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Accueil - Information professionnelle sur Limbitrol - Changements - 26.03.2019
50 Changements de l'information professionelle Limbitrol
  • -Posologie usuelle
  • +Adultes à partir de 18 ans
  • -Ces doses correspondent à une directive générale, elles doivent être adaptées à chaque individu. Il est recommandé de commencer le traitement à faible dose, en augmentant celle-ci progressivement jusqu'à obtention de l'effet optimal.
  • +Ces doses correspondent à une recommandation générale, elles doivent être adaptées à chaque individu. Il est recommandé de commencer le traitement à faible dose, en augmentant celle-ci progressivement jusqu'à obtention de l'effet optimal.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique ou rénale
  • +Patients âgés
  • +Chez les patients âgés et/ou affaiblis, la dose de Limbitrol doit être réduite en raison des capacités métaboliques limitées et de la sensibilité plus importante chez ces patients.
  • +Enfants et adolescents
  • +
  • -Hypersensibilité à l'un des principes actifs ou à l'un des excipients.
  • -Hypersensibilité connue aux benzodiazépines ou aux antidépresseurs tricycliques.
  • -Myasthénie grave.
  • -Phase de convalescence immédiatement après un infarctus du myocarde.
  • -Troubles de la conduction dans le faisceau de Hiss.
  • -Intoxications aiguës à l'alcool, aux barbituriques et aux opiacés.
  • -Insuffisance respiratoire sévère, syndrome d'apnée du sommeil.
  • -Insuffisance hépatique sévère.
  • +·Hypersensibilité à l'un des principes actifs ou à l'un des excipients.
  • +·Hypersensibilité connue aux benzodiazépines ou aux antidépresseurs tricycliques.
  • +·Myasthénie grave.
  • +·Phase de convalescence immédiatement après un infarctus du myocarde.
  • +·Troubles de la conduction dans le faisceau de Hiss (voir «Interactions».
  • +·Intoxications par des substances agissant sur le système nerveux central, p.ex. alcool, barbituriques, opiacés, neuroleptiques, antidépresseurs, lithium, analgésiques, anesthésiants, antihistaminiques (voir «Interactions».
  • +·Insuffisance respiratoire sévère, syndrome d'apnée du sommeil.
  • +·Insuffisance hépatique sévère.
  • +·Co-administration d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (iMAO) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions».
  • +Contre-indications supplémentaires à cause du principe actif amitriptyline:
  • +·Rétention urinaire aiguë.
  • +·Sténose pylorique.
  • +·Iléus paralytique.
  • +·Glaucome à angle fermé non traité.
  • +·Co-administration de cisapride, susceptible de causer des interactions cardiaques indésirables, y compris allongements de l'intervalle QT, arythmies et troubles de la conduction cardiaque (voir «Interactions»).
  • +Mises en garde et précautions
  • +Allongement du QT
  • +Des cas d'allongement de l'intervalle QT, d'arythmies (entre autres torsade de pointes) et de tachycardie sinusale ont été rapportés sous amitriptyline.
  • +La prudence est de rigueur chez les patients présentant une bradycardie significative, les patients présentant une insuffisance cardiaque non compensée et les patients recevant en même temps des médicaments associés à un allongement du QT. Les troubles électrolytiques (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) sont connus pour accroître le risque d'arythmies (voir «Interactions»).
  • +
  • -Des réactions sévères et parfois fatales ont pu être observées chez des patients qui avaient pris simultanément des antidépresseurs tricycliques et des inhibiteurs de la MAO, y compris la sélégiline, un inhibiteur sélectif de la MAO-B, et le moclobémide, un inhibiteur réversible de la MAO. Quelques patients ont présenté des symptômes évoquant un état hyper-sérotoninergique (syndrome sérotoninergique).
