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Accueil - Information professionnelle sur Lopresor 100 - Changements - 01.10.2020
92 Changements de l'information professionelle Lopresor 100
  • -Excipients:
  • +Excipients
  • -Indications/possibilités d'emploi
  • +Indications/Possibilités demploi
  • -Posologie/mode d'emploi
  • +Posologie/Mode demploi
  • -Comprimés pelliculés: 100-150 mg/j, répartis en 2 - 3 doses unitaires. En cas de nécessité, la dose quotidienne peut être portée jusqu'à 300 mg.
  • +Comprimés pelliculés: 100150 mg/j, répartis en 23 doses unitaires. En cas de nécessité, la dose quotidienne peut être portée jusqu'à 300 mg.
  • -Le traitement dentretien se fait par ladministration de 200 mg/j, fractionnés en 2 doses unitaires. Le traitement doit être poursuivi pendant au moins 3 mois.
  • +Le traitement d'entretien se fait par l'administration de 200 mg/j, fractionnés en 2 doses unitaires. Le traitement doit être poursuivi pendant au moins 3 mois.
  • -Comprimés pelliculés: 100200 mg/j sous forme de dose unique le matin ou répartis en deux doses unitaires (matin et soir). Si nécessaire, un autre antihypertenseur peut être prescrit simultanément (voir la rubrique «Indications/possibilités demploi»).
  • +Comprimés pelliculés: 100200 mg/j sous forme de dose unique le matin ou répartis en deux doses unitaires (matin et soir). Si nécessaire, un autre antihypertenseur peut être prescrit simultanément (voir la rubrique «Indications/Possibilités d'emploi»).
  • -Comprimés pelliculés: 100200 mg/j répartis en 2 doses unitaires. Si nécessaire, la dose quotidienne peut être portée jusqu'à 400 mg.
  • +Comprimés pelliculés: 100200 mg/j répartis en 2 doses unitaires. Si nécessaire, la dose quotidienne peut être portée jusqu'à 400 mg.
  • -150200 mg/j (possibilité d'augmentation jusquà 400 mg), répartis en 3 - 4 doses unitaires.
  • +150200 mg/j (possibilité d'augmentation jusqu'à 400 mg), répartis en 34 doses unitaires.
  • -Divitabs: Les 100 mg doivent être pris une fois par jour, le matin; si nécessaire, la dose quotidienne peut être portée à 200 mg
  • +Divitabs: Les 100 mg doivent être pris une fois par jour, le matin; si nécessaire, la dose quotidienne peut être portée à 200 mg.
  • -Aucune étude portant sur des enfants n'a été réalisée jusqu'à présent. La sécurité demploi et l'efficacité de Loprésor et de Loprésor Retard nont pas été prouvées chez l'enfant.
  • +Aucune étude portant sur des enfants n'a été réalisée jusqu'à présent. La sécurité d'emploi et l'efficacité de Loprésor et de Loprésor Retard n'ont pas été prouvées chez l'enfant.
  • -Patients âgés (> 65 ans)
  • +Patients âgés (>65 ans)
  • -·Insuffisance cardiaque décompensée, bradycardie sinusale cliniquement significative (fréquence cardiaque inférieure à 4550 battements/min),
  • +·Insuffisance cardiaque décompensée, bradycardie sinusale cliniquement significative (fréquence cardiaque inférieure à 4550 battements/min),
  • -Loprésor/Loprésor Retard est contre-indiqué en cas d'infarctus du myocarde lorsque le patient présente une fréquence cardiaque inférieure à 45 - 50 battements/min, un intervalle PR supérieur à 0,24 sec, une tension systolique inférieure à 100 mm Hg et/ou une insuffisance cardiaque sévère.
  • +Loprésor/Loprésor Retard est contre-indiqué en cas d'infarctus du myocarde lorsque le patient présente une fréquence cardiaque inférieure à 4550 battements/min, un intervalle PR supérieur à 0,24 sec, une tension systolique inférieure à 100 mm Hg et/ou une insuffisance cardiaque sévère.
