74 Changements de l'information professionelle Trasylol |
-Principe actif: Aprotininum. L’aprotinine est extraite du poumon de bœuf. (INN in Latein)
-Excipients: Natrii chloridum, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionem. (in Latein gemäss Zusammensetzung (nur deklarationspflichtige) oder sonst Volldeklaratation
-Ergänzen und nicht zutreffendes streichen. X = Bezeichnung des GVO.
-Sind in „Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen“ Hinweise zu an sich nicht deklarationspflichtigen Inhaltsstoffen angebracht, müssen diese unter „Zusammensetzung“ aufgeführt sein (z.B. Angabe des Lactosegehalts als Hinweis für Patienten mit Lactoseintoleranz: Enthält xx mg Lactose pro Tablette).
-Allfällige Angaben zum Energiewert (Broteinheiten/Brotwert für Diabetiker) aufführen.
- +Principe actif: Aprotininum.L’aprotinine est extraite du poumon de bœuf.
- +Excipients: Natrii chloridum, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionem.
-Solution pour injection et perfusion intraveineuses de 10 000 UIK (unités inhibitrices de la kallicréine) /ml (correspond à 5,6 U. Ph. Eur./ml).
- +Solution pour injection et perfusion intraveineuses de 10’000 UIK (unités inhibitrices de la kallicréine)/ml (correspond à 5,56 U. Ph. Eur./ml).
-en raison du risque d’hypersensibilité ou de réactions allergiques, il faut toujours administrer une dose test de 1 ml (10 000 UIK) au moins 10 minutes avant l’administration de la dose résiduelle.
- +en raison du risque d’hypersensibilité ou de réactions allergiques, il faut toujours administrer une dose test de 1 ml (10’000 UIK) au moins 10 minutes avant l’administration de la dose résiduelle.
-Après la perfusion du bolus initial, perfuser en continu 250 000-500 000 UIK (correspondant à 35-70 mg d’aprotinine) par heure jusqu’à la fin de l’intervention chirurgicale.
-ggf. Tabellen/Grafiken einfügen: (Bilder nur im Format jpg, png (kein gif) ins Dokument einfügen, kein Objekt (z.B. Bild in Bild) in Text integrieren, Tabellen und Bilder nicht über den definierten Seitenrand hinaus einfügen, Überschriften von Tabellen nicht in die Tabelle integrieren
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- +Après la perfusion du bolus initial, perfuser en continu 250’000-500’000 UIK (correspondant à 35-70 mg d’aprotinine) par heure jusqu’à la fin de l’intervention chirurgicale.
-1)ACT (temps de coagulation activée):
- +1)ACT (temps de coagulation activée)
-3)Dosage de l’héparinémie/ titration par la protamine
- +3)Dosage de l’héparinémie/titration par la protamine
-Text: Arial Schriftgrösse 11, Zeilenabstand 1.5
-Text Arial Schriftgrösse 11. Zeilenabstand 1.5
-Les résultats d’études observationnelles actuelles suggèrent que l’aprotinine peut provoquer une altération de la fonction rénale, notamment chez les patients présentant une altération préexistante de la fonction rénale. Une analyse de toutes les études contrôlées contre placebo réalisées chez des patients ayant bénéficié d’un pontage aorto-coronarien a montré une augmentation > 0,5 mg/dl du taux sérique de créatinine par rapport aux valeurs initiales au cours du traitement par l’aprotinine (voir aussi la rubrique «Propriétés / Effets»). Il est donc recommandé d’évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque avant d’administrer l’aprotinine à des patients présentant une altération préexistante de la fonction rénale ou des facteurs de risque (comme un traitement concomitant par les aminoglycosides).
-Une augmentation de l’insuffisance rénale et de la mortalité par rapport à des témoins historiques appariés pour l’âge a été rapportée chez des patients traités par l’aprotinine ayant présenté une hypothermie profonde avec arrêt circulatoire lors d’une chirurgie de l’aorte thoracique sous circulation extracorporelle. Une anticoagulation appropriée par l’héparine doit être assurée (voir la rubrique «Posologie / Mode d’emploi»).
