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Accueil - Information professionnelle sur Spiricort 5 - Changements - 08.11.2018
80 Changements de l'information professionelle Spiricort 5
  • -Principe actif: Prednisolonum.
  • -Excipients: Conserv.: E 200 (Acidum sorbicum), Color.: E 132 (comprimés pelliculés à 20 mg); Excip. pro compr. obducto.
  • +Principe actif
  • +Prednisolonum.
  • +Excipients
  • +Conserv.: E 200 (Acidum sorbicum), Color.: E 132 (comprimés pelliculés à 20 mg); Excip. pro compr. obducto.
  • -Etats allergiques graves ou invalidants et réfractaires aux traitements conventionnels tels que lasthme bronchique sévère, la rhinite allergique chronique grave, les réactions dhypersensibilité médicamenteuse (syndrome de Stevens-Johnson et de Lyell).
  • +Etats allergiques graves ou invalidants et réfractaires aux traitements conventionnels tels que l'asthme bronchique sévère, la rhinite allergique chronique grave, les réactions d'hypersensibilité médicamenteuse (syndrome de Stevens-Johnson et de Lyell).
  • -Poussées aiguës ou exacerbations daffections rhumatismales lorsque ces affections ne peuvent pas être suffisamment contrôlées par les anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme la fièvre rhumatismale aiguë avec affections associées, polyarthrite chronique, spondylite ankylosante, polymyalgie rhumatismale, ostéoarthrite posttraumatique, synovite en cas dostéoarthrite, artérite gigantocellulaire.
  • +Poussées aiguës ou exacerbations d'affections rhumatismales lorsque ces affections ne peuvent pas être suffisamment contrôlées par les anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme la fièvre rhumatismale aiguë avec affections associées, polyarthrite chronique, spondylite ankylosante, polymyalgie rhumatismale, ostéoarthrite posttraumatique, synovite en cas d'ostéoarthrite, artérite gigantocellulaire.
  • -Comme adjuvant à ladministration dun minéralocorticoïde en cas dinsuffisance corticosurrénale (en loccurrence, le médicament de choix est lhydrocortisone ou la cortisone; chez les enfants, la substitution par un minéralocorticoïde est particulièrement importante et en cas de déficience corticosurrénale totale, ladjonction dun minéralocorticoïde est indispensable); thyroïdite granulomateuse (aiguë, non purulente).
  • +Comme adjuvant à l'administration d'un minéralocorticoïde en cas d'insuffisance corticosurrénale (en l'occurrence, le médicament de choix est l'hydrocortisone ou la cortisone; chez les enfants, la substitution par un minéralocorticoïde est particulièrement importante et en cas de déficience corticosurrénale totale, l'adjonction d'un minéralocorticoïde est indispensable); thyroïdite granulomateuse (aiguë, non purulente).
  • -En cas de poussées aiguës de colite ulcéreuse, dentérite régionale de Crohn avérée et dhépatite infectieuse grave.
  • +En cas de poussées aiguës de colite ulcéreuse, d'entérite régionale de Crohn avérée et d'hépatite infectieuse grave.
  • -En cas détats oedémateux pour linstauration de la diurèse et la réduction de la protéinurie en cas de syndrome néphrotique idiopathique non urémique ou comme conséquence dun lupus érythémateux.
  • +En cas d'états œdémateux pour l'instauration de la diurèse et la réduction de la protéinurie en cas de syndrome néphrotique idiopathique non urémique ou comme conséquence d'un lupus érythémateux.
  • -Pour le traitement palliatif de la leucémie et des lymphomes chez ladulte et de leucémies aiguës chez lenfant; en outre, pour le traitement palliatif de la sarcoïdose symptomatique, de la thrombocytopénie idiopathique, de lanémie hémolytique auto-immune, de lanémie hypoplastique (érythrocytaire) congénitale ainsi que dans le cas de réactions de rejet ou de crises de rejet observées lors de transplantations.
  • +Pour le traitement palliatif de la leucémie et des lymphomes chez l'adulte et de leucémies aiguës chez l'enfant; en outre, pour le traitement palliatif de la sarcoïdose symptomatique, de la thrombocytopénie idiopathique, de l'anémie hémolytique auto-immune, de l'anémie hypoplastique (érythrocytaire) congénitale ainsi que dans le cas de réactions de rejet ou de crises de rejet observées lors de transplantations.
  • -Spiricort doit être dosé dans chaque cas selon la nature, la gravité et lévolution de laffection ainsi que suivant la réponse du patient.
  • +Spiricort doit être dosé dans chaque cas selon la nature, la gravité et l'évolution de l'affection ainsi que suivant la réponse du patient.
  • -il faut toujours viser à la dose thérapeutique nécessaire la plus faible possible. Ladministration de glucocorticoïdes à dose élevée et à court terme (jusquà 10 jours) nest certes pas critique, cependant, une dose initialement élevée devrait être réduite progressivement en lespace de quelques jours à une dose dentretien aussi faible que possible. Le traitement initial détats pathologiques sévères et aigus menaçant le pronostic vital, comme le statut asthmatique, le choc anaphylactique ou l’oedème cérébral aigu, exige ladministration intraveineuse dun corticostéroïde soluble. Il est renvoyé aux notices relatives aux préparations adéquates. Lorsque le traitement de la maladie se prolonge au-delà de quelques jours, la posologie doit être réduite progressivement à une dose dentretien inférieure à la double dose du seuil de Cushing ou être arrêtée progressivement (dose du seuil de Cushing pour la prednisolone: 7,5 mg).
  • -Lorsquune rémission spontanée survient dans une affection chronique, le traitement doit être arrêté.
  • +il faut toujours viser à la dose thérapeutique nécessaire la plus faible possible. L'administration de glucocorticoïdes à dose élevée et à court terme (jusqu'à 10 jours) n'est certes pas critique, cependant, une dose initialement élevée devrait être réduite progressivement en l'espace de quelques jours à une dose d'entretien aussi faible que possible. Le traitement initial d'états pathologiques sévères et aigus menaçant le pronostic vital, comme le statut asthmatique, le choc anaphylactique ou ldème cérébral aigu, exige l'administration intraveineuse d'un corticostéroïde soluble. Il est renvoyé aux notices relatives aux préparations adéquates. Lorsque le traitement de la maladie se prolonge au-delà de quelques jours, la posologie doit être réduite progressivement à une dose d'entretien inférieure à la double dose du seuil de Cushing ou être arrêtée progressivement (dose du seuil de Cushing pour la prednisolone: 7,5 mg).
  • +Lorsqu'une rémission spontanée survient dans une affection chronique, le traitement doit être arrêté.
  • -Pour le traitement à court terme des états aigus sévères, tels que lasthme bronchique grave ou une réaction de rejet lors dune transplantation, pour autant quils permettent encore ladministration orale, la dose initiale est de 100 à 200 mg/jour, appliqués au moins en 4 administrations uniques (les premières administrations au moyen dune préparation administrable par voie intraveineuse). Dans certains cas, des doses pouvant aller jusquà 1500 mg/jour peuvent cependant être nécessaires à court terme.
  • +Pour le traitement à court terme des états aigus sévères, tels que l'asthme bronchique grave ou une réaction de rejet lors d'une transplantation, pour autant qu'ils permettent encore l'administration orale, la dose initiale est de 100 à 200 mg/jour, appliqués au moins en 4 administrations uniques (les premières administrations au moyen d'une préparation administrable par voie intraveineuse). Dans certains cas, des doses pouvant aller jusqu'à 1500 mg/jour peuvent cependant être nécessaires à court terme.
