36 Changements de l'information professionelle Depo-Provera 150 |
-Excipients: Macrogolum 3350, Polysorbatum 80, Natrii chloridum, Conserv.: E216 0.15 mg, E218 1.35 mg, Aqua ad iniectabilia q.s. ad suspensionem pro 1 ml.
- +Excipients
- +Macrogolum 3350, Polysorbatum 80, Natrii chloridum, Conserv.: E216 0.15 mg, E218 1.35 mg, Aqua ad iniectabilia q.s. ad suspensionem pro 1 ml.
-Utilisation après un accouchement ou un avortement survenu pendant le deuxième trimestre: Depo-Provera 150 doit être injecté 21-28 jours après la naissance ou l'avortement survenu pendant le deuxième trimestre. Si l'injection a lieu plus tard, la femme doit être incitée à utiliser en plus un contraceptif mécanique pendant les 7 premiers jours suivant l'injection. Si un rapport sexuel a déjà eu lieu, il faudra exclure l'éventualité d'une grossesse avant l'injection ou attendre les premières règles naturelles de la femme.
- +Utilisation après un accouchement ou un avortement survenu pendant le deuxième trimestre:
- +Depo-Provera 150 doit être injecté 21-28 jours après la naissance ou l'avortement survenu pendant le deuxième trimestre. Si l'injection a lieu plus tard, la femme doit être incitée à utiliser en plus un contraceptif mécanique pendant les 7 premiers jours suivant l'injection. Si un rapport sexuel a déjà eu lieu, il faudra exclure l'éventualité d'une grossesse avant l'injection ou attendre les premières règles naturelles de la femme.
-·Suspicion de grossesse ou grossesse confirmée
-·Fausse couche ou avortement incomplet
-·Hypersensibilité à l'acétate de médroxyprogestérone ou à l'un des excipients
- +·Suspicion de grossesse ou grossesse confirmée
- +·Fausse couche ou avortement incomplet
- +·Hypersensibilité à l'acétate de médroxyprogestérone ou à l'un des excipients.
-La perte de DMO est chez l'adolescente et la jeune femme particulièrement grave car ces femmes se trouvent dans une phase cruciale de la croissance osseuse. La perte osseuse s'accroît avec la durée du traitement. On ignore si les injections de MPA sont susceptibles de réduire la masse osseuse maximale chez la jeune femme et d'augmenter le risque de fracture ostéoporotique future. Après l'arrêt des injections de MPA et la normalisation correspondante de la production ovarienne d'œstrogènes, la perte de DMO paraît réversible dans la plupart des cas, autant chez la femme adulte que chez l'adolescente.
- +La perte de DMO est chez l'adolescente et la jeune femme particulièrement grave car ces femmes se trouvent dans une phase cruciale de la croissance osseuse. La perte osseuse s'accroît avec la durée du traitement. On ignore si les injections de MPA sont susceptibles de réduire la masse osseuse maximale chez la jeune femme et d'augmenter le risque de fracture ostéoporotique future. Après l'arrêt des injections de MPA et la normalisation correspondante de la production ovarienne d'estrogènes, la perte de DMO paraît réversible dans la plupart des cas, autant chez la femme adulte que chez l'adolescente.
-·Accident vasculaire cérébral: Le bras CEE/MPA de l'étude WHI a montré un risque accru d'accident vasculaire cérébral chez les femmes traitées par des estrogènes conjugués (CEE) et l'acétate de médroxyprogestérone (MPA) par rapport au placebo (29 versus 21 pour 10'000 années de vie). Une augmentation du risque a été observée dès la première année du traitement et s'est maintenue pendant toute la durée de l'observation.
-·Affections thromboemboliques veineuses: Le bras CEE/MPA de l'étude WHI a montré, un doublement du nombre d'événements thromboemboliques par rapport au placebo chez les femmes qui ont été traitées par des œstrogènes conjugués (CEE) et de l'acétate de médroxyprogestérone. Cette augmentation du risque a été observée dès la première année du traitement et s'est maintenue pendant toute la durée de l'observation.
- +·Accident vasculaire cérébral: Le bras recevant les CEE/MPA de l'étude WHI a montré un risque accru d'accident vasculaire cérébral chez les femmes traitées par des estrogènes conjugués (CEE) et l'acétate de médroxyprogestérone (MPA), par rapport au placebo (29 versus 21 pour 10'000 années de vie). Une augmentation du risque a été observée dès la première année du traitement et s'est maintenue pendant toute la durée de l'observation.
