52 Changements de l'information professionelle Froben 50 mg |
-Adultes:la dose quotidienne recommandée est de 150 à 200 mg de flurbiprofène: prendre 1 dragée à 50 mg 3 fois par jour et, si nécessaire, 1 dragée à 50 mg au coucher.
- +Adultes: la dose quotidienne recommandée est de 150 à 200 mg de flurbiprofène: prendre 1 dragée à 50 mg 3 fois par jour et, si nécessaire, 1 dragée à 50 mg au coucher.
-Patients âgés: l’élimination des anti-rhumatismaux non stéroïdiens peut être plus lente chez les patients âgés dont la fonction rénale est réduite que chez les patients dont la fonction rénale est normale. Le flurbiprofène ne doit être utilisé chez ces patients qu’avec prudence et après adaptation individuelle de la posologie.
-Enfant:l’utilisation n’est pas recommandée chez l’enfant. Pour limiter les effets indésirables, utiliser la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible permettant de maîtriser les symptômes (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Patients âgés: l'élimination des anti-rhumatismaux non stéroïdiens peut être plus lente chez les patients âgés dont la fonction rénale est réduite que chez les patients dont la fonction rénale est normale. Le flurbiprofène ne doit être utilisé chez ces patients qu'avec prudence et après adaptation individuelle de la posologie.
- +Enfant: l'utilisation n'est pas recommandée chez l'enfant. Pour limiter les effets indésirables, utiliser la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible permettant de maîtriser les symptômes (voir «Mises en garde et précautions»).
-Hypersensibilité à l’une des substances actives ou à l’un des excipients cités dans la composition.
-Antécédents de spasme bronchique, d'urticaire ou de symptômes allergiques après administration d’acide acétylsalicylique ou d’autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens ou de colorants azoïques (dragées).
-Pendant le troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
-Ulcère gastrique et/ou duodénal ou hémorragie gastro-intestinale actifs ou répétés dans l’anamnèse (au moins deux épisodes distincts d’ulcération détectable ou d’hémorragie dans l’anamnèse).
-Maladies inflammatoires intestinales actives ou avérées (comme la maladie de Crohn ou la recto-colite hémorragique).
-Antécédent d’hémorragies ou de perforation gastro-intestinales en rapport avec un traitement antérieur par des anti-rhumatismaux/anti-inflammatoires non stéroïdiens.
-Troubles hépatiques fonctionnels graves (cirrhose du foie ou ascites).
-Insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min).
-Insuffisance cardiaque grave (classes III–IV de la classification de la NYHA).
-Traitement de douleurs post-opératoires après opération de pontage aorto-coronarien (p.ex. utilisation d’un cœur-poumon artificiel).
- +·Hypersensibilité à l'une des substances actives ou à l'un des excipients cités dans la composition.
- +·Antécédents de spasme bronchique, d'urticaire ou de symptômes allergiques après administration d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens ou de colorants azoïques (dragées).
- +·Pendant le troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +·Ulcère gastrique et/ou duodénal ou hémorragie gastro-intestinale actifs ou répétés dans l'anamnèse (au moins deux épisodes distincts d'ulcération détectable ou d'hémorragie dans l'anamnèse).
- +·Maladies inflammatoires intestinales actives ou avérées (comme la maladie de Crohn ou la recto-colite hémorragique).
- +·Antécédent d'hémorragies ou de perforation gastro-intestinales en rapport avec un traitement antérieur par des anti-rhumatismaux/anti-inflammatoires non stéroïdiens.
- +·Troubles hépatiques fonctionnels graves (cirrhose du foie ou ascites).
- +·Insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min).
- +·Insuffisance cardiaque grave (classes III-IV de la classification de la NYHA).
- +·Traitement de douleurs post-opératoires après opération de pontage aorto-coronarien (p.ex. utilisation d'un cœur-poumon artificiel).
-Des ulcérations, des hémorragies ou des perforations gastro-intestinales peuvent survenir à tout moment pendant le traitement par des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, sélectifs de la COX-2 ou non, sans symptômes avant-coureurs ni signes dans l’anamnèse. Afin de limiter ce risque, administrer la dose efficace minimale pendant la durée de traitement la plus courte possible.
