86 Changements de l'information professionelle Rifinah |
-Color. E 127, Excipiens pro compresso obducto.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-1 dragée contient 150 mg de rifampicinum, 100 mg d'isoniazidum.
-
- +Natrii laurilsulfas (E487), Calcii stearas, Carmellosum natricum, Cellulosum microcristallinum, Magnesii stearas, Gelatina, Magnesii subcorbonas levis, Acaciae gummi, Povidonum, Titanii dioxidum, Saccharum (110 mg), Talcum, Kaolinum ponderosum, Silica colloidalis anhydrica, Erythrosine (E 127).
- +Certains de ces excipients contiennent du sodium avec une quantité totale maximale de 2.28 mg par comprimé enrobé.
- +
- +
-http://www.tbinfo.ch/ (recommandation conjointe de la Ligue pulmonaire suisse et de l'Office fédéral de la santé publique).
-http://www.who.int/topics/tuberculosis/fr (Organisation mondiale de la santé, OMS) ou http://www.stoptb.org/resources
- +http://www.tbinfo.ch/ (recommandation conjointe de la Ligue pulmonaire suisse et de l'Office fédéral de la santé publique).
- +http://www.who.int/topics/tuberculosis/fr (Organisation mondiale de la santé, OMS) ou http://www.stoptb.org/resources
-Les patients de moins de 50 kg recevront 3 dragées 1× par jour.
-Les patients de plus de 50 kg recevront 4 dragées 1× par jour.
-Rifinah 150 peut être associé à d'autres antituberculeux (p.ex. à la phase initiale intensive, ou en attendant que la sensibilité du germe ait été précisée).
- +Les patients de moins de 50 kg recevront 3 comprimés enrobés 1× par jour.
- +Les patients de plus de 50 kg recevront 4 comprimés enrobés 1× par jour.
- +Rifinah peut être associé à d'autres antituberculeux (p.ex. à la phase initiale intensive, ou en attendant que la sensibilité du germe ait été précisée).
-Rifinah 150 n'est pas indiqué en pédiatrie.
- +Rifinah n'est pas indiqué en pédiatrie.
-Phase initiale (2 mois): Rifinah 150, 3 ou 4 dragées par jour + év. éthambutol ou streptomycine.
- +Phase initiale (2 mois): Rifinah, 3 ou 4 comprimés enrobés par jour + év. éthambutol ou streptomycine.
-Phase d'entretien (7 mois): Rifinah 150, 3 ou 4 dragées par jour.
- +Phase d'entretien (7 mois): Rifinah, 3 ou 4 comprimés enrobés par jour.
-Phase initiale (2 mois): Rifater, 3 à 6 dragées par jour (isoniazide, rifampicine, pyrazinamide) + éthambutol ou streptomycine.
-Phase d'entretien (4 mois): Rifinah 150, 3 ou 4 dragées par jour.
- +Phase initiale (2 mois): Rifater, 3 à 6 comprimé enrobé par jour (isoniazide, rifampicine, pyrazinamide) + éthambutol ou streptomycine.
- +Phase d'entretien (4 mois): Rifinah, 3 ou 4 comprimé enrobé par jour.
-·La co-médication de Rifinah 150 est contre-indiquée pour toute une série de substrats pour des enzymes du métabolisme de substances étrangères et toute une série de transporteurs de médicaments (voir «Interactions»). L'utilisation concomitante de Rifinah 150 accroît le risque de perte d'efficacité en réduisant les concentrations plasmatiques de ces médicaments (voir également «Mises en garde et précautions»). Cette remarque s'applique par exemple aux substances suivantes:
- +·La co-médication de Rifinah est contre-indiquée pour toute une série de substrats pour des enzymes du métabolisme de substances étrangères et toute une série de transporteurs de médicaments (voir «Interactions»). L'utilisation concomitante de Rifinah accroît le risque de perte d'efficacité en réduisant les concentrations plasmatiques de ces médicaments (voir également «Mises en garde et précautions»). Cette remarque s'applique par exemple aux substances suivantes:
-·certains antiviraux VHC contre l’hépatite C, par ex. daclatasvir (voir «Interactions»);Cette liste ne prétend à aucune exhaustivité.
- +·certains antiviraux VHC contre l'hépatite C, par ex. daclatasvir (voir «Interactions»);Cette liste ne prétend à aucune exhaustivité.
-·Traitement simultané avec halothane en raison d'un risque accru d'hépatotoxicité (voir «Interactions»).
- +Traitement simultané avec halothane en raison d'un risque accru de l'hépatotoxicité (voir «Interactions»).
-Il faut immédiatement interrompre le traitement avec Rifinah 150 si des réactions aiguës sévères d'hypersensibilité surviennent (voir «Effets indésirables»), comme par exemple thrombocytopénie, purpura, anémie hémolytique, dyspnée et crises asthmatiformes, état de choc ou insuffisance rénale (il s'agit d'effets secondaires que la rifampicine peut exceptionnellement provoquer). Les patients chez qui de telles complications surviennent ne doivent plus jamais être traités avec Rifinah.
