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-Principe actif: Amantadini hydrochloridum.
-Excipients: Conserv.: E 215, E 217; Excip. pro caps.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Capsules à 100 mg.
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- +Principes actifs
- +Amantadini hydrochloridum.
- +Excipients
- +Contenu de la capsule: rapae oleum raffinatum, cera flava, sojae oleum partim hydrogenatum 10.67 mg, sojae oleum hydrogenatum 2.67 mg, lecithinum ex soja.
- +Enveloppe de la capsule: gelatina, glycerolum (85 per centum), sorbitolum (E 420) 6.738 mg, E 172 (rubrum), E 171, E 215 0.53 mg, mannitolum, amylum hydrolysatum, propylis parahydroxybenzoas natricus 0.27 mg.
- +Encre d'impression: lacca, E 171.
- +Teneur totale en sodium: 0.72 mg par capsule.
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-Les capsules Symmetrel doivent être pris par voie orale avec de la nourriture – de préférence le matin et l'après-midi – pour prévenir les troubles gastriques.
- +Les capsules Symmetrel doivent être prises par voie orale avec de la nourriture - de préférence le matin et l'après-midi - pour prévenir les troubles gastriques.
-Traitement initial pendant 4-7 j (au maximum 15 j): 100 mg 1×/j (afin de déterminer la réaction individuelle).
- +Traitement initial pendant 4–7 j (au maximum 15 j): 100 mg/j (afin de déterminer la réaction individuelle).
-Ces recommandations posologiques concernent les malades prétraités ou non. La faible posologie initiale sert à déterminer la réponse individuelle. On peut généralement passer à la posologie habituelle au bout de 4-7 jours. La posologie d'exception peut apporter un soulagement plus grand mais aussi accroître la toxicité. La dose devra, dans ce cas, être augmentée graduellement à des intervalles d'une semaine au moins.
-L'amantadine agit en l'espace de quelques jours mais semble souvent perdre une partie de son efficacité au bout de quelques mois de traitement continu.
- +Ces recommandations posologiques concernent les malades prétraités ou non. La faible posologie initiale sert à déterminer la réponse individuelle. On peut généralement passer à la posologie habituelle au bout de 4–7 jours. La posologie d'exception peut apporter un soulagement plus grand, mais aussi accroître la toxicité. La dose devra, dans ce cas, être augmentée graduellement à des intervalles d'une semaine au moins.
- +L'amantadine agit en l'espace de quelques jours, mais semble souvent perdre une partie de son efficacité au bout de quelques mois de traitement continu.
-Lors du traitement d'un parkinsonisme d'origine médicamenteuse, la dose du médicament qui en est la cause doit être réduite le plus possible. Comme dans le cas du syndrome parkinsonien, le traitement par Symmetrel est effectué progressivement sur 4 à 7 jours 100 mg/jour et peut être augmenté à 2x 100 mg s'il est bien toléré. La dose de Symmetrel peut être réduite lorsque les symptômes extrapyramidaux sont sous contrôle pendant un certain temps.
- +Lors du traitement d'un parkinsonisme d'origine médicamenteuse, la dose du médicament qui en est la cause doit être réduite le plus possible. Comme dans le cas du syndrome parkinsonien, le traitement par Symmetrel est effectué progressivement sur 4 à 7 jours à 100 mg/jour et peut être augmenté à 2× 100 mg s'il est bien toléré. La dose de Symmetrel peut être réduite lorsque les symptômes extrapyramidaux sont sous contrôle pendant un certain temps.
-Lorsqu'on instaure Symmetrel chez un patient sous traitement antiparkinsonien, la médication en cours devrait être maintenue au début. Dans beaucoup de cas, la posologie des autres antiparkinsoniens peut ensuite être réduite progressivement sans nuire au résultat thérapeutique. Cependant, si les effets indésirables se multiplient, la réduction posologique doit être accélérée. Chez les malades préalablement traités avec de fortes doses d'anticholinergiques ou de lévodopa, la faible posologie initiale de Symmetrel devrait être maintenue jusqu'à 15 jours.
- +Lorsqu'on instaure Symmetrel chez un patient sous traitement antiparkinsonien, la médication en cours doit être maintenue dans un premier temps. Dans beaucoup de cas, la posologie des autres antiparkinsoniens peut ensuite être réduite progressivement sans nuire au résultat thérapeutique. Cependant, si les effets indésirables se multiplient, la réduction posologique doit être accélérée. Chez les malades préalablement traités avec de fortes doses d'anticholinergiques ou de lévodopa, la faible posologie initiale de Symmetrel doit être maintenue jusqu'à 15 jours.