- +·Affections thromboemboliques veineuses: Le bras recevant les CEE/MPA de l'étude WHI a montré, un doublement du nombre d'événements thromboemboliques par rapport au placebo chez les femmes qui ont été traitées par des estrogènes conjugués (CEE) et de l'acétate de médroxyprogestérone. Cette augmentation du risque a été observée dès la première année du traitement et s'est maintenue pendant toute la durée de l'observation.
-Le risque de cancer du sein augmente avec l'âge. L'utilisation d'associations estro-progestatives par des femmes postménopausées augmente le risque de diagnostic de cancer du sein. L'étude WHI (bras CEE/MPA de l'étude) a révélé que le risque de souffrir d'un cancer du sein augmente avec la durée de l'hormonothérapie et diminue de manière continue au cours des 10 ans suivant l'arrêt des préparations hormonales.
- +Le risque de cancer du sein augmente avec l'âge. L'utilisation d'associations estro-progestatives par des femmes postménopausées augmente le risque de diagnostic de cancer du sein. L'étude WHI (bras recevant les CEE/MPA de l'étude) a révélé que le risque de souffrir d'un cancer du sein augmente avec la durée de l'hormonothérapie et diminue de manière continue au cours des 10 ans suivant l'arrêt des préparations hormonales.
-Tant qu'un effet biologique ne peut pas être exclu comme cause potentielle de l'augmentation observée du risque, chez les femmes qui ont des antécédents de cancer du sein ou qui ont des facteurs de risque préexistants (p.ex. anamnèse familiale correspondante) et chez celles pour qui un cancer du sein est diagnostiqué pendant l'utilisation de Depo-Provera 150, il faut évaluer individuellement le rapport bénéfices/risques.
- +Tant qu'un effet biologique ne peut pas être exclu comme cause potentielle de l'augmentation observée du risque, chez les femmes qui ont des facteurs de risque préexistants de cancer du sein (p.ex. anamnèse familiale correspondante), il faut évaluer individuellement le rapport bénéfices/risques.
-Quelques études épidémiologiques indiquent qu'un traitement par les œstrogènes seuls ou associés à des progestatifs pendant 5 ans ou plus chez des femmes ménopausées est associé à une augmentation du risque de développer un carcinome ovarien. Après l'arrêt du traitement hormonal, le risque diminue à nouveau à sa valeur initiale. On ignore dans quelle mesure ces résultats sont applicables à une monothérapie par un progestatif.
- +Plusieurs études épidémiologiques indiquent qu'un traitement hormonal au cours de la ménopause pourrait être associé à une augmentation du risque de développer un cancer ovarien épithélial. Une augmentation du risque a été constatée tant pour la monothérapie par un estrogène que pour un traitement hormonal combiné. Bien que la plupart des études n'aient démontré une augmentation du risque que dans le cadre d'une utilisation au long cours (au moins 5 ans), une méta-analyse (portant sur la revue de 17 études prospectives et 35 études rétrospectives au total) publiée en 2015 n'a révélé aucune relation de ce type avec la durée d'utilisation.
- +Dans l'étude prospective, randomisée, contrôlée par placebo menée par la WHI, une augmentation du risque statistiquement non significative a été constatée (HR 1.41; IC à 95% 0.75-2.66).
- +Etant donné que les carcinomes ovariens sont beaucoup plus rares que les cancers du sein, l'augmentation du risque absolu est faible chez les femmes utilisant ou ayant récemment utilisé un traitement hormonal au cours de la ménopause.
- +On ignore dans quelle mesure ces résultats sont applicables à une monothérapie par un progestatif.
-Il est prouvé que la prise régulière d'acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (spina bifida, anencéphalie). C'est pourquoi lors de l'arrêt de la contraception hormonale, on recommande la prise continue de 0,4 mg d'acide folique par jour (p.ex. sous forme d'une préparation multivitaminique) en plus d'une alimentation riche en acide folique, à toutes les femmes chez lesquelles une grossesse est possible ou est souhaitée.
