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Accueil - Information professionnelle sur Vicks Medinait - Changements - 04.07.2019
59 Changements de l'information professionelle Vicks Medinait
  • -La sécurité et l'efficacité n'ont pas été montrées chez l'enfant et l'adolescent de moins de 16 ans.
  • +La sécurité et lefficacité nont pas été montrées chez lenfant et ladolescent de moins de 16 ans.
  • -·hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées, à l'hydrobromure de dextrométorphane, à l'hydrogénosuccinate de doxylamine, au sulfate d'éphédrine ou à l'un des constituants selon la composition,
  • +·hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées, à lhydrobromure de dextrométorphane, à lhydrogénosuccinate de doxylamine, au sulfate déphédrine ou à l'un des constituants selon la composition,
  • -·anémie hémolytique, traitement simultané avec un IMAO ou avec un médicament sérotoninergique (p.ex. certains antidépresseurs et anorexigènes),
  • +·anémie hémolytique, traitement simultané avec un IMAO ou avec un médicament sérotoninergique (p. ex. certains antidépresseurs et anorexigènes),
  • -·intolérance au fructose, p.ex. en cas de déficit héréditaire en fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation métabolique du saccharose, l'édulcorant contenu dans le médicament, entraîne la formation de fructose).
  • +·intolérance au fructose, p. ex. en cas de déficit héréditaire en fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation métabolique du saccharose, l'édulcorant contenu dans le médicament, entraîne la formation de fructose).
  • -Dans les cas suivants, une consultation médicale est nécessaire avant l'instauration du traitement:
  • +Dans les cas suivants, une consultation médicale est nécessaire avant linstauration du traitement:
  • -·Les posologies plus élevées que celles recommandées comportent un risque de lésion hépatique très sévère. Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique peuvent normalement s'observer au bout de 1 à 2 jours suivant un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale peut être observée normalement au bout de 3 à 4 jours. Le traitement par un antidote doit être instauré aussi rapidement que possible (cf. «Surdosage»).
  • -·Le paracétamol peut déclencher des réactions cutanées sévères telles que pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et nécrolyse épidermique toxique (NET) qui peuvent avoir une issue fatale. Les patients doivent être informés des symptômes de réactions cutanées sévères et l'utilisation du médicament doit être arrêtée lors de la première survenue de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • +·Les posologies plus élevées que celles recommandées comportent un risque de lésion hépatique très sévère. Les symptômes cliniques dune lésion hépatique peuvent normalement sobserver au bout de 1 à 2 jours suivant un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale peut être observée normalement au bout de 3 à 4 jours. Le traitement par un antidote doit être instauré aussi rapidement que possible (cf. «Surdosage»).
  • +·Le paracétamol peut déclencher des réactions cutanées sévères telles que pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et nécrolyse épidermique toxique (NET) qui peuvent avoir une issue fatale. Les patients doivent être informés des symptômes de réactions cutanées sévères et lutilisation du médicament doit être arrêtée lors de la première survenue de réactions cutanées ou dautres signes dhypersensibilité.
  • -·Chez les patients présentant un statut du glutathion épuisé, comme p.ex. en cas de septicémie, l'utilisation de paracétamol peut augmenter le risque d'acidose métabolique.
  • +·Chez les patients présentant un statut du glutathion épuisé, comme p. ex. en cas de septicémie, lutilisation de paracétamol peut augmenter le risque dacidose métabolique.
  • -Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée d'inhibiteurs de la CYP2D6 et d'autres médicaments métabolisés par la même isoenzyme peut conduire à une augmentation des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps d'élimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs du recaptage de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), bêtabloquants (p.ex. métoprolol, timolol), antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier l'astémizole, la terfénadine) (cf. «Contre-indications»). L'association avec d'autres opiacés n'est pas conseillée.
  • +Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée d'inhibiteurs de la CYP2D6 et d'autres médicaments métabolisés par la même isoenzyme peut conduire à une augmentation des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps d'élimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs du recaptage de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), bêtabloquants (p. ex. métoprolol, timolol), antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier l'astémizole, la terfénadine) (cf.«Contre-indications»). L'association avec d'autres opiacés n'est pas conseillée.