-Posologie et utilisation chez les personnes âgées (≥65 ans)
-Les concentrations plasmatiques d'amantadine dépendent de la fonction rénale. Chez des patients âgés une tendance à une demi-vie d'élimination plus longue et à une clairance rénale plus faible que chez les patients plus jeunes à été constatée. C'est pourquoi une posologie maximale de 100 mg/j chez les patients âgés ne présentant pas de pathologie rénale est recommandée. Lorsqu'un trouble de la fonction rénale est présent, l'intervalle entre les doses devrait être adapté (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières pour toutes les indications, Patients présentant une insuffisance rénale»).
-Patients présentant une insuffisance rénale
-Chez les patients dont la fonction rénale est réduite ainsi que chez les patients soumis à l'hémodialyse, la demi-vie d'élimination est sensiblement prolongée, ce qui conduit à une élévation de la concentration plasmatique d'amantadine. Chez ces patients, après une dose initiale le premier jour, la posologie doit être ajustée prudemment en allongeant les intervalles posologiques en fonction de la clairance de la créatinine (cf. tableau suivant).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Chez les patients dont la fonction rénale est réduite ainsi que chez les patients soumis à l'hémodialyse, la demi-vie d'élimination est sensiblement prolongée, ce qui conduit à une élévation de la concentration plasmatique d'amantadine. Chez ces patients, après une dose initiale le premier jour, la posologie de Symmetrel doit être ajustée prudemment en allongeant les intervalles posologiques en fonction de la clairance de la créatinine (voir tableau suivant).
-<15 7 d
-15-25 3 d
-25-35 2 d
-35-75 1 d
->75 12 h
- +< 15 7 d
- +15–25 3 d
- +25–35 2 d
- +35–75 1 d
- +> 75 12 h
-Chez les patients hémodialysés, la posologie est en règle générale de 100 mg par semaine, et si la tolérance est bonne, cette posologie peut éventuellement être augmentée à 200 mg par semaine (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières pour toutes les indications, Posologie et utilisation chez les personnes âgées» et «Mises en garde et précautions»).
-Idéalement, les concentrations plasmatiques d'amantadine devraient être contrôlées. Une surveillance attentive du patient est recommandée (cf. «Pharmacocinétique»).
- +Chez les patients hémodialysés, la posologie est en règle générale de 100 mg par semaine, et si la tolérance est bonne, cette posologie peut éventuellement être augmentée à 200 mg par semaine (voir également «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières pour toutes les indications, Patients âgés» et «Mises en garde et précautions»).
- +Idéalement, les concentrations plasmatiques d'amantadine doivent être contrôlées. Une surveillance attentive du patient est recommandée (voir «Pharmacocinétique»).
- +Patients âgés (≥65 ans)
- +Les concentrations plasmatiques d'amantadine dépendent de la fonction rénale. Chez les patients âgés, une tendance à une demi-vie d'élimination plus longue et à une clairance rénale plus faible que chez les patients plus jeunes a été constatée. C'est pourquoi une posologie maximale de 100 mg/j chez les patients âgés ne présentant pas de pathologie rénale est recommandée. En présence d'un trouble de la fonction rénale, l'intervalle entre les doses doit être adapté (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières pour toutes les indications, Patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
- +
-Symmetrel ne doit pas être utilisé chez les patients présentant:
-·Hypersensibilité connue à l'amantadine ou à d'autres composants du produit;
-·États d'excitabilité et états confusionnels;
-·Épilepsie réfractaire, psychoses ou syndromes délirants;
-·Grossesse.
- +Symmetrel ne doit pas être utilisé dans les cas suivants:
- +·hypersensibilité connue à l'amantadine ou à d'autres composants du produit,
- +·états d'excitabilité et états confusionnels,
- +·épilepsie réfractaire, psychoses ou syndromes délirants,
- +·grossesse,
- +·hypersensibilité aux cacahuètes ou au soja.
-On a observé que, sous amantadine, les patients présentant un psychosyndrome cérébral organique et des antécédents d'épilepsie développaient plus souvent des crises convulsives ou que les symptômes de la maladie pouvaient s'aggraver (cf. «Effets indésirables» et «Posologie/Mode d'emploi»). Une diminution de la dose peut minimiser ce risque. Ces patients feront l'objet d'une surveillance étroite.
- +Il a été rapporté que, sous amantadine, les patients présentant un psychosyndrome cérébral organique et des antécédents d'épilepsie développaient plus souvent des crises convulsives ou que les symptômes de la maladie pouvaient s'aggraver (voir «Effets indésirables» et «Posologie/Mode d'emploi»). Une diminution de la dose peut minimiser ce risque. Ces patients feront l'objet d'une surveillance étroite.
