110 Changements de l'information professionelle Rimactan 150 |
-Principe actif
-Formes orales: Rifampicine ([méthyl-4 pipéraziny-1 imino méthyl]-3 rifamycine).
-Forme parentérale (intraveineuse): Rifampicine sous forme de rifampicine sodique.
-
- +Principes actifs
- +Rifampicine ([méthyl-4 pipéraziny-1 imino méthyl]-3 rifamycine).
-Formes orales
-Capsules: Excip. pro capsula.
-Dragées: Excip. pro compr.obduct.
-Forme parentérale (intraveineuse)
-Flacons de poudre (vial): Antioxydant: Natrii hydroxymethansulfinas dihydricus 5 mg pro vitro.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Formes orales
-Capsules à 150 mg et 300 mg.
-Dragées à 450 mg et 600 mg.
-Forme parentérale
-Flacon-ampoule (vial) de poudre pour préparer une solution pour perfusion intraveineuse de 300 mg.
- +Excip. pro capsula.
- +
-Tuberculose (toutes les formes): La tuberculose est la principale indication de Rimactan. Rimactan doit toujours être associé à d’autres antituberculeux.
-Recommandation: avant le traitement, prendre en considération les recommandations relatives au traitement de la tuberculose pulmonaire, y compris les données actuelles concernant l’état de la résistance.
- +Tuberculose (toutes les formes): La tuberculose est la principale indication de Rimactan. Rimactan doit toujours être associé à d'autres antituberculeux.
- +Recommandation: avant le traitement, prendre en considération les recommandations relatives au traitement de la tuberculose pulmonaire, y compris les données actuelles concernant l'état de la résistance.
-http://www.tbinfo.ch/index.aspx?PID=31.3.6.582.0.0.0.582.1.N.0.Y.0.0.0.0. ou http://www.tbinfo.ch (Conseil online → manuel de la tuberculose) recommandation commune de la ligue pulmonaire suisse et de l’Office Fédéral de la Santé Publique resp. http://www.who.int/docstore/gtb/publications/ttgnp/PDF/2003.313.pdf (Organisation Mondiale de la Santé, OMS ou http://www.stoptb.org/resource–center/assets/documents/istc–report.pdf
- +http://www.tbinfo.ch/index.aspx?PID=31.3.6.582.0.0.0.582.1.N.0.Y.0.0.0.0. ou http://www.tbinfo.ch (Conseil online → manuel de la tuberculose) recommandation commune de la ligue pulmonaire suisse et de l'Office Fédéral de la Santé Publique resp. http://www.who.int/docstore/gtb/publications/ttgnp/PDF/2003.313.pdf (Organisation Mondiale de la Santé, OMS ou http://www.stoptb.org/resource–center/assets/documents/istc–report.pdf
-Une polychimiothérapie (PCT) est nécessaire pour éviter l’émergence de souches résistantes de M. leprae.
-Source: WHO Expert Committee on Leprosy, Seventh Report, Technical Report Series No. 874, 1998, ISBN 92 4 120874 0.
-Noter que les plaquettes calendrier de PCT sont fournies gratuitement par l’OMS. En association à la dapsone pour le traitement des formes paucibacillaires de lèpre (tuberculoïde [TT], borderline tuberculoïde [BT]).
- +Une polychimiothérapie (PCT) est nécessaire pour éviter l'émergence de souches résistantes de M. leprae. Source: WHO Expert Committee on Leprosy, Seventh Report, Technical Report Series No. 874, 1998, ISBN 92 4 120874 0.
- +Noter que les plaquettes calendrier de PCT sont fournies gratuitement par l'OMS. En association à la dapsone pour le traitement des formes paucibacillaires de lèpre (tuberculoïde [TT], borderline tuberculoïde [BT]).
-en association à d’autres antibiotiques/anti-infectieux auxquels les germes sont sensibles;
- +en association à d'autres antibiotiques/anti-infectieux auxquels les germes sont sensibles;
-Prévention de la méningite à méningocoques: Utilisation prophylactique chez les personnes qui ont été en contact étroit (par exemple au domicile, dans les crèches, les écoles, les logements collectifs) avec un patient atteint de méningite méningococcique. La réduction/éradication des germes (Neisseria meningitidis) du nasopharynx permet de diminuer le risque d’infection qui est très élevé chez les personnes en contact avec des malades.
-Etant donné la possibilité de développement rapide d’une résistance des germes, les éventuels premiers signes d’une infection manifeste feront l’objet d’une attention particulière.
- +Prévention de la méningite à méningocoques: Utilisation prophylactique chez les personnes qui ont été en contact étroit (par exemple au domicile, dans les crèches, les écoles, les logements collectifs) avec un patient atteint de méningite méningococcique. La réduction/éradication des germes (Neisseria meningitidis) du nasopharynx permet de diminuer le risque d'infection qui est très élevé chez les personnes en contact avec des malades.
- +Etant donné la possibilité de développement rapide d'une résistance des germes, les éventuels premiers signes d'une infection manifeste feront l'objet d'une attention particulière.
-Poids corporel inférieur à 50 kg: 450 mg de Rimactan par jour.
-Poids corporel de 50 kg et plus: 600 mg de Rimactan par jour.
-Enfants de 6 à 12 ans: 10–20 mg/kg par jour.
-Enfants de 3 à 6 ans: Nous ne disposons pas encore de données établies relatives à l’utilisation de Rimactan en pédiatrie. Cependant, la posologie suivante est recommandée dans le traitement de la tuberculose: une dose journalière unique allant jusqu’à 20 mg/kg KG.
- +Poids corporel inférieur à 50 kg: 450 mg de rifampicine par jour.
- +Poids corporel de 50 kg et plus: 600 mg de rifampicine par jour.
- +Enfants de 6 à 12 ans: 10-20 mg/kg par jour.
- +Enfants de 3 à 6 ans: Nous ne disposons pas encore de données établies relatives à l'utilisation de Rimactan en pédiatrie. Cependant, la posologie suivante est recommandée dans le traitement de la tuberculose: une dose journalière unique allant jusqu'à 20 mg/kg KG.
-A l’heure actuelle, les médicaments suivants sont utilisés en association pour traiter la tuberculose:
- +A l'heure actuelle, les médicaments suivants sont utilisés en association pour traiter la tuberculose:
-Médicament Dose quotidienne
- mg/kg mg/kg mg au
- Enfants Adultes maximum
-RMP 10–20 10 600
-INH 10–20 5 300
-PZA 15–30 15–30 2000
-EMB 15–25 5–25 2500
-STM 20–30 15 1000
-
-Médicament 2 fois par semaine
- mg/kg mg/kg mg au
- Enfants Adultes maximum
-RMP 10–20 10 600
-INH 20–40 15 900
-PZA 50–70 50–70 4000
-EMB 50 50 2500
-STM 25–30 25–30 1500
- +Médicament Dose quotidienne mg/kg mg au maximum
- + Enfants Adultes
- +RMP 10–20 10 600
- +INH 10–20 5 300
- +PZA 15–30 15–30 2000
- +EMB 15–25 5–25 2500
- +STM 20–30 15 1000
-Médicament 3 fois par semaine
- mg/kg mg/kg mg au
- Enfants Adultes maximum
-RMP 10–20 10 600
-INH 20–40 15 900
-PZA 50–70 50–70 3000
-EMB 25–30 25–30 2500
-STM 25–30 25–30 1000
- +Médicament 2 fois par semaine
- + mg/kg mg au maximum
- + Enfants Adultes
- +RMP 10–20 10 600
- +INH 20–40 15 900
- +PZA 50–70 50–70 4000
- +EMB 50 50 2500
- +STM 25–30 25–30 1500
- +Médicament 3 fois par semaine
- + mg/kg mg au maximum
- + Enfants Adultes
- +RMP 10–20 10 600
- +INH 20–40 15 900
- +PZA 50–70 50–70 3000
- +EMB 25–30 25–30 2500
- +STM 25–30 25–30 1000
-Une durée totale de traitement de 9 mois est recommandée pour le traitement de la tuberculose chez les patients infectés par le VIH, de la méningite tuberculeuse, de la tuberculose miliaire ou en cas d’atteinte vertébrale avec complications neurologiques.