  • -Les patients qui reçoivent de telles doses élevées doivent être particulièrement surveillés de très près en raison du risque deffets indésirables graves.
  • -Un traitement à dose élevée par Spiricort devrait cependant nêtre poursuivi que jusquau moment où létat du patient se soit stabilisé, habituellement pas plus longtemps que 48 à 72 heures. Après administration de doses élevées durant quelques jours, le traitement peut être arrêté brutalement sans risque.
  • +Les patients qui reçoivent de telles doses élevées doivent être particulièrement surveillés de très près en raison du risque d'effets indésirables graves.
  • +Un traitement à dose élevée par Spiricort devrait cependant n'être poursuivi que jusqu'au moment où l'état du patient se soit stabilisé, habituellement pas plus longtemps que 48 à 72 heures. Après administration de doses élevées durant quelques jours, le traitement peut être arrêté brutalement sans risque.
  • -Dans les maladies chroniques, ne menaçant généralement pas le pronostic vital, on commence par une dose faible de 5 à 10 mg/jour et on augmente progressivement jusquà la limite inférieure de la quantité provoquant le degré souhaité de lamélioration symptomatique.
  • -Un traitement au long cours ne devrait être effectué quaprès une évaluation rigoureuse du bénéfice et du risque. Si un traitement au long cours devait savérer nécessaire, il convient de surveiller les patients de très près par rapport à des signes qui exigent une diminution de la posologie ou larrêt de la médication, tout en décidant si un traitement journalier ou intermittent est indiqué.
  • -Les examens de laboratoire habituels, tels quanalyse durine, glycémie deux heures après le repas, mesure de la tension artérielle et poids corporel ainsi quune radiographie du thorax doivent être effectués à intervalles réguliers. A doses élevées, la détermination du potassium sérique est également recommandée.
  • -Comme tout traitement par les glucocorticoïdes, un traitement par Spiricort ne doit pas être arrêté brutalement lorsque sa durée est supérieure à 810 jours, mais il doit être arrêté par une diminution lente et progressive des doses journalières afin déviter une récurrence aiguë de la maladie et une insuffisance corticosurrénale (syndrome de privation des glucocorticoïdes). A la fin de larrêt progressif, la posologie est adaptée au rythme circadien de sécrétion.
  • -Par ailleurs, il faut tenir compte du fait que la réaction au stress perturbée sous un traitement au long cours par les glucocorticoïdes rend nécessaire une adaptation de la dose des corticoïdes aux conditions stressantes: dans les maladies générales: double, éventuellement triple de la dose administrée en dernier lieu; pour les interventions mineures: avant lintervention, 100 mg dhydrocortisone i.v.; pour les interventions moyennement majeures: avant lintervention, 100 mg dhydrocortisone i.v. et ensuite toutes les 6 heures 100 mg dhydrocortisone sur une période de 24 heures; pour les interventions chirurgicales majeures: avant lintervention, 100 mg dhydrocortisone et ensuite toutes les 6 heures sur une période dau moins 72 heures. Traitement ultérieur en fonction de lévolution.
  • -Si un effet thérapeutique satisfaisant nest pas obtenu au bout dune durée de traitement adéquate, Spiricort doit être arrêté et un autre traitement doit être instauré.
  • +Dans les maladies chroniques, ne menaçant généralement pas le pronostic vital, on commence par une dose faible de 5 à 10 mg/jour et on augmente progressivement jusqu'à la limite inférieure de la quantité provoquant le degré souhaité de l'amélioration symptomatique.
  • +Un traitement au long cours ne devrait être effectué qu'après une évaluation rigoureuse du bénéfice et du risque. Si un traitement au long cours devait s'avérer nécessaire, il convient de surveiller les patients de très près par rapport à des signes qui exigent une diminution de la posologie ou l'arrêt de la médication, tout en décidant si un traitement journalier ou intermittent est indiqué.
  • +Les examens de laboratoire habituels, tels qu'analyse d'urine, glycémie deux heures après le repas, mesure de la tension artérielle et poids corporel ainsi qu'une radiographie du thorax doivent être effectués à intervalles réguliers. A doses élevées, la détermination du potassium sérique est également recommandée.
  • +Comme tout traitement par les glucocorticoïdes, un traitement par Spiricort ne doit pas être arrêté brutalement lorsque sa durée est supérieure à 8-10 jours, mais il doit être arrêté par une diminution lente et progressive des doses journalières afin d'éviter une récurrence aiguë de la maladie et une insuffisance corticosurrénale (syndrome de privation des glucocorticoïdes). A la fin de l'arrêt progressif, la posologie est adaptée au rythme circadien de sécrétion.
  • +Par ailleurs, il faut tenir compte du fait que la réaction au stress perturbée sous un traitement au long cours par les glucocorticoïdes rend nécessaire une adaptation de la dose des corticoïdes aux conditions stressantes: dans les maladies générales: double, éventuellement triple de la dose administrée en dernier lieu; pour les interventions mineures: avant l'intervention, 100 mg d'hydrocortisone I.V.; pour les interventions moyennement majeures: avant l'intervention, 100 mg d'hydrocortisone I.V. et ensuite toutes les 6 heures 100 mg d'hydrocortisone sur une période de 24 heures; pour les interventions chirurgicales majeures: avant l'intervention, 100 mg d'hydrocortisone et ensuite toutes les 6 heures sur une période d'au moins 72 heures. Traitement ultérieur en fonction de l'évolution.
  • +Si un effet thérapeutique satisfaisant n'est pas obtenu au bout d'une durée de traitement adéquate, Spiricort doit être arrêté et un autre traitement doit être instauré.
  • -Chez les enfants en bas âge et les enfants, des doses inférieures aux doses mentionnées ci-dessus sont généralement suffisantes; cependant, la posologie devrait sorienter davantage à la gravité de la maladie quà lâge, quau poids corporel ou quà la taille, et elle devrait être circadienne.
  • -La directive suivante est dapplication
  • -jusquà 1 an: 25% de la dose pour adulte,
  • -jusquà 7 ans: 50% de la dose pour adulte,
  • -jusquà 12 ans: 75% de la dose pour adulte.
  • -Dans le traitement au long cours par les stéroïdes chez lenfant, il faut sattendre à un arrêt de la croissance dose-dépendant au bout de 2 à 3 mois; si le traitement par les stéroïdes est indispensable, la forme dadministration alternative ou intermittente sera essayée au moindre signe dun arrêt de la croissance (cf. ci-dessous).
  • +Chez les enfants en bas âge et les enfants, des doses inférieures aux doses mentionnées ci-dessus sont généralement suffisantes; cependant, la posologie devrait s'orienter davantage à la gravité de la maladie qu'à l'âge, qu'au poids corporel ou qu'à la taille, et elle devrait être circadienne.
  • +La directive suivante est d'application:
  • +jusqu'à 1 an: 25% de la dose pour adulte,
  • +jusqu'à 7 ans: 50% de la dose pour adulte,
  • +jusqu'à 12 ans: 75% de la dose pour adulte.
  • +Dans le traitement au long cours par les stéroïdes chez l'enfant, il faut s'attendre à un arrêt de la croissance dose-dépendant au bout de 2 à 3 mois; si le traitement par les stéroïdes est indispensable, la forme d'administration alternative ou intermittente sera essayée au moindre signe d'un arrêt de la croissance (cf. cidessous).