- +Il faut immédiatement interrompre le traitement avec Rifinah si des réactions aiguës sévères d'hypersensibilité surviennent (voir « Effets indésirables »), comme par exemple thrombocytopénie, purpura, anémie hémolytique, dyspnée et crises asthmatiformes, état de choc ou insuffisance rénale (il s'agit d'effets secondaires que la rifampicine peut exceptionnellement provoquer). Les patients chez qui de telles complications surviennent ne doivent plus jamais être traités avec Rifinah.
-Des cas de réactions médicamenteuses cutanées sévères, telles que SJS/TEN (syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique/syndrome de Lyell), AGEP (pustulose exanthémateuse aiguë généralisée) et DRESS (éruption cutanée avec éosinophilie et symptômes systémiques), certains avec une issue fatale, ont été rapportés avec l'utilisation de l'isoniazide et de la rifampicine. Les patients doivent être informés des signes et symptômes et étroitement surveillés pour des réactions cutanées. Si des signes ou des symptômes de réactions médicamenteuses cutanées sévères se développent (par exemple éruption cutanée progressive souvent avec des cloques ou des lésions de la muqueuse), le patient doit être avisé de consulter immédiatement son médecin. Il est important de noter que les premières manifestations d'hypersensibilité, tels que la fièvre, la lymphadénopathie ou des anomalies biologiques (y compris éosinophilie, anomalies du foie) peuvent être présents même si l'éruption n'est pas évidente. Rifinah 150 doit être définitivement arrêté si une étiologie alternative pour ces signes et ces symptômes ne peut être établie (voir la section «Effets indésirables»).
- +Des cas de réactions médicamenteuses cutanées sévères, telles que SJS/TEN (syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique/syndrome de Lyell), AGEP (pustulose exanthémateuse aiguë généralisée) et DRESS (éruption cutanée avec éosinophilie et symptômes systémiques), certains avec une issue fatale, ont été rapportés avec l'utilisation de l'isoniazide et de la rifampicine. Les patients doivent être informés des signes et symptômes et étroitement surveillés pour des réactions cutanées. Si des signes ou des symptômes de réactions médicamenteuses cutanées sévères se développent (par exemple éruption cutanée progressive souvent avec des cloques ou des lésions de la muqueuse), le patient doit être avisé de consulter immédiatement son médecin. Il est important de noter que les premières manifestations d'hypersensibilité, tels que la fièvre, la lymphadénopathie ou des anomalies biologiques (y compris éosinophilie, anomalies du foie) peuvent être présents même si l'éruption n'est pas évidente. Rifinah doit être définitivement arrêté si une étiologie alternative pour ces signes et ces symptômes ne peut être établie (voir la section «Effets indésirables»).
-Chacun des deux principes actifs de Rifinah peut provoquer des troubles hépatiques, une inflammation ou des lésions graves du foie, dans des cas isolés avec issue fatale. En cas de prise concomitante des deux principes actifs (avec Rifinah), ces événements peuvent apparaître plus fréquemment. Les patients ne devraient recevoir du Rifinah qu'en cas de stricte nécessité, d'une manière extrêmement prudente et sous contrôle médical absolu. Chez ces patients, il convient de contrôler avec soin la fonction hépatique et de mesurer les taux de la transaminase sérique glutamopyruvique (SGPT) et de la transaminase sérique glutamooxalacétique (SGOT) avant le début du traitement, puis toutes les 2 à 4 semaines. Si des signes de lésion hépatocellulaire apparaissent, la prise de Rifinah 150 doit être arrêtée. Surtout les patients avec les facteurs de risque connus doivent être surveillés attentivement. Les facteurs de risque connus jusqu'à présent sont les suivants:
- +Chacun des deux principes actifs de Rifinah peut provoquer des troubles hépatiques, une inflammation ou des lésions graves du foie, dans des cas isolés avec issue fatale. En cas de prise concomitante des deux principes actifs (avec Rifinah), ces événements peuvent apparaître plus fréquemment. Les patients ne devraient recevoir du Rifinah qu'en cas de stricte nécessité, d'une manière extrêmement prudente et sous contrôle médical absolu. Chez ces patients, il convient de contrôler avec soin la fonction hépatique et de mesurer les taux de la transaminase sérique glutamopyruvique (SGPT) et de la transaminase sérique glutamooxalacétique (SGOT) avant le début du traitement, puis toutes les 2 à 4 semaines. Si des signes de lésion hépatocellulaire apparaissent, la prise de Rifinah doit être arrêtée. Surtout les patients avec les facteurs de risque connus doivent être surveillés attentivement. Les facteurs de risque connus jusqu'à présent sont les suivants:
-Des cas de toxicité hépatocellulaire, d'hépatotoxicité cholestatique modérée à sévère et de lésion hépatique mixte ont été rapportés avec Rifinah 150. En cas d'apparition des premiers signes d'hépatite ou de cholestases (tels que prurit, fatigue, faiblesse, malaise, manque d'appétit, nausées, vomissements ou douleurs abdominales) voire de signes tardifs tels qu'ictère et décoloration des selles, les patients doivent immédiatement consulter leur médecin. Si des signes de lésion hépatocellulaire apparaissent ou une cholestase est confirmée, Rifinah 150 doit être arrêté.