  • -En général, les patients souffrant d'une affection bronchospastique ne devraient pas recevoir de bêtabloquants (y compris Loprésor/Loprésor Retard). Parce quil est relativement cardiosélectif, Loprésor/Loprésor Retard peut toutefois être administré prudemment par voie orale lors de bronchoconstrictions légères à modérées, lorsque dautres traitements se sont avérés inefficaces ou mal tolérés. La sélectivité pour les récepteurs β1 n'étant pas absolue, il est préférable d'administrer simultanément un β2-agoniste et de prescrire Loprésor/Loprésor Retard à la dose minimale.
  • +En général, les patients souffrant d'une affection bronchospastique ne devraient pas recevoir de bêtabloquants (y compris Loprésor/Loprésor Retard). Parce qu'il est relativement cardiosélectif, Loprésor/Loprésor Retard peut toutefois être administré prudemment par voie orale lors de bronchoconstrictions légères à modérées, lorsque d'autres traitements se sont avérés inefficaces ou mal tolérés. La sélectivité pour les récepteurs β1 n'étant pas absolue, il est préférable d'administrer simultanément un β2-agoniste et de prescrire Loprésor/Loprésor Retard à la dose minimale.
  • -Chez les patients diabétiques, Loprésor/Loprésor Retard doit être utilisé avec prudence, en particulier lorsqu'ils sont traités par insuline ou par antidiabétiques oraux (voir la rubrique «Interactions»). Les patients diabétiques doivent être avertis que les bêtabloquants (y compris Loprésor/Loprésor Retard) peuvent atténuer une tachycardie signalant la présence d'une hypoglycémie; dans certaines circonstances, les autres signes annonciateurs dune hypoglycémie comme les vertiges ou les sudations ne sont pas atténués de façon notable, les sudations peuvent même être accentuées.
  • +Chez les patients diabétiques, Loprésor/Loprésor Retard doit être utilisé avec prudence, en particulier lorsqu'ils sont traités par insuline ou par antidiabétiques oraux (voir la rubrique «Interactions»). Les patients diabétiques doivent être avertis que les bêtabloquants (y compris Loprésor/Loprésor Retard) peuvent atténuer une tachycardie signalant la présence d'une hypoglycémie; dans certaines circonstances, les autres signes annonciateurs d'une hypoglycémie comme les vertiges ou les sudations ne sont pas atténués de façon notable, les sudations peuvent même être accentuées.
  • -Parce quils ont un effet négatif sur la conduction AV, les bêtabloquants (y compris Loprésor/ Loprésor Retard) seront administrés uniquement avec prudence chez les patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré (voir la rubrique «Contre-indications»).
  • -En présence d'une accentuation de la bradycardie se manifeste (fréquence cardiaque inférieure à 5055 battements/min), il convient de réduire progressivement la posologie ou d'arrêter le traitement par paliers (voir la rubrique «Contre-indications»).
  • +Parce qu'ils ont un effet négatif sur la conduction AV, les bêtabloquants (y compris Loprésor/Loprésor Retard) seront administrés uniquement avec prudence chez les patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du premier degré (voir la rubrique «Contre-indications»).
  • +En présence d'une accentuation de la bradycardie se manifeste (fréquence cardiaque inférieure à 5055 battements/min), il convient de réduire progressivement la posologie ou d'arrêter le traitement par paliers (voir la rubrique «Contre-indications»).
  • -Un traitement chronique avec des agents bêtabloquants ne doit pas être arrêté de routine avant de grandes interventions chirurgicales. La capacité limitée du cœur à répondre par un réflexe aux stimulations adrénergiques est susceptible daugmenter les risques liés à une anesthésie générale et à des interventions chirurgicales.
  • -Si le patient traité par Loprésor/Loprésor Retard doit subir une anesthésie générale, l'anesthésiste doit être informé du traitement par un bêtabloquant. Il choisira alors un anesthésique dont l'effet cardiodépresseur est aussi faible que possible (voir la rubrique «Interactions»). Si linterruption du traitement bêtabloquant (y compris Loprésor/Loprésor Retard) est considérée nécessaire avant une intervention chirurgicale, l'arrêt doit être réalisé de manière progressive et être achevé environ 48 heures avant la narcose.
  • +Un traitement chronique avec des agents bêtabloquants ne doit pas être arrêté de routine avant de grandes interventions chirurgicales. La capacité limitée du cœur à répondre par un réflexe aux stimulations adrénergiques est susceptible d'augmenter les risques liés à une anesthésie générale et à des interventions chirurgicales.