  • +Des réactions sévères et parfois fatales ont été observées chez des patients qui avaient pris simultanément des antidépresseurs tricycliques et des inhibiteurs de la MAO, y compris la sélégiline, un inhibiteur sélectif de la MAO-B, et le moclobémide, un inhibiteur réversible de la MAO. Quelques patients ont présenté les symptômes d'un syndrome sérotoninergique tels qu'agitation, état confusionnel, tremblements, myoclonie, hyperthermie.
  • -L'amitriptyline est contre-indiquée en cas de rétention urinaire aiguë, de sténose du pylore, d'iléus paralytique et de glaucome à angle fermé non traité. L'amitriptyline est également contre-indiquée chez les patients qui prennent du cisapride car des complications cardiaques indésirables sont possibles, y compris un allongement de l'intervalle QT, des arythmies et des troubles de la conduction.
  • -Mises en garde et précautions
  • +Comportement suicidaire
  • +Exacerbation de symptômes de schizophrénie
  • +Comme avec d'autres antidépresseurs, les patients souffrant d'une psychose schizophrénique ou schizo-affective qui reçoivent Limbitrol pour traiter un syndrome dépressif peuvent subir une exacerbation des symptômes schizophréniques, Un traitement à long terme déjà en cours par des neuroleptiques doit donc être poursuivi chez de tels patients, en tenant compte des effets additionnels anticholinergiques et dépresseurs sur le SNC.
  • +Risque lié à une co-administration d'opiacés
  • +L'administration concomitante de Limbitrol avec un opiacé peut causer une sédation, une dépression respiratoire, un coma et même le décès du patient. En raison de ces risques, la prescription de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou les médicaments apparentés comme p.ex. Limbitrol en même temps qu'un opiacé n'est indiquée que chez les patients pour lesquels il n'existe aucune autre option thérapeutique. Si toutefois une prescription simultanée de Limbitrol et d'un opiacé est jugée nécessaire, il faut utiliser la plus faible dose efficace et maintenir le traitement aussi court que possible (cf. les recommandations posologiques générales sous «Posologie/Mode d'emploi» et la durée du traitement sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Les patients doivent être surveillés étroitement quant aux signes et symptômes d'une dépression respiratoire et d'une sédation. Dans ce contexte, il est vivement recommandé d'informer les patients et leurs proches (si disponibles) au sujet de ces symptômes (voir «Interactions».
  • +Accoutumance
  • +Après quelques semaines de traitement par des prises répétées, les effets sédatifs du chlordiazépoxide peuvent devenir plus faibles.
  • +Dépendance
  • +La prise de benzodiazépines peut causer une dépendance psychologique et physique. Ce risque augmente lors d'une utilisation prolongée, d'une dose élevée, d'antécédents de dépendance à l'alcool ou aux drogues et chez les patients ayant d'autres facteurs prédisposants. Les symptômes de manque apparaissent surtout après un arrêt abrupt et se limitent dans les cas légers à des symptômes tels que tremblements, agitation, troubles du sommeil, anxiété, céphalées et problèmes de concentration, mais peuvent aussi inclure des sueurs, des crampes musculaires et abdominales, des troubles de la perception, des délires et des crises de convulsions d'origine cérébrale.
  • +Selon la durée d'action de la substance, les symptômes de manque commencent quelques heures à une semaine ou plus après l'arrêt du traitement.
  • +Pour réduire le risque de dépendance dans la mesure du possible, le principe actif chlordiazépoxide (une benzodiazépine) ne doit être prescrit qu'après établissement soigneux de l'indication. La durée du traitement ne devrait pas dépasser quatre semaines et l'indication doit être réévaluée périodiquement.
  • +Arrêt du traitement
  • +On observe un phénomène de rebond avec des symptômes tels qu'insomnie et états anxieux qui peuvent parfois être plus sévères que les symptômes avant le début du traitement.
  • +Afin d'éviter les symptômes de manque, la dose doit être réduite progressivement jusqu'à l'arrêt.
  • +On a rapporté de rares cas de patients ayant souffert de symptômes ou d'états de manie deux à sept jours après l'arrêt d'un long traitement par des antidépresseurs tricycliques.
