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Accueil - Information professionnelle sur Vicks Medinait - Changements - 24.01.2024
106 Changements de l'information professionelle Vicks Medinait
  • -Principes actifs: Dextromethorphani hydrobromidum, Doxylamini hydrogenosuccinas, Ephedrini sulfas, Paracetamolum.
  • -Excipients: Ethanolum 15% Vol., Saccharum, Aromatica, Conserv.: E 211, Color.: E 104, E 132, Excip. ad solutionem.
  • -Avis aux diabétiques: une dose (= 30 ml) contient 140 kJ, correspondant à 0,82 unité pain; teneur en sucre: 8,25 g.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -30 ml de sirop contiennent: 15 mg d'hydrobromure de dextrométhorphane, 7,5 mg de succinate de doxylamine, 8 mg de sulfate d'éphédrine et 600 mg de paracétamol.
  • +Principes actifs
  • +Dextromethorphani hydrobromidum, Doxylamini hydrogenosuccinas, Ephedrini sulfas, Paracetamolum.
  • +Excipients
  • +Ethanolum 15 % Vol., Saccharum, Aromatica, Conserv.: E 211, Color.: E 104, E 132, Excip. ad solutionem.
  • +Avis aux diabétiques: une dose (= 30 ml) contient 140 kJ, correspondant à 0.82 unité pain; teneur en sucre: 8.25 g.
  • -Soulagement des symptômes de rhume et de refroidissement ainsi que d'infections grippales.
  • +Soulagement des symptômes de rhume et de refroidissement ainsi que dinfections grippales.
  • -Pour éviter tout risque de surdosage, il faut s'assurer que d'autres médicaments administrés de façon simultanée ne contiennent pas de paracétamol.
  • +Pour éviter tout risque de surdosage, il faut sassurer que dautres médicaments administrés de façon simultanée ne contiennent pas de paracétamol.
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • -Enfants et adolescents
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Enfants et adolescents:
  • -Ce médicament n'est pas destiné aux enfants et aux adolescents de moins de 18 ans, aux alcooliques, aux épileptiques, aux personnes présentant des lésions cérébrales, aux femmes enceintes et aux femmes qui allaitent.
  • +Ce médicament nest pas destiné aux enfants et aux adolescents de moins de 18 ans, aux alcooliques, aux épileptiques, aux personnes présentant des lésions cérébrales, aux femmes enceintes et aux femmes qui allaitent.
  • -·glaucome par fermeture d'angle,
  • -·hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées, à l’hydrobromure de dextrométorphane, à l’hydrogénosuccinate de doxylamine, au sulfate d’éphédrine ou à l'un des constituants selon la composition,
  • -·troubles de la fonction hépatique sévères (cirrhose hépatique et ascite) / hépatite aiguë ou affection hépatique active décompensée,
  • -·troubles de la fonction rénale,
  • -·anémie hémolytique, traitement simultané avec un IMAO ou avec un médicament sérotoninergique (p. ex. certains antidépresseurs et anorexigènes),
  • -·hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert),
  • -·intolérance au fructose, p. ex. en cas de déficit héréditaire en fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation métabolique du saccharose, l'édulcorant contenu dans le médicament, entraîne la formation de fructose),
  • -·épilepsie,
  • -·maladie coronarienne grave,
  • -·hypertonie sévère.
  • +·glaucome par fermeture dangle;
  • +·hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées, à l’hydrobromure de dextrométorphane, à l’hydrogénosuccinate de doxylamine, au sulfate d’éphédrine ou à lun des excipients selon la composition;
  • +·troubles de la fonction hépatique sévères (cirrhose hépatique et ascite) / hépatite aiguë ou affection hépatique active décompensée;
  • +·troubles de la fonction rénale;
  • +·anémie hémolytique;
  • +·traitement simultané par un IMAO ou par un médicament sérotoninergique (p. ex. certains antidépresseurs et anorexigènes) ou dans les 14 jours après l’arrêt d’un tel traitement;
  • +·hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert);
  • +·intolérance au fructose, p. ex. en cas de déficit héréditaire en fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation métabolique du saccharose, lédulcorant contenu dans le médicament, entraîne la formation de fructose);
  • +·épilepsie;
  • +·maladie coronarienne grave;
  • +·hypertension sévère.
  • -·insuffisance hépatique
  • -·déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique)
  • -·utilisation concomitante de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou médicaments inducteurs enzymatiques
  • -·Les posologies plus élevées que celles recommandées comportent un risque de lésion hépatique très sévère. Les symptômes cliniques d’une lésion hépatique peuvent normalement s’observer au bout de 1 à 2 jours suivant un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale peut être observée normalement au bout de 3 à 4 jours. Le traitement par un antidote doit être instauré aussi rapidement que possible (cf. «Surdosage»).
  • -·Le paracétamol peut déclencher des réactions cutanées sévères telles que pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et nécrolyse épidermique toxique (NET) qui peuvent avoir une issue fatale. Les patients doivent être informés des symptômes de réactions cutanées sévères et l’utilisation du médicament doit être arrêtée lors de la première survenue de réactions cutanées ou d’autres signes d’hypersensibilité.
  • -·La prudence est de rigueur en cas de troubles neurologiques, d'hypertension, d'affections cardiaques, de diabète, de maladies thyroïdiennes, de déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase, d'hypertrophie prostatique, d'asthme, de bronchopneumopathie chronique obstructive et autres états s'accompagnant d'une insuffisance respiratoire ou d'une augmentation de production des sécrétions bronchiques, ainsi que chez les patients allergiques à l'un des composants.