- +Les résultats d’études observationnelles actuelles suggèrent que l’aprotinine peut provoquer une altération de la fonction rénale, notamment chez les patients présentant une altération préexistante de la fonction rénale. Une analyse de toutes les études contrôlées contre placebo réalisées chez des patients ayant bénéficié d’un pontage aorto-coronarien a montré une augmentation >0,5 mg/dl du taux sérique de créatinine par rapport aux valeurs initiales au cours du traitement par l’aprotinine (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»). Il est donc recommandé d’évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque avant d’administrer l’aprotinine à des patients présentant une altération préexistante de la fonction rénale ou des facteurs de risque (comme un traitement concomitant par les aminoglycosides).
- +Une augmentation de l’insuffisance rénale et de la mortalité par rapport à des témoins historiques appariés pour l’âge a été rapportée chez des patients traités par l’aprotinine ayant présenté une hypothermie profonde avec arrêt circulatoire lors d’une chirurgie de l’aorte thoracique sous circulation extracorporelle. Une anticoagulation appropriée par l’héparine doit être assurée (voir la rubrique «Posologie/Mode d’emploi»).
-Bien que la majorité des cas d’anaphylaxie apparaisse après une réexposition dans les 12 premiers mois, des cas isolés d’anaphylaxie ont aussi été signalés suite à une réexposition intervenue plus de 12 mois après un premier traitement. Une dose test de 1 ml (10 000 UIK) de Trasylol doit toujours être administrée au moins 10 minutes avant la dose thérapeutique, afin de déterminer le risque de réactions allergiques (voir aussi la rubrique «Posologie / Mode d’emploi»). Les patients doivent être intubés avant l’administration de la dose test et une canulation rapide doit être possible. L’administration de la dose test doit se faire uniquement en salle d’opération. Un traitement préalable par un antagoniste H1 et un antagoniste H2 15 minutes avant l’administration de la dose test est recommandé.
- +Bien que la majorité des cas d’anaphylaxie apparaisse après une réexposition dans les 12 premiers mois, des cas isolés d’anaphylaxie ont aussi été signalés suite à une réexposition intervenue plus de 12 mois après un premier traitement. Une dose test de 1 ml (10’000 UIK) de Trasylol doit toujours être administrée au moins 10 minutes avant la dose thérapeutique, afin de déterminer le risque de réactions allergiques (voir aussi la rubrique «Posologie/Mode d’emploi»). Les patients doivent être intubés avant l’administration de la dose test et une canulation rapide doit être possible. L’administration de la dose test doit se faire uniquement en salle d’opération. Un traitement préalable par un antagoniste H1 et un antagoniste H2 15 minutes avant l’administration de la dose test est recommandé.
-Voir aussi «Posologie / Mode d’emploi» pour les remarques sur l’emploi en cas de circulation extracorporelle.
- +Voir aussi «Posologie/Mode d’emploi» pour les remarques sur l’emploi en cas de circulation extracorporelle.
-Une association entre l’administration d’aprotinine et une augmentation de la mortalité a été rapportée dans certaines études observationnelles non randomisées (p. ex. Mangano 2007, Schneeweiss 2008, Olenchock 2008, Shaw 2008), tandis que d’autres études non randomisées n’ont pas confirmé une telle association (p. ex. Karkouti 2006, Mangano 2006, Coleman 2007, Pagano 2008, Ngaage 2008, Karkouti, 2009). Dans ces études, l’aprotinine a principalement été administrée à des patients présentant davantage de facteurs de risque d’augmentation de la mortalité avant l’intervention chirurgicale que les patients des autres groupes de traitement.
