ou pour lesquels il faut ajuster la posologie initiale avec précaution.
  • +Tégrétol Comprimés
  • +Les comprimés (entiers ou – selon prescription – la moitié du comprimé) doivent être pris avec un peu d'eau sans être mâchés. Ils peuvent être pris avec un peu d'eau pendant, après ou entre les repas.
  • +Tégrétol Divitabs
  • +Les CR Divitabs (entiers ou selon prescription – la moitié du comprimé) doivent être pris avec un peu d'eau sans être mâchés.
  • -Comme une dose déterminée de suspension orale donne des concentrations plasmatiques maximales plus élevées que la même dose sous forme de comprimé, il est recommandé de commencer par de faibles doses qui seront augmentées lentement afin d'éviter des effets indésirables.
  • +Tégrétol Suspension orale
  • +La suspension orale (agiter avant l'emploi!) peut être prise avec un peu d'eau pendant, après ou entre les repas.
  • +La suspension orale (1 cuillère graduée = 5 ml = 100 mg; ½ cuillère graduée = 2.5 ml = 50 mg) convient particulièrement aux patients qui ont des difficultés à avaler les comprimés ou pour lesquels il faut ajuster la posologie initiale avec précaution.
  • +Comme une dose déterminée de suspension orale permet d'atteindre des concentrations plasmatiques maximales plus élevées que la même dose sous forme de comprimé, il est recommandé de commencer par de faibles doses qui seront augmentées lentement afin d'éviter des effets indésirables.
  • -·Antécédents d'hypersensibilité à la carbamazépine et l'oxcarbazépine ou à des médicaments de structure apparentée (antidépresseurs tricycliques p.ex.) ou à un autre composant du médicament.
  • +·Antécédents d'hypersensibilité à la carbamazépine et l'oxcarbazépine ou à des médicaments de structure apparentée (antidépresseurs tricycliques p. ex.) ou à un autre composant du médicament.
  • -·La suspension ne doit pas non plus être utilisée chez les personnes ayant une hypersensibilité aux parabènes (E 200, E216, E 218).
  • +·La suspension ne doit pas non plus être utilisée chez les personnes ayant une hypersensibilité aux parabènes (E200, E216, E218).
  • -Mises en garde et précaution dordre général
  • +Mises en garde et précaution d'ordre général
  • -·ayant présenté ou présentant à l'anamnèse des pathologies, ou avec anamnèse de réactions indésirables hématologiques à d'autres médicaments
  • -·dont le métabolisme sodique est perturbé
  • -·présentant des pathologies cardiaques, hépatiques ou rénales, également dans leurs antécédents (cf. «Mises en garde et précautions»);
  • -après interruption du traitement par Tégrétol, ou aux patients qui ont déjà interrompu au préalable un traitement par carbamazépine.
  • +·ayant présenté ou présentant à l'anamnèse des pathologies, ou avec anamnèse de réactions indésirables hématologiques à d'autres médicaments;
  • +·dont le métabolisme sodique est perturbé;
  • +·présentant des pathologies cardiaques, hépatiques ou rénales, également dans leurs antécédents (cf. «Mise en garde et précautions»).
  • +Après interruption du traitement par Tégrétol, ou aux patients qui ont déjà interrompu au préalable un traitement par carbamazépine.
  • -Des réactions dermatologiques sévères, dont la nécrolyse épidermique toxique (NET ou syndrome de Lyell) et le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) ont été observées dans de rares cas après utilisation de Tégrétol. Ces patients doivent être hospitalisés le cas échéant, car ces symptômes peuvent mettre leur vie en danger. La plupart des cas de SJS/NET ont été observés dans les premiers mois de traitement par Tégrétol. Dans les pays dont la population est majoritairement caucasienne, la fréquence de ces réactions cutanées est estimée à 1-6 nouveaux patients sur 10'000. Dans certains pays asiatiques, le risque est cependant environ 10 fois plus élevé, selon les estimations.
  • -Dès que les signes ou symptômes d'une réaction cutanée sévère sont constatés, il faut arrêter immédiatement Tégrétol et envisager un autre traitement.
  • +Des réactions dermatologiques sévères, dont la nécrolyse épidermique toxique (NET ou syndrome de Lyell) et le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) ont été observées dans de rares cas après utilisation de Tégrétol. Ces patients doivent être hospitalisés le cas échéant, car ces symptômes peuvent mettre leur vie en danger. La plupart des cas de SJS/NET ont été observés dans les premiers mois de traitement par Tégrétol. Dans les pays dont la population est majoritairement caucasienne, la fréquence de ces réactions cutanées est estimée à 16 nouveaux patients sur 10 000. Dans certains pays asiatiques, le risque est cependant environ 10 fois plus élevé, selon les estimations.
  • +Dès que les signes ou symptômes d'une réaction cutanée sévère sont constatés, il faut arrêter immédiatement le Tégrétol et envisager un autre traitement.
  • -L'antigène leucocytaire humain (HLA) A*3101 peut constituer un facteur de risque de développement de réactions cutanées indésirables telles que SJS/TEN, DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms), AGEP (pustulose exanthémateuse aigüe généralisée) et exanthèmes maculo-papuleux.
  • +L'antigène leucocytaire humain (HLA) A*3101 peut constituer un facteur de risque de développement de réactions cutanées indésirables telles que SJS/TEN, DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms), AGEP (pustulose exanthémateuse aig généralisée) et exanthèmes maculo-papuleux.
  • -La fréquence de cet allèle varie fortement au sein des différents groupes ethniques. Dans la population européenne, la fréquence est d'environ 2-5% et dans la population japonaise d'environ 10%. Au sein de la majorité des populations australienne, asiatique, africaine et nord-américaine, on estime la fréquence de cet allèle à moins de 5%. Dans la population de l'Europe de l'Ouest, la fréquence de l'allèle HLA-A*3101 est évaluée selon la région géographique à environ 6.7%. Il existe quelques exceptions avec une fréquence de 5-12%. Parmi les groupes ethniques suivants, la fréquence est estimée supérieure à 15%: Amérique du Sud (Argentine et Brésil), Amérique du Nord (Navajo et Sioux aux Etats-Unis, Indiens Seri de Sonora au Mexique,) et Sud de l'Inde (Tamil Nadu).