- +Une durée totale de traitement de 9 mois est recommandée pour le traitement de la tuberculose chez les patients infectés par le VIH, de la méningite tuberculeuse, de la tuberculose miliaire ou en cas d'atteinte vertébrale avec complications neurologiques.
-Phase de consolidation (4 mois): RMP + INH 2–3 fois par semaine.
- +Phase de consolidation (4 mois): RMP + INH 2-3 fois par semaine.
-Le traitement devra être surveillé s’il est partiellement ou totalement intermittent, c’est-à-dire si le patient reçoit le médicament 2 ou 3 fois par semaine (ce qui signifie que le médicament doit être pris sous surveillance stricte). Il en va de même pour les patients qui présentent une récidive ou qui ne répondent pas suffisamment au traitement.
- +Le traitement devra être surveillé s'il est partiellement ou totalement intermittent, c'est-à-dire si le patient reçoit le médicament 2 ou 3 fois par semaine (ce qui signifie que le médicament doit être pris sous surveillance stricte). Il en va de même pour les patients qui présentent une récidive ou qui ne répondent pas suffisamment au traitement.
-En cas de lèpre, Rimactan est prescrit somme suit, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé:
- +En cas de lèpre, Rimactan est prescrit somme suit, conformément aux recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé:
-Enfants (10–14 ans)
- +Enfants (10-14 ans)
-Administrer 12 cycles de traitement en l’espace de 12 mois.
- +Administrer 12 cycles de traitement en l'espace de 12 mois.
-Adultes: 600 mg de rifampicine (Rimactan®) 1 fois par mois sous surveillance + 100 mg (1–2 mg/kg) de dapsone 1 fois par jour.
-Enfants: 10 mg/kg de rifampicine (Rimactan®) 1 fois par mois sous surveillance + 1–2 mg/kg de dapsone par jour.
- +Adultes: 600 mg de rifampicine (Rimactan®) 1 fois par mois sous surveillance + 100 mg (1-2 mg/kg) de dapsone 1 fois par jour.
- +Enfants: 10 mg/kg de rifampicine (Rimactan®) 1 fois par mois sous surveillance + 1-2 mg/kg de dapsone par jour.
-En association à d’autres antibiotiques/anti-infectieux:
-Adultes et adolescents plus de 12 ans: 600–1200 mg par jour, répartis en deux prises unitaires.
-Petits enfants et enfants: 10–20 mg/kg par jour.
- +En association à d'autres antibiotiques/anti-infectieux:
- +Adultes et adolescents plus de 12 ans: 600-1200 mg par jour, répartis en deux prises unitaires.
- +Petits enfants et enfants: 10-20 mg/kg par jour.
-900 mg de Rimactan par jour en une seule prise le matin à jeun, avec 200 mg de doxycycline par jour en une seule prise le soir avec un repas. Durée du traitement: environ 45 jours.
- +900 mg de rifampicine par jour en une seule prise le matin à jeun, avec 200 mg de doxycycline par jour en une seule prise le soir avec un repas. Durée du traitement: environ 45 jours.
-Adultes: 600 mg 2 fois par jour, à 12 heures d’intervalle pendant 2 jours.
-Enfants et petits enfants à partir d’ un mois: 10 mg/kg: 2 fois par jour, à 12 heures d’intervalle pendant 2 jours.
- +Adultes: 600 mg 2 fois par jour, à 12 heures d'intervalle pendant 2 jours.
- +Enfants et les néonatale à partir d'un mois : 10 mg/kg: 2 fois par jour, à 12 heures d'intervalle pendant 2 jours.
-Hypersensibilité connue aux rifamycines (comme par ex. rifampicine) et/ou à l’un des excipients conformément à la composition ainsi qu’antécédents d’hépatite d’origine médicamenteuse; pathologies hépatiques aiguës de toute étiologie; névrite périphérique; porphyrie.
- +Hypersensibilité connue aux rifamycines et/ou à l'un des excipients conformément à la composition ainsi qu'antécédents d'hépatite d'origine médicamenteuse; pathologies hépatiques aiguës de toute étiologie; névrite périphérique; porphyrie.
-Interrompre immédiatement la prise de Rimactan en cas de réactions d’hypersensibilité aiguës et sévères (voir les «Effets indésirables»). Les patients présentant ce type de réactions ne doivent plus jamais être traités par Rimactan.
-Le principe actif de Rimactan peut provoquer des troubles hépatiques, des inflammations hépatiques ainsi que de graves lésions hépatiques d’évolution fatale dans des cas isolés. Pour cette raison, tout traitement par Rimactan doit être administré avec prudence et faire l’objet d’une surveillance médicale rigoureuse. La fonction hépatique (notamment la SGPT et SGOT) devra être contrôlée au début du traitement puis toutes les 2 à 4 semaines. Le traitement devra être interrompu en cas de signes d’atteintes hépato-cellulaires. Les facteurs de risque déjà connus sont notamment:
-– l’âge (le risque est déjà multiplié par 4 à partir de 35 ans et par 8 à partir de 50 ans par rapport aux patients plus jeunes);
-– des pathologies hépatiques préexistantes;
-– la prise simultanée de médicaments hépatotoxiques;
-– l’altération de la fonction rénale;
-– la consommation chronique/consommation excessive d’alcool;
-– un mauvais état nutritionnel;
-– le fait d’être une femme noire ou latino-américaine.
-Un compte-rendu unique d’augmentation modérée de la bilirubine et/ou des transaminases ne peut à lui seul justifier l’interruption du traitement; en effet, ces valeurs reviennent à la normale suite à une augmentation initiale. Cependant, ces valeurs doivent faire l’objet d’un contrôle rigoureux. Il faudra les mesurer plusieurs fois avant de prendre toute décision concernant le traitement. Dans ce cadre, il faut tenir compte de leur évolution dans le temps et de leur sévérité en relation avec l’état clinique du patient. Dans tous les cas de figure, il convient de demander aux patients de surveiller l’apparition de signes avant-coureurs d’une hépatite, tels que la fatigue, une sensation de faiblesse, des malaises, une perte d’appétit, des nausées ou des vomissements, ainsi que de signes plus tardifs tels un ictère et une décoloration des selles et de consulter immédiatement un médecin en cas d’apparition de ce type de symptômes.
-Dans des cas isolés, une hyperbilirubinémie peut se manifester suite à une compétition de l’excrétion biliaire de bilirubine provoquée par la rifampicine (voir également les «Effets indésirables»).
-Prévention de la méningite à méningocoques: Parce qu’une résistance des germes peut se développer, les personnes en contact avec des malades et traitées préventivement seront soigneusement surveillées; les éventuels signes d’une infection manifeste feront l’objet d’une attention particulière.
-Rimactan ne doit pas être utilisé pour le traitement d’une infection méningococcique manifeste.
-Résistance: Pour éviter l’émergence de germes résistants, la rifampicine sera toujours associée à d’autres antibiotiques/anti-infectieux pour le traitement des infections.
-Rimactan ne doit jamais être administré seul pour le traitement de la lèpre. L’association de trois médicaments (PCT) est nécessaire pour prévenir les résistances au traitement.
- +Interrompre immédiatement la prise de Rimactan en cas de réactions d'hypersensibilité aiguës et sévères (voir les «Effets indésirables»). Les patients présentant ce type de réactions ne doivent plus jamais être traités par Rimactan.
- +Le principe actif de Rimactan peut provoquer des troubles hépatiques, des inflammations hépatiques ainsi que de graves lésions hépatiques d'évolution fatale dans des cas isolés. Pour cette raison, tout traitement par Rimactan doit être administré avec prudence et faire l'objet d'une surveillance médicale rigoureuse. La fonction hépatique (notamment la SGPT et SGOT) devra être contrôlée au début du traitement puis toutes les 2 à 4 semaines. Le traitement devra être interrompu en cas de signes d'atteintes hépato-cellulaires. Les facteurs de risque déjà connus sont notamment:
- +·l'âge (le risque est déjà multiplié par 4 à partir de 35 ans et par 8 à partir de 50 ans par rapport aux patients plus jeunes).
- +·des pathologies hépatiques préexistantes.
