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Accueil - Information professionnelle sur Solu-Medrol 40 mg - Changements - 15.03.2021
158 Changements de l'information professionelle Solu-Medrol 40 mg
  • -Principe actif:
  • +Principes actifs
  • -Excipients:
  • -Lyophilisat:
  • +Excipients
  • +Dans le lyophilisat:
  • -Solvant:
  • -Solu-Medrol: Conserv. alcohol benzylicus 9 mg, aqua ad injectabilia q.s. ad solutionem pro ml.
  • +Dans le solvant:
  • +Solu-Medrol: conserv. alcohol benzylicus 9 mg, aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro ml.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Solu-Medrol: préparation pour injection/perfusion
  • -Ampoules pour injection:
  • -Flacons-ampoules contenant, respectivement, 500 mg ou 1 g de méthylprednisolone sous forme de lyophilisat.
  • -Flacons-ampoules contenant, respectivement, 7.8 ml ou 15.6 ml de solvant.
  • -Solu-Medrol SAB (sine alcohol benzylicus): préparation pour injection/perfusion
  • -Ampoules pour injection:
  • -Flacons-ampoules contenant 40 mg de méthylprednisolone sous forme de lyophilisat.
  • -Ampoules contenant 1 ml de solvant.
  • -Act-O-Vials (ampoules à 2 compartiments):
  • -Compartiment contenant resp. 40 mg, 125 mg ou 250 mg de méthylprednisolone sous forme de lyophilisat.
  • -Compartiment contenant resp. 1 ml, 2 ml ou 4 ml de solvant.
  • -Dans les situations d'urgence ou les cas où l'administration orale n'est pas possible, Solu-Medrol est indiqué dans le traitement des affections suivantes:
  • -Endocrinopathies:
  • -Insuffisance corticosurrénale primaire ou secondaire avec la poursuite d'une thérapie concomitante par un minéralocorticoïde. (Hydrocortisone ou cortisone sont les médicaments de choix. Dans l'enfance, la substitution par des minéralocorticoïdes revêt une importance particulière.)
  • -Insuffisance corticosurrénale aiguë, choc consécutif à une insuffisance corticosurrénale, ou choc à la suite d'une non-réponse à une thérapie conventionnelle éventuellement due à une insuffisance corticosurrénale (Hydrocortisone ou cortisone sont les médicaments de choix. L'adjonction d'un minéralocorticoïde est indispensable lors d'un bloc total de la fonction corticosurrénale).
  • +Dans les situations d'urgence ou les cas où l'administration orale n'est pas possible, Solu-Medrol/-SAB est indiqué dans le traitement des affections suivantes:
  • +Affections endocriniennes
  • +Insuffisance corticosurrénale primaire ou secondaire avec la poursuite d'un traitement concomitant par un minéralocorticoïde. (L'hydrocortisone ou la cortisone sont les médicaments de choix. Dans l'enfance, la substitution par des minéralocorticoïdes revêt une importance particulière.)
  • +Insuffisance corticosurrénale aiguë, choc consécutif à une insuffisance corticosurrénale, ou choc à la suite d'une non-réponse à un traitement conventionnel éventuellement due à une insuffisance corticosurrénale. (L'hydrocortisone ou la cortisone sont les médicaments de choix. L'administration concomitante d'un minéralocorticoïde est indispensable lors d'un bloc total de la fonction corticosurrénale).
  • -Thyroïdite granulomateuse à cellules géantes, subaiguë, non suppurente.
  • +Thyroïdite granulomateuse à cellules géantes (subaiguë, non suppurante).
  • -Ostéoarthrite post-traumatique, synovite associée à une ostéoarthrite, polyarthrite chronique évolutive (polyarthrite rhumatoïde), y compris l'arthrite rhumatoïde juvénile (dans des cas sélectionnés une thérapie à dose réduite peut être nécessaire), bursite aiguë et subaiguë, épicondylite, ténosynovite aiguë non spécifique, arthrite goutteuse aiguë, psoriasis arthropathique, spondylarthrite ankylosante.
  • +Ostéoarthrite post-traumatique, synovite associée à une ostéoarthrite, polyarthrite chronique (polyarthrite rhumatoïde), polyarthrite rhumatoïde juvénile (dans des cas particuliers, un traitement d'entretien à dose réduite peut être nécessaire), bursite aiguë et subaiguë, épicondylite, ténosynovite aiguë non spécifique, arthrite goutteuse aiguë, arthrite psoriasique, spondylarthrite ankylopoïétique.
  • -lupus érythémateux disséminé (et néphrite induite par un lupus), cardite rhumatismale aiguë, dermatomyosite systémique (polymyosite), polyarthrite noueuse, syndrome de Goodpasture.
  • +Lupus érythémateux systémique (et néphropathie lupique), cardite rhumatismale aiguë, dermatomyosite systémique (polymyosite), périarthrite noueuse, syndrome de Goodpasture.
  • -Etats allergiques sévères ou invalidants non contrôlés par une thérapie conventionnelle adéquate:
  • -asthme bronchique, dermatite de contact, dermatite atopique, maladie sérique, rhinite allergique saisonnière ou apériodique, réactions d'hypersensibilité médicamenteuse, réactions transfusionnelles, Å“dème laryngé aigu non infectieux/Å“dème de la glotte (dans ce cas, l'adrénaline est le traitement de premier choix).
  • +États allergiques sévères ou invalidants non contrôlés par une thérapie conventionnelle adéquate:
  • +asthme bronchique, dermatite de contact, dermatite atopique, maladie sérique, rhinite allergique saisonnière ou apériodique, réactions d'hypersensibilité médicamenteuse, réactions transfusionnelles, Å“dème laryngé/Å“dème de la glotte aigu non infectieux (dans ce cas, l'adrénaline est le traitement de premier choix).
  • -zona ophtalmique (seulement si surface cornéenne intacte), iritis et irido-cyclite, chorio-rétinite, uvéite postérieure diffuse et choroïdite, névrite rétrobulbaire, ophtalmie sympathique, inflammations au niveau des segments antérieurs de l'Å“il, conjonctivite allergique, ulcère allergique du bord de la cornée, kératite disciforme (seulement si surface cornéenne intacte).
  • -Affections du tractus gastro-intestinal
  • +zona ophtalmique (seulement en cas de surface cornéenne intacte), iritis et irido-cyclite, choriorétinite, uvéite postérieure diffuse et choroïdite, névrite rétrobulbaire, ophtalmie sympathique, inflammations au niveau des segments antérieurs de l'Å“il, conjonctivite allergique, ulcère allergique du bord de la cornée, kératite disciforme (seulement en cas de surface cornéenne intacte).
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Sarcoïdose symptomatique, alvéolite allergique, formes fulgurantes ou généralisées de tuberculose bronchopulmonaire, respectivement de pleurite tuberculeuse (à côté d'une chimiothérapie appropriée), pneumopathie éosinophile (syndrome de Loeffler), pneumonie par aspiration.
  • -Maladies hématologiques
  • -Anémie hémolytique auto-immune acquise, purpura thrombopénique idiopathique de l'adulte (thérapie uniquement par voie i.v.; l'administration par voie i.m. est contre-indiquée), thrombocytopénie secondaire de l'adulte, érythroblastopénie (pure red cell aplasia), anémie érythroïde hypoplastique congénitale.
  • +Sarcoïdose symptomatique, alvéolite allergique, formes fulgurantes ou généralisées de tuberculose bronchopulmonaire ou pleurite tuberculeuse (en même temps qu'une chimiothérapie appropriée), pneumopathie à éosinophiles (syndrome de Loeffler) ne pouvant être contrôlée par d'autres traitements, pneumopathie par aspiration.
  • +Affections hématologiques
  • +Anémie hémolytique auto-immune acquise, purpura thrombopénique idiopathique de l'adulte (thérapie uniquement par voie i. v.; l'administration par voie i. m. est contre-indiquée), thrombocytopénie secondaire de l'adulte, érythroblastopénie (pure red cell aplasia), anémie (érythroïde) hypoplastique congénitale.
  • -leucémie et lymphome de l'adulte, leucémie aiguë de l'enfance.
  • +leucémies et lymphomes chez les adultes, leucémie aiguë de l'enfance.
  • -Å’dèmes cérébraux consécutifs à une tumeur (primaire ou métastatique) ou secondaire à une intervention chirurgicale ou à une radiothérapie. Poussées aiguës de sclérose en plaques. Traumatisme médullaire aigu, pour autant que le traitement soit commencé dans les 8 heures (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Å’dèmes cérébraux consécutifs à une tumeur (primaire ou métastatique) ou secondaire à une intervention chirurgicale ou à une radiothérapie. Poussées aiguës de sclérose en plaques. Traumatisme médullaire aigu, pour autant que le traitement soit instauré dans les 8 heures qui suivent la survenue du traumatisme (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Trichinose associée à des réactions allergiques généralisées telles que l'angio-Å“dème, l'urticaire et les réactions locales d'hypersensibilité au niveau du myocarde et du SNC.
  • +Trichinose associée à des réactions allergiques généralisées telles que l'angioÅ“dème, l'urticaire et les réactions locales d'hypersensibilité au niveau du myocarde et du SNC.
  • -Posologies générales
  • -La corticothérapie complète en général une thérapie de base, mais ne la remplace pas. Il convient d'adapter la posologie au degré de sévérité de l'affection et à la réaction du patient. Pour réduire les effets indésirables, et dès que l'état du patient le permet, la posologie devrait être diminuée et la thérapie adaptée à un traitement oral par des glucocorticoïdes. A cet effet, il faut faire très attention à ce que la réduction de la dose s'effectue lentement par paliers après quelques jours afin de prévenir une réapparition de la maladie et une insuffisance corticosurrénale.
  • -Une thérapie parentérale par des doses élevées de Solu-Medrol/Solu-Medrol SAB ne devrait être poursuivie que jusqu'au moment où l'état du patient se sera stabilisé, et normalement pas au-delà de 48-72 heures.
  • -Solu-Medrol et Solu-Medrol SAB peuvent être administrés par injection intraveineuse ou intramusculaire (exception: purpura thrombopénique idiopathique de l'adulte, traité uniquement par voie i.v.; l'administration par voie i.m. est contre-indiquée), de même que par perfusion intraveineuse. La thérapie initiale dans les cas d'urgence s'effectue de préférence par injection intraveineuse.
  • -La durée d'administration des doses initiales, jusqu'à 250 mg, devrait être de 5 minutes au minimum, et celle de doses supérieures à 250 mg, de 30 minutes au minimum. Des doses subséquentes sont appliquées par voie i.v. ou i.m. à une cadence qui varie selon la réaction et l'état du malade.
  • +Posologie usuelle
  • +La corticothérapie complète en général une thérapie de base, mais ne la remplace pas. La posologie doit être adaptée au degré de sévérité de l'affection et à la réaction du patient. Pour réduire les effets indésirables, et dès que l'état du patient le permet, il est recommandé de réduire la posologie et de passer à un traitement oral par des glucocorticoïdes. À cet effet, il faut faire très attention à ce que la réduction de la dose s'effectue lentement par paliers après quelques jours afin de prévenir une réapparition de la maladie et une insuffisance corticosurrénale.