-Concernant les inhibiteurs sélectifs de la COX-2, un risque accru de complications thrombotiques cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires a été observé au cours d’études contrôlées par placebo. On ne sait pas encore si ce risque est directement corrélé à la sélectivité pour la COX-1/COX-2 de l’anti-rhumatismal non stéroïdien concerné. Puisque nous ne disposons pas à l’heure actuelle de données d’études cliniques comparables pour le flurbiprofène à une dose maximale et pendant un traitement à long terme, nous ne pouvons pas exclure qu’un tel traitement présente un risque accru similaire. En l’absence de telles données, le flurbiprofène ne doit être administré qu’après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice-risque en cas de coronaropathie cliniquement avérée, de troubles cérébro-vasculaires, de maladie artérielle oblitérante périphérique et chez les patients présentant des facteurs de risque importants (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). En raison de ce risque, il convient d’administrer la dose efficace minimale pendant la durée de traitement la plus courte possible.
-Les effets des anti-rhumatismaux non stéroïdiens sur le rein incluent une rétention liquidienne avec œdèmes et/ou une hypertension artérielle. Chez les patients présentant une atteinte de la fonction cardiaque et d’autres conditions prédisposant à une rétention liquidienne, le flurbiprofène ne doit donc être utilisé qu’avec prudence. Il convient aussi d’être prudent pour les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’enzyme de conversion ainsi qu’en cas de risque accru d’hypovolémie.
- +Des ulcérations, des hémorragies ou des perforations gastro-intestinales peuvent survenir à tout moment pendant le traitement par des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, sélectifs de la COX-2 ou non, sans symptômes avant-coureurs ni signes dans l'anamnèse. Afin de limiter ce risque, administrer la dose efficace minimale pendant la durée de traitement la plus courte possible.
- +Concernant les inhibiteurs sélectifs de la COX-2, un risque accru de complications thrombotiques cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires a été observé au cours d'études contrôlées par placebo. On ne sait pas encore si ce risque est directement corrélé à la sélectivité pour la COX-1/COX-2 de l'anti-rhumatismal non stéroïdien concerné. Puisque nous ne disposons pas à l'heure actuelle de données d'études cliniques comparables pour le flurbiprofène à une dose maximale et pendant un traitement à long terme, nous ne pouvons pas exclure qu'un tel traitement présente un risque accru similaire. En l'absence de telles données, le flurbiprofène ne doit être administré qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice-risque en cas de coronaropathie cliniquement avérée, de troubles cérébro-vasculaires, de maladie artérielle oblitérante périphérique et chez les patients présentant des facteurs de risque importants (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). En raison de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace minimale pendant la durée de traitement la plus courte possible.
- +Les effets des anti-rhumatismaux non stéroïdiens sur le rein incluent une rétention liquidienne avec œdèmes et/ou une hypertension artérielle. Chez les patients présentant une atteinte de la fonction cardiaque et d'autres conditions prédisposant à une rétention liquidienne, le flurbiprofène ne doit donc être utilisé qu'avec prudence. Il convient aussi d'être prudent pour les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion ainsi qu'en cas de risque accru d'hypovolémie.
-L’utilisation de Froben en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée.
- +L'utilisation de Froben en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée.
-Des cas d’hémorragies gastro-intestinales, d’ulcères ou de perforations potentiellement mortels ont été rapportés en association avec tous les anti-rhumatismaux non stéroïdiens. Ces événements indésirables sont survenus avec ou sans symptômes avant-coureurs et antécédents d’événements gastro-intestinaux, à tout moment du traitement.
-Le risque d’hémorragies gastro-intestinales, d’ulcères et de perforation augmente avec la dose d’anti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent d’ulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre-Indications»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose d’acide acétylsalicylique ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal, il convient d’envisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par exemple misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
- +Des cas d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères ou de perforations potentiellement mortels ont été rapportés en association avec tous les anti-rhumatismaux non stéroïdiens. Ces événements indésirables sont survenus avec ou sans symptômes avant-coureurs et antécédents d'événements gastro-intestinaux, à tout moment du traitement.
