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Accueil - Information professionnelle sur Uriconorm 100 mg - Changements - 16.06.2018
38 Changements de l'information professionelle Uriconorm 100 mg
  • -L'utilisation d'Uriconorme devrait immédiatement être arrêtée lors de réactions cutanées ou d'autres effets indésirables, car ils pourraient conduire à des réactions d'hypersensibilité plus graves (y compris le syndrome d'hypersensibilité, le syndrome de Stevens-Johnson [SSJ] et la nécrolyse épidermique toxique [NET]) (voir «Effets indésirables»).
  • +L'utilisation d'Uriconorme devrait immédiatement être arrêtée lors de réactions cutanées ou d'autres effets indésirables, car ils pourraient entraîner à des réactions d'hypersensibilité plus graves comme le syndrome d'hypersensibilité/Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS), le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET) (voir «Effets indésirables»).
  • -Des réactions d'hypersensibilité avec l'allopurinol peuvent aussi se manifester de très nombreuses façons différentes, notamment par un exanthème maculo-papuleux, un syndrome d'hypersensibilité (connu aussi sous l'abréviation DRESS) et un SSJ/NET. Ces réactions sont des diagnostics cliniques et leurs tableaux cliniques constituent la base de la prise de décision. Des contrôles seront effectués chez les patients atteints de syndrome d'hypersensibilité et de SSJ/NET.
  • +Les réactions d'hypersensibilité de l'allopurinol peuvent s'exprimer de différentes façons, comme par exemple la survenue retardée de plusieurs semaines d'un DRESS (avec symptômes cutanés et hépatite, mais aussi avec cardite, néphrite, pneumonite, pancréatite ou colite) et SSJ/NET. Ces réactions sont des diagnostics cliniques et leurs tableaux cliniques constituent la base de la prise de décision.
  • -En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, réduire la posologie. L'allopurinol sera utilisé avec prudence chez les patients souffrant d'hypertension ou d'insuffisance cardiaque et traités par exemple avec des diurétiques ou des inhibiteurs de l'ECA, en raison de la coexistence possible d'une insuffisance rénale.
  • -L'hyperuricémie asymptomatique per se ne constitue pas une indication d'Uriconorme. Le fait de boire autrement, des mesures diététiques et l'élimination du facteur déclenchant peuvent favoriser une amélioration.
  • +Patient présente des troubles de la fonction rénale et hepatique.
  • +Dans les insuffisances rénales et insufficances hepatique, il peut être préférable d'adopter de dosage.
  • +Hypertension ou d'insuffisance cardiaque
  • +L'utilisation concomitante d'antihypertenseurs (inhibiteurs de l'ECA) ou de diurétiques (surtout de thiazides) accroît le risque de réaction d'hypersensibilité, surtout si le patient présente aussi des troubles de la fonction rénale.
  • +Hyperuricémie asymptomatique
  • +L'hyperuricémie asymptomatique per se ne constitue pas une indication de Zyloric. Le fait de boire autrement, des mesures diététiques et l'élimination du facteur déclenchant peuvent favoriser une amélioration.
  • +Patients souffrant de troubled de la fonction thyroidienne
  • +Dans une étude ouverte à long terme, on a observé des valeurs élevées de la TSH (>5.5 µIU/mL) chez des patients en traitment contiu à i'allopurinol.
  • +Diurétiques: Il a été fait état d'une interaction entre l'allopurinol et le furosémide conduisant à une augmentation du taux sérique d'urates et du taux plasmatique d'oxypurinol.
  • +On a rapporté qu'en cas de troubles de la fonction rénale l'administration concomitante de diurétiques, de thiazides en particulier, et d'allopurinol augmentait le risque de réactions d'hypersensibilité.
  • +Inhibiteurs de l'ECA: On a rapporté que l'administration concomitante d'inhibiteurs de l'ECA et d'allopurinol, surtout en cas de troubles de la fonction rénale, augmentait le risque de réactions d'hypersensibilité.
  • +
  • -Didanosine: chez des volontaires sains et des patients VIH sous didanosine, le traitement simultané par l'allopurinol (300 mg/jour) a doublé la Cmax et l'AUC de la didanosine sans influencer la demi-vie terminale. Lors de l'administration concomitante d'allopurinol, une réduction de la dose de didanosine peut donc s'avérer nécessaire.