  • +La fréquence de cet allèle varie fortement au sein des différents groupes ethniques. Dans la population européenne, la fréquence est d'environ 25% et dans la population japonaise d'environ 10%. Au sein de la majorité des populations australienne, asiatique, africaine et nord-américaine, on estime la fréquence de cet allèle à moins de 5%. Dans la population de l'Europe de l'Ouest, la fréquence de l'allèle HLA-A*3101 est évaluée selon la région géographique à environ 6.7%. Il existe quelques exceptions avec une fréquence de 512%. Parmi les groupes ethniques suivants, la fréquence est estimée supérieure à 15%: Amérique du Sud (Argentine et Brésil), Amérique du Nord (Navajo et Sioux aux Etats-Unis, Indiens Seri de Sonora au Mexique,) et Sud de l'Inde (Tamil Nadu).
  • -Avant l'instauration d'un traitement par Tégrétol, il est recommandé d'examiner les patients dont l'origine représente un risque (par exemple les patients du Japon, les Caucasiens), et les populations indigènes d'Amérique, les patients d'origine espagnole ou portugaise ainsi que les patients originaires du Sud de l'Inde ou de l'Arabie), afin d'établir la présence de l'allèle HLA-A*3101 (cf. « Posologie/Mode d'emploi). En cas de résultat positif, il faut renoncer au traitement par Tégrétol, à moins que le bénéfice attendu ne dépasse le risque encouru. Un dépistage HLA-A*3101 n'est en général par recommandé chez les patients déjà traités depuis longtemps par Tégrétol, puisque les SJS/TEN, AGEP, DRESS et exanthèmes maculo-papuleux n'apparaissent la plupart du temps qu'au cours des premiers mois de traitement.
  • -Association avec l'allèle HLA- B*1502
  • -Des études rétrospectives menées sur des patients de l'ethnie chinoise Han et sur des patients d'origine thaïlandaise ont montré une forte corrélation entre les réactions cutanées SJS/NET en relation avec l'utilisation de la carbamazépine et la présence de l'allèle HLA-B*1502 du Human Leucozyte Antigen. La fréquence de cet allèle est de 2-12% dans la population de l'ethnie chinoise Han et d'environ 8% en Thaïlande. Dans les pays asiatiques (p. ex. Taïwan, la Malaisie et les Philippines), où la fréquence de l'allèle HLA-B*1502 est plus élevée, l'effet indésirable SJS est rapporté plus souvent («occasionnellement» au lieu de «rarement»). La fréquence des porteurs de cet allèle est supérieure à 15% dans les Philippines et dans certaines populations malaises. Des fréquences de cet allèle allant jusqu'à 2% et 6% ont été rapportées en Corée et en Inde.. La fréquence de l'allèle HLA-B*1502 est négligeable chez les Caucasiens, tout comme chez les Africains, la population indigène d'Amérique, les Japonais et les personnes d'origine espagnole (<1%).
  • +Avant l'instauration d'un traitement par Tégrétol, il est recommandé d'examiner les patients dont l'origine représente un risque (par exemple les patients du Japon, les Caucasiens), et les populations indigènes d'Amérique, les patients d'origine espagnole ou portugaise ainsi que les patients originaires du Sud de l'Inde ou de l'Arabie), afin d'établir la présence de l'allèle HLA-A*3101 (cf. «Posologie/Mode d'emploi»). En cas de résultat positif, il faut renoncer au traitement par Tégrétol, à moins que le bénéfice attendu ne dépasse le risque encouru. Un dépistage HLA-A*3101 n'est en général par recommandé chez les patients déjà traités depuis longtemps par Tégrétol, puisque les SJS/TEN, AGEP, DRESS et exanthèmes maculo-papuleux n'apparaissent la plupart du temps qu'au cours des premiers mois de traitement.
  • +Association avec l'allèle HLA-B*1502
  • +Des études rétrospectives menées sur des patients de l'ethnie chinoise Han et sur des patients d'origine thaïlandaise ont montré une forte corrélation entre les réactions cutanées SJS/NET en relation avec l'utilisation de la carbamazépine et la présence de l'allèle HLA-B*1502 du Human Leucozyte Antigen. La fréquence de cet allèle est de 212% dans la population de l'ethnie chinoise Han et d'environ 8% en Thaïlande. Dans les pays asiatiques (p.ex. Taïwan, la Malaisie et les Philippines), où la fréquence de l'allèle HLA-B*1502 est plus élevée, l'effet indésirable SJS est rapporté plus souvent («occasionnellement» au lieu de «rarement»). La fréquence des porteurs de cet allèle est supérieure à 15% dans les Philippines et dans certaines populations malaises. Des fréquences de cet allèle allant jusqu'à 2% et 6% ont été rapportées en Corée et en Inde. La fréquence de l'allèle HLA-B*1502 est négligeable chez les Caucasiens, tout comme chez les Africains, la population indigène d'Amérique, les Japonais et les personnes d'origine espagnole (< 1%).
  • -L'identification des porteurs de l'allèle HLA- B*1502 ainsi que la suppression du traitement par carbamazépine chez ces patients d'origine chinoise Han a mené à une diminution de l'incidence des SJS/TEN induits par la carbamazépine.
  • +L'identification des porteurs de l'allèle HLA-B*1502 ainsi que la suppression du traitement par carbamazépine chez ces patients d'origine chinoise Han a mené à une diminution de l'incidence des SJS/TEN induits par la carbamazépine.
  • -Environ 25-30% des patients qui présentent une réaction d'hypersensibilité à la carbamazépine développent une réaction croisée à l'oxcarbazépine (Trileptal®) Une réaction croisée entre la carbamazépine et des antiépileptiques aromatiques (par ex. la phénytoïne, la primidone ou le phénobarbital) peut également survenir.
  • +Environ 2530% des patients qui présentent une réaction d'hypersensibilité à la carbamazépine développent une réaction croisée à l'oxcarbazépine (Trileptal®) Une réaction croisée entre la carbamazépine et des antiépileptiques aromatiques (par ex. la phénytoïne, la primidone ou le phénobarbital) peut également survenir.