- +Une association entre l’administration d’aprotinine et une augmentation de la mortalité a été rapportée dans certaines études observationnelles non randomisées (p.ex. Mangano 2007, Schneeweiss 2008, Olenchock 2008, Shaw 2008), tandis que d’autres études non randomisées n’ont pas confirmé une telle association (p.ex. Karkouti 2006, Mangano 2006, Coleman 2007, Pagano 2008, Ngaage 2008, Karkouti, 2009). Dans ces études, l’aprotinine a principalement été administrée à des patients présentant davantage de facteurs de risque d’augmentation de la mortalité avant l’intervention chirurgicale que les patients des autres groupes de traitement.
-Nicht zutreffendes streichen
-Lors de l’évaluation du rapport bénéfice/risque, il faut tenir compte du fait que Trasylol peut provoquer des effets indésirables graves, p. ex. des réactions anaphylactiques ou un arrêt cardiaque, qui exigent des mesures thérapeutiques et peuvent éventuellement porter atteinte au fœtus.
- +Lors de l’évaluation du rapport bénéfice/risque, il faut tenir compte du fait que Trasylol peut provoquer des effets indésirables graves, p.ex. des réactions anaphylactiques ou un arrêt cardiaque, qui exigent des mesures thérapeutiques et peuvent éventuellement porter atteinte au fœtus.
-La sécurité de l’aprotinine a été évaluée dans plus de 45 études de phase II et de phase III portant sur plus de 3 800 patients traités par l’aprotinine. Au total, 11 % des patients traités par l’aprotinine ont présenté des effets indésirables. L’effet indésirable le plus grave a été l’infarctus du myocarde. Les effets indésirables doivent être interprétés en tenant compte du contexte périopératoire.
- +La sécurité de l’aprotinine a été évaluée dans plus de 45 études de phase II et de phase III portant sur plus de 3’800 patients traités par l’aprotinine. Au total, 11% des patients traités par l’aprotinine ont présenté des effets indésirables. L’effet indésirable le plus grave a été l’infarctus du myocarde. Les effets indésirables doivent être interprétés en tenant compte du contexte périopératoire.
-Dans une analyse poolée des études cliniques contrôlées contre placebo portant sur des patients ayant subi un pontage aorto-coronarien, l’incidence des infarctus du myocarde rapportés par les investigateurs a été de 5,8 % dans le groupe traité par l’aprotinine contre 4,8 % dans le groupe sous placebo, avec une différence de 0,98 % entre les 2 groupes (aprotinine n = 3817, placebo n = 2682; situation avril 2005).
- +Dans une analyse poolée des études cliniques contrôlées contre placebo portant sur des patients ayant subi un pontage aorto-coronarien, l’incidence des infarctus du myocarde rapportés par les investigateurs a été de 5,8% dans le groupe traité par l’aprotinine contre 4,8% dans le groupe sous placebo, avec une différence de 0,98% entre les 2 groupes (aprotinine n=3817, placebo n=2682; situation avril 2005).
-Des anticorps antiaprotinine spécifiques ont été détectés chez environ 50 % des patients après la première administration d’aprotinine.
-Une hypersensibilité et des réactions anaphylactiques peuvent se produire lors de l’utilisation de Trasylol. Elles sont rares chez les patients n’ayant pas encore reçu d’aprotinine. Une hypersensibilité et des réactions anaphylactiques peuvent se produire en cas d’utilisation répétée (l’incidence pouvant atteindre 5 %). Une analyse des données disponibles a montré que l’incidence de l’hypersensibilité/des réactions anaphylactiques à la suite d’une seconde administration augmentait lorsque celle-ci avait eu lieu au cours des 6 mois suivant la première administration (5 % en cas de deuxième administration dans les 6 mois et 0,9 % après plus de 6 mois après le premier traitement). Une étude rétrospective indique que l’incidence des réactions anaphylactiques sévères peut augmenter chez les patients recevant plus de deux traitements par l’aprotinine en l’espace de 6 mois.