  • +Une thérapie parentérale par des doses élevées de Solu-Medrol/-SAB ne devra être poursuivie que jusqu'au moment où l'état du patient se sera stabilisé, et normalement pas au-delà de 48-72 heures.
  • +Solu-Medrol/-SAB peuvent être administrés par injection intraveineuse ou intramusculaire (exception: purpura thrombopénique idiopathique de l'adulte, traité uniquement par voie i. v.; l'administration par voie i. m. est contre-indiquée), de même que par perfusion intraveineuse. La thérapie initiale dans les cas d'urgence s'effectue de préférence par injection intraveineuse.
  • +La durée d'administration des doses initiales, jusqu'à 250 mg, doit être de 5 minutes au minimum, et celle de doses supérieures à 250 mg, de 30 minutes au minimum. Des doses subséquentes sont appliquées par voie i. v. ou i. m. à une cadence qui varie selon la réaction et l'état du patient.
  • -Traitement adjuvant d'états gravissimes
  • -La dose de Solu-Medrol/- SAB préconisée de 30 mg/kg de poids corporel est perfusée par voie i.v. en 30 minutes au minimum. Cette dose est répétée toutes les 4 à 6 heures au cours de 48 heures.
  • +Traitement adjuvant d'états engageant le pronostic vital
  • +La dose de Solu-Medrol/-SAB préconisée de 30 mg/kg de poids corporel est perfusée par voie i. v. en 30 minutes au minimum. Cette dose est répétée toutes les 4 à 6 heures au cours de 48 heures.
  • -Lorsqu'un corticoïde est indiqué ou en cas d'échec du traitement standard (par ex. patients avec une néphrite induite par un lupus, une polyarthrite rhumatoïde, etc.), les dosages suivants peuvent être appliqués (en perfusion i.v. pendant au moins 30 minutes):
  • -·Affections rhumatismales: 1 g i.v./jour pendant 1-4 jours ou 1 g i.v./mois pendant 6 mois.
  • -·Lupus érythémateux disséminé: 1 g i.v./jour pendant 3 jours.
  • -·Sclérose en plaques: 1 g i.v./jour pendant 3-5 jours.
  • -·Syndrome néphrotique (thérapie anti-Å“démateuse, par ex. en cas de glomérulo-néphrite, lupus érythémateux): 30 mg/kg de poids corporel i.v. tous les 2 jours pendant 4 jours ou 1 g i.v./jour pendant 3, 5 ou 7 jours. En l'absence d'amélioration, ou si l'état du patient l'exige, le traitement peut être répété une semaine plus tard.
  • +Lorsqu'un corticoïde est indiqué ou en cas d'échec du traitement standard (par ex. patients avec une néphropathie lupique, une polyarthrite rhumatoïde, etc.), les dosages suivants peuvent être appliqués (en perfusion i. v. pendant au moins 30 minutes):
  • +·Affections rhumatismales: 1 g i. v./jour pendant 1-4 jours ou 1 g i. v./mois pendant 6 mois.
  • +·Lupus érythémateux systémique: 1 g i. v./jour pendant 3 jours.
  • +·Sclérose en plaques: selon les données publiées, des thérapies par méthylprednisolone intraveineuse peuvent être appliquées dans le traitement à court terme des poussées aiguës de sclérose en plaques à des posologies de 500 mg/jour à 1'000 mg/jour pendant 3 à 5 jours. Solu-Medrol peut réduire la durée des poussées, mais n'a aucune influence sur le taux de rechute ou la progression de l'incapacité dans la sclérose en plaques. L'administration doit avoir lieu le matin pour réduire les risques de troubles du sommeil si nécessaire. Le traitement des poussées aiguës de la sclérose en plaques doit être effectué sous contrôle clinique étroit (protection gastrique, prophylaxie de la thrombose, pression artérielle, glycémie, électrolytes sériques).
  • +·Syndrome néphrotique (thérapie anti-Å“démateuse, par ex. en cas de glomérulo-néphrite, lupus érythémateux): 30 mg/kg de poids corporel i. v. tous les 2 jours pendant 4 jours ou 1 g i. v./jour pendant 3, 5 ou 7 jours. En l'absence d'amélioration, ou si l'état du patient l'exige, le traitement peut être répété une semaine plus tard.
  • -Chimiothérapie occasionnant un état nauséeux peu sévère à moyen: 250 mg de Solu-Medrol en injection i.v. sur 5 minutes au minimum, 1 heure avant l'administration du cytostatique, au début de la chimiothérapie et en cas de vomissements. Il est recommandé d'administrer un autre antiémétique (par ex. antagoniste du récepteur 5-HT3, phénothiazine, métoclopramide, etc.) en même temps que la première dose de Solu-Medrol/- SAB pour renforcer l'effet antiémétique du traitement.
  • -Chimiothérapie occasionnant des vomissements potentiellement graves: 1 heure avant l'administration de l'agent chimiothérapeutique, 250 mg de Solu-Medrol en injection i.v. sur 5 minutes au minimum, associés à des doses adéquates d'un antiémétique approprié (par ex. antagoniste du récepteur du 5-HT3; ensuite injecter 250 mg de Solu-Medrol/- SAB en injection i.v. sur 5 minutes au minimum au début de la chimiothérapie et en cas de vomissements.
  • +Lors d'une chimiothérapie occasionnant un état nauséeux léger à modéré: 250 mg de Solu-Medrol en injection i. v. pendant 5 minutes au minimum, 1 heure avant l'administration du cytostatique, au début de la chimiothérapie et si des vomissements surviennent. Il est recommandé d'administrer un autre antiémétique (par ex. antagoniste du récepteur 5-HT3, phénothiazine, métoclopramide, etc.) en même temps que la première dose de Solu-Medrol/-SAB pour renforcer l'effet antiémétique du traitement.
  • +Lors d'une chimiothérapie occasionnant des vomissements potentiellement graves: 1 heure avant l'administration de l'agent chimiothérapeutique, 250 mg de Solu-Medrol en injection i. v. pendant 5 minutes au minimum, associés à des doses adéquates d'un antiémétique approprié (par ex. antagoniste du récepteur du 5-HT3; ensuite injecter 250 mg de Solu-Medrol/-SAB en injection i. v. pendant 5 minutes au minimum au début de la chimiothérapie et en cas de vomissements.
  • -30 mg/kg de poids corporel en injection bolus i.v. pendant 15 minutes. Après une pause de 45 minutes, appliquer en perfusion 5.4 mg/kg par heure de façon continue pendant 23 heures par une voie i.v. séparée.
  • +30 mg/kg de poids corporel en injection bolus i. v. pendant 15 minutes. Après une pause de 45 minutes, appliquer en perfusion 5.4 mg/kg par heure de façon continue pendant 23 heures par une voie i. v. séparée.
  • -30 mg par kg de poids corporel sous forme d'un bolus intraveineux pendant 15 minutes. Après une pause de 45 minutes, perfuser de façon continue 5.4 mg/kg par heure pendant 47 heures par un accès intraveineux distinctif.
  • -Il y a lieu de tenir compte de la stabilité maximum de la solution de perfusion diluée; voir «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation».
  • +30 mg par kg de poids corporel sous forme d'un bolus intraveineux pendant 15 minutes. Après une pause de 45 minutes, perfuser de façon continue 5.4 mg/kg par heure pendant 47 heures par un accès intraveineux distinct.
  • +Il y a lieu de tenir compte de la stabilité maximale de la solution de perfusion diluée; voir «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation».
  • -La dose initiale varie entre 10-500 mg selon la maladie. Des doses plus fortes doivent être administrées à court terme pour le traitement d'affections aiguës et graves.
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • -Pédiatrie
  • -Utiliser chez le prématuré et le nouveau-né Solu-Medrol SAB sans l'agent conservateur alcool benzylique (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions – Utilisation en pédiatrie»).
  • -Généralement, en pédiatrie, des doses plus faibles que celles mentionnées plus haut sont suffisantes (voir «Pharmacocinétique»). Elles dépendent davantage de l'état et de la réponse du patient au traitement, que de son âge et de son poids corporel. En principe, la dose ne devrait pas être inférieure à 0.5 mg/kg de poids corporel par 24 heures.
  • -Patients âgés
  • -Chez les patients âgés, le risque d'ostéoporose ainsi que de rétention liquidienne (éventuellement accompagnée d'hypertension consécutive) est potentiellement élevé en cas de corticothérapie prolongée. Pour cette raison, les patients âgés doivent être traités avec prudence.
  • -Insuffisance hépatique, hypothyroïdie
  • +La dose initiale varie entre 10-500 mg selon la maladie. Des posologies plus élevées doivent être appliquées à court terme pour le traitement d'affections aiguës et graves.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique/une hypothyroïdie
  • -Insuffisance rénale
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Patients âgés
  • +Chez les patients âgés, le risque d'ostéoporose ainsi que de rétention liquidienne (éventuellement accompagnée d'hypertension consécutive) est potentiellement élevé en cas de corticothérapie prolongée. Pour cette raison, les patients âgés doivent être traités avec prudence.
  • +Enfants et adolescents
  • +Chez le prématuré et le nouveau-né, utiliser Solu-Medrol SAB sans l'agent conservateur alcool benzylique (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions – Utilisation en pédiatrie»).
  • +Généralement, en pédiatrie, des doses plus faibles que celles mentionnées plus haut sont suffisantes (voir aussi «Pharmacocinétique»). Elles dépendent davantage de l'état et de la réponse du patient au traitement, que de son âge et de son poids corporel. La dose ne devrait pas être inférieure à 0.5 mg/kg de poids corporel par 24 heures.
  • -Cette formulation est contre-indiquée en cas d'hypersensibilité connue ou suspectée au lait de vache ou à ses composants, ou à d'autres produits laitiers (car elle peut contenir des traces de protéine de lait) (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Cette formulation est contre-indiquée en cas d'hypersensibilité connue ou suspectée au lait de vache ou à l'un de ses composants, ou à d'autres produits laitiers (car elle peut contenir des traces de protéine de lait) (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Les complications secondaires éventuelles de la corticothérapie dépendent de la dose et de la durée du traitement. Il est donc recommandé d'évaluer de cas en cas les avantages escomptés du traitement et les risques auxquels le patient s'expose en fonction de la posologie adoptée et de la durée de la médication. Il convient aussi de choisir en connaissance de cause entre un traitement quotidien et un traitement intermittent.
  • +Les complications secondaires éventuelles de la corticothérapie dépendent de la dose et de la durée du traitement. Il est donc recommandé d'évaluer au cas par cas le rapport bénéfice/risque individuel en fonction de la posologie adoptée et de la durée de la médication. Il convient aussi de choisir en connaissance de cause entre un traitement quotidien et un traitement intermittent.
  • -Des réactions allergiques telles que des réactions cutanées ou des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes peuvent se produire dans de rares cas à la suite de la prise de corticostéroïdes. On prendra donc les précautions de rigueur avant l'application, surtout chez les patients notoirement allergiques aux médicaments.
  • +Des réactions allergiques telles que des réactions cutanées ou des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes peuvent survenir dans de rares cas à la suite de la prise de corticostéroïdes. On prendra donc les précautions de rigueur avant l'application, surtout chez les patients présentant des allergies connues aux médicaments.
