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Accueil - Information professionnelle sur Catapresan - Changements - 06.08.2020
78 Changements de l'information professionelle Catapresan
  • -OEMéd
  • -Principe actif: Clonidini hydrochloridum.
  • -Excipients
  • -
  • -Catapresan, solution injectable: Natrii chloridum, Aqua ad iniectabilia.
  • -Catapresan comprimés: Excipiens pro compresso.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 ampoule (1 ml) contient: 150 mcg de chlorhydrate de clonidine.
  • +Principe actif: Clonidini hydrochloridum
  • +Excipients:
  • +Catapresan, solution injectable
  • +Natrii chloridum, Aqua ad iniectabilia
  • +Lactosum monohydricum, excipiens pro compresso
  • -1 comprimé (sécable) contient 150 mcg de chlorhydrate de clonidine.
  • -Indications/Possibilités d’emploi
  • -Hypertension artérielle.
  • +Indications/possibilités d’emploi
  • +Hypertension artérielle
  • -Posologie/Mode d’emploi
  • +Posologie/mode d’emploi
  • -A l’arrêt du Catapresan, on réduira la dose progressivement sur plusieurs jours afin d’éviter tout phénomène de rebond.
  • +À l’arrêt du Catapresan, on réduira la dose progressivement sur plusieurs jours afin d’éviter tout phénomène de rebond.
  • -
  • -L’administration sous-cutanée, intramusculaire ou intraveineuse (très lente) d’une ampoule de Catapresan à 150 mcg ne doit être pratiquée que sur le patient en décubitus. En i.v., l’ampoule sera diluée dans au moins 10 ml de solution physiologique de chlorure de sodium; l’injection prendra au moins 10 min. En perfusion i.v., la dose conseillée est de 0,2 mcg/kg/min, sans dépasser une vitesse de perfusion de 0,5 mcg/kg/min. Ces différentes limites sont impératives si l’on veut éviter dans les premières minutes de l’injection une montée transitoire de la pression artérielle systolique, qui peut être de l’ordre de 20 mm Hg. On n’utilisera pas plus de 150 mcg (soit le contenu d’une ampoule) par perfusion.
  • +L’administration sous-cutanée, intramusculaire ou intraveineuse (très lente) d’une ampoule de Catapresan à 150 mcg ne doit être pratiquée que sur le patient en décubitus. En i.v., l’ampoule sera diluée dans au moins 10 ml de solution physiologique de chlorure de sodium; l’injection prendra au moins 10 min. En perfusion i.v., la dose conseillée est de 0,2 mcg/kg/min, sans dépasser une vitesse de perfusion de 0,5 mcg/kg/min. Ces différentes limites sont impératives si l’on veut éviter dans les premières minutes de l’injection une montée transitoire de la pression artérielle systolique, qui peut être de l’ordre de 20 mm Hg.
  • +On n’utilisera pas plus de 150 mcg (soit le contenu d’une ampoule) par perfusion.
  • -
  • -Le traitement oral par Catapresan doit être instauré à faible dose, p. ex. ½ comprimé, de préférence le soir. Si une augmentation de la dose est jugée nécessaire, elle aura lieu au plus tôt au bout de 24 semaines.
  • -Dans les hypertensions légères, une dose de 75150 mcg par jour (½ comprimé le soir ou ½ comprimé matin et soir) sera souvent suffisante. Une augmentation progressive de la dose journalière au-delà de 450 mcg n’entraîne qu’exceptionnellement une baisse tensionnelle supplémentaire. Une dose journalière maximale de 900 mcg répartie en 3 prises sera réservée aux formes d’hypertension les plus sévères.
  • +Le traitement oral par Catapresan doit être instauré à faible dose, p. ex. ½ comprimé, de préférence le soir. Si une augmentation de la dose est jugée nécessaire, elle aura lieu au plus tôt au bout de 2-4 semaines.