- +Des cas de toxicité hépatocellulaire, d'hépatotoxicité cholestatique modérée à sévère et de lésion hépatique mixte ont été rapportés avec Rifinah. En cas d'apparition des premiers signes d'hépatite ou de cholestases (tels que prurit, fatigue, faiblesse, malaise, manque d'appétit, nausées, vomissements ou douleurs abdominales) voire de signes tardifs tels qu'ictère et décoloration des selles, les patients doivent immédiatement consulter leur médecin. Si des signes de lésion hépatocellulaire apparaissent ou une cholestase est confirmée, Rifinah doit être arrêté.
-Rifinah 150 doit être administré avec prudence aux patients diabétiques car un contrôle correct du diabète peut s'avérer difficile (voir «Interactions»).
- +Rifinah doit être administré avec prudence aux patients diabétiques car un contrôle correct du diabète peut s'avérer difficile (voir «Interactions»).
-Les patients traités avec Rifinah 150 doivent éviter l'alcool.
- +Les patients traités avec Rifinah doivent éviter l'alcool.
-La rifampicine est un inducteur très puissant du système cytochrome P450 et peut élever le métabolisme de médicaments administrés simultanément, ce qui peut entraîner des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques, altérer l'efficacité de certains médicaments administrés en co-médication et/ou entraîner des effets indésirables. Les médicaments éliminés par cette voie métabolique ne peuvent être administrés avec Rifinah 150 que si leur concentration plasmatique ou leurs réactions cliniques/effets indésirables peuvent être contrôlés et la posologie adaptée en conséquence (voir «Interactions»). Les médicaments dont l'association avec la rifampicine est contre-indiquée ou dont l'utilisation n'est pas recommandée ou l'est seulement avec précaution sont énumérés dans les rubriques «Contre-indications» et «Interactions».
- +La rifampicine est un inducteur très puissant du système cytochrome P450 et peut élever le métabolisme de médicaments administrés simultanément, ce qui peut entraîner des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques, altérer l'efficacité et la sécurité de certains médicaments administrés en co-médication et/ou entraîner des effets indésirables. Les médicaments éliminés par cette voie métabolique ne peuvent être administrés avec Rifinah que si leur concentration plasmatique ou leurs réactions cliniques/effets indésirables peuvent être contrôlés et la posologie adaptée en conséquence (voir «Interactions»). Les médicaments dont l'association avec la rifampicine est contre-indiquée ou dont l'utilisation n'est pas recommandée ou l'est seulement avec précaution sont énumérés dans les rubriques «Contre-indications» et «Interactions».
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23mg) de sodium par comprimé enrobé c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium»
- +Ce médicament contient saccharose. Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +
-Saquinavir/ritonavir: Dans une étude expérimentale, le traitement simultané avec les 3 composés rifampicine, saquinavir et ritonavir s'est avéré particulièrement hépatotoxique. C'est pourquoi Rifinah 150 ne doit jamais être utilisé conjointement avec saquinavir/ritonavir (voir «Contre-indications»).
- +Saquinavir/ritonavir: Dans une étude expérimentale, le traitement simultané avec les 3 composés rifampicine, saquinavir et ritonavir s'est avéré particulièrement hépatotoxique. C'est pourquoi Rifinah ne doit jamais être utilisé conjointement avec saquinavir/ritonavir (voir «Contre-indications»).
-L'acide para-aminosalicylique (APS) peut entraîner une augmentation de la concentration plasmatique et prolonger la demi-vie d'élimination de l'isoniazide en lui faisant compétition pour les enzymes responsables de l'acétylation. Rifinah 150 et l'acide para-aminosalicylique (APS) doivent être pris à 4 heures d'intervalle au moins. Sinon, les concentrations normales de rifampicine dans le sang ne sont pas atteintes et les taux sériques et la demi-vie de l'isoniazide (INH) peuvent être augmentés.
- +L'acide para-aminosalicylique (APS) peut entraîner une augmentation de la concentration plasmatique et prolonger la demi-vie d'élimination de l'isoniazide en lui faisant compétition pour les enzymes responsables de l'acétylation. Rifinah et l'acide para-aminosalicylique (APS) doivent être pris à 4 heures d'intervalle au moins. Sinon, les concentrations normales de rifampicine dans le sang ne sont pas atteintes et les taux sériques et la demi-vie de l'isoniazide (INH) peuvent être augmentés.