  • -·La prudence est de mise en cas de consommation excessive d'alcool. L'alcool peut augmenter l'hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence nutritionnelle concomitante. Dans de tels cas, même une dose thérapeutique de paracétamol peut entraîner une atteinte hépatique.
  • -·Il convient de rendre le patient attentif à ne pas prendre régulièrement VICKS MediNait à long terme. Les antitussifs ne doivent être utilisés que pendant de courtes périodes en l'absence d'investigations à la recherche de l'origine de la toux. Il est indiqué dans l'information destinée aux patients que si les symptômes se prolongent au-delà de 3 jours, sans qu'une nette amélioration ne se manifeste, une nouvelle consultation chez le médecin s'impose.
  • -·La prise prolongée d'antalgiques, en particulier en cas d'association avec plusieurs principes actifs antalgiques, peut entraîner des lésions rénales durables avec risque de défaillance rénale (néphropathie aux analgésiques).
  • -·Il faut indiquer au patient que lors d'une prise chronique d'analgésiques, des céphalées peuvent survenir qui peuvent conduire à une nouvelle prise et ainsi à l'entretien des céphalées (céphalées aux analgésiques).
  • -·Chez les patients présentant un statut du glutathion épuisé, comme p. ex. en cas de septicémie, l’utilisation de paracétamol peut augmenter le risque d’acidose métabolique.
  • -·Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée d'inhibiteurs de la CYP2D6 et d'autres médicaments métabolisés par la même isoenzyme peut conduire à une augmentation des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps d'élimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs du recaptage de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), bêtabloquants (p. ex. métoprolol, timolol), antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier l'astémizole, la terfénadine) (cf.«Contre-indications»). L'association avec d'autres opiacés est à éviter. Il existe donc un risque particulier d'augmentation des effets secondaires et des interactions chez les patients génétiquement prédisposés (CYP2D6 "métaboliseur lent" d'environ 15% de la population).
  • -·Le dextrométhorphane ne doit pas être pris avec des dosages plus élevés ou pendant une durée plus longue que recommandées, car l’abus comporte un risque de dépendance psychique et d’effets indésirables importants au niveau du système nerveux central.
  • -·Des cas d’abus de dextrométhorphane ont été signalés. La prudence est particulièrement recommandée chez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que chez les patients ayant des antécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives.
  • -·En surplus, le dextrométhorphane a un potentiel de dépendance. En cas d’utilisation prolongée, une tolérance avec surdosage peut se développer ainsi qu’une dépendance psychique et physique.
  • -·Syndrome sérotoninergique: Des effets sérotoninergiques, y compris l’apparition d’un syndrome sérotoninergique potentiellement mortel, ont été signalés pour le dextrométhorphane et l’utilisation concomitante d’agents sérotoninergiques comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), qui affectent le métabolisme de la sérotonine (notamment les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)) et des inhibiteurs du CYP-2D6. Le syndrome sérotoninergique peut inclure des changements dans l’état mental, une instabilité autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux. Si l’on soupçonne un syndrome sérotoninergique, il faut interrompre le traitement par Vicks MediNait, sirop.
  • -·Chez les enfants, des effets indésirables graves, y compris des troubles neurologiques, peuvent survenir en cas de surdosage.
  • +·insuffisance hépatique;
  • +·déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique);
  • +·utilisation concomitante de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou médicaments inducteurs des enzymes hépatiques;
  • +·les posologies plus élevées que celles recommandées comportent un risque de lésion hépatique très sévère. Les symptômes cliniques d’une lésion hépatique peuvent normalement s’observer au bout de 1 à 2 jours suivant un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale peut être observée normalement au bout de 3 à 4 jours. Le traitement par un antidote doit être instauré aussi rapidement que possible (cf. «Surdosage»).
  • +·le paracétamol peut déclencher des réactions cutanées sévères telles que pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et nécrolyse épidermique toxique (NET) qui peuvent avoir une issue fatale. Les patients doivent être informés des symptômes de réactions cutanées sévères et l’utilisation du médicament doit être arrêtée lors de la première survenue de réactions cutanées ou d’autres signes d’hypersensibilité;
  • +·la prudence est de rigueur en cas de troubles neurologiques, dhypertension, daffections cardiaques, de diabète, de maladies thyroïdiennes, de déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase, dhypertrophie prostatique, dasthme, de bronchopneumopathie chronique obstructive et autres états saccompagnant dune insuffisance respiratoire ou dune augmentation de production des sécrétions bronchiques, ainsi que chez les patients allergiques à lun des composants;
  • +·la prudence est de mise en cas de consommation excessive dalcool. Lalcool peut augmenter lhépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence nutritionnelle concomitante. Dans de tels cas, même une dose thérapeutique de paracétamol peut entraîner une atteinte hépatique;
  • +·il convient de rendre le patient attentif à ne pas prendre régulièrement VICKS MediNait à long terme. Les antitussifs ne doivent être utilisés que pendant de courtes périodes en labsence dinvestigations à la recherche de lorigine de la toux. Il est indiqué dans linformation destinée aux patients que si les symptômes se prolongent au-delà de 3 jours sans quune nette amélioration ne se manifeste, une nouvelle consultation chez le médecin simpose;
  • +·la prise prolongée dantalgiques, en particulier en cas dassociation avec plusieurs principes actifs antalgiques, peut entraîner des lésions rénales durables avec risque de défaillance rénale (néphropathie aux analgésiques);
  • +·il faut indiquer au patient que lors dune prise chronique danalgésiques, des céphalées pouvant conduire à une nouvelle prise et ainsi à lentretien des céphalées (céphalées aux analgésiques) sont susceptibles de survenir;
  • +·chez les patients présentant un épuisement du glutathion, comme p. ex. en cas de septicémie, l’utilisation de paracétamol peut augmenter le risque d’acidose métabolique;
