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Accueil - Information professionnelle sur Depo-Medrol Lidocaine 40 mg/mL - Changements - 24.04.2021
204 Changements de l'information professionelle Depo-Medrol Lidocaine 40 mg/mL
  • -Principes actifs: Methylprednisoloni acetas, Lidocaini hydrochloridum.
  • -Excipients: Macrogolum 3350, Natrii chloridum, Conserv.: Alcohol benzylicus (8.7 mg/ml), N-Myristyl-gamma-picolinii chloridum (0.19 mg/ml); Aqua ad iniectabilia.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 ml de suspension stérile contient 40 mg d'acétate de méthylprednisolone et 10 mg de chlorhydrate de lidocaïne.
  • +Principes actifs
  • +Methylprednisoloni acetas, lidocaini hydrochloridum monohydricum.
  • +Excipients
  • +Suspension injectable à 40 mg/ml: macrogolum 3350, alcohol benzylicus 8.7 mg/1 ml, natrii chloridum, miripirii chloridum, acidum hydrochloricum, natrii hydroxidum, aqua ad iniectabilia.
  • +Teneur totale en sodium par flacon de 1 ml: 2.63 mg.
  • +Suspension injectable à 80 mg/2 ml: macrogolum 3350, alcohol benzylicus 17.4 mg/2 ml, natrii chloridum, miripirii chloridum, acidum hydrochloricum, natrii hydroxidum, aqua ad iniectabilia.
  • +Teneur totale en sodium par flacon de 2 ml: 5.27 mg.
  • +
  • -Administration intrasynoviale, péri-articulaire et intrabursique ainsi qu'infiltration des tissus mous (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Administration intrasynoviale, péri-articulaire et intrabursale ainsi qu'infiltration des tissus mous (voir «Posologie/Mode d'emploi»):
  • -·polyarthrite chronique évolutive;
  • +·polyarthrite chronique;
  • -·arthropathie goutteuse aiguë.
  • +·arthrite goutteuse aiguë.
  • -La corticothérapie complète généralement une thérapie de base sans toutefois pouvoir la remplacer. La posologie doit être adaptée en fonction de la gravité de l'atteinte et de la réponse du patient au traitement. Pour réduire les effets indésirables, le dosage sera diminué dès que l'état du malade le permet et le passage à un traitement par un glucocorticoïde par voie orale sera instauré. Si le traitement a déjà duré quelques jours, la dose sera réduite progressivement.
  • -Injections locales lors de polyarthrite chronique évolutive et d'arthroses
  • -La dose administrée par voie intra-articulaire varie d'un cas à l'autre suivant la dimension de l'articulation traitée et la gravité de l'affection. Lors d'une administration chronique, les injections seront répétées à intervalles d'une à cinq semaines ou davantage suivant l'amélioration obtenue par la première injection. Les doses proposées dans le tableau ci-dessous ont une valeur indicative:
  • +La corticothérapie complète généralement une thérapie de base sans toutefois la remplacer. La posologie doit être adaptée en fonction de la gravité de l'atteinte et de la réponse du patient au traitement. Pour réduire les effets indésirables, la posologie sera diminuée dès que l'état du patient le permet et le passage à un traitement par un glucocorticoïde par voie orale sera instauré. Si le traitement a déjà duré plus que quelques jours, la posologie sera réduite progressivement.
  • +Injections locales lors de polyarthrite chronique et d'arthroses
  • +La dose administrée par voie intra-articulaire varie d'un cas à l'autre suivant la dimension de l'articulation traitée et la gravité de l'affection. Lors d'une administration chronique, les injections seront répétées à intervalles d'une à cinq semaines ou davantage suivant l'amélioration obtenue par la première injection.
  • +Les doses proposées dans le tableau ci-dessous ont une valeur indicative:
  • -Grosse Genou, articulation tibiotarsienne, épaule 20-80 mg
  • -Moyenne Coude, poignet 10-40 mg
  • -Petite Métacarpophalangienne interphalangienne sterno-claviculaire acromioclaviculaire 4-10 mg
  • +Grande genou, cheville, épaule 20 à 80 mg
  • +Moyenne coude, poignet 10 à 40 mg
  • +Petite métacarpophalangienne interphalangienne sterno-claviculaire acromioclaviculaire 4 à 10 mg
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • -Pédiatrie
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique, hypothyroïdie
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère ou d'hypothyroïdie, le métabolisme de la méthylprednisolone est ralenti et son effet peut s'en trouver renforcé. La pharmacocinétique de la lidocaïne est aussi influencée par les troubles de la fonction hépatique. Il peut donc être nécessaire d'adapter la dose en conséquence.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +En cas d'insuffisance rénale légère et modérée, aucune adaptation posologique n'est nécessaire. En cas d'insuffisance rénale sévère, Depo-Medrol Lidocaine doit être utilisé avec une prudence particulière. Chez les patients sous hémodialyse, aucune adaptation posologique n'est nécessaire.
  • +Patients âgés
  • +Chez les patients âgés, le risque d'ostéoporose ainsi que de rétention liquidienne (éventuellement accompagnée d'hypertension consécutive) est potentiellement accru en cas de corticothérapie prolongée. Pour cette raison, les patients âgés doivent être traités avec prudence.
  • +Enfants et adolescents
  • -En raison de la teneur en alcool benzylique, Depo-Medrol Lidocaïne est contre-indiqué chez les prématurés ainsi que chez les nouveau-nés de faible poids de naissance.
  • -Patients âgés
  • -Chez les patients âgés, le risque d'ostéoporose ainsi que de rétention liquidienne (éventuellement accompagnée d'hypertension consécutive) est potentiellement élevé en cas de corticothérapie prolongée. Pour cette raison, les patients âgés doivent être traités avec prudence.
  • -Insuffisance rénale
  • -En cas d'insuffisance rénale légère et modérée, aucune adaptation posologique n'est nécessaire. En cas d'insuffisance rénale sévère, Depo-Medrol Lidocaïne doit être utilisé avec une prudence particulière. Chez les patients sous hémodialyse, aucune adaptation posologique n'est nécessaire.
  • -Insuffisance hépatique, hypothyroïdie
  • -Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique grave ou d'hypothyroïdie, le métabolisme de la méthylprednisolone est ralenti et son effet peut s'en trouver renforcé. La pharmacocinétique de la lidocaïne est aussi influencée par les troubles de la fonction hépatique. Il peut donc être nécessaire d'adapter la dose en conséquence.
  • -
  • +En raison de la teneur en alcool benzylique, Depo-Medrol Lidocaine est contre-indiqué chez les prématurés ainsi que chez les nouveau-nés de faible poids de naissance.
  • -Depo-Medrol Lidocaïne est contre-indiqué chez les prématurés puisqu'il contient de l'alcool benzylique en agent conservateur (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Depo-Medrol Lidocaine est contre-indiqué chez les prématurés puisqu'il contient de l'alcool benzylique en agent conservateur (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Depo-Medrol Lidocaïne contient un anésthésique local (lidocaïne). Les médecins qui utilisent de tels anesthésiques locaux doivent disposer d'une expérience suffisance et connaître le diagnostic, les effets indésirables potentiels du traitement (y compris la toxicité systémique) et les complications. Le matériel nécessaire et les médicaments requis pour une réanimation doivent être très rapidement disponibles à proximité immédiate.
  • -Depo-Medrol Lidocaïne ne doit pas être administré selon un procédé différent de celui décrit sous «Indications». Il est donc indispensable que Depo-Medrol Lidocaïne soit administré selon les techniques d'administration adéquates dans les sites d'application désirés.
  • -En cas d'administration intrathécale ou épidurale de méthylprednisolone, des effets indésirables particulièrement sévères ont été rapportés tels qu'arachnoïdite, méningite, paraparésie/paraplégie, convulsion, troubles de la sensibilité, céphalées, troubles vésicaux ainsi que troubles digestifs fonctionnels. L'administration intrathécale ou épidurale est donc contreindiquée (voir «Contre-indications»).
  • -Il convient d'appliquer de prendre les mesures adaptées afin d'éviter une injection intravasculaire.
  • -En présence d'infections aigües, ne pas administrer en intrasynovial, intrabursique, ou dans les tendons.
  • -Les complications d'une corticothérapie dépendent de la dose et de la durée du traitement. Il faut donc évaluer de cas en cas les avantages et les inconvénients en ce qui concerne la dose et la durée du traitement.
  • -Il a été rapporté que des patients ont développé un syndrome de Kaposi sous traitement corticostéroïde. Chez certains de ces patients, le sarcome a complètement disparu après l'arrêt du traitement corticostéroïde.
  • +Depo-Medrol Lidocaine contient un anesthésique local (lidocaïne). Les médecins qui utilisent de tels anesthésiques locaux doivent disposer d'une expérience suffisante et doivent connaître le diagnostic et le traitement des effets indésirables potentiels (y compris la toxicité systémique) et des complications. Le matériel nécessaire et les médicaments requis pour une réanimation doivent être très rapidement disponibles à proximité immédiate.
  • +Depo-Medrol Lidocaine ne doit pas être administré selon un procédé différent de celui décrit sous «Indications/Possibilités d'emploi». Il est donc indispensable que Depo-Medrol Lidocaine soit administré selon les techniques d'administration adéquates dans les sites d'application souhaités. En cas d'administration intrathécale ou épidurale de méthylprednisolone, des effets indésirables parfois sévères ont été rapportés, tels qu'arachnoïdite, méningite, paraparésie/paraplégie, convulsions, troubles de la sensibilité, céphalées, troubles vésicaux ainsi que troubles digestifs fonctionnels. L'administration intrathécale ou épidurale est donc contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +Il convient de prendre les mesures adaptées afin d'éviter une injection intravasculaire.
  • +En présence d'infections aigs, ne pas administrer par voie intrasynoviale, intrabursale ni dans les tendons.
  • +Les complications d'une corticothérapie dépendent de la dose et de la durée du traitement. Il faut donc évaluer au cas par cas le rapport bénéfice/risque en ce qui concerne la dose et la durée du traitement.
  • +Le développement d'un syndrome de Kaposi a été rapporté chez des patients sous traitement corticostéroïde. Chez certains de ces patients, le sarcome a complètement disparu après l'arrêt du traitement corticostéroïde.
  • -Des réactions d'hypersensibilité (allant jusqu'au choc anaphylactique) peuvent être provoquées tant par la méthylprednisolone ou la lidocaïne que par un des autres excipients de Depo-Medrol Lidocaïne.
  • -L'alcool benzylique, l'agent conservateur contenu dans Depo-Medrol Lidocaïne peut provoquer des réactions d'hypersensibilité. Chez les prématurés (ainsi que chez les nouveau-nés de petit poids de naissance), l'alcool benzylique peut également provoquer un syndrome toxique grave («Gasping Syndrome») (voir «Contre-indications»). Le risque de toxicité dépend de la quantité administrée et de la capacité hépatique et rénale de détoxification. Les nouveau-nés prématurés et les nouveau-nés en insuffisance pondérale peuvent être exposés à un risque plus élevé de toxicité.