-Rifampicine est un inducteur sélectif et puissant de transporteurs et d'enzymes qui métabolisent les médicaments. Des données ont montré que Rifampicine a un effet sur les enzymes telles que les cytochromes (CYP) P450, 1A2, 2B6, 2C8, 2C9, 2C19 et 3A4, les UDP-glucuronosyltransférases (UGT), les sulfotransférases et les carboxylestérases, ainsi que sur les transporteurs comme la glycoprotéine P (P-gp) et la protéine MRP2 (multidrug resistance-associated protein 2). La plupart des médicaments servent de substrats aux voies de ces enzymes ou de ces transporteurs, et la rifampicine peut induire ces deux voies à la fois. La rifampicine peut ainsi accélérer le métabolisme de certains médicaments qui sont administrés en concomitance, et réduire leur efficacité; il peut aussi faire durer des interactions médicamenteuses cliniquement importantes avec de nombreux médicaments et de nombreuses classes médicamenteuses. Pour que les médicaments administrés simultanément avec la rifampicine conservent un taux thérapeutique optimal dans le sang, un ajustement de leur posologie peut être nécessaire à l'instauration ou à l'arrêt du traitement sous la rifampicine.
- +Rifampicine est un inducteur sélectif et puissant de transporteurs et d'enzymes qui métabolisent les médicaments. Des données ont montré que Rifampicine a un effet sur les enzymes telles que les cytochromes (CYP) P450, 1A2, 2B6, 2C8, 2C9, 2C19 et 3A4, les UDPglucuronosyltransférases (UGT), les sulfotransférases et les carboxylestérases, ainsi que sur les transporteurs comme la glycoprotéine P (P-gp) et la protéine MRP2 (multidrug resistance-associated protein 2). La plupart des médicaments servent de substrats aux voies de ces enzymes ou de ces transporteurs, et la rifampicine peut induire ces deux voies à la fois. La rifampicine peut ainsi accélérer le métabolisme et diminuer l'activité de certains médicaments qui sont administrés en concomitance, ou augmenter l'activité d'un promédicament co-administré (lorsque l'activation métabolique est nécessaire); il peut aussi faire durer des interactions médicamenteuses cliniquement importantes avec de nombreux médicaments et de nombreuses classes médicamenteuses. Pour que les médicaments administrés simultanément avec la rifampicine conservent un taux thérapeutique optimal dans le sang, un ajustement de leur posologie peut être nécessaire à l'instauration ou à l'arrêt du traitement sous la rifampicine.
-Contraceptifs hormonaux systémiques, y compris les œstrogènes et les progestatifs Rifampicine/ Ethinylestradiol/ Norethisterone (600 mg par jour/ 35 µg steady state/1mg) 0.57 Ratio AUC Ethinylestradiol: 0.34 Non recommandé
- 1 Ratio AUC Norethisterone:0.49
-Cyclosporine Rifampicine/Cyclosporine (600 mg par jour/10 mg/kg dose unique orale) Ratio AUC: 0.27 (par voie orale) Ratio AUC: 0.72 (i.v.) À utiliser avec précaution
- +Contraceptifs hormonaux systémiques, y compris les œstrogènes et les progestatifs Rifampicine/ Ethinylestradiol/ Noréthisterone (600 mg par jour/ 35 µg steady state/1mg) 0.57 Ratio AUC Ethinylestradiol: 0.34 Non recommandé
- +1 Ratio AUC Noréthisterone: 0.49
- +Ciclosporine Rifampicine/Ciclosporine (600 mg par jour/10 mg/kg dose unique orale) Ratio AUC: 0.27 (par voie orale) Ratio AUC: 0.72 (i.v.) À utiliser avec précaution
-Dolutegravir Ratio AUC: 0.46 Non recommandé chez les patients avec résistance à la classe des inhibiteurs d'intégrase. A utiliser avec précaution chez les patients sans résistance à la classe des inhibiteurs d'intégrase: Dolutégravir 50 mg doit être administré deux fois par jour en cas de prise concomitante avec rifampicine.
- +Dolutégravir Ratio AUC: 0.46 Non recommandé chez les patients avec résistance à la classe des inhibiteurs d'intégrase. A utiliser avec précaution chez les patients sans résistance à la classe des inhibiteurs d'intégrase: Dolutégravir 50 mg doit être administré deux fois par jour en cas de prise concomitante avec rifampicine.
-Oxycodone Rifampicine/Oxycodone hydrochloride (600 mg/15 mg) 0.32 Ratio AUC: 0.14 Non recommandé
- +Oxycodone Rifampicine/Oxycodone hydrochloride (600 mg/15 mg) 0.32 Ratio AUC: 0.14 Non recommandé
-Tamoxifene Rifampicine/Tamoxifene (600 mg par jour/80 mg dose unique) 0.44 (0.24-0.62)* Ratio AUC: 0.14 (0.09-0.18)* Non recommandé
- +Tamoxifène Rifampicine/Tamoxifène (600 mg par jour/80 mg dose unique) 0.44 (0.24-0.62)* Ratio AUC: 0.14 (0.09-0.18)* Non recommandé
-Warfarine Rifampicine/Warfarine (600 mg/ 0.75 mg kg/body weight Ratio AUC: 0.26 À utiliser avec précaution. la valeur d'INR doit être étroitement contrôlée durant le traitement par Rifater et durant les 2-3 semaines suivantes. La posologie de la warfarine est à ajuster en conséquence. Après le traitement par Rifater, il existe un risque d'hémorragies graves si la posologie de la warfarine n'est pas adaptée.