  • -Des cas d'idées suicidaires et de comportements suicidaires ont été rapportés chez des patientes et des patients traités par des antiépileptiques pour des indications très diverses. A ce sujet, une méta-analyse d'études contrôlées contre placebo a montré un risque légèrement plus élevé. Le mécanisme sous-jacent n'est pas connu. Les patientes et les patients doivent donc être surveillés par rapport à des idées ou des comportements suicidaires et un traitement approprié doit être instauré le cas échéant. Il faut attirer l'attention des patientes et des patients ou de leur soignant sur le fait qu'ils doivent demander conseil à un médecin dans une telle situation.
  • +Des cas d'idées suicidaires et de comportements suicidaires ont été rapportés chez des patientes et des patients traités par des antiépileptiques pour des indications très diverses. À ce sujet, une méta-analyse d'études contrôlées contre placebo a montré un risque légèrement plus élevé. Le mécanisme sous-jacent n'est pas connu. Les patientes et les patients doivent donc être surveillés par rapport à des idées ou des comportements suicidaires et un traitement approprié doit être instauré le cas échéant. Il faut attirer l'attention des patientes et des patients ou de leur soignant sur le fait qu'ils doivent demander conseil à un médecin dans une telle situation.
  • -Lors de l'utilisation de la carbamazépine pendant la grossesse, des malformations congénitales peuvent survenir. Tégrétol ne doit donc être pris pour le traitement d'une épilepsie pendant la grossesse que lorsque le bénéfice potentiel justifie les risques potentiels. En cas d'indications psychiatriques et de douleurs neuropathiques, la carbamazépine ne doit pas être utilisée et il faut recourir à des traitements alternatifs mieux adaptés.
  • +Lors de l'utilisation de la carbamazépine pendant la grossesse, des malformations congénitales peuvent survenir. Tégrétol ne doit donc être pris pour le traitement d'une épilepsie pendant la grossesse que lorsque le bénéfice potentiel justifie les risques potentiels. En cas d'indications psychiatriques et de douleurs neuropathiques, la carbamazépine ne doit pas être utilisée et il faut plutôt recourir à des traitements alternatifs mieux adaptés.
  • -Des métrorragies ont été signalées chez des patientes sous contraceptifs oraux; l'efficacité des contraceptifs oraux peut être annulée par la prise concomitante de Tégrétol. C'est pourquoi des méthodes de contraception alternatives non hormonales doivent être recommandées aux patientes en âge de procréer recevant un traitement par Tégrétol.
  • +Des métrorragies ont été signalées chez des patientes sous contraceptifs hormonaux; l'efficacité des contraceptifs hormonaux peut être annulée par la prise concomitante de Tégrétol. C'est pourquoi des méthodes de contraception alternatives non hormonales doivent être recommandées aux patientes en âge de procréer recevant un traitement par Tégrétol.
  • -L'utilisation concomitante de la carbamazépine et d'anticoagulants oraux à action directe (rivaroxaban, dabigatran, apixaban, édoxaban) peut conduire à des concentrations plasmatiques réduites des anticoagulants oraux à action directe et augmenter ainsi le risque de thrombose. Si une utilisation concomitante est nécessaire, une surveillance étroite est par conséquent recommandée afin d'identifier les éventuels signes et symptômes d'une thrombose.
  • +L'utilisation concomitante de la carbamazépine et d'anticoagulants oraux à action directe (rivaroxaban, dabigatran, apixaban, edoxaban) peut conduire à des concentrations plasmatiques réduites des anticoagulants oraux à action directe et augmenter ainsi le risque de thrombose. Si une utilisation concomitante est nécessaire, une surveillance étroite est par conséquent recommandée afin d'identifier les éventuels signes et symptômes d'une thrombose.
  • -Bien que la corrélation entre la posologie et les taux plasmatiques de carbamazépine, ainsi qu'entre les taux plasmatiques et l'efficacité clinique ou la tolérance, soit assez faible, la détermination des concentrations plasmatiques peut néanmoins s'avérer utile dans les cas suivants: augmentation subite et importante de la fréquence des crises, vérification de l'observance du traitement; grossesse; chez l'enfant ou l'adolescent; lors de suspicion de troubles de l'absorption; lorsqu'un effet toxique est suspecté lors de polymédication (cf. «Interactions»).
  • +Bien que la corrélation entre la posologie et les taux plasmatiques de carbamazépine, ainsi qu'entre les taux plasmatiques et l'efficacité clinique ou la tolérance, soit assez faible, la détermination des concentrations plasmatiques peut néanmoins s'avérer utile dans les cas suivants: augmentation subite et importante de la fréquence des crises; vérification de l'observance du traitement; pendant une grossesse; chez l'enfant ou l'adolescent; lors de suspicion de troubles de l'absorption; lorsqu'un effet toxique est suspecté lors de polymédication (cf. «Interactions»).
  • -Un arrêt subit du traitement par Tégrétol peut provoquer des crises, c'est pourquoi la carbamazépine doit être arrêtée progressivement sur 6 mois. Si un changement du traitement s'avère nécessaire chez des patients épileptiques, ce changement ne devra pas se faire brusquement, mais en diminuant Tégrétol progressivement tout en instaurant un autre traitement antiépileptique.
  • +Un arrêt subit du traitement par Tégrétol peut provoquer de crises, c'est pourquoi la carbamazépine doit être arrêtée progressivement sur 6 mois. Si un changement de traitement s'avère nécessaire chez des patients épileptiques, ce changement ne devra pas se faire brusquement, mais en diminuant Tégrétol progressivement tout en instaurant un autre traitement antiépileptique.
  • -Tégrétol Suspension orale contient du parahydroxybenzoate qui peut déclencher des réactions allergiques (éventuellement retardées). Elle contient également du sorbitol et ne devrait donc pas être administrée à des personnes atteintes de la rare intolérance héréditaire au fructose.
  • +Tégrétol Comprimés
  • +Tégrétol Comprimés contiennent moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c.-à-d. qu'ils sont essentiellement «sans sodium».
  • +Tégrétol Divitabs
  • +Tégrétol Divitabs contiennent moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé, c.-à-d. qu'ils sont essentiellement «sans sodium».
  • +Tégrétol Divitabs contiennent de l'hydroxystéarate de macrogolglycérol. Peut causer des maux d'estomac et de la diarrhée.