- +Des anticorps antiaprotinine spécifiques ont été détectés chez environ 50% des patients après la première administration d’aprotinine.
- +Une hypersensibilité et des réactions anaphylactiques peuvent se produire lors de l’utilisation de Trasylol. Elles sont rares chez les patients n’ayant pas encore reçu d’aprotinine. Une hypersensibilité et des réactions anaphylactiques peuvent se produire en cas d’utilisation répétée (l’incidence pouvant atteindre 5%). Une analyse des données disponibles a montré que l’incidence de l’hypersensibilité/des réactions anaphylactiques à la suite d’une seconde administration augmentait lorsque celle-ci avait eu lieu au cours des 6 mois suivant la première administration (5% en cas de deuxième administration dans les 6 mois et 0,9% après plus de 6 mois après le premier traitement). Une étude rétrospective indique que l’incidence des réactions anaphylactiques sévères peut augmenter chez les patients recevant plus de deux traitements par l’aprotinine en l’espace de 6 mois.
-L’administration doit immédiatement être arrêtée si des réactions d’hypersensibilité surviennent pendant l’injection ou la perfusion. Les mesures d’urgences habituelles, p. ex. adrénaline, remplissage volumique et corticostéroïdes, peuvent être indiquées.
- +L’administration doit immédiatement être arrêtée si des réactions d’hypersensibilité surviennent pendant l’injection ou la perfusion. Les mesures d’urgences habituelles, p.ex. adrénaline, remplissage volumique et corticostéroïdes, peuvent être indiquées.
-Les effets indésirables provenant des rapports de pharmacovigilance (n= 584, situation avril 2005) sont marqués d’un astérisque (*).
- +Les effets indésirables provenant des rapports de pharmacovigilance (n=584, situation avril 2005) sont marqués d’un astérisque (*).
-Très rares (< 0,01 %): coagulation intravasculaire disséminée (*), coagulopathies (*).
- +Très rares (< 0,01%): coagulation intravasculaire disséminée (*), coagulopathies (*).
-Rares (0,01 – 0,1 %): réactions allergiques, réactions anaphylactiques / anaphylactoïdes.
-Très rares (< 0,01 %): choc anaphylactique (pouvant mettre en jeu le pronostic vital) (*).
- +Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques, réactions anaphylactiques / anaphylactoïdes.
- +Très rares (< 0,01%): choc anaphylactique (pouvant mettre en jeu le pronostic vital) (*).
-Occasionnels (0,1 – 1 %): ischémie myocardique, occlusion/thrombose des artères coronaires, infarctus du myocarde, épanchement péricardique.
- +Occasionnels (0,1–1%): ischémie myocardique, occlusion/thrombose des artères coronaires, infarctus du myocarde, épanchement péricardique.
-Occasionnels (0,1 – 1 %): thrombose.
-Rares (0,01 – 0,1 %): thrombose artérielle (et ses manifestations spécifiques dans des organes vitaux comme les reins, les poumons ou le cerveau).
-Très rares (< 0,01 %): embolie pulmonaire (*).
- +Occasionnels (0,1–1%): thrombose.
- +Rares (0,01–0,1%): thrombose artérielle (et ses manifestations spécifiques dans des organes vitaux comme les reins, les poumons ou le cerveau).
- +Très rares (<0,01%): embolie pulmonaire(*).
-Occasionnels (0,1 – 1 %): altération de la fonction rénale, oligurie, insuffisance rénale aigüe, nécrose tubulaire rénale.
- +Occasionnels (0,1–1%): altération de la fonction rénale, oligurie, insuffisance rénale aigüe, nécrose tubulaire rénale.
-Très rares (< 0,01 %): réactions au site d’injection et de perfusion, thrombophlébite.
- +Très rares (<0,01): réactions au site d’injection et de perfusion, thrombophlébite.