-La posologie doit être établie avec prudence en cas d'insuffisance rénale car il existe un risque d'intoxication (cf. «Posologie/Mode d'emploi» et «Surdosage»).
-Au bout de 2-8 semaines, l'effet de Symmetrel peut s'atténuer chez environ 20% des patients.
-En raison du risque de surdosage, il n'est pas judicieux, et on évitera donc, d'ajouter encore de l'amantadine pour prévenir ou traiter un épisode de grippe virale de type A.
-Des cas d'hypothermie ont été observés chez des enfants. C'est pourquoi une prudence particulière est requise lors de l'administration comme prophylaxie de la grippe. L'amantadine ne doit pas être administrée à des enfants de moins de 5 ans.
-Comme l'amantadine a des effets anticholinergiques et peut provoquer une mydriase, elle ne doit pas être administrée à des patients qui présentent un glaucome à angle étroit non traité.
- +La posologie doit être établie avec prudence en cas d'insuffisance rénale, car il existe un risque d'intoxication (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Surdosage»).
- +Au bout de 2–8 semaines, l'effet de Symmetrel peut s'atténuer chez environ 20% des patients.
- +L'ajout d'amantadine pour prévenir ou traiter un épisode de grippe virale de type A n'est pas pertinent et doit donc être évité en raison du risque de surdosage.
- +Des cas d'hypothermie ont été observés chez des enfants. C'est pourquoi une prudence particulière est requise lors de l'administration en traitement prophylactique de la grippe. L'amantadine ne doit pas être administrée à des enfants de moins de 5 ans.
- +L'amantadine ayant des effets anticholinergiques et pouvant provoquer une mydriase, elle ne doit pas être administrée à des patients qui présentent un glaucome à angle étroit non traité.
- +En cas de vision floue ou d'autres troubles visuels, consulter un médecin afin d'exclure un œdème cornéen. Si un œdème cornéen est diagnostiqué, le traitement par l'amantadine doit être arrêté.
- +
-Un arrêt brutal de l'amantadine peut entraîner une aggravation des symptômes parkinsoniens ou la survenue de symptômes similaires à ceux apparaissant lors d'un syndrome malin des neuroleptiques (SMN) ainsi qu'une catatonie ou des manifestations cognitives (confusion, désorientation, péjoration de l'état mental ou délires p.ex.).
-Des rapports isolés font état d'un lien possible entre une exacerbation d'un syndrome malin des neuroleptique ou d'une catatonie induite par les neuroleptiques et l'interruption soudaine d'un traitement par l'amantadine chez des patients traités de façon concomitante par des neuroleptiques.
- +Un arrêt brutal de l'amantadine peut entraîner une aggravation des symptômes parkinsoniens ou la survenue de symptômes similaires à ceux apparaissant lors d'un syndrome malin des neuroleptiques (SMN) ainsi qu'une catatonie ou des manifestations cognitives (confusion, désorientation, péjoration de l'état mental ou délires par ex.).
- +Des rapports isolés font état d'un lien possible entre une exacerbation d'un syndrome malin des neuroleptiques ou d'une catatonie induite par les neuroleptiques et l'interruption soudaine d'un traitement par l'amantadine chez des patients traités de façon concomitante par des neuroleptiques.
-Lors de contacts répétés, l'amantadine et la rimantadine induisent relativement rapidement, in vitro et in vivo, le développement d'une résistance dans les souches virales d'Influenza. Les virus Influenza A qui sont résistants à l'amantadine ou à la rimantadine peuvent prendre le dessus si ces médicaments sont utilisés pour le traitement. Il est apparemment possible que la transmission de virus résistants soit responsable de l'échec de la prévention dans les ménages et les homes. Toutefois il n'existe aucun indice permettant d'affirmer qu'une infection avec un virus résistant se déroulerait autrement que celle avec un virus sensible.
- +Lors de contacts répétés, l'amantadine et la rimantadine induisent relativement rapidement, in vitro et in vivo, le développement d'une résistance dans les souches virales d'Influenza. Les virus Influenza A qui sont résistants à l'amantadine ou à la rimantadine peuvent prendre le dessus si ces médicaments sont utilisés pour le traitement. Il est apparemment possible que la transmission de virus résistants soit responsable de l'échec de la prévention dans les ménages et les homes. Toutefois, il n'existe aucun indice permettant d'affirmer qu'une infection avec un virus résistant se déroulerait autrement que celle avec un virus sensible.
- +Symmetrel contient du 4hydroxybenzoate d'éthyle sodique (E 215) et du 4hydroxybenzoate de propyle sodique (E 217) qui peuvent provoquer des réactions allergiques, y compris des réactions tardives.