- +Il est prouvé que la prise régulière d'acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (spina bifida, anencéphalie). C'est pourquoi lors de l'arrêt de la contraception hormonale, on recommande la prise continue de 0.4 mg d'acide folique par jour (p.ex. sous forme d'une préparation multivitaminique) en plus d'une alimentation riche en acide folique, à toutes les femmes chez lesquelles une grossesse est possible ou est souhaitée.
-En cas d'administration concomitante d'acétate de médroxyprogestérone et d'aminoglutéthimide (inducteur du CYP3A4, du CYP2C8/9 et du CYP2C19), les taux plasmatiques d'acétate de médroxyprogestérone ont été réduits de 70% environ. Il existe d'autres exemples d'inducteurs du CYP3A4: barbituriques, bosentan, carbamazépine, felbamate, modafinil, oxcarbazépine, phénytoïne, primidone, rifabutine, rifampicine, ritonavir, topiramate et produits à base de millepertuis (hypericum perforatum).
- +Inducteurs du CYP3A4: en cas d'administration concomitante d'acétate de médroxyprogestérone et d'aminoglutéthimide (inducteur du CYP3A4, du CYP2C8/9 et du CYP2C19), les taux plasmatiques d'acétate de médroxyprogestérone ont été réduits de 70% environ. Il existe d'autres exemples d'inducteurs du CYP3A4: barbituriques, bosentan, carbamazépine, felbamate, modafinil, oxcarbazépine, phénytoïne, primidone, rifabutine, rifampicine, topiramate et produits à base de millepertuis (hypericum perforatum).
- +Les inhibiteurs de la protéase tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris les combinaisons de ces substances) sont connus comme de puissants inhibiteurs du CYP3A4. Co-administrés avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent toutefois avoir des propriétés d'induction enzymatique et ainsi aussi réduire les taux plasmatiques d'estrogènes et de gestagènes.
- +Inhibiteurs du CYP3A4: bien qu'aucune étude d'interaction formelle n'ait été réalisée, on suppose que l'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 augmente la concentration d'acétate de médroxyprogestérone. La co-administration avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l'itraconazole, le voriconazole, la clarithromycine, l'atazanavir, l'indinavir, le nelfinavir, le ritonavir, le saquinavir) devrait donc être évitée.
-L'administration de Depo-Provera 150 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faudra exclure l'éventualité d'une grossesse avant le début du traitement. En cas de début ou de suspicion de grossesse durant le traitement, un médecin devra être immédiatement consulté.
-Les données disponibles sur l'utilisation de Depo-Provera 150 pendant la grossesse sont insuffisantes pour permettre d'évaluer les possibles effets indésirables.
-Au cours d'expériences menées chez l'animal avec l'acétate de médroxyprogestérone, une virilisation des fœtus femelles et une féminisation des fœtus mâles ont été observées (voir «Données précliniques»). Par contre, des études épidémiologiques n'ont pas montré d'augmentation du risque embryotoxique ou tératogène chez les enfants dont la mère avait utilisé un contraceptif hormonal avant la grossesse ou lors de l'utilisation par inadvertance de telles préparations durant la grossesse.
-Les contraceptifs purement progestatifs ne montrent pas d'influence néfaste sur la quantité ou la qualité du lait maternel. Les données disponibles sur les contraceptifs purement progestatifs n'indiquent pas l'existence d'un risque pour le nourrisson allaité au sein.
- +Grossesse
- +Depo-Provera est contre-indiqué chez la femme enceinte. Il faut exclure l'éventualité d'une grossesse avant le début du traitement. En cas de début ou de suspicion de grossesse durant le traitement, un médecin devra être immédiatement consulté.
- +Certains rapports indiquent un lien entre une exposition aux progestatifs au cours du premier trimestre de la grossesse et des malformations des organes génitaux du fœtus de sexe masculin et féminin. Par ailleurs, l'acétate de médroxyprogestérone a entraîné des effets indésirables sur la reproduction dans les expérimentations animales (voir «Données précliniques»).
- +Chez les enfants issus de grossesses survenues 1 à 2 mois après l'injection i.m. de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone, une réduction du poids de naissance a été rapportée. Le risque absolu est cependant faible, car les grossesses sont inhabituelles lors de l'utilisation de 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone. Les études réalisées chez des enfants exposés in utero à l'acétate de médroxyprogestérone et suivis jusqu'à l'adolescence n'ont montré aucune altération de la santé de ceux-ci, ni de leur développement physique, intellectuel, sexuel ou social.