  • +L'apparition de symptômes de manque exige une surveillance médicale et éventuellement l'instauration d'un traitement symptomatique.
  • +Amnésie
  • +Les benzodiazépines peuvent causer une amnésie antérograde. Cet état se manifeste souvent plusieurs heures après la prise du médicament.
  • +Réactions psychiatriques et paradoxales au médicament
  • +Des réactions paradoxales avec des symptômes psychiatriques tels qu'agitation, excitation, irritabilité, agressivité, délires, accès de colère, cauchemars, hallucinations et comportement inapproprié peuvent se produire au cours de la prise de chlordiazépoxide. Dans un tel cas, l'utilisation du médicament doit être arrêtée.
  • +Symptômes comme dans le «syndrome malin des neuroleptiques»
  • +La survenue d'un syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques, qui est potentiellement mortel, a été rapportée en association avec la prise d'amitriptyline.
  • +Durée du traitement
  • +Le traitement doit être aussi court que possible. Sa durée totale, incluant la phase d'arrêt par réduction progressive, ne doit normalement pas dépasser quatre semaines. Le traitement ne doit pas être poursuivi au-delà de cette période sans une nouvelle évaluation médicale de l'indication.
  • +Il peut être judicieux d'informer le patient au début du traitement que la durée de celui-ci est limitée et de lui expliquer en détail comment la dose sera réduite progressivement à la fin du traitement. En outre, il est important d'informer le patient qu'il pourrait subir un phénomène de rebond après la fin du traitement.
  • +Groupes de patients particuliers
  • +La plus faible dose efficace doit être utilisée chez les patients âgés ou affaiblis.
  • +En raison du risque de dépression respiratoire, une dose réduite est également recommandée chez les patients atteints d'une légère insuffisance respiratoire chronique.
  • +Les benzodiazépines ne doivent pas être utilisées chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, car elles pourraient déclencher une encéphalopathie (voir «Contre-indications»).
  • +Les benzodiazépines ne sont pas appropriées pour le traitement primaire de maladies psychotiques.
  • +Il faut éviter si possible d'utiliser des benzodiazépines chez les patients ayant des antécédents de dépendance à l'alcool ou aux drogues.
  • +Les patients présentant une ataxie ne doivent être traités qu'à faible dose.
  • -Une prudence particulière est également de mise en présence d'ataxies.
  • -En relation avec la prise d'amitryptiline, il a été fait état d'un syndrome similaire au syndrome malin des neuroleptiques, qui peut mettre la vie du patient en danger.
  • -Chez les patients diabétiques, on tiendra compte du fait que Limbitrol peut abaisser la glycémie.
  • -Comme avec les autres antidépresseurs, le traitement des états dépressifs des patients atteints de psychoses de type schizophrénique ou schizo-affectif avec du Limbitrol peut provoquer une exacerbation des symptômes de la schizophrénie. Il est donc recommandé de poursuivre tout traitement aux neuroleptiques existant depuis longtemps chez ces patients, en tenant compte de l'effet anticholinergique supplémentaire.
  • -Les patients présentant une insuffisance rénale doivent être soumis à une surveillance adaptée pendant le traitement au Limbitrol.
  • -Chez les patients âgés et affaiblis, la dose administrée doit être réduite à la plus petite dose efficace possible.
  • -Il est recommandé d'effectuer des contrôles réguliers de l'hémogramme et des fonctions hépatiques en cas de traitement prolongé au Limbitrol.
  • -Il existe des rapports selon lesquels des antidépresseurs tricycliques, y compris l'amitryptiline, peuvent entraîner des altérations de l'ECG (allongements de QT), des arythmies (notamment des torsades de pointe) et une tachycardie sinusale, notamment à des doses élevées.
  • +La prudence est de rigueur chez les patients présentant une hyperthyroïdie et les patients traités par des hormones thyroïdiennes ou des antithyroïdiens (risque d'arythmies).
  • +Chez les patients diabétiques insulinodépendants, on tiendra compte du fait que Limbitrol peut abaisser la glycémie et qu'il faut ajuster la dose en conséquence.