  • +Tégrétol Suspension orale
  • +Tégrétol Suspension orale contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose de 5 ml (= 1 cuillère graduée), c.-à-d. qu'elle est essentiellement «sans sodium».
  • +Tégrétol Suspension orale contient 125 mg de propylène glycol par dose de 5 ml (= 1 cuillère graduée). L'administration concomitante avec n'importe quel substrat pour l'alcool déshydrogénase comme l'éthanol peut induire des effets indésirables graves chez les nouveau-nés.
  • +Tégrétol Suspension orale contient du parahydroxybenzoate qui peut déclencher des réactions allergiques (éventuellement retardées).
  • +Tégrétol Suspension orale contient 875 mg de sorbitol par dose de 5 ml (= 1 cuillère graduée) et ne doit donc pas être administrée à des personnes présentant une rare intolérance héréditaire au fructose. L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol ou de fructose doit être pris en compte. La teneur en sorbitol dans les médicaments à usage oral peut affecter la biodisponibilité d'autres médicaments à usage oral administrés de façon concomitante.
  • -Le cytochrome P450 3A4 (CYP 3A4) est la principale enzyme catalysant la formation du métabolite actif: l'époxy-10,11-carbamazépine. L'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP 3A4 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine susceptible d'induire des effets indésirables. L'administration concomitante d'inducteurs du CYP 3A4 peut au contraire stimuler le métabolisme de Tégrétol, faire baisser le taux sérique de carbamazépine et éventuellement conduire à une diminution de l'effet thérapeutique. De même, l'interruption de l'administration d'un inducteur du CYP 3A4 peut diminuer le métabolisme de la carbamazépine et conduire ainsi à une élévation des taux sériques de carbamazépine.
  • -La carbamazépine est un inducteur puissant du CYP3A4 et d'autres enzymes hépatiques de phase I et phase II. Elle peut donc éventuellement réduire les concentrations plasmatiques de substances administrées simultanément et principalement métabolisées par le CYP3A4.
  • -L'époxyde hydrolase microsomale humaine est considérée comme un enzyme responsable de la formation de dérivés 10,11-transdiol à partir de l'époxy-10,11 -carbamazépine. L'utilisation concomitante de substances inhibant l'époxyde hydrolase microsomiale (p.ex. l'acide valproïque) peut provoquer une augmentation du taux sanguin d'époxy-10,11-carbamazépine.
  • -Substances susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques de carbamazépine:
  • +Le cytochrome P450 3A4 (CYP 3A4) est la principale enzyme catalysant la formation du métabolite actif: l'époxy-10,11carbamazépine. L'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP 3A4 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine susceptible d'induire des effets indésirables. L'administration concomitante d'inducteurs du CYP 3A4 peut au contraire stimuler le métabolisme de Tégrétol, faire baisser le taux sérique de carbamazépine et éventuellement conduire à une diminution de l'effet thérapeutique. De même, l'interruption de l'administration d'un inducteur du CYP 3A4 peut diminuer le métabolisme de la carbamazépine et conduire ainsi à une élévation des taux sériques de carbamazépine.
  • +La carbamazépine est un inducteur puissant du CYP 3A4 et d'autres enzymes hépatiques de phase I et phase II. Elle peut donc éventuellement réduire les concentrations plasmatiques de substances administrées simultanément et principalement métabolisées par le CYP 3A4.
  • +L'époxyde hydrolase microsomale humaine est considérée comme une enzyme responsable de la formation de dérivés 10,11transdiol à partir de l'époxy-10,11carbamazépine. L'utilisation concomitante de substances inhibant l'époxyde hydrolase microsomiale (p.ex. l'acide valproïque) peut provoquer une augmentation du taux sanguin d'époxy-10,11carbamazépine.
  • +Substances susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques de carbamazépine
  • -Inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire; ticlodipine.
  • +Inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire: ticlodipine.
  • -Substances susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques d'époxy-10,11-carbamazépine:
  • -L'augmentation du taux plasmatique d'époxy-10,11-carbamazépine pouvant causer des effets indésirables (p. ex. vertiges, somnolence, ataxie, diplopie), la posologie de Tégrétol doit être surveillée attentivement et éventuellement ajustée, en cas d'administration simultanée avec les substances suivantes: loxapine, quétiapine, primidone, progabide, acide valproïque, valnoctamide et valpromide.
  • -Substances susceptibles de faire baisser les concentrations plasmatiques de carbamazépine:
  • +Substances susceptibles d'augmenter les concentrations plasmatiques d'époxy-10,11carbamazépine
  • +L'augmentation du taux plasmatique d'époxy-10,11carbamazépine pouvant causer des effets indésirables (p.ex. vertiges, somnolence, ataxie, diplopie), la posologie de Tégrétol doit être surveillée attentivement et éventuellement ajustée, en cas d'administration simultanée avec les substances suivantes: brivaracétam, loxapine, quétiapine, primidone, progabide, acide valproïque, valnoctamide et valpromide.
  • +Substances susceptibles de faire baisser les concentrations plasmatiques de carbamazépine
  • -Effet de Tégrétol sur les taux plasmatiques de substances administrées simultanément:
  • +Effet de Tégrétol sur les taux plasmatiques de substances administrées simultanément
  • -Anticoagulants: anticoagulants oraux (warfarine, phenprocoumone, dicoumarol, acénocoumarol, rivaroxaban, dabigatran, apixaban, édoxaban).
  • -Antidépresseurs: antidépresseurs tricycliques (p.ex. imipramine, amitriptyline, nortryptiline, clomipramine), bupropion (la carbamazépine peut abaisser le taux plasmatique du bupropion et élever celui de son métabolite l'hydroxybupropion et réduire ainsi l'efficacité clinique et la sécurité du bupropion), citalopram, miansérine, néfazodone, sertraline, trazodone. Tégrétol ne doit pas être utilisé en combinaison avec des inhibiteurs de la MAO; avant d'administrer Tégrétol, il faut arrêter les inhibiteurs de la MAO pendant 2 semaines au moins, plus longtemps si la situation clinique le permet (voir «Contre-indications»).
  • +Anticoagulants: anticoagulants oraux (warfarine, phenprocoumone, dicoumarol, acénocoumarol, rivaroxaban, dabigatran, apixaban, edoxaban).