- +Le risque d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères et de perforation augmente avec la dose d'anti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent d'ulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre-Indications»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose d'acide acétylsalicylique ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal, il convient d'envisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par exemple misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
-Il convient d’être prudent pour les patients prenant simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d’ulcères ou d’hémorragies, p.ex. corticostéroïdes oraux, anti-coagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de l’agrégation plaquettaire comme l’acide acétylsalicylique (voir «Interactions»).
-En cas de survenue d’hémorragies gastro-intestinales ou d’ulcères chez des patients sous Froben, le traitement doit être interrompu.
-En cas d’antécédents de maladies gastro-intestinales, les anti-rhumatismaux non stéroïdiens doivent être administrés avec prudence et sous surveillance régulière, car ils peuvent aggraver ces troubles (voir «Effets indésirables»).
- +Il convient d'être prudent pour les patients prenant simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d'ulcères ou d'hémorragies, p.ex. corticostéroïdes oraux, anti-coagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire comme l'acide acétylsalicylique (voir «Interactions»).
- +En cas de survenue d'hémorragies gastro-intestinales ou d'ulcères chez des patients sous Froben, le traitement doit être interrompu.
- +En cas d'antécédents de maladies gastro-intestinales, les anti-rhumatismaux non stéroïdiens doivent être administrés avec prudence et sous surveillance régulière, car ils peuvent aggraver ces troubles (voir «Effets indésirables»).
-Les patients présentant un antécédent d’hypertension et/ou d’insuffisance cardiaque décompensée légère à modérée nécessitent une surveillance mesurée et l’administration de conseils, car des accumulations de liquide et des œdèmes ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismaux non stéroïdiens ainsi que par flurbiprofène.
-Des études cliniques et les données épidémiologiques indiquent que certains anti-rhumatismaux non stéroïdiens, en particulier à une dose élevée et dans le cadre d’un traitement prolongé, peuvent être liés à une légère augmentation du risque d’événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus et AVC). On ne sait pas véritablement si le flurbiprofène augmente aussi ce risque.
-Les patients présentant une hypertension non maîtrisée, une insuffisance cardiaque, une maladie cardiaque ischémique, une maladie artérielle obstructive périphérique et/ou des atteintes cérébro-vasculaires ne doivent être traités par flurbiprofène qu’après évaluation soigneuse des risques. Il convient d’être également prudent avant de commencer un traitement prolongé pour les patients présentant des facteurs de risque d’événements cardio-vasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme).
- +Les patients présentant un antécédent d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque décompensée légère à modérée nécessitent une surveillance mesurée et l'administration de conseils, car des accumulations de liquide et des œdèmes ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismaux non stéroïdiens ainsi que par flurbiprofène.
- +Des études cliniques et les données épidémiologiques indiquent que certains anti-rhumatismaux non stéroïdiens, en particulier à une dose élevée et dans le cadre d'un traitement prolongé, peuvent être liés à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (p.ex. infarctus et AVC). On ne sait pas véritablement si le flurbiprofène augmente aussi ce risque.
- +Les patients présentant une hypertension non maîtrisée, une insuffisance cardiaque, une maladie cardiaque ischémique, une maladie artérielle obstructive périphérique et/ou des atteintes cérébro-vasculaires ne doivent être traités par flurbiprofène qu'après évaluation soigneuse des risques. Il convient d'être également prudent avant de commencer un traitement prolongé pour les patients présentant des facteurs de risque d'événements cardio-vasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme).
-Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes d’éruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes d’hypersensibilité, le traitement par Froben doit être interrompu.
- +Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes d'éruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes d'hypersensibilité, le traitement par Froben doit être interrompu.
