40 Änderungen an Fachinfo Inderal 10 mg |
-Chlorhydrate de propranolol.
- +Chlorhydrate de propranolol
-Lactose (79.0 mg dans les comprimés pelliculés à 10 mg et 147.4 mg dans les comprimés pelliculés à 40 mg).
-Carboxyméthylcellulose calcique.
-Gélatine.
-Stéarate de magnésium.
- +Lactose (79.0 mg dans les comprimés pelliculés à 10 mg et 147.4 mg dans les comprimés pelliculés à 40 mg)
- +Carboxyméthylcellulose calcique
- +Gélatine
- +Stéarate de magnésium
-Hypromellose (E 464).
-Glycérine (E 422).
-Dioxyde de titane (E 171).
-Carmin (E 120).
- +Hypromellose (E 464)
- +Glycérine (E 422)
- +Dioxyde de titane (E 171)
- +Carmin (E 120)
-Inderal peut être utilisé pour la prévention des hémorragies gastro-intestinales hautes en cas d'hypertension portale et de varices oesophagiennes (sauf en cas de cirrhose hépatique décompensée).
- +Inderal peut être utilisé pour la prévention des hémorragies gastro-intestinales hautes en cas d'hypertension portale et de varices œsophagiennes (sauf en cas de cirrhose hépatique décompensée).
-Hypertension portale/Varices oesophagiennes
- +Hypertension portale/Varices œsophagiennes
-Inderal abaisse la fréquence cardiaque. A une fréquence de 50-55, la dose ne devrait pas être augmentée.
- +Inderal abaisse la fréquence cardiaque. À une fréquence de 50-55, la dose ne devrait pas être augmentée.
-Instructions posologies particulières
- +Instructions posologiques particulières
-En cas de perturbation de la fonction ventriculaire et/ou d'anomalies de la conduction sino-auriculaire ou auriculo-ventriculaire, l'administration simultanée de bêtabloquants et d'antagonistes calciques à effet inotrope négatif (par ex. vérapamil, diltiazem) peut renforcer cet effet. Une hypotension grave, une bradycardie et une défaillance cardiaque peuvent en être les conséquences. Un traitement en association avec des antagonistes calciques de la classe des dihydropyridines telles que la nifédipine peut augmenter le risque d'hypotension. Chez les patients présentant une insuffisance cardiaque asymptomatique, celle-ci peut se manifester sous traitement bêtabloquant.
- +En cas de perturbation de la fonction ventriculaire et/ou d'anomalies de la conduction sino-auriculaire ou auriculo-ventriculaire, l'administration simultanée de bêtabloquants et d'antagonistes calciques à effet inotrope négatif (p.ex. vérapamil, diltiazem) peut renforcer cet effet. Une hypotension grave, une bradycardie et une défaillance cardiaque peuvent en être les conséquences. Un traitement en association avec des antagonistes calciques de la classe des dihydropyridines telles que la nifédipine peut augmenter le risque d'hypotension. Chez les patients présentant une insuffisance cardiaque asymptomatique, celle-ci peut se manifester sous traitement bêtabloquant.
-Les antiarythmiques de classe I (par ex. le disopyramide) et l'amiodarone peuvent potentialiser l'effet sur le temps de conduction et induire un effet inotrope négatif.
- +Les antiarythmiques de classe I (p.ex. le disopyramide) et l'amiodarone peuvent potentialiser l'effet sur le temps de conduction et induire un effet inotrope négatif.
-Il n'est pas conseillé d'arrêter les bêtabloquants avant une anesthésie. Le blocage bêta-adrénergique modifie certaines réactions sous anesthésie. Avant une anesthésie générale, l'anesthésiste doit donc être averti que le patient est sous traitement d'Inderal. On choisira un anesthésique qui ait le moins possible d'effet inotrope négatif. L'utilisation simultanée de bêtabloquants et d'anesthésiques peut atténuer une tachycardie réflexe et accentuer le risque d'hypotension. Il faut éviter d'utiliser des anesthésiques cardiodépresseurs. La prédominance vagale peut être contrée avec 1-2 mg i.v. d'atropine.
- +Il n'est pas conseillé d'arrêter les bêtabloquants avant une anesthésie. Le blocage bêta-adrénergique modifie certaines réactions sous anesthésie. Avant une anesthésie générale, l'anesthésiste doit donc être averti que le patient est sous traitement d'Inderal. On choisira un anesthésique qui a le moins possible d'effet inotrope négatif. L'utilisation simultanée de bêtabloquants et d'anesthésiques peut atténuer une tachycardie réflexe et accentuer le risque d'hypotension. Il faut éviter d'utiliser des anesthésiques cardiodépresseurs. La prédominance vagale peut être contrée avec 1-2 mg i.v. d'atropine.
-Affections hématologiques et du systeme lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Occasionnels: diarrhée, nausées, vomissements
- +Occasionnels: diarrhée, nausées, vomissements.
-Un surdosage peut avoir pour conséquences une bradycardie, une hypotension, une insuffisance cardiaque aiguë et un bronchospasme.