  • +Antidépresseurs: antidépresseurs tricycliques (p.ex. imipramine, amitriptyline, nortryptiline, clomipramine), bupropion (la carbamazépine peut abaisser le taux plasmatique du bupropion et élever celui de son métabolite l'hydroxybupropion et réduire ainsi l'efficacité clinique et la sécurité du bupropion), citalopram, miansérine, néfazodone, sertraline, trazodone. Tégrétol ne doit pas être utilisé en combinaison avec des inhibiteurs de la MAO; avant d'administrer le Tégrétol, il faut arrêter les inhibiteurs de la MAO pendant 2 semaines au moins, plus longtemps si la situation clinique le permet (voir «Contre-indications»).
  • -Antimycosiques: itraconazole, kétoconazole, voriconazole. D'autres anticonvulsivants sont éventuellement recommandés chez les patients traités par le voriconazole et l'itraconazole
  • +Antimycosiques: itraconazole, kétoconazole, voriconazole. D'autres anticonvulsivants sont éventuellement recommandés chez les patients traités par le voriconazole et l'itraconazole.
  • -Hormones thyroïdiennes: lévothyroxine: la carbamazépine semble accroître l'élimination des hormones thyroïdiennes et en augmenter les besoins chez les patients souffrant d'hypothyroïdie. C'est pourquoi chez les patients qui reçoivent une thérapie de substitution, il faut contrôler les paramètres thyroïdiens au début et à la fin d'un traitement par Tégrétol. Le cas échéant, il faut procéder à un ajustement posologique des préparations à base d'hormones thyroïdiennes. En particulier, le traitement simultané par carbamazépine et autres anticonvulsifs (p. ex. phénobarbital) peut modifier la fonction thyroïdienne.
  • -Contraceptifs: les contraceptifs hormonaux (lors de la prise de la «pilule», des métrorragies soudaines peuvent se produire en sus de la diminution d'effet des contraceptifs hormonaux. C'est pourquoi la contraception orale devrait contenir plus de 50 mcg d'œstrogène ou il faudrait recommander d'autres méthodes contraceptives, non hormonales.).
  • +Hormones thyroïdiennes: lévothyroxine: la carbamazépine semble accroître l'élimination des hormones thyroïdiennes et en augmenter les besoins chez les patients souffrant d'hypothyroïdie. C'est pourquoi chez les patients qui reçoivent une thérapie de substitution, il faut contrôler les paramètres thyroïdiens au début et à la fin d'un traitement par Tégrétol. Le cas échéant, il faut procéder à un ajustement posologique des préparations à base d'hormones thyroïdiennes. En particulier, le traitement simultané par carbamazépine et autres anticonvulsifs (p.ex. phénobarbital) peut modifier la fonction thyroïdienne.
  • +Contraceptifs: sous contraceptifs hormonaux, des métrorragies soudaines peuvent se produire en sus de la diminution d'effet des contraceptifs hormonaux. C'est pourquoi la contraception devrait contenir plus de 50 mcg d'œstrogène ou il faudrait recommander d'autres méthodes contraceptives, non hormonales.
  • -A évaluer en cas de traitement associé:
  • +À évaluer en cas de traitement associé
  • -La carbamazépine peut s'opposer aux effets des myorelaxants non dépolarisants (pancuronium p.ex.); leur posologie doit être augmentée le cas échéant et les patients doivent être surveillés attentivement en cas de suppression plus rapide que prévue du bloc neuromusculaire.
  • +La carbamazépine peut s'opposer aux effets des myorelaxants non dépolarisants (pancuronium p. ex.); leur posologie doit être augmentée le cas échéant et les patients doivent être surveillés attentivement en cas de suppression plus rapide que prévue du bloc neuromusculaire.
  • -L'utilisation concomitante de la carbamazépine et d'anticoagulants oraux à action directe (rivaroxaban, dabigatran, apixaban, édoxaban) peut conduire à des concentrations plasmatiques réduites des anticoagulants oraux à action directe et augmenter ainsi le risque de thrombose. Si une utilisation concomitante est nécessaire, une surveillance étroite est par conséquent recommandée afin d'identifier les éventuels signes et symptômes d'une thrombose.
  • -À prendre en considération lors de tests sérologiques:
  • +L'utilisation concomitante de la carbamazépine et d'anticoagulants oraux à action directe (rivaroxaban, dabigatran, apixaban, edoxaban) peut conduire à des concentrations plasmatiques réduites des anticoagulants oraux à action directe et augmenter ainsi le risque de thrombose. Si une utilisation concomitante est nécessaire, une surveillance étroite est par conséquent recommandée afin d'identifier les éventuels signes et symptômes d'une thrombose.
  • +À prendre en considération lors de tests sérologiques
  • -La carbamazépine et son métabolite 10,11-époxyde pourraient donner des résultats faux positifs lors du dosage des antidépresseurs tricycliques dans les essais immunologiques par polarisation de fluorescence.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +La carbamazépine et son métabolite 10,11époxyde pourraient donner des résultats faux positifs lors du dosage des antidépresseurs tricycliques dans les essais immunologiques par polarisation de fluorescence.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Sur la base des données du North American Pregnancy Registry, la proportion d'anomalies congénitales majeures, définies comme des anomalies structurales ayant une portée chirurgicale, médicale ou cosmétique et diagnostiquées dans les 12 premières semaines après la naissance, est de 3.0% (IC à 95% 2.1-4.2%) chez les mères ayant été traitées en monothérapie par la carbamazépine pendant le premier trimestre de la grossesse et de 1.1% (IC à 95% 0.35-2.5%) chez les femmes enceintes n'ayant pas pris de médicaments antiépileptiques (risque relatif de 2.7, IC à 95% 1.1-7.0%).
  • +Sur la base des données du North American Pregnancy Registry, la proportion d'anomalies congénitales majeures, définies comme des anomalies structurales ayant une portée chirurgicale, médicale ou cosmétique et diagnostiquées dans les 12 premières semaines après la naissance, est de 3.0% (IC à 95% 2.14.2%) chez les mères ayant été traitées en monothérapie par la carbamazépine pendant le premier trimestre de la grossesse et de 1.1% (IC à 95% 0.352.5%) chez les femmes enceintes n'ayant pas pris de médicaments antiépileptiques (risque relatif de 2.7, IC à 95% 1.17.0%).