  • -Bien que la concentration d'alcool benzylique lors de l'application à doses thérapeutiques de Solu-Medrol soit bien plus faible que dans les doses mises en relation avec le «Gasping Syndrom», on ignore la quantité minimale d'alcool benzylique à partir de laquelle la toxicité apparait. Les patients qui reçoivent des doses élevées peuvent plus vraisemblablement développer une toxicité. En cas d'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, la somme quotidienne d'alcool benzylique provenant de toutes les sources doit être prise en compte.
  • +Bien que la concentration d'alcool benzylique lors de l'application à doses thérapeutiques de Solu-Medrol soit bien plus faible que dans les doses mises en relation avec le «Gasping Syndrom», on ignore la quantité minimale d'alcool benzylique à partir de laquelle la toxicité apparaît. La probabilité de développer une toxicité est plus élevée chez les patients qui reçoivent des doses élevées. En cas d'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, la somme quotidienne d'alcool benzylique provenant de toutes les sources doit être prise en compte.
  • -Effet endocrine
  • -Les doses pharmacologiques de corticostéroïdes administrées sur une période prolongée peuvent induire une suppression hypothalamo-hypophysaire-surrénale (insuffisance corticosurrénale secondaire). L'importance et la durée d'une insuffisance corticosurrénale varie d'un patient à l'autre et dépend de la dose, de la fréquence, de l'heure du jour de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes. Cet effet peut être atténué par un traitement alterné.
  • -En cas de charges exceptionnelles (par ex. pathologies graves, opérations lourdes, traumatismes sévères, etc.) chez les patients sous traitement de durée prolongée par des corticostéroïdes, il faut augmenter la dose de corticostéroïdes d'action rapide juste avant, pendant et après la situation de stress.
  • +Effets endocriniens
  • +Les doses pharmacologiques de corticostéroïdes administrées sur une période prolongée peuvent induire une suppression hypothalamo-hypophysaire-surrénale (insuffisance corticosurrénale secondaire). L'importance et la durée d'une insuffisance corticosurrénale varient d'un patient à l'autre et dépendent de la dose, de la fréquence, de l'heure d'administration et de la durée du traitement par des glucocorticoïdes. Cet effet peut être atténué par un traitement alterné.
  • +En cas de charges exceptionnelles (par ex. pathologies graves, opérations majeures, traumatismes sévères, etc.) chez les patients sous traitement de durée prolongée par des corticostéroïdes, il faut augmenter la dose de corticostéroïdes d'action rapide juste avant, pendant et après la situation de stress.
  • -Une insuffisance corticosurrénale relative peut encore persister des mois après l'arrêt du traitement. Si une situation de charge particulière apparaît pendant cette période (par ex. pathologies graves, opérations lourdes), l'hormonothérapie doit être reprise. La sécrétion des minéralocorticoïdes pouvant être limitée, il faut administrer de manière concomitante une supplémentation en sel et/ou un minéralocorticoïde.
  • +Une insuffisance corticosurrénale relative peut encore persister des mois après l'arrêt du traitement. Si une situation de charge particulière apparaît pendant cette période (par ex. maladies graves, opérations majeures, etc.), l'hormonothérapie doit être reprise. La sécrétion des minéralocorticoïdes pouvant être limitée, il faut administrer de manière concomitante une supplémentation en sel et/ou un minéralocorticoïde.
  • -En cas d'apparition de symptômes potentiels de phéochromocytome tels que crise hypertensive, défaillance cardiaque, tachycardie, céphalées, douleurs abdominales et/ou thoraciques, chez un patient sous traitement par Solu-Medrol, il faut penser à la possibilité d'un phéochromocytome inconnu jusqu'alors.
  • +En cas d'apparition de symptômes potentiels de phéochromocytome tels que crise hypertensive, insuffisance cardiaque, tachycardie, céphalées, douleurs abdominales et/ou thoraciques, chez un patient sous traitement par Solu-Medrol/-SAB, il faut penser à la possibilité d'un phéochromocytome inconnu jusqu'alors.
  • -Les corticoïdes peuvent masquer les signes prémonitoires d'une infection. D'autre part, de nouvelles infections peuvent se déclarer sous cortico-thérapie. Enfin, les corticoïdes peuvent diminuer la résistance de l'organisme aux germes infectieux et rendre plus difficile la localisation d'une infection. En cas de maladies infectieuses graves, il convient d'assurer une protection antibiotique ou chimiothérapeutique adéquate.
  • -La varicelle et la rougeole apparaissant pendant un traitement systémique par des corticostéroïdes peuvent évoluer vers une forme grave et surtout chez l'enfant, à issue fatale. La varicelle requiert un traitement immédiat par ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, une prophylaxie par l'aciclovir ou une immunoprophylaxie passive par immunoglobuline varicelle-zona est indiquée.
  • -On n'administrera Solu-Medrol/- SAB à un patient tuberculeux que durant la phase fulgurante la plus active de la maladie ou en présence d'une tuberculose miliaire, et cela toujours en l'associant à un tuberculostatique approprié. Les patients présentant une tuberculose latente ou une réaction tuberculinique, et chez lesquels une corticothérapie est indiquée, doivent être étroitement surveillés vu le risque de réactivation de la maladie. Dans une corticothérapie à long terme, une chimioprophylaxie doit être prescrite à ces patients.
  • -La signification des corticostéroïdes dans le traitement du choc septique est contestée. L'utilisation de routine en cas de choc septique n'est pas recommandée.
  • -Les corticostéroïdes peuvent aggraver des mycoses systémiques et ne doivent par conséquent être donnés que dans les cas d'urgence, pour contrôler les réactions indésirables après traitement par l'amphotéricine B.
  • -Chez les patients présentant des infestations parasitaires connues ou suspectées, telles qu'une infestation par le strongyloïde (nématode), les corticoïdes doivent être utilisés avec une grande prudence. Chez ces patients, une immunosuppression induite par les corticostéroïdes peut provoquer une hyperinfection à strongyloïdes et une dissémination avec migration étendue des larves, laquelle s'accompagne souvent d'une entérocolite grave et d'une septicémie à germes Gram négatif potentiellement fatale.
  • +Les corticoïdes peuvent masquer les signes prémonitoires d'une infection ou activer des infections latentes. D'autre part, de nouvelles infections peuvent survenir sous corticothérapie. Enfin, les corticoïdes peuvent diminuer la résistance de l'organisme aux germes infectieux et rendre plus difficile la localisation d'une infection. En cas de maladies infectieuses graves, il convient d'assurer une protection antibiotique ou chimiothérapeutique adéquate.
  • +La varicelle et la rougeole survenant pendant un traitement systémique par des corticostéroïdes peuvent évoluer vers une forme grave et, surtout chez les enfants, vers une issue fatale. La varicelle requiert un traitement immédiat par ex. par aciclovir i. v. Chez les patients à risque, une prophylaxie par l'aciclovir ou une immunoprophylaxie passive par immunoglobuline varicelle-zona est indiquée.
  • +On n'administrera Solu-Medrol/-SAB à un patient tuberculeux que durant la phase fulgurante la plus active de la maladie ou en présence d'une tuberculose miliaire, et cela toujours en l'associant à un tuberculostatique approprié. Les patients présentant une tuberculose latente ou une réaction tuberculinique, et chez lesquels une corticothérapie est indiquée, doivent être étroitement surveillés vu le risque de réactivation de la maladie. Dans une corticothérapie à long terme, une chimioprophylaxie doit être prescrite à ces patients.
  • +Le rôle des corticostéroïdes dans le traitement du choc septique est contesté. L'utilisation de routine en cas de choc septique n'est pas recommandée.
  • +Les corticostéroïdes peuvent aggraver des mycoses systémiques et ne doivent par conséquent être donnés que dans les cas d'urgence, pour contrôler les réactions indésirables après un traitement par l'amphotéricine B.
  • +Chez les patients présentant des infestations parasitaires connues ou suspectées, telles qu'une infestation par le strongyloïde (nématode), les corticoïdes doivent être utilisés avec une grande prudence. Chez ces patients, une immunosuppression induite par les corticostéroïdes peut provoquer une hyperinfection à strongyloïdes et une dissémination avec migration étendue des larves, laquelle s'accompagne souvent d'une entérocolite grave et d'un sepsis à germes Gram négatif potentiellement fatal.
  • -La vaccination par des vaccins inactivés ou des particules virales est possible, mais peut être suivie d'échec vaccinal en cas de traitement concomitant par des doses immunosuppressives de corticostéroïdes. Les personnes non traitées par des doses immunosuppressives de corticostéroïdes peuvent recevoir les vaccins nécessaires.
  • +La vaccination par des vaccins inactivés ou des particules virales est possible, mais peut aboutir à un échec vaccinal en cas de traitement concomitant par des doses immunosuppressives de corticostéroïdes. Les personnes non traitées par des doses immunosuppressives de corticostéroïdes peuvent recevoir les vaccins nécessaires.
  • -On a signalé des troubles du rythme cardiaque et/ou un collapsus cardio-vasculaire, voire un arrêt du cÅ“ur consécutif à l'injection intraveineuse rapide de doses très fortes de Solu-Medrol/- SAB (plus de 0.5 g en moins de 10 minutes). Des bradycardies se présentant pendant ou après l'application i.v. de fortes doses de succinate sodique de méthylprednisolone, indépendamment de la vitesse ou de la durée de celle-ci, ont été observées.
  • -Les corticostéroïdes doivent être administrés avec prudence à des patients présentant une insuffisance cardiaque et uniquement en cas de nécessité absolue.
  • -Chez les patients présentant des facteurs de risque cardio-vasculaires préexistants qui reçoivent des doses élevées sur une période prolongée, des effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent encore augmenter le risque d'événements cardio-vasculaires. Pour cette raison, les corticostéroïdes doivent être introduits uniquement avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients présentant un infarctus myocardique récent. Si nécessaire, il faut prêter une attention particulière à une modification du risque et/ou procéder à une surveillance cardiaque supplémentaire. Une faible posologie et/ou un traitement alternatif peuvent diminuer le risque de telles complications.
  • +On a signalé des arythmies cardiaques et/ou un collapsus circulatoire, voire un arrêt cardiaque consécutif à l'injection intraveineuse rapide de doses très fortes de Solu-Medrol/-SAB (plus de 0.5 g en moins de 10 minutes). Des bradycardies ont été observées pendant ou après l'administration i. v. de fortes doses de succinate sodique de méthylprednisolone, indépendamment de la vitesse ou de la durée de celle-ci.
  • +Les corticostéroïdes systémiques doivent être administrés avec prudence chez les patients présentant une insuffisance cardiaque et uniquement en cas de nécessité absolue.
  • +Chez les patients présentant des facteurs de risque cardio-vasculaires préexistants qui reçoivent des doses élevées sur une période prolongée, des effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent potentialiser le risque d'événements cardio-vasculaires. Pour cette raison, les corticostéroïdes doivent être utilisés uniquement avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients ayant récemment présenté un infarctus myocardique. Le cas échéant, il convient de viser une modification du risque et/ou de procéder à une surveillance cardiaque supplémentaire. Une faible posologie et/ou un traitement alternatif peuvent diminuer le risque de telles complications.