  • +Dans les hypertensions légères, une dose de 75-150 mcg par jour (½ comprimé le soir ou ½ comprimé matin et soir) sera souvent suffisante. Une augmentation progressive de la dose journalière au-delà de 450 mcg n’entraîne qu’exceptionnellement une baisse tensionnelle supplémentaire. Une dose journalière maximale de 900 mcg répartie en 3 prises sera réservée aux formes d’hypertension les plus sévères.
  • +Utilisation chez l’enfant et l’adolescent
  • +Lors d’une utilisation hors AMM de la clonidine en association avec du méthylphénidate chez des enfants avec ADHS, on a en particulier observé la survenue d’effets indésirables graves, dont certains d’évolution fatale. C’est pourquoi l’administration concomitante de méthylphénidate et de clonidine n’est pas conseillée.
  • -
  • -La posologie sera adaptée à la réaction antihypertensive individuelle, qui peut fortement varier d’un insuffisant rénal à l’autre; une surveillance étroite s’impose. Une dialyse de routine n’extrayant qu’une quantité minime de clonidine, un apport de clonidine au terme de la dialyse n’est pas nécessaire.
  • +La posologie sera adaptée
  • +·à la réaction antihypertensive individuelle, qui peut fortement varier d’un insuffisant rénal à l’autre
  • +·au degré d’altération de la fonction rénale.
  • +Une surveillance étroite s’impose. Une dialyse de routine n’extrayant qu’une quantité minime de clonidine, un apport de clonidine au terme de la dialyse n’est pas nécessaire.
  • -On n’utilisera pas de Catapresan en cas d’hypersensibilité connue au principe actif ou à d’autres constituants du médicament, ni chez le patient affecté d’une bradyarythmie sévère due soit à une maladie du noeud sinusal (sick sinus syndrome) ou à un bloc AV du 2ou du 3degré.
  • +On n’utilisera pas de Catapresan en cas d’hypersensibilité connue au principe actif ou à d’autres constituants du médicament, ni chez le patient affecté d’une bradyarythmie sévère due soit à une maladie du nœud sinusal (sick sinus syndrome) ou à un bloc AV du 2e ou du 3e degré.
  • -On usera de prudence en administrant le Catapresan à des patients présentant une bradyarythmie légère ou modérée (p.ex. une bradycardie sinusale), des troubles de la circulation cérébrale ou périphérique, un syndrome de Raynaud, une thromboangéite oblitérante, une dépression, une polyneuropathie ou une constipation.
  • +On usera de prudence en administrant le Catapresan à des patients présentant une bradyarythmie légère ou modérée (p. ex. une bradycardie sinusale), des troubles de la circulation cérébrale ou périphérique, un syndrome de Raynaud, une thromboangéite oblitérante, une dépression, une polyneuropathie ou une constipation.
  • -On avertira le patient du risque que comporte un arrêt du traitement sans en être convenu avec le médecin. L’arrêt brusque du Catapresan au terme d’un traitement de longue durée à posologie élevée peut s’accompagner d’agitation, de palpitations, d’une poussée hypertensive, de nervosité, de tremblements, de céphalées ou de nausées. Si un arrêt s’avère nécessaire, on réduira donc progressivement la dose sur 24 jours.
  • -Sil est nécessaire dinterrompre un traitement de longue durée par un bêta-bloquant, il est impératif darrêter dabord le bêta-bloquant en diminuant la dose graduellement, puis la clonidine.
  • +On avertira le patient du risque que comporte un arrêt du traitement sans en être convenu avec le médecin. L’arrêt brusque du Catapresan au terme d’un traitement de longue durée à posologie élevée peut s’accompagner d’agitation, de palpitations, d’une poussée hypertensive, de nervosité, de tremblements, de céphalées ou de nausées. Si un arrêt s’avère nécessaire, on réduira donc progressivement la dose sur 2-4 jours.
  • +S'il est nécessaire d'interrompre un traitement de longue durée par un bêta-bloquant, il est impératif d'arrêter d'abord le bêta-bloquant en diminuant la dose graduellement, puis la clonidine.
  • +Il faut attirer l’attention des patients qui portent des lentilles de contact sur le fait que Catapresan peut diminuer la sécrétion lacrymale.