  • +Si le patient traité par Loprésor/Loprésor Retard doit subir une anesthésie générale, l'anesthésiste doit être informé du traitement par un bêtabloquant. Il choisira alors un anesthésique dont l'effet cardiodépresseur est aussi faible que possible (voir la rubrique «Interactions»). Si l'interruption du traitement bêtabloquant (y compris Loprésor/Loprésor Retard) est considérée nécessaire avant une intervention chirurgicale, l'arrêt doit être réalisé de manière progressive et être achevé environ 48 heures avant la narcose.
  • -Le traitement par Loprésor/Loprésor Retard ne doit pas être interrompu de manière abrupte; ceci est particulièrement valable chez les patients souffrant d'une cardiopathie ischémique. Pour éviter l'exacerbation d'un angor, la posologie devrait être réduite progressivement sur une période de 1 - 3 semaines et, si nécessaire, un autre traitement de remplacement sera mis en route dans le même temps.
  • +Le traitement par Loprésor/Loprésor Retard ne doit pas être interrompu de manière abrupte; ceci est particulièrement valable chez les patients souffrant d'une cardiopathie ischémique. Pour éviter l'exacerbation d'un angor, la posologie devrait être réduite progressivement sur une période de 13 semaines et, si nécessaire, un autre traitement de remplacement sera mis en route dans le même temps.
  • -Le tableau du syndrome oculomucocutané décrit en association avec le practolol n'a pas été observé sous Loprésor/Loprésor Retard. Des manifestations partielles de ce syndrome (œil sec isolé ou associé à une éruption cutanée) ont toutefois été rapportées. Dans la plupart de ces cas, les symptômes ont disparu avec l'arrêt du traitement par Loprésor/Loprésor Retard. Les patients doivent être étroitement surveillés, à la recherche d'effets indésirables oculaires. A lobservation d'un tel effet, l'interruption du traitement par Loprésor/Loprésor Retard devra être envisagée.
  • +Le tableau du syndrome oculomucocutané décrit en association avec le practolol n'a pas été observé sous Loprésor/Loprésor Retard. Des manifestations partielles de ce syndrome (œil sec isolé ou associé à une éruption cutanée) ont toutefois été rapportées. Dans la plupart de ces cas, les symptômes ont disparu avec l'arrêt du traitement par Loprésor/Loprésor Retard. Les patients doivent être étroitement surveillés, à la recherche d'effets indésirables oculaires. A l'observation d'un tel effet, l'interruption du traitement par Loprésor/Loprésor Retard devra être envisagée.
  • -Inhibiteurs de lisoenzyme 2D6 du cytochrome P450
  • -Lutilisation simultanée de métoprolol et dinhibiteurs puissants de lisoenzyme 2D6 du cytochrome P450 peut provoquer une augmentation du taux plasmatique du métoprolol. Une forte inhibition du CYP2D6 a pour effet de ralentir le taux de métabolisme, ce qui correspond en principe à une modification du phénotype en «métaboliseur lent» (phénocopie, voir la rubrique «Pharmacocinétique»). En conséquence, la co-administration d'inhibiteurs puissants du CYP2D6 et de métoprolol aura seulement lieu avec prudence.
  • +Inhibiteurs de l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450
  • +L'utilisation simultanée de métoprolol et d'inhibiteurs puissants de l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450 peut provoquer une augmentation du taux plasmatique du métoprolol. Une forte inhibition du CYP2D6 a pour effet de ralentir le taux de métabolisme, ce qui correspond en principe à une modification du phénotype en «métaboliseur lent» (phénocopie, voir la rubrique «Pharmacocinétique»). En conséquence, la co-administration d'inhibiteurs puissants du CYP2D6 et de métoprolol aura seulement lieu avec prudence.
