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Accueil - Information professionnelle sur Furadantin retard - Changements - 06.11.2018
70 Changements de l'information professionelle Furadantin retard
  • -Prophylaxie anti-infectieuse lors dexplorations urologiques ou après intervention chirurgicale sur les voies urinaires.
  • -Les recommandations officielles pour un emploi adéquat des antibiotiques doivent être respectées, notamment les recommandations dutilisation, afin déviter une augmentation des résistances aux antibiotiques.
  • +Prophylaxie anti-infectieuse lors d'explorations urologiques ou après intervention chirurgicale sur les voies urinaires.
  • +Les recommandations officielles pour un emploi adéquat des antibiotiques doivent être respectées, notamment les recommandations d'utilisation, afin d'éviter une augmentation des résistances aux antibiotiques.
  • -Modalité correcte dutilisation
  • +Modalité correcte d'utilisation
  • -Ladministration de Furadantine retard nest pas destinée aux enfants de moins de 12 ans.
  • +L'administration de Furadantine retard n'est pas destinée aux enfants de moins de 12 ans.
  • -·Chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la nitrofurantoïne, à dautres nitrofuranes ou à lun des excipients.
  • +·Chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la nitrofurantoïne, à d'autres nitrofuranes ou à l'un des excipients.
  • -·Chez le nourrisson âgé de moins de 3 mois et en fin de grossesse (pendant le travail et laccouchement) en raison de la possibilité théorique danémie hémolytique chez le fœtus ou le nouveau-né (de moins de 3 mois) causée par un système enzymatique érythrocytaire immature.
  • -Oligurie, anurie. Polyneuropathie, névrite. Fibrose pulmonaire.
  • +·Chez le nourrisson âgé de moins de 3 mois et en fin de grossesse (pendant le travail et l'accouchement) en raison de la possibilité théorique d'anémie hémolytique chez le fœtus ou le nouveau-né (de moins de 3 mois) causée par un système enzymatique érythrocytaire immature.
  • +·Oligurie, anurie
  • +·Polyneuropathie, névrite
  • +·Fibrose pulmonaire
  • -La nitrofurantoïne ne doit être administrée quen présence dune fonction rénale normale (clairance de la créatinine supérieure à 60 ml/min) et lorsque les antibiotiques et médicaments chimiothérapeutiques moins risqués ne peuvent pas être utilisés.
  • -On observera une extrême prudence en présence de troubles de lélimination rénale car une élimination insuffisante peut entraîner une accumulation avec simultanément une diminution notable de la concentration urinaire du principe actif.
  • -En cas de traitement prolongé, on contrôlera régulièrement la fonction pulmonaire du patient (en particulier chez les personnes âgées). Il est important de pouvoir identifier rapidement déventuelles réactions dhypersensibilité pulmonaire induites par la nitrofurantoïne et de pouvoir en interrompre le cas échéant immédiatement la prise afin dentraver la progression er déviter les séquelles potentiellement irréversibles.
  • +La nitrofurantoïne ne doit être administrée qu'en présence d'une fonction rénale normale (clairance de la créatinine supérieure à 60 ml/min) et lorsque les antibiotiques et médicaments chimiothérapeutiques moins risqués ne peuvent pas être utilisés.
  • +On observera une extrême prudence en présence de troubles de l'élimination rénale car une élimination insuffisante peut entraîner une accumulation avec simultanément une diminution notable de la concentration urinaire du principe actif.
  • +En cas de traitement prolongé, on contrôlera régulièrement la fonction pulmonaire du patient (en particulier chez les personnes âgées). Il est important de pouvoir identifier rapidement d'éventuelles réactions d'hypersensibilité pulmonaire induites par la nitrofurantoïne et de pouvoir en interrompre le cas échéant immédiatement la prise afin d'entraver la progression er d'éviter les séquelles potentiellement irréversibles.
  • -En présence de cas sévères ou de récidives, il convient dexclure que lorigine de linfection est une intervention chirurgicale.
  • -Les effets indésirables hépatiques ou pulmonaires pouvant être masqués par des troubles préexistants, la prudence est de rigueur lors de lemploi de la nitrofurantoïne chez des patients atteints de pneumopathies, de troubles de la fonction hépatique ou de troubles nerveux et chez des patients présentant un terrain allergique.