  • +Les comprimés de Catapresan contiennent 34,25 mg de lactose monohydraté par comprimé, ce qui correspond à 205,5 mg de lactose monohydraté à la dose maximale journalière recommandée. Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au galactose, par ex. une galactosémie, ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +
  • -L’effet antihypertenseur du Catapresan peut être potentialisé par d’autres substances antihypertensives, ce qui peut présenter un avantage thérapeutique lors de l’emploi concomitant de telles substances – diurétiques, vasodilatateurs, bêta-bloquants, antagonistes du calcium et inhibiteurs de lECA. La prise simultanée de clonidine et de prazosine risque d’affaiblir l’effet de la clonidine ou en tout cas ne le majore pas. Les substances hypertensives et celles qui inhibent la natriurèse, les AINS par exemple, peuvent diminuer l’effet thérapeutique de la clonidine.
  • -Les alpha-bloquants tels que la phentolamine ou la tolazoline peuvent annuler de manière dose-dépendante les effets de la clonidine médiés par les récepteurs alpha.
  • +L’effet antihypertenseur du Catapresan peut être potentialisé par d’autres substances antihypertensives, ce qui peut présenter un avantage thérapeutique lors de l’emploi concomitant de telles substances – diurétiques, vasodilatateurs, bêta-bloquants, antagonistes du calcium et inhibiteurs de l'ECA. La prise simultanée de clonidine et de prazosine risque d’affaiblir l’effet de la clonidine ou en tout cas ne le majore pas. Les substances hypertensives et celles qui inhibent la natriurèse, les AINS par exemple, peuvent diminuer l’effet thérapeutique de la clonidine.
  • +Les alpha2-bloquants tels que la phentolamine ou la tolazoline peuvent annuler de manière dose-dépendante les effets de la clonidine médiés par les récepteurs alpha2.
  • -La clonidine peut majorer les effets des substances déprimant le système nerveux central et de lalcool.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -L’expérimentation animale a décelé des effets indésirables pour le foetus (embryotoxicité mais pas de malformation). On ne dispose pas d’études cliniques contrôlées et, dans ces conditions, Catapresan ne devrait être pas utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité.
  • -Dans le cas où un traitement est nécessaire, on surveillera attentivement la mère et l’enfant. La clonidine traversant la barrière placentaire, elle peut réduire la fréquence cardiaque chez le foetus. En post-partum, une montée transitoire de la pression artérielle du nouveau-né ne saurait être exclue.
  • -En outre, on donnera la préférence au mode d’administration per os du Catapresan en évitant l’administration i.v.
  • +La clonidine peut majorer les effets des substances déprimant le système nerveux central et de l'alcool.
  • +Grossesse, Allaitement
  • +Grossesse
  • +L’expérience acquise jusqu’ici concernant l’utilisation de la clonidine chez les femmes enceintes est limitée.
  • +Catapresan ne devrait être pas utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité.
  • +Dans le cas où un traitement s’avère nécessaire, on surveillera attentivement la mère et l’enfant.
  • +La clonidine traverse la barrière placentaire et peut réduire la fréquence cardiaque chez le fœtus. L’expérience acquise jusqu’ici concernant les effets à long terme d’une exposition prénatale est insuffisante. On donnera la préférence au mode d’administration per os du Catapresan en évitant l’administration i.v.
  • +Les études précliniques n’ont pas permis de mettre en évidence des indications directes ou indirectes suggérant des effets négatifs sur la santé en relation avec une toxicité sur la reproduction (voir section «Données précliniques »).
  • +Après la naissance, une augmentation passagère de la tension artérielle chez le nouveau-né n’est pas exclue.
  • +
  • -
  • -Le principe actif passe dans le lait maternel. Catapresan ne doit donc pas être administré en période d’allaitement.
  • +Le principe actif passe dans le lait maternel. Les informations disponibles sur les effets chez le nouveau-né sont cependant insuffisantes. Catapresan ne doit donc pas être administré en période d’allaitement.