  • -·Les antipaludiques comme lhydroxychloroquine ou la quinine,
  • +·Les antipaludiques comme l'hydroxychloroquine ou la quinine,
  • -Interactions influençant dautres médicaments
  • +Interactions influençant d'autres médicaments
  • -Les bêtabloquants peuvent perturber la réaction hémodynamique habituelle à l'hypoglycémie et entrainer une élévation de la pression sanguine associée à une bradycardie sévère. Chez les patients diabétiques sous insuline, le traitement par bêtabloquants peut être associé à des hypoglycémies plus sévères et plus persistantes. Les bêtabloquants peuvent d'autre part inhiber l'effet hypoglycémiant des sulfonylurées. Le risque d'apparition de ces effets est plus faible chez un médicament bêta1 sélectif comme Loprésor/Loprésor Retard que chez des bêtabloquants non sélectifs. Les symptômes annonciateurs dune hypoglycémie, en particulier la tachycardie, peuvent être masqués ou atténués. Une surveillance est de mise chez les patients diabétiques traités par Loprésor/Loprésor Retard afin d'assurer un bon ajustement du métabolisme glucidique (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Les bêtabloquants peuvent perturber la réaction hémodynamique habituelle à l'hypoglycémie et entrainer une élévation de la pression sanguine associée à une bradycardie sévère. Chez les patients diabétiques sous insuline, le traitement par bêtabloquants peut être associé à des hypoglycémies plus sévères et plus persistantes. Les bêtabloquants peuvent d'autre part inhiber l'effet hypoglycémiant des sulfonylurées. Le risque d'apparition de ces effets est plus faible chez un médicament bêta1 sélectif comme Loprésor/Loprésor Retard que chez des bêtabloquants non sélectifs. Les symptômes annonciateurs d'une hypoglycémie, en particulier la tachycardie, peuvent être masqués ou atténués. Une surveillance est de mise chez les patients diabétiques traités par Loprésor/Loprésor Retard afin d'assurer un bon ajustement du métabolisme glucidique (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Si Loprésor/Loprésor Retard est utilisé pendant la grossesse, il faut administrer la dose la plus faible possible et considérer l'arrêt du traitement au moins 2 - 3 jours avant l'accouchement, afin d'éviter une contractilité utérine plus élevée et des effets de bêtablocage sur le nouveau-né (par ex. bradycardie, hypoglycémie).
  • +Si Loprésor/Loprésor Retard est utilisé pendant la grossesse, il faut administrer la dose la plus faible possible et considérer l'arrêt du traitement au moins 23 jours avant l'accouchement, afin d'éviter une contractilité utérine plus élevée et des effets de bêtablocage sur le nouveau-né (par ex. bradycardie, hypoglycémie).
  • -Lallaitement est contre-indiqué durant le traitement par métoprolol. De petites quantités de métoprolol sont excrétées dans le lait maternel. À des doses thérapeutiques, un nourrisson buvant 1 litre de lait maternel par jour recevrait une dose inférieure à 1 mg de métoprolol. Si le traitement est absolument nécessaire, les nourrissons doivent être soigneusement surveillés sur l'apparition d'un bêtablocage.
  • -Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines
  • +L'allaitement est contre-indiqué durant le traitement par métoprolol. De petites quantités de métoprolol sont excrétées dans le lait maternel. À des doses thérapeutiques, un nourrisson buvant 1 litre de lait maternel par jour recevrait une dose inférieure à 1 mg de métoprolol. Si le traitement est absolument nécessaire, les nourrissons doivent être soigneusement surveillés sur l'apparition d'un bêtablocage.
  • +Effet sur laptitude à la conduite et lutilisation de machines
  • -Les effets indésirables provenant d'études cliniques sont présentés selon le système de classes d'organes MedDRA. Pour chaque système de classes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés selon leur fréquence, les effets indésirables les plus fréquents étant cités en premier lieu. Au sein des groupes de fréquence, les effets indésirables sont répertoriés par ordre de gravité décroissant. De plus, pour les différents effets indésirables, la catégorie de fréquence correspondante est basée sur la convention suivante (CIOMS III): Très fréquents (≥ 1/10); fréquents (≥ 1/100 à < 1/10); occasionnels (≥ 1/1.000 à < 1/100); rares (≥ 1/10'000 à < 1/1'000); très rares (< 1/10'000).
  • +Les effets indésirables provenant d'études cliniques sont présentés selon le système de classes d'organes MedDRA. Pour chaque système de classes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés selon leur fréquence, les effets indésirables les plus fréquents étant cités en premier lieu. Au sein des groupes de fréquence, les effets indésirables sont répertoriés par ordre de gravité décroissant. De plus, pour les différents effets indésirables, la catégorie de fréquence correspondante est basée sur la convention suivante (CIOMS III): Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000).