- +·la prise simultanée de médicaments hépatotoxiques.
- +·l'altération de la fonction rénale.
- +·la consommation chronique/consommation excessive d'alcool.
- +·un mauvais état nutritionnel.
- +·le fait d'être une femme noire ou latino-américaine.
- +Un compte-rendu unique d'augmentation modérée de la bilirubine et/ou des transaminases ne peut à lui seul justifier l'interruption du traitement; en effet, ces valeurs reviennent à la normale suite à une augmentation initiale. Cependant, ces valeurs doivent faire l'objet d'un contrôle rigoureux. Il faudra les mesurer plusieurs fois avant de prendre toute décision concernant le traitement. Dans ce cadre, il faut tenir compte de leur évolution dans le temps et de leur sévérité en relation avec l'état clinique du patient. Dans tous les cas de figure, il convient de demander aux patients de surveiller l'apparition de signes avant-coureurs d'une hépatite, tels que la fatigue, une sensation de faiblesse, des malaises, une perte d'appétit, des nausées ou des vomissements, ainsi que de signes plus tardifs tels un ictère et une décoloration des selles et de consulter immédiatement un médecin en cas d'apparition de ce type de symptômes.
- +Dans des cas isolés, une hyperbilirubinémie peut se manifester suite à une compétition de l'excrétion biliaire de bilirubine provoquée par la rifampicine (voir également les «Effets indésirables»).
- +Prévention de la méningite à méningocoques: Parce qu'une résistance des germes peut se développer, les personnes en contact avec des malades et traitées préventivement seront soigneusement surveillées; les éventuels signes d'une infection manifeste feront l'objet d'une attention particulière.
- +Rimactan ne doit pas être utilisé pour le traitement d'une infection méningococcique manifeste.
- +Résistance: Pour éviter l'émergence de germes résistants, la rifampicine sera toujours associée à d'autres antibiotiques/anti-infectieux pour le traitement des infections.
- +Rimactan ne doit jamais être administré seul pour le traitement de la lèpre. L'association de trois médicaments (PCT) est nécessaire pour prévenir les résistances au traitement.
-La posologie sera progressive lors du passage du traitement intermittent au traitement quotidien. Débuter par 75–150 mg environ le premier jour. La dose thérapeutique souhaitée doit être atteinte en l’espace de 3–4 jours. Pendant cet intervalle, la fonction rénale du patient sera soigneusement surveillée. Les corticoïdes peuvent être précieux pour atténuer les éventuelles réactions immunopathologiques.
-Les patients doivent recevoir la consigne de ne pas interrompre le traitement afin d’éviter des réactions immunologiques ou tout autre effet secondaire pouvant se manifester par une posologie intermittente (moins de 2 à 3 doses par semaine) (voir les «Effets indésirables»).
-Interruption du traitement: la reprise du traitement suite à une interruption ou une prise irrégulière de Rimactan peut entraîner de graves effets indésirables; il convient donc d’éviter, dans la mesure du possible, ces deux cas de figure. Si l’arrêt du traitement s’impose, il convient d’augmenter progressivement la prise de rifampicine sous stricte surveillance (voir «Traitement intermittent»). La dose thérapeutique souhaitée doit être atteinte au 3ème ou 4ème jour.
-La survenue d’une diarrhée pendant ou après le traitement par Rimactan, notamment si celle-ci est sévère, persistante et/ou accompagnée de saignements peut indiquer une infection à Clostridium difficile. La forme évolutive la plus sévère de cette infection est la colite pseudo-membraneuse.
- +La posologie sera progressive lors du passage du traitement intermittent au traitement quotidien. Débuter par 75–150 mg environ le premier jour. La dose thérapeutique souhaitée doit être atteinte en l'espace de 3–4 jours. Pendant cet intervalle, la fonction rénale du patient sera soigneusement surveillée. Les corticoïdes peuvent être précieux pour atténuer les éventuelles réactions immunopathologiques.
- +Les patients doivent recevoir la consigne de ne pas interrompre le traitement afin d'éviter des réactions immunologiques ou tout autre effet secondaire pouvant se manifester par une posologie intermittente (moins de 2 à 3 doses par semaine) (voir les «Effets indésirables»).
- +Interruption du traitement: la reprise du traitement suite à une interruption ou une prise irrégulière de Rimactan peut entraîner de graves effets indésirables; il convient donc d'éviter, dans la mesure du possible, ces deux cas de figure. Si l'arrêt du traitement s'impose, il convient d'augmenter progressivement la prise de rifampicine sous stricte surveillance (voir «Traitement intermittent»). La dose thérapeutique souhaitée doit être atteinte au 3ème ou 4ème jour.
- +La survenue d'une diarrhée pendant ou après le traitement par Rimactan, notamment si celle-ci est sévère, persistante et/ou accompagnée de saignements peut indiquer une infection à Clostridium difficile. La forme évolutive la plus sévère de cette infection est la colite pseudo-membraneuse.
-L’urine, la sueur, les expectorations, les larmes et même les lentilles de contact blanches (durablement pour ces dernières) peuvent prendre une teinte rougeâtre.
-Sang: il convient de contrôler l’hémogramme en cas de traitement prolongé et chez les patients présentant des troubles hépatiques. En cas de thrombocytopénie ou de purpura, il faut cesser toute administration de rifampicine pour une durée prolongée.
-Examens de laboratoire: le taux d’enzymes hépatiques, l’hémogramme, le nombre de thrombocytes, la bilirubine ainsi que la concentration sérique de créatinine doivent être déterminés au début du traitement puis à intervalles réguliers. La survenue d’une thrombocytopénie (avec ou sans purpura) est réversible si le traitement est immédiatement interrompu suite à l’apparition du purpura. Dans le cas contraire, le patient risque d’être sujet à des hémorragies cérébrales pouvant avoir une issue fatale.
-Le métabolisme des substrats endogènes comme les hormones surrénaliennes, les thyroxines et la vitamine D peut augmenter en raison des propriétés d’induction enzymatique de la rifampicine.
-Diabète sucré: Rimactan doit être utilisé avec prudence chez les patients diabétiques car l’équilibration correcte du diabète est difficile (voir les «Interactions»).
-Porphyrie: la rifampicine ne doit pas être utilisée chez les patients souffrant de porphyrie en raison de son action inductrice enzymatique; en effet, l’activation de l’acide delta amino-lévulinique synthétase peut entraîner des manifestations aiguës de la porphyrie (voir les «Contre-indications»).
-Interactions: il convient d’éviter toute administration conjointe de Rimactan avec les médicaments présentés ci-après: inhibiteurs des canaux calciques, antifongiques azolés (à l’exception du fluconazole; la prise concomitante de voriconazole est contre-indiquée), délavirdine, triazolam, midazolam, atovaquone, névirapine, simvastatine.
-Warfarine: il convient de contrôler rigoureusement l’INR au cours du traitement par Rimactan puis pendant 2 à 3 semaines après le traitement en cas de prise concomitante de warfarine et de Rimactan. Le dosage de warfarine doit être ajusté en conséquence. Il existe un risque d’hémorragies sévères suite au traitement par Rimactan si le dosage de warfarine n’a pas été adapté en conséquence (voir les «Interactions»).
-La rifampicine est un puissant inducteur du système du cytochrome P450 pouvant augmenter le métabolisme des médicaments administrés conjointement, entraînant des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité de ceux-ci. Les médicaments éliminés par ce métabolisme ne doivent être pris en association avec Rimactan que s’il est possible de contrôler leur concentration plasmatique ou leurs réactions cliniques/effets indésirables et d’ajuster le dosage en conséquence (voir les «Interactions»).
- +L'urine, la sueur, les expectorations, les larmes et même les lentilles de contact blanches (durablement pour ces dernières) peuvent prendre une teinte rougeâtre.
- +Sang: il convient de contrôler l'hémogramme en cas de traitement prolongé et chez les patients présentant des troubles hépatiques. En cas de thrombocytopénie ou de purpura, il faut cesser toute administration de rifampicine pour une durée prolongée.