  • -La diversité des réactions individuelles peut altérer la vigilance et réduire la capacité de conduire un véhicule ou d’utiliser une machine, notamment au début d’un traitement par Catapresan.
  • +Aucune étude concernant les effets sur la capacité de conduire un véhicule ou d’utiliser une machine n’a été réalisée.
  • +Il faut cependant informer les patients de la possibilité d’apparition d’effets indésirables comme des étourdissements, une sédation et des troubles de l’accommodation lors du traitement par Catapresan. C’est pourquoi la prudence est de mise lors de la conduite d’un véhicule ou de l’utilisation des machines. Si les effets indésirables mentionnés surviennent, le patient doit éviter toute activité potentiellement dangereuse comme la conduite automobile et l’utilisation de machines.
  • -Les effets indésirables relevés lors du traitement par Catapresan sont dose-dépendants. Les symptômes suivants ont été observés surtout en début de traitement: sécheresse buccale, somnolence et sensations vertigineuses, qui tendent toutefois à s’estomper avec la durée du traitement en l’espace de 2 à 4 semaines.
  • +La survenue des effets indésirables relevés lors du traitement par Catapresan est dose-dépendante. Les symptômes suivants ont été observés surtout en début de traitement: sécheresse buccale, somnolence et sensations vertigineuses, qui tendent toutefois à s’estomper avec la durée du traitement en l’espace de 2 à 4 semaines.
  • -Définition des fréquences utilisées: très fréquent (>10%), fréquent (>1%, <10%), occasionnel (>0,1%, <1%), rare (<0,1%).
  • +Définition des fréquences utilisées: très fréquent (>10%), fréquent (>1%, < 10%), occasionnel (>0,1%, < 1%), rare (< 0,1%).
  • +Troubles endocriniens
  • +Rare : gynécomastie
  • +
  • -
  • -Rare: thrombocytopénie.
  • +Rare: thrombocytopénie
  • -
  • -Fréquent: gain de poids (1%).
  • +Rare : augmentations transitoires de la glycémie
  • +Fréquence non connue : gain de poids
  • -
  • -Fréquent: nervosité et agitation (3%), dépression (1%).
  • -Occasionnel: insomnie (0,5%).
  • -Rare: altérations du comportement, rêves intenses ou cauchemars, agitation, crises d’angoisse, hallucinations visuelles et auditives, délire.
  • -Système nerveux
  • -
  • -Très fréquent: somnolence (33%), sensations vertigineuses (16%).
  • -Fréquent: sédation (env. 10%), faiblesse (10%), fatigue (4%).
  • -Occasionnel: céphalées.
  • -Rare: paresthésies des extrémités.
  • +Fréquent : troubles du sommeil, dépression
  • +Occasionnel : idées délirantes, hallucinations, cauchemars
  • +Fréquence non connue : confusion, agitation, baisse de la libido, états anxieux, délires
  • +Troubles du système nerveux
  • +Très fréquent : sédation (50%), sensations vertigineuses (15%)
  • +Fréquent : céphalées
  • +Occasionnel: paresthésies
  • -
  • -Rare: sécheresse oculaire (attention chez les porteurs de lentilles de contact!), troubles de l’accommodation.
  • +Rare : diminution de la sécrétion lacrymale
  • +Fréquence non connue : troubles de l’accommodation
  • -
  • -Occasionnel: palpitation et tachycardie, bradycardie.
  • -Rare: insuffisance cardiaque congestive, anomalies de l’ECG (par ex. arrêt de l’automatisme sinusal, bradycardie fonctionnelle, bloc AV de degré élevé et arythmies). Avec ou sans administration concomitante de digitaliques, on a observé dans des cas isolés une bradycardie sinusale et un bloc AV.
  • +Très fréquent : bradycardie sinusale
  • +Rare : bloc auriculoventriculaire.
  • +Fréquence non connue : palpitations et tachycardie, bradycardie, insuffisance cardiaque
  • -
  • -Fréquent: troubles orthostatiques (env. 3% presque exclusivement lors de la première prise de doses orales élevées ou lors de l’administration parentérale, i.v. ou i.m.).