- +L'effet additif de médicaments contenant du sorbitol (ou du fructose) utilisés simultanément et l'apport de sorbitol (ou de fructose) par l'alimentation doivent être pris en compte. La teneur en sorbitol de médicaments utilisés par voie orale peut influencer la biodisponibilité d'autres médicaments utilisés simultanément par voie orale.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par capsule, c.-à -d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-L'administration concomitante d'amantadine et d'un anticholinergique, d'un dopaminergique ou de lévodopa peut augmenter la confusion, les hallucinations, les cauchemars, les troubles gastro-intestinaux ou d'autres effets indésirables atropiniques (cf. «Surdosage»).
- +L'administration concomitante d'amantadine et d'un anticholinergique, d'un dopaminergique ou de lévodopa peut favoriser la confusion, les hallucinations, les cauchemars, les troubles gastro-intestinaux ou d'autres effets indésirables atropiniques (voir «Surdosage»).
-La prise simultanée d'amantadine et de médicaments ou de substances agissant sur le système nerveux central (alcool, p.ex.) peut entraîner des effets toxiques accrus sur le SNC. Une surveillance étroite est recommandée (cf. «Surdosage»).
- +La prise simultanée d'amantadine et de médicaments ou de substances agissant sur le système nerveux central (alcool, par ex.) peut entraîner des effets toxiques accrus sur le SNC. Une surveillance étroite est recommandée (voir «Surdosage»).
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Il y a des indices de risques fœtaux basés sur les expériences chez l'homme et l'animal (cf. «Données précliniques») qui ont montré un risque pour le fœtus dépassant largement le bénéfice thérapeutique éventuel. Quelques exemples d'enfants sains, de complications de la grossesse et dans 5 cas, de malformations, ont été rapportés. Symmetrel est contre-indiqué chez la femme enceinte ou susceptible de le devenir. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes contraceptives hautement efficaces pendant le traitement puis pendant les 5 jours qui suivent la dernière prise d'amantadine.
- +Il y a des indices de risques fœtaux basés sur les expériences chez l'homme et l'animal (voir «Données précliniques»), les risques dépassant largement le bénéfice thérapeutique éventuel. Quelques exemples d'enfants sains, de complications de la grossesse et dans 5 cas, de malformations, ont été rapportés. Symmetrel est contre-indiqué chez la femme enceinte ou susceptible de le devenir. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes contraceptives hautement efficaces pendant le traitement puis pendant les 5 jours qui suivent la dernière prise d'amantadine.
-Les patients qui prennent Symmetrel devraient être informés de l'apparition possible de vertiges, de vision floue et autres troubles nerveux centraux (cf. «Effets indésirables»). En outre, Symmetrel peut ralentir les capacités de réaction. Dans ce cas, le patient ne devrait pas participer activement au trafic routier et ne pas utiliser de machines.
- +Les patients qui prennent Symmetrel doivent être informés de l'apparition possible de vertiges, de vision floue et autres troubles nerveux centraux (voir «Effets indésirables»). En outre, Symmetrel peut ralentir les capacités de réaction. Dans ce cas, le patient ne doit pas participer activement au trafic routier et ne pas utiliser de machines.
-Les effets indésirables de l'amantadine apparaissent généralement les premiers 2-4 jours du traitement et disparaissent dans les 24-48 h qui suivent l'arrêt de la médication.
-On n'a pas pu mettre en évidence une relation directe entre la dose et l'incidence des effets indésirables, mais il semble que l'augmentation de la dose tend à accroître la fréquence des effets indésirables (notamment ceux qui affectent le système nerveux central).
- +Les effets indésirables de l'amantadine apparaissent généralement les premiers 2–4 jours du traitement et disparaissent dans les 24–48 h qui suivent l'arrêt de la médication.
- +Une relation directe entre la dose et l'incidence des effets indésirables n'a pas pu être démontrée, mais il semble que l'augmentation de la dose tend à accroître la fréquence des effets indésirables (notamment ceux qui affectent le système nerveux central).
-«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000)
-Troubles de la circulation sanguine
-Rare: leucopénie, élévation réversible des enzymes hépatiques.
-Troubles psychiatriques
- +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000)
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Rares: leucopénie, élévation réversible des enzymes hépatiques.
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Rares: confusion, désorientation, tremblements, dyskinésie, convulsions, symptômes du type SMN (aussi sans interruption du traitement, cf. «Interruption du traitement»).
- +Rares: confusion, désorientation, tremblements, dyskinésie, convulsions, symptômes du type SMN (aussi sans interruption du traitement, voir «Interruption du traitement»).