  • +Chez les patients âgés et les patients présentant des lésions cérébrales organiques, une insuffisance hépatique ou rénale ou un mauvais état général, il faut utiliser la plus faible dose efficace et soumettre ces patients à une surveillance médicale adéquate (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Si le traitement par Limbitrol dépasse la durée recommandée, des contrôles réguliers de l'hémogramme et des fonctions hépatiques sont indiqués.
  • -Dépendance
  • -La prise de benzodiazépines peut entraîner une dépendance. Ce risque est majoré en cas de traitement prolongé ou à forte dose ainsi que chez les patients présentant une prédisposition. Le phénomène de sevrage survient principalement après interruption brutale du traitement et se limite, dans sa forme la moins sévère, à des tremblements, une agitation, des troubles du sommeil, de l'anxiété, des céphalées et des troubles de la concentration. Des symptômes comme des suées, des crampes musculaires et abdominales, des troubles de la perception ainsi que, dans de rares cas, des accès de délire et de convulsions peuvent survenir.
  • -Les manifestations liées au phénomène de sevrage peuvent survenir, selon la durée d'action de la substance, entre quelques heures et une semaine ou plus après l'arrêt du traitement.
  • -Afin de réduire au maximum le risque de dépendance, les benzodiazépines ne doivent être prescrites qu'après vérification soigneuse de l'indication et la durée du traitement doit être la plus brève possible (comme somnifère, en général pas au-delà de quatre semaines). Il est nécessaire d'évaluer périodiquement la nécessité de poursuivre le traitement. Un traitement prolongé n'est indiqué que chez certains patients (états de panique par exemple) et la balance bénéfice/risque est moins claire.
  • -Afin d'éviter les manifestations du phénomène de sevrage, il est recommandé de toujours procéder à un arrêt progressif du traitement avec décroissance progressive des doses. Si un phénomène de sevrage survient, une surveillance médicale accrue et le soutien du patient son nécessaires.
  • -L'administration de Limbitrol aux patients de moins de 18 ans n'a pas été étudiée et ne peut donc être recommandée.
  • -Les capsules Limbitrol contiennent du lactose. Les patients atteints de problèmes héréditaires rares tels qu'une intolérance au galactose, un déficit en lactase (connu chez les Lapons) ou une malabsorption au glucose et au galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Limbitrol capsules contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase (fréquent chez les Lapons) ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Anticholinergiques Augmentation de l'effet anticholinergique
  • -Inhibiteurs de la MAO, inhibiteurs non sélectifs et sélectifs de la MAO-A Risque de «syndrome sérotoninergique» (voir «Contre-indications»), crise hypertensive et hyperthermie
  • +Anticholinergiques Augmentation de l'effet anticholinergique. Les effets anticholinergiques d'autres médicaments (p.ex. phénothiazine, anticholinergiques pour le traitement de la maladie de Parkinson, antihistaminiques, halopéridol) peuvent être accrus à un degré dangereux.
  • +Inhibiteurs de la MAO, inhibiteurs non sélectifs et sélectifs de la MAO-A Risque de «syndrome sérotoninergique» (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»), crise hypertensive et hyperthermie
  • -Médicaments agissant au niveau central, de type neuroleptique, antiépileptique, tranquillisant, antidépresseur, hypnotique, analgésique et narcotique et anesthésiques généraux Renforcement de l'action sédative centrale de ces médicaments. Il y a notamment un risque de dépression respiratoire.