  • +Didanosine: chez des volontaires sains et des patients VIH sous didanosine, le traitement simultané par l'allopurinol (300 mg/jour) a doublé la Cmax et l'AUC de la didanosine sans influencer la demivie terminale. Lors de l'administration concomitante d'allopurinol, une réduction de la dose de didanosine peut donc s'avérer nécessaire.
  • -Infections et infestations
  • -Très rare: furonculose.
  • +Infections et maladie parasitaire
  • +Très rare: furoncule.
  • -Occasionnel: réactions d'hypersensibilité.
  • -Très rare: lymphadénopathie angio-immunoblastique.
  • -Des réactions d'hypersensibilité sévères, telles que réactions cutanées s'accompagnant d'exfoliation, de fièvre, de lymphadénopathies, d'arthralgies et/ou d'éosinophilie, y compris le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell (nécrose épidermique toxique), sont rares (voir également «Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés»). Une angéite associée et une atteinte organique peuvent se manifester sous différentes formes, y compris hépatite, atteinte rénale et, très rarement, crise convulsive. Dans des cas isolés, un choc anaphylactique aigu a été signalé. Une maladie d'hypersensibilité multiorganique retardée (connue sous le nom de syndrome d'hypersensibilité ou DRESS) avec fièvre, éruption cutanée, tuméfaction de nodules lymphatiques, pseudolymphome, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie, anomalies des valeurs hépatiques et disparition des canaux biliaires (destruction et disparition des canaux biliaires intrahépatiques) sous diverses combinaisons. D'autres organes peuvent également être atteints (par ex. le foie, les poumons, les reins, le pancréas, le muscle cardiaque et le côlon).
  • -Des effets secondaires de cette nature survenant à n'importe quel moment du traitement imposent l'arrêt immédiat et définitif du traitement par l'allopurinol.
  • -Une corticothérapie peut se révéler utile en cas de réaction cutanée d'hypersensibilité. Les réactions d'hypersensibilité généralisée ont été observées le plus souvent en présence de néphropathies et/ou d'hépatopathies, surtout les cas mortels.
  • -Une lymphadénopathie généralisée a été décrite dans de très rares cas après une biopsie pratiquée lors de lymphadénopathie angio-immunoblastique. Elle semble être réversible après l'arrêt du traitement.
  • +Occasionnels: hypersensibilité.
  • +Rares: syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et nécrolyse épidermique toxique (NET) (voir Peau et tissus sous-cutanés).
  • +Très rares: lymphadénopathie à cellules T angioimmunoblastiques
  • +Maladie d'hypersensibilité multiorganique retardée/Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS). Un DRESS peut inclure les symptômes suivants en des combinaisons variées: éruption cutanée, fièvre, tuméfaction de nodules lymphatiques, angéite, pseudolymphome, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie, anomalies des valeurs hépatiques, hépatite, destruction et disparition des canaux biliaires intrahépatiques. D'autres organes peuvent également être atteints, par ex. les poumons, les reins, le pancréas, le muscle cardiaque et le côlon. De très rares cas de crampes ou de chocs anaphylactiques ont été signalés.
  • +Une corticothérapie peut se révéler utile en cas de réaction cutanée d'hypersensibilité. Une lymphadénopathie généralisée a été décrite dans de très rares cas après une biopsie pratiquée lors de lymphadénopathie angio-immunoblastique. Elle semble être réversible après l'arrêt du traitement.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Maladies psychiatriques
  • -Très rare: coma, paralysie, ataxie, neuropathie, paresthésie, somnolence, céphalées, troubles gustatifs.
  • +Très rare: coma, paralysie, ataxie, neuropathie périphérique, paresthésie, somnolence, céphalées, dysgeusie.
  • -Très rare: cataracte, troubles visuels, troubles maculaires.
  • +Très rare: cataracte, troubles visuels, maculopathie.
  • -Très rare: hématémèse récurrente, stéatorrhée, stomatite, modification du comportement intestinal, troubles digestifs.
  • +Très rare: hématémèse, stéatorrhée, stomatite, modification du comportement intestinal, troubles digestifs.
  • -Occasionnel: augmentations asymptomatiques des enzymes hépatiques.
  • -Rare: hépatite (y compris nécrose hépatique et hépatite granulomateuse).
  • +Occasionnels: résultats anormaux des tests de la fonction hépatique.
  • +Rares: hépatite (y compris nécrose hépatique et hépatite granulomateuse).