- +Dans une étude prospective contrôlée, l'incidence des anomalies chromosomiques et de la polydactylie a été légèrement plus élevée chez des nouveau-nés dont les mères avaient reçu de l'acétate de médroxyprogestérone-dépôt avant ou pendant la grossesse que chez les nouveau-nés dont les mères avaient utilisé des contraceptifs oraux ou n'avaient utilisé aucun contraceptif. D'autres études n'ont pas permis de confirmer ces résultats. Les autres anomalies congénitales, typiquement associées à l'exposition aux progestatifs (telles qu'anomalies de fermeture du tube neural, malformations cardiaques ou malformations des extrémités), n'ont pas été observées.
- +En cas d'utilisation de Depo-Provera pendant la grossesse ou en cas d'une grossesse pendant l'utilisation, la patiente doit être immédiatement informée du risque potentiel encouru par le fœtus.
- +Allaitement
- +La composition, la qualité et la quantité de lait n'ont pas été altérées chez des femmes traitées par 150 mg d'acétate de médroxyprogestérone par voie i. m. pendant l'allaitement. De faibles quantités de principe actif et de ses métabolites ont été détectées dans le lait maternel. Le développement et le comportement de nouveau-nés et d'enfants exposés à l'acétate de médroxyprogestérone par l'intermédiaire du lait maternel ont été surveillés jusqu'à la puberté. Aucun effet défavorable n'a été constaté. Depo-Provera peut donc être utilisé pendant l'allaitement. Dans ce cas, la croissance et le développement de l'enfant devront cependant être attentivement surveillés.
- +Les effets indésirables les plus graves associés à l'utilisation de contraceptifs hormonaux sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir dans cette rubrique).
- +Les effets indésirables qui ont été observés au cours d'études cliniques sur des injections de MPA sont indiqués ci-dessous. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient une prise de poids, des troubles hémorragiques et des céphalées.
- +Les effets indésirables associés à Depo-Provera 150 (i.m.) ayant une pertinence clinique et qui ont été rapportés après commercialisation sont également indiqués.
- +Des réactions au site d'administration ont été rapportées chez environ 0.1% des patientes au total.
- +Les effets indésirables sont indiqués par système d'organes et par fréquence.
-«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1000, <1/100), «rare» (≥1/10'000, <1/1000), «très rare» (<1/10'000).
-Système immunitaire
-Rare: réactions d'hypersensibilité telles qu'anaphylaxie, réactions anaphylactoïdes, angiooedème.
-Troubles endocriniens
-Très rare: symptomatologie cushingoïde.
- +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (basée principalement sur les rapports spontanés de pharmacovigilance, la fréquence spécifique ne peut être estimée)
- +Affections du système immunitaire
- +Occasionnels: réactions d'hypersensibilité.
- +Rares: réactions anaphylactiques, réactions anaphylactoïdes, angiooedème.
- +Affections endocriniennes
- +Rares: symptomatologie cushingoïde.
-Très fréquent: prise de poids (69%).
-Troubles psychiatriques
-Très fréquent: nervosité (10.8%)
-Fréquent: modifications de la libido, dépression.
-Système nerveux
-Très fréquent: céphalée (16.5%).
-Fréquent: vertige, insomnie, fatigue.
-Rare: somnolence, convulsions.
-Coeur, vaisseaux
-Fréquent: rétention hydrique, bouffées de chaleur.
-Rare: thrombophlébite.
-Très rare: embolie pulmonaire, accidents vasculaires cérébraux, sténose des vaisseaux coronaires, thrombose des vaisseaux de la rétine et du mésentère.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquent: douleurs dans la région épigastrique (11.2%).
-Fréquent: nausée, ballonnements.
-Très rare: vomissement.
-Foie et bile
-Rare: ictère cholestatique.
-Peau et tissus sous-cutanés
-Fréquent: rash, acné, alopécie.
-Rare: urticaire, prurit, chloasma, hirsutisme.
-Système musculosquelettique
-Très fréquent: diminution de la densité minérale osseuse (15.1%).
-Fréquent: douleurs dorsales, crampes dans les jambes.
-Rare: ostéoporose, fractures.
-Très rare: arthralgie.
-Organes de reproduction et seins
-Très fréquent: aménorrhée (>50%), métrorragies (25.9%), hémorragies irrégulières (25.9%).