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- +Le propranolol est connu pour provoquer une toxicité sévère en cas de surdosage. Les patients doivent être informés des signes d'un surdosage et être invités à consulter d'urgence un médecin si une surdose de propranolol a été prise.
- +Symptômes cliniques
- +Cœur
- +Une bradycardie, une hypotension, une insuffisance cardiaque aiguë et un choc cardiogénique peuvent survenir. Un élargissement du complexe QRS, une tachycardie ventriculaire, un bloc AV du premier au troisième degré, une fibrillation ventriculaire ou une asystolie sont également possibles. L'apparition de complications cardiovasculaires est plus probable si d'autres médicaments cardioactifs, en particulier les antagonistes calciques, la digoxine, les antidépresseurs cycliques ou les neuroleptiques, ont été ingérés concomitamment.
- +Système nerveux central
- +Une obnubilation, des convulsions et dans des cas sévères, un coma, peuvent survenir.
- +Autres symptômes
- +Un bronchospasme, une hyperkaliémie et occasionnellement une dépression respiratoire médiée par le SNC peuvent survenir.
- +Traitement
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-Une bradycardie excessive peut être en principe supprimée par 1-2 mg d'atropine par voie intraveineuse et/ou par un stimulateur cardiaque. Si nécessaire, on peut ensuite injecter en bolus i.v. 10 mg de glucagon. Au besoin, on peut répéter cette dernière injection ou la faire suivre d'une perfusion de glucagon, à raison de 1-10 mg/h, en fonction de la réaction du patient. Si le patient ne réagit pas au glucagon ou qu'il n'y ait pas de glucagon à disposition, on peut administrer, avec la prudence appropriée, un bêta-stimulant tel que la dobutamine à raison de 2,5-10 µg/kg/min par voie intraveineuse ou l'isoprénaline à raison de 10-25 µg par voie intraveineuse à une vitesse de 5 µg/min au maximum (des doses plus fortes sont éventuellement nécessaires) comme dose initiale ou l'orciprénaline à raison de 0,5 mg par voie intraveineuse.
- +Une bradycardie excessive peut être en principe supprimée par 1-2 mg d'atropine par voie intraveineuse et/ou par un stimulateur cardiaque. Si nécessaire, on peut ensuite injecter en bolus i.v. 10 mg de glucagon. Au besoin, on peut répéter cette dernière injection ou la faire suivre d'une perfusion de glucagon, à raison de 1-10 mg/h, en fonction de la réaction du patient. Si le patient ne réagit pas au glucagon ou qu'il n'y a pas de glucagon à disposition, on peut administrer, avec la prudence appropriée, un bêta-stimulant tel que la dobutamine à raison de 2,5-10 µg/kg/min par voie intraveineuse ou l'isoprénaline à raison de 10-25 µg par voie intraveineuse à une vitesse de 5 µg/min au maximum (des doses plus fortes sont éventuellement nécessaires) comme dose initiale ou l'orciprénaline à raison de 0,5 mg par voie intraveineuse.
-À côté de son effet anti-angineux et anti-arythmique, le propranolol abaisse la pression artérielle chez le patient hypertendu. Etant donné leur effet inotrope négatif, les bêtabloquants ne doivent pas être utilisés en cas d'insuffisance cardiaque non contrôlée.
- +À côté de son effet anti-angineux et anti-arythmique, le propranolol abaisse la pression artérielle chez le patient hypertendu. Étant donné leur effet inotrope négatif, les bêtabloquants ne doivent pas être utilisés en cas d'insuffisance cardiaque non contrôlée.
-Le propranolol est une substance lipophile. Son volume de distribution est d'environ 3,5 l/kg et son taux de liaison aux protéines plasmatiques de 80-95%. Il passe rapidement la barrière hémato-encéphalique et la barrière sang/LCR (liquide céphalorachidien); les concentrations les plus élevées sont observées dans les poumons, le foie, les reins, le cerveau et le coeur. Le propranolol passe dans le lait maternel.
- +Le propranolol est une substance lipophile. Son volume de distribution est d'environ 3,5 l/kg et son taux de liaison aux protéines plasmatiques de 80-95%. Il passe rapidement la barrière hémato-encéphalique et la barrière sang/LCR (liquide céphalorachidien); les concentrations les plus élevées sont observées dans les poumons, le foie, les reins, le cerveau et le cœur. Le propranolol passe dans le lait maternel.
-Le potentiel embryotoxique du propranolol a été étudié dans deux espèces animales (rat et souris). Quand les mères ont été traitées avec des doses fortes, on a constaté que les foetus étaient extrêmement petits. Ni chez le rat ni chez la souris on n'a constaté de signes de tératogénicité du propranolol.
- +Le potentiel embryotoxique du propranolol a été étudié dans deux espèces animales (rat et souris). Quand les mères ont été traitées avec des doses fortes, on a constaté que les fœtus étaient extrêmement petits. Ni chez le rat ni chez la souris on n'a constaté de signes de tératogénicité du propranolol.
-31706 (Swissmedic).
- +31706 (Swissmedic)
-AstraZeneca AG, 6340 Baar.
- +AstraZeneca AG, 6340 Baar
-Juillet 2020.
- +Mai 2021
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