  • -Une réduction de la dose peut être nécessaire en cas dhypothyroïdie ou de cirrhose du foie.
  • +Une réduction de la dose peut être nécessaire en cas d'hypothyroïdie ou de cirrhose du foie.
  • -Dans les traitements prolongés, la posologie en alternance contribue à diminuer le risque dune insuffisance corticosurrénale secondaire, et la posologie intermittente diminue le risque de troubles de la croissance chez lenfant.
  • -Pour certains objectifs thérapeutiques spéciaux (par exemple, la prophylaxie de poussées dasthme nocturnes), une répartition avec une administration supplémentaire le soir est possible.
  • -En cas de doses supérieures à 20 mg de prednisolone/jour, ladaptation de la posologie au rythme circadien peut être négligée. En outre, une adaptation au rythme circadien de sécrétion nest possible que de façon limitée en raison de la demi-vie mi-longue de la prednisolone.
  • +Dans les traitements prolongés, la posologie en alternance contribue à diminuer le risque d'une insuffisance corticosurrénale secondaire, et la posologie intermittente diminue le risque de troubles de la croissance chez l'enfant.
  • +Pour certains objectifs thérapeutiques spéciaux (par exemple, la prophylaxie de poussées d'asthme nocturnes), une répartition avec une administration supplémentaire le soir est possible.
  • +En cas de doses supérieures à 20 mg de prednisolone/jour, l'adaptation de la posologie au rythme circadien peut être négligée. En outre, une adaptation au rythme circadien de sécrétion n'est possible que de façon limitée en raison de la demi-vie mi-longue de la prednisolone.
  • -En général, aucune contre-indication nexiste dans les états où ladministration de glucocorticoïdes peut sauver la vie.
  • -Il ny a pas de contre-indications au traitement de substitution, étant donné que des effets indésirables ne se manifestent pas.
  • -La préparation ne doit pas être utilisée en cas dhypersensibilité à la prednisolone ou à lun des excipients.
  • -Contre-indications en cas dutilisation prolongée constante dépassant la durée dun traitement durgence et de la substitution: ulcères gastriques et intestinaux, ostéoporose grave, diabète sucré, insuffisance rénale, hypertension sévère, anamnèse psychiatrique, Herpes simplex, Herpes zoster (phase virémique), herpès de la cornée, varicelle, env. 8 semaines avant jusquà 2 semaines après des vaccinations prophylactiques, poliomyélite (à lexception de la forme bulbo-encéphalitique), infections par les amibes, mycoses systémiques, lymphomes secondaires à une vaccination BCG, glaucome à angle fermé et glaucome à angle ouvert.
  • +En général, aucune contre-indication n'existe dans les états où l'administration de glucocorticoïdes peut sauver la vie.
  • +Il n'y a pas de contre-indications au traitement de substitution, étant donné que des effets indésirables ne se manifestent pas.
  • +La préparation ne doit pas être utilisée en cas d'hypersensibilité à la prednisolone ou à l'un des excipients.
  • +Contre-indications en cas d'utilisation prolongée constante dépassant la durée d'un traitement d'urgence et de la substitution: ulcères gastriques et intestinaux, ostéoporose grave, diabète sucré, insuffisance rénale, hypertension sévère, anamnèse psychiatrique, Herpes simplex, Herpes zoster (phase virémique), herpès de la cornée, varicelle, env. 8 semaines avant jusqu'à 2 semaines après des vaccinations prophylactiques, poliomyélite (à l'exception de la forme bulbo-encéphalitique), infections par les amibes, mycoses systémiques, lymphomes secondaires à une vaccination BCG, glaucome à angle fermé et glaucome à angle ouvert.
  • -Des complications éventuelles sous un traitement par les corticostéroïdes dépendent de la posologie et de la durée du traitement. Par conséquent, le bénéfice et le risque de la posologie et de la durée du traitement devraient être évalués individuellement pour chaque patient (cf. également «Posologie/Mode demploi»).
  • -Etant donné que le plein effet de la prednisolone, comme celui de tous les glucocorticoïdes, ne se déploie quau bout dun certain délai (au bout de 4 à 8 heures), la préparation ne doit pas être administrée pour le traitement à court terme détats pathologiques sévères comme remplacement du traitement conventionnel (agissant immédiatement), mais uniquement comme adjuvant de celui-ci. Il est renvoyé aux notices de telles préparations. Les glucocorticoïdes ne devraient cependant pas être utilisés dans les affections chroniques non compliquées des voies respiratoires.
  • -Dans le syndrome adrénogénital, Spiricort ne peut être administré quavec un minéralocorticoïde.
  • -Un traitement par les corticostéroïdes durant plus de 2 semaines peut entraîner une insuffisance corticosurrénale due à linhibition de la libération dACTH qui peut aller jusquà une atrophie de la corticosurrénale. Une perte fonctionnelle de la corticosurrénale peut durer jusquà un an et plus et constitue un risque menaçant le pronostic vital pour le patient dans des situations de stress et deffort. Chez les patients qui pendant un traitement par les corticostéroïdes sont soumis à un stress inhabituel (par exemple, opération, traumatisme sévère, infection grave), ladministration supplémentaire dun corticoïde à action rapide est indiquée avant, pendant et après lévénement stressant afin de surmonter celui-ci (cf. «Posologie/Mode demploi»).
  • -A la fin dun traitement au long cours, il faut procéder à une diminution très lente et progressive de la posologie afin déviter une perte fonctionnelle de la corticosurrénale.
  • -Chez les patientes postménopausiques et les patients gériatriques, un traitement par les glucocorticoïdes ne devrait être effectué quen cas dindication stricte et quaprès avoir soupesé rigoureusement le bénéfice et le risque dun tel traitement à cause du risque accru dostéoporose.
  • +Des complications éventuelles sous un traitement par les corticostéroïdes dépendent de la posologie et de la durée du traitement. Par conséquent, le bénéfice et le risque de la posologie et de la durée du traitement devraient être évalués individuellement pour chaque patient (c.f. également «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Etant donné que le plein effet de la prednisolone, comme celui de tous les glucocorticoïdes, ne se déploie qu'au bout d'un certain délai (au bout de 4 à 8 heures), la préparation ne doit pas être administrée pour le traitement à court terme d'états pathologiques sévères comme remplacement du traitement conventionnel (agissant immédiatement), mais uniquement comme adjuvant de celui-ci. Il est renvoyé aux notices de telles préparations. Les glucocorticoïdes ne devraient cependant pas être utilisés dans les affections chroniques non compliquées des voies respiratoires.
  • +Dans le syndrome adrénogénital, Spiricort ne peut être administré qu'avec un minéralocorticoïde.
  • +Un traitement par les corticostéroïdes durant plus de 2 semaines peut entraîner une insuffisance corticosurrénale due à l'inhibition de la libération d'ACTH qui peut aller jusqu'à une atrophie de la corticosurrénale. Une perte fonctionnelle de la corticosurrénale peut durer jusqu'à un an et plus et constitue un risque menaçant le pronostic vital pour le patient dans des situations de stress et d'effort. Chez les patients qui pendant un traitement par les corticostéroïdes sont soumis à un stress inhabituel (par exemple, opération, traumatisme sévère, infection grave), l'administration supplémentaire d'un corticoïde à action rapide est indiquée avant, pendant et après l'événement stressant afin de surmonter celui-ci (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +A la fin d'un traitement au long cours, il faut procéder à une diminution très lente et progressive de la posologie afin d'éviter une perte fonctionnelle de la corticosurrénale.