-Une évaluation des données de toutes les études contrôlées contre placebo, réalisées par Bayer chez des patients subissant un pontage aorto-coronarien a montré que l’incidence des augmentations des taux sériques de créatinine > 0,5 mg/dl par rapport aux valeurs initiales était statistiquement plus élevée dans le groupe traité par l’aprotinine à la posologie recommandée (voir rubrique «Posologie / Mode d’emploi»), à savoir de 9,0% (185/2047), que dans le groupe placebo, à savoir de 6,6% (129/1957) (odds-ratio [1,41 1,12-1,79]). Dans la majorité des cas, l’altération postopératoire de la fonction rénale n’était pas grave et était réversible. L’incidence des augmentations des taux sériques de créatinine > 2,0 mg/dl par rapport aux valeurs initiales était en gros comparable (1,1 % contre 0,8 %) dans les groupes sous aprotinine et sous placebo (odds-ratio de 1,16 [0,73-1,85]) (voir aussi la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Une évaluation des données de toutes les études contrôlées contre placebo, réalisées par Bayer chez des patients subissant un pontage aorto-coronarien a montré que l’incidence des augmentations des taux sériques de créatinine >0,5 mg/dl par rapport aux valeurs initiales était statistiquement plus élevée dans le groupe traité par l’aprotinine à la posologie recommandée (voir rubrique «Posologie/Mode d’emploi»), à savoir de 9,0% (185/2047), que dans le groupe placebo, à savoir de 6,6% (129/1957) (odds-ratio [1,41 [1,12-1,79]). Dans la majorité des cas, l’altération postopératoire de la fonction rénale n’était pas grave et était réversible. L’incidence des augmentations des taux sériques de créatinine >2,0 mg/dl par rapport aux valeurs initiales était en gros comparable (1,1% contre 0,8%) dans les groupes sous aprotinine et sous placebo (odds-ratio de 1,16 [0,73-1,85]) (voir aussi la rubrique «Mises en garde et précautions»).
-L’aprotinine module la réponse inflammatoire systémique apparaissant dans les interventions sous circulation extracorporelle. Celle-ci entraîne l’activation de différents systèmes interdépendants (hémostase, fibrinolyse et réaction inflammatoire cellulaire et humorale). En inhibant plusieurs médiateurs (p. ex. la kallicréine, la plasmine et la trypsine), l’aprotinine provoque un affaiblissement de la réaction inflammatoire, de la fibrinolyse et de la synthèse de thrombine.
-L’aprotinine inhibe la libération de cytokines lors de la réaction inflammatoire et maintient l’homéostasie des glycoprotéines. L’aprotinine réduit les pertes de glycoprotéines (p. ex. GpIb et GpIIb/IIIa) dans les thrombocytes et inhibe l’expression de glycoprotéines adhésives pro-inflammatoires (p. ex. CD11b) dans les granulocytes.
- +L’aprotinine module la réponse inflammatoire systémique apparaissant dans les interventions sous circulation extracorporelle. Celle-ci entraîne l’activation de différents systèmes interdépendants (hémostase, fibrinolyse et réaction inflammatoire cellulaire et humorale). En inhibant plusieurs médiateurs (p.ex. la kallicréine, la plasmine et la trypsine), l’aprotinine provoque un affaiblissement de la réaction inflammatoire, de la fibrinolyse et de la synthèse de thrombine.
- +L’aprotinine inhibe la libération de cytokines lors de la réaction inflammatoire et maintient l’homéostasie des glycoprotéines. L’aprotinine réduit les pertes de glycoprotéines (p.ex. GpIb et GpIIb/IIIa) dans les thrombocytes et inhibe l’expression de glycoprotéines adhésives pro-inflammatoires (p.ex. CD11b) dans les granulocytes.