- +Examens de laboratoire: le taux d'enzymes hépatiques, l'hémogramme, le nombre de thrombocytes, la bilirubine ainsi que la concentration sérique de créatinine doivent être déterminés au début du traitement puis à intervalles réguliers. La survenue d'une thrombocytopénie (avec ou sans purpura) est réversible si le traitement est immédiatement interrompu suite à l'apparition du purpura. Dans le cas contraire, le patient risque d'être sujet à des hémorragies cérébrales pouvant avoir une issue fatale.
- +Le métabolisme des substrats endogènes comme les hormones surrénaliennes, les thyroxines et la vitamine D peut augmenter en raison des propriétés d'induction enzymatique de la rifampicine.
- +Diabète sucré: Rimactan doit être utilisé avec prudence chez les patients diabétiques car l'équilibration correcte du diabète est difficile (voir les «Interactions»).
- +Porphyrie: la rifampicine ne doit pas être utilisée chez les patients souffrant de porphyrie en raison de son action inductrice enzymatique; en effet, l'activation de l'acide delta amino-lévulinique synthétase peut entraîner des manifestations aiguës de la porphyrie (voir les «Contre-indications»).
- +Interactions: il convient d'éviter toute administration conjointe de Rimactan avec les médicaments présentés ci-après: inhibiteurs des canaux calciques, antifongiques azolés (à l'exception du fluconazole; la prise concomitante de voriconazole est contre-indiquée), délavirdine, triazolam, midazolam, atovaquone, névirapine, simvastatine.
- +Warfarine: il convient de contrôler rigoureusement l'INR au cours du traitement par Rimactan puis pendant 2 à 3 semaines après le traitement en cas de prise concomitante de warfarine et de Rimactan. Le dosage de warfarine doit être ajusté en conséquence. Il existe un risque d'hémorragies sévères suite au traitement par Rimactan si le dosage de warfarine n'a pas été adapté en conséquence (voir les «Interactions»).
- +La rifampicine est un puissant inducteur du système du cytochrome P450 pouvant augmenter le métabolisme des médicaments administrés conjointement, entraînant des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité de ceux-ci.
- +Les médicaments éliminés par ce métabolisme ne doivent être pris en association avec Rimactan que s'il est possible de contrôler leur concentration plasmatique ou leurs réactions cliniques/effets indésirables et d'ajuster le dosage en conséquence (voir les «Interactions»).
-Alcool: les patients traités par Rimactan doivent s’abstenir de consommer de l’alcool.
-Prématurés et nouveau-nés: Le traitement du prématuré et du nouveau-né aura lieu uniquement en cas d’urgence et avec une extrême prudence, car le système enzymatique hépatique n’est pas encore totalement développé chez ces enfants.
-Administration intraveineuse: Des cas isolés de réactions d’hypersensibilité au niveau du visage et des mains ont été signalés chez des personnes qui préparaient et administraient la solution à perfuser. Le personnel soignant doit veiller à éviter tout contact avec la rifampicine.
-Des réactions d’hypersensibilité peuvent se manifester, comme une thrombocytopénie, un purpura, une anémie hémolytique, une dyspnée et des crises d’asthme, un choc ou une insuffisance rénale (effets indésirables que la rifampicine peut provoquer dans des cas exceptionnels). Les patients présentant ce type de complications ne doivent plus jamais être traités par la rifampicine.
- +Alcool: les patients traités par Rimactan doivent s'abstenir de consommer de l'alcool.
- +Prématurés et nouveau-nés: Le traitement du prématuré et du nouveau-né aura lieu uniquement en cas d'urgence et avec une extrême prudence, car le système enzymatique hépatique n'est pas encore totalement développé chez ces enfants.
- +Administration intraveineuse: Des cas isolés de réactions d'hypersensibilité au niveau du visage et des mains ont été signalés chez des personnes qui préparaient et administraient la solution à perfuser. Le personnel soignant doit veiller à éviter tout contact avec la rifampicine.
- +Des réactions d'hypersensibilité peuvent se manifester, comme une thrombocytopénie, un purpura, une anémie hémolytique, une dyspnée et des crises d'asthme, un choc ou une insuffisance rénale (effets indésirables que la rifampicine peut provoquer dans des cas exceptionnels). Les patients présentant ce type de complications ne doivent plus jamais être traités par la rifampicine.
-Effets d’autres médicaments sur Rimactan
-Les antiacides diminuent la biodisponibilité de la rifampicine administrée simultanément par voie orale. Pour éviter cette interaction, administrer la rifampicine une heure au minimum avant l’administration de ces produits.
- +Effets d'autres médicaments sur Rimactan
- +Les antiacides diminuent la biodisponibilité de la rifampicine administrée simultanément par voie orale. Pour éviter cette interaction, administrer la rifampicine une heure au minimum avant l'administration de ces produits.
-Effet de Rimactan sur d’autres médicaments
-Une étude expérimentale a montré qu’un traitement simultané avec les trois principes actifs rifampicine, saquinavir et ritonivar présente un effet hépatotoxique particulièrement important. Pour cette raison, il ne faut jamais administrer Rimactan conjointement avec le saquinavir/ritonavir.
-La rifampicine est un puissant inducteur du système du cytochrome P450 pouvant augmenter le métabolisme des médicaments administrés conjointement, entraînant des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité de ceux-ci. En outre, elle antagonise certains médicaments comme la phénytoïne, la warfarine et la théophylline. L’effet utile ne peut être établi à l’avance et peut évoluer au fil du temps. Les médicaments métabolisés par les enzymes du CYP 450 ne peuvent être utilisés simultanément avec Rimactan que s’il est possible de contrôler leurs concentrations plasmatiques et/ou leurs réactions cliniques/effets indésirables et d’ajuster la dose en conséquence. La surveillance devra être fréquente au cours du traitement par Rimactan et être poursuivie pendant 2 à 3 semaines après l’arrêt de celui-ci. A l’arrêt du traitement par la rifampicine, les effets inducteurs enzymatiques de la rifampicine s’atténuent progressivement en 2 semaines ou plus. Il s’agit d’un facteur à prendre en compte pour augmenter la dose d’autres médicaments pendant le traitement par Rimactan.
-L’administration simultanée des médicaments suivants avec Rimactan est contre-indiquée: voriconazole, inhibiteurs de la protéase, halothane (en raison de son hépatotoxicité élevée) ou à éviter dans la mesure du possible: inhibiteurs des canaux calciques, antifongiques azolés (sauf fluconazole), délavirdine, triazolam, midazolam, atovaquone, névirapine, simvastatine, chloramphénicol.
-La rifampicine est un inducteur enzymatique qui accélère le métabolisme de divers médicaments et peut ainsi altérer l’efficacité de certains autres: anticonvulsifs (phénytoïne, par ex.), antiarythmiques (disopyramide, méxilétine, quinidine, propafénone, tocainide, par ex.), antioestrogènes (tamoxifène, torémifène par ex.), antipsychotiques (fluconazole, kétoconazole, itraconazole, caspofungine, par ex.), barbituriques, bétabloquants, antogonistes du calcium (diltiazem, nifédipine, vérapamil, par ex.), linézolide, chloramphénicol, clarithromycine, doxycycline, dapsone, fluoroquinolones, télithromycine, corticostéroïdes (crise chez les addisoniens), glucosides cardiotoniques, losartan, clofibrate, contraceptifs oraux systémiques, oestrogènes, gestrinone, benzodiazépines (diazépam et substances apparentées aux benzodiazépines telles que zopiclone et zolpidem), antidiabétiques oraux, cimétidine, lévothyroxine, analgésiques narcotiques, méthadone, progestine, quinine, ciclosporine, substances immunodépressives (azathioprine, tacrolimus, par ex.), irinotécan, praziquantel, antagonistes sélectifs des récepteurs 5HT3 (ondansétron, par ex.), statines métabolisées par le CYP3D4, riluzole, thiazolidine-diones (rosiglitazone, par ex.), théophylline, antidépresseurs tricycliques (amitrityline, nortriptyline, par ex.), virostatiques (zidovudine, saquinavir, indinavir, éfavirenz).
-Autres interactions: énalaprin (réduction des concentrations plasmatiques de l’énalaprilate), interaction réciproque: diminution de la concentration plasmatique de l’atovaquone et augmentation de la rifampicine, réduction de la concentration plasmatique du kétoconazole et de la rifampicine, diminution possible des concentrations plasmatiques de l’acide mycophénolique MPA.