  • -Une neuropathie périphérique et une prédisposition à développer une neuropathie périphérique, pouvant être sévère ou irréversible, ont été observées et peuvent mettre en jeu le pronostic vital. Le traitement doit être arrêté dès les premiers signes datteinte nerveuse (paresthésie).
  • -La prudence est de mise en cas danémie, de diabète sucré, de déséquilibre électrolytique, de faiblesse motrice et de carence en vitamine B (en particulier carence en folates), qui augmentent le risque dune neuropathie périphérique. Arrêter immédiatement la nitrofurantoïne dès les premiers signes de picotements ou dengourdissement dans les extrémités.
  • -Les patients doivent être étroitement surveillés pour des signes d'hépatite (surtout lors dune utilisation prolongée).
  • -Après ladministration de nitrofurantoïne, lurine peut être de couleur jaune ou brune.
  • +En présence de cas sévères ou de récidives, il convient d'exclure que l'origine de l'infection est une intervention chirurgicale.
  • +Les effets indésirables hépatiques ou pulmonaires pouvant être masqués par des troubles préexistants, la prudence est de rigueur lors de l'emploi de la nitrofurantoïne chez des patients atteints de pneumopathies, de troubles de la fonction hépatique ou de troubles nerveux et chez des patients présentant un terrain allergique (voir «Effets indésirables»).
  • +Une neuropathie périphérique et une prédisposition à développer une neuropathie périphérique, pouvant être sévère ou irréversible, ont été observées et peuvent mettre en jeu le pronostic vital. Le traitement doit être arrêté dès les premiers signes d'atteinte nerveuse (paresthésie).
  • +La prudence est de mise en cas d'anémie, de diabète sucré, de déséquilibre électrolytique, de faiblesse motrice et de carence en vitamine B (en particulier carence en folates), qui augmentent le risque d'une neuropathie périphérique. Arrêter immédiatement la nitrofurantoïne dès les premiers signes de picotements ou d'engourdissement dans les extrémités.
  • +Les patients doivent être étroitement surveillés pour des signes d'hépatite (surtout lors d'une utilisation prolongée) (voir «Effets indésirables»).
  • +Après l'administration de nitrofurantoïne, l'urine peut être de couleur jaune ou brune.
  • -Lors dun traitement à long terme, le patient est à surveiller étroitement quant à l'apparition de symptômes hépatiques ou pulmonaires, ou dautres preuves de toxicité.
  • +Lors d'un traitement à long terme, le patient est à surveiller étroitement quant à l'apparition de symptômes hépatiques ou pulmonaires, ou d'autres preuves de toxicité.
  • -En cas dapparition dun syndrome pulmonaire, hépatique, sanguin ou nerveux inexplicable, le traitement par la nitrofurantoïne doit être arrêté.
  • -La nitrofurantoïne nest indiquée ni dans les infections hautes du parenchyme rénal accompagnées ou non de bactériémie (pyélonéphrite, cystite aiguë chez lhomme), ni dans lurétrite (généralement gonococcique ou à Chlamydia et/ou à Mycoplasma), ni dans la prostatite (la nitrofurantoïne ne pénétrant pas assez profondément dans les sécrétions prostatiques).
  • -Lutilisation de nitrofurantoïne peut entraîner le développement de souches résistantes (particulièrement les Pseudomonas). En cas de surinfection, on devra mettre en route un traitement adapté.
  • +En cas d'apparition d'un syndrome pulmonaire, hépatique, sanguin ou nerveux inexplicable, le traitement par la nitrofurantoïne doit être arrêté.
  • +La nitrofurantoïne n'est indiquée ni dans les infections hautes du parenchyme rénal accompagnées ou non de bactériémie (pyélonéphrite, cystite aiguë chez l'homme), ni dans l'urétrite (généralement gonococcique ou à Chlamydia et/ou à Mycoplasma), ni dans la prostatite (la nitrofurantoïne ne pénétrant pas assez profondément dans les sécrétions prostatiques).