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Troubles cardiaques/troubles de la circulation sanguine
-Fréquents: palpitations, hypotension orthostatique.
- +Affections cardiaques
- +Fréquents: palpitations.
-Troubles vasculaires
-Fréquents: œdème malléolaire.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections vasculaires
- +Fréquents: hypotension orthostatique, œdème malléolaire.
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles cutanés:
-Fréquent: livedo reticularis («peau marbrée»), hyperhidrose.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: livedo reticularis («peau marbrée»), hyperhidrose.
-Troubles rénaux et urinaires:
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles de la circulation sanguine: leucocytose.
-Système nerveux/troubles psychiatriques: coma, stupeur, hypocinésie, hypertonie, idées délirantes, comportement agressif, réactions paranoïdes, contractions musculaires involontaires, troubles de la marche, paresthésies, modifications du tracé EEG et tremblement.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique: leucocytose.
- +Affections du système nerveux/Affections psychiatriques: coma, stupeur, hypokinésie, hypertonie, idées délirantes, comportement agressif, réactions paranoïdes, contractions musculaires involontaires, troubles de la marche, paresthésies, modifications du tracé EEG et tremblement.
-Troubles du contrôle des impulsions: une addiction au jeu pathologique, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses et achats compulsifs, des crises boulimiques et une consommation compulsive de nourriture peuvent survenir chez des patients traités par les agonistes de la dopamine, y compris le Symmetrel.
-Un arrêt brutal du traitement peut également déclencher un délire, une agitation, des idées délirantes, des réactions paranoïdes, une stupeur, de l'anxiété, une dépression et des troubles de la parole.
-Troubles oculaires: kératite et mydriase.
-Troubles cardiaques/troubles vasculaires: insuffisance cardiaque, arythmies y compris arythmies malignes, hypotension artérielle et tachycardie.
-Organes respiratoires: insuffisance respiratoire aiguë, œdème pulmonaire, tachypnée.
-Troubles gastro-intestinaux: dysphagie.
-Troubles cutanés: prurit.
-Troubles généraux: syndrome neuroleptique malin (cf. «Mises en garde et précautions»), réactions allergiques y compris choc anaphylactique, œdèmes et état fébrile.
- +Troubles du contrôle des impulsions: une addiction au jeu pathologique, une augmentation de la libido, une hypersexualité, des dépenses et achats compulsifs, des crises boulimiques et une consommation compulsive de nourriture peuvent survenir chez des patients traités par les agonistes de la dopamine, y compris Symmetrel.
- +Un arrêt brutal du traitement peut également déclencher un délire, une agitation, des idées délirantes, des hallucinations, des réactions paranoïdes, une stupeur, de l'anxiété, une dépression et des troubles de la parole.
- +Affections oculaires: kératite et mydriase.
- +Affections cardiaques/Affections vasculaires: insuffisance cardiaque, arythmies y compris arythmies malignes, hypotension artérielle et tachycardie.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: insuffisance respiratoire aiguë, œdème pulmonaire, tachypnée.
- +Affections gastro-intestinales: dysphagie.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: prurit.
- +Troubles généraux: syndrome neuroleptique malin (voir «Mises en garde et précautions»), réactions allergiques y compris choc anaphylactique, œdèmes et état fébrile.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
- +
-Symptômes
- +Signes et symptômes
-Système nerveux central: hyperréflexie, agitation motrice, convulsions, signes extrapyramidaux: spasmes de torsion et dystonie d'attitude, pupilles dilatées, dysphagie,confusion, désorientation, délire, hallucinations visuelles, myoclonies, aggréssivité/hostilité, troubles de la conscience et coma.
- +Système nerveux central: hyperréflexie, agitation motrice, convulsions, signes extrapyramidaux: spasmes de torsion et dystonie d'attitude, pupilles dilatées, dysphagie, confusion, désorientation, délire, hallucinations visuelles, myoclonies, agressivité/hostilité, troubles de la conscience et coma.
-Surdosage en cas de traitement combiné: les effets indésirables périphériques et centraux des anticholinergiques sont intensifiés par l'administration simultanée d'amantadine et des réactions psychotiques aiguës (semblables à celles provoquées par une intoxication à l'atropine) peuvent se manifester avec de fortes doses d'anticholinergiques.
-Si de l'alcool ou des stimulants du système nerveux central ont été pris simultanément, les signes et les symptômes d'intoxication aiguë à l'amantadine peuvent être aggravés ou modifiés.