  • -Les substances qui, par induction des enzymes hépatiques, activent le métabolisme du paracétamol et/ou entraînent une déplétion du taux de glutathion dans le foie, augmentent la toxicité hépatique du paracétamol (ex.: phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, hydrazine d'acide nicotinique (isoniazide, IHN), rifampicine, doxorubicine, alcool).
  • +Les substances qui, par induction des enzymes hépatiques, activent le métabolisme du paracétamol et/ou entraînent une déplétion du taux de glutathion dans le foie, augmentent la toxicité hépatique du paracétamol (ex.: phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, hydrazine dacide nicotinique (isoniazide, IHN), rifampicine, doxorubicine, alcool).
  • -Le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol avec l'acide glucuronique et entraîne ainsi une réduction de la clairance du paracétamol. Lors de la prise concomitante, la dose de paracétamol doit être réduite.
  • +Le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol avec lacide glucuronique et entraîne ainsi une réduction de la clairance du paracétamol. Lors de la prise concomitante, la dose de paracétamol doit être réduite.
  • -L'effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +Leffet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas dutilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles nont pas deffet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • -fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10'000, <1/1000; très rares <1/10'000:
  • +fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10'000, <1/1000; très rares <1/10'000
  • -Paracétamol:
  • -Rares: Thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation d'épanchements sanguins et d'hémorragies), leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, neutropénie, anémie hémolytique.
  • -Succinate de doxylamine:
  • -Très rares: Thrombocytopénie allergique, leucopénie, anémie hémolytique ou agranulocytose, neutropénie, pancytopénie.
  • +Rares: Agranulocytose, thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation dépanchements sanguins et dhémorragies), anémie hémolytique, leucopénie, neutropénie, pancytopénie.
  • -Paracétamol:
  • -Rares: Anaphylaxie, réactions allergiques telles qu'œdème de Quincke (angio-œdème), détresse respiratoire, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de la pression artérielle allant jusqu'au choc.
  • -Une petite partie (5 à 10%) des patients atteints d'asthme induit par l'acide acétylsalicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide acétylsalicylique peuvent réagir de la même manière au paracétamol (asthme déclenché par les analgésiques).
  • -Succinate de doxylamine:
  • -Rares: réactions d'hypersensibilité sous forme de: irritations cutanées, bronchospasmes, urticaire, sensibilité à la lumière, asthme, gonflements au niveau du visage, choc anaphylactique.
  • -Dextrométhorphane:
  • -Rares: Réaction d'hypersensibilité sous forme d'irritations cutanées.
  • +Une petite partie (5 à 10%) des patients atteints dasthme induit par lacide acétylsalicylique ou dautres manifestations dune intolérance à lacide acétylsalicylique peuvent réagir de la même manière au paracétamol (asthme déclenché par les analgésiques).
  • +Rares: réactions allergiques telles qu´asthme, détresse respiratoire, bronchospasme, gonflements au niveau du visage, Anaphylaxie, qu’œdème de Quincke (angioœdème), accès de sueur, nausées, choc anaphylactique, irritations cutanées, sensibilité à la lumière, urticaire, chute de la pression artérielle allant jusqu’au choc.
  • -Succinate de doxylamine:
  • -Dextrométhorphane:
  • -Rares: sédation, obnubilation.
  • -Ephédrine:
  • -Rarement sous forme de réactions paradoxales: états d'excitation, agitation, confusion, insomnie, céphalées, hallucinations.
  • +Rares: hallucinations, réactions paradoxales: états d'excitation, insomnie, étourdissement, agitation, confusion.
  • -Ephédrine:
  • -Rares: Tachycardie, arythmie, modifications de l'ECG, augmentation de la pression artérielle.
  • -Succinate de doxylamine:
  • -Rares: chute de la pression artérielle.