  • -Très rares: Sécheresse buccale, fibrose rétropéritonéale (le lien avec Loprésor/Loprésor Retard nest pas certifié).
  • +Très rares: Sécheresse buccale, fibrose rétropéritonéale (le lien avec Loprésor/Loprésor Retard n'est pas certifié).
  • -Très rares: Troubles de la libido et de la puissance sexuelle, induratio penis plastica (le lien avec Loprésor/Loprésor Retard nest pas certifié).
  • +Très rares: Troubles de la libido et de la puissance sexuelle, induratio penis plastica (le lien avec Loprésor/Loprésor Retard n'est pas certifié).
  • -Les effets indésirables suivants ont été rapportés depuis la commercialisation de Loprésor et Loprésor Retard dans des annonces spontanées et des rapports de cas dans la littérature médicale. Étant donné que ces effets ont été communiqués de manière volontaire, par un ensemble de personnes dont le nombre nest pas connu et en raison de lintervention de facteurs dincertitude supplémentaires, il nest pas possible dobtenir une évaluation fiable de leur incidence. Ils sont donc indiqués avec une fréquence inconnue. Les effets indésirables sont présentés selon le système de classes d'organes MedDRA. Au sein des différents systèmes de classes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par ordre décroissant de gravité.
  • +Les effets indésirables suivants ont été rapportés depuis la commercialisation de Loprésor et Loprésor Retard dans des annonces spontanées et des rapports de cas dans la littérature médicale. Étant donné que ces effets ont été communiqués de manière volontaire, par un ensemble de personnes dont le nombre n'est pas connu et en raison de l'intervention de facteurs d'incertitude supplémentaires, il n'est pas possible d'obtenir une évaluation fiable de leur incidence. Ils sont donc indiqués avec une fréquence inconnue. Les effets indésirables sont présentés selon le système de classes d'organes MedDRA. Au sein des différents systèmes de classes d'organes, les effets indésirables sont répertoriés par ordre décroissant de gravité.
  • -État de confusion
  • +État de confusion.
  • -Élévation des triglycérides, diminution des valeurs HDL
  • +Élévation des triglycérides, diminution des valeurs HDL.
  • -Les premières manifestations d'un surdosage apparaissent 20 min - 2 heures après la prise du médicament. Les effets consécutifs à un surdosage massif peuvent persister pendant plusieurs jours, malgré la diminution des taux plasmatiques.
  • +Les premières manifestations d'un surdosage apparaissent 20 min2 heures après la prise du médicament. Les effets consécutifs à un surdosage massif peuvent persister pendant plusieurs jours, malgré la diminution des taux plasmatiques.
  • -Induction de vomissements ou lavage gastrique et/ou administration de charbon activé dans les 4 premières heures après la prise orale d'une surdose potentiellement létale de Loprésor/ Loprésor Retard, afin d'évacuer la substance hors du tractus gastro-intestinal. Il est peu probable que l'hémodialyse contribue de manière significative à l'élimination du métoprolol.
  • -Les autres manifestations cliniques d'un surdosage doivent être traitées de manière symptomatique avec les méthodes modernes des soins en intensif.
  • +Induction de vomissements ou lavage gastrique et/ou administration de charbon activé dans les 4 premières heures après la prise orale d'une surdose potentiellement létale de Loprésor/Loprésor Retard, afin d'évacuer la substance hors du tractus gastro-intestinal. Il est peu probable que l'hémodialyse contribue de manière significative à l'élimination du métoprolol.
  • +Les autres manifestations cliniques d'un surdosage doivent être traitées de manière sympto-matique avec les méthodes modernes des soins en intensif.
  • -Le métoprolol est un dérivé aryloxypropanolamine et n'a pas d'effet stabilisant de membrane; il ne présente pas d'activité agoniste partielle, il na donc pas d'activité sympathicomimétique intrinsèque (ASI).
  • +Le métoprolol est un dérivé aryloxypropanolamine et n'a pas d'effet stabilisant de membrane; il ne présente pas d'activité agoniste partielle, il n'a donc pas d'activité sympathicomimétique intrinsèque (ASI).