  • +L'utilisation de nitrofurantoïne peut entraîner le développement de souches résistantes (particulièrement les Pseudomonas). En cas de surinfection, on devra mettre en route un traitement adapté.
  • -In vitro, la nitrofurantoïne a un effet antagoniste sur laction de lacide nalidixique et dautres inhibiteurs de la gyrase mais on ne connaît pas encore la pertinence clinique de cette interaction.
  • -La nitrofurantoïne peut diminuer les concentrations plasmatiques de la phénytoïne, dont lefficacité risque dêtre réduite.
  • -La propanthéline augmente la concentration urinaire de nitrofurantoïne en améliorant vraisemblablement son absorption par inhibition de la vidange de lestomac.
  • -Lutilisation concomitante de sulfinpyrazone ou de probénécide peut inhiber lexcrétion rénale, entraînant une baisse defficacité et une augmentation de la toxicité de la nitrofurantoïne.
  • -Les antiacides à base de trisilicate de magnésium peuvent réduire labsorption de la nitrofurantoïne, ils ne devraient pas être administrés simultanément, mais au moins une heure après la nitrofurantoïne.
  • -Linteraction avec le bicarbonate de sodium, le lactate de sodium ou dautres alcalinisants de lurine réduit lactivité de la nitrofurantoïne.
  • -Laction antibactérienne est réduite par les inhibiteurs de lanhydrase carbonique et une alcalinisation des urines.
  • +In vitro, la nitrofurantoïne a un effet antagoniste sur l'action de l'acide nalidixique et d'autres inhibiteurs de la gyrase mais on ne connaît pas encore la pertinence clinique de cette interaction.
  • +La nitrofurantoïne peut diminuer les concentrations plasmatiques de la phénytoïne, dont l'efficacité risque d'être réduite.
  • +La propanthéline augmente la concentration urinaire de nitrofurantoïne en améliorant vraisemblablement son absorption par inhibition de la vidange de l'estomac.
  • +L'utilisation concomitante de sulfinpyrazone ou de probénécide peut inhiber l'excrétion rénale, entraînant une baisse d'efficacité et une augmentation de la toxicité de la nitrofurantoïne.
  • +Les antiacides à base de trisilicate de magnésium peuvent réduire l'absorption de la nitrofurantoïne, ils ne devraient pas être administrés simultanément, mais au moins une heure après la nitrofurantoïne.
  • +L'interaction avec le bicarbonate de sodium, le lactate de sodium ou d'autres alcalinisants de l'urine réduit l'activité de la nitrofurantoïne.
  • +L'action antibactérienne est réduite par les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique et une alcalinisation des urines.
  • -Il nexiste pas de données suffisantes concernant lemploi de la nitrofurantoïne chez la femme enceinte. Des études expérimentales chez lanimal ont révélé une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»).
  • -Ladministration pendant la grossesse est contre-indiquée pendant le dernier trimestre (danger dune anémie hémolytique chez le nourrisson). Furadantine retard ne doit pas être utilisé pendant les premiers six mois de la grossesse, sauf si cest explicitement nécessaire.
  • -La nitrofurantoïne est toutefois contre-indiquée chez les nourrissons de moins de trois mois et à la fin de la grossesse (pendant le travail et laccouchement) en raison dun risque possible dhémolyse des érythrocytes immatures du nouveau-né.
  • -Lallaitement doit être évité chez les nourrissons présentant un déficit présumé ou avéré en enzymes érythrocytaires (y compris un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase [G6PD]), car des traces de nitrofurantoïne sont retrouvées dans le lait maternel.
  • +Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'emploi de la nitrofurantoïne chez la femme enceinte. Des études expérimentales chez l'animal ont révélé une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +L'administration pendant la grossesse est contre-indiquée pendant le dernier trimestre (danger d'une anémie hémolytique chez le nourrisson). Furadantine retard ne doit pas être utilisé pendant les premiers six mois de la grossesse, sauf si c'est explicitement nécessaire.
  • +La nitrofurantoïne est toutefois contre-indiquée chez les nourrissons de moins de trois mois et à la fin de la grossesse (pendant le travail et l'accouchement) en raison d'un risque possible d'hémolyse des érythrocytes immatures du nouveau-né.