  • -La dose administrée devrait être maintenue la plus basse possible surtout entre le 20e et le 40e jour de la grossesse. Les malformations étant très vraisemblablement déclenchées par les pics plasmatiques, la dose journalière devrait être fractionnée en plusieurs petites doses réparties sur la journée durant cette phase de la grossesse. La surveillance des concentrations plasmatiques est recommandée. La concentration plasmatique pourrait être maintenue dans la limite inférieure de la fourchette thérapeutique de 4 à 12 µg/ml, à condition que les crises soient maîtrisées. Des éléments indiquent que le risque de malformations associé à la carbamazépine est dose-dépendant, c.-à-d. que la proportion de malformations observées a été plus faible avec une dose quotidienne <400 mg qu'avec des doses plus élevées de carbamazépine.
  • +La dose administrée devrait être maintenue la plus basse possible surtout entre le 20e et le 40e jour de la grossesse. Les malformations étant très vraisemblablement déclenchées par les pics plasmatiques, la dose journalière devrait être fractionnée en plusieurs petites doses réparties sur la journée durant cette phase de la grossesse. La surveillance des concentrations plasmatiques est recommandée. La concentration plasmatique pourrait être maintenue dans la limite inférieure de la fourchette thérapeutique de 4 à 12 µg/ml, à condition que les crises soient maîtrisées. Des éléments indiquent que le risque de malformations associé à la carbamazépine est dose-dépendant, c.-à-d. que la proportion de malformations observées a été plus faible avec une dose quotidienne < 400 mg qu'avec des doses plus élevées de carbamazépine.
  • -Certains types d'effets indésirables se produisent occasionnellement ou fréquemment surtout en début de traitement si Tégrétol est administré à des doses initiales trop élevées, ou encore chez les patients âgés. Il s'agit entre autres d'effets indésirables sur le système nerveux central (SNC) (vertiges, céphalées, ataxie, somnolence, épuisement, diplopie), de troubles gastro-intestinaux (nausées, vomissements) ainsi que de réactions cutanées allergiques.
  • +Certains types d'effets indésirables se produisent de manière occasionnelle ou fréquente surtout en début de traitement si Tégrétol est administré à des doses initiales trop élevées, ou encore chez les patients âgés. Il s'agit entre autres d'effets indésirables sur le système nerveux central (SNC) (vertiges, céphalées, ataxie, somnolence, épuisement, diplopie), de troubles gastro-intestinaux (nausées, vomissements) ainsi que de réactions cutanées allergiques.
  • -Taux de fréquence des effets indésirables: «très fréquemment» (≥1/10); «fréquemment» (≥1/100, <1/10); «occasionnellement» (≥1/1'000, <1/100); «rarement» ≥(1/10'000, <1/1'000); «très rarement» (<1/10'000).
  • +Taux de fréquence des effets indésirables: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000).
  • -Rarement: syndrome dhypersensibilité multiorganique retardée avec fièvre, exanthème, vascularite, lymphadénopathie, pseudo-lymphome, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie ainsi que bilans hépatiques anormaux, syndrome de disparition des voies biliaires (dissolution et disparition des voies biliaires intra-hépatiques), survenant dans diverses combinaisons. Dautres organes peuvent également être affectés (p.ex. poumons, reins, pancréas, myocarde, côlon).
  • +Rarement: syndrome d'hypersensibilité multiorganique retardée avec fièvre, exanthème, vascularite, lymphadénopathie, pseudo-lymphome, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie ainsi que bilans hépatiques anormaux, syndrome de disparition des voies biliaires (dissolution et disparition des voies biliaires intra-hépatiques), survenant dans diverses combinaisons. D'autres organes peuvent également être affectés (p.ex. poumons, reins, pancréas, myocarde, côlon).
  • -Fréquemment: œdème, rétention liquidienne, prise de poids; hyponatrémie et diminution de losmolalité plasmatique dues à un effet comparable à celui de l'hormone antidiurétique (ADH) et ayant conduit dans des cas isolés à une intoxication par l'eau accompagnée de léthargie, nausées, vomissements, céphalées, confusion, anomalies neurologiques, convulsions, désorientation, diminution de la perception, troubles visuels, encéphalopathie («syndrome de sécrétion inappropriée dADH»).
  • +Fréquemment: œdème, rétention liquidienne, prise de poids; hyponatrémie et diminution de l'osmolalité plasmatique dues à un effet comparable à celui de l'hormone antidiurétique (ADH) et ayant conduit dans des cas isolés à une intoxication par l'eau accompagnée de léthargie, nausées, vomissements, céphalées, confusion, anomalies neurologiques, convulsions, désorientation, diminution de la perception, troubles visuels ou encéphalopathie («syndrome de sécrétion inappropriée d'ADH»).
  • -Rarement: carence en acide folique, perte dappétit.
  • +Rarement: carence en acide folique, perte d'appétit.
  • -Très fréquemment: vertiges (10-50%), ataxie (enfants: 10.4%; adultes: 50%), somnolence.
  • +Très fréquemment: vertiges (1050%), ataxie (enfants: 10.4%; adultes: 50%), somnolence.
  • -Fréquemment: troubles de laccommodation (p.ex. vision trouble).
  • +Fréquemment: troubles de l'accommodation (p.ex. vision trouble).
  • -Très rarement: collapsus circulatoire, thrombophlébite, thrombo-embolie (p. ex. embolie pulmonaire), vascularite.
  • +Très rarement: collapsus circulatoire, thrombophlébite, thrombo-embolie (p.ex. embolie pulmonaire), vascularite.
  • -Rarement: ictère, hépatites cholestatiques, parenchymateuses (hépatocellulaires), ou mixtes, syndrome de disparition des voies biliaires.
  • +Rarement: ictère, hépatites cholestatiques, parenchymateuses (hépatocellulaires) ou hépatites sous formes mixtes, syndrome de disparition des voies biliaires.
  • -Très rarement: troubles du métabolisme osseux (diminution du calcium plasmatique et du 25-hydroxy-cholécalciférol) entraînant une ostéomalacie/ostéoporose, arthralgies, douleurs ou spasmes musculaires.