  • -Une corticothérapie peut engendrer des troubles psychiques potentiellement graves sous forme d'euphorie, d'insomnie, d'altérations de l'humeur et de la personnalité, d'états dépressifs graves, voire même d'une psychose manifeste. On a également observé sous corticoïde une aggravation de l'instabilité émotionnelle ou de la tendance psychotique préexistantes.
  • -Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les jours ou les semaines qui suivent le début du traitement.
  • -La plupart des réactions disparaissent lors de la réduction de la dose ou l'arrêt, toutefois, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiatriques ont aussi été rapportés après l'arrêt des corticostéroïdes.
  • -Les patients et leurs proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiatriques sous traitement de même que, pendant ou après l'arrêt/la diminution progressive, en particulier lorsqu'une humeur dépressive ou des intentions suicidaires sont suspectées.
  • +Une corticothérapie peut engendrer des troubles psychiques potentiellement graves sous forme d'euphorie, d'insomnie, de sautes d'humeur et de modifications de la personnalité, de dépressions sévères, voire de psychose manifeste. On a également observé sous corticoïdes une aggravation de l'instabilité émotionnelle ou des tendances psychotiques préexistantes.
  • +Les symptômes apparaissent le plus souvent dans les jours ou les semaines qui suivent le début du traitement.
  • +La plupart des réactions disparaissent lors de la réduction de la dose ou l'arrêt; toutefois, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiatriques ont aussi été rapportés après l'arrêt des corticostéroïdes.
  • +Les patients et leurs proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiatriques sous traitement de même que, pendant ou après l'arrêt/la diminution progressive, en particulier lorsqu'une humeur dépressive ou des intentions suicidaires sont soupçonnées.
  • -Les corticostéroïdes doivent être administrés uniquement avec prudence chez les patients présentant des crises convulsives.
  • -Lors d'une lésion aiguë de la moelle épinière, il faut tenir compte du fait que l'administration tardive de Solu-Medrol/- SAB (plus de 8 heures après l'accident) n'améliore pas le pronostic ultérieur et risque même, dans certains cas, de l'aggraver.
  • -Dans des études cliniques contrôlées, les corticostéroïdes à hautes doses ont entraîné un raccourcissement de la durée des poussées aigües de sclérose en plaques. Cependant, ils n'ont influencé ni l'évolution de la maladie ni son pronostic.
  • -Des cas de lipomatose épidurale ont été rapportés dans un contexte d'utilisation des corticostéroïdes, principalement en cas d'utilisation prolongée à des doses élevées.
  • -Effets hépato-bilaires
  • -Lorsque la méthylprednisolone était utilisée à des doses élevées (normalement à partir d'1 g par jour), des lésions hépatiques, par ex. une hépatite aiguë, ont été signalées, dont certaines étaient d'issue fatale. Pour la plupart, ces cas concernaient des patientes atteintes de sclérose en plaques. Le délai écoulé jusqu'à la manifestation d'une hépatite aiguë peut être de quelques semaines ou plus. Ces modifications étaient généralement réversibles après l'arrêt du traitement.
  • -Effets musculosquelettiques
  • -Lors du traitement d'une myasthénie grave par un inhibiteur de la cholinestérase, les glucocorticoïdes peuvent diminuer l'action de l'inhibiteur et accroître le risque d'une crise de myasthénie. Un traitement par des inhibiteurs de la cholinestérase devrait par conséquent être arrêté 24 heures avant l'administration d'un corticostéroïde (voir «Interactions»).
  • -Par principe, les corticostéroïdes ne devraient être introduits qu'avec prudence chez les patients présentant une myasthénie grave.
  • +Les corticostéroïdes doivent être administrés uniquement avec prudence chez les patients présentant des troubles convulsifs.
  • +Lors d'une lésion aiguë de la moelle épinière, il faut tenir compte du fait que l'administration tardive de Solu-Medrol/-SAB (plus de 8 heures après la survenue du traumatisme) n'améliore pas le pronostic ultérieur et risque même, dans certains cas, de l'aggraver.
  • +Dans des études cliniques contrôlées, les corticostéroïdes à hautes doses ont entraîné une diminution de la durée des poussées aiguës de sclérose en plaques. Cependant, ils n'ont influencé ni l'évolution de la maladie ni son pronostic.
  • +Des cas de lipomatose épidurale ont été rapportés dans un contexte d'utilisation de corticostéroïdes, principalement en cas d'utilisation prolongée à des doses élevées.
  • +Effets hépatobiliaires
  • +Lorsque la méthylprednisolone était utilisée à des doses élevées (généralement à partir d'1 g par jour), des lésions hépatiques, par ex. une hépatite aiguë, ont été signalées, parfois avec une issue fatale. Pour la plupart, ces cas concernaient des patientes atteintes de sclérose en plaques. Le délai écoulé jusqu'à la manifestation d'une hépatite aiguë peut être de quelques semaines ou plus. Ces modifications étaient généralement réversibles après l'arrêt du traitement.
  • +Effets musculo-squelettiques
  • +Lors du traitement d'une myasthénie grave par un inhibiteur de la cholinestérase, les glucocorticoïdes peuvent diminuer l'action de l'inhibiteur et accroître le risque d'une crise de myasthénie. Un traitement par des inhibiteurs de la cholinestérase doit par conséquent être arrêté 24 heures avant l'administration d'un corticostéroïde (voir «Interactions»).
  • +Par principe, les corticostéroïdes ne doivent être instaurés qu'avec prudence chez les patients présentant une myasthénie grave.
  • -L'utilisation prolongée de corticostéroïdes peuvent entraîner une ostéoporose, en particulier chez les patients en gériatrie ou les femmes post-ménopausées.
  • +L'utilisation prolongée de corticostéroïdes peut entraîner une ostéoporose, en particulier chez les patients en gériatrie ou les femmes ménopausées.
  • -Chez les patients porteurs d'une infection herpétique de l'Å“il, les corticostéroïdes doivent être employés avec la plus grande prudence et seulement si la surface cornéenne est intacte, vu le risque de perforation de la cornée.
  • -Les effets indésirables potentiels observés lors de l'administration prolongée de corticoïdes sont l'exophtalmie, la cataracte (aussi chez l'enfant) et l'élévation de la pression intraoculaire. Finalement, elle peut provoquer un glaucome manifeste avec atteinte du nerf optique. Pour cette raison, un examen périodique chez l'ophtalmologue doit être envisagé.
  • +Chez les patients présentant une infection herpétique de l'Å“il, les corticostéroïdes doivent être employés avec la plus grande prudence et seulement si la surface cornéenne est intacte, vu le risque de perforation de la cornée.
  • +Les effets indésirables potentiels observés lors de l'administration prolongée de corticoïdes sont l'exophtalmie, la cataracte (aussi chez les enfants) et pression intraoculaire augmentée. Cette dernière peut provoquer un glaucome manifeste avec atteinte du nerf optique. Pour cette raison, un examen périodique chez l'ophtalmologue doit être envisagé.
  • -Un traitement par corticostéroïdes a également été associé à l'apparition d'une choriorétinite séreuse centrale, pouvant induire un décollement de rétine.
  • +Un traitement par des corticostéroïdes a également été associé à l'apparition d'une choriorétinite séreuse centrale, pouvant induire un décollement de rétine.
  • -Chez les patients atteints de sclérodermie systémique, une incidence plus élevée de crise rénale aiguë a été observée lors de l'utilisation de corticostéroïdes. Il s'agit d'une complication potentiellement mortelle qui s'accompagne notamment d'une hypertension maligne et d'une protéinurie. Les corticostéroïdes ne peuvent donc être utilisés qu'avec prudence chez les patients souffrant de sclérodermie.
  • +Chez les patients atteints de sclérodermie systémique, une incidence accrue de la crise rénale aiguë a été observée lors de l'utilisation de corticostéroïdes. Il s'agit d'une complication potentiellement mortelle qui s'accompagne notamment d'une hypertension maligne et d'une protéinurie. Les corticostéroïdes ne doivent donc être utilisés qu'avec prudence chez les patients souffrant de sclérodermie.
  • -Les corticostéroïdes ne doivent pas être utilisés dans le traitement des atteintes traumatiques du cerveau. Les résultats d'une étude multicentrique ont montré que, chez des patients ayant reçu de la méthylprednisolone, par rapport à ceux ayant reçu un placebo, la mortalité était significativement supérieure aussi bien 2 semaines (risque relatif 1.18; intervalle de confiance 95% 1.09-1.27) que 6 mois après la lésion (26% contre 22%). Aucun rapport de causalité avec la méthylprednisolone n'a été observé.
  • -En cas d'Å“dème cérébral et d'asthme bronchique, Solu-Medrol/- SAB ne peut remplacer un traitement conventionnel mais constitue un traitement d'appoint.
  • -Autres affections dans lesquelles les corticoïdes ne doivent être utilisés qu'avec une prudence particulière:
  • +Les corticostéroïdes ne doivent pas être utilisés dans le traitement des atteintes traumatiques du cerveau. Les résultats d'une étude multicentrique ont montré que, chez des patients ayant reçu de la méthylprednisolone, en comparaison de ceux ayant reçu un placebo, la mortalité était significativement supérieure aussi bien 2 semaines (risque relatif 1.18; intervalle de confiance à 95% 1.09-1.27) que 6 mois après la survenue du traumatisme (26% contre 22%). Aucun rapport de causalité avec la méthylprednisolone n'a été établi.
  • +En cas d'Å“dème cérébral aigu et d'asthme bronchique aigu, Solu-Medrol/-SAB ne peut remplacer un traitement conventionnel, mais constitue un traitement d'appoint.
  • +Autres affections dans lesquelles les corticoïdes ne doivent être utilisés qu'avec une prudence particulière
  • -·Pancréatite: des dosages élevés de corticostéroïdes peuvent provoquer une pancréatite aigüe.
  • +·Pancréatite: des dosages élevés de corticostéroïdes peuvent provoquer une pancréatite aiguë.
  • -· Équilibre hydro-électrolytique: les corticostéroïdes peuvent provoquer une rétention hydrosodée ainsi qu'à une augmentation de l'excrétion potassique, en particulier à doses moyennes et élevées. Une restriction sodée et une substitution en potassium peuvent éventuellement être nécessaires.
  • -·Reins: Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale, les corticostéroïdes doivent être utilisés avec prudence.
  • -·Traitement concomitant par des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'acide acétylsalicylique et les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens doivent être administrés uniquement avec prudence avec les corticoïdes en cas d'hypothrombinémie, la prudence est particulièrement recommandée lors de la prise simultanée d'acide acétylsalicylique.
  • +·Équilibre hydro-électrolytique: les corticostéroïdes peuvent provoquer une rétention hydrosodée ainsi qu'une augmentation de l'excrétion potassique, en particulier à doses moyennes et élevées. Une restriction sodée et une substitution en potassium peuvent éventuellement être nécessaires.
  • +·Traitement concomitant par des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'acide acétylsalicylique et les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens doivent être administrés uniquement avec prudence avec les corticoïdes. La prudence est particulièrement de rigueur en cas d'hypothrombinémie, lors de la prise simultanée d'acide acétylsalicylique.
  • +·Reins: chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale, les corticostéroïdes doivent être utilisés avec prudence.
  • +
  • -L'administration concomitante de Solu-Medrol et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 devrait être évitée (voir «Interactions»).