-La rifampicine peut altérer l’efficacité des contraceptifs oraux. Les patientes traitées par Rimactan devront donc utiliser une méthode contraceptive supplémentaire non hormonale.
-Rimactan et l’acide paraaminosalicylique (P.A.S.) doivent être pris à au moins 4 heures d’intervalle; dans le cas contraire, les concentrations sanguines habituelles de rifampicine ne seront pas atteintes.
-Bien que l’utilisation concomitante d’isoniazide, pyrazinamide et rifampicine soit courante et constitue une thérapeutique valable, la toxicité hépatique peut être accentuée par un tel traitement.
-Parce que les concentrations élevées de rifampicine inhibent in vitro la protéine de transport des anions organiques (Oatp 1), il est possible que Rimactan diminue l’excrétion biliaire de certains produits de contraste (par ex. le gadoxetate) utilisés pour visualiser la vésicule biliaire.
- +Effet de Rimactan sur d'autres médicaments
- +Une étude expérimentale a montré qu'un traitement simultané avec les trois principes actifs rifampicine, saquinavir et ritonivar présente un effet hépatotoxique particulièrement important. Pour cette raison, il ne faut jamais administrer Rimactan conjointement avec le saquinavir/ritonavir.
- +La rifampicine est un puissant inducteur du système du cytochrome P450 pouvant augmenter le métabolisme des médicaments administrés conjointement, entraînant des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité de ceux-ci. En outre, elle antagonise certains médicaments comme la phénytoïne, la warfarine et la théophylline. L'effet utile ne peut être établi à l'avance et peut évoluer au fil du temps.
- +Les médicaments métabolisés par les enzymes du CYP 450 ne peuvent être utilisés simultanément avec Rimactan que s'il est possible de contrôler leurs concentrations plasmatiques et/ou leurs réactions cliniques/effets indésirables et d'ajuster la dose en conséquence. La surveillance devra être fréquente au cours du traitement par Rimactan et être poursuivie pendant 2 à 3 semaines après l'arrêt de celui-ci. A l'arrêt du traitement par la rifampicine, les effets inducteurs enzymatiques de la rifampicine s'atténuent progressivement en 2 semaines ou plus. Il s'agit d'un facteur à prendre en compte pour augmenter la dose d'autres médicaments pendant le traitement par Rimactan.
- +L'administration simultanée des médicaments suivants avec Rimactan est contre-indiquée: voriconazole, inhibiteurs de la protéase, halothane (en raison de son hépatotoxicité élevée) ou à éviter dans la mesure du possible: inhibiteurs des canaux calciques, antifongiques azolés (sauf fluconazole), délavirdine, triazolam, midazolam, atovaquone, névirapine, simvastatine, chloramphénicol.
- +La rifampicine est un inducteur enzymatique qui accélère le métabolisme de divers médicaments et peut ainsi altérer l'efficacité de certains autres: anticonvulsifs (phénytoïne, par ex.), antiarythmiques (disopyramide, méxilétine, quinidine, propafénone, tocainide, par ex.), antiœstrogènes (tamoxifène, torémifène par ex.), antipsychotiques (fluconazole, kétoconazole, itraconazole, caspofungine, par ex.), barbituriques, bétabloquants, antogonistes du calcium (diltiazem, nifédipine, vérapamil, par ex.), linézolide, chloramphénicol, clarithromycine, doxycycline, dapsone, fluoroquinolones, télithromycine, corticostéroïdes (crise chez les addisoniens), glucosides cardiotoniques, losartan, clofibrate, contraceptifs oraux systémiques, œstrogènes, gestrinone, benzodiazépines (diazépam et substances apparentées aux benzodiazépines telles que zopiclone et zolpidem), antidiabétiques oraux, cimétidine, lévothyroxine, analgésiques narcotiques, méthadone, progestine, quinine, ciclosporine, substances immunodépressives (azathioprine, tacrolimus, par ex.), irinotécan, praziquantel, antagonistes sélectifs des récepteurs 5HT3 (ondansétron, par ex.), statines métabolisées par le CYP3D4, riluzole, thiazolidine-diones (rosiglitazone, par ex.), théophylline, antidépresseurs tricycliques (amitrityline, nortriptyline, par ex.), virostatiques (zidovudine, saquinavir, indinavir, éfavirenz).
- +Autres interactions: énalaprin (réduction des concentrations plasmatiques de l'énalaprilate), interaction réciproque: diminution de la concentration plasmatique de l'atovaquone et augmentation de la rifampicine, réduction de la concentration plasmatique du kétoconazole et de la rifampicine, diminution possible des concentrations plasmatiques de l'acide mycophénolique MPA.
- +La rifampicine peut altérer l'efficacité des contraceptifs oraux. Les patientes traitées par Rimactan devront donc utiliser une méthode contraceptive supplémentaire non hormonale.
- +Rimactan et l'acide paraaminosalicylique (P.A.S.) doivent être pris à au moins 4 heures d'intervalle; dans le cas contraire, les concentrations sanguines habituelles de rifampicine ne seront pas atteintes.
- +Bien que l'utilisation concomitante d'isoniazide, pyrazinamide et rifampicine soit courante et constitue une thérapeutique valable, la toxicité hépatique peut être accentuée par un tel traitement.
- +Parce que les concentrations élevées de rifampicine inhibent in vitro la protéine de transport des anions organiques (Oatp 1), il est possible que Rimactan diminue l'excrétion biliaire de certains produits de contraste (par ex. le gadoxetate) utilisés pour visualiser la vésicule biliaire.
-La rifampicine à fortes doses s’est avérée tératogène chez le rongeur. L’effet de la rifampicine en monothérapie ou en association à d’autres antituberculeux sur le foetus humain est inconnu. Il n’existe pas d’études contrôlées menées chez des femmes enceintes. On sait cependant que la rifampicine traverse la barrière placentaire et peut être mise en évidence dans le sang du cordon ombilical.
-Chez les enfants de plus de 300 femmes qui avaient été traitées par la rifampicine pendant la grossesse, aucune augmentation significative de la fréquence des malformations n’a été observée.
-En cas d’administration pendant les dernières semaines de la grossesse, la rifampicine peut provoquer, chez la mère et le nouveau-né, des hémorragies post-natales qui exigent parfois un traitement par des préparations de vitamine K.
- +La rifampicine à fortes doses s'est avérée tératogène chez le rongeur. L'effet de la rifampicine en monothérapie ou en association à d'autres antituberculeux sur le foetus humain est inconnu. Il n'existe pas d'études contrôlées menées chez des femmes enceintes. On sait cependant que la rifampicine traverse la barrière placentaire et peut être mise en évidence dans le sang du cordon ombilical.
- +Chez les enfants de plus de 300 femmes qui avaient été traitées par la rifampicine pendant la grossesse, aucune augmentation significative de la fréquence des malformations n'a été observée.
- +En cas d'administration pendant les dernières semaines de la grossesse, la rifampicine peut provoquer, chez la mère et le nouveau-né, des hémorragies post-natales qui exigent parfois un traitement par des préparations de vitamine K.
-Comme Rimactan est excrété dans le lait maternel et que l’expérience acquise pendant l’allaitement est limitée, une utilisation du médicament pendant l’allaitement aura lieu uniquement en cas d’indication impérieuse.
- +Comme Rimactan est excrété dans le lait maternel et que l'expérience acquise pendant l'allaitement est limitée, une utilisation du médicament pendant l'allaitement aura lieu uniquement en cas d'indication impérieuse.
-Rimactan peut avoir des effets sur l’aptitude à la conduite ou à l’utilisation de machines en raison des effets indésirables possibles (vertiges, troubles visuels, par ex.).
- +Rimactan peut avoir des effets indésirables sur l'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines en raison des effets indésirables possibles (vertiges, troubles visuels, par ex.).
-Très fréquent: ≥1/10, fréquent: ≥1/100, <1/10, occasionnel: ≥1/1’000, <1/100, rare: ≥1/10’000, <1/1’000, très rare: <1/10’000.