-Les prostaglandines régulent la perfusion rénale et peuvent mener à une insuffisance rénale. La prudence est donc recommandée pour les patients atteints d’insuffisance rénale, cardiaque, hépatique, car l’utilisation d’anti-rhumatismaux non stéroïdiens peut avoir un impact sur la fonction rénale. La dose doit être aussi basse que possible et administrée pendant une durée la plus courte possible et la fonction rénale doit être surveillée régulièrement. Les patients atteints d’hypovolémie et de déshydratation importante (par exemple après une intervention chirurgicale lourde avec déplacement volumique) doivent être réhydratés avant traitement par flurbiprofène. Les patients traités simultanément par diurétiques et inhibiteurs de l’ECA sont particulièrement en danger. La diurèse doit être dans ces cas soigneusement surveillée avant de commencer le traitement.
- +L'administration d'un anti-rhumatismal non stéroïdien peut entraîner une réduction dose-dépendante de la synthèse de prostaglandines ainsi qu'une insuffisance rénale. Ceci est observé surtout chez les patients présentant une insuffisance rénale, cardiaque ou hépatique, les patients prenant des diurétiques et les patients âgés. Chez ces patients, la dose doit être aussi basse que possible et administrée pendant une durée la plus courte possible et la fonction rénale doit être surveillée régulièrement (voir «Contre-indications»).
- +Les patients atteints d'hypovolémie et de déshydratation importante (par exemple après une intervention chirurgicale lourde avec déplacement volumique) doivent être réhydratés avant traitement par flurbiprofène. Les patients traités simultanément par diurétiques et inhibiteurs de l'ECA sont particulièrement en danger. La diurèse doit être dans ces cas soigneusement surveillée avant de commencer le traitement.
-Le flurbiprofène peut limiter l’agrégation plaquettaire et rallonger le temps de saignement.
-Le flurbiprofène peut masquer les symptômes d’une infection, comme par exemple de la fièvre.
- +Le flurbiprofène peut limiter l'agrégation plaquettaire et rallonger le temps de saignement.
- +Le flurbiprofène peut masquer les symptômes d'une infection, comme par exemple de la fièvre.
-Autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens: L’administration simultanée de plusieurs anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, peut augmenter le risque d’ulcères et d’hémorragies gastro-intestinales en raison de l’effet synergique. L’utilisation simultanée de flurbiprofène et d’autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens doit donc être évitée (voir «Mises en garde et précautions»).
-Acide acétylsalicylique: En raison de l’accroissement possible des effets secondaires, l’administration simultanée d’acide acétylsalicylique et de flurbiprofène, comme d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, n'est pas recommandée.
-Lithium: En cas d'administration simultanée de préparations à base de lithium, il est nécessaire de contrôler les concentrations sériques du lithium (diminution de l’élimination).
-Antihypertenseur:Une diminution de l'effet des diurétiques et des antihypertenseurs est possible.
-
- +Autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens: L'administration simultanée de plusieurs anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, peut augmenter le risque d'ulcères et d'hémorragies gastro-intestinales en raison de l'effet synergique. L'utilisation simultanée de flurbiprofène et d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens doit donc être évitée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Acide acétylsalicylique: En raison de l'accroissement possible des effets secondaires, l'administration simultanée d'acide acétylsalicylique et de flurbiprofène, comme d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, n'est pas recommandée.
- +Lithium: En cas d'administration simultanée de préparations à base de lithium, il est nécessaire de contrôler les concentrations sériques du lithium (diminution de l'élimination).
-Anticoagulants oraux: Le flurbiprofène, comme les autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, peut renforcer l’action des anti-coagulants oraux comme la warfarine ou de l’héparine et donc prolonger le temps de saignement. Le temps de saignement doit être vérifié avant et après le traitement par flurbiprofène et la dose d’anticoagulant doit être adaptée.
-Inhibiteurs de l’agrégation plaquettaire et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine: Risque accru d’hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
-Anti-diabétiques oraux: L’effet des anti-diabétiques oraux (sulfonylurées) peut être renforcé par le flurbiprofène, comme par les autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, ce qui augmente le risque d’hypoglycémie. La glycémie doit être contrôlée régulièrement et la dose d’antidiabétique doit être adaptée.