  • +L'administration concomitante de Solu-Medrol/-SAB et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée (voir «Interactions»).
  • -Solu-Medrol renferme de l'alcool benzylique comme agent conservateur, aussi devrait-on s'abstenir d'administrer le médicament aux nouveau-nés. Solu-Medrol ne doit pas être administré aux prématurés (voir «Contre-indications»).
  • -Chez les enfants et les adolescents traités par des glucocorticoïdes administrés en plusieurs doses quotidiennes sur une durée prolongée, la croissance et le développement peuvent être inhibés. Un tel traitement est donc subordonné à une indication extrêmement stricte. Le risque de développer ces effets indésirables peut être diminué par un traitement alterné de glucocorticoïdes. Sous corticothérapie prolongée il existe un risque particulier d'hypertension intracrânienne chez les enfants.
  • +Solu-Medrol contient de l'alcool benzylique comme agent conservateur, aussi doit-on s'abstenir d'administrer le médicament aux nouveau-nés. Solu-Medrol ne doit pas être administré aux prématurés (voir «Contre-indications»).
  • +Chez les enfants et les adolescents traités par des glucocorticoïdes administrés en plusieurs doses quotidiennes sur une durée prolongée, la croissance et le développement peuvent être inhibés. Un tel traitement est donc subordonné à une indication extrêmement stricte. Le risque de développer ces effets indésirables peut être diminué par un traitement alterné de glucocorticoïdes.
  • +Sous corticothérapie prolongée, il existe un risque d'hypertension intracrânienne chez les enfants.
  • -Influence des autres médicaments sur la pharmacocinétique de la méthylprednisolone
  • -La méthylprednisolone est principalement métabolisée par l'enzyme CYP450 CYP3A4. Les interactions avec cet enzyme peuvent donc influencer l'efficacité et/ou les effets indésirables de la méthylprednisolone.
  • -Inhibiteurs enzymatiques:
  • -Les corticostéroïdes sont métabolisés par le CYP3A4. L’administration concomitante d’inhibiteurs modérés à forts du CYP3A4 (par ex. inhibiteurs de la protéase (comme le ritonavir), antifongiques azolés (comme le kétoconazole, l’itraconazole), macrolides, (comme la clarithromycine), produits contenant du cobicistat, diltiazem, isoniazide, vérapamil) peut provoquer une exposition accrue aux corticostéroïdes et ainsi augmenter le risque d’effets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice d’une administration concomitante doit être rigoureusement évalué par rapport au risque potentiel d’effets des corticostéroïdes systémiques et, le cas échéant, les effets secondaires des corticostéroïdes systémiques doivent être surveillés chez les patients. Une réduction de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire afin d’éviter une toxicité des stéroïdes. Le jus de pamplemousse est aussi un inhibiteur du CYP3A4.
  • -Inducteurs enzymatiques:
  • -En cas d'administration concomitante d'inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine ainsi que préparations contenant du millepertuis [Hypericum perforatum]), la métabolisation de la méthylprednisolone est accélérée, et l'efficacité peut donc en être réduite. Pour cette raison, une augmentation de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire.
  • -De même, lors de l'administration concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (par ex. benzodiazépines, cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant, diltiazem), la clearance hépatique de la méthylprednisolone peut être influencée, et une adaptation posologique nécessaire.
  • -Les hormones sexuelles (par ex. éthinylestradiol, noréthistérone) peuvent également influencer la clearance des glucocorticoïdes. Les Å“strogènes en particulier peuvent renforcer l'efficacité des corticostéroïdes. Aux doses thérapeutiques de ces hormones (par ex. dans les contraceptifs hormonaux), une inhibition cliniquement significative des enzymes du CYP par les hormones sexuelles est toutefois improbable.
  • -En cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine, le métabolisme est inhibé de part et d'autre. Pour cette raison, les effets indésirables des deux substances peuvent être renforcés. Un nombre accru de convulsions a surtout été observé en cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine.
  • -Effet de la méthylprednisolone sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • -Les glucocorticoïdes peuvent aussi bien induire qu'inhiber le CYP3A4 et donc augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques des autres substrats du CYP3A4 tels qu'aprépitant, fosaprépitant, éthinylestradiol, noréthistérone par ex.
  • -Les glucocorticoïdes peuvent induire le métabolisme des inhibiteurs de la protéase VIH et donc provoquer une réduction de leur taux plasmatique.
  • +Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique de la méthylprednisolone
  • +La méthylprednisolone est principalement métabolisée par l'enzyme CYP3A4 du cytochrome CYP450. Les interactions avec cette enzyme peuvent donc influencer l'efficacité et/ou les effets indésirables de la méthylprednisolone.
  • +Inhibiteurs enzymatiques: les corticostéroïdes sont métabolisés par le CYP3A4. L'administration concomitante d'inhibiteurs modérés à forts du CYP3A4 (par ex. inhibiteurs de la protéase (comme le ritonavir), antifongiques azolés (comme le kétoconazole, l'itraconazole), macrolides (comme la clarithromycine), produits contenant du cobicistat, diltiazem, isoniazide, vérapamil) peut provoquer une exposition accrue aux corticostéroïdes et ainsi augmenter le risque d'effets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice d'une administration concomitante doit être rigoureusement évalué par rapport au risque potentiel d'effets des corticostéroïdes systémiques et, le cas échéant, les effets secondaires des corticostéroïdes systémiques doivent être surveillés chez les patients. Une réduction de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire afin d'éviter une toxicité des stéroïdes. Le jus de pamplemousse est aussi un inhibiteur du CYP3A4.
  • +Inducteurs enzymatiques: en cas d'administration concomitante d'inducteurs du CYP3A4 (par ex. barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine ainsi que préparations contenant du millepertuis [Hypericum perforatum]), la métabolisation de la méthylprednisolone est accélérée, et l'efficacité peut donc en être réduite. Pour cette raison, une augmentation de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire.
  • +De même, lors de l'administration concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (par ex. benzodiazépines, cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant, diltiazem), la clairance hépatique de la méthylprednisolone peut être influencée, et une adaptation posologique nécessaire.
  • +Les hormones sexuelles (par ex. éthinylestradiol, noréthistérone) peuvent également influencer la clairance des glucocorticoïdes. Les Å“strogènes en particulier peuvent renforcer l'effet des corticostéroïdes. Aux doses thérapeutiques de ces hormones (par ex. dans les contraceptifs hormonaux), une inhibition cliniquement significative des enzymes du CYP par les hormones sexuelles est toutefois improbable.
  • +En cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine, le métabolisme est inhibé de part et d'autre. Pour cette raison, les effets indésirables des deux substances peuvent être renforcés. En particulier, un nombre accru de convulsions a été observé en cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine.
  • +Influence de la méthylprednisolone sur la pharmacocinétique d'autres substances
  • +Les glucocorticoïdes peuvent aussi bien induire qu'inhiber le CYP3A4 et donc augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques des autres substrats du CYP3A4 tels que l'aprépitant, le fosaprépitant, l'éthinylestradiol et la noréthistérone.
  • +Les glucocorticoïdes peuvent induire le métabolisme des inhibiteurs de la protéase du VIH et ainsi provoquer une réduction de leur taux plasmatique.
  • -AINS: en cas de prise concomitante de corticostéroïdes et d'AINS, l'incidence d'ulcères et d'hémorragies dans le tractus gastro-intestinal peut être augmentée.
  • -Immunosuppresseurs: la méthylprednisolone agit de manière synergique avec les autres immunosuppresseurs tels que le méthotrexate par ex. Pour cette raison, en cas de prise concomitante avec de tels immunosuppresseurs, une dose inférieure de corticostéroïdes suffit.
  • -Anticholinergiques: L'atropine et d'autres anticholinergiques peuvent augmenter une pression oculaire déjà élevée par l'action de la méthylprednisolone.
  • +AINS: en cas d'administration concomitante de corticostéroïdes et d'AINS, l'incidence d'ulcères et d'hémorragies dans le tractus gastro-intestinal peut être augmentée.
  • +Immunosuppresseurs: la méthylprednisolone agit de manière synergique avec les autres immunosuppresseurs tels que le méthotrexate. Pour cette raison, en cas d'administration concomitante avec de tels immunosuppresseurs, une dose inférieure de corticostéroïdes peut suffire.
  • +Anticholinergiques: l'atropine et d'autres anticholinergiques peuvent amplifier une pression intraoculaire déjà augmentée par l'action de la méthylprednisolone.
  • -Bloquants neuromusculaires: les corticostéroïdes peuvent influencer l'efficacité des bloquants neuromusculaires non dépolarisants tels que le vécuronium par ex. Un antagonisme du bloc neuromusculaire et, lors de l'utilisation concomitante à des doses élevées, des myopathies aiguës ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Inhibiteurs de la choline estérase: Les corticostéroïdes peuvent réduire l'efficacité des inhibiteurs de la choline estérase en cas de myasthénie grave. L'utilisation simultanée de méthylprednisolone et d'inhibiteurs de la choline estérase tels que la néostigmine ou la pyridostigmine peut déclencher une crise de myasthénie.
  • -Anticoagulants: L'effet de l'héparine ou des anticoagulants oraux peut être accentué ou, au contraire, atténué. Pour cette raison, il convient de contrôler la coagulation sanguine et d'ajuster la dose des anticoagulants le cas échéant.
  • -Glucosides cardiaques: La toxicité des glucosides digitaliques est potentialisée par la prise concomitante de corticostéroïdes.
  • -Antidiabétiques: Lors d'administration concomitante d'insuline ou d'antidiabétiques oraux, la glycémie doit être surveillée en raison de l'effet diabétogène des glucocorticoïdes. Il peut être nécessaire d'ajuster la posologie antidiabétique le cas échéant.
  • -Antihypertenseurs: L'effet antihypertenseur est en partie affaibli par l'effet minéralocorticoïde des corticoïdes, ce qui risque d'entraîner des hausses de la tension artérielle.
  • +Bloquants neuromusculaires: les corticostéroïdes peuvent influencer l'efficacité des bloquants neuromusculaires non dépolarisants tels que le vécuronium. Un antagonisme du bloc neuromusculaire et, lors de l'utilisation concomitante à des doses élevées, des myopathies aiguës ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Inhibiteurs de la choline estérase: les corticostéroïdes peuvent réduire l'efficacité des inhibiteurs de la choline estérase en cas de myasthénie grave. Une crise de myasthénie peut survenir lors de l'utilisation simultanée de méthylprednisolone et d'inhibiteurs de la choline estérase tels que la néostigmine ou la pyridostigmine.
  • +Anticoagulants: l'effet de l'héparine ou des anticoagulants oraux peut être accentué ou, au contraire, atténué. Pour cette raison, il convient de contrôler la coagulation sanguine et d'ajuster la dose des anticoagulants le cas échéant.
  • +Glucosides cardiaques: la toxicité des glucosides digitaliques est potentialisée par l'administration concomitante de corticostéroïdes.
  • +Antidiabétiques: lors de l'administration concomitante d'insuline ou d'antidiabétiques oraux, la glycémie doit être surveillée en raison de l'effet diabétogène des glucocorticoïdes. Il peut être nécessaire d'ajuster la posologie antidiabétique le cas échéant.