  • -Rare: syncopes, phénomène de Raynaud, troubles circulatoires périphériques.
  • +Très fréquent : troubles orthostatiques, hypotension (15%)
  • +Occasionnel : phénomène de Raynaud
  • +Fréquence non connue : syncopes
  • -
  • -Rare: sécheresse de la muqueuse nasale.
  • +Rare : sécheresse de la muqueuse nasale
  • -
  • -Très fréquent: sécheresse buccale (40%), constipation (env. 10%).
  • -Fréquent: nausées et vomissements (5%), anorexie (1%) et malaises (1%).
  • -Rare: pseudo-occlusion intestinale chez des patients prédisposés, douleurs abdominales, parotidite.
  • +Très fréquent : sécheresse buccale (44%)
  • +Fréquent : constipation, nausées et vomissements, parotidite
  • +Rare : pseudo-occlusion intestinale
  • +Fréquence non connue : douleurs abdominales, anorexie
  • -
  • -Fréquent: légères anomalies transitoires des tests hépatiques fonctionnels (1%).
  • -Rare: hépatite.
  • -Troubles cutanés
  • -
  • -Fréquent: éruptions cutanées (1%).
  • -Occasionnel: prurit (0,7%), exanthèmes prurigineux, oedème de Quincke et urticaire (0,5%), alopécie (0,2%).
  • +Fréquent : légères anomalies transitoires des tests hépatiques fonctionnels (1%)
  • +Troubles cutanés et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnel : prurit, éruptions cutanées, urticaire
  • +Rare : alopécie
  • +Fréquence non connue : œdème de Quincke
  • -
  • -Occasionnel: douleurs musculaires ou articulaires (0,6%), crampes des jambes (0,3%).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -
  • -Fréquent: nycturie (1%).
  • -Occasionnel: difficultés de miction (0,2%), rétention urinaire (0,1%).
  • +Fréquence non connue : douleurs musculaires ou articulaires, crampes dans les jambes
  • -
  • -Fréquent: activité sexuelle réduite, impuissance et perte de libido (3%).
  • -Rare: gynécomastie (0,1%).
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
  • -
  • -Occasionnel: malaise, symptômes de sevrage.
  • -Rare: pâleur, sensibilité accrue à l’alcool, fièvre, réactions allergiques.
  • +Fréquent : dysfonction érectile
  • +Troubles généraux
  • +Fréquent : fatigue
  • +Occasionnel : malaise
  • +Fréquence non connue : symptômes de sevrage, pâleur, sensibilité accrue à l’alcool, fièvre
  • -
  • -Rare: augmentation transitoire de la glycémie ou de la créatine kinase, faibles réactions positives au test de Coombs.
  • +Fréquence non connue : augmentation de la créatine kinase, faibles réactions positives au test de Coombs
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
  • -Les signes d’intoxication dus à la suppression générale de l’activité du système nerveux sympathique peuvent associer les réactions suivantes: chute tensionnelle, hypertension paradoxale (du fait de la stimulation des récepteurs alphapériphériques), bradycardie, léthargie, hypothermie, arythmies, coma, apnée, myosis, dépression respiratoire, convulsions. Les symptômes se manifestent 30 à 60 min après l’ingestion et peuvent persister sur une durée de 36 à 48 h.
  • +Symptômes
  • +Les signes d’intoxication dus à la suppression générale de l’activité du système nerveux sympathique peuvent associer les réactions suivantes: chute tensionnelle, hypertension paradoxale (du fait de la stimulation des récepteurs alpha1 périphériques), bradycardie, léthargie, hypothermie, arythmies, somnolence jusqu’au coma, dépression respiratoire y compris apnée, contraction de la pupille, convulsions. Les symptômes se manifestent 30 à 60 min après l’ingestion et peuvent persister sur une durée de 36 à 48 h.