  • +·le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée dinhibiteurs de la CYP2D6 et dautres médicaments métabolisés par la même isoenzyme peut conduire à une augmentation réciproque des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps délimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), les bêtabloquants (p. ex. métoprolol, timolol), les antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier lastémizole, la terfénadine) (cf.«Contre-indications»). Lassociation avec dautres opiacés est à éviter. Il existe donc un risque particulier daugmentation des effets secondaires et des interactions chez les patients génétiquement prédisposés (CYP2D6 «métaboliseurs lents» chez environ 15 % de la population);
  • +·le dextrométhorphane ne doit pas être pris avec des dosages plus élevés ou pendant une durée plus longue que recommandés, car l’abus comporte un risque de dépendance psychique et d’effets indésirables importants au niveau du système nerveux central;
  • +·des cas d’abus de dextrométhorphane ont été signalés. La prudence est particulièrement recommandée chez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que chez les patients ayant des antécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives;
  • +·en surplus, le dextrométhorphane a un potentiel de dépendance. En cas d’utilisation prolongée, une tolérance avec surdosage peut se développer ainsi qu’une dépendance psychique et physique;
  • +·syndrome sérotoninergique: des effets sérotoninergiques, y compris l’apparition d’un syndrome sérotoninergique potentiellement mortel, ont été signalés pour le dextrométhorphane en cas d’utilisation concomitante d’agents sérotoninergiques comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), qui affectent le métabolisme de la sérotonine (notamment les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)) et des inhibiteurs du CYP-2D6. Le syndrome sérotoninergique peut inclure des changements dans l’état mental, une instabilité autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux. Si l’on soupçonne un syndrome sérotoninergique, il faut interrompre le traitement par VICKS MediNait, sirop;
  • +·la prudence est recommandée en cas d'administration concomitante de paracétamol et de flucloxacilline en raison d'un risque accru d'acidose métabolique à trou anionique élevé (AMTAE), en particulier chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, de septicémie, de malnutrition et d'autres sources de déficit en glutathion (p. ex. alcoolisme chronique), ainsi que chez ceux qui utilisent des doses quotidiennes maximales de paracétamol. Une surveillance étroite, incluant la mesure de la 5-oxoproline urinaire, est recommandée;
  • +·chez les enfants, des effets indésirables graves, y compris des troubles neurologiques, peuvent survenir en cas de surdosage.
  • -Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée d'inhibiteurs de la CYP2D6 et d'autres médicaments métabolisés par la même isoenzyme peut conduire à une augmentation des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps d'élimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs du recaptage de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), bêtabloquants (p. ex. métoprolol, timolol), antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier l'astémizole, la terfénadine) (cf.«Contre-indications»). L'association avec d'autres opiacés n'est pas conseillée. Il existe donc un risque particulier d'augmentation des effets secondaires et des interactions chez les patients génétiquement prédisposés (CYP2D6 "métaboliseur lent" d'environ 15% de la population).
  • -Il ne faut donc pas administrer VICKS MediNait aux personnes traitées par des IMAO ou par d'autres principes actifs sympathomimétiques (risque accru de crise hypertensive).
  • +Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée dinhibiteurs du CYP2D6 et dautres médicaments métabolisés par cet isoenzyme peut conduire à une augmentation réciproque des concentrations des substances actives concernées et à un allongement du temps délimination de ces dernières. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, IMAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), bêtabloquants (p. ex. métoprolol, timolol), antagonistes des récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (en particulier lastémizole, la terfénadine) (cf.«Contre-indications»). Lassociation avec dautres opiacés nest pas conseillée. Il existe donc un risque particulier daugmentation des effets secondaires et des interactions chez les patients génétiquement prédisposés (CYP2D6 «métaboliseurs lents» chez environ 15% de la population).
  • +Il ne faut donc pas administrer VICKS MediNait aux personnes traitées par des IMAO ou par dautres principes actifs sympathomimétiques (risque accru de crise hypertensive).
  • -Les substances qui, par induction des enzymes hépatiques, activent le métabolisme du paracétamol et/ou entraînent une déplétion du taux de glutathion dans le foie, augmentent la toxicité hépatique du paracétamol (ex.: phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, hydrazine d’acide nicotinique (isoniazide, IHN), rifampicine, doxorubicine, alcool).
  • +Les substances qui, par induction des enzymes hépatiques, activent le métabolisme du paracétamol et/ou entraînent une déplétion du taux de glutathion dans le foie, augmentent la toxicité hépatique du paracétamol (ex.: phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, hydrazine d’acide isonicotinique (isoniazide, IHN), rifampicine, doxorubicine, alcool).
  • -Chloramphénicol: Le paracétamol multiplie par 5 la demi-vie d'élimination du chloramphénicol.
  • -Salicylamide: Le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la production des métabolites hépatotoxiques.
  • -Chlorzoxazone: Lors de l'administration simultanée de paracétamol et de chlorzoxazone, l'hépatotoxicité des deux substances augmente.
  • -Zidovudine: L'utilisation simultanée de zidovudine et de paracétamol accentue la tendance à développer une neutropénie.
  • +Chloramphénicol: le paracétamol multiplie par 5 la demi-vie délimination du chloramphénicol.
  • +Salicylamide: le salicylamide allonge la demi-vie délimination du paracétamol et accroît la production des métabolites hépatotoxiques.
  • +Chlorzoxazone: lors de ladministration simultanée de paracétamol et de chlorzoxazone, lhépatotoxicité des deux molécules augmente.
  • +Zidovudine: l’utilisation simultanée de zidovudine et de paracétamol accentue la tendance à développer une neutropénie.