  • +L'allaitement doit être évité chez les nourrissons présentant un déficit présumé ou avéré en enzymes érythrocytaires (y compris un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase [G6PD]), car des traces de nitrofurantoïne sont retrouvées dans le lait maternel.
  • -Ce médicament peut modifier la capacité de réaction dans les conditions dutilisation. Le traitement peut entraver laptitude à la conduite de véhicules ou à lutilisation de machines. Ce risque est accru en cas de consommation concomitante dalcool.
  • +Ce médicament peut modifier la capacité de réaction dans les conditions d'utilisation. Le traitement peut entraver l'aptitude à la conduite de véhicules ou à l'utilisation de machines. Ce risque est accru en cas de consommation concomitante d'alcool.
  • -Fréquences: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100, «rares» (≥1/10000, <1/1000), «très rares» (<1/10000), «inconnues» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • +Fréquences: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100, «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «inconnues» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • -Rares: agranulocytose, éosinophilie, leucopénie, granulocytopénie, anémie hémolytique, déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase, thrombocytopénie et anémie mégaloblastique. Anémie aplasique. Les taux sanguins se normalisent en général après larrêt du traitement.
  • +Rares: agranulocytose, éosinophilie, leucopénie, granulocytopénie, anémie hémolytique, déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase, thrombocytopénie et anémie mégaloblastique. Anémie aplasique. Les taux sanguins se normalisent en général après l'arrêt du traitement.
  • +Fréquents: vertiges, céphalées.
  • +
  • -Réactions moins fréquentes de cause inconnue: dépression, euphorie, confusion, réactions psychotiques, nystagmus, vertiges, asthénie, céphalées et somnolence. Le traitement doit être interrompu dès le premier signe dimplication neurologique.
  • +Dépression, euphorie, confusion, réactions psychotiques, nystagmus, asthénie et somnolence. Le traitement doit être interrompu dès le premier signe d'implication neurologique.
  • -Le traitement par Furadantine retard doit être arrêté si lune des réactions respiratoires suivantes survient.
  • +Le traitement par Furadantine retard doit être arrêté si l'une des réactions respiratoires suivantes survient.
  • -La forme aiguë se présente par un tableau clinique dœdème pulmonaire allergique accompagné de dyspnée subite, toux, fièvre et surtout infiltrats pulmonaires (pneumonie à la nitrofurantoïne), généralement quelques heures après la dernière prise de nitrofurantoïne. Ce tableau clinique régresse dans les 2–3 semaines suivant larrêt du médicament.
  • -La forme subaiguë, qui peut survenir environ 1 mois après le début dun traitement par nitrofurantoïne, se caractérise par dyspnée, orthopnée, fièvre, toux persistante sur pneumonie interstitielle et/ou fibrose pulmonaire; fièvre et éosinophilie sobservent cependant plus rarement. Lamélioration est très lente après larrêt du médicament.
  • +La forme aiguë se présente par un tableau clinique d'œdème pulmonaire allergique accompagné de dyspnée subite, toux, fièvre et surtout infiltrats pulmonaires (pneumonie à la nitrofurantoïne), généralement quelques heures après la dernière prise de nitrofurantoïne. Ce tableau clinique régresse dans les 2–3 semaines suivant l'arrêt du médicament.
  • +La forme subaiguë, qui peut survenir environ 1 mois après le début d'un traitement par nitrofurantoïne, se caractérise par dyspnée, orthopnée, fièvre, toux persistante sur pneumonie interstitielle et/ou fibrose pulmonaire; fièvre et éosinophilie s'observent cependant plus rarement. L'amélioration est très lente après l'arrêt du médicament.
  • -Rares: réactions hépatiques, ictère cholestatique et hépatite chronique active incluant des décès ont été signalés. Lictère cholestatique est généralement associé à des traitements de courte durée (2 semaines). L'hépatite chronique active, qui conduit occasionnellement à une nécrose hépatique, est généralement associée à un long traitement (plus de 6 mois) et peut commencer insidieusement et de façon inaperçue. Le traitement doit être interrompu au premier signe d'hépatotoxicité.