- +Très fréquent: ≥1/10, fréquent: ≥1/100, <1/10, occasionnel: ≥1/1'000, <1/100, rare: ≥1/10'000, <1/1'000, très rare: <1/10'000.
-Rare: leucopénie transitoire; éosinophilie; une thrombopénie et un purpura thrombopénique sont plus fréquents sous traitement intermittent que sous traitement continu quotidien où ils ne surviennent que occasionnellement. Des cas rares d’agranulocytose ont été rapportés. La poursuite du traitement malgré la survenue d’un purpura thrombocytopénique peut entraîner des complications graves (hémorragie cérébrale, décès, hémolyse, anémie hémolytique aiguë, coagulopathie intravasculaire disséminée).
- +Rare: Leucopénie transitoire; éosinophilie; une thrombopénie et un purpura thrombopénique sont plus fréquents sous traitement intermittent que sous traitement continu quotidien où ils ne surviennent que occasionnellement. Des cas rares d'agranulocytose ont été rapportés. La poursuite du traitement malgré la survenue d'un purpura thrombocytopénique peut entraîner des complications graves (hémorragie cérébrale, décès, hémolyse, anémie hémolytique aiguë, coagulopathie intravasculaire disséminée).
-Rare: perturbations du cycle menstruel (aménorrhée, dans les cas extrêmes), induction d’une crise en cas de maladie d’Addison (voir «Interactions»). Les taux de calcium et de phosphate peuvent baisser et la sécrétion de parathormone augmenter.
- +Rare: Perturbations du cycle menstruel (aménorrhée, dans les cas extrêmes), induction d'une crise en cas de maladie d'Addison (voir «Interactions»). Les taux de calcium et de phosphate peuvent baisser et la sécrétion de parathormone augmenter.
-Fréquent: fatigue, somnolence, céphalées, obnubilation, vertiges.
-Rare: ataxie, confusion mentale, faiblesse musculaire, troubles visuels.
- +Fréquent: Fatigue, somnolence, céphalées, obnubilation, vertiges.
- +Rare: Ataxie, confusion mentale, faiblesse musculaire, troubles visuels.
-Fréquent: rougeur oculaire.
- +Fréquent: rougeur oculaire
-Fréquent: anorexie, nausées, douleurs abdominales, météorisme.
-Rare: vomissements ou diarrhée, gastrite érosive et colite pseudomembraneuse sporadiques.
- +Fréquent: Anorexie, nausées, douleurs abdominales, météorisme.
- +Rare: Vomissements ou diarrhée, troubles sporadiques gastrite érosive et colite pseudo-membraneuse.
-Fréquent: augmentation asymptomatique du taux des enzymes hépatiques.
-Rare: hépatite ou ictère, y compris réactions hépatiques engageant le pronostic vital telles que par exemple défaillance hépatique et hépatite fulminante aiguë avec issue mortelle dans de très rares cas (<0,01%); il faut aussi tenir compte de l’hépatotoxicité des médicaments associés à la rifampicine, par ex. isoniazide ou pyrazinamide (voir aussi «Mises en garde et précautions») induction d’une porphyrie.
- +Fréquent: Augmentation asymptomatique du taux des enzymes hépatiques.
- +Rare: Hépatite ou ictère, y compris réactions hépatiques engageant le pronostic vital telles que par exemple défaillance hépatique et hépatite fulminante aiguë avec issue mortelle dans de très rares cas (<0,01%); il faut aussi tenir compte de l'hépatotoxicité des médicaments associés à la rifampicine, par ex. isoniazide ou pyrazinamide (voir aussi «Mises en garde et précautions») induction d'une porphyrie.
-Rare: réactions cutanées sévères telles que réactions d’hypersensibilité généralisées, par ex. dermatite exfoliatrice, syndrome de Lyell et réactions pemphigoïdes.
- +Rare: Réactions cutanées sévères telles que réactions d'hypersensibilité généralisées, par ex. dermatite exfoliatrice, syndrome de Lyell) et réactions pemphigoïdes.
-Fréquent: teinte rougeâtre des liquides et sécrétions de l’organisme tels que par exemple les urines, le crachat, les larmes, les selles, la salive et la sueur. Les lentilles de contact souples peuvent garder définitivement une couleur rougeâtre.
- +Rare: teinte rougeâtre des liquides et sécrétions de l'organisme tels que par exemple les urines, le crachat, les larmes, les selles, la salive et la sueur. Les lentilles de contact souples peuvent garder définitivement une couleur rougeâtre.
-Si la rifampicine n’est pas administrée tous les jours ou si le traitement est repris après une interruption, un syndrome de type grippal peut survenir («flu-syndrom») très vraisemblablement d’origine immunopathologique. Il se caractérise par une fièvre, des frissons, parfois des céphalées, des vertiges et des douleurs des membres. Dans de rares cas, la fin de ce syndrome peut se poursuivre par une thrombopénie, un purpura, une dyspnée, des crises de type asthmatique, une anémie hémolytique, un choc et une défaillance rénale aiguë. Toutefois, ces symptômes graves peuvent également survenir immédiatement, sans être précédés par le syndrome de type grippal, principalement lorsque le traitement est repris après une interruption temporaire ou lorsque la rifampicine n’est administrée qu’une fois par semaine à fortes doses (25 mg/kg ou plus).
-Effets indésirables en cas d’administration intraveineuse
-En cas de traitement prolongé (plus de 30 jours), l’administration intraveineuse provoque parfois une thrombophlébite locale. Le personnel soignant qui prépare et administre les perfusions peut présenter des manifestations d’hypersensibilité au niveau du visage et des mains.
- +Si la rifampicine n'est pas administrée tous les jours ou si le traitement est repris après une interruption, un syndrome de type grippal peut survenir («flu-syndrom») très vraisemblablement d'origine immunopathologique. Il se caractérise par une fièvre, des frissons, parfois des céphalées, des vertiges et des douleurs des membres. Dans de rares cas, la fin de ce syndrome peut se poursuivre par une thrombopénie, un purpura, une dyspnée, des crises de type asthmatique, une anémie hémolytique, un choc et une défaillance rénale aiguë. Toutefois, ces symptômes graves peuvent également survenir immédiatement, sans être précédés par le syndrome de type grippal, principalement lorsque le traitement est repris après une interruption temporaire ou lorsque la rifampicine n'est administrée qu'une fois par semaine à fortes doses (25 mg/kg ou plus).
- +Effets indésirables en cas d'administration intraveineuse
- +En cas de traitement prolongé (plus de 30 jours), l'administration intraveineuse provoque parfois une thrombophlébite locale. Le personnel soignant qui prépare et administre les perfusions peut présenter des manifestations d'hypersensibilité au niveau du visage et des mains.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Toxicité: l’administration de 100 mg/kg chez l’enfant (1–4 ans) a entraîné des symptômes cutanés typiques. L’administration de 15 g chez l’adulte a entraîné une intoxication létale et l’administration de 12 g chez l’adulte a provoqué une intoxication modérée.
-Symptômes: Troubles gastro-intestinaux, douleurs abdominales, céphalées, transpiration profuse, dyspnée, insuffisance rénale, troubles hépatiques, prurit généralisé, crampes, léthargie et troubles de la conscience croissants; une perte de connaissance peut survenir en cas d’affection hépatique sévère. Il est possible d’observer une augmentation provisoire des enzymes hépatiques et de la bilirubine.
-Coloration rouge orangée de la peau, de l’urine, de la sueur, de la salive, des larmes et des fèces.
-Des oedèmes faciaux et périorbitaires ont été observés chez l’enfant. Oedème pulmonaire possible.
-Quelques cas mortels d’hypotonie, de tachycardie sinusale, d’arythmies ventriculaires, de convulsions et d’arrêt cardiaque ont été rapportés.
-En cas de surdosage sévère, une augmentation du volume du foie éventuellement associée à une sensibilité à la pression peut survenir quelques heures après l’administration; un ictère peut alors se développer très rapidement.
-Une atteinte hépatique préexistante peut aggraver l’évolution. Les autres fonctions corporelles ne sont, en général, pas affectées.