-Méthotrexate: Le traitement associant le flurbiprofène et le méthotrexate peut accroître la toxicité hématologique par une diminution de la clairance rénale. Il est recommandé de contrôler étroitement la formule sanguine au début d’un traitement associé.
- +Anticoagulants oraux: Le flurbiprofène, comme les autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, peut renforcer l'action des anti-coagulants oraux comme la warfarine ou de l'héparine et donc prolonger le temps de saignement. Le temps de saignement doit être vérifié avant et après le traitement par flurbiprofène et la dose d'anticoagulant doit être adaptée.
- +Inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine: Risque accru d'hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Anti-diabétiques oraux: L'effet des anti-diabétiques oraux (sulfonylurées) peut être renforcé par le flurbiprofène, comme par les autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, ce qui augmente le risque d'hypoglycémie. La glycémie doit être contrôlée régulièrement et la dose d'antidiabétique doit être adaptée.
- +Méthotrexate: Le traitement associant le flurbiprofène et le méthotrexate peut accroître la toxicité hématologique par une diminution de la clairance rénale. Il est recommandé de contrôler étroitement la formule sanguine au début d'un traitement associé.
-Phénytoïne:Aucune donnée n’est disponible concernant les interactions du flurbiprofène avec la phénytoïne.
-Cyclosporine: Lors de l’administration simultanée de cyclosporine et d’anti-rhumatismaux non stéroïdiens, la toxicité de la cyclosporine (fonction rénale, cholestase, paresthésie) peut être augmentée.
-Diurétiques: AINS peuvent diminuer l’effet diurétique. Les diurétiques peuvent augmenter le risque de néphrotoxicité des AINS.
-Mifépristone: Après une prise de mifépristone, il convient d’éviter les AINS pour une durée de 8 à 12 jours, car les AINS peuvent réduire l’action de la mifépristone.
-Antibiotiques à base de quinolone: Des études menées sur des animaux ont montrée que la prise d’AINS peut favoriser le déclenchement de spasmes associés à la quinolone. Les patients qui prennent en même temps de la quinolone et des AINS, peuvent présenter un risque accru de spasmes.
-Tacrolimus: Le risque de néphrotoxicité peut être augmenté en cas de prise simultanée du Tacrolimus et d’AINS.
-Zidovudine: La prise simultanée de la Zidovudine et d’AINS augmente le risque de toxicité hématologique. Chez les hémophiles atteints par le VIH, certaines études indiquent que la prise simultanée de la Zidovudine et d’AINS augmente les risques d’une hémathrose et d’hématomes.
- +Phénytoïne: Aucune donnée n'est disponible concernant les interactions du flurbiprofène avec la phénytoïne.
- +Cyclosporine: Lors de l'administration simultanée de cyclosporine et d'anti-rhumatismaux non stéroïdiens, la toxicité de la cyclosporine (fonction rénale, cholestase, paresthésie) peut être augmentée.
- +Diurétiques, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes de l'angiotensine II:
- +Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent affaiblir les effets des diurétiques et des autres antihypertenseurs. Les diurétiques peuvent accroître le risque de néphrotoxicité associé aux anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
- +Chez les patients dont la fonction rénale est restreinte (p.ex. patients déshydratés ou patients âgés), l'administration d'un inhibiteur de l'ECA ou d'un ARA-II en association avec un inhibiteur de la cyclo-oxygénase peut entraîner une dégradation supplémentaire de la fonction rénale, éventuellement jusqu'à la survenue d'une insuffisance rénale aiguë qui est généralement réversible. Ces interactions doivent être prises en compte chez les patients prenant du flurbiprofène en même temps qu'un inhibiteur de l'ECA ou un ARA-II. Ces associations doivent donc être utilisées avec prudence. Les patients doivent recevoir un apport liquidien suffisant et leur fonction rénale doit être surveillée après le début de la polythérapie et à intervalles réguliers par la suite.
- +Mifépristone: Après une prise de mifépristone, il convient d'éviter les anti-rhumatismaux non stéroïdiens pour une durée de 8 à 12 jours, car les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent réduire l'action de la mifépristone.