  • +Rares: réactions hépatiques, ictère cholestatique et hépatite chronique active incluant des décès ont été signalés. L'ictère cholestatique est généralement associé à des traitements de courte durée (2 semaines).
  • +Inconnue: hépatite auto-immune.
  • +L'hépatite chronique active, qui conduit occasionnellement à une nécrose hépatique, est généralement associée à un long traitement (plus de 6 mois) et peut commencer insidieusement et de façon inaperçue. Le traitement doit être interrompu au premier signe d'hépatotoxicité.
  • +Inconnue: vascularite cutanée.
  • +
  • -Rares: troubles réversibles de la spermatogenèse par lésion de lépithélium des canalicules spermatiques.
  • +Rares: troubles réversibles de la spermatogenèse par lésion de l'épithélium des canalicules spermatiques.
  • -Inconnues: Comme avec dautres antibiotiques, des infections supplémentaires dues à des champignons ou des germes résistants tels que des bactéries du genre Pseudomonas sont possibles.
  • +Inconnues: Comme avec d'autres antibiotiques, des infections supplémentaires dues à des champignons ou des germes résistants tels que des bactéries du genre Pseudomonas sont possibles.
  • -Un surdosage peut faire augmenter lincidence des effets indésirables, surtout les nausées, vomissements, céphalées et vertiges.
  • -En cas dintoxication aiguë, procéder à un lavage gastrique. Une fois résorbée, la nitrofurantoïne est hémodialysable si nécessaire.
  • +Un surdosage peut faire augmenter l'incidence des effets indésirables, surtout les nausées, vomissements, céphalées et vertiges.
  • +En cas d'intoxication aiguë, procéder à un lavage gastrique. Une fois résorbée, la nitrofurantoïne est hémodialysable si nécessaire.
  • -Certaines souches dEnterobacter et de Klebsiella sont résistantes. La nitrofurantoïne est inefficace contre la plupart des souches de Proteus sp. et de Serratia sp., ainsi que contre les Pseudomonas sp.
  • -Le mécanisme daction exact de la nitrofurantoïne nest pas entièrement élucidé. Son action repose probablement sur une interférence avec divers systèmes enzymatiques bactériens (intervention dans la biosynthèse des protéines). A faible concentration, leffet de la nitrofurantoïne est essentiellement bactériostatique; à concentration élevée, elle exerce un effet bactéricide sur des germes en phase proliférative et en phase de quiescence. Les concentrations antibactériennes efficaces ne sont atteintes quà lintérieur des voies urinaires basses, mais pas dans le sang ni dans dautres tissus.
  • +Certaines souches d'Enterobacter et de Klebsiella sont résistantes. La nitrofurantoïne est inefficace contre la plupart des souches de Proteus sp. et de Serratia sp., ainsi que contre les Pseudomonas sp.
  • +Le mécanisme d'action exact de la nitrofurantoïne n'est pas entièrement élucidé. Son action repose probablement sur une interférence avec divers systèmes enzymatiques bactériens (intervention dans la biosynthèse des protéines). A faible concentration, l'effet de la nitrofurantoïne est essentiellement bactériostatique; à concentration élevée, elle exerce un effet bactéricide sur des germes en phase proliférative et en phase de quiescence. Les concentrations antibactériennes efficaces ne sont atteintes qu'à l'intérieur des voies urinaires basses, mais pas dans le sang ni dans d'autres tissus.
  • -Entérocoques, E. coli, Citrobacter sp., streptocoques du groupe B, Staphylococcus aureus, Staphylococcus epidermidis, Salmonella sp.; ainsi que Bacteroides sp. et Streptococcus pneumoniae, qui sont toutefois rarement responsables dune infection des voies urinaires.
  • +Entérocoques, E. coli, Citrobacter sp., streptocoques du groupe B, Staphylococcus aureus, Staphylococcus epidermidis, Salmonella sp.; ainsi que Bacteroides sp. et Streptococcus pneumoniae, qui sont toutefois rarement responsables d'une infection des voies urinaires.
  • -En cas dinfection à germes de sensibilité intermédiaire, il est conseillé de pratiquer un test de sensibilité afin de pouvoir exclure une résistance éventuelle.