  • -Cimétidine Renforcement des effets des antidépresseurs Inhibition de la dégradation du chlordiazépoxyde
  • -Méthylphénidate Possibilité d'inhibition réciproque du métabolisme
  • -Antihistaminiques Augmentation de l'effet antihistaminique
  • -Contraceptifs oraux, barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, nicotine Accélération du métabolisme hépatique et abaissement des concentrations de l'amitriptyline
  • -Cisapride, antiarhythmiques (p.ex. quinidine), antihistaminiques, antipaludéens Renforcement de l'efficacité, risque d'allongement de l'intervalle QT
  • +Médicaments agissant au niveau central, p.ex. alcool, neuroleptiques, antiépileptiques, tranquillisants, antidépresseurs, hypnotiques, analgésiques et narcotiques (surtout opiacés), anesthésiques généraux et antihistaminiques à effet sédatif. L'administration concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou médicaments apparentés tels que Limbitrol avec des opiacés accroît le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison d'un effet additif de dépression sur le SNC. La dose et la durée du traitement concomitant doivent être limitées (voir «Mises en garde et précautions»). La co-administration d'un opiacé peut renforcer l'euphorie et ainsi la dépendance psychologique.
  • +Cimétidine Renforcement des effets indésirables de l'amitriptyline Inhibition de la dégradation du chlordiazépoxyde
  • +Méthylphénidate Possibilité d'inhibition réciproque du métabolisme Risque de syndrome sérotoninergique
  • +Contraceptifs oraux, barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, nicotine Accélération du métabolisme hépatique de l'amitriptyline, avec affaiblissement de ses effets, tandis que les effets de la carbamazépine et de la phénytoïne sont renforcés.
  • +Cisapride, antiarhythmiques (p.ex. quinidine, amiodarone), antihistaminiques (p.ex. astémizole), antipaludéens Efficacité accrue (y compris de l'effet antihistaminique), risque d'interactions cardiaques, y compris d'allongement de l'intervalle QT, d'arythmie et de troubles de la conduction cardiaque.
  • -L'amitriptyline peut allonger le temps de prothrombine des patients sous anticoagulants.
  • +L'amitriptyline peut allonger le temps de prothrombine des patients sous anticoagulants (p.ex. phenprocoumone).
  • -Le chlordiazépoxide est hydroxylé par l'isoenzyme CYP450 3A4. Bien qu'il n'existe aucune étude spécifique d'interaction, la prudence est recommandée en cas d'association à des médicaments inhibant cette isoenzyme ou qui sont métabolisés par celle-ci (antibiotiques macrolides, antimycosiques de type Azol, antagonistes du calcium, inhibiteurs de la protéase, alcaloïdes dérivés de l'ergot de seigle, antidépresseurs).
  • -
  • +Le chlordiazépoxide est hydroxylé par l'isoenzyme CYP450 3A4. Bien qu'il n'existe aucune étude spécifique d'interaction, la prudence est recommandée en cas d'association à des médicaments inhibant cette isoenzyme ou qui sont métabolisés par celle-ci (antibiotiques macrolides, antimycosiques de type Azol, antagonistes du calcium, inhibiteurs de la protéase, alcaloïdes dérivés de l'ergot de seigle, antidépresseurs et agents d'origine végétale tels que millepertuis, griffe du diable, actée à grappe).
  • +Des cas de malformations chez l'enfant ont été rapportés après exposition à Limbitrol pendant la grossesse.
  • +
  • -Limbitrol ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, a moins qu'il ne soit absolument nécessaire.
  • -Comme l'amitriptyline et le chlordiazépoxide passent dans le lait maternel, Limbitrol ne doit pas être utilisé chez les femmes qui allaitent. En cas d'indication absolue, l'allaitement sera interrompu.
  • +Limbitrol ne doit donc pas être utilisé pendant la grossesse.
  • +Comme l'amitriptyline et le chlordiazépoxide passent dans le lait maternel, Limbitrol ne doit pas être utilisé chez les femmes qui allaitent.
  • -très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Très fréquents (≥1/10), fréquents (1/100 à <1/10), occasionnels (1/1000 à <1/100), rares (1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Rares: thrombocytopénie, dépression médullaire (agranulocytose, leucopénie, éosinophilie).
  • +Rares: dépression médullaire (thrombocytopénie, leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, éosinophilie).
  • -Très rares: réactions allergiques (p. ex.: éruptions cutanées).
  • +Très rares: réactions allergiques (p. ex.: angio-œdème).