  • +Antihypertenseurs: l'effet antihypertenseur est en partie affaibli par l'effet minéralocorticoïde des corticoïdes, ce qui risque d'entraîner des hausses de la tension artérielle.
  • -Médicaments à usage psychiatrique: L'efficacité des anxiolytiques et antipsychotiques peut être affaiblie. La posologie de ces substances doit être ajustée au besoin.
  • -Cytostatiques: L'efficacité de la cyclophosphamide peut être affaiblie.
  • -Vaccins: L'action immunosuppressive des corticostéroïdes peut augmenter la toxicité des vaccins à germes vivants tels que ceux contre la poliomyélite, la tuberculose (BCG) et les oreillons, la rougeole et la rubéole. Des infections virales disséminées peuvent apparaître.
  • -Lorsqu'il s'agit de vaccins à virus inactivés, la réponse à la vaccination peut être affaiblie.
  • -Il est recommandé de consulter également l'information destinée aux professionnels du médicament administré de manière concomitante.
  • +Médicaments à usage psychiatrique: l'efficacité des anxiolytiques et antipsychotiques peut être affaiblie. La posologie de ces substances doit être ajustée au besoin.
  • +Cytostatiques: l'efficacité de la cyclophosphamide peut être affaiblie.
  • +Vaccins: l'action immunosuppressive des corticostéroïdes peut augmenter la toxicité des vaccins à germes vivants tels que ceux contre la poliomyélite, la tuberculose (BCG) et les oreillons, la rougeole et la rubéole. Des infections virales disséminées peuvent apparaître. Lorsqu'il s'agit de vaccins à virus inactivés, la réponse à la vaccination peut être affaiblie.
  • +Il est recommandé de consulter également l'information professionnelle du médicament administré de manière concomitante.
  • -Fertilité
  • -Des études menées chez l'animal ont permis de montrer que les corticostéroïdes affectaient la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Les études chez l'animal ont mis en évidence des effets indésirables pour le fÅ“tus (voir «Données précliniques»). On ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte et à ce jour, aucun effet exercé par les corticostéroïdes sur le déroulement de l'accouchement n'est connu. Des études rétrospectives de suivi de 17 femmes, ayant reçu des doses variées de différents glucocorticoïdes au cours de 34 grossesses n'ont donné aucun indice en faveur d'effets tératogènes du médicament. Comme tous les glucocorticoïdes, la méthylprednisolone franchit la barrière placentaire. L'alcool benzylique franchit également la barrière placentaire (voir «Mises en garde et précautions» pour les effets indésirables potentiels de cet adjuvant).
  • -Une étude rétrospective a démontré une incidence accrue de faible poids de naissance chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu des corticostéroïdes. Chez l'homme, le risque d'insuffisance pondérale à la naissance semble dépendre de la dose et peut être réduit par l'administration de plus faibles doses de corticostéroïdes. Une cataracte a été par ailleurs observée chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu un traitement prolongé par des corticostéroïdes. Solu-Medrol/- SAB ne doit donc être administré pendant la grossesse qu'en cas de nécessité manifeste.
  • -Les nouveau-nés dont les mères ont reçu des doses de stéroïdes assez importantes pendant la grossesse, devraient être soigneusement surveillés par rapport aux signes éventuels d'une insuffisance corticosurrénale.
  • +Les études chez l'animal ont mis en évidence des effets indésirables pour le fÅ“tus (voir «Données précliniques»). On ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte et à ce jour, aucun effet exercé par les corticostéroïdes sur le déroulement de l'accouchement n'est connu. Des études rétrospectives de suivi de 17 femmes, ayant reçu des doses variées de différents glucocorticoïdes au cours de 34 grossesses n'ont donné aucun indice en faveur d'effets tératogènes du médicament. Comme tous les glucocorticoïdes, la méthylprednisolone franchit la barrière placentaire. L'alcool benzylique peut également franchir la barrière placentaire (voir «Mises en garde et précautions» pour les effets indésirables potentiels de cet adjuvant).
  • +Une étude rétrospective a démontré une incidence accrue du faible poids de naissance chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu des corticostéroïdes. Chez l'homme, le risque d'insuffisance pondérale à la naissance semble dépendre de la dose et peut être réduit par l'administration de plus faibles doses de corticostéroïdes. Une cataracte a été par ailleurs observée chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu un traitement prolongé par des corticostéroïdes.
  • +Solu-Medrol/-SAB ne doit donc être administré pendant la grossesse qu'en cas de nécessité absolue. Les nouveau-nés dont les mères ont reçu des doses de stéroïdes assez importantes pendant la grossesse doivent être soigneusement surveillés afin de détecter tout signe éventuel d'insuffisance corticosurrénale.
  • -Puisque la méthylprednisolone diffuse dans le lait maternel avec le risque d'une atteinte, entre autres, à la fonction corticosurrénale et la croissance du nourrisson, il ne faut pas allaiter en cas d'utilisation de Solu-Medrol.
  • +Puisque la méthylprednisolone passe dans le lait maternel avec le risque d'un effet nocif, entre autres, sur la fonction corticosurrénale et la croissance du nourrisson, il ne faut pas allaiter en cas d'utilisation de Solu-Medrol.
  • +Fertilité
  • +Des études menées chez l'animal ont permis de montrer que les corticostéroïdes affectaient la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +
  • -L'effet des corticostéroïdes sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation des machines n'a pas été étudié. Des effets indésirables tels que vertige, sensation vertigineuse, troubles visuels et fatigue peuvent apparaitre après un traitement par des corticostéroïdes. Les patients concernés ne doivent pas conduire ou utiliser des machines.
  • +L'effet des corticostéroïdes sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines n'a pas été étudié. Des effets indésirables tels que vertige, sensation vertigineuse, troubles visuels et fatigue peuvent apparaître après un traitement par des corticostéroïdes. Les patients concernés ne doivent pas conduire ni utiliser des machines.
  • -Les effets indésirables des corticostéroïdes à utilisation systémique comme la méthylprednisolone sont fonction de la dose et de la durée du traitement, ainsi que du sexe et de l'affection de fond de chaque patient.
  • -Les effets indésirables suivants sont listés selon leur classe d'organes et leur fréquence; ils s'appliquent typiquement aux corticostéroïdes à utilisation systémique et, par conséquent, peuvent aussi apparaître sous traitement par Solu-Medrol. La fréquence est définie comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), occasionnel (≥1/1'000 à <1/100), rare (≥1/10'000 à <1/1'000), très rare (<1/10'000), inconnus (la fréquence ne peut pas être estimée de manière fiable sur la base des données disponibles).
  • -Infections et infestations:
  • -Fréquent: infection.
  • -Inconnus: infection opportuniste.
  • -Néoplasmes:
  • -Inconnus: des cas de sarcome de Kaposi ont été rapportés chez des patients qui avaient reçu une corticothérapie. L'arrêt du traitement par corticostéroïdes peut être suivi d'une rémission clinique.
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • -Inconnus: leucocytose.
  • -Affections du système immunitaire:
  • -Inconnus: réactions d'hypersensibilité, y compris réactions d'anaphylaxie ou réactions anaphylctoïdes (y compris angiÅ“dème, atténuation des réactions aux tests cutanés.
  • -Affections endocriniennes:
  • -Fréquent: syndrome de Cushing.
  • -Inconnus: hypopituitarisme, syndrome de sevrage des stéroïdes, déclenchement d'une crise de phéochromocytome chez des patients présentant un phéochromocytome préexistant (également latent).
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • -Fréquent: rétention hydrosodée, hypokaliémie.
  • -Inconnus: augmentation de l'appétit (pouvant provoquer une prise de poids), diminution de la tolérance au glucose, dyslipidémie, bilan azoté négatif consécutif au catabolisme protéique, acidose métabolique, alcalose hypokaliémique, élimination phosphocalcique accrue, lipomatose.
  • -Affections psychiatriques:
  • -Fréquent: troubles affectifs tels qu'humeur dépressive ou euphorique.
  • -Inconnus: changements d'humeur, labilité affective, irritabilité, anxiété, troubles mentaux, comportement anormal, états confusionnels, modification de la personnalité, dépendance psychique, troubles psychotiques (tels que manie, obsession, hallucinations, schizophrénie ou aggravation de celle-ci), idées suicidaires.
  • +Les effets indésirables des corticostéroïdes à utilisation systémique comme la méthylprednisolone dépendent de la dose et de la durée du traitement, ainsi que de l'âge, du sexe et de l'affection de fond de chaque patient.
  • +Les effets indésirables suivants sont listés selon leur classe d'organes et leur fréquence; ils s'appliquent typiquement aux corticostéroïdes à utilisation systémique et, par conséquent, peuvent aussi apparaître sous traitement par Solu-Medrol. La fréquence est définie comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000), Fréquence inconnue (la fréquence ne peut pas être estimée de manière fiable sur la base des données disponibles).
  • +Infections et infestations
  • +Fréquents: infections.
  • +Fréquence inconnue: infection opportuniste.
  • +Néoplasmes
  • +Fréquence inconnue: des cas de sarcome de Kaposi ont été rapportés chez des patients qui avaient reçu une corticothérapie. L'arrêt du traitement par des corticostéroïdes peut être suivi d'une rémission clinique.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquence inconnue: leucocytose.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquence inconnue: réactions d'hypersensibilité, y compris réactions anaphylactoïdes ou réactions anaphylactiques, y compris angio-Å“dème, atténuation des réactions aux tests cutanés.
  • +Affections endocriniennes
  • +Fréquents: syndrome de Cushing.
  • +Fréquence inconnue: hypopituitarisme, syndrome de sevrage des stéroïdes, déclenchement d'une crise de phéochromocytome chez des patients présentant un phéochromocytome préexistant (également latent).
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquents: rétention hydrosodée, hypokaliémie.
  • +Fréquence inconnue: appétit augmenté (pouvant provoquer un gain pondéral), tolérance au glucose diminuée, dyslipidémie, bilan azoté négatif consécutif au catabolisme protéique, acidose métabolique, alcalose hypokaliémique, élimination phosphocalcique accrue, lipomatose.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquents: troubles affectifs tels qu'humeur dépressive ou euphorique.
  • +Fréquence inconnue: sautes d'humeur, labilité affective, irritabilité, anxiété, troubles mentaux, comportement anormal, états confusionnels, modifications de la personnalité, dépendance psychique, troubles psychotiques (tels que manie, idées délirantes, hallucinations, schizophrénie ou aggravation de celle-ci), idées suicidaires.
  • -Inconnus: céphalées, vertige, insomnie, amnésie, troubles cognitifs, élévation de la pression intracrânienne (avec Å“dème papillaire [hypertension intracrânienne bénigne]), convulsion, lipomatose épidurale.
  • -Affections oculaires:
  • -Fréquent: cataracte.
  • -Inconnus: hausse de la pression intraoculaire, glaucome, exophtalmie, choriorétinopathie.
  • -Affections de l'oreille et du labyrinthe:
  • -Inconnus: vertige.
  • -Affections cardiaques:
  • -Inconnus: insuffisance cardiaque chez les patients prédisposés, arrêt cardiaque, arythmies.