  • -Bien que la concentration d'alcool benzylique soit plus faible lors de l'application de doses thérapeutiques de Depo-Medrol Lidocaïne que celles mises en relation avec le «Gasping Syndrome», la quantité minimale d'alcool benzylique à partir de laquelle la toxicité entre en jeu n'est pas connue. Il est possible que des patients recevant des doses élevées développent une toxicité. En cas d'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, il faut prendre en compte la somme des quantités d'alcool benzylique quotidienne provenant de toutes les sources.
  • -Des réactions allergiques telles que réactions cutanées, des angiœdèmes et/ou réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes peuvent se produire dans de rares cas à la suite de la prise de corticostéroïdes. On prendra donc les précautions de rigueur avant l'administration, surtout chez les patients notoirement allergiques aux médicaments.
  • +Des réactions d'hypersensibilité (allant jusqu'au choc anaphylactique) peuvent être provoquées tant par la méthylprednisolone ou la lidocaïne que par un des excipients de Depo-Medrol Lidocaine.
  • +Excipients
  • +Ce médicament contient 8.7 mg d'alcool benzylique par ml. L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques.
  • +L'administration intraveineuse d'alcool benzylique a été associée à des effets indésirables graves et à la mort chez les nouveau-nés («syndrome de suffocation»).
  • +La quantité minimale d'alcool benzylique susceptible d'entraîner une toxicité n'est pas connue.
  • +Risque accru en raison de l'accumulation chez les jeunes enfants.
  • +Il est possible que des patients recevant des doses élevées développent une toxicité. Lors de l'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, il convient de prendre en compte le total des quantités quotidiennes d'alcool benzylique provenant de toutes les sources.
  • +Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique).
  • +Des réactions allergiques telles que des réactions cutanées, des angiœdèmes et/ou des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes peuvent survenir dans de rares cas à la suite de l'administration de corticostéroïdes. On prendra donc les précautions de rigueur avant l'administration, surtout chez les patients notoirement allergiques aux médicaments.
  • -Des doses pharmacologiques de corticostéroïdes administrées de manière prolongée peuvent induire une suppression hypothalamo-hypophysaire-surrénale (insuffisance corticosurrénale secondaire). L'importance et la durée d'une insuffisance corticosurrénale varient d'un patient à l'autre et dépendent de la dose, de la fréquence, de l'heure du jour de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes.
  • -En cas de charges exceptionnelles (par ex. pathologies graves, opérations lourdes, traumatismes sévères, etc.) chez les patients sous traitement de durée prolongée par des corticostéroïdes, il faut augmenter la dose de corticostéroïdes d'action rapide juste avant, pendant et après la situation de stress.
  • +Des doses pharmacologiques de corticostéroïdes administrées de manière prolongée peuvent induire une suppression hypothalamo-hypophysaire-surrénale (insuffisance corticosurrénale secondaire). L'importance et la durée d'une insuffisance corticosurrénale varient d'un patient à l'autre et dépendent de la dose, de la fréquence, de l'heure de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes.
  • +En cas de charges inhabituelles (par ex. pathologies graves, opérations lourdes, traumatismes sévères, etc.) chez les patients sous traitement de durée prolongée par des corticostéroïdes, il faut augmenter la dose de corticostéroïdes d'action rapide juste avant, pendant et après la situation de stress.
  • -Une insuffisance corticosurrénale relative peut encore persister des mois après l'arrêt du traitement. Si une situation de charge particulière apparaît pendant cette période (par ex. pathologies graves, opérations lourdes), l'hormonothérapie doit être reprise. La sécrétion des minéralocorticoïdes pouvant aussi être limitée, il faut administrer de manière concomitante une supplémentation en sel et/ou un minéralocorticoïde.
  • +Une insuffisance corticosurrénale relative peut encore persister des mois après l'arrêt du traitement. Si une situation de charge particulière apparaît pendant cette période (par ex. pathologies graves, opérations lourdes, etc.), l'hormonothérapie doit être reprise. La sécrétion des minéralocorticoïdes pouvant aussi être limitée, il faut administrer de manière concomitante une supplémentation en sel et/ou un minéralocorticoïde.
  • -L'effet des glucocorticoïdes exogènes est plus prononcé chez les patients hypothyroïdiens.
  • -Des crises de phéochromocytome ont été décrites après l'administration systémique de corticostéroïdes, dans certains cas d'issue fatale. Les corticoïdes ne doivent donc être administrés à des patients présentant un phéochromocytome connu ou suspecté qu'après évaluation correspondante du rapport risque/bénéfice.
  • -En cas d'apparition de potentiels symptômes d'une crise de phéochromocytome chez un patient sous traitement par Depo-Medrol tels que défaillance cardiaque, tachycardie, céphalées, douleurs abdominales et/ou thoraciques, il faut penser à la possibilité d'un phéochromocytome inconnu jusqu'alors.
  • +L'effet des glucocorticoïdes exogènes est renforcé chez les patients hypothyroïdiens.
  • +Des crises de phéochromocytome ont été rapportées après l'administration systémique de corticostéroïdes, dans certains cas d'issue fatale. Les corticoïdes ne doivent donc être administrés à des patients présentant un phéochromocytome connu ou suspecté qu'après évaluation correspondante du rapport risque/bénéfice.
  • +En cas d'apparition de potentiels symptômes d'une crise de phéochromocytome chez un patient sous traitement par Depo-Medrol Lidocaine tels que crise aiguë d'hypertension, insuffisance cardiaque, tachycardie, céphalées, douleurs abdominales et/ou thoraciques, il faut penser à la possibilité d'un phéochromocytome inconnu jusqu'alors.
  • -Les corticoïdes peuvent masquer les signes d'une infection débutante ou activer des infections latentes (y compris des infections parasitaires) et de nouvelles infections peuvent apparaître sous corticothérapie. Enfin, les corticoïdes peuvent diminuer la résistance de l'organisme aux germes infectieux et rendre plus difficile la localisation d'une infection. De telles infections peuvent être légères ou sévères et parfois conduire au décès. Le taux de complications infectieuses augmente avec les doses de corticostéroïdes. En cas de maladies infectieuses graves, il convient d'assurer une protection antibiotique ou chimiothérapeutique adéquate.
  • -La varicelle et la rougeole apparaissant pendant un traitement systémique par des corticostéroïdes peuvent évoluer vers une forme grave et surtout chez l'enfant, à issue fatale. La varicelle requiert un traitement immédiat par ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, une prophylaxie par l'aciclovir ou une immunoprophylaxie passive par immunoglobuline varicelle-zona est indiquée.
  • -Les patients qui reçoivent des corticostéroïdes ne doivent pas être vaccinés contre la variole.
  • -On n'administrera Depo-Medrol Lidocaïne à un patient tuberculeux que durant la phase fulgurante la plus active de la maladie ou en présence d'une tuberculose miliaire, et cela toujours en l'associant à un tuberculostatique approprié. Les patients présentant une tuberculose latente ou une réaction tuberculinique doivent être étroitement surveillés vu le risque de réactivation de la maladie. Dans une corticothérapie à long terme, une chimioprophylaxie doit être prescrite à ces patients.
  • +Les corticoïdes peuvent masquer les signes d'une infection débutante ou activer des infections latentes (y compris des infections parasitaires) et de nouvelles infections peuvent survenir sous corticothérapie. Ainsi, les corticoïdes peuvent diminuer la résistance de l'organisme aux agents pathogènes et rendre plus difficile la localisation d'une infection. De telles infections peuvent être légères ou sévères et parfois conduire au décès. Le taux de complications infectieuses augmente avec les doses de corticostéroïdes. En cas de maladies infectieuses graves, il convient d'assurer une protection antibiotique ou chimiothérapeutique adéquate.
  • +La varicelle et la rougeole survenant pendant un traitement systémique par corticostéroïdes peuvent évoluer vers une forme grave et, surtout chez l'enfant, à issue fatale. La varicelle requiert un traitement immédiat, par ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, une prophylaxie par l'aciclovir ou une immunoprophylaxie passive par immunoglobuline varicelle-zona est indiquée. Les patients qui reçoivent des corticostéroïdes ne doivent pas être vaccinés contre la variole.
  • +On n'administrera Depo-Medrol Lidocaine à un patient tuberculeux que durant la phase fulgurante la plus active de la maladie ou en présence d'une tuberculose miliaire, et toujours en l'associant à un tuberculostatique approprié. Les patients présentant une tuberculose latente ou une réaction tuberculinique doivent être étroitement surveillés en raison du risque de réactivation de la maladie. Dans une corticothérapie à long terme, une chimioprophylaxie doit être prescrite à ces patients.
  • -Chez les patients présentant des facteurs de risque cardio-vasculaires préexistants qui reçoivent des doses élevées sur une période prolongée, des effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent encore augmenter le risque d'événements cardio-vasculaires. Pour cette raison, les corticostéroïdes doivent être introduits uniquement avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients présentant un infarctus myocardique récent. Si nécessaire, il faut prêter une attention particulière à une modification du risque et/ou procéder à une surveillance cardiaque supplémentaire.
  • +Chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaires préexistants qui reçoivent des doses élevées sur une période prolongée, des effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent encore augmenter le risque d'événements cardiovasculaires. Pour cette raison, les corticostéroïdes doivent toujours être introduits avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients ayant récemment présenté un infarctus du myocarde. Si nécessaire, il faut viser une modification du risque et/ou procéder à une surveillance cardiaque supplémentaire.
  • -Une corticothérapie peut engendrer des troubles psychiques potentiellement graves sous forme d'euphorie, d'insomnie, des altérations de l'humeur et de la personnalité, d'états dépressifs graves, voire même d'une psychose manifeste. On a également observé sous corticoïde une aggravation de l'instabilité émotionnelle ou de la tendance psychotique préexistantes.
  • -Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les jours ou les semaines qui suivent le début du traitement. La plupart des réactions disparaissent lors de la réduction de la dose ou l'arrêt, toutefois, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiatriques ont aussi été rapportés après l'arrêt des corticoïdes. Les patients et leurs proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiatriques sous traitement de même que, pendant ou après l'arrêt/la diminution progressive, en particulier lorsqu'une humeur dépressive ou des intentions suicidaires sont suspectées.
  • +Une corticothérapie peut engendrer des troubles psychiatriques potentiellement graves sous forme d'euphorie, d'insomnie, de sautes d'humeur et de changements de personnalité qui peuvent aller jusqu'à des dépressions graves, voire une psychose manifeste. Sous corticoïde une aggravation de l'instabilité émotionnelle ou de la tendance psychotique préexistantes est également possible.
  • +Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les jours ou les semaines qui suivent le début du traitement. La plupart des réactions disparaissent lors de la réduction de la dose ou l'arrêt du traitement; toutefois, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiques ont aussi été rapportés après l'arrêt des corticoïdes. Les patients et leurs proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiques sous traitement de même que, pendant ou après l'arrêt/la diminution progressive, en particulier lorsqu'une humeur dépressive ou des intentions suicidaires sont suspectées.
  • -Les corticostéroïdes doivent être administrés uniquement avec prudence chez les patients épileptiques.
  • +Les corticostéroïdes doivent toujours être administrés avec prudence chez les patients présentant des troubles convulsifs.
  • -Effets musculosquelettiques
  • -En principe, les corticostéroïdes ne devraient être introduits qu'avec prudence chez les patients présentant une myasthénie grave.