  • +Chez les patientes postménopausiques et les patients gériatriques, un traitement par les glucocorticoïdes ne devrait être effectué qu'en cas d'indication stricte et qu'après avoir soupesé rigoureusement le bénéfice et le risque d'un tel traitement à cause du risque accru d'ostéoporose.
  • -Les glucocorticoïdes peuvent masquer les signes dune infection. En outre, de nouvelles infections peuvent se manifester sous le traitement par les glucocorticoïdes. Lors de maladies infectieuses graves, il faut par conséquent prévoir une protection antibiotique ou chimiothérapeutique concomitante suffisante.
  • -Les patients sous traitement par les corticostéroïdes ne devraient pas être vaccinés afin déviter le risque de complications neurologiques et une réponse insuffisante au vaccin.
  • -Chez les patients atteints de tuberculose latente ou présentant une réactivité à la tuberculine, un contrôle étroit est nécessaire en cas dindication sûre dun traitement par les corticostéroïdes, et dans le cas dun traitement au long cours, ces patients devraient suivre une chimiothérapie. Chez les patients atteints dune tuberculose active fulminante ou de tuberculose miliaire, la prednisolone ne doit être administrée quen association à un traitement tuberculostatique adéquat.
  • -Les varicelles qui se manifestent durant un traitement systémique par les corticostéroïdes peuvent prendre une forme évolutive sévère et, en particulier chez les enfants, avoir une issue létale. Elles exigent un traitement immédiat, par exemple par laciclovir i.v. Chez les patients à risque, une prophylaxie par laciclovir ou une immunoprophylaxie passive par de limmunoglobuline varicelle zoster est indiquée.
  • +Les glucocorticoïdes peuvent masquer les signes d'une infection. En outre, de nouvelles infections peuvent se manifester sous le traitement par les glucocorticoïdes. Lors de maladies infectieuses graves, il faut par conséquent prévoir une protection antibiotique ou chimiothérapeutique concomitante suffisante.
  • +Les patients sous traitement par les corticostéroïdes ne devraient pas être vaccinés afin d'éviter le risque de complications neurologiques et une réponse insuffisante au vaccin.
  • +Chez les patients atteints de tuberculose latente ou présentant une réactivité à la tuberculine, un contrôle étroit est nécessaire en cas d'indication sûre d'un traitement par les corticostéroïdes, et dans le cas d'un traitement au long cours, ces patients devraient suivre une chimiothérapie. Chez les patients atteints d'une tuberculose active fulminante ou de tuberculose miliaire, la prednisolone ne doit être administrée qu'en association à un traitement tuberculostatique adéquat.
  • +Les varicelles qui se manifestent durant un traitement systémique par les corticostéroïdes peuvent prendre une forme évolutive sévère et, en particulier chez les enfants, avoir une issue létale. Elles exigent un traitement immédiat, par exemple par l'aciclovir I.V. Chez les patients à risque, une prophylaxie par l'aciclovir ou une immunoprophylaxie passive par de l'immunoglobuline varicelle zoster est indiquée.
  • -infections à Herpes simplex de l’oeil (risque de perforation de la cornée);
  • +infections à Herpes simplex de lil (risque de perforation de la cornée);
  • -affections psychotiques dans lanamnèse;
  • -hypothyroïdie, cirrhose du foie (potentialisation de leffet des glucocorticoïdes);
  • +affections psychotiques dans l'anamnèse;
  • +hypothyroïdie, cirrhose du foie (potentialisation de l'effet des glucocorticoïdes);
  • -En outre, la prudence est de rigueur en cas de diabète sucré en raison du risque de la détérioration de la tolérance au glucose, et il faut tenir compte du fait quun diabète latent peut se déclarer (les diabétiques nécessitent souvent des doses dinsuline plus élevées; cf. «Interactions»); en cas de myasthénie grave et dadministration concomitante dinhibiteurs de la cholinestérase, étant donné que dans de tels cas leffet des inhibiteurs de la cholinestérase diminue et que le risque dune crise de myasthénie est accru et que, par conséquent, les inhibiteurs de la cholinestérase devraient, dans la mesure du possible, être arrêtés 24 heures avant ladministration dun corticostéroïde (cf. «Interactions»); lors de ladministration concomitante dacide acétylsalicylique chez les patients atteints dhypoprothrombinémie; lors du traitement au long cours associé aux glucocorticoïdes et aux salicylates en raison du risque accru dhémorragies et dulcérations gastro-intestinales qui peuvent aller jusquà la perforation, bien que toute réduction de la dose du glucocorticoïde doive être effectuée avec prudence en raison du risque dintoxication par les salicylates (cf. «Interactions»).
  • -Un bilan négatif de lazote peut survenir en raison de leffet catabolique et anobolique des corticostéroïdes. Par conséquent, il faut veiller à un apport abondant en protéines.
  • +En outre, la prudence est de rigueur en cas de diabète sucré en raison du risque de la détérioration de la tolérance au glucose, et il faut tenir compte du fait qu'un diabète latent peut se déclarer (les diabétiques nécessitent souvent des doses d'insuline plus élevées; cf. «Interactions»); en cas de myasthénie grave et d'administration concomitante d'inhibiteurs de la cholinestérase, étant donné que dans de tels cas l'effet des inhibiteurs de la cholinestérase diminue et que le risque d'une crise de myasthénie est accru et que, par conséquent, les inhibiteurs de la cholinestérase devraient, dans la mesure du possible, être arrêtés 24 heures avant l'administration d'un corticostéroïde (cf. «Interactions»); lors de l'administration concomitante d'acide acétylsalicylique chez les patients atteints d'hypoprothrombinémie; lors du traitement au long cours associé aux glucocorticoïdes et aux salicylates en raison du risque accru d'hémorragies et d'ulcérations gastro-intestinales qui peuvent aller jusqu'à la perforation, bien que toute réduction de la dose du glucocorticoïde doive être effectuée avec prudence en raison du risque d'intoxication par les salicylates (cf. «Interactions»).
  • +L'administration concomitante de Spiricort avec de puissants inhibiteurs du CYP3A4 doit être évitée (voir «Interactions»).
  • +Un bilan négatif de l'azote peut survenir en raison de l'effet catabolique et anobolique des corticostéroïdes. Par conséquent, il faut veiller à un apport abondant en protéines.
  • -Acide acétylsalicylique et anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS): l’effet ulcérogène de ces substances peut être potentialisé.
  • -Antibiotiques/Antimycotiques: la troléandomycine, lérythromycine et le kétoconazole augmentent les effets et les effets secondaires de la prednisolone. La rifampicine peut diminuer lefficacité de la prednisolone et rendre nécessaire une adaptation de la dose.
  • -Anticholinergiques: l’atropine et dautres anticholinergiques peuvent augmenter une pression intra-oculaire déjà élevée.
  • -Anticholinestérases: la néostigmine et la pyridostigmine peuvent déclencher une crise de myasthénie.
  • -Antidiabétiques: lors de ladministration concomitante dinsuline ou dantidiabétiques oraux, les taux de glucose doivent être surveillés et, le cas échéant, la posologie des antidiabétiques doit être adaptée.
  • -Antihypertenseurs: l’effet antihypertenseur peut être perturbé par laction minéralocorticoïde des glucocorticoïdes, ce qui peut entraîner une élévation de la tension artérielle.