  • +Affections endocriniennes
  • +Cas isolés: sécrétion inadéquate d'hormone antidiurétique.
  • -Fréquents: confusion, troubles de la concentration, baisse de la libido.
  • +Fréquents: confusion, troubles de la concentration, baisse de la libido, état de conscience réduit.
  • -Fréquence indéterminée: réactions paradoxales (agitation, agressivité, entre autres), troubles de la pensée.
  • +Cas isolés: tentative de suicide, idées suicidaires, amnésie, dépendance, dépression, nervosité, agitation, irritabilité, délire, trouble psychotique, comportement anormal, troubles émotionnels, troubles du sommeil, réactions paradoxales au médicament (agitation, agressivité, entre autres), troubles de la mémoire.
  • +(Voir également «Affections du système nerveux»)
  • -Très fréquents: céphalées, vertiges (60%), tremblement, somnolence.
  • -Fréquents: paresthésie, ataxie, fatigue.
  • +Très fréquents: céphalées, sensation de vertige (60%), tremblement, somnolence.
  • +Fréquents: paresthésie, ataxie, fatigue, trouble de l'équilibre, état confusionnel.
  • -Fréquence indéterminée: syndrome extrapyramidal, dystonie, dyskinésie, faiblesse musculaire, syndrome lié à la sécrétion anormale d'hormone antidiurétique.
  • +Rares: vertiges.
  • +Cas isolés: symptômes extrapyramidaux (p.ex. dyskinésie), dystonie, faiblesse musculaire, dysarthrie, trouble de la marche. (Voir également «Affections psychiatriques»)
  • +Rares: diplopie.
  • +Cas isolés: sécheresse oculaire.
  • -Occasionnels: acouphènes
  • +Occasionnels: acouphènes.
  • -Rares: troubles de la fonction hépatique (élévation des transaminases et de la phosphatase alcaline sériques), jaunisse.
  • +Rares: jaunisse, troubles de la fonction hépatique (élévation des transaminases, de la bilirubine et de la phosphatase alcaline sériques).
  • -Rares: Baisse du tonus musculaire
  • +Rares: Baisse du tonus musculaire.
  • +En raison des effets myorelaxants, il existe un risque de chutes et de fractures, surtout chez les patients âgés.
  • -Fréquence indéterminée: troubles de la menstruation, anovulation, galactorrhée.
  • +Rares: troubles de la fonction sexuelle, troubles menstruels.
  • +Cas isolés: anovulation, galactorrhée.
  • +Fréquents: fatigue.
  • +
  • -Les symptômes peuvent apparaître de façon lente et insidieuse ou subite et inopinée.
  • -Les symptômes apparaissant généralement pendant les premières heures sont: somnolence ou excitation, agitation et hallucinations, mydriase, tachycardie, rétention urinaire, dessèchement des muqueuses, diminution de la motilité intestinale, crampes et fièvre; plus tard peuvent apparaître des dépressions subites du SNC et une obnubilation allant jusqu'au coma profond avec dépression respiratoire.
  • +Les symptômes peuvent apparaître de façon lente et insidieuse ou subite et inopinée. Les symptômes apparaissant généralement pendant les premières heures sont: somnolence ou excitation, agitation et hallucinations, mydriase, tachycardie, rétention urinaire, dessèchement des muqueuses, diminution de la motilité intestinale, crampes et fièvre; plus tard peuvent apparaître des dépressions subites du SNC et une obnubilation allant jusqu'au coma profond avec dépression respiratoire.
  • +Un surdosage d'antidépresseurs tricycliques peut être mortel.
  • +Un surdosage de benzodiazépines peut causer dans les cas sévères une ataxie, une atonie musculaire, une hypotension et une dépression respiratoire. Il peut conduire rarement à un coma et très rarement au décès,
  • +Pour le traitement médicamenteux d'un surdosage, il faut songer que la personne pourrait avoir pris plusieurs principes actifs.
  • +
  • -Août 2018.
  • +Janvier 2019.
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