- +Surdosage en cas de traitement combiné: les effets indésirables périphériques et centraux des anticholinergiques sont intensifiés par l'administration simultanée d'amantadine et des réactions psychotiques aiguës semblables à celles provoquées par une intoxication à l'atropine peuvent se manifester avec de fortes doses d'anticholinergiques.
- +La prise simultanée d'alcool ou de stimulants du système nerveux central peut aggraver ou modifier les signes et les symptômes d'intoxication aiguë à l'amantadine.
-Élimination ou inactivation de la (des) substance(s) à l'origine de l'intoxication: provocation de vomissements, respectivement lavage gastrique si le patient est conscient, charbon actif, purgatif salin, si nécessaire.
- +Élimination ou inactivation de la (des) substance(s) à l'origine de l'intoxication: provocation de vomissements ou lavage gastrique si le patient est conscient, charbon actif, purgatif salin, si nécessaire.
-Contrôle de la pression sanguine, de la fréquence cardiaque, de l'ECG, de la respiration, de la température du corps et traitement d'une hypotension ou d'arythmies cardiaques éventuelles. L'administration de substances adrénergiques en cas de surdosage ne peut se faire qu'avec précaution, car l'effet dopaminergique de Symmetrel peut déclencher des arrythmies malignes.
-Convulsions et agitation motrice excessive: administrer un anticonvulsivant tel que diazépam i.v. ou phénobarbital i. m.
-En cas de symptômes psychotiques aigus, délire, dystonie d'attitude, manifestations myocloniques, le recours à la perfusion i.v. lente de physostigmine (dose de 1 mg pour les adultes et de 0.5 mg pour les enfants) à répéter selon la réponse initiale et la nécessité ultérieure, a été rapporté.
-Rétention urinaire: cathétérisme vésical; pose d'un cathéter à demeure aussi longtemps que nécessaire.
- +Contrôle de la pression sanguine, de la fréquence cardiaque, de l'ECG, de la respiration, de la température du corps et traitement d'une hypotension ou d'arythmies cardiaques éventuelles. L'administration de substances adrénergiques en cas de surdosage ne peut se faire qu'avec précaution, car l'effet dopaminergique de Symmetrel peut déclencher des arythmies malignes.
- +En cas de convulsions ou d'agitation motrice excessive, administrer un anticonvulsivant tel que diazépam i.v. ou phénobarbital i. m.
- +En cas de symptômes psychotiques aigus, délire, dystonie d'attitude, manifestations myocloniques, le recours à la perfusion i.v. lente de physostigmine (en doses de 1 mg pour les adultes et de 0.5 mg pour les enfants) à répéter selon la réponse initiale et la nécessité ultérieure, a été rapporté. En cas de rétention urinaire: cathétérisme; pose d'un cathéter à demeure aussi longtemps que nécessaire.
-Code ATC: N04BB01
-Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Code ATC
- +N04BB01
- +Mécanisme d'action
-Seul ou en association, Symmetrel entraîne une amélioration importante des principaux symptômes du syndrome parkinsonien, largement indépendante de l'âge et du sexe du patient, ainsi que de l'ancienneté et de la gravité de la maladie. Les effets favorables de Symmetrel portent essentiellement sur l'akinésie, la rigidité, le tremblement et la bradyphrénie. On observe souvent une amélioration de l'humeur, une détente de la mimique et une diminution de l'hypersécrétion sébacée et salivaire. L'état s'améliore généralement 24-48 h, au plus tard 1 semaine après l'instauration du traitement. L'effet optimal est obtenu en l'espace de quelques jours à quelques semaines.
-En tant que virostatique antigrippal, l'amantadine à faibles concentrations, inhibe spécifiquement la réplication des virus grippaux de type A. Avec une méthode sensible de réduction des plages, les virus humains de la grippe de type A, y compris les sous-types H1N1, H2N2 et H3N2, sont inhibés par des concentrations égales ou inférieures à 0.4 µg/ml d'amantadine. En raison de l'inhibition allostérique, l'amantadine bloque l'activité de la protéine-canal ionique M2 des virus grippaux et empêche ainsi la décapsidation du virus (uncoating). Ceci pourrait inhiber la réplication virale.
- +Seul ou en association, Symmetrel entraîne une amélioration importante des principaux symptômes du syndrome parkinsonien, largement indépendante de l'âge et du sexe du patient, ainsi que de l'ancienneté et de la gravité de la maladie. Les effets favorables de Symmetrel portent essentiellement sur l'akinésie, la rigidité, le tremblement et la bradyphrénie. On observe souvent une amélioration de l'humeur, une détente de la mimique et une diminution de l'hypersécrétion sébacée et salivaire.