  • +Très rarement: troubles du métabolisme osseux (diminution du calcium plasmatique et du 25hydroxycholécalciférol) entraînant une ostéomalacie/ostéoporose, arthralgies, douleurs ou spasmes musculaires.
  • -Très rarement: néphrite tubulo-interstitielle, défaillance rénale, troubles de la fonction rénale (p. ex. albuminurie, hématurie, oligurie; élévation de lurée/ azotémie), pollakiurie, rétention urinaire.
  • +Très rarement: néphrite tubulo-interstitielle, défaillance rénale, troubles de la fonction rénale (p.ex. albuminurie, hématurie, oligurie; élévation de l'urée/azotémie), pollakiurie, rétention urinaire.
  • -Très fréquemment: augmentation de la gamma GT (due à linduction des enzymes hépatiques), habituellement sans signification clinique.
  • +Très fréquemment: augmentation de la gamma GT (due à l'induction des enzymes hépatiques), habituellement sans signification clinique.
  • -Très rarement: augmentation de la pression intraoculaire, augmentation du taux de cholestérol, y compris de HDL-cholestérol et de triglycérides, anomalies des tests de la fonction thyroïdienne: diminution de la L-thyroxine (thyroxine libre, thyroxine, triiodothyronine) et augmentation des taux de TSH, habituellement sans manifestations cliniques, augmentation du taux de prolactine.
  • +Très rarement: augmentation de la pression intraoculaire, augmentation du taux de cholestérol, y compris de HDLcholestérol et de triglycérides, anomalies des tests de la fonction thyroïdienne: diminution de la Lthyroxine (thyroxine libre, thyroxine, triiodothyronine) et augmentation des taux de TSH, habituellement sans manifestations cliniques, augmentation du taux de prolactine.
  • -Les effets indésirables suivants ont été identifiés sur la base de rapports spontanés après la commercialisation. Ces réactions ayant été rapportées sur la base dannonces spontanées dune population dont la taille est inconnue, il nest pas toujours possible délaborer des conclusions fiables quant à leur fréquence véritable.
  • +Les effets indésirables suivants ont été identifiés sur la base de rapports spontanés après la commercialisation. Ces réactions ayant été rapportées sur la base d'annonces spontanées d'une population dont la taille est inconnue, il n'est pas toujours possible d'élaborer des conclusions fiables quant à leur fréquence véritable.
  • -Réactivation dune infection par le virus herpétique humain de type 6.
  • +Réactivation d'une infection par le virus herpétique humain de type 6.
  • -Lésion, intoxications et complications dues aux interventions
  • +Lésion, intoxications et complications liées aux procédures
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
  • -Signes et symptômes
  • +Symptômes et observations
  • -Code ATC: N03AF01
  • +Code ATC:
  • +N03AF01
  • -Pharmacodynamie
  • -Comme antiépileptique Tégrétol possède le spectre d'activité suivant: crises partielles, simples et complexes, secondairement généralisées ou non; crises tonico-cloniques généralisées, ainsi que combinaisons de ces différentes formes d'épilepsie.
  • -Au cours de certaines des études cliniques, notamment chez des enfants et des adolescents épileptiques traités par Tégrétol en monothérapie, une action psychotrope du médicament et un effet bénéfique sur l'attention, les performances cognitives, les symptômes d'anxiété et de dépression ont été observés ainsi qu'en outre une diminution de l'irritabilité et de l'agressivité.
  • -Comme neurotrope Tégrétol est cliniquement efficace dans une série de pathologies neurologiques, comme par ex. prévention des accès douloureux paroxystiques de la névralgie primaire ou secondaire du trijumeau. De plus, un soulagement des douleurs neurologiques dans diverses situations a été observé avec Tégrétol. Dans le syndrome de sevrage alcoolique, Tégrétol relève un seuil épileptogène abaissé et atténue les symptômes de privation (par ex. l'hyperexcitabilité, les tremblements et une démarche hésitante).
  • -Comme psychotrope, Tégrétol s'est avéré cliniquement efficace en cas de troubles affectifs comme p. ex. pour le traitement de troubles maniaques aigus ainsi que pour le traitement à long terme de troubles affectifs maniaco-dépressifs bipolaires soit en monothérapie, soit en combinaison avec d'autres neuroleptiques, antidépresseurs ou médicaments à base de lithium.
  • +Pharmacodynamique
  • +Comme antiépileptique, Tégrétol possède le spectre d'activité suivant: crises partielles, simples et complexes, secondairement généralisées ou non; crises tonico-cloniques généralisées, ainsi que combinaisons de ces différentes formes d'épilepsie.
  • +Au cours de certaines des études cliniques sur des patients, notamment chez des enfants et des adolescents, épileptiques traités par Tégrétol en monothérapie, une action psychotrope du médicament et un effet bénéfique sur l'attention, les performances cognitives, les symptômes d'anxiété et de dépression ont été observés ainsi qu'en outre une diminution de l'irritabilité et de l'agressivité.
  • +Comme neurotrope, Tégrétol est cliniquement efficace dans une série de pathologies neurologiques, comme par ex. prévention des accès douloureux paroxystiques de la névralgie primaire ou secondaire du trijumeau. De plus, un soulagement des douleurs neurologiques dans diverses situations a été observé avec Tégrétol. Dans le syndrome de sevrage alcoolique, Tégrétol relève un seuil épileptogène abaissé et atténue les symptômes de privation (par ex. l'hyperexcitabilité, les tremblements et une démarche hésitante).
  • +Comme psychotrope, Tégrétol s'est avéré cliniquement efficace en cas de troubles affectifs comme p.ex. pour le traitement de troubles maniaques aigus ainsi que pour le traitement à long terme de troubles affectifs maniaco-dépressifs bipolaires soit en monothérapie, soit en combinaison avec d'autres neuroleptiques, antidépresseurs ou médicaments à base de lithium.
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune donnée.
  • +
  • -Avec les CR Divitabs, une baisse statistiquement significative de l'index de fluctuation et de la Cmax à l'état d'équilibre ainsi qu'une diminution non significative de la Cmin ont été observées. La concentration plasmatique à l'intérieur de l'intervalle thérapeutique à l'état d'équilibre est d'environ 4 à 12 µg/ml, correspondant à 17-50 µmol/l, de carbamazépine. Les concentrations d'époxy-10,11-carbamazépine (métabolite pharmacologiquement actif) étaient d'environ 30% de celles de la carbamazépine.