  • +Effets musculo-squelettiques
  • +En principe, les corticostéroïdes doivent toujours être introduits avec prudence chez les patients présentant une myasthénie grave.
  • -Chez les patients porteurs d'une infection herp��tique de l'œil, les corticostéroïdes doivent être employés avec la plus grande prudence et seulement si la surface cornéenne est intacte, vu le risque de perforation de la cornée.
  • +Chez les patients présentant une infection oculaire à herp��s simplex, les corticostéroïdes doivent être employés avec la plus grande prudence et seulement si la surface cornéenne est intacte, en raison du risque de perforation de la cornée.
  • -Corticostéroïdes en cas de sclérodermie
  • -Chez les patients atteints de sclérodermie systémique, une incidence plus élevée de crise rénale aiguë a été observée lors de l'utilisation de corticostéroïdes. Il s'agit d'une complication potentiellement mortelle qui s'accompagne notamment d'une hypertension maligne et d'une protéinurie. Les corticostéroïdes ne peuvent donc être utilisés qu'avec prudence chez les patients souffrant de sclérodermie.
  • +Risque particulier chez les patients atteints de sclérodermie
  • +Chez les patients atteints de sclérodermie systémique, une incidence accrue de crise rénale aiguë a été observée lors de l'utilisation de corticostéroïdes. Il s'agit d'une complication potentiellement mortelle qui s'accompagne notamment d'une hypertension maligne et d'une protéinurie. Les corticostéroïdes ne peuvent donc être utilisés qu'avec prudence chez les patients atteints de sclérodermie.
  • -Afin de réduire la fréquence de l'atrophie dermique et sous-dermique, il faut prendre soin à ne pas dépasser les doses recommandées. Dans la mesure du possible, il est préférable de faire plusieurs petites injections dans la lésion. En cas d'injections intrasynoviales et intramusculaires, il faut éviter de faire une injection intradermique ou de provoquer une fuite dans le derme.
  • -Autres affections dans lesquelles les corticoïdes ne doivent être utilisés qu'avec une prudence particulière
  • +Afin de réduire la fréquence de l'atrophie dermique et sous-dermique, il faut veiller à ne pas dépasser les doses recommandées. Dans la mesure du possible, il est préférable de faire plusieurs petites injections dans la lésion. En cas d'injections intrasynoviales et intramusculaires, il faut éviter de faire une injection intradermique ou de provoquer une fuite dans le derme.
  • +Autres affections dans lesquelles les corticoïdes doivent toujours être utilisés avec une prudence particulière
  • -·Pancréatite: des dosages élevés de corticostéroïdes peuvent provoquer une pancréatite aigüe.
  • -·Métabolisme du glucose: les corticostéroïdes peuvent élever la glycémie, aggraver un diabète préexistant et, en cas de traitement prolongé, augmenter le risque de diabète.
  • -·Équilibre hydro-électrolytique: les corticostéroïdes peuvent provoquer une rétention hydrosodée ainsi qu'une augmentation de l'excrétion potassique, en particulier à doses moyennes et élevées. Une restriction sodée et une substitution en potassium peuvent éventuellement être nécessaires.
  • -·Reins: Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale, les corticostéroïdes doivent être utilisés avec prudence.
  • -·Traitement concomitant par des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'acide acétylsalicylique et les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens doivent être administrés uniquement avec prudence avec les corticoïdes. En cas d'hypothrombinémie, la prudence est particulièrement recommandée lors de la prise simultanée d'acide acétylsalicylique.
  • -·Autres affections: la prudence est aussi recommandée en cas d'abcès ou d'autres inflammations purulentes, de colite ulcéreuse non spécifique (en particulier en cas de perforation imminente), de diverticulite, d'anastomoses intestinales récentes, de cirrhose hépatique, de tendance aux thromboses ou de migraine à l'anamnèse.
  • +·Pancréatite: des posologies élevées de corticostéroïdes peuvent provoquer une pancréatite aig.
  • +·Métabolisme du glucose: les corticostéroïdes peuvent élever la glycémie, aggraver un diabète préexistant et, en cas de traitement prolongé, augmenter le risque de diabète sucré.
  • +·Équilibre hydro-électrolytique: les corticostéroïdes peuvent provoquer une rétention hydrosodée ainsi qu'une augmentation de l'excrétion potassique, en particulier à des doses moyennes et élevées. Une restriction sodée et une substitution en potassium peuvent éventuellement être nécessaires.
  • +·Reins: chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale, les corticostéroïdes doivent être utilisés avec prudence.
  • +·Traitement concomitant par des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'acide acétylsalicylique et les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens doivent toujours être administrés avec prudence avec les corticoïdes. En cas d'hypothrombinémie, la prudence est particulièrement de rigueur lors de la prise simultanée d'acide acétylsalicylique.
  • +·Autres affections: la prudence est aussi de rigueur en cas d'abcès ou d'autres inflammations purulentes, de colite ulcéreuse non spécifique (en particulier en cas de perforation imminente), de diverticulite, d'anastomoses intestinales récentes, de cirrhose hépatique, de tendance aux thromboses ou de migraine à l'anamnèse.
  • -L'administration concomitante de Depo-Medrol Lidocaïne et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 devrait être évitée (voir «Interactions»).
  • +L'administration concomitante de Depo-Medrol Lidocaïne et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée (voir «Interactions»).
  • -Depo-Medrol Lidocaïne renferme de l'alcool benzylique comme agent conservateur, aussi devrait-on s'abstenir d'administrer le médicament aux nouveau-nés (voir «Effets indésirables»). Il ne doit pas être administré aux prématurés (voir «Contre-indications»).
  • +Depo-Medrol Lidocaine renferme de l'alcool benzylique comme agent conservateur, aussi doit-on s'abstenir d'administrer le médicament aux nouveau-nés (voir «Effets indésirables»). Il ne doit pas être administré aux prématurés (voir «Contre-indications»).
  • -Il faut procéder à un examen approprié du liquide articulaire pour exclure un éventuel processus septique.
  • -Un accroissement marqué des douleurs accompagné de tuméfactions locales, une plus grande restriction de la mobilité de l'articulation, de la fièvre ainsi qu'un malaise généralisé peuvent indiquer une arthrite septique. Si une infection est constatée, il faut entreprendre un traitement antimicrobien approprié.
  • -Éviter les injections dans les articulations instables. Des injections intra-articulaires répétées peuvent provoquer des instabilités articulaires. Dans des cas isolés, on recommandera des radiographies pour la découverte prématurée d'éventuels dommages articulaires.
  • -En cas d'amélioration symptomatique après un traitement stéroïde intra-articulaire, une sollicitation excessive de l'articulation devra être soigneusement évitée. Dans le cas contraire, un nouveau dommage de l'articulation apparaitrait, qui réduirait à néant l'effet du traitement stéroïde.
  • +Il faut procéder à un examen approprié du liquide articulaire, le cas échéant, pour exclure un éventuel processus septique.
  • +Un accroissement marqué des douleurs accompagné de gonflements locaux, une plus grande restriction de la mobilité de l'articulation, de la fièvre ainsi qu'un malaise généralisé suggèrent une arthrite septique. Si une infection est constatée, il faut instaurer un traitement antimicrobien approprié.
  • +Éviter les injections dans les articulations instables. Des injections intra-articulaires répétées peuvent provoquer des instabilités articulaires. Dans des cas isolés, on recommandera des radiographies pour la découverte précoce d'éventuelles lésions articulaires.
  • +En cas d'amélioration symptomatique après un traitement stéroïde intra-articulaire, une sollicitation excessive de l'articulation devra être soigneusement évitée. Dans le cas contraire, une nouvelle lésion de l'articulation peut apparaître et réduire à néant l'effet du traitement stéroïde.
  • -L'administration intramusculaire de Depo-Medrol Lidocaïne n'apporte aucun bénéfice thérapeutique supplémentaire. Si l'on souhaite un effet systémique persistant avec des corticostéroïdes administrés par voie parentérale, il faut utiliser une préparation sans adjonction d'anesthésique local.
  • +L'administration intramusculaire de Depo-Medrol Lidocaine n'apporte aucun bénéfice thérapeutique supplémentaire. Si l'on souhaite un effet systémique persistant avec des corticostéroïdes administrés par voie parentérale, il faut utiliser une préparation sans adjonction d'anesthésique local.
  • -Patients en mauvais état général.
  • +Patients dont l'état de santé général est dégradé.
  • -L'utilisation de Depo-Medrol Lidocaïne doit avoir lieu avec une prudence particulière dans ces cas.
  • -Les patients qui sont traités par des antiarrythmiques de classe III (amiodarone p.ex.), doivent être surveillés et un ECG doit être considéré, car les effets cardiaques peuvent être cumulatifs.
  • +L'utilisation de Depo-Medrol Lidocaine doit être soumise à une prudence particulière dans ces cas.
  • +Les patients qui sont traités par des antiarythmiques de classe III (amiodarone par ex.), doivent être surveillés et un ECG doit être envisagé, car les effets cardiaques peuvent être cumulatifs.
  • +Sodium
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de la méthylprednisolone
  • +Effet d'autres médicaments sur la méthylprednisolone
  • -Inhibiteurs enzymatiques: Les corticostéroïdes sont métabolisés par le CYP3A4. Ladministration concomitante dinhibiteurs modérés à forts du CYP3A4 (par ex. inhibiteurs de la protéase (comme le ritonavir), antifongiques azolés (comme le kétoconazole, litraconazole), macrolides, (comme la clarithromycine), produits contenant du cobicistat, diltiazem, isoniazide, vérapamil) peut provoquer une exposition accrue aux corticostéroïdes et ainsi augmenter le risque deffets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice dune administration concomitante doit être rigoureusement évalué par rapport au risque potentiel deffets des corticostéroïdes systémiques et, le cas échéant, les effets secondaires des corticostéroïdes systémiques doivent être surveillés chez les patients. Une réduction de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire afin déviter une toxicité des stéroïdes. Le jus de pamplemousse est aussi un inhibiteur du CYP3A4.
  • -Les hormones sexuelles (p.ex. éthinylestradiol, noréthistérone) peuvent également influencer la clearance des glucocorticoïdes. Les œstrogènes en particulier peuvent renforcer l'efficacité des corticostéroïdes. Aux doses thérapeutiques de ces hormones (p.ex. dans les contraceptifs hormonaux), une inhibition cliniquement significative des enzymes du CYP par les hormones sexuelles est toutefois improbable.
  • +Inhibiteurs enzymatiques: les corticostéroïdes sont métabolisés par le CYP3A4. L'administration concomitante d'inhibiteurs modérés à forts du CYP3A4 (par ex. inhibiteurs de la protéase (comme le ritonavir), antifongiques azolés (comme le kétoconazole, l'itraconazole), macrolides (comme la clarithromycine), produits contenant du cobicistat, diltiazem, isoniazide, vérapamil) peut provoquer une exposition accrue aux corticostéroïdes et ainsi augmenter le risque d'effets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice d'une administration concomitante doit être rigoureusement évalué par rapport au risque potentiel d'effets des corticostéroïdes systémiques et, le cas échéant, les effets secondaires des corticostéroïdes systémiques doivent être surveillés chez les patients. Une réduction de la dose de méthylprednisolone peut être nécessaire afin d'éviter une toxicité des stéroïdes. Le jus de pamplemousse est aussi un inhibiteur du CYP3A4.
