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Accueil - Information professionnelle sur Tramal - Changements - 11.01.2018
34 Changements de l'information professionelle Tramal
  • -Voir rubrique « Propriétés/Effets », enfants et adolescents.
  • +Voir rubrique «Propriétés/Effets», enfants et adolescents.
  • -Voir rubrique « Propriétés/Effets », enfants et adolescents.
  • +Voir rubrique «Propriétés/Effets», enfants et adolescents.
  • -Voir rubrique « Propriétés/Effets », enfants et adolescents.
  • +Voir rubrique «Propriétés/Effets», enfants et adolescents.
  • -8 pressions 100 mg 40 gouttes
  • +8 pressions 100 mg 40 gouttess
  • -Tramal devra être utilisé qu’avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d’états accompagnés d’une élévation de la pression intracrânienne. Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotoninenoradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu’en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables», Troubles du système nerveux).
  • +Tramal devra être utilisé qu’avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d’états accompagnés d’une élévation de la pression intracrânienne. Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotoninenoradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu’en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux»).
  • -Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique « Effets indésirables »). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes.
  • +Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes.
  • -Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l’arrêt soudain d’un traitement de Tramal. (voir rubrique « Effet indésirables »). L’expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • +Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l’arrêt soudain d’un traitement de Tramal. (voir rubrique «Effet indésirables»). L’expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • -Ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique « Contre-indications »). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l’administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d’interaction médicamenteuse n’est pas exclu lors de l’association d’un inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • +Ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l’administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d’interaction médicamenteuse n’est pas exclu lors de l’association d’un inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • -Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d’autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol).
  • -L’utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique « Contre-indications »), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d’un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • +Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d’autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol).
  • +L’utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d’un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • -Les patients doit être soigneusement surveillés en cas d’utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l’INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • -D’autres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et l’érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L’importance clinique d’une telle interaction n’a pas fait l’objet d’études (voir aussi rubrique « effets indésirables »).
  • +Les patients doivent être soigneusement surveillés en cas d’utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l’INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • +D’autres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et l’érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L’importance clinique d’une telle interaction n’a pas fait l’objet d’études (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • -Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées maternotoxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique « Données précliniques »).
  • +Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées maternotoxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»).
  • -InvestigationsRares (0,01–0,1%): augmentation de la pression artérielle.
  • +Investigations
  • +Rares (0,01–0,1%): augmentation de la pression artérielle.
  • -Les effets d’une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) - à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours.
  • -A des doses allant jusqu'à 2mg/kg en dose unique ou 8mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique « Posologie et mode d'administration »).
  • +Les effets d’une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours.
  • +A des doses allant jusqu'à 2mg/kg en dose unique ou 8mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique «Posologie et mode d'administration»).
  • -Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d’un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat n’a montré aucun indice en faveur d’une incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d’adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg / kg de façon dose dépendante, mais l’augmentation n’était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses maternotoxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3 - 15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtal. Fertilité et développement des jeunes n’ont pas été affectés. On n’a pas observé d’altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • +Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d’un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat n’a montré aucun indice en faveur d’une incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d’adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais l’augmentation n’était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses maternotoxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtal. Fertilité et développement des jeunes n’ont pas été affectés. On n’a pas observé d’altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • -diazépam, diclofénac, flunitrazepam, glyceroltrinitrat, indométacine, midazolam, phénylbutazone.
  • +·diazépam,
  • +·diclofénac,
  • +·flunitrazepam,
  • +·glyceroltrinitrat,
  • +·indométacine,
  • +·midazolam,
  • +·phénylbutazone.
  • -2) Calcul du volume (ml) de la solution diluée àadministrer: partie de la dose totale (mg) par une concentration convenable de la solution diluée (mg/ml; cf. tableau).
  • +2) Calcul du volume (ml) de la solution diluée à administrer: partie de la dose totale (mg) par une concentration convenable de la solution diluée (mg/ml; cf. tableau).
  • -Tramal Suppositoires : emballages à 10 suppositoires [A]
  • +Tramal Suppositoires : emballages à 10 suppositoires [A]
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