  • +Rares: Tachycardie, arythmie, modifications de l'ECG, augmentation de la pression artérielle, chute de la pression artérielle, palpitations.
  • -Ephédrine:
  • -Fréquents: Nausées, vomissements, inappétence.
  • -Succinate de doxylamine:
  • -Rares: nausées, vomissements, constipation, irritations gastriques, diarrhée, sécheresse buccale, reflux, douleurs abdominales.
  • -Dextrométhorphane:
  • -Rares: nausées, vomissements, constipation, irritations gastriques, diarrhée.
  • +Rares: douleurs abdominales, diarrhée, vomissements, irritations gastriques, constipation, reflux, sécheresse buccale.
  • -Paracétamol
  • -Paracétamol:
  • -Très rares: Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ).
  • -Dextrométorphane:
  • -Rares: Réactions d'hypersensibilité telles que rougeurs cutanées ou urticaire.
  • +Rares: Réactions d’hypersensibilité.
  • +Très rares: Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ)..
  • -Succinate de doxylamine et éphédrine:
  • -Rares: Troubles mictionnels.
  • +Rares: Troubles mictionnels. L'hypertrophie de la prostate peut être un facteur prédisposant.
  • -En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en l'absence de symptômes.
  • +En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en labsence de symptômes.
  • -Après prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte (chez les patients prédisposés comme p.ex. les patients ayant une consommation d'alcool accrue ou une réserve de glutathion diminuée en cas de carence nutritionnelle, déjà à de faibles doses), on observe des symptômes d'intoxication aigus au niveau des cellules du foie et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • -Des concentrations plasmatiques >200 µg/ml au bout de 4 h, >100 µg/ml au bout de 8 h, >50 µg/ml au bout de 12 h et >30 µg/ml au bout de 15 h entraînent des lésions hépatiques à l'issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • -Les premiers signes de symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • +Après prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez ladulte (chez les patients prédisposés comme p. ex. les patients ayant une consommation dalcool accrue ou une réserve de glutathion diminuée en cas de carence nutritionnelle, déjà à de faibles doses), on observe des symptômes dintoxication aigus au niveau des cellules du foie et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • +Des concentrations plasmatiques > 200 µg/ml au bout de 4 h, > 100 µg/ml au bout de 8 h, > 50 µg/ml au bout de 12 h et > 30 µg/ml au bout de 15 h entraînent des lésions hépatiques à lissue fatale par coma hépatique. Lhépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • +Les premiers signes de symptômes cliniques dune lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • -Un traitement efficace devrait déjà être instauré immédiatement en cas de suspicion d'une intoxication et comprendre les mesures suivantes:
  • +Un traitement efficace devrait déjà être instauré immédiatement en cas de suspicion dune intoxication et comprendre les mesures suivantes:
  • -·Administration par voie orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations où l'administration de l'antidote par voie orale n'est pas ou n'est plus possible (p.ex. après de forts vomissements, conscience altérée), l'administration peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 h. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 h.
  • +·Administration par voie orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations où ladministration de lantidote par voie orale nest pas ou nest plus possible (p. ex. après de forts vomissements, conscience altérée), ladministration peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 h. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 h.
  • -Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme d'action n'est pas complètement élucidé. En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus. Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influe ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme daction nest pas complètement élucidé. En ce qui concerne leffet analgésique, il a été démontré que linhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus. Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influe ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • - Paracétamol Hydrobromure de dextrométhorphane
  • + Paracétamol Hydrobromure de dextrométhorphane
  • -Taux plasmatique maximal 2–3 heures
  • +Taux plasmatique maximal 2–3 heures
  • - Succinate de doxylamine Sulfate d'éphédrine
  • + Succinate de doxylamine Sulfate d'éphédrine
  • -Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu'aucun effet génotoxique n'apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeursseuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • +Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe quaucun effet génotoxique napparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeursseuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez lanimal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusquà 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • -Les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène sur les animaux traités par le paracétamol.
  • +Les études toxicologiques nont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène sur les animaux traités par le paracétamol.
  • -Numéro de version interne: 4.3
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