  • +Les hormones sexuelles (par ex. éthinylestradiol, noréthistérone) peuvent également influencer la clairance des glucocorticoïdes. Les œstrogènes en particulier peuvent renforcer l'effet des corticostéroïdes. Aux doses thérapeutiques de ces hormones (par ex. dans les contraceptifs hormonaux), une inhibition cliniquement significative des enzymes du CYP par les hormones sexuelles est toutefois improbable.
  • -Substrats du CYP3A4: de même, lors de l'administration concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (p.ex. benzodiazépines, cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant, diltiazem), la clearance hépatique de la méthylprednisolone peut être influencée, et une adaptation posologique nécessaire.
  • -En cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine, le métabolisme est inhibé de part et d'autre. Pour cette raison, les effets indésirables des deux substances peuvent être renforcés. Un nombre accru de convulsions a surtout été observé en cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine.
  • -Influence de la méthylprednisolone sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • +Substrats du CYP3A4: de même, lors de l'administration concomitante d'autres substrats du CYP3A4 (par ex. benzodiazépines, cyclophosphamide, tacrolimus, aprépitant, fosaprépitant, diltiazem), la clairance hépatique de la méthylprednisolone peut être influencée, et une adaptation posologique nécessaire.
  • +En cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine, le métabolisme est inhibé de part et d'autre. Pour cette raison, les effets indésirables des deux substances peuvent être renforcés. Un nombre accru de convulsions a en particulier été observé en cas de prise simultanée de méthylprednisolone et de ciclosporine.
  • +Effet de la méthylprednisolone sur d'autres médicaments
  • -La clearance et le taux d'acétylation de l'isoniazide peuvent être augmentés par la méthylprednisolone.
  • +La clairance et le taux d'acétylation de l'isoniazide peuvent être augmentés par la méthylprednisolone.
  • -L'acide acétylsalicylique doit être administré uniquement avec prudence avec des corticostéroïdes chez les patients présentant une hypothrombinémie.
  • +L'acide acétylsalicylique doit toujours être administré avec prudence avec des corticostéroïdes chez les patients présentant une hypothrombinémie.
  • -Anticholinergiques: l'atropine et d'autres anticholinergiques peuvent augmenter une pression oculaire déjà élevée par l'action de la méthylprednisolone.
  • -Sympathomimétiques: les corticostéroïdes augmentent l'efficacité ainsi que la toxicité des sympathicomimétiques tels que le salbutamol.
  • -Bloquants neuromusculaires: les corticostéroïdes peuvent influencer l'efficacité des bloquants neuromusculaires non dépolarisants tels que le vécuronium. Un antagonisme du bloc neuromusculaire et, lors de l'utilisation concomitante à des doses élevées, des myopathies aiguës ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Inhibiteurs de la choline estérase: les corticostéroïdes peuvent réduire l'efficacité des inhibiteurs de la choline estérase en cas de myasthénie grave. L'utilisation simultanée de méthylprednisolone et d'inhibiteurs de la choline estérase tels que la néostigmine ou la pyridostigmine peut déclencher une crise de myasthénie.
  • +Anticholinergiques: l'atropine et d'autres anticholinergiques peuvent augmenter une pression intra-oculaire déjà accrue par l'action de la méthylprednisolone.
  • +Sympathomimétiques: les corticostéroïdes augmentent l'effet ainsi que la toxicité des sympathicomimétiques tels que le salbutamol.
  • +Bloquants neuromusculaires: les corticostéroïdes peuvent influencer l'effet des bloquants neuromusculaires non dépolarisants tels que le vécuronium. Un antagonisme du bloc neuromusculaire et, lors de l'utilisation concomitante à des doses élevées, des myopathies aiguës ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Inhibiteurs de la choline estérase: les corticostéroïdes peuvent réduire l'effet des inhibiteurs de la choline estérase en cas de myasthénie grave. L'utilisation simultanée de méthylprednisolone et d'inhibiteurs de la choline estérase tels que la néostigmine ou la pyridostigmine peut déclencher une crise de myasthénie.
  • -Antihypertenseurs: l'effet antihypertenseur est en partie affaibli par l'effet minéralocorticoïde des corticoïdes, ce qui risque d'entraîner des hausses de la tension artérielle.
  • -Médicaments influençant l'équilibre potassique: en cas d'administration concomitante de corticostéroïdes avec des médicaments qui augmentent l'excrétion potassique (par ex. furosémide, hydrochlorothiazide, amphotéricine B, b�ta-sympathicomimétiques ou dérivés de la xanthine), il existe un risque accru d'hypokaliémie. Pour cette raison, la kaliémie doit être surveillée chez ces patients.
  • -Médicaments à usage psychiatrique: l'efficacité des anxiolytiques et antipsychotiques peut être affaiblie. La posologie de ces substances doit être ajustée le cas échéant.
  • -Cytostatiques: l'efficacité de la cyclophosphamide peut être affaiblie.
  • -Vaccins: l'action immunosuppressive des corticostéroïdes peut augmenter la toxicité des vaccins à germes vivants tels que ceux contre la poliomyélite, la tuberculose (BCG) et les oreillons, la rougeole et la rubéole. Des infections virales disséminées peuvent apparaître.
  • +Antihypertenseurs: l'effet antihypertenseur est en partie affaibli par l'effet minéralocorticoïde des corticoïdes, ce qui risque d'entraîner des hausses de la pression artérielle.
  • +Médicaments influençant l'équilibre potassique: en cas d'administration concomitante de corticostéroïdes avec des médicaments qui augmentent l'excrétion potassique (par ex. furosémide, hydrochlorothiazide, amphotéricine B, b�ta-sympathicomimétiques ou dérivés de la xanthine), il existe un risque accru d'hypokaliémie. Pour cette raison, la kaliémie doit être surveillée chez ces patients.
  • +Médicaments à usage psychiatrique: l'effet des anxiolytiques et antipsychotiques peut être affaibli. La dose de ces substances doit être ajustée, le cas échéant.
  • +Cytostatiques: l'effet du cyclophosphamide peut être affaibli.
  • +Vaccins: l'action immunosuppressive des corticostéroïdes peut augmenter la toxicité des vaccins à germes vivants tels que ceux contre la poliomyélite, la tuberculose (BCG), les oreillons, la rougeole et la rubéole. Des infections virales disséminées peuvent survenir.
  • -La lidocaïne est un substrat des enzymes CAP1A2 et CYP3A4 du CYP450. Pour cette raison, le métabolisme de la lidocaïne peut être inhibé en cas de prise simultanée d'inhibiteurs du CYP (p.ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole, clarithromycine, érythromycine, cimétidine) et renforcé par la prise simultanée d'inducteurs enzymatiques (p.ex. barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine).
  • +La lidocaïne est un substrat des enzymes CAP1A2 et CYP3A4 du CYP450. Pour cette raison, le métabolisme de la lidocaïne peut être inhibé en cas de prise simultanée d'inhibiteurs du CYP (par ex. itraconazole, voriconazole, fluconazole, clarithromycine, érythromycine, cimétidine) et renforcé par la prise simultanée d'inducteurs enzymatiques (par ex. barbituriques, carbamazépine, phénytoïne, primidone, rifampicine).
  • -En cas d'administration simultanée de substances dont la structure est apparentée aux anesthésiques locaux de type amide (p.ex. antiarrythmiques tels que méxilétine ou tocaïnide) les effets toxiques systémiques peuvent s'additionner. Depo-Medrol Lidocaïne doit donc être administré avec une prudence particulière chez les patients qui sont traités avec de tels médicaments.
  • -L'efficacité des myorelaxants peut être renforcée par la lidocaïne.
  • +En cas d'administration simultanée de substances dont la structure est apparentée aux anesthésiques locaux de type amide (par ex. antiarythmiques tels que mexilétine ou tocaïnide), les effets toxiques systémiques peuvent s'additionner. Depo-Medrol Lidocaine doit donc être administré avec une prudence particulière chez les patients qui sont traités avec de tels médicaments.
  • +L'effet des myorelaxants peut être renforcé par la lidocaïne.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Les études chez l'animal ont mis en évidence des effets indésirables pour le foetus (voir «Données précliniques»). On ne dispose pas d'études contrôlées chez l'être humain et à ce jour, aucun effet exercé par les corticostéroïdes sur le déroulement de l'accouchement n'est connu. Des études rétrospectives de suivi de 17 femmes, ayant reçu des doses variées de différents glucocorticoïdes au cours de 34 grossesses n'ont donné aucun indice en faveur d'effets tératogènes du médicament.
  • +Les études chez l'animal ont mis en évidence des effets indésirables pour le fœtus (voir «Données précliniques»). On ne dispose pas d'études contrôlées chez l'être humain et à ce jour, aucun effet exercé par les corticostéroïdes sur le déroulement de l'accouchement n'est connu. Des études rétrospectives de suivi de 17 femmes ayant reçu des doses variées de différents glucocorticoïdes au cours de 34 grossesses n'ont donné aucun indice en faveur d'effets tératogènes du médicament.
  • -C'est pourquoi Depo-Medrol Lidocaïne ne doit être administré pendant la grossesse qu'en cas de nécessité manifeste.
  • -Une étude rétrospective a démontré une incidence accrue de faible poids de naissance chez les nouveau-nés dont les mères avaient reçu des corticostéroïdes. Chez l'homme, le risque d'insuffisance pondérale à la naissance semble dépendre de la dose et peut être réduit par l'administration de plus faibles doses de corticostéroïdes. Une cataracte a été par ailleurs observée chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu un traitement prolongé par des corticostéroïdes.
  • -Les nouveau-nés dont les mères ont reçu des doses de stéroïdes assez importantes pendant la grossesse, devraient être soigneusement surveillés par rapport aux signes éventuels d'une insuffisance corticosurrénale; un traitement de substitution dégressif est nécessaire le cas échéant.
  • -L'utilisation d'anésthésiques locaux tels que la lidocaïne pendant la naissance peut provoquer des effets indésirables chez les mères et/ou chez l'enfant à naître (bradycardies).
  • +En conséquence, Depo-Medrol Lidocaine ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Une étude rétrospective a démontré une incidence accrue des faibles poids de naissance chez les nouveau-nés dont les mères avaient reçu des corticostéroïdes. Chez l'être humain, le risque d'insuffisance pondérale à la naissance semble dépendre de la dose et peut être réduit par l'administration de plus faibles doses de corticostéroïdes. Une cataracte a par ailleurs été observée chez les nouveau-nés dont la mère avait reçu un traitement prolongé par des corticostéroïdes.
  • +Les nouveau-nés dont la mère a reçu des doses élevées de stéroïdes pendant la grossesse doivent être soigneusement surveillés pour détecter les signes éventuels d'une insuffisance corticosurrénale; un traitement de substitution dégressif peut être nécessaire le cas échéant.
  • +L'utilisation d'anesthésiques locaux tels que la lidocaïne pendant l'accouchement peut provoquer des effets indésirables chez la mère et/ou chez l'enfant à naître (bradycardie).