  • +L’effet antihypertenseur est bien corrélé avec les taux plasmatiques situés entre 0,2 et 1,5 ng/ml chez les patients aux fonctions excrétoires intactes. Passé ce seuil, l’effet antihypertenseur est à peine majoré en règle générale. Chez le patient atteint d’une insuffisance rénale sévère et chez le dialysé, l’obtention d’une baisse tensionnelle peut nécessiter des concentrations plasmatiques allant jusqu’à 12 ng/ml.
  • -La pharmacocinétique de la clonidine est proportionnelle à la dose administrée dans la gamme des 100 à 600 mcg. La clonidine, qui est le principe actif du Catapresan, est bien absorbée, sans qu’il y ait un effet de premier passage.
  • +Absorption
  • +La pharmacocinétique de la clonidine est proportionnelle à la dose administrée dans la gamme des 75 à 300 mcg. La clonidine, qui est le principe actif du Catapresan, est bien absorbée après administration orale et soumise à un léger effet de premier passage.
  • +Les concentrations plasmatiques maximales sont obtenues en l’espace de 1 à 3 h après une prise orale.
  • +La prise de nourriture ou l’origine ethnique n’a aucune influence sur l’absorption de la clonidine.
  • +
  • -
  • -L’effet antihypertenseur est bien corrélé avec les taux plasmatiques situés entre 0,2 et 1,5 ng/ml chez les patients aux fonctions excrétoires intactes. Passé ce seuil, l’effet antihypertenseur est à peine majoré en règle générale.
  • -Chez le patient atteint d’une insuffisance rénale sévère et chez le dialysé, l’obtention d’une baisse tensionnelle peut nécessiter des concentrations plasmatiques allant jusqu’à 12 ng/ml.
  • -Métabolisme
  • -
  • -Après administration per os, env. 50% de la dose sont transformés dans le foie en plusieurs métabolites inactifs, le principal étant un dérivé parahydroxy.
  • -Élimination
  • -
  • -Environ 70% de la dose administrée sont éliminés par voie urinaire dont 60% sous forme inchangée et 7–10% sous forme de métabolites. La proportion d’élimination dans les fèces est de l’ordre de 20% du total.
  • -La demi-vie plasmatique du principe actif est comprise entre 10 et 20 h (13 h en moyenne).
  • +La clonidine passe dans le lait maternel.
  • +Métabolisme / Élimination
  • +Env. 70% de la dose administrée est éliminé par voie urinaire essentiellement sous forme inchangée (40 – 60% de la dose). Le principal métabolite parahydroxy clonidine est pharmacologiquement inactif.
  • +La proportion d’élimination dans les fèces est de l’ordre de 20% du total.
  • +La demi-vie d’élimination terminale de la clonidine est comprise entre 5 et 25,5 h.
  • +La pharmacocinétique de la clonidine n’est influencée ni par la prise de nourriture ni par l’origine ethnique du patient. Chez les patients avec une fonction rénale normale, l’effet antihypertenseur est atteint avec des concentrations plasmatiques entre 0,2 et 2,0 ng/ml environ. À des concentrations plasmatiques supérieures à 2,0 ng/ml, l’effet hypotenseur est légèrement affaibli ou diminué.
  • -
  • -La demi-vie plasmatique est indépendante du sexe du patient; elle peut se prolonger jusqu’à 41 h en cas d’insuffisance rénale sévère.
  • +La demi-vie plasmatique peut se prolonger jusqu’à 41 h en cas d’insuffisance rénale sévère.
  • -Les DLorales étaient d’env. 70,8 mg/kg chez la souris, 192 mg/kg chez le rat, 80 mg/kg chez le lapin, > à 30 mg/kg chez le chien et d’env. 150 mg/kg chez le singe. La DLi.v. était de l’ordre de 26 mg/kg pour la souris, 69 mg/kg pour le rat, 45 mg/kg pour le lapin et 6,25 mg/kg pour le chien.
  • -Dans des études avec des doses orales répétées sur 18 mois, la clonidine a été bien supportée chez le rat, le chien et le singe. Après administration intraveineuse, les chiens toléreraient 0,1 mg/kg pendant 4 semaines et les lapins 0,01 mg/kg pendant 5 semaines. Des doses plus élevées ont entraîné hyperactivité, agression, diminution de la prise de nourriture, augmentation du poids corporel (rat), sédation (lapin) ou augmentation pondérale du foie et du coeur avec élévation des SGPT, des phosphatases alcalines et des taux d’alpha-globuline ainsi que nécroses focales du foie (chien).