- +Antibiotiques à base de quinolone: Des études menées sur des animaux ont montrée que la prise d'anti-rhumatismaux non stéroïdiens peut favoriser le déclenchement de spasmes associés à la quinolone. Les patients qui prennent en même temps de la quinolone et des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, peuvent présenter un risque accru de spasmes.
- +Tacrolimus: Le risque de néphrotoxicité peut être augmenté en cas de prise simultanée du Tacrolimus et d'anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
- +Zidovudine: La prise simultanée de la Zidovudine et d'anti-rhumatismaux non stéroïdiens augmente le risque de toxicité hématologique. Chez les hémophiles atteints par le VIH, certaines études indiquent que la prise simultanée de la Zidovudine et d'anti-rhumatismaux non stéroïdiens augmente les risques d'une hémathrose et d'hématomes.
- +Fertilité
- +L'administration de flurbiprofène peut compromettre la fertilité chez la femme et n'est donc pas recommandée chez les femmes envisageant une grossesse. Chez les femmes ayant des difficultés à entamer une grossesse ou se soumettant à des examens concernant l'infertilité, on envisagera un arrêt du traitement par le flurbiprofène.
-1er et 2e trimestres: Des études menées sur des animaux n’ont montré aucun signe d’effet tératogène; néanmoins, aucune étude clinique contrôlée portant sur des femmes enceintes n’a été réalisée. Il convient donc d’être prudent au cours du 1er et du 2e trimestre de grossesse.
-3e trimestre: L’inhibition de la synthèse de la prostaglandine, pendant le dernier trimestre de la grossesse, peut entraîner une fermeture prématurée du canal artériel et avoir une influence sur l’accouchement (inhibition des contractions utérines). L’apparition des douleurs de l'accouchement peut être retardée, et la durée de celles-ci peut être prolongée. Par ailleurs, le risque de saignements chez la mère et l’enfant est accru. Le flurbiprofène est donc contreindiqué pendant le 3e trimestre de la grossesse.
- +L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une influence négative sur la grossesse et/ou le développement embryo-fœtal. Les données d'études épidémiologiques indiquent un risque accru de fausses couches, de malformations du cœur et de laparoschisis après l'administration d'un inhibiteur des prostaglandines en début de grossesse. On suppose que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement. Il a été constaté dans des expérimentations animales que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines est associée à un risque accru de perte de l'embryon avant ou après l'implantation ainsi qu'à une augmentation de la mortalité embryo-fœtale. On a également rapporté des incidences accrues de différentes malformations, y compris cardio-vasculaires, chez des animaux exposés à un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase d'organogenèse.
- +Le flurbiprofène ne doit pas être administré pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Si le flurbiprofène est utilisé chez une femme envisageant une grossesse ou se trouvant dans le premier ou deuxième trimestre de la grossesse, la dose doit être aussi faible que possible et la durée du traitement doit être aussi courte que possible.
- +Le flurbiprofène est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
- +·Exposer le fœtus aux risques suivants:
- +·Toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension artérielle pulmonaire)
- +·Insuffisance rénale pouvant progresser jusqu'à l'insuffisance rénale aiguë avec oligohydramnios
- +·Exposer la mère et l'enfant aux risques suivants:
- +·Augmentation éventuelle du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant se manifester même à de très faibles doses
- +·Inhibition des contractions utérines, retardant ou ralentissant l'accouchement
-Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens passent dans le lait maternel. Par prudence, le flurbiprofène ne doit donc pas être pris pendant l’allaitement. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être sevré.
- +Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens passent dans le lait maternel. Par prudence, le flurbiprofène ne doit donc pas être pris pendant l'allaitement. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être sevré.
-Le flurbiprofène peut parfois provoquer des vertiges, et rarement de la fatigue, et peut donc avoir un impact sur l'aptitude à la conduite ou la capacité à utiliser des machines. Cet effet est majoré en cas d’ingestion concomitante d’alcool.