  • -Puisque la méthylprednisolone et la lidocaïne diffusent dans le lait maternel avec le risque d'atteinte, entre autres, de la fonction corticosurrénale et de la croissance du nourrisson, il ne faut pas utiliser Depo-Medrol Lidocaïne pendant l'allaitement.
  • +Puisque la méthylprednisolone et la lidocaïne diffusent dans le lait maternel et que les corticostéroïdes peuvent nuire, entre autres, à la fonction corticosurrénale et à la croissance du nourrisson, il ne faut pas utiliser Depo-Medrol Lidocaine pendant l'allaitement.
  • -L'effet des corticostéroïdes sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation des machines n'a pas été étudié. Des effets indésirables tels que vertige, sensation vertigineuse, troubles visuels et fatigue peuvent apparaitre sous traitement corticostéroïde. Les patients concernés ne doivent pas conduire ou utiliser des machines.
  • +L'effet des corticostéroïdes sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines n'a pas été étudié. Des effets indésirables tels qu'étourdissement, sensation vertigineuse, troubles visuels et fatigue peuvent survenir sous traitement corticostéroïde. Les patients concernés ne doivent pas conduire ou utiliser de machines.
  • -Les effets secondaires énumérés ci-après s'appliquent typiquement aux corticostéroïdes à utilisation systémique et, par conséquent, peuvent aussi apparaître sous traitement par Depo-Medrol Lidocaïne. Dans le paragraphe suivant figurent les effets indésirables observés lors de l'utilisation de lidocaïne. Il n'existe aucune donnée spécifique concernant l'utilisation concomitante de méthylprednisolone et de lidocaïne.
  • -Les effets indésirables sont listés selon les classes d'organes et leur fréquence d'apparition lorsque c'est possible, selon les définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents ≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000), inconnus (la fréquence ne peut pas être déterminée sur la base des données disponibles).
  • +Les effets secondaires énumérés ci-après s'appliquent typiquement aux corticostéroïdes à utilisation systémique et, par conséquent, peuvent aussi survenir sous traitement par Depo-Medrol Lidocaine. Dans le paragraphe suivant figurent les effets indésirables observés lors de l'utilisation de lidocaïne. Il n'existe aucune donnée spécifique concernant l'utilisation concomitante de méthylprednisolone et de lidocaïne.
  • +Les effets indésirables sont listés selon les classes d'organes et leur fréquence d'apparition lorsque possible, selon les définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Les effets indésirables de la méthylprednisolone dépendent de la dose et de la durée du traitement ainsi que de l'âge, du sexe et de la maladie de fond du patient.
  • +Les effets indésirables de la méthylprednisolone dépendent de la dose et de la durée du traitement ainsi que de l'âge, du sexe et de la maladie sous-jacente du patient.
  • -Fréquent: infections.
  • -Inconnus: infections opportunistes.
  • +Fréquents: infections.
  • +Fréquence inconnue: infections opportunistes.
  • -Inconnus: leucocytose.
  • +Fréquence inconnue: leucocytose.
  • -Inconnus: réactions dhypersensibilité (y compris réactions d’anaphylaxie ou anaphylctoïdes tels quangiœdème, ou collapsus circulatoire), atténuation des réactions aux tests cutanés.
  • +Fréquence inconnue: réactions d'hypersensibilité (y compris réactions anaphylactiques ou anaphylactoïdes telles qu'angiœdème ou collapsus circulatoire), atténuation des réactions aux tests cutanés.
  • -Fréquent: syndrome de Cushing.
  • -Inconnus: hypopituitarisme, syndrome de sevrage des stéroïdes, déclanchement dune crise de phéochromocytome chez des patients présentant un phéochromocytome préexistant (ou latent).
  • +Fréquents: syndrome de Cushing.
  • +Fréquence inconnue: hypopituitarisme, syndrome de sevrage des stéroïdes, déclenchement d'une crise de phéochromocytome chez des patients présentant un phéochromocytome préexistant (ou latent).
  • -Fréquent: rétention hydrosodée, hypokaliémie.
  • -Inconnus: augmentation de l’appétit (pouvant provoquer une prise de poids), diminution de la tolérance au glucose, dyslipidémie, acidose métabolique, bilan azoté négatif consécutif au catabolisme protéique, alcalose hypokaliémique, lipomatose.
  • +Fréquents: rétention hydrosodée, hypokaliémie.
  • +Fréquence inconnue: appétit augmenté (pouvant provoquer un gain pondéral), diminution de la tolérance au glucose, dyslipidémie, acidose métabolique, bilan azoté négatif consécutif au catabolisme protéique, alcalose hypokaliémique, lipomatose.
  • -Fréquent: troubles affectifs tels quhumeur dépressive ou euphorique, variations d’humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • -Inconnus: labilité affective, anxiété, troubles mentaux, états confusionnels, modification de la personnalité, dépendance psychique, troubles psychotiques (tels que manie, obsession, hallucinations, schizophrénie ou aggravation de celle-ci), idées suicidaires.
  • +Fréquents: troubles affectifs tels qu'humeur dépressive ou euphorique, sautes d'humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • +Fréquence inconnue: labilité affective, anxiété, troubles mentaux, états confusionnels, modifications de la personnalité, dépendance psychique, troubles psychotiques (tels que manie, idées délirantes, hallucinations, schizophrénie ou aggravation de celle-ci), idées suicidaires.
  • -Fréquent: insomnie.
  • -Inconnus: céphalées, vertige, insomnie, amnésie, troubles cognitifs, élévation de la pression intracrânienne (avec œdème papillaire [hypertension intracrânienne bénigne]), convulsions, lipomatose épidurale.
  • +Fréquents: insomnie.
  • +Fréquence inconnue: céphalées, étourdissement, amnésie, troubles cognitifs, augmentation de la pression intracrânienne (avec œdème papillaire [hypertension intracrânienne bénigne]), convulsions, lipomatose épidurale.
  • -Fréquent: cataracte, glaucome.
  • -Inconnus: hausse de la pression intraoculaire, exophtalmie, choriorétinopathie, cas isolés de cécité après application intralésionnelle dans la région du visage et de la tête.
  • -Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Inconnus: vertige.
  • +Fréquents: cataracte, glaucome.
  • +Fréquence inconnue: pression intraoculaire augmentée, exophtalmie, choriorétinopathie, cas isolés de cécité après application intralésionnelle dans la région du visage et de la tête.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquence inconnue: vertige.
  • -Inconnus: insuffisance cardiaque chez les patients prédisposés, arythmies.
  • +Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque chez les patients prédisposés, arythmies.
  • -Fréquent: hypertension.
  • -Inconnus: hypotension, événements thrombo-emboliques.
  • +Fréquents: hypertension.
  • +Fréquence inconnue: hypotension, événements thrombo-emboliques.
  • -Inconnus: hoquet.
  • +Fréquence inconnue: hoquet.
  • -Fréquent: ulcère peptique (éventuellement perforation dulcère et hémorragie).
  • -Inconnus: douleurs abdominales, sensation de tension abdominale, nausée, vomissements, diarrhée, dyspepsie, œsophagite (y compris œsophagite ulcérative), hémorragies gastro-intestinales, pancréatite (également chez lenfant), perforation intestinale, péritonite.
  • +Fréquents: ulcère peptique (avec éventuellement perforation d'ulcère ou hémorragie).
  • +Fréquence inconnue: douleurs abdominales, sensation de tension abdominale, nausées, vomissements, diarrhée, dyspepsie, œsophagite (y compris œsophagite ulcérative), hémorragies gastro-intestinales, pancréatite (également chez l'enfant), perforation intestinale, péritonite.
  • -Inconnus: élévation des transaminases et/ou de la phosphatase alcaline.
  • +Fréquence inconnue: élévation des transaminases et/ou de la phosphatase alcaline.
  • -Fréquent: atrophie cutanée, acné, ecchymoses.
  • -Inconnus: érythème, éruption cutanée, hyperhidrose, prurit, stries, troubles de la pigmentation, hirsutisme, pétéchies, urticaire, abcès stériles.
  • +Fréquents: atrophie cutanée, acné, ecchymoses.
  • +Fréquence inconnue: érythème, rash cutané, hyperhidrose, prurit, vergetures, troubles de la pigmentation, hirsutisme, pétéchies, urticaire, abcès stériles.
  • -Fréquent: faiblesse musculaire, ostéoporose.
  • -Inconnus: arthralgie, myalgie, myopathie, atrophie musculaire, arthropathie neuropathique, rupture tendineuse (en particulier du tendon dAchille), fractures par compression vertébrale, fractures pathologiques, ostéonécrose, exacerbation dune inflammation articulaire après administration intrasynoviale («Post-Injection Flare»).
  • -Affections du rein et des voies urinaires:
  • -Inconnus: urée sanguine augmentée.
  • +Fréquents: faiblesse musculaire, ostéoporose.
  • +Fréquence inconnue: arthralgie, myalgie, myopathie, atrophie musculaire, arthropathie neuropathique, rupture de tendon (en particulier du tendon d'Achille), fractures par compression vertébrale, fractures pathologiques, ostéonécrose, exacerbation d'une inflammation articulaire après administration intrasynoviale («Post-Injection Flare»).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquence inconnue: urée sanguine augmentée.
  • -Inconnus: troubles menstruels, impuissance.
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Fréquent: œdème périphérique, troubles de la cicatrisation.
  • -Inconnus: réactions au site dinjection (telles quérythème, prurit, éruption et urticaire), infections au site d'injection, fatigue, sensation de malaise.
  • +Fréquence inconnue: troubles menstruels, troubles de la puissance sexuelle.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: œdèmes périphériques, troubles de la cicatrisation.
  • +Fréquence inconnue: réactions au site d'injection (telles qu'érythème, prurit, rash ou urticaire), infections au site d'injection, fatigue, malaise.
  • -Le profil de sécurité d’emploi de la méthylprednisolone chez les enfants et les adolescents correspond pour lessentiel à celui des adultes. Les effets indésirables suivants ont en outre été observés chez les enfants:
  • +Le profil de sécurité de la méthylprednisolone chez les enfants et les adolescents correspond pour l'essentiel à celui des adultes. Les effets indésirables suivants ont en outre été observés chez les enfants:
  • -Fréquent: retard de croissance.
  • +Fréquents: retard de croissance.
  • -Fréquent: modifications de l’humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • +Fréquents: sautes d'humeur, irritabilité, comportement anormal.
  • -Fréquent: insomnie.
  • +Fréquents: insomnie.
  • -Rare: réactions anaphylactiques.
  • +Rares: réactions anaphylactiques.
  • -Fréquent: nervosité, anxiété, euphorie, confusion.
  • +Fréquents: nervosité, anxiété, euphorie, confusion.
  • -Fréquent: vertige, paresthésies, somnolence, sensibilité au toucher, tremblements, dysarthrie, convulsions, perte de conscience.
  • -Rare: neuropathies.
  • +Fréquents: étourdissement, paresthésies, envie de dormir, sensibilité au toucher, tremblements, dysarthrie, convulsions, perte de connaissance.
  • +Rares: neuropathie.
  • -Fréquent: vision trouble, vision double.
  • -Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Fréquent: acouphène.
  • -Occasionnel: hyperacousie.