-Absorption et (siehe Bemerkungen zu Dosierung/Anwendung)distribution
- +Absorption et distribution
-Les concentrations plasmatiques peropératoires moyennes à l’état d’équilibre sont de 175–281 UIK/ml chez les patients traités par l’aprotinine au cours d’une intervention cardiaque selon le schéma posologique suivant: 2 millions d’UIK en dose de charge intraveineuse, 2 millions d’UIK dans le volume de remplissage, 500 000 UIK par heure d’intervention en perfusion intraveineuse continue. Les concentrations plasmatiques peropératoires moyennes à l’état d’équilibre sont de 110–164 UIK/ml après l’administration de la moitié des doses de ce schéma.
-Les études comparant la pharmacocinétique de l’aprotinine chez des volontaires sains, des patients cardiaques sous circulation extracorporelle et des femmes lors d’une hystérectomie, laissent supposer que la pharmacocinétique est linéaire dans la fourchette posologique comprise entre 500 000 et 2 millions d’UIK.
-Dans les expérimentations animales (rat), la liaison de l’aprotinine aux protéines plasmatiques est de 80 %. Le volume de distribution à l’état d’équilibre a été d’environ 20 l et la clairance totale chez l’homme d’environ 40 ml/min.
-Les concentrations d’aprotinine dans le sérum et les autres organes sont comparables. Les concentrations les plus basses ont été mesurées dans le cerveau, car l’aprotinine ne traverse pratiquement pas la barrière hémato-encéphalique. (siehe Bemerkungen zu Dosierung/Anwendung)
- +Les concentrations plasmatiques peropératoires moyennes à l’état d’équilibre sont de 175–281 UIK/ml chez les patients traités par l’aprotinine au cours d’une intervention cardiaque selon le schéma posologique suivant: 2 millions d’UIK en dose de charge intraveineuse, 2 millions d’UIK dans le volume de remplissage, 500’000 UIK par heure d’intervention en perfusion intraveineuse continue. Les concentrations plasmatiques peropératoires moyennes à l’état d’équilibre sont de 110–164 UIK/ml après l’administration de la moitié des doses de ce schéma.
- +Les études comparant la pharmacocinétique de l’aprotinine chez des volontaires sains, des patients cardiaques sous circulation extracorporelle et des femmes lors d’une hystérectomie, laissent supposer que la pharmacocinétique est linéaire dans la fourchette posologique comprise entre 500’000 et 2 millions d’UIK.
- +Dans les expérimentations animales (rat), la liaison de l’aprotinine aux protéines plasmatiques est de 80%. Le volume de distribution à l’état d’équilibre a été d’environ 20 l et la clairance totale chez l’homme d’environ 40 ml/min.
- +Les concentrations d’aprotinine dans le sérum et les autres organes sont comparables. Les concentrations les plus basses ont été mesurées dans le cerveau, car l’aprotinine ne traverse pratiquement pas la barrière hémato-encéphalique.
-Après l’injection d’aprotinine marquée à l’iode131 à des volontaires sains, 25–40 % de la substance radiomarquée a été éliminée sous forme de métabolites dans les urines en 48 heures. Ces métabolites n’ont montré aucune activité inhibitrice sur les enzymes. (siehe Bemerkungen zu Dosierung/Anwendung)
- +Après l’injection d’aprotinine marquée à l’iode131 à des volontaires sains, 25–40% de la substance radiomarquée a été éliminée sous forme de métabolites dans les urines en 48 heures. Ces métabolites n’ont montré aucune activité inhibitrice sur les enzymes.
-Le rein joue un rôle central dans l’élimination: Trasylol se lie à la bordure en brosse des cellules épithéliales des tubules proximaux et se fixe dans une moindre mesure également au tissu cartilagineux, en raison de l’affinité de la molécule d’aprotinine basique pour les glycoprotéines acides. Chez l’être humain, moins de 5 % de l’aprotinine active sont éliminés dans l’urine.
- +Le rein joue un rôle central dans l’élimination: Trasylol se lie à la bordure en brosse des cellules épithéliales des tubules proximaux et se fixe dans une moindre mesure également au tissu cartilagineux, en raison de l’affinité de la molécule d’aprotinine basique pour les glycoprotéines acides. Chez l’être humain, moins de 5% de l’aprotinine active sont éliminés dans l’urine.