- +Comme les autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens, le flurbiprofène peut provoquer des vertiges ainsi que de la fatigue et des troubles visuels, et peut donc avoir un impact sur l'aptitude à la conduite ou la capacité à utiliser des machines. Cet effet est majoré en cas d'ingestion concomitante d'alcool.
-Les effets secondaires les plus fréquemment observés avec les anti-rhumatismaux non stéroïdiens affectent l’appareil digestif. Des ulcères gastro-duodénaux, des perforations ou des hémorragies, parfois mortels, peuvent survenir, en particulier chez les patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipations, troubles de la digestion (dyspepsie), douleurs abdominales, selles noires, hématémèses, stomatites ulcéreuses, aggravations de colite et de maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportés après utilisation. Des cas de gastrite ont été observés, plus rarement.
-Des œdèmes, ainsi que des cas d’hypertension et d'insuffisance cardiaque ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismal non stéroïdien.
-Les effets indésirables suivants, classés par classes d’organe, ont été observés sous traitement par flurbiprofène. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10) fréquents (<1/10, ≥1/100); occasionnels (<1/100, ≥1/1000); rares (<1/1000, ≥1/10'000); très rares (<1/10'000).
-Troubles du système sanguin et du système lymphatique
-Fréquemment: inhibition de l’agrégation plaquettaire, prolongement du temps de saignement.
-Très rarement: thrombocytopénie, anémie aplastique, agranulocytose.
-Troubles de l’immunité
-Rarement: réactions d’hypersensibilité cutanée ou respiratoire, tels asthme, bronchospasme, œdèmes angioneurotiques, dyspnée (en particulier chez les patients ayant des antécédents d’asthme, d’urticaire chronique ou présentant une hypersensibilité à l’acide acétylsalicylique et à d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens ou analgésiques).
-Troubles psychiatriques
-Rarement:dépression.
-Troubles du système nerveux
- +Les effets secondaires les plus fréquemment observés avec les anti-rhumatismaux non stéroïdiens affectent l'appareil digestif. Des ulcères gastro-duodénaux, des perforations ou des hémorragies, parfois mortels, peuvent survenir, en particulier chez les patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipations, troubles de la digestion (dyspepsie), douleurs abdominales, selles noires, hématémèses, stomatites ulcéreuses, aggravations de colite et de maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportés après utilisation. Des cas de gastrite ont été observés, plus rarement.
- +Des œdèmes, ainsi que des cas d'hypertension et d'insuffisance cardiaque ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismal non stéroïdien.
- +Les données cliniques et épidémiologiques suggèrent que l'utilisation d'un anti-rhumatismal non stéroïdien, surtout dans le cas de doses élevées administrées pendant une période prolongée, est associée à un risque accru de complications thromboemboliques (par exemple infarctus du myocarde ou AVC) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Les effets indésirables suivants, classés par classes d'organe, ont été observés sous traitement par flurbiprofène. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10) fréquents (<1/10, ≥1/100); occasionnels (<1/100, ≥1/1000); rares (<1/1000, ≥1/10'000); très rares (<1/10'000).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Fréquemment: inhibition de l'agrégation plaquettaire.
- +Occasionnellement: anémie.
- +Très rarement: thrombocytopénie, anémie aplastique, agranulocytose, leucopénie, anémie hémolytique, neutropénie.
- +Affections du système immunitaire
- +Occasionnellement: réactions d'hypersensibilité.
- +Rarement: réaction anaphylactique.
- +Affections psychiatriques
- +Rarement: dépression, états confusionnels.
- +Très rarement: hallucinations.
- +Affections du système nerveux
-Rarement: fatigue, troubles du sommeil.
-Troubles fonctionnels auditifs et de l’oreille interne
-Occasionnellement: bourdonnement d’oreille.
-Troubles gastro-intestinaux
-Fréquemment: douleurs abdominales, dyspepsie, pyrosis, nausée, vomissements, diarrhée, méléna, hématémèse, hémorragies gastro-intestinales.
-Rarement: ulcère peptique, perforation, constipation, gastrite, ulcère buccal, hémorragie ulcéreuse.