- +Toxicité: l'administration de 100 mg/kg chez l'enfant (1-4 ans) a entraîné des symptômes cutanés typiques. L'administration de 15 g chez l'adulte a entraîné une intoxication létale et l'administration de 12 g chez l'adulte a provoqué une intoxication modérée.
- +Symptômes: Troubles gastro-intestinaux, douleurs abdominales, céphalées, transpiration profuse, dyspnée, insuffisance rénale, troubles hépatiques, prurit généralisé, crampes, léthargie et troubles de la conscience croissants; une perte de connaissance peut survenir en cas d'affection hépatique sévère. Il est possible d'observer une augmentation provisoire des enzymes hépatiques et de la bilirubine.
- +Coloration rouge orangée de la peau, de l'urine, de la sueur, de la salive, des larmes et des fèces.
- +Des œdèmes faciaux et périorbitaires ont été observés chez l'enfant. Œdème pulmonaire possible.
- +Quelques cas mortels d'hypotonie, de tachycardie sinusale, d'arythmies ventriculaires, de convulsions et d'arrêt cardiaque ont été rapportés.
- +En cas de surdosage sévère, une augmentation du volume du foie éventuellement associée à une sensibilité à la pression peut survenir quelques heures après l'administration; un ictère peut alors se développer très rapidement.
- +Une atteinte hépatique préexistante peut aggraver l'évolution. Les autres fonctions corporelles ne sont, en général, pas affectées.
-Une action directe sur le système hématopoïétique, les concentrations d’électrolytes ou l’équilibre acido-basique est improbable.
-Traitement: Évacuation du contenu gastrique, si cela est permis (à condition que le patient n’ait pas de crampes), administration répétée de charbon activé. Traitement symptomatique. Une dialyse peut être nécessaire en cas d’insuffisance rénale.
- +Une action directe sur le système hématopoïétique, les concentrations d'électrolytes ou l'équilibre acido-basique est improbable.
- +Traitement: Évacuation du contenu gastrique, si cela est permis (à condition que le patient n'ait pas de crampes), administration répétée de charbon activé. Traitement symptomatique. Une dialyse peut être nécessaire en cas d'insuffisance rénale.
-Code ATC: J04AB02
-Mécanisme d’action
-La rifampicine inhibe l’ARN polymérase ADN-dépendante des souches bactériennes sensibles, sans affecter l’enzyme correspondante chez les mammifères.
-La rifampicine induit relativement rapidement le développement de germes résistants, en une seule étape; c’est pourquoi elle ne doit pas être utilisée en monothérapie pour le traitement d’infections manifestes. Les germes résistants à la rifampicine ne présentent pas de résistance croisée à d’autres antibiotiques, sauf la rifamycine.
-Efficacité clinique
-La rifampicine est un antibiotique dérivé de la rifamycine qui exerce un effet bactéricide sur Mycobacterium tuberculosis in vitro et in vivo, alors que son activité envers d’autres espèces atypiques de Mycobacterium est variable.
-Son spectre d’action bactéricide inclut également M. leprae et divers autres germes Gram (+) et Gram (–).
- +Code ATC
- +J04AB02
- +Mécanisme d'action
- +La rifampicine inhibe l'ARN polymérase ADN-dépendante des souches bactériennes sensibles, sans affecter l'enzyme correspondante chez les mammifères.
- +La rifampicine induit relativement rapidement le développement de germes résistants, en une seule étape; c'est pourquoi elle ne doit pas être utilisée en monothérapie pour le traitement d'infections manifestes. Les germes résistants à la rifampicine ne présentent pas de résistance croisée à d'autres antibiotiques, sauf la rifamycine.
- +Pharmacodynamique
- +La rifampicine est un antibiotique dérivé de la rifamycine qui exerce un effet bactéricide sur Mycobacterium tuberculosis in vitro et in vivo, alors que son activité envers d'autres espèces atypiques de Mycobacterium est variable.
- +Son spectre d'action bactéricide inclut également M. leprae et divers autres germes Gram (+) et Gram (-).
-Mycobacterium tuberculosis 0,005–0,2
-Staphylococcus aureus 0,008–0,015
-Neisseria meningitidis 0,015–1,0
-Haemophilus influenzae 0,5–64
-Legionella pneumophila 0,015–0,03
-Mycobacterium leprae (mouse footpad) 0,3
- +Mycobacterium tuberculosis 0,005–0,2
- +Staphylococcus aureus 0,008–0,015
- +Neisseria meningitidis 0,015–1,0
- +Haemophilus influenzae 0,5–64
- +Legionella pneumophila 0,015–0,03
- +Mycobacterium leprae (mouse footpad) 0,3
- +Efficacité clinique
- +Aucune information.
-Le principe actif contenu dans les capsules et dragées est rapidement et totalement résorbé. Des concentrations plasmatiques maximales d’environ 10 µg/ml sont atteintes 2 à 3 heures après l’administration d’une dose unique de 600 mg de Rimactan à jeun.
-La prise concomitante d’aliments peut réduire la résorption de la rifampicine.
-L’administration d’une perfusion intraveineuse continue de rifampicine sur 1–3 heures permet d’obtenir des profils plasmatiques comparables à ceux obtenus après l’administration orale des mêmes doses sous forme de capsules ou de dragées. Des concentrations plasmatiques maximales d’environ 10 µg/ml sont obtenues avec une perfusion de 600 mg en l’espace de 3 heures.
-
- +Après administration par voie orale le principe actif est rapidement et totalement résorbé. Des concentrations plasmatiques maximales d'environ 10 µg/ml sont atteintes 2 à 3 heures après l'administration d'une dose unique de 600 mg de Rimactan à jeun.
- +La prise concomitante d'aliments peut réduire la résorption de la rifampicine.
-Le volume de distribution apparent est de 1,6 l/kg chez l’adulte et de 1,1 l/kg chez l’enfant. Le taux de liaison de la rifampicine aux protéines sériques est de 84–91%.
-La rifampicine pénètre rapidement dans divers liquides biologiques et tissus, y compris le tissu osseux. La rifampicine traverse la barrière hémato-encéphalique uniquement lorsque les méninges sont enflammées, mais les concentrations dans le liquide céphalo-rachidien peuvent rester pendant jusqu’à 2 mois à un niveau supérieur à la CMI de Mycobacterium tuberculosis en cas de traitement oral continu par 600 mg par jour.
-Chez l’être humain, la rifampicine franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel. Toutefois, un enfant allaité au sein n’absorberait pas plus de 1% de la dose thérapeutique usuelle de rifampicine.
- +Le volume de distribution apparent est de 1,6 l/kg chez l'adulte et de 1,1 l/kg chez l'enfant. Le taux de liaison de la rifampicine aux protéines sériques est de 84–91%.
- +La rifampicine pénètre rapidement dans divers liquides biologiques et tissus, y compris le tissu osseux. La rifampicine traverse la barrière hémato-encéphalique uniquement lorsque les méninges sont enflammées, mais les concentrations dans le liquide céphalo-rachidien peuvent rester pendant jusqu'à 2 mois à un niveau supérieur à la CMI de Mycobacterium tuberculosis en cas de traitement oral continu par 600 mg par jour.
- +Chez l'être humain, la rifampicine franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel. Toutefois, un enfant allaité au sein n'absorberait pas plus de 1% de la dose thérapeutique usuelle de rifampicine.
-Elimination
-La demi-vie d’élimination plasmatique est dose-dépendante: elle est d’environ 2,5 heures après l’administration d’une dose unique de 300 mg, de 3–4 heures avec une dose de 600 mg et d’environ 5 heures avec une dose de 900 mg. Après administration quotidienne répétée pendant quelques jours, la biodisponibilité diminue et la demi-vie diminue à 1–2 heures après administration répétée de 600 mg.
-La rifampicine induit les enzymes hépatiques, accélérant par là son propre métabolisme. En conséquence, la clairance systémique, qui est d’environ 6 l/h après l’administration de la première dose, augmente à environ 9 l/h après administration répétée.
- +Élimination
- +La demi-vie d'élimination plasmatique est dose-dépendante: elle est d'environ 2,5 heures après l'administration d'une dose unique de 300 mg, de 3–4 heures avec une dose de 600 mg et d'environ 5 heures avec une dose de 900 mg. Après administration quotidienne répétée pendant quelques jours, la biodisponibilité diminue et la demi-vie diminue à 1–2 heures après administration répétée de 600 mg.