  • -L’effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d’utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n’ont pas d’effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • -La consommation d'alcool peut renforcer les effets indésirables de VICKS MediNait.
  • -La survenue d'une somnolence ou des troubles du SNC peut être plus fréquente en cas de prise supplémentaire d'alcool ou de sédatifs.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +L’effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d’utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n’ont pas d’effet significatif. Il nexiste pas de données concernant les interactions entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +La consommation dalcool peut renforcer les effets indésirables de VICKS MediNait.
  • +La survenue dune somnolence ou des troubles du SNC peut être plus fréquente en cas de prise supplémentaire d’alcool ou de sédatifs.
  • +Il convient d'être prudent lors de l'utilisation concomitante de paracétamol et de flucloxacilline, car la prise simultanée a été associée à une acidose métabolique à trou anionique élevé, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Grossesse, Allaitement
  • -On ne dispose pas d'études de reproduction chez l'animal, ni d'études contrôlées chez la femme enceinte pour certains des principes actifs de ce sirop.
  • -Jusqu'ici, aucun effet tératogène du dextrométhorphane n'a pu être mis en évidence. On sait toutefois que d'autres substances du même type que le dextrométhorphane peuvent entraver le développement cérébral du fœtus. D'autre part, lorsque le dextrométhorphane est administré avant la fin de la grossesse, on ne peut pas exclure formellement une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • -Pour le paracétamol, les études de reproduction chez l'animal n'ont pas montré de risques pour le fœtus. Cependant, on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte. VICKS MediNait contient 15% vol. d'alcool par vol. VICKS MediNait ne doit pas être administré à la femme enceinte. Le traitement doit être interrompu si une grossesse survient pendant le traitement par VICKS MediNait.
  • +On ne dispose pas détudes de reproduction chez lanimal, ni détudes contrôlées chez la femme enceinte pour certaines composantes contenues dans ce sirop.
  • +Jusquici, aucun effet tératogène du dextrométhorphane na pu être mis en évidence. On sait toutefois que dautres molécules du même type que le dextrométhorphane peuvent entraver le développement cérébral du foetus. Si le dextrométhorphane est administré avant la fin de la grossesse, on ne peut pas exclure formellement une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • +Pour le paracétamol, les études de reproduction chez lanimal nont pas montré de risques pour le foetus. Cependant, on ne dispose pas détudes contrôlées chez la femme enceinte. VICKS MediNait contient 15 % vol. dalcool. VICKS MediNait ne doit pas être administré à la femme
  • +enceinte. Le traitement doit être interrompu si une grossesse survient pendant le traitement par VICKS MediNait.
  • -Le paracétamol passe dans le lait maternel. La concentration dans le lait maternel est proche de la concentration dans le plasma de la mère au même moment. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent également dans le lait maternel. Le contenu en alcool est de 15% vol. VICKS MediNait ne doit par conséquent pas être administré aux mères qui allaitent.
  • +Le paracétamol passe dans le lait maternel. La concentration dans le lait maternel est proche de la concentration dans le plasma de la mère au même moment. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent également dans le lait maternel. Le contenu en alcool est de 15 % vol. VICKS
  • +MediNait ne doit par conséquent pas être administré aux mères qui allaitent.
  • -VICKS MediNait peut, particulièrement en cas d'utilisation prolongée ou de consommation simultanée d'alcool, diminuer les facultés de réaction, et donc entraver la capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines, même à doses adéquates.
  • +VICKS MediNait peut, particulièrement en cas dutilisation prolongée ou de consommation simultanée dalcool, diminuer les facultés de réaction, et donc entraver la capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines, même à doses adéquates.
  • -Les effets indésirables ci-après ont été observés avec VICKS MediNait lors d'études cliniques et/ou après l'introduction sur le marché:
  • -fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10'000, <1/1000; très rares <1/10'000
  • +Les effets indésirables ci-après ont été observés avec VICKS MediNait lors détudes cliniques et/ou après lintroduction sur le marché: «fréquents» (≥ 1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1’000 à < 1/100), «rares» (≥ 1/10’000 à < 1/1’000), «très rares» (< 1/10’000).
  • -Rares: Agranulocytose, thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation d’épanchements sanguins et d’hémorragies), anémie hémolytique, leucopénie, neutropénie, pancytopénie.
  • +Rares: agranulocytose, thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation d’épanchements sanguins et d’hémorragies), anémie hémolytique, leucopénie, neutropénie, pancytopénie.
  • -Une petite partie (5 à 10%) des patients atteints d’asthme induit par l’acide acétylsalicylique ou d’autres manifestations d’une intolérance à l’acide acétylsalicylique peuvent réagir de la même manière au paracétamol (asthme déclenché par les analgésiques).
  • -Rares: réactions allergiques telles qu´asthme, détresse respiratoire, bronchospasme, gonflements au niveau du visage, Anaphylaxie, qu’œdème de Quincke (angioœdème), accès de sueur, nausées, choc anaphylactique, irritations cutanées, sensibilité à la lumière, urticaire, chute de la pression artérielle allant jusqu’au choc.
  • +Une petite partie (5 à 10 %) des patients atteints d’asthme induit par l’acide acétylsalicylique ou d’autres manifestations d’une intolérance à l’acide acétylsalicylique peuvent réagir de la même manière au paracétamol (asthme déclenché par les analgésiques).
  • +Rares: réactions allergiques telles quasthme, détresse respiratoire, bronchospasme, gonflements au niveau du visage, œdème de Quincke (angio-oedème), accès de sueur, nausées, choc anaphylactique, irritations cutanées, sensibilité à la lumière, urticaire, chute de la tension artérielle allant jusqu’au choc.