- +En tant que virostatique antigrippal, l'amantadine à faibles concentrations inhibe spécifiquement la réplication des virus grippaux de type A. Avec une méthode sensible de réduction des plages, les virus humains de la grippe de type A, y compris les sous-types H1N1, H2N2 et H3N2, sont inhibés par des concentrations égales ou inférieures à 0.4 µg/ml d'amantadine. En raison de l'inhibition allostérique, l'amantadine bloque l'activité de la protéine-canal ionique M2 des virus grippaux et empêche ainsi la décapsidation du virus (uncoating). Ceci pourrait inhiber la réplication virale.
-L'effet antiviral apparaît dès la première ou la deuxième heure suivant la prise de Symmetrel, alors qu'un vaccin antigrippal n'agit qu'au bout de 8-14 jours.
- +Pharmacodynamique
- +Médicaments antiparkinsoniens: l'état s'améliore généralement 24–48 h, au plus tard 1 semaine après l'instauration du traitement. L'effet optimal est obtenu en l'espace de quelques jours à quelques semaines.
- +Virostatique antigrippal: l'effet antiviral apparaît dès la première ou la deuxième heure suivant la prise de Symmetrel, alors qu'un vaccin antigrippal n'agit qu'au bout de 8–14 jours.
- +Efficacité clinique
- +Aucune donnée.
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-L'absorption de l'amantadine est lente mais complète. Des concentrations plasmatiques maximales d'environ 250 ng/ml et de 500 ng/ml sont atteintes en 3-4 h après des doses orales uniques de 100 mg et de 200 mg respectivement.
-Après des prises journalières répétées de 25, 100 ou 150 mg 2 fois par jour, la concentration plasmatique à l'état d'équilibre s'établit à 110, 302 ou 588 ng/ml au bout de 3 d.
- +L'absorption de l'amantadine est lente, mais complète. Des concentrations plasmatiques maximales d'environ 250 ng/ml et de 500 ng/ml sont atteintes en 3–4 h après des doses orales uniques de 100 mg et de 200 mg respectivement.
- +Après des prises journalières répétées de 25, 100 ou 150 mg 2 fois par jour, la concentration plasmatique à l'état d'équilibre s'établit à respectivement 110, 302 et 588 ng/ml au bout de 3 jours.
-Le volume de distribution apparent du médicament est de 5-10 l/kg, ce qui suggère une liaison importante aux composants tissulaires. Il diminue lorsque la dose augmente. La concentration d'amantadine dans les poumons, le cœur, les reins, le foie et la rate est supérieure à celle dans le sang. Après plusieurs heures, le principe actif s'accumule dans les sécrétions nasales.
- +Le volume de distribution apparent du médicament est de 5–10 l/kg, ce qui suggère une liaison importante aux composants tissulaires. Il diminue lorsque la dose augmente. La concentration d'amantadine dans les poumons, le cœur, les reins, le foie et la rate est supérieure à celle dans le sang. Après plusieurs heures, le principe actif s'accumule dans les sécrétions nasales.
-Une faible proportion de l'amantadine est métabolisée. Huit métabolites de l'amantadine ont été identifiés. Le principal métabolite, le métabolite N-acétylé, représente 5 à 15% de la dose administrée. L'activité pharmacologique du métabolite est inconnue. Les effets du statut individuel d'acétyleur sur le métabolisme de l'amantadine n'ont pas encore été évalués précisement.
- +Une faible proportion de l'amantadine est métabolisée. Huit métabolites de l'amantadine ont été identifiés. Le principal métabolite, le métabolite N-acétylé, représente 5 à 15% de la dose administrée. L'activité pharmacologique du métabolite est inconnue. Les effets du statut individuel d'acétyleur sur le métabolisme de l'amantadine n'ont pas encore été évalués précisément.
-Chez les adultes jeunes et en bonne santé, le médicament a une demi-vie d'élimination plasmatique moyenne de 15 h (10-31 h).
- +Chez les adultes jeunes et en bonne santé, le médicament a une demi-vie d'élimination plasmatique moyenne de 15 h (10–31 h).
-Une dose unique d'amantadine est excrétée en l'espace de 72 h comme suit: 65-85% sous forme inchangée, 5-15% en tant que métabolite acétylé dans les urines et 1% dans les selles. Après 4 à 5 jours, 90% de la dose se retrouvent inchangés dans les urines. Le pH urinaire a une grande influence sur la vitesse d'élimination. Une élévation du pH peut entraîner une diminution importante de l'excrétion de l'amantadine.