  • +En cas d'infection à germes de sensibilité intermédiaire, il est conseillé de pratiquer un test de sensibilité afin de pouvoir exclure une résistance éventuelle.
  • -Sous nitrofurantoïne, une résistance bactérienne ne se développe que lentement et progressivement. Certaines souches dEnterobacter et de Klebsiella sont résistantes, tandis quAcinetobacter, Providencia, Pseudomonas et Serratia sont en général toujours résistantes.
  • -Une résistance croisée avec dautres nitrofuranes peut se manifester; toutefois, aucune résistance croisée na été signalée à ce jour avec dautres substances antibactériennes.
  • +Sous nitrofurantoïne, une résistance bactérienne ne se développe que lentement et progressivement. Certaines souches d'Enterobacter et de Klebsiella sont résistantes, tandis qu'Acinetobacter, Providencia, Pseudomonas et Serratia sont en général toujours résistantes.
  • +Une résistance croisée avec d'autres nitrofuranes peut se manifester; toutefois, aucune résistance croisée n'a été signalée à ce jour avec d'autres substances antibactériennes.
  • -La nitrofurantoïne est absorbée rapidement et presque complètement au niveau de lintestin grêle. Administrée sous forme de macrocristaux, elle est libérée plus lentement, ce qui évite de fortes concentrations sériques initiales et rend plus rares les réactions dintolérance gastrique quavec la forme microcristalline classique. Les doses standards ne permettent pas datteindre des concentrations thérapeutiques dans le sérum. Après une dose unitaire de 100 mg de Furadantine retard, la concentration plasmatique maximale moyenne est de 460 ng/ml. On retrouve, généralement après 2 à 6 h, des concentrations maximales allant de 13 à 88 ng/ml dans les urines.
  • +La nitrofurantoïne est absorbée rapidement et presque complètement au niveau de l'intestin grêle. Administrée sous forme de macrocristaux, elle est libérée plus lentement, ce qui évite de fortes concentrations sériques initiales et rend plus rares les réactions d'intolérance gastrique qu'avec la forme microcristalline classique. Les doses standards ne permettent pas d'atteindre des concentrations thérapeutiques dans le sérum. Après une dose unitaire de 100 mg de Furadantine retard, la concentration plasmatique maximale moyenne est de 460 ng/ml. On retrouve, généralement après 2 à 6 h, des concentrations maximales allant de 13 à 88 ng/ml dans les urines.
  • -Le volume de distribution est de 0,3 à 0,7 l/kg, la liaison aux protéines plasmatiques est denv. 50–60%.
  • +Le volume de distribution est de 0,3 à 0,7 l/kg, la liaison aux protéines plasmatiques est d'env. 50–60%.
  • -La substance est rapidement métabolisée dans lorganisme. Quelque 40–50% sont inactivés dans le foie par glucuroconjugaison et N-acétylation.
  • +La substance est rapidement métabolisée dans l'organisme. Quelque 40–50% sont inactivés dans le foie par glucuroconjugaison et N-acétylation.
  • -Lélimination de la nitrofurantoïne se fait principalement par voie rénale. On retrouve env. 40% de la dose administrée sous forme inchangée dans les urines. Les 60% restants sont métabolisés principalement dans le foie. La nitrofurantoïne est éliminée à 16,7% par filtration glomérulaire et excrétée à 83,3% au niveau tubulaire. La réabsorption dépend du pH urinaire. Acide faible, la nitrofurantoïne diffuse passivement (diffusion non ionique). Lorsque lacidité de lurine augmente, une partie importante du volume entré dans le néphron par le tube proximal est réabsorbée au niveau des segments distaux, alors quune alcalinisation de lurine augmente les concentrations urinaires de nitrofurantoïne. Il serait toutefois peu judicieux dalcaliniser lurine en vue de traiter une infection urinaire: ce serait réduire lefficacité antibactérienne de la nitrofurantoïne. En présence dune fonction rénale normale, la demi-vie délimination plasmatique nest que de 20 minutes.