  • -Fréquents: Sédation.
  • +Fréquents: sédation.
  • -Rares: hallucinations, réactions paradoxales: états d'excitation, insomnie, étourdissement, agitation, confusion.
  • +Rares: hallucinations, réactions paradoxales: états dexcitation, insomnie, hébétude, agitation, confusion.
  • -Rares: Tachycardie, arythmie, modifications de l'ECG, augmentation de la pression artérielle, chute de la pression artérielle, palpitations.
  • +Rares: tachycardie, arythmie, modifications de lECG, augmentation de la tension artérielle, chute de la tension artérielle, palpitations.
  • -Fréquents : inappétence, nausées.
  • +Fréquents : vomissements, inappétence, nausées.
  • -Voir sous «Mises en garde et précautions» et «Surdosage».
  • -Rares: Augmentation des transaminases hépatiques.
  • +Voir «Mises en garde et précautions» et «Surdosage».
  • +Rares: augmentation des transaminases hépatiques.
  • -Occasionnels: Réactions cutanées érythémateuses et urticariennes et rougeurs cutanées.
  • -Rares: Réactions d’hypersensibilité.
  • -Très rares: Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ).
  • +Occasionnels: réactions cutanées érythémateuses et urticariennes et rougeurs cutanées.
  • +Rares: réactions d’hypersensibilité.
  • +Très rares: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell), syndrome de Stevens-Johnson (SSJ).
  • -Rares: Troubles mictionnels. L'hypertrophie de la prostate peut être un facteur prédisposant.
  • -Le succinate de doxylamine, un antihistaminique possédant également des propriétés calmantes, peut produire un effet sédatif qui peut se prolonger chez les sujets sensibles. Il est donc préférable de s'abstenir d'utiliser des machines ou de conduire des véhicules à moteur lors d'un traitement avec VICKS MediNait (cf. «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»). Des vertiges ou une excitation paradoxale sont également possibles.
  • -La fréquence et le degré de sévérité des effets indésirables sont en partie fonction de la posologie et de la durée d'utilisation (cf. «Pharmacocinétique» et «Surdosage»).
  • -On sait que, chez l'être humain, la prise orale de plus de 6 g de paracétamol (correspondant à plus de 300 ml de VICKS MediNait), qui s'accompagne de concentrations plasmatiques de 200–300 µg/ml après 4 h, de 100–150 µg/ml après 8 h, de 50–80 µg/ml après 12 h et de 30–45 µg/ml après 15 h, peut entraîner des lésions hépatiques avec issue fatale et coma hépatique. L'hépatotoxicité du paracétamol dépend directement de la concentration plasmatique. Les inducteurs enzymatiques et l'alcool peuvent provoquer des lésions hépatiques à des doses autrement non toxiques de paracétamol.
  • -Des cas d'hépatite chronique, active, réversible sont déjà décrits à des doses orales quotidiennes de 3,9 et 2,9 g et pour une durée d'utilisation de 1 an.
  • -Des effets clairement hépatotoxiques peuvent survenir lors d'une utilisation à long terme de doses orales quotidiennes élevées (autour de 6 g de paracétamol) pendant par ex. 3 semaines, même en l'absence de lésion hépatique préexistante.
  • +Rares: troubles mictionnels (l’hypertrophie de la prostate peut être un facteur prédisposant).
  • +Le succinate de doxylamine, un antihistaminique possédant également des propriétés calmantes, peut produire un effet sédatif qui peut se prolonger chez les sujets sensibles. Il est donc préférable de sabstenir dutiliser des machines ou de conduire des véhicules à moteur lors dun traitement avec VICKS MediNait (cf. «Effet sur laptitude à la conduite et lutilisation de machines»). Des vertiges ou une excitation paradoxale sont également possibles.
  • +La fréquence et le degré de sévérité des effets indésirables sont en partie fonction de la posologie et de la durée dutilisation (cf. «Pharmacocinétique» et «Surdosage»).
  • +On sait que, chez lêtre humain, la prise orale de plus de 6 g de paracétamol (correspondant à plus de 300 ml de VICKS MediNait), qui saccompagne de concentrations plasmatiques de 200–300 μg/ml après 4 h, de 100–150 μg/ml après 8 h, de 50–80 μg/ml après 12 h et de 30–45 μg/ml après 15 h, peut entraîner des lésions hépatiques avec issue fatale et coma hépatique. Lhépatotoxicité du paracétamol dépend directement de la concentration plasmatique. Les inducteurs enzymatiques et lalcool peuvent provoquer des lésions hépatiques à des doses autrement non toxiques de paracétamol.
  • +Des cas dhépatite chronique, active, réversible sont déjà décrits à des doses orales quotidiennes de 3.9 et 2.9 g et pour une durée dutilisation de 1 an.
  • +Des effets clairement hépatotoxiques peuvent survenir lors dune utilisation à long terme de doses orales quotidiennes élevées (autour de 6 g de paracétamol) pendant par ex. 3 semaines, même en labsence de lésion hépatique préexistante.
  • -Un surdosage peut apparaître immédiatement (de manière aiguë), mais peut aussi se produire en cas de prise de doses plus importantes pendant plus de 3–4 jours ou en cas d'élimination retardée (d'origine génétique ou par suite d'interactions médicamenteuses).
  • -Il peut provoquer les symptômes suivants: accentuation des effets indésirables mentionnés précédemment, en particulier des effets centraux et une dépression respiratoire. On peut également rencontrer: des nausées, des vomissements, de la dystonie, de l’agitation, de la confusion, de la cardiotoxicité (une tachycardie, ECG anormal incluant allongement du QTc) une augmentation de la tension artérielle, une vision trouble, un nystagmus, une ataxie, une rétention d'urine, un tonus musculaire augmenté, des convulsions, une hystérie, irritabilité, une insomnie, de la somnolence, de l’étourdissement, une marche incertaine, des hallucinations et des psychoses toxiques avec hallucinations et excitabilité.