-Aucune étude pharmacocinétique n’a été réalisée chez des patients présentant une insuffisance rénale terminale. Aucune modification pharmacocinétique significative n’a été observée dans les études menées chez des patients présentant une altération de la fonction rénale. (siehe Bemerkungen zu Dosierung/Anwendung)
- +Aucune étude pharmacocinétique n’a été réalisée chez des patients présentant une insuffisance rénale terminale. Aucune modification pharmacocinétique significative n’a été observée dans les études menées chez des patients présentant une altération de la fonction rénale.
-Les DL50 mesurées après administration intraveineuse étaient d’environ 2,5-6,5 millions d’UIK/kg chez la souris, 2,5-5 millions d’UIK/kg chez le rat, plus de 1,36 millions d’UIK/kg chez le chien et 500 000 UIK/kg chez le lapin.
-Dans une étude analysant les conditions probables de l’utilisation chez l’être humain, des chiens ont reçu en perfusion intraveineuse unique une dose comprise entre 340 000 UIK/kg/jour pendant 4 heures et 1 360 000 UIK/kg/jour pendant 8 heures. Ces doses correspondent à trois à dix fois la dose maximale recommandée chez l’être humain. Les modifications observées comprenaient des réactions pseudo-allergiques et une transformation hyaline faible à modérée dans le cytoplasme des cellules épithéliales des tubules rénaux. Les modifications morphologiques rénales n’étaient pas associées à des modifications glomérulaires, mais n’étaient pas totalement réversibles au cours d’une phase de récupération de dix jours.
-Chez le rat, le cobaye, le lapin et le chien, des injections rapides de doses élevées (>150 000 UIK/kg) ont provoqué une chute de la pression artérielle d’ampleur variable qui s’est rapidement normalisée.
- +Les DL50 mesurées après administration intraveineuse étaient d’environ 2,5-6,5 millions d’UIK/kg chez la souris, 2,5-5 millions d’UIK/kg chez le rat, plus de 1,36 millions d’UIK/kg chez le chien et 500’000 UIK/kg chez le lapin.
- +Dans une étude analysant les conditions probables de l’utilisation chez l’être humain, des chiens ont reçu en perfusion intraveineuse unique une dose comprise entre 340’000 UIK/kg/jour pendant 4 heures et 1'360’000 UIK/kg/jour pendant 8 heures. Ces doses correspondent à trois à dix fois la dose maximale recommandée chez l’être humain. Les modifications observées comprenaient des réactions pseudo-allergiques et une transformation hyaline faible à modérée dans le cytoplasme des cellules épithéliales des tubules rénaux. Les modifications morphologiques rénales n’étaient pas associées à des modifications glomérulaires, mais n’étaient pas totalement réversibles au cours d’une phase de récupération de dix jours.
- +Chez le rat, le cobaye, le lapin et le chien, des injections rapides de doses élevées (>150’000 UIK/kg) ont provoqué une chute de la pression artérielle d’ampleur variable qui s’est rapidement normalisée.
-Des administrations intrapéritonéales quotidiennes d’aprotinine à des doses de 10 000 à 300 000 UIK/kg/jour pendant 13 semaines ont entraîné une diminution de la prise de poids chez les rats traités par ces doses élevées, mais n’ont pas influencé les paramètres de la fonction rénale. Lors de la nécroscopie, les reins présentaient un poids relatif accru. Des examens histopathologiques ont révélé la présence de gouttelettes hyalines et de dépôts hyalins dans les tubules rénaux, surtout aux deux doses les plus élevées (150 000 et 300 000 UIK/kg). Aucune des modifications tubulaires n’a été évaluée comme permanente et aucune lésion glomérulaire n’a été constatée.