-Dose-dépendance
- +Une dose unique d'amantadine est excrétée en l'espace de 72 h comme suit: 65–85% sous forme inchangée, 5–15% en tant que métabolite acétylé dans les urines et 1% dans les selles. Après 4 à 5 jours, 90% de la dose se retrouvent inchangés dans les urines. Le pH urinaire a une grande influence sur la vitesse d'élimination. Une élévation du pH peut entraîner une diminution importante de l'excrétion de l'amantadine.
- +Linéarité
-Personnes âgées
-En comparaison des valeurs obtenues pour les jeunes adultes sains, la demi-vie est doublée et la clairance rénale diminue. Le rapport entre la clairance rénale de l'amantadine et la clearance de la créatinine est plus faible chez les patients âgés que chez les sujets jeunes. La sécrétion tubulaire diminue de manière plus importante que la filtration glomérulaire chez les patients âgés.
-Chez les patients âgés, qui ont une perturbation de la fonction rénale, l'administration de 100 mg par jour pendant 15 jours, peut élever la concentration plasmatique vers des valeurs toxiques.
-Insuffisance rénale
-L'amantadine étant essentiellement éliminée par les reins, une accumulation d'amantadine peut survenir chez les patients atteints d'insuffisance rénale, ce qui peut engendrer des effets indésirables graves. Si la clairance de la créatinine est inférieure à 40 ml/min. × [1.73 m²], la demi-vie s'allonge de 3 à 5 fois, la clairance rénale et la clairance totale diminuent de 5 fois. L'élimination rénale est prédominante, même en cas d'insuffisance rénale.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Les effets d'une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de l'amantadine sont inconnus. La majeure partie de la dose d'amantadine administrée est éliminée par les urines sous forme inchangée. Une faible partie du principe actif est métabolisée par le foie (voir «Pharmacocinétique», «Métabolisme»).
- +Troubles de la fonction rénale
- +L'amantadine étant essentiellement éliminée par les reins, une accumulation d'amantadine peut survenir chez les patients atteints d'insuffisance rénale, ce qui peut engendrer des effets indésirables graves. Si la clairance de la créatinine est inférieure à 40 ml/min × [1.73 m²], la demi-vie s'allonge de 3 à 5 fois, la clairance rénale et la clairance totale diminuent de 5 fois. L'élimination rénale est prédominante, même en cas d'insuffisance rénale.
-Insuffisance hépatique
-Les effets d'une insuffisance hépatique sur la pharmacocinétique de l'amantadine sont inconnus. La majeure partie de la dose d'amantadine administrée est éliminée par les urines sous forme inchangée. Une faible partie du principe actif est métabolisée par le foie (cf. «Pharmacocinétique», «Métabolisme»).
- +Patients âgés
- +En comparaison des valeurs obtenues pour les jeunes adultes sains, la demi-vie est doublée et la clairance rénale diminue. Le rapport entre la clairance rénale de l'amantadine et la clearance de la créatinine est plus faible chez les patients âgés que chez les sujets jeunes. La sécrétion tubulaire diminue de manière plus importante que la filtration glomérulaire chez les patients âgés.
- +Chez les patients âgés présentant des troubles de la fonction rénale, l'administration de 100 mg par jour pendant 14 jours peut élever la concentration plasmatique vers des valeurs toxiques.
-On ignore si des facteurs génetiques influencent la distribution et la répartition de l'amantadine. Il n'existe cependant aucune étude détaillée sur les effets de l'ethnie et de la race sur la pharmacocinétique de l'amantadine.
- +On ignore si des facteurs génétiques influencent la distribution et la répartition de l'amantadine. Il n'existe cependant aucune étude détaillée sur les effets de l'ethnie et de la race sur la pharmacocinétique de l'amantadine.
-Génotoxicité/Carcinogénicité
- +Mutagénicité
- +Carcinogénicité
-Toxicité de la reproduction
-Les études d'embryotoxicité chez les rates, les souris et les lapines n'ont montré un effet embryolétal et des malformations que chez les rates à partir d'une dose de 50 mg/kg/d. Les cas d'œdèmes, de malformations des pattes arrières et d'anomalies du squelette (côtes manquantes, aplasie de la colonne caudale) étaient plus nombreux.
- +Toxicité sur la reproduction
- +Les études d'embryotoxicité chez les rates, les souris et les lapines n'ont montré un effet embryolétal et des malformations que chez les rates à partir d'une dose de 50 mg/kg/jour. Les cas d'œdèmes, de malformations des pattes arrière et d'anomalies du squelette (côtes manquantes, aplasie de la colonne caudale) étaient plus nombreux.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver le médicament à l'abri de l'humidité et pas au-dessus de 30 °C.
-Tenir les médicaments hors de portée des enfants.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver le médicament à l'abri de l'humidité. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Septembre 2019.
- +Décembre 2020.
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