-Très rarement: ictère cholestatique, pancréatite.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Occasionnellement: réactions cutanées comme érythème, prurit, urticaire, purpura.
-Très rarement (<0,01%): Réactions cutanées bulleuses, p.ex. syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell)
-Troubles fonctionnels du rein et des voies urinaires excrétrices
-Fréquemment: rétention liquidienne, œdèmes périphériques.
-Rarement: néphropathie toxique, insuffisance rénale aiguë, néphrite interstitielle, syndrome néphrotique.
- +Occasionnellement: paresthésie.
- +Rarement: somnolence, troubles du sommeil.
- +Très rarement: névrite optique, AVC.
- +Affections oculaires
- +Occasionnellement: troubles visuels.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnellement: bourdonnement d'oreille, vertige.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnellement: asthme, dyspnée (surtout chez les patients asthmatiques ou ayant des antécédents d'urticaire chronique ou d'hypersensibilité à l'acide acétylsalicylique ou à d'autres analgésiques/anti-inflammatoires non stéroïdiens).
- +Rarement: bronchospasme.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquemment: douleurs abdominales, dyspepsie, pyrosis, nausée, vomissements, diarrhée, ballonnements, constipation, méléna, hématémèse, hémorragies gastro-intestinales.
- +Occasionnellement: gastrite, ulcérations du système digestif (duodénum, estomac, bouche), perforations gastro-intestinales.
- +Rarement: hémorragie ulcéreuse.
- +Très rarement: pancréatite, colite, maladie de Crohn.
- +Affections hépatobiliaires
- +Très rarement: jaunisse, ictère cholestatique.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnellement: réactions cutanées comme érythème, prurit, urticaire, purpura, angiœdème, réaction de photosensibilité.
- +Très rarement (<0,01%): Réactions cutanées bulleuses, p.ex. syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), érythème polymorphe.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Fréquemment: rétention liquidienne, œdèmes périphériques, œdèmes.
- +Rarement: néphropathie toxique, insuffisance rénale, insuffisance rénale aiguë (voir «Mises en garde et précautions»), néphrite interstitielle, syndrome néphrotique.
- +Très rarement: glomérulonéphrite.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquemment: fatigue, malaise.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnellement: insuffisance cardiaque.
- +Affections vasculaires
- +Occasionnellement: hypertension artérielle.
- +Investigations
- +Fréquemment: résultats anormaux à l'exploration fonctionnelle hépatique, temps de saignement accru/prolongé.
- +
-Les symptômes d’un surdosage peuvent inclure des nausées, vomissements et irritations gastro-intestinales.
- +Les symptômes d'un surdosage peuvent inclure des nausées, vomissements et irritations gastro-intestinales.
-Code ATC:M01AE09
-Mécanisme d’action
- +Code ATC: M01AE09
- +Mécanisme d'action
-Au cours des études précliniques, le flurbiprofène n’a pas montré d’effet carcinogène ni mutagène. Les études de reproduction n’ont montré aucun indice de propriétés tératogènes ni influençant la fertilité.
- +Le flurbiprofène n'a pas été associé à des effets carcinogènes dans les études précliniques.
- +On ne dispose pas de données concernant la génotoxicité.
- +Les études sur la toxicologie de la reproduction n'ont fourni aucun indice de propriétés tératogènes (souris, rat et lapin) ou influençant la fertilité. Des effets nuisibles ont cependant été observés chez le rat, incluant une plus longue durée de gestation avec saignements utérins, une mortalité accrue des femelles lors de la mise bas, une incidence accrue de mort-nés et une survie réduite de la progéniture.
-N’utiliser le médicament que jusqu’à la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «EXP».
- +N'utiliser le médicament que jusqu'à la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «EXP».
-Conserver les médicaments à température ambiante (15–25 °C), au sec et à l'abri de la lumière.
- +Conserver les médicaments à température ambiante (15-25 °C), au sec et à l'abri de la lumière.
-BGP Products GmbH, 6341 Baar.
- +BGP Products SARL, 6341 Baar.
-Décembre 2012.
-
- +Septembre 2015.
- +[Version 106 F]
- +
|
|