  • -On a signalé des troubles du rythme cardiaque et/ou un collapsus cardio-vasculaire, voire un arrêt du cÅ“ur consécutif à l'injection intraveineuse rapide de doses très fortes de Solu-Medrol/- SAB (plus de 0.5 g en moins de 10 minutes). Une bradycardie se présentant pendant ou après l'application i.v. de fortes doses de succinate sodique de méthylprednisolone, indépendamment de la vitesse ou de la durée de celle-ci, a été observée.
  • +Fréquence inconnue: céphalées, vertige, insomnie, amnésie, troubles cognitifs, augmentation de la pression intracrânienne (avec Å“dème papillaire [hypertension intracrânienne bénigne]), convulsion, lipomatose épidurale.
  • +Affections oculaires
  • +Fréquents: cataracte.
  • +Fréquence inconnue: pression intraoculaire augmentée, glaucome, exophtalmie, choriorétinopathie.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquence inconnue: vertige.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque chez les patients prédisposés, arrêt cardiaque, arythmies.
  • +Des troubles du rythme cardiaque et/ou un collapsus circulatoire et un arrêt cardiaque ont été rapportés après l'injection intraveineuse rapide de doses très fortes de Solu-Medrol/-SAB (plus de 0.5 g en moins de 10 minutes). Une bradycardie a été observée pendant ou après l'application i. v. de fortes doses de succinate sodique de méthylprednisolone, indépendamment de la vitesse ou de la durée de celle-ci.
  • -Affections vasculaires:
  • -Fréquent: hypertension.
  • -Inconnus: hypotension, événements thromboemboliques.
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
  • -Inconnus: hoquet.
  • -Affections gastro-intestinales:
  • -Fréquent: ulcère peptique (éventuellement avec hémorragie et perforation).
  • -Inconnus: douleurs abdominales, sensation de tension abdominale, nausées, vomissements, diarrhée, dyspepsie, Å“sophagite (y compris Å“sophagite ulcérative), hémorragies gastro-intestinales, pancréatite (également chez l'enfant), péritonite, perforation intestinale.
  • -Affections hépato-biliaires:
  • -Inconnus: élévation des transaminases et/ou de la phosphatase alcaline, troubles de la fonction hépatique avec manifestations cliniques, dont hépatite.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • -Fréquent: atrophie cutanée, acné, ecchymoses.
  • -Inconnus: érythème, éruption cutanée, hyperhidrose, prurit, stries, troubles de la pigmentation, hirsutisme, pétéchies, urticaire, abcès stériles.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • -Fréquent: ostéoporose, faiblesse musculaire.
  • -Inconnus: arthralgie, myalgie, myopathie, atrophie musculaire, arthropathie neuropathique, ruptures tendineuses (en particulier du tendon d'Achille), fractures par compression vertébrale, fractures pathologiques, ostéonécrose.
  • -Affections du rein et des voies urinaires:
  • -Inconnus: urée sanguine augmentée.
  • -Affections des organes de reproduction et du sein:
  • -Inconnus: troubles menstruels, impuissance.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: hypertension.
  • +Fréquence inconnue: hypotension, événements thromboemboliques.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquence inconnue: hoquet.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: ulcère peptique (éventuellement avec hémorragie et perforation).
  • +Fréquence inconnue: douleurs abdominales, sensation de tension abdominale, nausées, vomissements, diarrhée, dyspepsie, Å“sophagite (y compris Å“sophagite ulcérative), hémorragies gastro-intestinales, pancréatite (également chez l'enfant), péritonite, perforation intestinale.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Fréquence inconnue: élévation des transaminases et/ou de la phosphatase alcaline, trouble de la fonction hépatique avec manifestations cliniques, y compris hépatite.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: atrophie cutanée, acné, ecchymoses.
  • +Fréquence inconnue: érythème, rash cutané, hyperhidrose, prurit, vergetures, troubles pigmentaires, hirsutisme, pétéchies, urticaire, abcès stériles.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquents: ostéoporose, faiblesse musculaire.
  • +Fréquence inconnue: arthralgie, myalgie, myopathie, atrophie musculaire, arthropathie neuropathique, ruptures tendineuses (en particulier du tendon d'Achille), fractures par compression vertébrale, fractures pathologiques, ostéonécrose.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquence inconnue: urée sanguine augmentée.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Fréquence inconnue: troubles menstruels, troubles de la puissance sexuelle.
  • -Fréquent: Å“dème périphérique, troubles de la cicatrisation.
  • -Inconnus: réactions au site d'injection (telles qu'érythème, prurit, éruption et urticaire), fatigue, sensation de malaise.
  • +Fréquents: Å“dèmes périphériques, troubles de la cicatrisation.
  • +Fréquence inconnue: réactions au site d'injection (telles qu'érythème, prurit, rash et urticaire), fatigue, sensation de malaise.
  • -Le profil de sécurité d'emploi de la méthylprednisolone chez les enfants et les adolescents correspond pour l'essentiel à celui des adultes. Les effets indésirables suivants ont en outre été observés chez les enfants:
  • +Le profil de sécurité de la méthylprednisolone chez les enfants et les adolescents correspond pour l'essentiel à celui des adultes. Les effets indésirables suivants ont en outre été observés chez les enfants:
  • -Fréquent: retard de croissance.
  • +Fréquents: retard de croissance.
  • -Fréquent: modifications de l'humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • +Fréquents: sautes d'humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • -Fréquent: insomnie.
  • +Fréquents: insomnie.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Les rapports de toxicité aigüe après surdosage de corticostéroïdes sont rares, aucun syndrome clinique de surdosage aigu n'est connu. En cas de surdosage, on ne dispose d'aucun antidote. On appliquera un traitement symptomatique et de soutien. La méthylprednisolone est dialysable (chez l'adulte, la clearance métabolique est de plus de 250 ml/min).
  • +Les rapports de toxicité aiguë après surdosage de corticostéroïdes sont rares, aucun syndrome clinique de surdosage aigu n'est connu. En cas de surdosage, on ne dispose d'aucun antidote spécifique. On appliquera un traitement symptomatique et de soutien. La méthylprednisolone est dialysable (chez l'adulte, la clairance métabolique est de plus de 250 ml/min).
  • -Code ATC: H02AB04
  • -La méthylprednisolone, principe actif de Solu-Medrol/- SAB, est le dérivé méthylé en position 6 de la prednisolone. Le composé se trouve sous forme de succinate sodique (forme estérifiée), ce qui le rend très hydrosoluble et permet une hydrolyse rapide et complète in vivo. Pour cette raison, Solu-Medrol/- SAB est spécialement indiqué lors de thérapies intraveineuses nécessitant l'atteinte rapide d'un taux plasmatique élevé.
  • -La méthylprednisolone possède un effet anti-inflammatoire et immunosuppresseur tout en présentant de minimes propriétés minéralocorticoïdes.
  • -L'action de la méthylprednisolone, ainsi que de tous les glucocorticoïdes, consiste en une stimulation de la synthèse de protéines spécifiques dans les cellules. Ces protéines biologiquement actives sont responsables de l'effet systémique intrinsèque. En raison de son mécanisme d'action, l'effet du médicament intervient au bout d'un certain délai, même après administration parentérale.
  • +Code ATC
  • +H02AB04
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +La méthylprednisolone, principe actif de Solu-Medrol/-SAB, est le dérivé méthylé en position 6 de la prednisolone. Le composé se trouve sous forme de succinate sodique (forme estérifiée), ce qui le rend très hydrosoluble et permet une hydrolyse rapide et complète in vivo. Pour cette raison, Solu-Medrol/-SAB est spécialement indiqué lors de traitements intraveineux nécessitant l'atteinte rapide d'un taux plasmatique élevé.
  • +La méthylprednisolone possède un effet anti-inflammatoire et immunosuppresseur tout en présentant des propriétés minéralocorticoïdes minimes.
  • +L'action de la méthylprednisolone, ainsi que de tous les glucocorticoïdes, consiste en une stimulation ou une inhibition de la synthèse de protéines spécifiques dans les cellules. Ces protéines biologiquement actives sont responsables des effets systémiques intrinsèques. En raison de son mécanisme d'action, l'effet du médicament intervient au bout d'un certain délai, même après administration parentérale.
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -L'effet pharmacologique maximum est atteint 1 à 2 heures après la perfusion i.v. de Solu-Medrol/- SAB.
  • +L'effet pharmacologique maximum est atteint 1 à 2 heures après la perfusion i. v. de Solu-Medrol/-SAB.
  • -Une perfusion intraveineuse de 1 g de méthylprednisolone en 30 minutes produit des concentrations plasmatiques maximales de 16-72 µmol/l. Chez la plupart des patients, les taux plasmatiques descendent à 0.12-3.4 µmol/l en 24 heures et à 0,06-0,13 µmol/l en 48 heures. Après injection intramusculaire de 40 mg de méthylprednisolone, les pics de concentration (454 ng/ml en moyenne) ont été atteints au bout d'une heure. Après 12 heures, la concentration plasmatique était retombée à 31.9 ng/ml. On ne pouvait plus déceler de méthylprednisolone après 18 heures. La biodisponibilité après administration intramusculaire est de 100%.
  • -La cinétique d'absorption de la méthylprednisolone est indépendante de la voie d'administration.
  • +Une perfusion intraveineuse de 1 g de méthylprednisolone pendant 30 minutes produit des concentrations plasmatiques maximales de 16-72 µmol/l. Chez la plupart des patients, les taux plasmatiques descendent à 0.12-3.4 µmol/l en 24 heures et à 0.06-0.13 µmol/l en 48 heures. Après injection intramusculaire de 40 mg de méthylprednisolone, les pics de concentration (454 ng/ml en moyenne) ont été atteints au bout de 1 heure. Après 12 heures, la concentration plasmatique était retombée à 31.9 ng/ml. On ne pouvait plus déceler de méthylprednisolone après 18 heures. La biodisponibilité après administration intramusculaire est de 100%.
  • +La cinétique d'absorption de la méthylprednisolone est linéaire, indépendamment de la voie d'administration.
  • -Le métabolisme de la méthylprednisolone dans le foie s'effectue de façon semblable à celui du cortisol. Ses métabolites principaux sont la 20α-hydroxy-méthylprednisolone et la 20β-hydroxy-6α-méthylprednisone.
  • -Elimination
  • -La clearance totale de la méthylprednisolone est de 5-6 ml/min/kg, la demi-vie d'élimination moyenne de la méthylprednisolone est de 1.8-2.5 heures. La demi-vie pharmacologique s'élève toutefois à 12-36 heures environ. La clearance métabolique est de plus de 250 ml/min chez l'adulte. L'élimination s'effectue principalement par les reins sous forme de glucuronides, de sulfates et de composés non conjugués. Des quantités minimes de méthylprednisolone sont éliminées par les fèces.
  • +Le métabolisme de la méthylprednisolone dans le foie s'effectue de façon qualitativement similaire à celui du cortisol. Ses métabolites principaux sont la 20α-hydroxy-méthylprednisolone et la 20β-hydroxy-6α-méthylprednisone.