  • +Fréquents: vision floue, vision double.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquents: acouphène.
  • +Occasionnels: hyperacousie.
  • -Fréquent: bradycardie, hypotension, hypertension.
  • -Rare: arythmies, collapsus circulatoire, arrêt cardiaque.
  • +Fréquents: bradycardie, hypotension, hypertension.
  • +Rares: arythmies, collapsus cardiovasculaire, arrêt cardiaque.
  • -Fréquent: dépression respiratoire, arrêt respiratoire.
  • +Fréquents: dépression respiratoire, arrêt respiratoire.
  • -Fréquent: nausée, vomissements.
  • +Fréquents: nausées, vomissements.
  • -Inconnus: lésions cutanées, urticaire.
  • +Fréquence inconnue: lésions cutanées, urticaire.
  • -Fréquent: secousses musculaires.
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Fréquent: œdème, sensation de chaleur et/ou sensation de froid.
  • +Fréquents: contractions musculaires.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: œdèmes, sensation de chaud et/ou de froid.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Les rapports de toxicité aigüe après surdosage de corticostéroïdes sont rares, aucun syndrome clinique de surdosage aigu n'est connu. En cas de surdosage, on ne dispose d'aucun antidote. On appliquera un traitement symptomatique et de soutien. La méthylprednisolone est dialysable.
  • +Les rapports de toxicité aig après surdosage de corticostéroïdes sont rares, aucun syndrome clinique de surdosage aigu n'est connu. En cas de surdosage, on ne dispose d'aucun antidote spécifique. On appliquera un traitement symptomatique et de soutien. La méthylprednisolone est dialysable.
  • -En cas d'injection intravasculaire accidentelle, l'apparition de ces symptômes est immédiate (dans les 1 à 3 minutes); en cas de surdosage par contre ils n'apparaissent que 20 à 30 minutes après.
  • -Les premiers symptômes d'un surdosage sont: baillements, paresthésies (avant tout péri-orales), torpeur, agitation, sensation de malaise, acouphènes, hyperacousie, troubles visuels, dysarthrie et ataxie, ainsi que nausées et vomissements. En cas d'intoxications de gravité moyenne, des secousses ou spasmes musculaires, suivis de convulsions généralisées, peuvent survenir. Elles sont parfois suivies d'une perte de conscience, d'une dépression respiratoire et d'un coma. Dans les cas graves, généralement après l'apparition de symptômes du système nerveux central, le système cardiovasculaire peut être également touché. Les symptômes sont alors les suivants: chute de tension artérielle, bradycardie et arythmies. Les intoxications très graves peuvent entraîner un bloc AV complet et un arrêt cardiovasculaire.
  • -En cas de signes de toxicité systémique aiguë, l'injection doit immédiatement être interrompue. Il n'existe aucun antidote spécifique, le traitement du surdosage est symptomatique. En cas d'arrêt cardiovasculaire, une réanimation cardiopulmonaire rapide est indiquée, avec un traitement de l'acidose.
  • +En cas d'injection intravasculaire accidentelle, l'apparition des symptômes suivants est immédiate (dans les 1 à 3 minutes); alors qu'en cas de surdosage, ils n'apparaissent que 20 à 30 minutes après.
  • +Les premiers symptômes d'un surdosage sont: bâillements, paresthésies (avant tout péri-orales), endormissement, agitation, sensation vertigineuse, acouphènes, hypoacousie, troubles visuels, dysarthrie et ataxie, ainsi que nausées et vomissements. En cas d'intoxications de gravité moyenne, des contractions ou spasmes musculaires, suivis de convulsions généralisées, peuvent survenir. Elles sont parfois suivies d'une perte de connaissance, d'une dépression respiratoire et d'un coma.
  • +Dans les cas graves, généralement après l'apparition de symptômes du système nerveux central, le système cardiovasculaire peut être également touché. Les symptômes sont alors les suivants: chute de pression artérielle, bradycardie et arythmies. Les intoxications très graves peuvent entraîner un bloc AV complet et un arrêt cardio-circulatoire.
  • +En cas de signes de toxicité systémique aiguë, l'injection doit immédiatement être interrompue. Il n'existe aucun antidote spécifique, le traitement du surdosage est symptomatique. En cas d'arrêt cardio-circulatoire, une réanimation cardiopulmonaire rapide est indiquée, avec un traitement de l'acidose.
  • -Code ATC: H02BX01
  • -Depo-Medrol Lidocaïne est une suspension aqueuse stérile contenant les principes actifs acétate de méthylprednisolone et la lidocaïne (anesthésique local). L'acétate de méthylprednisolone partage les propriétés de la méthylprednisolone, il s'en distingue cependant par une efficacité de plus longue durée. Ce phénomène est dû à une solubilité plus faible et à un métabolisme ralenti. L'efficacité thérapeutique persiste encore longtemps après la diminution du taux plasmatique en-dessous des limites détectables.
  • -
  • +Code ATC
  • +H02BX01
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +Depo-Medrol Lidocaine est une suspension aqueuse stérile contenant comme principes actifs de l'acétate de méthylprednisolone et de la lidocaïne (anesthésique local). L'acétate de méthylprednisolone partage les propriétés qualitatives de la méthylprednisolone, il s'en distingue cependant par une efficacité de plus longue durée. Ce phénomène est dû à une solubilité plus faible et à un métabolisme ralenti. L'efficacité thérapeutique persiste encore longtemps après la diminution du taux plasmatique en dessous des limites détectables.
  • +Méthylprednisolone
  • +L'acétate de méthylprednisolone possède des effets anti-inflammatoires et immunosuppresseurs ainsi que de faibles propriétés minéralocorticoïdes. L'action de la méthylprednisolone, à l'instar de tous les glucocorticoïdes, repose sur une stimulation de la synthèse de protéines cellulaires spécifiques. Ces dernières sont biologiquement actives et responsables de l'effet systémique. En raison de son mécanisme d'action, l'effet est également retardé après une administration parentérale.
  • +Lidocaïne
  • +La lidocaïne est un anesthésique local de type anilide à effet rapide et durée d'action moyenne, qui bloque de manière réversible la conduction nerveuse à proximité du site d'injection.
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -L'acétate de méthylprednisolone possède des propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives ainsi qu'un faible effet minéralocorticoïde. L'action de la méthylprednisolone, à l'instar de tous les glucocorticoïdes, repose sur une stimulation de la synthèse de protéines cellulaires spécifiques. Ces dernières sont biologiquement actives et responsables de l'effet systémique. A cause de son mécanisme d'action, l'effet est également retardé après une administration parentérale.
  • -La lidocaïne est un anesthésique local de type anilide présentant une entrée en action rapide et une durée d'action moyenne, qui bloque de manière réversible la conduction nerveuse à proximité du site d'injection. L'effet anesthésique local débute quelques minutes après l'injection de Depo-Medrol Lidocaïne et se maintient pendant 45-60 minutes.
  • +L'effet anesthésique local débute quelques minutes après l'injection de Depo-Medrol Lidocaine et se maintient pendant 45 à 60 minutes.
  • -Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible pour l'injection intra-articulaire de Depo-Medrol Lidocaïne. Les données pharmacocinétiques de chacune des deux substances sont décrites ci-dessous.
  • +Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible pour l'injection intra-articulaire de Depo-Medrol Lidocaine. Les données pharmacocinétiques de chacune des deux substances sont décrites ci-dessous.
  • -Des pics plasmatiques (Cmax) d'environ 160 ng/ml de méthylprednisolone sont atteintes en environ 48 heures après l'administration intra-articulaire de 80 mg d'acétate de méthylprednisolone.
  • +Des pics plasmatiques (Cmax) d'environ 160 ng/ml de méthylprednisolone sont atteints en environ 4 à 8 heures après l'administration intra-articulaire de 80 mg d'acétate de méthylprednisolone.
  • -La méthylprednisolone se distribue largement dans les tissus. Le volume de distribution est d'environ 1.4 l/kg. La méthylprednisolone est liée aux protéines plasmatiques à raison de 77% environ.
  • +La méthylprednisolone se distribue largement dans les tissus. Le volume de distribution est d'environ 1.4 l/kg. La méthylprednisolone est liée aux protéines plasmatiques à environ 77%.
  • -Le métabolisme de la méthylprednisolone dans le foie s'effectue de façon semblable à celui du cortisol. Ses métabolites principaux sont la 20α-hydroxy-méthylprednisolone et la 20β-hydroxy-6α-méthylprednisolone.
  • -Elimination
  • -La clearance totale de la méthylprednisolone est de 5-6 ml/min/kg, la demi-vie d'élimination moyenne de la méthylprednisolone est de 1.8-5.2 heures. Les demi-vies plasmatiques des corticoïdes sont en règle générale courtes par rapport aux demi-vies biologiques (la demi-vie visible après administration i.m. de 40 mg d'acétate de méthylprednisolone est de 70 heures). L'élimination des métabolites s'effectue principalement par les reins sous forme de glucuronides, de sulfates et de composés non conjugués. Des quantités minimes de méthylprednisolone sont éliminées par les fèces.
  • +Le métabolisme de la méthylprednisolone dans le foie est qualitativement semblable à celui du cortisol. Ses métabolites principaux sont la 20α-hydroxy-méthylprednisolone et la 20β-hydroxy-6α-méthylprednisolone.
  • +Élimination
  • +La clairance totale de la méthylprednisolone est de 5 à 6 ml/min/kg, la demi-vie d'élimination moyenne de la méthylprednisolone est de 1.8 à 5.2 heures. Les demi-vies plasmatiques des corticoïdes sont en règle générale courtes par rapport aux demi-vies biologiques (la demi-vie visible après administration i.m. de 40 mg d'acétate de méthylprednisolone est de 70 heures). L'élimination des métabolites s'effectue dans l'urine sous forme de glucuronides, de sulfates et de composés non conjugués. Des quantités minimes de méthylprednisolone sont éliminées par les fèces.
  • -Pédiatrie: chez les nouveau-nés, la clearance plasmatique est inférieure à celle des enfants et des adultes.
  • -Insuffisance rénale: aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale, la méthylprednisolone est dialysable.
  • -Insuffisance hépatique: en cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de la méthylprednisolone est ralentie de telle sorte que les effets attendus et indésirables peuvent être renforcés.
  • -Hypoalbuminémie/hyperalbuminémie: des concentrations élevées et donc indésirables de méthylprednisolone non liée aux protéines peuvent apparaître.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +En cas d'insuffisance hépatique sévère, la métabolisation de la méthylprednisolone est ralentie de telle sorte que les effets attendus et indésirables peuvent être renforcés.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale, la méthylprednisolone est dialysable.
  • +Enfants et adolescents
  • +Chez les nouveau-nés, la clairance plasmatique est inférieure à celle des enfants et des adultes.
  • +Hypoalbuminémie/hyperbilirubinémie
  • +Des concentrations élevées et donc indésirables de méthylprednisolone non liée aux protéines peuvent apparaître.
  • -Il n'existe aucune donnée concernant la pharmacocinétique de la lidocaïne après une administration intrabursique ou intrakystique.
  • +Il n'existe aucune donnée concernant la pharmacocinétique de la lidocaïne après une administration intrabursale ou intrakystique.