  • +Un surdosage peut apparaître immédiatement (de manière aiguë), mais peut aussi se produire en cas de prise de doses largement plus importantes pendant plus de 3–4 jours ou en cas délimination retardée (dorigine génétique ou par suite dinteractions médicamenteuses).
  • +Il peut provoquer les symptômes suivants: accentuation des effets indésirables mentionnés précédemment, en particulier des effets centraux et une dépression respiratoire. On peut également rencontrer: des nausées, des vomissements, une dystonie, une agitation, une confusion, une cardiotoxicité (tachycardie, ECG anormal incluant allongement du QTc), une augmentation de la tension artérielle, une vision trouble, un nystagmus, une ataxie, une rétention durine, un tonus musculaire augmenté, des convulsions, une hystérie, une irritabilité, une insomnie, une somnolence, une hébétude, une marche incertaine, des hallucinations et des psychoses toxiques avec hallucinations et excitabilité.
  • -Le charbon actif peut être administré aux patients asymptomatiques qui ont pris une surdose de dextrométhorphane au cours de la dernière heure. Pour les patients qui ont pris du dextrométhorphane et qui sont sous sédation ou comateux, la naloxone peut être envisagée aux doses habituelles, comme pour le traitement du surdosage aux opiacés. Les benzodiazépines peuvent être utilisées contre les convulsions et le refroidissement externe contre l’hyperthermie due au syndrome sérotoninergique.
  • +Le charbon actif peut être administré aux patients asymptomatiques qui ont pris une surdose de dextrométhorphane au cours de la dernière heure.
  • +Pour les patients qui ont pris du dextrométhorphane et qui sont sous sédation ou comateux, ainsi qu’en cas de dépression respiratoire, la naloxone peut être envisagée aux doses habituelles, comme pour le traitement du surdosage aux opiacés. Les benzodiazépines peuvent être utilisées contre les convulsions et le refroidissement externe contre l’hyperthermie due au syndrome sérotoninergique.
  • +En cas de dépression respiratoire tout particulièrement, la naloxone et, en cas de convulsions, les benzodiazépines se sont avérées être des antidotes efficaces du dextrométhorphane.
  • +
  • -Après prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l’adulte (chez les patients prédisposés comme p. ex. les patients ayant une consommation d’alcool accrue ou une réserve de glutathion diminuée en cas de carence nutritionnelle, déjà à de faibles doses), on observe des symptômes d’intoxication aigus au niveau des cellules du foie et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • -Des concentrations plasmatiques > 200 µg/ml au bout de 4 h, > 100 µg/ml au bout de 8 h, > 50 µg/ml au bout de 12 h et > 30 µg/ml au bout de 15 h entraînent des lésions hépatiques à l’issue fatale par coma hépatique. L’hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • +Après la prise orale de 7.5 à 10 g de paracétamol chez l’adulte (déjà à des doses plus faibles chez les patients prédisposés comme p. ex. les patients ayant une consommation d’alcool accrue ou une réserve de glutathion diminuée en cas de carence nutritionnelle), on observe des symptômes d’intoxication aigus au niveau des cellules du foie et du tubule rénal sous forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • +Des concentrations plasmatiques > 200 μg/ml au bout de 4 h, > 100 μg/ml au bout de 8 h, > 50 μg/ml au bout de 12 h et > 30 μg/ml au bout de 15 h entraînent des lésions hépatiques à l’issue fatale par coma hépatique. L’hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • -Amélioration subjective, augmentation du volume du foie, élévation des transaminases (AST, ALT), élévation de la bilirubine, allongement du temps de Quick, augmentation de la lactate déshydrogénase.
  • -3e phase (3e jour)
  • +Amélioration subjective, augmentation du volume du foie, élévation des transaminases (AST, ALT), élévation de la bilirubine, allongement du temps de thromboplastine, augmentation de la lactate déshydrogénase.
  • +3e phase (= 3e jour)
  • -·Lavage gastrique (est uniquement efficace dans les 1 à 2 h); ensuite, administration de charbon acti.
  • -·Administration par voie orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations où l’administration de l’antidote par voie orale n’est pas ou n’est plus possible (p. ex. après de forts vomissements, conscience altérée), l’administration peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 h. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 h.
  • +·Lavage gastrique (uniquement efficace dans les 1 à 2 h); ensuite, administration de charbon actif.
  • +·Administration par voie orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations où l’administration de l’antidote par voie orale n’est pas ou n’est plus possible (p. ex. après de forts vomissements, conscience altérée), l’administration peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en lespace de 8 h. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 h.
  • -Les tests hépatiques doivent être réalisés au début du traitement et répétés toutes les 24 h. Dans la plupart des cas, les transaminases hépatiques se normalisent en 1 à 2 semaines, la fonction hépatique étant entièrement rétablie. Toutefois, dans les cas très graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire. Des informations détaillées peuvent être obtenues auprès de Tox Info Suisse.
  • +Les tests hépatiques doivent être réalisés au début du traitement et répétés toutes les 24 h. Dans la plupart des cas, les transaminases hépatiques se normalisent en 1 à 2 semaines, avec rétablissement complet de la fonction hépatique. Toutefois, dans les cas très graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire.
  • +Des informations détaillées sur le traitement peuvent être obtenues auprès de Tox Info Suisse.