  • +L'élimination de la nitrofurantoïne se fait principalement par voie rénale. On retrouve env. 40% de la dose administrée sous forme inchangée dans les urines. Les 60% restants sont métabolisés principalement dans le foie. La nitrofurantoïne est éliminée à 16,7% par filtration glomérulaire et excrétée à 83,3% au niveau tubulaire. La réabsorption dépend du pH urinaire. Acide faible, la nitrofurantoïne diffuse passivement (diffusion non ionique). Lorsque l'acidité de l'urine augmente, une partie importante du volume entré dans le néphron par le tube proximal est réabsorbée au niveau des segments distaux, alors qu'une alcalinisation de l'urine augmente les concentrations urinaires de nitrofurantoïne. Il serait toutefois peu judicieux d'alcaliniser l'urine en vue de traiter une infection urinaire: ce serait réduire l'efficacité antibactérienne de la nitrofurantoïne. En présence d'une fonction rénale normale, la demi-vie d'élimination plasmatique n'est que de 20 minutes.
  • -Une insuffisance rénale marquée entraîne une élévation nette des concentrations sériques de nitrofurantoïne, et la demi-vie plasmatique peut sallonger jusquà 1 h. La nitrofurantoïne ne doit pas être administrée à des patients présentant une clairance de la créatinine inférieure à 60 ml/min, vu le risque daccumulation et de perte defficacité.
  • +Une insuffisance rénale marquée entraîne une élévation nette des concentrations sériques de nitrofurantoïne, et la demi-vie plasmatique peut s'allonger jusqu'à 1 h. La nitrofurantoïne ne doit pas être administrée à des patients présentant une clairance de la créatinine inférieure à 60 ml/min, vu le risque d'accumulation et de perte d'efficacité.
  • -Le test du facteur létal héréditaire récessif lié au sexe sur drosophile a donné des résultats négatifs après administration de nitrofurantoïne par la nourriture ou par injection. Dans lexpérimentation animale menée chez les rongeurs, la nitrofurantoïne na induit aucune mutation héréditaire.
  • +Le test du facteur létal héréditaire récessif lié au sexe sur drosophile a donné des résultats négatifs après administration de nitrofurantoïne par la nourriture ou par injection. Dans l'expérimentation animale menée chez les rongeurs, la nitrofurantoïne n'a induit aucune mutation héréditaire.
  • -Chez la souris, la nitrofurantoïne a provoqué une apparition accrue dadénomes tubulaires, de tumeurs mixtes bénignes et de tumeurs des cellules de la granulosa des ovaires. Dans une étude menée chez la souris gravide avec 75 mg/kg de nitrofurantoïne administrée par voie sous-cutanée, des adénomes papillaires de sévérité inconnue ont été constatés chez les animaux de la génération F1. Chez le rat mâle, une incidence plus élevée de néoplasmes inhabituels des cellules tubulaires des reins, de sarcomes des os et de néoplasmes du tissu sous-cutané a été observée.
  • +Chez la souris, la nitrofurantoïne a provoqué une apparition accrue d'adénomes tubulaires, de tumeurs mixtes bénignes et de tumeurs des cellules de la granulosa des ovaires. Dans une étude menée chez la souris gravide avec 75 mg/kg de nitrofurantoïne administrée par voie sous-cutanée, des adénomes papillaires de sévérité inconnue ont été constatés chez les animaux de la génération F1. Chez le rat mâle, une incidence plus élevée de néoplasmes inhabituels des cellules tubulaires des reins, de sarcomes des os et de néoplasmes du tissu sous-cutané a été observée.
  • -La nitrofurantoïne donne des résultats faux positifs dans la détermination du glucose urinaire par une solution de sulfate de cuivre (réactif de Benedict, Clinitest). Le médicament naffecte pas la détermination du glucose urinaire par la glucose-oxydase (Clinistix, Tes-Tape).
  • +La nitrofurantoïne donne des résultats faux positifs dans la détermination du glucose urinaire par une solution de sulfate de cuivre (réactif de Benedict, Clinitest). Le médicament n'affecte pas la détermination du glucose urinaire par la glucose-oxydase (Clinistix, Tes-Tape).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Février 2017.
  • +Janvier 2018.
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