  • -Après injection intra-articulaire d'un bolus de lidocaïne, la Cmax se situait entre 0.63 et 2.18 µg/ml, selon le dosage utilisé. Les concentrations systémiques maximales étaient ainsi atteintes entre 0.5 et 2 heures.
  • +Après injection intra-articulaire d'un bolus de lidocaïne, la Cmax se situait entre 0.63 et 2.18 µg/ml, selon la posologie utilisée. Les concentrations systémiques maximales étaient ainsi atteintes après 0.5 à 2 heures.
  • -La lidocaïne passe la barrière placentaire. La concentration totale chez le fœtus est toutefois inférieure à celle de la mère, car la liaison aux protéines plasmatiques chez le fœtus est inférieure. La lidocaïne passe en faible quantité dans le lait maternel.
  • +La lidocaïne passe la barrière placentaire. La concentration totale chez le fœtus est toutefois inférieure à celle de la mère, car la liaison aux protéines plasmatiques chez le fœtus est inférieure.
  • +La lidocaïne passe en faible quantité dans le lait maternel.
  • -La lidocaïne est essentiellement métabolisée dans le foie, par l'effet de plusieurs enzymes du CYP450 (p.ex. CYP3A4 et CYP1A2). Les principaux métabolites de la lidocaïne sont le mono-éthyl-glycine-xylidide, le glycine-xylidide, la 2,6-diméthylaniline et la 4-hydroxy-2,6-diméthylaniline. Le mono-éthyl-glycine-xylidide et le glycine-xylidide sont pharmacologiquement actifs, mais leur activité est plus faible que celle de la substance mère.
  • -Elimination
  • +La lidocaïne est essentiellement métabolisée dans le foie, par l'effet de plusieurs enzymes du CYP450 (par ex. CYP3A4 et CYP1A2). Les principaux métabolites de la lidocaïne sont le mono-éthyl-glycine-xylidide, le glycine-xylidide, la 2,6-diméthylaniline et la 4-hydroxy-2,6-diméthylaniline. Le mono-éthyl-glycine-xylidide et le glycine-xylidide sont pharmacologiquement actifs, mais leur activité est plus faible que celle de la substance mère.
  • +Élimination
  • -La clairance plasmatique de la lidocaïne après injection intraveineuse en bolus se situe entre 9 et 10 ml/min/kg. Après l'injection intraveineuse d'un bolus de lidocaïne, la demi-vie d'élimination est de 1.5-2 heures, et de 10 heures maximum pour chacun des métabolites actifs. En cas d'administration sur une plus longue durée, une accumulation de glycine-xylidide est possible.
  • +La clairance plasmatique de la lidocaïne après injection intraveineuse en bolus se situe entre 9 et 10 ml/min/kg.
  • +Après l'injection intraveineuse d'un bolus de lidocaïne, la demi-vie d'élimination est de 1.5 à 2 heures, et de 10 heures maximum pour chacun des métabolites actifs. En cas d'administration sur une plus longue durée, une accumulation de glycine-xylidide est possible.
  • -Pédiatrie: chez les nouveau-nés, la demi-vie d'élimination correspond approximativement au double (3.2 heures) de la demi-vie d'élimination de l'adulte.
  • -Troubles de la fonction hépatique: chez les patients atteints de troubles de la fonction hépatique, la demi-vie de la lidocaïne était approximativement triplée après une injection intraveineuse.
  • -Troubles de la fonction rénale: des troubles légers à modérés de la fonction rénale (Clcr de 30 à 60 ml/min) n'affectent pas la pharmacocinétique de la lidocaïne, mais peuvent exacerber l'accumulation des métabolites glycine-xylidide. En cas de troubles graves de la fonction rénale (Clcr <30 ml/min), la clairance de la lidocaïne était environ réduite de moitié et sa demi-vie était doublée.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients atteints de troubles de la fonction hépatique, la demi-vie de la lidocaïne a été approximativement multipliée par 3 après une injection intraveineuse.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Des troubles légers à modérés de la fonction rénale (Clcr de 30 à 60 ml/min) n'affectent pas la pharmacocinétique de la lidocaïne, mais peuvent exacerber l'accumulation des métabolites glycine-xylidide. En cas de troubles sévères de la fonction rénale (Clcr <30 ml/min), la clairance de la lidocaïne était environ réduite de moitié et sa demi-vie était doublée.
  • +La lidocaïne est dialysable.
  • +Enfants et adolescents
  • +Chez les nouveau-nés, la demi-vie d'élimination correspond approximativement au double (3.2 heures) de la demi-vie d'élimination de l'adulte.
  • +
  • -Sur la base des études cliniques conventionnelles concernant la sécurité d’emploi pharmacologique et la toxicité après administration de doses répétées, aucun risque inattendu na été identifié.
  • -Les toxicités observées lors des études à doses répétées correspondaient à celles attendues lors de lexposition en continu aux corticostéroïdes exogènes. La méthylprednisolone na montré aucun indice de potentiel de sensibilisation au cours de test sur les cochons d’Inde.
  • -Cancérogénicité
  • -Aucune étude de cancérogénicité de la méthylprednisolone n’a été conduite chez des rongeurs. Des tests de cancérogénicité menés sur des glucocorticoïdes apparentés chez le rat ont donné des résultats variés. Les données publiées indiquent que le budésonide, la prednisolone et l’acétonide de triamcinolone peuvent augmenter l’incidence des adénomes et des carcinomes hépatocellulaires après administration par voie orale dans de l’eau potable à des rats mâles, les doses étant inférieures aux doses cliniques typiques (calculées sur la base de mg/m2).
  • +Sur la base des études cliniques conventionnelles concernant la pharmacologie de sécurité et la toxicité en cas d'administration répétée, aucun risque inattendu n'a été identifié. Les toxicités observées lors des études à doses répétées correspondaient à celles attendues lors de l'exposition en continu aux corticostéroïdes exogènes. La méthylprednisolone n'a montré aucun indice de potentiel de sensibilisation au cours du test sur les cochons d'Inde.
  • -Aucune étude na été conduite sur la génotoxicité de la méthylprednisolone.
  • -Le sulfonate de méthylprednisolone, dont la structure est similaire à celle de la méthylprednisolone, na pas montré de mutagénicité sur Salmonella typhimurium jusquà 2000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Le sulfonate de méthylprednisolone na pas été mutagène lors dun test de mutation génique sur des cellules ovariennes de hamster chinois à des concentrations jusquà 10000 µg/ml.
  • -Le suleptanate de méthylprednisolone na pas induit de synthèse non programmée de lADN dans des hépatocytes primaires de rat à une concentration allant jusquà 1000 µg/ml.
  • -En outre, un examen des données publiées suggère que le farnésylate de prednisolone (PNF), qui est similaire par sa structure à la méthylprednisolone, na pas été mutagène dans des souches de Salmonella typhimurium et dEscherichia coli jusqu'à 5000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Dans une lignée cellulaire de fibroblastes de hamsters chinois, le PNF à la concentration la plus élevée testée de 1500 µg/ml a montré une légère augmentation de lincidence des aberrations chromosomiques structurelles après activation métabolique.
  • -Toxicité de la reproduction
  • -Lors de l'administration de corticostéroïdes à des rats, une réduction de la fertilité a été observée. Après un traitement sous-cutané de rats mâles pendant 6 semaines par corticostérone à des doses de 10 et 20 mg/kg/jour, une réduction du bouchon copulatoire a été observée, ce qui peut être un effet secondaire du moindre poids supplémentaire de lorgane. Après copulation avec des mâles traités, les femelles non traitées présentaient une baisse du nombre de sites d'implantation et de fœtus vivants. L'effet délétère pour la fertilité des différents corticostéroïdes est très variable, ce qui empêche une évaluation quantitative du risque lié à la méthylprednisolone.
  • -Ladministration de doses de corticostéroïdes équivalentes aux doses humaines sest révélée tératogène chez de nombreuses espèces animales. Dans les études correspondantes, il a été démontré que les glucocorticoïdes comme la méthylprednisolone augmentent lincidence des malformations (fente palatine, malformations squelettiques, anencéphalie, défauts ventriculaires, spina bifida), de la mortalité embryofœtale (par ex. augmentation des résorptions) ainsi que des retards de croissance intra-utérins.
  • +Aucune étude n'a été conduite sur la génotoxicité de la méthylprednisolone.
  • +Le sulfonate de méthylprednisolone, dont la structure est similaire à celle de la méthylprednisolone, n'a pas montré de mutagénicité sur Salmonella typhimurium jusqu'à 2'000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Le sulfonate de méthylprednisolone n'a pas été mutagène lors d'un test de mutation génique sur des cellules ovariennes de hamster chinois à des concentrations jusqu'à 10'000 µg/ml.
  • +Le suleptanate de méthylprednisolone n'a pas induit de synthèse non programmée de l'ADN dans des hépatocytes primaires de rat à une concentration allant jusqu'à 1'000 µg/ml.
  • +En outre, un examen des données publiées suggère que le farnésylate de prednisolone (PNF), qui est similaire par sa structure à la méthylprednisolone, n'a pas été mutagène dans des souches de Salmonella typhimurium et d'Escherichia coli jusqu'à 5'000 µg/plaque avec ou sans activation métabolique. Dans une lignée cellulaire de fibroblastes de hamsters chinois, le PNF à la concentration la plus élevée testée de 1'500 µg/ml a montré une légère augmentation de l'incidence des aberrations chromosomiques structurelles après activation métabolique.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de carcinogénicité de la méthylprednisolone n'a été conduite chez des rongeurs. Des tests de carcinogénicité menés sur des glucocorticoïdes apparentés chez le rat ont donné des résultats variés. Les données publiées indiquent que le budésonide, la prednisolone et l'acétonide de triamcinolone peuvent augmenter l'incidence des adénomes et des carcinomes hépatocellulaires après administration par voie orale dans de l'eau potable à des rats mâles, les doses étant inférieures aux doses cliniques typiques (calculées sur la base de mg/m2).
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Lors de l'administration de corticostéroïdes à des rats, une réduction de la fertilité a été observée. Après un traitement sous-cutané de rats mâles pendant 6 semaines par corticostérone à des doses de 10 et 20 mg/kg/jour, une réduction du bouchon copulatoire a été observée, ce qui peut être un effet secondaire du moindre poids supplémentaire de l'organe. Après copulation avec des mâles traités, les femelles non traitées présentaient une baisse du nombre de sites d'implantation et de fœtus vivants. L'effet délétère pour la fertilité des différents corticostéroïdes est très variable, ce qui empêche une évaluation quantitative du risque lié à la méthylprednisolone.
  • +L'administration de doses de corticostéroïdes équivalentes aux doses humaines s'est révélée tératogène chez de nombreuses espèces animales. Dans les études correspondantes, il a été démontré que les glucocorticoïdes comme la méthylprednisolone augmentent l'incidence des malformations (fente palatine, malformations squelettiques, anencéphalie, défauts ventriculaires, spina bifida), de la mortalité embryofœtale (par ex. augmentation des résorptions) ainsi que des retards de croissance intra-utérins.