  • -Anticoagulants: l’effet des anticoagulants oraux ou de lhéparine peut être augmenté ou diminué. La coagulation sanguine doit par conséquent être contrôlée et la dose des anticoagulants doit éventuellement être adaptée.
  • -Anticonvulsifs: le phénobarbital et la phénytoïne peuvent diminuer lefficacité de la prednisolone. En cas de réponse thérapeutique insuffisante à la prednisolone, sa posologie doit être augmentée.
  • -Diurétiques: pour les diurétiques réduisant le taux de potassium, comme par exemple le furosémide, les taux de potassium doivent être surveillés. Le cas échéant, le potassium doit être substitué.
  • -Glycosides cardiaques: la toxicité de la digoxine et des substances apparentées est accrue.
  • -Vaccins: les vaccins de virus vivants, comme par exemple la poliomyélite, BCG, les oreillons, la rougeole, la rubéole et la variole, peuvent présenter une toxicité accrue en raison de leffet immunosuppresseur des corticostéroïdes. Des infections virales disséminées peuvent survenir. Dans le cas de vaccins de virus morts, la réponse au vaccin peut être diminuée.
  • -Immunosuppresseurs: lors de ladministration concomitante de méthotrexate, une dose de corticostéroïdes plus faible peut être suffisante en raison de leffet synergique. La ciclosporine diminue la clairance des corticostéroïdes, vraisemblablement par linhibition compétitive des enzymes microsomales hépatiques et inversement, les corticostéroïdes administrés surtout à doses élevées peuvent augmenter le taux de ciclosporine dans le sang. Au cours dun tel traitement, il faut par conséquent surveiller le taux de ciclosporine dans le sang et, si nécessaire, adapter la dose.
  • -Inhibiteurs neuromusculaires: l’effet du pancuronium peut être diminué.
  • -Oestrogènes: les oestrogènes peuvent potentialiser leffet des corticostéroïdes.
  • -Psychotropes: l’effet des anxiolytiques et des antipsychotiques peut être diminué. La posologie des substances agissant sur le SNC doit, si nécessaire, être adaptée.
  • -Salicylates: l’efficacité des salicylates peut être diminuée. En cas de diminution de la posologie des corticostéroïdes, la toxicité des salicylates peut augmenter.
  • -Sympathomimétiques: l’effet et la toxicité potentielle du salbutamol augmentent.
  • -Cytostatiques: l’effet du cyclophosphamide peut être diminué.
  • +Acide acétylsalicylique et anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
  • +L'effet ulcérogène de ces substances peut être potentialisé.
  • +Antibiotiques/Antimycotiques
  • +La troléandomycine, l'érythromycine et le kétoconazole augmentent les effets et les effets secondaires de la prednisolone. La rifampicine peut diminuer l'efficacité de la prednisolone et rendre nécessaire une adaptation de la dose.
  • +Anticholinergiques
  • +L'atropine et d'autres anticholinergiques peuvent augmenter une pression intra-oculaire déjà élevée.
  • +Anticholinestérases
  • +La néostigmine et la pyridostigmine peuvent déclencher une crise de myasthénie.
  • +Antidiabétiques
  • +Lors de l'administration concomitante d'insuline ou d'antidiabétiques oraux, les taux de glucose doivent être surveillés et, le cas échéant, la posologie des antidiabétiques doit être adaptée.
  • +Antihypertenseurs
  • +L'effet antihypertenseur peut être perturbé par l'action minéralocorticoïde des glucocorticoïdes, ce qui peut entraîner une élévation de la tension artérielle.
  • +Anticoagulants
  • +L'effet des anticoagulants oraux ou de l'héparine peut être augmenté ou diminué. La coagulation sanguine doit par conséquent être contrôlée et la dose des anticoagulants doit éventuellement être adaptée.
  • +Anticonvulsifs
  • +Le phénobarbital et la phénytoïne peuvent diminuer l'efficacité de la prednisolone. En cas de réponse thérapeutique insuffisante à la prednisolone, sa posologie doit être augmentée.
  • +Diurétiques
  • +Pour les diurétiques réduisant le taux de potassium, comme par exemple le furosémide, les taux de potassium doivent être surveillés. Le cas échéant, le potassium doit être substitué.
  • +Glycosides cardiaques
  • +La toxicité de la digoxine et des substances apparentées est accrue.
  • +Vaccins
  • +Les vaccins de virus vivants, comme par exemple la poliomyélite, BCG, les oreillons, la rougeole, la rubéole et la variole, peuvent présenter une toxicité accrue en raison de l'effet immunosuppresseur des corticostéroïdes. Des infections virales disséminées peuvent survenir. Dans le cas de vaccins de virus morts, la réponse au vaccin peut être diminuée.
  • +Immunosuppresseurs
  • +Lors de l'administration concomitante de méthotrexate, une dose de corticostéroïdes plus faible peut être suffisante en raison de l'effet synergique. La ciclosporine diminue la clairance des corticostéroïdes, vraisemblablement par l'inhibition compétitive des enzymes microsomales hépatiques et inversement, les corticostéroïdes administrés surtout à doses élevées peuvent augmenter le taux de ciclosporine dans le sang. Au cours d'un tel traitement, il faut par conséquent surveiller le taux de ciclosporine dans le sang et, si nécessaire, adapter la dose.
  • +Interactions avec de puissants inhibiteurs du CYP3A4
  • +Les corticostéroïdes (y compris la bétaméthasone) sont métabolisés par le CYP3A4. L'administration concomitante de puissants inhibiteurs du CYP3A4 (p.ex. kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, ritonavir, produits qui contiennent du cobicistat) peut entraîner une exposition accrue aux corticostéroïdes et, par conséquent, un risque accru d'effets indésirables des corticostéroïdes systémiques. Le bénéfice d'une administration concomitante doit être soigneusement soupesé par rapport au risque potentiel que constituent les effets des corticostéroïdes systémiques, auquel cas les patients doivent être surveillés à la recherche d'effets indésirables des corticostéroïdes systémiques.
  • +Inhibiteurs neuromusculaires
  • +L'effet du pancuronium peut être diminué.
  • +Œstrogènes
  • +Les œstrogènes peuvent potentialiser l'effet des corticostéroïdes.
  • +Psychotropes
  • +L'effet des anxiolytiques et des antipsychotiques peut être diminué. La posologie des substances agissant sur le SNC doit, si nécessaire, être adaptée.
  • +Salicylates
  • +L'efficacité des salicylates peut être diminuée. En cas de diminution de la posologie des corticostéroïdes, la toxicité des salicylates peut augmenter.
  • +Sympathomimétiques
  • +L'effet et la toxicité potentielle du salbutamol augmentent.
  • +Cytostatiques
  • +L'effet du cyclophosphamide peut être diminué.
  • -Des études de reproduction chez lanimal ont montré des effets tératogènes, mais on ne dispose pas détudes contrôlées chez les femmes enceintes. Dans le cas dun traitement au long cours durant la grossesse, des troubles de la croissance intra-utérine ne sont cependant pas à exclure, et en cas de traitement à la fin de la grossesse, un risque datrophie de la corticosurrénale existe pour le foetus, pouvant rendre nécessaire un traitement de substitution diminuant progressivement chez le nourrisson. Par ailleurs, des fausses couches surviennent souvent chez les mères qui doivent être traitées par des stéroïdes durant la grossesse.