- +Warfarine Rifampicine/Warfarine (600 mg/0.75 mg kg/body weight Ratio AUC: 0.26 À utiliser avec précaution. la valeur d'INR doit être étroitement contrôlée durant le traitement par Rifater et durant les 2-3 semaines suivantes. La posologie de la warfarine est à ajuster en conséquence. Après le traitement par Rifater, il existe un risque d'hémorragies graves si la posologie de la warfarine n'est pas adaptée.
-Linézolide: L'effet de la rifampicine sur la pharmacocinétique du linézolide a été évalué au cours d'une étude menée chez 16 adultes sains de sexe masculin qui ont reçu 600 mg de linézolide deux fois par jour pendant 2.5 jours, seul ou en association avec 600 mg de rifampicine une fois par jour pendant 8 jours. En moyenne, la rifampicine a respectivement diminué la Cmax et l'AUC du linézolide de 21% (IC à 90%: 15-27) et de 32% (IC à 90%: 27-37). Le mécanisme de cette interaction et sa portée clinique ne sont pas connus (voir «mises en garde et précautions»)
- +Linézolide: L'effet de la rifampicine sur la pharmacocinétique du linézolide a été évalué au cours d'une étude menée chez 16 adultes sains de sexe masculin qui ont reçu 600 mg de linézolide deux fois par jour pendant 2.5 jours, seul ou en association avec 600 mg de rifampicine une fois par jour pendant 8 jours. En moyenne, la rifampicine a respectivement diminué la Cmax et l'AUC du linézolide de 21% (IC à 90%: 15-27) et de 32% (IC à 90%: 27-37). Le mécanisme de cette interaction et sa portée clinique ne sont pas connus (voir «Mises en garde et précautions»)
- +Clopidogrel: augmente l'exposition aux métabolites actifs. La rifampicine induit fortement le CYP2C19, ce qui entraîne à la fois un niveau accru de métabolite actif du clopidogrel et une inhibition plaquettaire, qui pourrait notamment potentialiser le risque de saignement. Par mesure de précaution, l'utilisation concomitante de clopidogrel et de rifampicine est non-recommandée.
- +
-La rifampicine est un inducteur très puissant du système cytochrome P450 et peut élever le métabolisme de médicaments administrés simultanément, ce qui peut entraîner des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité. L'isoniazide inhibe le métabolisme de quelques médicaments, ce qui a pour conséquence des concentrations plasmatiques augmentées. L'effet global produit par les actions opposées de la rifampicine et de l'isoniazide sur le métabolisme des médicaments biotransformés par ces voies de métabolisation est inconnu. En outre, certains médicaments, p.ex. la phénytoïne, la warfarine et la théophylline subissent des influences opposées de la rifampicine et de l'isoniazide. L'effet utile ne peut pas être évalué à l'avance et peut changer au cours du temps. Les médicaments qui sont métabolisés par l'enzyme CYP 450 ne peuvent être administrés avec Rifinah 150 que si leur concentration plasmatique et/ou leurs réactions cliniques/effets indésirables peuvent être contrôlés et la posologie adaptée en conséquence. Durant le traitement avec Rifinah 150, la surveillance doit être fréquente et se poursuivre en outre durant les 2-3 semaines qui suivent la fin du traitement. Les effets d'induction enzymatique de la rifampicine diminuent progressivement au cours des 2 semaines, ou plus, suivant la fin du traitement avec la rifampicine. Ce facteur doit être pris en compte si la posologie d'autres médicaments a été augmentée durant le traitement avec Rifinah 150.
- +La rifampicine est un inducteur très puissant du système cytochrome P450 et peut élever le métabolisme de médicaments administrés simultanément, ce qui peut entraîner des concentrations plasmatiques sous-thérapeutiques et une inefficacité. L'isoniazide inhibe le métabolisme de quelques médicaments, ce qui a pour conséquence des concentrations plasmatiques augmentées. L'effet global produit par les actions opposées de la rifampicine et de l'isoniazide sur le métabolisme des médicaments biotransformés par ces voies de métabolisation est inconnu. En outre, certains médicaments, p.ex. la phénytoïne, la warfarine et la théophylline subissent des influences opposées de la rifampicine et de l'isoniazide. L'effet utile ne peut pas être évalué à l'avance et peut changer au cours du temps. Les médicaments qui sont métabolisés par l'enzyme CYP 450 ne peuvent être administrés avec Rifinah que si leur concentration plasmatique et/ou leurs réactions cliniques/effets indésirables peuvent être contrôlés et la posologie adaptée en conséquence. Durant le traitement avec Rifinah, la surveillance doit être fréquente et se poursuivre en outre durant les 2-3 semaines qui suivent la fin du traitement. Les effets d'induction enzymatique de la rifampicine diminuent progressivement au cours des 2 semaines, ou plus, suivant la fin du traitement avec la rifampicine. Ce facteur doit être pris en compte si la posologie d'autres médicaments a été augmentée durant le traitement avec Rifinah.