  • +Élimination
  • +La clairance totale de la méthylprednisolone est de 5-6 ml/min/kg, la demi-vie d'élimination moyenne de la méthylprednisolone est de 1.8-2.5 heures. La demi-vie pharmacologique s'élève toutefois à 12-36 heures environ. La clairance métabolique est de plus de 250 ml/min chez l'adulte. L'élimination s'effectue principalement par les reins sous forme de glucuronides, de sulfates et de composés non conjugués. Des quantités minimes de méthylprednisolone sont éliminées par les fèces.
  • -Pédiatrie: chez les nouveau-nés, la clearance plasmatique est inférieure à celle des enfants et des adultes.
  • -Insuffisance rénale: aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale, la méthylprednisolone est dialysable.
  • -Insuffisance hépatique: en cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de la méthylprednisolone est ralentie de telle sorte que les effets attendus et indésirables sont renforcés.
  • -Hypoalbuminémie/hyperbilirubinémie: des concentrations élevées et donc indésirables de méthylprednisolone non liée aux protéines peuvent apparaître.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +En cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de la méthylprednisolone est ralentie de telle sorte que les effets attendus et indésirables peuvent être renforcés.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale, la méthylprednisolone est dialysable.
  • +Enfants et adolescents
  • +Chez les nouveau-nés, la clairance plasmatique est inférieure à celle des enfants et des adultes.
  • +Hypoalbuminémie/hyperbilirubinémie
  • +Des concentrations élevées et donc indésirables de méthylprednisolone non liée aux protéines peuvent apparaître.
  • -Sur la base des études cliniques conventionnelles concernant la sécurité d'emploi pharmacologique et la toxicité après administration de doses répétées, aucun risque inattendu n'a été identifié. Les toxicités observées lors des études à doses répétées correspondaient à celles attendues lors de l'exposition en continu aux corticostéroïdes exogènes.
  • -La méthylprednisolone n'a montré aucun indice de potentiel de sensibilisation au cours de test sur les cochons d'Inde.
  • +Sur la base des études cliniques conventionnelles concernant la pharmacologie de sécurité et la toxicité en administration répétée, aucun risque inattendu n'a été identifié. Les toxicités observées lors des études en administration répétée correspondaient à celles attendues lors de l'exposition en continu aux corticostéroïdes exogènes.
  • +La méthylprednisolone n'a montré aucun indice de potentiel de sensibilisation au cours du test sur les cochons d'Inde.
  • +Génotoxicité
  • +Aucune étude n'a été conduite sur la génotoxicité de la méthylprednisolone.
  • +Le sulfonate de méthylprednisolone, dont la structure est similaire à celle de la méthylprednisolone, n'a pas montré de mutagénicité sur Salmonella typhimurium jusqu'à 2'000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Le sulfonate de méthylprednisolone n'a pas non plus été mutagène lors d'un test de mutation génique sur des cellules ovariennes de hamster chinois à des concentrations jusqu'à 10'000 µg/ml.
  • +Le suleptanate de méthylprednisolone n'a pas induit de synthèse non programmée de l'ADN dans des hépatocytes primaires de rat à une concentration allant jusqu'à 1'000 µg/ml.
  • +En outre, un examen des données publiées suggère que le farnésylate de prednisolone (PNF), qui est similaire par sa structure à la méthylprednisolone, n'a pas été mutagène dans des souches de Salmonella typhimurium et d'Escherichia coli jusqu'à 5'000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Dans une lignée cellulaire de fibroblastes de hamsters chinois, le PNF à la concentration la plus élevée testée de 1'500 µg/ml a montré une légère augmentation de l'incidence des aberrations chromosomiques structurelles après activation métabolique.
  • +
  • -Mutagénicité
  • -Aucune étude n'a été conduite sur la génotoxicité de la méthylprednisolone.
  • -Le sulfonate de méthylprednisolone, dont la structure est similaire à celle de la méthylprednisolone, n'a pas montré de mutagénicité sur Salmonella typhimurium jusqu'à 2000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Le sulfonate de méthylprednisolone n'a pas été mutagène lors d'un test de mutation génique sur des cellules ovariennes de hamster chinois à des concentrations jusqu'à 10000 µg/ml.
  • -Le suleptanate de méthylprednisolone n'a pas induit de synthèse non programmée de l'ADN dans des hépatocytes primaires de rat à une concentration allant jusqu'à 1000 µg/ml.
  • -En outre, un examen des données publiées suggère que le farnésylate de prednisolone (PNF), qui est similaire par sa structure à la méthylprednisolone, n'a pas été mutagène dans des souches de Salmonella typhimurium et d'Escherichia coli jusqu'à 5000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Dans une lignée cellulaire de fibroblastes de hamsters chinois, le PNF à la concentration la plus élevée testée de 1500 µg/ml a montré une légère augmentation de l'incidence des aberrations chromosomiques structurelles après activation métabolique.
  • -Toxicité de la reproduction
  • +Toxicité sur la reproduction
  • -Afin d'éviter les problèmes de compatibilité et de stabilité, il est recommandé d'administrer la méthylprednisolone séparément des autres médicaments intraveineux. Les médicaments incompatibles avec le succinate sodique de méthylprednisolone en solution sont, entre autres (mais non seulement): allopurinol, doxapram, tigécycline, diltiazem, gluconate de calcium, bromure de vécuronium, bromure de rocuronium, cisatracurium bésilate, glycopyrrolate, propofol.
  • -Solu-Medrol/- SAB ne peut être mélangé qu'à des médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
  • -Stabilité/remarques concernant le stockage
  • +Afin d'éviter les problèmes de compatibilité et de stabilité, il est recommandé d'administrer la méthylprednisolone séparément des autres médicaments intraveineux. Les médicaments incompatibles avec le succinate sodique de méthylprednisolone en solution sont, entre autres (mais pas uniquement): allopurinol, doxapram, tigécycline, diltiazem, gluconate de calcium, bromure de vécuronium, bromure de rocuronium, cisatracurium bésilate, glycopyrrolate, propofol.
  • +Solu-Medrol/-SAB ne peut être mélangé qu'à des médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
  • +Stabilité
  • -Conserver Solu-Medrol/- SAB à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Préparation de la solution pour injection
  • +Préparation de la solution injectable
  • -1.Appuyer sur le capuchon en plastique jusqu'à ce que le soluté puisse couler dans le compartiment inférieur contenant le lyophilisat.
  • +1.Appuyer sur le capuchon en plastique afin que le solvant puisse couler dans le compartiment inférieur contenant le lyophilisat.
  • -5.Enfoncer l'aiguille au milieu du bouchon en caoutchouc jusqu'à ce que l'aiguille soit juste visible. Renverser l'ampoule de mélange et prélever la dose.
  • +5.Enfoncer l'aiguille au centre du bouchon en caoutchouc jusqu'à ce que l'aiguille soit juste visible. Renverser l'ampoule de mélange et aspirer la dose nécessaire.
  • -·Utiliser une aiguille aussi mince que possible
  • -·Piquer le bouchon au niveau de la petite marque ronde, car le centre du bouchon est l'endroit plus mince.
  • -·Enfoncer l'aiguille verticalement par rapport à la surface du bouchon.
  • +·Utiliser une aiguille aussi fine que possible.
  • +·Piquer le bouchon au niveau de la petite marque ronde, car le centre du bouchon est l'endroit le plus mince.
  • +·Enfoncer l'aiguille perpendiculairement à la surface du bouchon.
  • -Reconstitution en ampoule perforable
  • -Introduire le solvant en conditions aseptiques dans l'ampoule contenant le lyophilisat, agiter légèrement jusqu'à dissolution complète. Seul le solvant fourni doit être utilisé pour la dissolution du lyophilisat.
  • +Reconstitution en flacon-ampoule
  • +Introduire le solvant dans le flacon-ampoule contenant le lyophilisat, agiter légèrement jusqu'à dissolution complète. Seul le solvant fourni doit être utilisé pour la dissolution du lyophilisat.
  • -Tenir l'ampoule de telle manière que le point de couleur se situe en avant, c.-à-d. face au visage. Ouvrir l'ampoule en appliquant le pouce sur le point et en appuyant prudemment vers l'arrière.
  • +Tenir l'ampoule de telle manière que le point de couleur se situe en avant, c.-à-d. face au visage. Ouvrir l'ampoule en appliquant le pouce sur le point et en appuyant prudemment vers l'arrière
  • -Solu-Medrol et Solu-Medrol SAB sont des préparations à dose unitaire destinées
  • -à un usage unique. La solution doit être utilisée immédiatement après reconstitution; tout reste de solution doit être jeté.
  • +Solu-Medrol et Solu-Medrol SAB sont des préparations à dose unitaire destinées à un usage unique. La solution doit être utilisée immédiatement après reconstitution; tout reste de solution doit être jeté.
  • -La solution reconstituée comme décrit ci-dessus est ensuite ajoutée à un soluté de perfusion composé de glucose 5% ou de NaCl 0.9%. Le volume est déterminé en fonction de la durée et du débit de la perfusion.
  • -Les solutions de perfusion diluées sont physiquement et chimiquement stables pendant 3 heures à des températures de 20-25 °C ou pendant 24 heures à des températures de 2-8 °C. Pour des raisons microbiologiques, il est conseillé de les utiliser immédiatement. Si une conservation est nécessaire, à partir de la 6e heure, il convient de contrôler les solutions de perfusion diluées régulièrement pour vérifier leur limpidité et l’absence de précipités. Toute solution trouble ou contenant un précipité doit être jetée. Elle ne doit pas être utilisée.
  • +La solution reconstituée telle que décrite ci-dessus est ensuite ajoutée à une solution pour perfusion de glucose à 5% ou de NaCl à 0.9%. Le volume dépend de la durée et de la vitesse d'écoulement de la perfusion.
  • +Les solutions de perfusion diluées sont stables sur le plan physico-chimique pendant 3 heures à une température de 20 à 25 °C ou pendant 24 heures à une température de 2 à 8 °C. Pour des raisons microbiologiques, elles doivent être utilisées immédiatement. Si un stockage est nécessaire, les solutions de perfusion diluées doivent être contrôlées régulièrement à partir de 6 heures suivant la dilution pour vérifier l'absence de précipités et d'opacités. Les solutions opaques et les solutions contenant des précipités ne doivent plus être utilisées et seront éliminées.
  • -Solu-Medrol 500 mg: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B]
  • -Solu-Medrol 1 g: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B]
  • -Solu-Medrol SAB 40 mg: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B]
  • -Solu-Medrol SAB 40 mg: 1 Act-O-Vial [B]
  • -Solu-Medrol SAB 125 mg: 1 Act-O-Vial [B]
  • -Solu-Medrol SAB 250 mg: 3 Act-O-Vials [B]
  • +Solu-Medrol 500 mg: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B].
  • +Solu-Medrol 1 g: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B].
  • +Solu-Medrol SAB 40 mg: 1 flacon-ampoule de lyophilisat et 1 flacon-ampoule de solvant [B].
  • +Solu-Medrol SAB 40 mg: 1 Act-O-Vial [B].
  • +Solu-Medrol SAB 125 mg: 1 Act-O-Vial [B].
  • +Solu-Medrol SAB 250 mg: 3 Act-O-Vials [B].
  • -Pfizer AG, Zürich
  • +Pfizer AG, Zürich.
  • -Avril 2019.
  • -LLD V025
  • +Septembre 2020.
  • +LLD V030
2025 Â©ywesee GmbH
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