-Fréquent: tension mammaire et sensibilité accrue des seins, leucorrhée, vaginite.
-Rare: galactorrhée.
-Très rare: augmentation des sécrétions vaginales, douleurs pelviennes, anovulation prolongée, modifications du col de l'utérus par érosion, modifications histologiques de l'utérus et des ovaires.
-Troubles généraux et réactions au site d'application
-Fréquent: asthénie, œdème.
-Rare: fièvre, douleurs, tuméfactions et modifications de la couleur de la peau au site d'injection.
- +Très fréquents: prise de poids (69%).
- +Fréquents: rétention liquidienne.
- +Affections psychiatriques
- +Très fréquents: nervosité (10.8%).
- +Fréquents: diminution de la libido, dépression.
- +Occasionnels: augmentation de la libido.
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquents: céphalées (16.5%).
- +Fréquents: vertige, insomnie.
- +Occasionnels: somnolence, convulsions.
- +Affections cardiaques et vasculaires
- +Fréquents: bouffées de chaleur.
- +Rares: événements thromboemboliques veineux et artériels (tels que la thrombose veineuse profonde, l'embolie pulmonaire, la sténose des artères coronaires, les accidents vasculaires cérébraux, les thromboses des vaisseaux de la rétine, les thromboses des vaisseaux mésentériques), thrombophlébite.
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquents: douleurs/gêne abdominales (11.2%).
- +Fréquents: nausée, distension abdominale.
- +Occasionnels: vomissement.
- +Affections hépatobiliaires
- +Rares: ictère cholestatique.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: rash, acné, alopécie.
- +Occasionnels: prurit, chloasma, hirsutisme, urticaire.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquents: diminution de la densité minérale osseuse (15.1%).
- +Fréquents: douleurs dorsales, crampes musculaires.
- +Rares: arthralgies, ostéoporose.
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Très fréquents: aménorrhée (>50%), métrorragies (25.9%), hémorragies irrégulières (25.9%).
- +Fréquents: écoulement vaginal, tension mammaire et sensibilité accrue des seins.
- +Occasionnels: douleurs du bas ventre, galactorrhée.
- +Rares: vaginite, anovulation prolongée, érosion cervicale utérine, modifications histologiques de l'utérus et des ovaires.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: asthénie, œdème.
- +Occasionnels: douleurs.
- +Rares: réactions au site d'injection (telles que couleur anormale de la peau, douleurs/sensibilité, nodule/bosse ou atrophie persistante/formation de creux et de fossettes), lipodystrophie au site d'injection, fatigue, fièvre.
-L'acétate de médroxyprogestérone inhibe l'axe hypothalamo-hypophyso-ovaires et empêche ainsi la maturation des follicules et l'ovulation. En même temps, la glaire cervicale est modifiée de telle sorte qu'une pénétration et une ascension du sperme n'est plus possible.
- +L'acétate de médroxyprogestérone inhibe l'axe hypothalamo-hypophyso-ovaires et empêche ainsi la maturation des follicules et l'ovulation. En même temps, la glaire cervicale est modifiée de telle sorte qu'une pénétration et une ascension du sperme ne sont plus possibles.
-Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible sur les patients ayant des troubles des fonctions hépatique et/ou rénale, ni sur les patients âgés.
- +Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible sur les enfants et les adolescentes, sur les patientes âgées ou sur les patients ayant des troubles des fonctions hépatique et/ou rénale.
-Les concentrations plasmatiques de gonadotrophines, de progestérone, d'estrogènes, d'hydrocortisone, le taux de prégnandiol dans l'urine, les test de la tolérance au glucose, du fonctionnement de la glande thyroïde, le test à la métyrapone, la prothrombine et les facteurs de coagulation VII, VIII, IX et X.
- +Les concentrations plasmatiques de gonadotrophines, de progestérone, d'estrogènes, d'hydrocortisone, le taux de prégnandiol dans l'urine, les tests de la tolérance au glucose, du fonctionnement de la glande thyroïde, le test à la métyrapone, la prothrombine et les facteurs de coagulation VII, VIII, IX et X.
-Depo-Provera 150: 1 seringue à usage unique à 150 mg/1 ml (B)
- +Depo-Provera 150: 1 seringue à usage unique à 150 mg/1 ml. (B)
-Octobre 2014.
-LLD V011
- +Décembre 2016.
- +LLD V012
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