-L'isoniazide possédant des effets inhibiteurs de la MAO, des interactions avec les aliments contenant de la tyramine (fromages, vin rouge) sont possibles. La diamine-oxydase peut également être inhibée, et entraîner des réactions excessives (céphalées, sueurs, palpitations, flush, hypotension) lors de la consommation d'aliments contenant de l'histamine (par ex. le thon, les poissons tropicaux). Les aliments contenant de la tyramine et de l'histamine doivent être évités durant la prise de Rifinah 150.
- +L'isoniazide possédant des effets inhibiteurs de la MAO, des interactions avec les aliments contenant de la tyramine (fromages, vin rouge) sont possibles. La diamine-oxydase peut également être inhibée, et entraîner des réactions excessives (céphalées, sueurs, palpitations, flush, hypotension) lors de la consommation d'aliments contenant de l'histamine (par ex. le thon, les poissons tropicaux). Les aliments contenant de la tyramine et de l'histamine doivent être évités durant la prise de Rifinah.
-Chez l'homme, on ne connaît pas l'effet de la rifampicine, seule ou en association avec d'autres tuberculostatiques, sur le fœtus. Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme enceinte. On sait cependant que la rifampicine passe la barrière placentaire et peut être détectée dans le sang du cordon ombilical. Par conséquent, il faudrait exclure une grossesse avant de commencer un traitement et éviter toute grossesse durant le traitement. Si la femme est déjà enceinte, Rifinah 150 ne devrait pas être utilisé, sauf en cas de nécessité absolue. Pendant les dernières semaines de grossesse, la rifampicine peut provoquer des hémorragies postnatales chez la mère et l'enfant. Dans ce cas, un traitement à la vitamine K est parfois indiqué.
- +Chez l'homme, on ne connaît pas l'effet de la rifampicine, seule ou en association avec d'autres tuberculostatiques, sur le fœtus. Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme enceinte. On sait cependant que la rifampicine passe la barrière placentaire et peut être détectée dans le sang du cordon ombilical. Par conséquent, il faudrait exclure une grossesse avant de commencer un traitement et éviter toute grossesse durant le traitement. Si la femme est déjà enceinte, Rifinah ne devrait pas être utilisé, sauf en cas de nécessité absolue. Pendant les dernières semaines de grossesse, la rifampicine peut provoquer des hémorragies postnatales chez la mère et l'enfant. Dans ce cas, un traitement à la vitamine K est parfois indiqué.
-Rifinah 150 peut entraver les capacités de concentration et de réactions et ainsi réduire l'aptitude à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
- +Rifinah peut entraver les capacités de concentration et de réactions et ainsi réduire l'aptitude à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
-Fréquence inconnue: cholestase.
- +Fréquence inconnue: cholestase
-Une hépatite est rare lorsque le foie est intact. La fréquence augmente avec l'âge (0,8 – 1,9%) et en association à la rifampicine (2,7%). Des hépatites graves, à évolution parfois fatale, peuvent se présenter sous isoniazide, parfois même seulement après plusieurs mois de traitement. Prendre garde aux signes précurseurs d'une hépatite, tels que fatigue, faiblesse, anorexie nausée et vomissements.
- +Une hépatite est rare lorsque le foie est intact. La fréquence augmente avec l'âge (0,8 – 1,9 %) et en association à la rifampicine (2,7 %). Des hépatites graves, à évolution parfois fatale, peuvent se présenter sous isoniazide, parfois même seulement après plusieurs mois de traitement. Prendre garde aux signes précurseurs d'une hépatite, tels que fatigue, faiblesse, anorexie nausée et vomissements.
-Fréquents: éruptions cutanées et acné,
- +Fréquents: éruptions cutanées et acné.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-En cas d'intoxication au Rifinah 150, il faudrait pratiquer dès que possible un lavage gastrique, suivi de mesures d'assistance telles que le maintien de l'ouverture des voies respiratoires et le traitement des symptômes, par exemple administration de charbon actif, d'antiémétiques, dans les cas graves, hémodialyse ou dialyse péritonéale accompagnée de diurèse forcée au cas où l'hémodialyse ne soit pas disponible. Si l'on soupçonne un surdosage à l'isoniazide (INH), y compris chez les patients asymptomatiques, prendre en considération l'administration parentérale de pyridoxine. Les convulsions ne pouvant être contrôlées par la pyridoxine doivent être traitées par des anticonvulsivants. En cas d'acidose on devrait administrer du sodium bicarbonique.