  • +Avec les CR Divitabs, une baisse statistiquement significative de l'index de fluctuation et de la Cmax à l'état d'équilibre ainsi qu'une diminution non significative de la Cmin ont été observées. La concentration plasmatique à l'intérieur de l'intervalle thérapeutique à l'état d'équilibre est d'environ 4 à 12 µg/ml, correspondant à 1750 µmol/l, de carbamazépine. Les concentrations d'époxy-10,11carbamazépine (métabolite pharmacologiquement actif) étaient d'environ 30% de celles de la carbamazépine.
  • -La liaison de la carbamazépine aux protéines sériques est de 70-80%. Les concentrations de substance inchangée dans le LCR et la salive correspondent à la part de substance non liée aux protéines (20-30%). Les concentrations mesurées dans le lait maternel représentent le 25-60% des concentrations plasmatiques. La carbamazépine passe la barrière placentaire.
  • -Le volume de distribution apparent est de 0.8-1.9 l/kg.
  • +La liaison de la carbamazépine aux protéines sériques est de 7080%. Les concentrations de substance inchangée dans le LCR et la salive correspondent à la part de substance non liée aux protéines (2030%). Les concentrations mesurées dans le lait maternel représentent le 2560% des concentrations plasmatiques. La carbamazépine passe la barrière placentaire.
  • +Le volume de distribution apparent est de 0.81.9 l/kg.
  • -La carbamazépine est métabolisée principalement par la voie époxyde-diol dans le foie. En premier lieu par oxydation en époxy-10,11-carbamazépine, principalement par l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P450. L'époxyde hydrolase microsomale humaine est considérée comme responsables de la formation du métabolite actif, époxy-10,11-carbamazépine. Ce dernier est ensuite transformé presque complètement en dérivé transdiol-10,11 et ses glucuronides. Environ 30% de la dose orale de carbamazépine apparaît dans les urines comme produit issu de la dégradation de l'époxyde.
  • -Le 9-hydroxyméthyl-10-carbamoyl-acridane est un métabolite moins important. D'autres voies métaboliques importantes aboutissent à plusieurs substances monohydroxylées ainsi que par l'UGT2B7 au carbamazépine-N-glucuronide.
  • +La carbamazépine est métabolisée principalement par la voie époxyde-diol dans le foie. En premier lieu par oxydation en époxy-10,11carbamazépine, principalement par l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P450. L'époxyde hydrolase microsomale humaine est considérée comme responsables de la formation du métabolite actif, époxy-10,11carbamazépine. Ce dernier est ensuite transformé presque complètement en dérivé transdiol-10,11 et ses glucuronides. Environ 30% de la dose orale de carbamazépine apparaît dans les urines comme produit issu de la dégradation de l'époxyde.
  • +Le 9hydroxyméthyl-10carbamoylacridane est un métabolite moins important. D'autres voies métaboliques importantes aboutissent à plusieurs substances monohydroxylées ainsi que par l'UGT2B7 au carbamazépine-Nglucuronide.
  • -La demi-vie d'élimination plasmatique après une dose unique est de 36 h en moyenne; après prises multiples (auto-induction du système enzymatique de la mono-oxygénase hépatique) elle est de 16-24 h en moyenne; lors d'association avec d'autres médicaments inducteurs des enzymes hépatiques (p.ex. phénytoïne, phénobarbital) elle est de 9-10 h en moyenne. Après une prise unique de 400 mg, l'excrétion est de 72% dans les urines (2% sous forme inchangée; 1% sous forme d'époxyde; env. 30% sous forme de carbamazépine-transdiol-10,11 et autres métabolites inactifs) et de 28% dans les fèces.
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières
  • +La demi-vie d'élimination plasmatique après une dose unique est de 36 h en moyenne; après prises multiples (auto-induction du système enzymatique de la mono-oxygénase hépatique) elle est de 1624 h en moyenne; lors d'association avec d'autres médicaments inducteurs des enzymes hépatiques (p.ex. phénytoïne, phénobarbital) elle est de 910 h en moyenne. Après une prise unique de 400 mg, l'excrétion est de 72% dans les urines (2% sous forme inchangée; 1% sous forme d'époxyde; env. 30% sous forme de carbamazépinetransdiol-10,11 et autres métabolites inactifs) et de 28% dans les fèces.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Les données précliniques basées sur des études conventionnelles de toxicité à dose unique et doses répétées ne montrent pas de risque particulier pour l'être humain.
  • +Les données précliniques issues des études conventionnelles sur la toxicité à dose unique et en administration répétée n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • -Dans les études de fertilité menées chez le rat avec administration orale de carbamazépine en partie dans la fourchette de doses thérapeutiques, des effets contradictoires ont été observés, allant d'une absence d'observation à une réduction nette de la fertilité masculine, en passant par une diminution de la qualité des spermatozoïdes, avec des signes de réversibilité.
  • -Dans différentes études sur la toxicité pour le développement réalisées chez le rat et la souris, une réduction du poids des fœtus et des retards d'ossification ont été observés à des doses de carbamazépine en partie à partir de la fourchette thérapeutique. La fréquence des avortements et des malformations viscérales et squelettiques a été plus élevée à des doses plus élevées de carbamazépine (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) qui ont entraîné une réduction de la prise de poids chez les mères.
  • +Dans les études de fertilité menées chez le rat avec administration orale de carbamazépine en partie dans la fourchette de doses thérapeutiques, des effets contradictoires ont été observés, allant d'une absence d'observation à une diminution de la qualité des spermatozoïdes en passant par une réduction nette de la fertilité masculine, avec des signes de réversibilité.
  • +Dans différentes études sur la toxicité pour le développement réalisées chez le rat et la souris, une réduction du poids des fœtus et des retards d'ossification ont été observés à des doses de carbamazépine en partie à partir de la fourchette thérapeutique. La fréquence des avortements et des malformations viscérales et squelettiques a été plus élevée à des doses plus élevées de carbamazépine (200600 mg/kg de poids corporel/jour) qui ont entraîné une réduction de la prise de poids chez les mères.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver le médicament hors de la portée des enfants.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Mai 2018.
  • +Avril 2021.
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