  • -Par conséquent, Spiricort, comme tous les glucocorticoïdes, ne doit pas être administré durant la grossesse en particulier, au cours des trois premiers mois, à moins que ceci ne soit absolument nécessaire. À cet effet, il faut préférer la prednisolone (ou la prednisone) à tous les autres glucocorticostéroïdes, et en particulier aux glucocorticoïdes fluorés, étant donné quelle traverse beaucoup moins facilement le placenta.
  • -La patiente devrait être informée quelle doit avertir immédiatement le médecin en cas de grossesse présumée ou avérée.
  • -La prednisolone passe dans le lait maternel, son taux étant de 5 à 25% de la concentration plasmatique maternelle. La fonction de la corticosurrénale et la croissance du nourrisson peuvent être perturbées. Lallaitement sera arrêté lors de lutilisation systémique de corticostéroïdes.
  • +Des études de reproduction chez l'animal ont montré des effets tératogènes, mais on ne dispose pas d'études contrôlées chez les femmes enceintes. Dans le cas d'un traitement au long cours durant la grossesse, des troubles de la croissance intra-utérine ne sont cependant pas à exclure, et en cas de traitement à la fin de la grossesse, un risque d'atrophie de la corticosurrénale existe pour le fœtus, pouvant rendre nécessaire un traitement de substitution diminuant progressivement chez le nourrisson. Par ailleurs, des fausses couches surviennent souvent chez les mères qui doivent être traitées par des stéroïdes durant la grossesse.
  • +Par conséquent, Spiricort, comme tous les glucocorticoïdes, ne doit pas être administré durant la grossesse - en particulier, au cours des trois premiers mois, à moins que ceci ne soit absolument nécessaire. À cet effet, il faut préférer la prednisolone (ou la prednisone) à tous les autres glucocorticostéroïdes, et en particulier aux glucocorticoïdes fluorés, étant donné qu'elle traverse beaucoup moins facilement le placenta.
  • +La patiente devrait être informée qu'elle doit avertir immédiatement le médecin en cas de grossesse présumée ou avérée.
  • +La prednisolone passe dans le lait maternel, son taux étant de 5 à 25% de la concentration plasmatique maternelle. La fonction de la corticosurrénale et la croissance du nourrisson peuvent être perturbées. L'allaitement sera arrêté lors de l'utilisation systémique de corticostéroïdes.
  • -Au début du traitement surtout, Spiricort peut provoquer des altérations de la capacité de concentration (cf. rubrique «Effets indésirables») et, par conséquent, altérer laptitude à la conduite et à utiliser des machines.
  • +Au début du traitement surtout, Spiricort peut provoquer des altérations de la capacité de concentration (cf. rubrique «Effets indésirables») et, par conséquent, altérer l'aptitude à la conduite et à utiliser des machines.
  • -Lors dun traitement à court terme, le risque deffets indésirables est faible. Il faut cependant tenir compte du fait que lévolution des hémorragies intestinales (souvent dues au stress) peut présenter peu de symptômes en raison de lutilisation de corticoïdes.
  • +Lors d'un traitement à court terme, le risque d'effets indésirables est faible. Il faut cependant tenir compte du fait que l'évolution des hémorragies intestinales (souvent dues au stress) peut présenter peu de symptômes en raison de l'utilisation de corticoïdes.
  • -Sang: leucocytose, lymphopénie relative, éosinopénie, thromboembolies.
  • -Système immunitaire: infections masquées, réponse diminuée ou absence de réponse aux tests cutanés, activation dinfections latentes, infections opportunistes, ostéomyélite, septicémie, réactivation dune tuberculose, Candida albicans, Herpes simplex.
  • -Réactions dhypersensibilité, dans des cas rares pouvant aller jusquà des réactions anaphylactiques accompagnées dhypotension, de collapsus circulatoire et/ou de bronchospasme.
  • -Endocrinologie: maladie de Cushing, inhibition de la croissance chez les enfants, gynécomastie, aménorrhée, inhibition de la sécrétion dACTH, inhibition de la résorption diode par la glande thyroïde, insuffisance de la corticosurrénale secondaire et insuffisance hypophysaire secondaire, diminution de la tolérance aux hydrates de carbone, hyperglycémie, diabète stéroïdien, hyperlipidémie.
  • -Trouble de léquilibre hydrique et électrolytique: rétention de sodium, rétention deau, perte de potassium, perte de calcium, perte de phosphate, alcalose hypokaliémique, cétoacidose, hypertension.
  • -Métabolisme: bilan dazote négatif suite à la dégradation des protéines.
  • -Système nerveux central: pression intracrânienne élevée accompagnée de papille congestive (Pseudotumor cerebri), convulsions, vertiges, céphalées, troubles psychiques (insomnie, euphorie, dépressions, sautes dhumeur et altérations de la personnalité, aggravation des troubles affectifs et de la tendance aux psychoses pouvant aller jusquà des psychoses avérées). Surtout au début du traitement, altérations de lhumeur, des impulsions et de la capacité de concentration.
  • -Yeux: pression intra-oculaire élevée, glaucome, cataracte subcapsulaire, conjonctivite.
  • -Système cardiocirculatoire: rupture du myocarde secondaire à un infarctus du myocarde récent.
  • -Appareil gastro-intestinal: ulcère peptique accompagné de perforation et dhémorragie éventuelles (souvent exempt de symptomatologie typique), perforations de lintestin grêle et du côlon, pancréatite, oesophagite ulcéreuse, augmentation de lappétit, prise de poids, nausées, vomissements.
  • -Peau: altération atrophiques, ralentissement de la cicatrisation accompagnée dune disposition accrue aux infections, peau fine, vergetures, acné, hirsutisme, érythème, dermatite allergique, urticaire, hypopigmentation ou hyperpigmentation.
  • -Motricité, squelette: faiblesse musculaire, myoatrophie, myopathie stéroïdienne, ostéoporose (syndromes de compression vertébrale pouvant aller jusquà des fractures de compression, surtout chez les femmes durant la ménopause), fractures spontanées, ruptures des tendons, destruction articulaire par linhibition de la synthèse du collagène, pseudorhumatisme stéroïdien, nécrose osseuse aseptique.
  • +Sang
  • +Leucocytose, lymphopénie relative, éosinopénie, thromboembolies.
  • +Système immunitaire
  • +Infections masquées, réponse diminuée ou absence de réponse aux tests cutanés, activation d'infections latentes, infections opportunistes, ostéomyélite, septicémie, réactivation d'une tuberculose, Candida albicans, Herpes simplex.
  • +Réactions d'hypersensibilité, dans des cas rares pouvant aller jusqu'à des réactions anaphylactiques accompagnées d'hypotension, de collapsus circulatoire et/ou de bronchospasme.
  • +Endocrinologie
  • +Maladie de Cushing, inhibition de la croissance chez les enfants, gynécomastie, aménorrhée, inhibition de la sécrétion d'ACTH, inhibition de la résorption d'iode par la glande thyroïde, insuffisance de la corticosurrénale secondaire et insuffisance hypophysaire secondaire, diminution de la tolérance aux hydrates de carbone, hyperglycémie, diabète stéroïdien, hyperlipidémie.
  • +Trouble de l'équilibre hydrique et électrolytique
  • +Rétention de sodium, rétention d'eau, perte de potassium, perte de calcium, perte de phosphate, alcalose hypokaliémique, cétoacidose, hypertension.
  • +Métabolisme
  • +Bilan d'azote négatif suite à la dégradation des protéines.