  • -Code ATC: N02BE51
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamie/Efficacité clinique
  • -Le dextrométhorphane est un dérivé de la morphine. Le dextrométhorphane et son métabolite actif, le dextrorphane, calment le réflexe de la toux en augmentant le seuil de stimulation au niveau central. Le dextrométhorphane et le dextrorphane se fixent notamment sur les récepteurs sigma et PCP2 (recaptage de la dopamine) du SNC. Le dextrorphane est par ailleurs un antagoniste du N-méthyl-D-aspartate. Le dextrométhorphane et le dextrorphane peuvent s'accumuler dans le SNC en cas d'utilisation durant plusieurs jours ou de doses supérieures aux doses recommandées, plus particulièrement chez des sujets souffrant d'une déficience en CYP2D6. La durée d'action dépend par conséquent de la posologie et de la durée d'administration (cf. «Pharmacocinétique»). Lors d'une utilisation prolongée, les effets indésirables peuvent être fortement accentués en raison de l'accumulation centrale.
  • -Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme d’action n’est pas complètement élucidé. En ce qui concerne l’effet analgésique, il a été démontré que l’inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus. Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influe ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • -Le succinate de doxylamine est un antihistaminique qui a pour but de diminuer les sécrétions des muqueuses nasales ainsi que les éternuements gênants. Cette substance agit également comme sédatif léger.
  • -Le sulfate d'éphédrine est un sympathicomimétique indirect qui permet la décongestion des muqueuses et, combiné à l'action du succinate de doxylamine, diminue les modifications catarrhales apparaissant dans les voies respiratoires et les muqueuses.
  • +Code ATC
  • +N02BE51
  • +Mécanisme daction/Pharmacodynamique/Efficacité clinique
  • +Le dextrométhorphane est un dérivé de la morphine. Le dextrométhorphane et son métabolite actif, le dextrorphane, calment le réflexe de la toux en augmentant le seuil de stimulation au niveau central. Le dextrométhorphane et le dextrorphane se fixent notamment sur les récepteurs sigma
  • +et PCP2 (recapture de la dopamine) du SNC. Le dextrorphane est par ailleurs un antagoniste du N-méthyl-D-aspartate. Le dextrométhorphane et le dextrorphane peuvent saccumuler dans le SNC en cas dutilisation durant plusieurs jours ou de doses supérieures aux doses recommandées,
  • +plus particulièrement chez des sujets souffrant dune déficience en CYP2D6. La durée daction dépend par conséquent de la posologie et de la durée dadministration (cf. «Pharmacocinétique»). Lors dune utilisation prolongée, les effets indésirables peuvent être fortement accentués en
  • +raison de laccumulation centrale.
  • +Le paracétamol est un analgésique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme d’action n’est pas complètement élucidé. L’effet analgésique est basé sur l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, forte au niveau central et, dans une moindre mesure, au niveau périphérique. Leffet antipyrétique se base sur une inhibition de leffet de pyrogènes endogènes et sur le centre thermorégulateur dans lhypothalamus. Le paracétamol na pas deffet antiphlogistique marqué et ninflue ni sur lhémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Le succinate de doxylamine est un antihistaminique qui a pour but de diminuer les sécrétions des muqueuses nasales ainsi que les éternuements gênants. Cette molécule agit également comme sédatif léger.
  • +Le sulfate déphédrine est un sympathicomimétique indirect qui permet la décongestion des muqueuses et, combiné à laction du succinate de doxylamine, diminue les modifications catarrhales apparaissant dans les voies respiratoires et les muqueuses.
  • -Absorption total total
  • +Absorption Complète Complète
  • -Début de l'effet 15–30 minutes 15–30 minutes
  • -Durée d'action 3 à 4 heures 5 à 6 heures
  • -Temps de demi-vie 1 à 4 heures environ 2 heures variable selon les métabolites prédominants
  • +Début de leffet 15–30 minutes 15–30 minutes
  • +Durée daction 3 à 4 heures 5 à 6 heures
  • +Temps de demi-vie 1 à 4 heures Environ 2 heures, variable selon les métabolites prédominants
  • - Succinate de doxylamine Sulfate d'éphédrine
  • -Absorption total total
  • -Début de l'effet 30 minutes 30 minutes
  • -Durée d'action 6 à 8 heures 3 à 5 heures
  • + Succinate de doxylamine Sulfate déphédrine
  • +Absorption Complète Complète
  • +Début de leffet 30 minutes 30 minutes
  • +Durée daction 6 à 8 heures 3 à 5 heures
  • -On ne dispose pas de données quantitatives sur la distribution du dextrométhorphane, ni du dextrorphane. On sait toutefois que les deux substances pénètrent dans le SNC. Une liaison aux protéines plasmatiques n'a pas été mise en évidence jusqu'ici. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent en quantités faibles dans le lait maternel, mais on ne sait pas s'ils traversent la barrière placentaire.
  • +On ne dispose pas de données quantitatives sur la distribution du dextrométhorphane, ni du dextrorphane. On sait toutefois que les deux molécules pénètrent dans le SNC. Une liaison aux protéines plasmatiques na pas été mise en évidence jusquici. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent en quantités faibles dans le lait maternel, mais on ne sait pas sils traversent la barrière placentaire.
  • -Le dextrométhorphane est soumis à un important métabolisme de premier passage hépatique. Son métabolite actif, le dextrorphane, peut être mis en évidence dans le plasma à peine 15 minutes après une prise orale de dextrométhorphane. Le pic de concentration plasmatique maximale de dextrorphane est atteint après 1 à 2 heures. Le dextrométhorphane est métabolisé par l'intermédiaire du cytochrome P450, isoenzyme CYP2D6, et ce métabolisme est saturable. Les principaux métabolites après O- et N-déméthylation sont le dextrorphane ainsi que son glucuronide inactif et son ester sulfaté. Le méthoxyméthorphane et l'hydroxyméthorphane sont d'autres métabolites.