  • -Il existe de nombreuses études sur différentes espèces animales sur la toxicité aiguë de la lidocaïne. Les signes de toxicité étaient des symptômes du SNC. Sy ajoutaient aussi des convulsions à issue fatale. Les concentrations plasmatiques estimées toxiques chez lhomme (symptômes cardiovasculaires ou du SNC, convulsions) de la lidocaïne se situent entre 5 microgrammes/ml et >10 microgrammes/ml de plasma.
  • -Cancérogénicité, mutagénicité
  • -Dans les études de mutagénicité, la lidocaïne na démontré ni potentiel génotoxique, ni cancérigène. Par contre, il existe aussi des indices provenant d’études in vitro, que le métabolite 2,6-xylidine possède des propriétés mutagènes. De même, le 2,6-xylidine a montré un potentiel tumorigène dans une étude de cancérogénicité chez le rat durant 2 ans (tumeurs principalement de la cavité nasale). La pertinence pour lhomme est toutefois insuffisante pour pouvoir conclure de manière certaine. Depo-Medrol Lidocaïne est toutefois uniquement prévu pour un traitement de courte durée.
  • -Toxicité de la reproduction
  • -Au cours dune étude, des rats mâles et femelles ont reçu 30 mg/kg de lidocaïne par jour par voie orale pendant 8 mois. Jusquau sevrage des descendants, aucun signe de toxicité de la reproduction na été trouvé.
  • +Il existe de nombreuses études sur différentes espèces animales sur la toxicité aiguë de la lidocaïne. Les signes de toxicité étaient des symptômes du SNC. S'y ajoutaient aussi des convulsions à issue fatale. Les concentrations plasmatiques estimées toxiques chez l'homme (symptômes cardiovasculaires ou du SNC, convulsions) de la lidocaïne se situent entre 5 microgrammes/ml et >10 microgrammes/ml de plasma.
  • +Carcinogénicité/mutagénicité
  • +Dans les études de mutagénicité, la lidocaïne n'a démontré ni potentiel génotoxique ni potentiel cancérigène. En revanche, selon des études in vitro, le métabolite 2,6-xylidine possède des propriétés mutagènes. En outre, le 2,6-xylidine a montré un potentiel tumorigène dans une étude de carcinogénicité chez le rat pendant 2 ans (tumeurs principalement de la cavité nasale). La pertinence pour l'homme est toutefois insuffisante pour en tirer des conclusions de manière certaine. Depo-Medrol Lidocaine est toutefois uniquement prévu pour un traitement de courte durée.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Au cours d'une étude, des rats mâles et femelles ont reçu 30 mg/kg de lidocaïne par jour par voie orale pendant 8 mois. Jusqu'au sevrage des descendants, aucun signe de toxicité de la reproduction n'a été trouvé.
  • -Cancérogénicité, mutagénicité
  • -Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité na été menée en cas dassociation de méthylprednisolone et de lidocaïne. Les données des toxicités correspondantes à chacune des substances isolément se trouvent dans les paragraphes ci-dessus.
  • +Carcinogénicité/mutagénicité
  • +Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été menée en cas d'association de méthylprednisolone et de lidocaïne. Les données des toxicités correspondantes à chacune des substances isolément se trouvent dans les paragraphes ci-dessus.
  • -Pour éviter une apparition éventuelle d'incompatibilités physiques, Depo-Medrol Lidocaïne ne devrait être ni dilué ni mélangé avec d'autres solutions injectables.
  • +Pour éviter une apparition d'éventuelles incompatibilités physiques, Depo-Medrol Lidocaine ne doit être ni dilué ni mélangé avec d'autres solutions injectables.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Un contrôle visuel de la solution injectable recherchant la présence de particules étrangères ou de colorations sera effectué avant d'administrer un médicament par voie parentérale.
  • -La suspension stérile de Depo-Medrol Lidocaïne n'est pas destinée à l'administration répétée. Après le prélèvement de la dose nécessaire, le reste de la suspension doit être détruit.
  • -Injections locales lors de polyarthrite chronique évolutive et d'arthroses
  • -En raison de leur localisation anatomique difficile, les articulations se trouvant au niveau du rachis et dans la région sacro-iliaque ne se prêtent pas à une injection intra-articulaire.
  • -Les articulations suivantes se prêtent bien à l'injection intra-articulaire: genou, articulation tibiotarsienne, poignet, coude, épaule, hanche et articulations interphalangiennes. Lorsque l'injection doit être pratiquée dans la hanche, il faut veiller à ce qu'aucun vaisseau sanguin important ne soit lésé.
  • -Avant toute injection intra-articulaire, examiner l'anatomie de l'articulation. Pour obtenir l'effet anti-inflammatoire maximal, administrer l'injection dans la gaine tendineuse. Respecter les mesures de précaution à prendre lors d'une méthode d'injection aseptique. Introduire rapidement une aiguille à injection stérile (d'un calibre de 20-24 gauges) montée sur une seringue vide dans la gaine tendineuse, de préférence sous anesthésie locale. Pour vérifier la position de l'aiguille, aspirer quelques gouttes de liquide synovial. Au niveau de chaque articulation, administrer l'injection à chaque endroit où la gaine tendineuse se trouve près de la surface et où elle présente le moins de vaisseaux et de nerfs importants. Laisser la canule au site de l'injection et remplacer la seringue d'aspiration par une autre seringue contenant la quantité requise de Depo-Medrol Lidocaïne. Pour s'assurer que la canule se trouve encore dans la gaine tendineuse, retirer légèrement le piston de la seringue, afin d'aspirer le liquide synovial. Après l'injection, bouger légèrement à plusieurs reprises l'articulation traitée, afin que la suspension soit bien mélangée avec le liquide synovial.
  • +Un contrôle visuel de la solution injectable recherchant la présence de particules étrangères ou de colorations sera effectué avant d'administrer le médicament.
  • +La suspension stérile de Depo-Medrol Lidocaine n'est pas adaptée à l'administration répétée. Après le prélèvement de la dose nécessaire, le reste de la suspension doit être détruit.
  • +Injections locales pour la polyarthrite chronique et l'arthrose
  • +Les articulations difficiles d'accès en raison de leur localisation anatomique, telles que les articulations se trouvant au niveau du rachis et dans la région sacro-iliaque, ne se prêtent pas à une injection intra-articulaire.
  • +Les articulations suivantes se prêtent bien à l'injection intra-articulaire: genou, cheville, poignet, coude, épaule, hanche et articulations interphalangiennes. Lorsque l'injection doit être pratiquée dans la hanche, il faut veiller à ce qu'aucun vaisseau sanguin important ne soit lésé.
  • +Avant toute injection intra-articulaire, examiner l'anatomie de l'articulation. Pour obtenir l'effet anti-inflammatoire maximal, administrer l'injection dans la gaine tendineuse. Respecter les mesures de précaution à prendre lors d'une méthode d'injection aseptique. Introduire rapidement une aiguille à injection stérile (d'un calibre de 20-24 G) montée sur une seringue vide dans la gaine tendineuse, de préférence sous anesthésie locale. Pour vérifier la position de l'aiguille, aspirer quelques gouttes de liquide synovial. Au niveau de chaque articulation, administrer l'injection à l'endroit où la gaine tendineuse se trouve près de la surface et où elle présente le moins de vaisseaux et de nerfs importants. Laisser la canule au site de l'injection et remplacer la seringue d'aspiration par une autre seringue contenant la quantité requise de Depo-Medrol Lidocaine. Pour s'assurer que la canule se trouve encore dans la gaine tendineuse, retirer légèrement le piston de la seringue, afin d'aspirer le liquide synovial. Après l'injection, bouger légèrement à plusieurs reprises l'articulation traitée, afin que la suspension soit bien mélangée avec le liquide synovial.
  • -Un échec thérapeutique est souvent la conséquence d'une technique d'injection mal appropriée, l'injection n'ayant pas atteint la gaine tendineuse. L'utilité de l'injection pratiquée dans les tissus environnants est minime ou nulle. Si l'aspiration du liquide synovial a prouvé que la gaine tendineuse avait été atteinte et que le succès thérapeutique fait pourtant défaut la répétition des injections n'aboutira guère à un succès thérapeutique.
  • +Un échec thérapeutique est souvent la conséquence d'une technique d'injection inadéquate, l'injection n'ayant pas atteint la gaine tendineuse. L'utilité de l'injection pratiquée dans les tissus environnants est minime ou nulle. Si l'aspiration du liquide synovial a prouvé que la gaine tendineuse avait été atteinte sans que le traitement aboutisse, la répétition des injections n'aboutira guère à un succès thérapeutique.
  • -Désinfecter le site de l'injection et infiltrer ensuite une solution de chlorhydrate de procaïne à 1%. Introduire l'aiguille stérile d'un calibre de 20-24 gauges montée sur une seringue vide dans la bourse et aspirer le liquide. Laisser la canule au site de l'injection et remplacer la seringue d'aspiration par une autre seringue contenant la quantité requise de Depo-Medrol Lidocaïne. Retirer l'aiguille après l'injection et mettre un petit pansement.
  • +Désinfecter le site de l'injection et infiltrer ensuite une solution de chlorhydrate de procaïne à 1%. Introduire une aiguille stérile d'un calibre de 20-24 G montée sur une seringue vide dans la bourse et aspirer le liquide. Laisser la canule au site de l'injection et remplacer la seringue d'aspiration par une autre seringue contenant la quantité requise de Depo-Medrol Lidocaine. Retirer l'aiguille après l'injection et mettre un petit pansement.
  • -Dans le traitement de la tendinite ou de la ténosynovite, l'injection de corticostéroïdes en suspension ne devra en aucun cas être pratiquée dans le tendon lui-même. Après une extension, le tendon peut facilement être palpé. En cas d'épicondylite, la suspension sera infiltrée dans l'endroit le plus sensible. Lors de kystes des gaines tendineuses, la suspension sera injectée directement dans le kyste. Il arrive fréquemment qu'une seule injection entraîne une diminution remarquable de la tumeur kystique, voire même qu'elle aboutisse à sa disparition totale.
  • +Dans le traitement de la tendinite ou de la ténosynovite, l'injection de corticostéroïdes en suspension ne devra en aucun cas être pratiquée dans le tendon lui-même. Après une extension, le tendon peut facilement être palpé. En cas d'épicondylite, la suspension sera infiltrée dans l'endroit le plus sensible. Pour les kystes des gaines tendineuses, la suspension sera injectée directement dans le kyste. Il arrive fréquemment qu'une seule injection entraîne une diminution remarquable de la tumeur kystique, voire qu'elle aboutisse à sa disparition totale.
  • -Depo-Medrol Lidocaine ampoule perforable 40 mg (1 ml) 1 [B]
  • -Depo-Medrol Lidocaine ampoule perforable 40 mg (1 ml) 25 [B]
  • -Depo-Medrol Lidocaine ampoule perforable 80 mg (2 ml) 1 [B]
  • +Depo-Medrol Lidocaine, flacon de 40 mg (1 ml): 1 [B]
  • +Depo-Medrol Lidocaine, flacon de 40 mg (1 ml): 25 [B]
  • +Depo-Medrol Lidocaine, flacon de 80 mg (2 ml): 1 [B]
  • -Pfizer AG, Zürich
  • +Pfizer AG, Zürich.
  • -Janvier 2019.
  • -LLD V014
  • +Septembre 2020.
  • +LLD V016
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