  • +Système nerveux central
  • +Pression intracrânienne élevée accompagnée de papille congestive (Pseudotumor cerebri), convulsions, vertiges, céphalées, troubles psychiques (insomnie, euphorie, dépressions, sautes d'humeur et altérations de la personnalité, aggravation des troubles affectifs et de la tendance aux psychoses pouvant aller jusqu'à des psychoses avérées). Surtout au début du traitement, altérations de l'humeur, des impulsions et de la capacité de concentration.
  • +Yeux
  • +Pression intra-oculaire élevée, glaucome, cataracte subcapsulaire, conjonctivite.
  • +Système cardiocirculatoire
  • +Rupture du myocarde secondaire à un infarctus du myocarde récent.
  • +Appareil gastro-intestinal
  • +Ulcère peptique accompagné de perforation et d'hémorragie éventuelles (souvent exempt de symptomatologie typique), perforations de l'intestin grêle et du côlon, pancréatite, œsophagite ulcéreuse, augmentation de l'appétit, prise de poids, nausées, vomissements.
  • +Peau
  • +Altérations atrophiques, ralentissement de la cicatrisation accompagnée d'une disposition accrue aux infections, peau fine, vergetures, acné, hirsutisme, érythème, dermatite allergique, urticaire, hypopigmentation ou hyperpigmentation.
  • +Motricité, squelette
  • +Faiblesse musculaire, myoatrophie, myopathie stéroïdienne, ostéoporose (syndromes de compression vertébrale pouvant aller jusqu'à des fractures de compression, surtout chez les femmes durant la ménopause), fractures spontanées, ruptures des tendons, destruction articulaire par l'inhibition de la synthèse du collagène, pseudorhumatisme stéroïdien, nécrose osseuse aseptique.
  • -La toxicité aiguë des glucocorticoïdes est faible; des intoxications provoquées par un surdosage aigu nont été observées jusquà présent que dans des cas rares.
  • -Un antidote spécifique nexistant pas, le traitement dune intoxication est symptomatique.
  • -En cas de surdosage chronique, il faut sattendre à une augmentation des effets indésirables et des risques décrits à la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +La toxicité aiguë des glucocorticoïdes est faible; des intoxications provoquées par un surdosage aigu n'ont été observées jusqu'à présent que dans des cas rares.
  • +Un antidote spécifique n'existant pas, le traitement d'une intoxication est symptomatique.
  • +En cas de surdosage chronique, il faut s'attendre à une augmentation des effets indésirables et des risques décrits à la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -Les divers effets des glucocorticoïdes servent à ladaptation physiologique de lorganisme aux situations de stress. Le spectre comprend en plus dun effet diabétogène, central, hématologique, catabolique, antiprolifératif, antiphlogistique, immunosuppresseur (antiallergique), minéralocorticoïde, également un effet permissif avec ladrénaline.
  • -Certains effets thérapeutiques souhaités ne sont atteints quà des doses pharmacologiques; il sagit en particulier de leffet antiphlogistique, antiallergique et immunosuppresseur.
  • -La prednisolone est un corticostéroïde synthétique possédant une puissance glucocorticoïde environ 4 fois plus importante que le cortisol naturel. Par contre, leffet minéralocorticoïde ne sélève quà environ 60% seulement de celui du cortisol.
  • -Leffet de la prednisolone, comme celui de tous les glucocorticoïdes, repose sur la stimulation de la synthèse de protéines spécifiques dans la cellule. Celles-ci sont responsables des véritables effets biologiques. En raison de ce mécanisme daction sur le noyau cellulaire, leffet sinstalle pour toutes les formes galéniques 30 à 60 minutes plus tard que le moment où il faudrait sy attendre en fonction de la concentration plasmatique, et il se maintient encore plusieurs heures après la baisse de la concentration plasmatique en dessous du taux efficace.
  • -Les corticostéroïdes naturels sont soumis à un rythme circadien; 70% sont sécrétés entre 2 heures et 8 heures du matin. Le plan thérapeutique devrait dûment respecter ce fait, surtout lorsquil sagit dun traitement prolongé.
  • -La dose équivalente anti-inflammatoire relative de prednisolone sélève par comparaison avec les autres glucocorticoïdes à: 5 mg de prednisolone = 5 mg de prednisone = 0,7 mg de dexaméthasone = 4 mg de triamcinolone = 4 mg de méthylprednisolone = 20 mg dhydrocortisone = 25 mg de cortisone.
  • -La durée de leffet anti-inflammatoire dune dose correspond à peu près à la durée de la suppression de laxe hypothalamo-hypophyso-corticosurrénal, c.-à-d. 30 à 36 heures.
  • +Les divers effets des glucocorticoïdes servent à l'adaptation physiologique de l'organisme aux situations de stress. Le spectre comprend en plus d'un effet diabétogène, central, hématologique, catabolique, antiprolifératif, antiphlogistique, immunosuppresseur (antiallergique), minéralocorticoïde, également un effet permissif avec l'adrénaline.
  • +Certains effets thérapeutiques souhaités ne sont atteints qu'à des doses pharmacologiques; il s'agit en particulier de l'effet antiphlogistique, antiallergique et immunosuppresseur.
  • +La prednisolone est un corticostéroïde synthétique possédant une puissance glucocorticoïde environ 4 fois plus importante que le cortisol naturel. Par contre, l'effet minéralocorticoïde ne s'élève qu'à environ 60% seulement de celui du cortisol.
  • +L'effet de la prednisolone, comme celui de tous les glucocorticoïdes, repose sur la stimulation de la synthèse de protéines spécifiques dans la cellule. Celles-ci sont responsables des véritables effets biologiques. En raison de ce mécanisme d'action sur le noyau cellulaire, l'effet s'installe pour toutes les formes galéniques 30 à 60 minutes plus tard que le moment où il faudrait s'y attendre en fonction de la concentration plasmatique, et il se maintient encore plusieurs heures après la baisse de la concentration plasmatique en dessous du taux efficace.
  • +Les corticostéroïdes naturels sont soumis à un rythme circadien; 70% sont sécrétés entre 2 heures et 8 heures du matin. Le plan thérapeutique devrait dûment respecter ce fait, surtout lorsqu'il s'agit d'un traitement prolongé.
  • +La dose équivalente anti-inflammatoire relative de prednisolone s'élève par comparaison avec les autres glucocorticoïdes à: 5 mg de prednisolone = 5 mg de prednisone = 0,7 mg de dexaméthasone = 4 mg de triamcinolone = 4 mg de méthylprednisolone = 20 mg d'hydrocortisone = 25 mg de cortisone.
  • +La durée de l'effet anti-inflammatoire d'une dose correspond à peu près à la durée de la suppression de l'axe hypothalamo-hypophyso-corticosurrénal, c.-à-d. 30 à 36 heures.
  • -Labsorption initiale, mais non la biodisponibilité totale de 85 à 100%, est entravée par la nourriture.
  • -Des taux plasmatiques maximaux sont mesurés 1 à 2 heures après administration orale; leffet biologique maximum est cependant différé de façon considérable, en général de 4 à 8 heures.
  • +L'absorption initiale, mais non la biodisponibilité totale de 85 à 100%, est entravée par la nourriture.
  • +Des taux plasmatiques maximaux sont mesurés 1 à 2 heures après administration orale; l'effet biologique maximum est cependant différé de façon considérable, en général de 4 à 8 heures.