- +Des administrations intrapéritonéales quotidiennes d’aprotinine à des doses de 10’000 à 300’000 UIK/kg/jour pendant 13 semaines ont entraîné une diminution de la prise de poids chez les rats traités par ces doses élevées, mais n’ont pas influencé les paramètres de la fonction rénale. Lors de la nécroscopie, les reins présentaient un poids relatif accru. Des examens histopathologiques ont révélé la présence de gouttelettes hyalines et de dépôts hyalins dans les tubules rénaux, surtout aux deux doses les plus élevées (150’000 et 300’000 UIK/kg). Aucune des modifications tubulaires n’a été évaluée comme permanente et aucune lésion glomérulaire n’a été constatée.
-Dans les nombreuses études avec administration parentérale menées chez le chien, les animaux ont reçu pendant jusqu’à 16 semaines des doses comprises entre 5000 à 500 000 UIK/kg/jour en administration intraveineuse ou intrapéritonéale. Dans les études chez le chien et chez le rat, l’épithélium tubulaire rénal était le principal organe cible de la toxicité. La réversibilité de tous les effets rénaux (morphologiques et fonctionnels) a été démontrée dans des études spéciales incluant des animaux après la phase de récupération.
- +Dans les nombreuses études avec administration parentérale menées chez le chien, les animaux ont reçu pendant jusqu’à 16 semaines des doses comprises entre 5’000 à 500’000 UIK/kg/jour en administration intraveineuse ou intrapéritonéale. Dans les études chez le chien et chez le rat, l’épithélium tubulaire rénal était le principal organe cible de la toxicité. La réversibilité de tous les effets rénaux (morphologiques et fonctionnels) a été démontrée dans des études spéciales incluant des animaux après la phase de récupération.
-Dans des études avec administration intraveineuse menées chez le rat, des doses allant jusqu’à 80 000 UIK/kg/jour n’ont été toxiques ni pour la mère, ni pour l’embryon ou le fœtus. Des doses quotidiennes atteignant jusqu’à 100 000 UIK/kg n’ont affecté ni la croissance ni le développement des jeunes et des doses jusqu’à 200 000 UIK/kg n’ont montré aucun effet tératogène. Chez des lapins traités par des doses intraveineuses de 100 000 UIK/kg/jour, aucun indice de toxicité pour la mère, l’embryon ou le fœtus ou de tératogénicité n’a été décelé.
- +Dans des études avec administration intraveineuse menées chez le rat, des doses allant jusqu’à 80’000 UIK/kg/jour n’ont été toxiques ni pour la mère, ni pour l’embryon ou le fœtus. Des doses quotidiennes atteignant jusqu’à 100’000 UIK/kg n’ont affecté ni la croissance ni le développement des jeunes et des doses jusqu’à 200’000 UIK/kg n’ont montré aucun effet tératogène. Chez des lapins traités par des doses intraveineuses de 100’000 UIK/kg/jour, aucun indice de toxicité pour la mère, l’embryon ou le fœtus ou de tératogénicité n’a été décelé.
-Nicht zutreffendes löschen. Wenn nicht relevant, Unterkapitel löschen.
-Unterkapitel löschen, wenn nicht relevant
-Nicht zutreffende Lagerhinweise löschen. Kinderhinweis obligatorisch. Diese Angaben müssen in der Fach- und Patienteninformation und auf dem Packmaterial identisch sein.
-Solution limpide et incolore (pH 4.5-6.5). Ne pas utiliser les flacons dont le contenu est trouble. Utiliser immédiatement les flacons ouverts.
- +Solution limpide et incolore (pH 5.0-7.0). Ne pas utiliser les flacons dont le contenu est trouble. Utiliser immédiatement les flacons ouverts.
-38’837 (Swissmedic).
- +38837 (Swissmedic).
-Trasylol 500 000 UIK: 1 flacon de 50 ml. B
- +Trasylol 500’000 UIK: 1 flacon de 50 ml. [B]
-Mars 2014
- +Mars 2016
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