- +La rifampicine induit les enzymes hépatiques, accélérant par là son propre métabolisme. En conséquence, la clairance systémique, qui est d'environ 6 l/h après l'administration de la première dose, augmente à environ 9 l/h après administration répétée.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +En cas d'altération de la fonction hépatique, les concentrations plasmatiques sont augmentées et les demi-vies d'élimination un peu plus longues. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire en cas de perturbation grave de la fonction hépatique.
- +Troubles de la fonction rénale
- +En cas d'altération de la fonction rénale, la demi-vie d'élimination augmente uniquement à partir de doses dépassant 600 mg. A condition que la fonction excrétrice du foie soit normale, il est inutile de réduire la dose à moins de 600 mg par jour chez les patients dont la fonction rénale est diminuée.
- +La rifampicine est éliminée par dialyse péritonéale et hémodialyse. Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez le dialysé.
- +Patients âgés
- +
-En cas d’altération de la fonction rénale, la demi-vie d’élimination augmente uniquement à partir de doses dépassant 600 mg. A condition que la fonction excrétrice du foie soit normale, il est inutile de réduire la dose à moins de 600 mg par jour chez les patients dont la fonction rénale est diminuée.
-La rifampicine est éliminée par dialyse péritonéale et hémodialyse. Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez le dialysé.
-En cas d’altération de la fonction hépatique, les concentrations plasmatiques sont augmentées et les demi-vies d’élimination un peu plus longues. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire en cas de perturbation grave de la fonction hépatique.
-Les indices parlant pour un effet cancérogène de la rifampicine chez l’animal sont limités. Chez la souris femelle appartenant à une souche prédisposée aux hépatomes, une nette augmentation de la fréquence de ces tumeurs a été observée après un an de traitement par la rifampicine à une dose 2 à 10 fois supérieure à la dose maximale utilisée en clinique.
-Chez la souris d’une autre souche traitée pendant un an, de même que chez le rat traité pendant 2 ans, aucune augmentation notable de la fréquence des tumeurs d’un type quelconque n’a été observée. Les études menées sur des modèles animaux mammifères et sur des bactéries n’ont apporté aucune preuve d’un effet mutagène de la rifampicine.
-A des doses journalières de 150–250 mg/kg, la rifampicine s’est avérée tératogène chez la souris et le rat; elle a provoqué une augmentation de la fréquence du spina bifida et du bec-de-lièvre. Aucun effet tératogène n’a été observé chez le lapin. Dans les trois espèces animales, un effet embryotoxique non spécifique a été observé aux doses dépassant 150 mg/kg.
- +Les indices parlant pour un effet cancérogène de la rifampicine chez l'animal sont limités. Chez la souris femelle appartenant à une souche prédisposée aux hépatomes, une nette augmentation de la fréquence de ces tumeurs a été observée après un an de traitement par la rifampicine à une dose 2 à 10 fois supérieure à la dose maximale utilisée en clinique.
- +Chez la souris d'une autre souche traitée pendant un an, de même que chez le rat traité pendant 2 ans, aucune augmentation notable de la fréquence des tumeurs d'un type quelconque n'a été observée. Les études menées sur des modèles animaux mammifères et sur des bactéries n'ont apporté aucune preuve d'un effet mutagène de la rifampicine.
- +A des doses journalières de 150–250 mg/kg, la rifampicine s'est avérée tératogène chez la souris et le rat; elle a provoqué une augmentation de la fréquence du spina bifida et du bec-de-lièvre. Aucun effet tératogène n'a été observé chez le lapin. Dans les trois espèces animales, un effet embryotoxique non spécifique a été observé aux doses dépassant 150 mg/kg.
-Incompatibilités
-La forme parentérale du médicament ne doit être mélangée qu’avec les médicaments mentionnés au paragraphe «Instructions pour la manipulation» (perfusions intraveineuses).
-Parce que les concentrations élevées de rifampicine inhibent in vitro la protéine de transport des anions organiques (Oatp 1), il est possible que Rimactan diminue l’excrétion biliaire de certains produits de contraste (par ex. le gadoxetate) utilisés pour visualiser la vésicule biliaire.
-Pendant un traitement par Rimactan, les méthodes microbiologiques de dosage de l’acide folique et de la vitamine B12 dans le sérum ne sont pas utilisables.
-La rifampicine induit une inhibition compétitive temporaire de l’excrétion de la bromesulfonephtaléine. Pour éviter des résultats faussement positifs du test à la bromesulfonephtaléine, cet examen sera effectué avant l’administration matinale de Rimactan.
- +Parce que les concentrations élevées de rifampicine inhibent in vitro la protéine de transport des anions organiques (Oatp 1), il est possible que Rimactan diminue l'excrétion biliaire de certains produits de contraste (par ex. le gadoxetate) utilisés pour visualiser la vésicule biliaire.
- +Pendant un traitement par Rimactan, les méthodes microbiologiques de dosage de l'acide folique et de la vitamine B12 dans le sérum ne sont pas utilisables.
- +La rifampicine induit une inhibition compétitive temporaire de l'excrétion de la bromesulfonephtaléine. Pour éviter des résultats faussement positifs du test à la bromesulfonephtaléine, cet examen sera effectué avant l'administration matinale de Rimactan.
-La solution pour perfusion reconstituée doit être conservée au réfrigérateur (2–8 °C) et doit être utilisée dans les 24 heures suivant sa préparation.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver les capsules et les dragées à l’abri de l’humidité, à une température ne dépassant pas 30 °C.
-Conserver les flacon-ampoules à l’abri de la lumière, à une température ne dépassant pas 30 °C.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver dans l'emballage original, pas au-dessus de 30°C, à l'abri de l'humidité et hors de la portée des enfants. Ne pas congeler.
-Remarques concernant la manipulation
-Perfusion intraveineuse
-Ajouter 5 ml d’Aqua ad inject. à la poudre puis agiter vigoureusement le flacon-ampoule (ampoule de poudre) pendant 30 à 60 secondes jusqu’à dissolution complète de la poudre. La solution ainsi obtenue est diluée avec 250 ml d’une solution pour perfusion appropriée. Les solutions pour perfusion doivent être utilisées dans les 6 heures suivant leur préparation. Il est recommandé de régler le débit de la perfusion de telle sorte que la perfusion soit terminée après 3 heures environ.
-La solution reconstituée dans le flacon-ampoule est miscible avec les solutés pour perfusion suivants:
-NaCl à 0,9%, solution de Ringer (lactate ou acétate), glucose à 5% ou 10%, mannitol à 10% ou 20%, bicarbonate de sodium à 1,4%;
-Elle n’est pas miscible avec: le bicarbonate de sodium à 5%, la solution de Ringer (acétate) + glucose.
-La solution reconstituée dans le flacon-ampoule, diluée dans une solution de glucose ou de NaCl, est miscible avec les antibactériens/antibiotiques suivants: l’isoniazide, l’éthambutol, le PAS; la plupart des céphalosporines telles que céfalotine, céfacétrile, cefsulodine, céfuroxime; les antibiotiques aminosides tels que gentamicine, tobramycine, amikacine; l’oxytétracycline et l’érythromycine.
-Elle n’est pas miscible avec les antibiotiques suivants: céfamandole, tétracycline, rolitétracycline, doxycycline.
-34279, 38942, 43719 (Swissmedic).
- +34279 (Swissmedic)
-Rimactan caps 150 mg 16. (A)
-Rimactan caps 150 mg 80. (A)
-Rimactan caps 300 mg 8. (A)
-Rimactan caps 300 mg 40. (A)
-Rimactan drag 450 mg 30. (A)
-Rimactan drag 600 mg 30. (A)
-Rimactan subst sèche 300 mg flac-amp 1. (A)
-Rimactan subst sèche 300 mg flac-amp 10. (A)
- +Rimactan capsules à 150 mg: 16 und 80.
- +Rimactan capsules à 300 mg: 8 und 40. (A)
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
-Domicile
-Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz
-Août 2008.
- +Janvier 2020
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