- +En cas d'intoxication au Rifinah, il faudrait pratiquer dès que possible un lavage gastrique, suivi de mesures d'assistance telles que le maintien de l'ouverture des voies respiratoires et le traitement des symptômes, par exemple administration de charbon actif, d'antiémétiques, dans les cas graves, hémodialyse ou dialyse péritonéale accompagnée de diurèse forcée au cas où l'hémodialyse ne soit pas disponible. Si l'on soupçonne un surdosage à l'isoniazide (INH), y compris chez les patients asymptomatiques, prendre en considération l'administration parentérale de pyridoxine. Les convulsions ne pouvant être contrôlées par la pyridoxine doivent être traitées par des anticonvulsivants. En cas d'acidose on devrait administrer du sodium bicarbonique.
-Mécanismes d'action/pharmacodynamique
- +Mécanisme d'action
- +Pharmacodynamique
- +Voir «Mécanisme d'action».
- +Efficacité clinique
- +Absence de données.
- +
-Des études pharmacocinétiques chez des sujets sains ont montré que la biodisponibilité des deux principes actifs de Rifinah 150 est comparable à celle de chacune des substances prises séparément.
-Rifampicine
- +Des études pharmacocinétiques chez des sujets sains ont montré que la biodisponibilité des deux principes actifs de Rifinah est comparable à celle de chacune des substances prises séparément.
- +Rifampicine
- +Isoniazide
- +L'isoniazide (INH) est bien absorbé par le tractus gastro-instestinal. Les pics de concentration plasmatique de 8 µg/ml env. sont mesurés 1 à 2 heures après l'administration orale d'une dose de 5 mg/kg poids corporel; ces pics s'abaissent jusqu'à 50% ou moins de la valeur maximale après 6 h.
- +Rifampicine
- +
-Métabolisme
-Après l'absorption, la rifampicine est rapidement éliminée par la bile avant de suivre le cycle entérohépatique. Elle y est désacétylée, ce qui fait qu'après 6 heures, la totalité de la substance est trouvée sous cette forme. Ce métabolite est doué de la même activité antibactérienne. La réabsorption intestinale est diminuée par la désacétylation, ce qui facilite l'élimination.
-Elimination
-Chez le sujet en bonne santé, le temps de demi-vie sérique d'une dose unique de rifampicine est d'env. 3 h (600 mg) à 5 h (900 mg). L'administration répétée entraîne une diminution de 2-3 h du temps de demi-vie.
-On retrouve dans l'urine jusqu'à 30% d'une dose, dont la moitié environ sous forme inchangée.
-Cinétique dans des situations cliniques particulières
-Pharmacocinétique chez les insuffisants rénaux: à condition que la fonction excrétrice du foie soit normale, les insuffisants rénaux ne nécessitent pas de réduction de la dose à moins de 600 mg/jour.
-Pharmacocinétique chez les insuffisants hépatiques: chez l'insuffisant hépatique, les temps de demi-vie peuvent être plus longs. Une fonction hépatique très réduite peut dans certains cas nécessiter une diminution de la dose.
-Pharmacocinétique chez les personnes âgées: chez les patients âgés, la clearance rénale est certainement diminuée, mais en raison de l'élimination intense par la voie hépatique, on mesure des taux plasmatiques comparables à ceux de jeunes patients.
-Absorption
-L'isoniazide (INH) est bien absorbé par le tractus gastro-instestinal. Les pics de concentration plasmatique de 8 µg/ml env. sont mesurés 1 à 2 heures après l'administration orale d'une dose de 5 mg/kg poids corporel; ces pics s'abaissent jusqu'à 50% ou moins de la valeur maximale après 6 h.
-Distribution
- +Rifampicine
- +Après l'absorption, la rifampicine est rapidement éliminée par la bile avant de suivre le cycle entérohépatique. Elle y est désacétylée, ce qui fait qu'après 6 heures, la totalité de la substance est trouvée sous cette forme. Ce métabolite est doué de la même activité antibactérienne. La réabsorption intestinale est diminuée par la désacétylation, ce qui facilite l'élimination.
- +Isoniazide
-Elimination
-50-70% de la dose administrée sont éliminés dans l'urine en l'espace de 24 heures.
-12 ou 27% d'INH non métabolisé se retrouvent dans l'urine des acétyleurs rapides ou lents, respectivement.
-Cinétique dans des situations cliniques particulières
-Pharmacocinétique en cas d'insuffisance rénale: Chez les acétyleurs lents ayant une fonction rénale gravement perturbée, il peut se produire une certaine accumulation d'INH. Il est indiqué dans ces situations de contrôler la concentration sérique d'INH et d'en diminuer la dose le cas échéant.
-Pharmacocinétique en cas d'insuffisance hépatique: La demi-vie est prolongée dans l'insuffisance hépatique, ce qui fait qu'il peut s'avérer nécessaire d'adapter la dose pour éviter les effets indésirables.
-Pharmacocinétique chez le vieillard: L'élimination n'est pas significativement diminuée chez le vieillard.