  • -Les concentrations plasmatiques maximales apparaissent en 1.5 - 2 heures avec les comprimés pelliculés standards, et en 4 - 5 heures environ avec les formes retard. Dans la plage posologique située entre 50 mg et 200 mg, la concentration plasmatique du métoprolol augmente pratiquement proportionnellement à la dose administrée.
  • +Les concentrations plasmatiques maximales apparaissent en 1.52 heures avec les comprimés pelliculés standards, et en 45 heures environ avec les formes retard. Dans la plage posologique située entre 50 mg et 200 mg, la concentration plasmatique du métoprolol augmente pratiquement proportionnellement à la dose administrée.
  • -La biodisponibilité systémique d'une dose unique prise avec un repas peut augmenter d'environ 20 - 40%.
  • +La biodisponibilité systémique d'une dose unique prise avec un repas peut augmenter d'environ 2040%.
  • -La distribution du métoprolol survient rapidement, le volume de distribution étant estimé entre 3.25.6 l/kg. Le volume de distribution reconnaissable à l'état d'équilibre est relativement plus élevé chez les bons métaboliseurs (4.84 l/kg) que chez les mauvais métaboliseurs (2.83 l/kg). La demi-vie ne dépend pas de la dose et ne change pas en cas d'administrations répétées.
  • +La distribution du métoprolol survient rapidement, le volume de distribution étant estimé entre 3.25.6 l/kg. Le volume de distribution reconnaissable à l'état d'équilibre est relativement plus élevé chez les bons métaboliseurs (4.84 l/kg) que chez les mauvais métaboliseurs (2.83 l/kg). La demi-vie ne dépend pas de la dose et ne change pas en cas d'administrations répétées.
  • -Le métoprolol traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel (voir la rubrique «Grossesse, allaitement»). Chez les patients hypertendus, les concentrations du métoprolol dans le liquide céphalorachidien sont identiques à celles du plasma.
  • -Le métoprolol n'étant pas un substrat de la glycoprotéine P significatif, on peut en déduire que la variabilité de la pharmacocinétique du métoprolol entre les patients individuels est en grande partie due au métabolisme du CYP2D6
  • +Le métoprolol traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel (voir la rubrique «Grossesse/Allaitement»). Chez les patients hypertendus, les concentrations du métoprolol dans le liquide céphalorachidien sont identiques à celles du plasma.
  • +Le métoprolol n'étant pas un substrat de la glycoprotéine P significatif, on peut en déduire que la variabilité de la pharmacocinétique du métoprolol entre les patients individuels est en grande partie due au métabolisme du CYP2D6.
  • -La demi-vie d'élimination du métoprolol est de 3 - 4 heures en moyenne et peut atteindre 7 - 9 heures chez certains individus dont le métabolisme est réduit. Après une administration orale unique de 100 mg de métoprolol, la clairance médiane était de 31 l/h chez les métaboliseurs lents, de 168 l/h chez les bons métaboliseurs et de 367 l/h chez les métaboliseurs ultrarapides. La clairance rénale du stéréo-isomère n'a pas montré de stéréosélectivité lors de l'excrétion rénale. Environ 95% de la dose sont éliminés dans les urines.
  • -Dans la plupart des cas (individus avec métabolisme rapide), moins de 5% dune dose orale sont éliminés sous forme inchangée.
  • -En cas de métabolisme diminué, jusqu'à 30% dune dose orale sont éliminés sous forme inchangée.
  • +La demi-vie d'élimination du métoprolol est de 34 heures en moyenne et peut atteindre 79 heures chez certains individus dont le métabolisme est réduit. Après une administration orale unique de 100 mg de métoprolol, la clairance médiane était de 31 l/h chez les métaboliseurs lents, de 168 l/h chez les bons métaboliseurs et de 367 l/h chez les métaboliseurs ultrarapides. La clairance rénale du stéréo-isomère n'a pas montré de stéréosélectivité lors de l'excrétion rénale. Environ 95% de la dose sont éliminés dans les urines.
  • +Dans la plupart des cas (individus avec métabolisme rapide), moins de 5% d'une dose orale sont éliminés sous forme inchangée.
  • +En cas de métabolisme diminué, jusqu'à 30% d'une dose orale sont éliminés sous forme inchangée.
  • -Chez les patients porteurs d'anastomose porto-cave, la clairance systémique dune dose intraveineuse était d'environ 0.3 l/min et les valeurs d'AUC étaient jusqu'à 6 fois supérieures à celles observées chez les sujets sains.