  • -Aucun signe de potentiel tératogène n’est apparu après application orale chez la souris, le rat et le lapin ainsi qu’après administration s.c. (rat) et i.v. (lapin).
  • -Une étude orale de fertilité chez le rat ainsi qu’une étude de développement péri- et postnatal n’ont montré aucun effet sur les descendants.
  • -Dans les tests d’Ames et du micronucleus, il n’y a pas eu d’indices suggérant un potentiel mutagène. Une étude de cancérogénicité chez le rat n’a pas montré deffet néoplasique.
  • -Les cobayes et les lapins n’ont pas montré de réactions de sensibilité, les administrations i.v. et i.a. ont été bien tolérées.
  • +Des études de toxicité après administration de doses uniques de clonidine ont été menées chez diffèrentes espèces animales après administration orale ou parentérale.
  • +Les DL50 orales étaient d’env. 70 mg/kg chez la souris, 190 mg/kg chez le rat, > à 15 mg/kg chez le chien et d’env. 150 mg/kg chez le singe. La DL50 après administration i.v. s’est située entre 6 mg/kg chez le chien et < 21 mg/kg chez le rat.
  • +Dans des études de toxicité avec des doses orales répétées sur 18 mois, la clonidine a été bien supportée chez le rat, le chien et le singe.
  • +Dans une étude menée sur 13 semaines chez des rats, le « No-Observed-Adverse-Effect Level » (NOAEL) était de 0,05 mg/kg après administration sous-cutanée.
  • +Après administration intraveineuse, les chiens et les lapins ont toléré 0,01 mg/kg/jour pendant 4 et 5 semaines respectivement. Des doses plus élevées ont entraîné hyperactivité, agression, diminution de la prise de nourriture, augmentation du poids corporel (rat), sédation (lapin) ou augmentation pondérale du foie et du cœur avec élévation des SGPT, des phosphatases alcalines et des taux d’alpha-globuline ainsi que nécroses focales du foie (chien).
  • +Aucun signe de potentiel tératogène n’est apparu après application orale chez la souris, le rat et le lapin ainsi qu’après administration s.c. (rat) et i.v. (lapin). Chez le rat, une augmentation du taux d’absorption a été observée à une dose orale > 0,015 mg/kg/jour, en fonction de la durée de l’administration.
  • +L’administration de doses allant jusqu’à 0,15 mg/kg n’a eu aucune conséquence sur la fertilité chez le rat. Des doses allant jusqu’à 0,075 mg/kg n’ont eu aucun effet sur le développement péri- et postnatal des descendants. Le test d’Ames et le test du micronucleus chez la souris n’ont mis en évidence aucun potentiel mutagène. Une étude de cancérogénicité chez le rat n’a pas entraîné d'effet néoplasique.
  • +On n’a observé aucun potentiel d’irritations ou de sensibilisation locales chez le cobaye et le lapin après administration i.v. et i.a.
  • -
  • -
  • -La solution injectable doit être conservée à température ambiante (15–25 °C).
  • -Les comprimés ne doivent pas être conservés au-dessus de 30 °C.
  • +La solution injectable doit être conservée à température ambiante (15-25°C).
  • +Les comprimés ne doivent pas être conservés au-dessus de 30°C.
  • +Tenir hors de la portée des enfants.
  • +
  • -
  • -38638, 33148 (Swissmedic).
  • +38'638, 33'148 (Swissmedic)
  • +Présentation
  • +Ampoules (1 ml) à 150 mcg: 5 (B)
  • +Comprimés (sécables) à 150 mcg: 100 (B)
  • -Boehringer Ingelheim (Schweiz) GmbH, Bâle.
  • +CPS Cito Pharma Services GmbH, 8610 Uster
  • -Novembre 2008.
  • +Juillet 2012
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