  • -La prednisolone se lie de façon réversible à deux protéines plasmatiques, à une globuline fixant les glucocorticoïdes et à lalbumine.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est normalement de 55 à 90%, le volume de distribution sélève à 0,80,9 l/kg.
  • -La prednisolone traverse tant la barrière hémoencéphalique que la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
  • +La prednisolone se lie de façon réversible à deux protéines plasmatiques, à une globuline fixant les glucocorticoïdes et à l'albumine.
  • +La liaison aux protéines plasmatiques est normalement de 55 à 90%, le volume de distribution s'élève à 0,8-0,9 l/kg.
  • +La prednisolone traverse tant la barrière hémoencéphalique que la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
  • -À dose élevée, le volume de distribution et la clairance plasmatique augmentent (normalement 1,5 ml × min.1 × kg1). À la dose usuelle, la demi-vie plasmatique sélève à 24 heures, la demi-vie biologique sélève à 1236 heures.
  • +À dose élevée, le volume de distribution et la clairance plasmatique augmentent (normalement 1,5 ml × min.-1 × kg-1). À la dose usuelle, la demi-vie plasmatique s'élève à 2-4 heures, la demi-vie biologique s'élève à 12-36 heures.
  • -Affections hépatiques sévères (par exemple, hépatite, cirrhose du foie): clairance plus faible, prolongation de la demi-vie délimination. Dans les affections hépatiques hypoalbuminémiques, la fraction active pharmacologique libre peut augmenter de manière considérable. En cas dinsuffisance hépatique sévère, la biodisponibilité de la prednisolone peut être diminuée.
  • +Affections hépatiques sévères (par exemple, hépatite, cirrhose du foie): clairance plus faible, prolongation de la demi-vie d'élimination. Dans les affections hépatiques hypoalbuminémiques, la fraction active pharmacologique libre peut augmenter de manière considérable. En cas d'insuffisance hépatique sévère, la biodisponibilité de la prednisolone peut être diminuée.
  • -Des altérations des îlots de Langerhans pancréatiques ont été observées suite aux administrations I.P. journalières de 33 mg/kg de PC durant 7 à 14 jours chez le rat lors de lexamen au microscope optique et au microscope électronique. Chez le lapin, des lésions hépatiques expérimentales ont pu être générées par des administrations journalières de 23 mg/kg de PC durant 2 à 4 semaines. Des effets histotoxiques dans lesprit de nécroses musculaires ont été rapportés suite à ladministration de 0,55 mg/kg de PC à des cochons dInde et de 4 mg/kg de PC à des chiens durant plusieurs semaines.
  • +Des altérations des îlots de Langerhans pancréatiques ont été observées suite aux administrations I.P. journalières de 33 mg/kg de PC durant 7 à 14 jours chez le rat lors de l'examen au microscope optique et au microscope électronique. Chez le lapin, des lésions hépatiques expérimentales ont pu être générées par des administrations journalières de 2-3 mg/kg de PC durant 2 à 4 semaines. Des effets histotoxiques dans l'esprit de nécroses musculaires ont été rapportés suite à l'administration de 0,5-5 mg/kg de PC à des cochons d'Inde et de 4 mg/kg de PC à des chiens durant plusieurs semaines.
  • -On ne dispose pas détudes suffisantes sur les effets mutagènes de la prednisone et de la prednisolone. On dispose dindices provisoires dun effet mutagène de la prednisolone. Limportance de ces résultats na pas encore été élucidée jusquà présent. On ne dispose pas détudes au long cours réalisées sur des animaux expérimentaux et portant sur un effet tumorigène de la prednisolone.
  • +On ne dispose pas d'études suffisantes sur les effets mutagènes de la prednisone et de la prednisolone. On dispose d'indices provisoires d'un effet mutagène de la prednisolone. L'importance de ces résultats n'a pas encore été élucidée jusqu'à présent. On ne dispose pas d'études au long cours réalisées sur des animaux expérimentaux et portant sur un effet tumorigène de la prednisolone.
  • -Lors des expériences réalisées sur des animaux, la prednisolone provoque un palatoschizis chez la souris, le hamster et le lapin. Lors de ladministration parentérale, des anomalies minimales du crâne, des mâchoires et de la langue sont survenues chez le rat. Des troubles de la croissance intra-utérine ont été observés. Chez lhomme, aucun indice dun risque accru de malformation némane des 200 (140 prednisone, 60 prednisolone) cas publiés jusquà présent. Le nombre de cas nest pas suffisant pour exclure un risque avec certitude; les expériences cliniques réalisées jusquà présent avec les glucocorticoïdes au cours du premier trimestre de la grossesse nont cependant pas révélé dindice dun effet tératogène chez lhomme. Lors de lutilisation de doses élevées de prednisolone durant une période prolongée (30 mg/jour durant au moins 4 semaines), des troubles réversibles de la spermatogenèse ont été observés qui se sont maintenus quelques mois encore après larrêt du médicament.
  • +Lors des expériences réalisées sur des animaux, la prednisolone provoque un palatoschizis chez la souris, le hamster et le lapin. Lors de l'administration parentérale, des anomalies minimales du crâne, des mâchoires et de la langue sont survenues chez le rat. Des troubles de la croissance intra-utérine ont été observés. Chez l'homme, aucun indice d'un risque accru de malformation n'émane des 200 (140 prednisone, 60 prednisolone) cas publiés jusqu'à présent. Le nombre de cas n'est pas suffisant pour exclure un risque avec certitude; les expériences cliniques réalisées jusqu'à présent avec les glucocorticoïdes au cours du premier trimestre de la grossesse n'ont cependant pas révélé d'indice d'un effet tératogène chez l'homme. Lors de l'utilisation de doses élevées de prednisolone durant une période prolongée (30 mg/jour durant au moins 4 semaines), des troubles réversibles de la spermatogenèse ont été observés qui se sont maintenus quelques mois encore après l'arrêt du médicament.
  • -Les paramètres de laboratoire suivants peuvent être diminués: vitesse de sédimentation, temps de coagulation (Lee White); taux plasmatiques de lacide urique, du potassium, de la TSH, de la thyroxine, de la T3, de la testostérone; valeurs de 17-kétostéroïdes dans lurine.
  • -Les paramètres de laboratoire suivants peuvent être augmentés: taux plasmatiques du sodium, du chlorure, du glucose, du cholestérol; valeurs du calcium, de la créatinine, du glucose (en cas de prédisposition) dans lurine.
  • +Les paramètres de laboratoire suivants peuvent être diminués: vitesse de sédimentation, temps de coagulation (Lee White); taux plasmatiques de l'acide urique, du potassium, de la TSH, de la thyroxine, de la T3, de la testostérone; valeurs de 17-kétostéroïdes dans l'urine.
  • +Les paramètres de laboratoire suivants peuvent être augmentés: taux plasmatiques du sodium, du chlorure, du glucose, du cholestérol; valeurs du calcium, de la créatinine, du glucose (en cas de prédisposition) dans l'urine.
  • -Conserver à température ambiante (1525 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -38840 (Swissmedic).
  • +38840 (Swissmedic)
  • -Spiricort 5 mg 20 / 100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • -Spiricort 20 mg 20 / 100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • -Spiricort 50 mg 20 / 100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • +Spiricort 5 20/100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • +Spiricort 20 20/100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • +Spiricort 50 20/100 comprimés pelliculés (sécables en 4 parties). (B)
  • -Août 2012.
  • +Octobre 2018.
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