- +Élimination
- +Rifampicine
- +Chez le sujet en bonne santé, le temps de demi-vie sérique d'une dose unique de rifampicine est d'env. 3 h (600 mg) à 5 h (900 mg). L'administration répétée entraîne une diminution de 2-3 h du temps de demi-vie.
- +On retrouve dans l'urine jusqu'à 30% d'une dose, dont la moitié environ sous forme inchangée.
- +Isoniazide
- +50-70% de la dose administrée sont éliminés dans l'urine en l'espace de 24 heures. 12 ou 27% d'INH non métabolisé se retrouvent dans l'urine des acétyleurs rapides ou lents, respectivement.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Rifampicine
- +Troubles de la fonction rénale: à condition que la fonction excrétrice du foie soit normale, les insuffisants rénaux ne nécessitent pas de réduction de la dose à moins de 600 mg/jour.
- +Troubles de la fonction hépatique: chez l'insuffisant hépatique, les temps de demi-vie peuvent être plus longs. Une fonction hépatique très réduite peut dans certains cas nécessiter une diminution de la dose.
- +Patients âgés: chez les patients âgés, la clearance rénale est certainement diminuée, mais en raison de l'élimination intense par la voie hépatique, on mesure des taux plasmatiques comparables à ceux de jeunes patients.
- +Isoniazide
- +Troubles de la fonction rénale: Chez les acétyleurs lents ayant une fonction rénale gravement perturbée, il peut se produire une certaine accumulation d'INH. Il est indiqué dans ces situations de contrôler la concentration sérique d'INH et d'en diminuer la dose le cas échéant.
- +Trouble de la fonction hépatique: La demi-vie est prolongée dans l'insuffisance hépatique, ce qui fait qu'il peut s'avérer nécessaire d'adapter la dose pour éviter les effets indésirables.
- +Patients âgés: L'élimination n'est pas significativement diminuée chez les patients âgés.
-Aucune effet mutagène n'a pu être prouvé chez les bactéries, Drosophila melanogaster ou les souris; la rifampicine n'a provoqué aucune anomalie chromosomique des lymphocytes humains. On a cependant noté une multiplication des cassures chromosomique dans les cultures cellulaires de sang entier traitées par la rifampicine. On a observé une augmentation des anomalies chromosomiques in vitro dans les lymphocytes de patients traités avec l'association rifampicine/INH/pyrazinamide.
- +Aucun effet mutagène n'a pu être prouvé chez les bactéries, Drosophila melanogaster ou les souris; la rifampicine n'a provoqué aucune anomalie chromosomique des lymphocytes humains. On a cependant noté une multiplication des cassures chromosomique dans les cultures cellulaires de sang entier traitées par la rifampicine. On a observé une augmentation des anomalies chromosomiques in vitro dans les lymphocytes de patients traités avec l'association rifampicine/INH/pyrazinamide.
-Des concentrations thérapeutiques de rifampicine peuvent perturber les tests microbiologiques d'analyse standards de l'acide folique sérique et de la vitamine B12; c'est pourquoi il faudrait utiliser d'autres tests. On a observé une élévation transitoire de la bromosulfaléïne et de la bilirubine sérique. En se basant sur l'observation qu'une haute concentration de rifampicine inhibe la protéine de transport de l'anion organique (OATP 1) in vitro, il semble plausible que le Rifinah 150 puisse altérer l'excrétion biliaire de certains produits de contraste (par exemple le gadoxétate) utilisés pour représenter la vésicule biliaire. Ces tests doivent donc être effectués avant l'administration matinale de rifampicine. Des réactions croisées et des faux positifs des tests de screening urinaires pour les opiacés ont été rapportés lors de l'utilisation de la méthode KIMS.
- +Des concentrations thérapeutiques de rifampicine peuvent perturber les tests microbiologiques d'analyse standards de l'acide folique sérique et de la vitamine B12; c'est pourquoi il faudrait utiliser d'autres tests. On a observé une élévation transitoire de la bromosulfaléïne et de la bilirubine sérique. En se basant sur l'observation qu'une haute concentration de rifampicine inhibe la protéine de transport de l'anion organique (OATP 1) in vitro, il semble plausible que le Rifinah puisse altérer l'excrétion biliaire de certains produits de contraste (par exemple le gadoxétate) utilisés pour représenter la vésicule biliaire. Ces tests doivent donc être effectués avant l'administration matinale de rifampicine. Des réactions croisées et des faux positifs des tests de screening urinaires pour les opiacés ont été rapportés lors de l'utilisation de la méthode KIMS.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver Rifinah 150 à température ambiante (15-25 °C), au sec et hors de portée des enfants.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à température ambiante (15-25°C), à l'abri de l'humidité, dans son emballage d'origine fermé et hors de portée des enfants.
-Rifinah 150 Dragées: 100 [A]
- +Rifinah Comprimés enrobés: 100 [A]
-Décembre 2019.
- +Mars 2021.
|
|