  • +Chez les patients porteurs d'anastomose porto-cave, la clairance systémique d'une dose intraveineuse était d'environ 0.3 l/min et les valeurs d'AUC étaient jusqu'à 6 fois supérieures à celles observées chez les sujets sains.
  • -Les tests de mutagénicité (souches bactériennes/test dAMES, tests in vivo sur cellules somatiques de mammifères de même que sur cellules germinales de rats ou de souris mâles) effectués avec le métoprolol nont pas révélé de potentiel mutagène/génotoxique.
  • +Les tests de mutagénicité (souches bactériennes/test d'AMES, tests in vivo sur cellules somatiques de mammifères de même que sur cellules germinales de rats ou de souris mâles) effectués avec le métoprolol n'ont pas révélé de potentiel mutagène/génotoxique.
  • -Les résultats détudes de cancérogénicité menées chez le rat et la souris à des doses allant jusquà 800 mg/kg sur une durée de 21 - 24 mois permettent de conclure à labsence de potentiel cancérogène.
  • +Les résultats d'études de cancérogénicité menées chez le rat et la souris à des doses allant jusqu'à 800 mg/kg sur une durée de 2124 mois permettent de conclure à l'absence de potentiel cancérogène.
  • -Des essais réalisés sur trois espèces animales (souris, rat et lapin) nont révélé aucun indice de tératogénicité du métoprolol. Une embryotoxicité et/ou foetotoxicité ont été constatées chez des rats et des lapins à partir d'une dose de 50 mg/kg (rats) ou de 25 mg/kg (lapins), ce qui a été prouvé par une augmentation des pertes avant la nidification, un nombre inférieur de fœtus viables par femelle et/ou une réduction de la durée de survie des nouveau-nés. Ladministration de doses élevées a entraîné des effets toxiques chez la mère ainsi quun retard de croissance des petits in utero, ce qui s'est traduit par un poids à la naissance légèrement inférieur. Le tartrate de métoprolol a été mis en liaison avec des effets indésirables réversibles de la spermatogenèse à partir d'une dose orale de 3.5 mg/kg chez les rats, bien que d'autres études n'aient pas montré d'effet du tartrate de métoprolol sur les performances reproductrices des rats mâles.
  • +Des essais réalisés sur trois espèces animales (souris, rat et lapin) n'ont révélé aucun indice de tératogénicité du métoprolol. Une embryotoxicité et/ou foetotoxicité ont été constatées chez des rats et des lapins à partir d'une dose de 50 mg/kg (rats) ou de 25 mg/kg (lapins), ce qui a été prouvé par une augmentation des pertes avant la nidification, un nombre inférieur de fœtus viables par femelle et/ou une réduction de la durée de survie des nouveau-nés. L'administration de doses élevées a entraîné des effets toxiques chez la mère ainsi qu'un retard de croissance des petits in utero, ce qui s'est traduit par un poids à la naissance légèrement inférieur. Le tartrate de métoprolol a été mis en liaison avec des effets indésirables réversibles de la spermatogenèse à partir d'une dose orale de 3.5 mg/kg chez les rats, bien que d'autres études n'aient pas montré d'effet du tartrate de métoprolol sur les performances reproductrices des rats mâles.
  • -Conserver Loprésor et Loprésor Retard à l'abri de l'humidité et à une température ne dépassant pas 30°C.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Ut. av.» sur lemballage.
  • +Conserver Loprésor et Loprésor Retard à l'abri de l'humidité et à une température ne dépassant pas 30 °C.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Ut. av.» sur l'emballage.
  • -Loprésor 100: 39'252 (Swissmedic)
  • -Loprésor Retard 200: 44'447 (Swissmedic)
  • +Loprésor 100: 39252 (Swissmedic).
  • +Loprésor Retard 200: 44447 (Swissmedic).
  • -Titulaire de l'autorisation
  • -Daiichi Sankyo (Suisse) SA, 8800 Thalwil
  • -Mise à jour de l'information
  • -Février 2016
  • +Titulaire de lautorisation
  • +Daiichi Sankyo (Schweiz) AG, Zurich
  • +Mise à jour de linformation
  • +Février 2016.
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