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Peau et tissus sous-cutanés
  • -Rare: syndrome de Stevens-Johnson/nécrolyse épidermique toxique.
  • +Rare: syndrome de Stevens-Johnson (SJS)/nécrolyse épidermique toxique (TEN).
  • -Les réactions cutanées sont les plus fréquentes et peuvent apparaître à n'importe quel moment du traitement, sous forme de purpura ou d'exanthème maculopapuleux avec desquamation et démangeaison occasionnelle ou, plus rarement, avec exfoliation, comme lors du syndrome de Stevens-Johnson ou de nécrolyse épidermique toxique (SSJ/NET). Dans ce cas, il convient d'interrompre immédiatement le traitement par Uriconorme. Après guérison d'une réaction légère, Uriconorme peut être réinstauré au besoin à une posologie peu élevée (par ex. 50 mg par jour), laquelle sera augmentée progressivement. En cas de réapparition des troubles cutanés, renoncer définitivement à utiliser Uriconorme, étant donné le risque d'apparition de réactions d'hypersensibilité sévères (voir «Système immunitaire»).
  • +Les réactions cutanées sont les plus fréquentes et peuvent apparaître à n'importe quel moment du traitement, sous forme de purpura ou d'exanthème maculopapuleux avec desquamation et démangeaison occasionnelle ou, plus rarement, avec exfoliation, comme lors du syndrome de Stevens-Johnson ou de nécrolyse épidermique toxique (SJS/NET). Dans ces cas, il convient d'interrompre immédiatement le traitement par Uriconorme. Après guérison d'une réaction légère, Uriconorme peut être réinstauré au besoin à une posologie peu élevée (par ex. 50 mg par jour), laquelle sera augmentée progressivement. En cas de réapparition des troubles cutanés, renoncer définitivement à utiliser Uriconorme, étant donné le risque d'apparition de réactions d'hypersensibilité sévères (voir «Système immunitaire»).
  • -Très rare: hématurie, urémie.
  • -Organes de reproductions et sein
  • +Très rare: hématurie, acetonémie.
  • +Organes sexuels et glande mammaire
  • -Troubles généraux et réactions au site d'application
  • -Très rare: oedème, sensation de malaise général, asthénie, fièvre.
  • -Des cas de fièvre survenant avec ou sans symptômes d'une réaction d'hypersensibilité généralisée à l'allopurinol ont été rapportés (voir «Système immunitaire»).
  • -
  • +Affections et troubles généraux au site d'administration
  • +Très rares: œdème, sensation de malaise général, asthénie, fièvre.
  • -1.L'inhibition de la xanthine-oxydase réduit l'oxydation de l'hypoxanthine en xanthine et de la xanthine en acide urique.
  • -2.Il en résulte une disponibilité accrue de l'hypoxanthine et de la xanthine réutilisables lors du métabolisme purique et un ralentissement de la nouvelle synthèse purique selon un mécanisme de feedback.
  • +1.1. L'inhibition de la xanthine-oxydase réduit l'oxydation de l'hypoxanthine en xanthine et de la xanthine en acide urique.
  • +2.2. Il en résulte une disponibilité accrue de l'hypoxanthine et de la xanthine réutilisables lors du métabolisme purique et un ralentissement de la nouvelle synthèse purique selon un mécanisme de feedback.
  • -L'allopurinol administré par voie orale est résorbé dans la partie haute du tractus gastro-intestinal et peut être détecté dans le plasma 30 à 60 min après la prise. La biodisponibilité est de l'ordre de 67% à 90%. L'allopurinol atteint habituellement un pic plasmatique 1,5 h environ après l'administration orale de l'allopurinol, mais ce pic régresse ensuite très rapidement et n'est plus guère détectable au bout de 6 h. Le pic plasmatique d'oxypurinol apparaît généralement au bout de 3 à 5 h et subsiste plus longtemps.
  • +L'allopurinol administré par voie orale est résorbé dans la partie haute du tractus gastro-intestinal et peut être détecté dans le plasma 30 à 60 min après la prise. La biodisponibilité est de l'ordre de 67 à 90%. L'allopurinol atteint habituellement un pic plasmatique 1,5 h environ après l'administration orale de l'allopurinol, mais ce pic régresse ensuite très rapidement et n'est plus guère détectable au bout de 6 h. Le pic plasmatique d'oxypurinol apparaît généralement au bout de 3 à 5 h et subsiste plus longtemps.
  • -Mai 2013.
  • +Avril 2017.
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