  • +Le dextrométhorphane est soumis à un important métabolisme de premier passage hépatique. Son métabolite actif, le dextrorphane, peut déjà être mis en évidence dans le plasma environ 15 minutes après une prise orale de dextrométhorphane. Le pic de concentration plasmatique maximale de dextrorphane est atteint après 1 à 2 heures. Le dextrométhorphane est métabolisé par lintermédiaire du cytochrome P450, isoenzyme CYP2D6, et ce métabolisme est saturable. Les principaux métabolites après O- et N-déméthylation sont le dextrorphane ainsi que son glucuronide inactif et son ester sulfaté. Le méthoxyméthorphane et lhydroxyméthorphane sont dautres métabolites.
  • -Elimination
  • -Le dextrométhorphane et ses métabolites sont éliminés essentiellement dans l'urine. Le temps de demi-vie d'élimination du dextrométhorphane et donc aussi du dextrorphane dépend de la dose prise et du phénotype du CYP2D6 des patients (cf. ci-dessous). Ils augmentent d'autre part avec la durée d'utilisation de la substance.
  • -Le temps de demi-vie d'élimination du dextrométhorphane varie fortement. Dans une étude, elle n'était pas mesurable chez les métaboliseurs dits rapides sans blocage métabolique, tandis qu'elle était de plus de 40 heures chez d'autres sujets. Le temps de demi-vie d'élimination du dextrorphane varie entre 2,5 et 3,5 heures.
  • +Élimination
  • +Le dextrométhorphane et ses métabolites sont éliminés essentiellement dans lurine. Le temps de demi-vie délimination du dextrométhorphane et donc aussi du dextrorphane dépend de la dose prise et du phénotype du CYP2D6 des patients (cf. ci-dessous). Ils augmentent dautre part avec
  • +la durée dutilisation de la molécule.
  • +Le temps de demi-vie délimination du dextrométhorphane varie fortement. Dans une étude, elle nétait pas mesurable chez les métaboliseurs dits rapides sans blocage métabolique, tandis quelle était de plus de 40 heures chez dautres sujets. Le temps de demi-vie délimination du dextrorphane varie entre 2.5 et 3.5 heures.
  • -Insuffisance hépatique:
  • -·La durée de demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois nettement prolongée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave.
  • -·Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (à cause de l'induction de CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • +Troubles de la fonction hépatique:
  • +·La durée de demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients souffrant dune insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois nettement prolongée chez les patients souffrant dune insuffisance hépatique grave.
  • +·Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et dune demi-vie délimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques dorigine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol na été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été mise en relation avec une réduction de la capacité de synthèse hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment dhépatite due à labus dalcool (à cause de linduction du CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • -La durée de demi-vie peut être prolongée chez les personnes âgées et s'accompagner d'une diminution de la clairance du médicament.
  • +La durée de demi-vie peut être prolongée chez les personnes âgées et saccompagner dune diminution de la clairance du médicament.
  • -Le métabolisme et l'élimination du dextrométhorphane sont fortement ralentis chez les patients ayant une carence en CYP2D6. A cause d'un polymorphisme déterminé génétiquement, 10 à 15% des individus de la population sont des métaboliseurs dits lents (type débrisoquine). Il faut aussi s'attendre à un allongement du temps d'élimination en cas d'insuffisance rénale ou hépatique.
  • +Le métabolisme et lélimination du dextrométhorphane sont fortement ralentis chez les patients ayant un déficit en CYP2D6. A cause dun polymorphisme déterminé génétiquement, 10 à 15 % des individus de la population sont des métaboliseurs dits lents (type débrisoquine). Il faut aussi sattendre à un allongement du temps délimination en cas dinsuffisance rénale ou hépatique.
  • -Dans des expérimentations animales sur la toxicité subchronique et chronique du paracétamol chez le rat et la souris, des lésions dans le tractus gastro-intestinal, des modifications de l'hémogramme, une dégénérescence du parenchyme hépatique et rénal, pouvant évoluer jusqu'à des nécroses, sont survenues. Les causes de ces modifications sont imputables d'une part au mécanisme d'action et d'autre part au métabolisme du paracétamol. Les métabolites auxquels sont attribués les actions toxiques, et les modifications correspondantes des organes sont aussi démontrés chez l'être humain. C'est pourquoi le paracétamol ne doit pas être pris pendant une période prolongée et à fortes doses.
  • +Dans des expérimentations animales sur la toxicité subchronique et chronique du paracétamol chez le rat et la souris, des lésions dans le tractus gastro-intestinal, des modifications de lhémogramme, une dégénérescence du parenchyme hépatique et rénal, pouvant évoluer jusquà des nécroses, sont survenues. Les causes de ces modifications sont imputables dune part au mécanisme daction et dautre part au métabolisme du paracétamol. Les métabolites auxquels sont attribués les actions toxiques et les modifications correspondantes des organes sont aussi démontrés chez lêtre humain. Cest pourquoi le paracétamol ne doit pas être pris pendant une période prolongée et à fortes doses.
  • -Des études sur la toxicité subchronique et chronique chez le chien et le rat n'ont pas montré d'éléments en faveur d'effets toxiques liés à la substance.
  • +Des études sur la toxicité subchronique et chronique chez le chien et le rat nont pas montré déléments en faveur deffets toxiques liés à la molécule.
  • -Des rats n'ont présenté aucun effet toxique jusqu'à une dose de 90 mg de succinate de doxylamine/kg/jour pendant 38 jours. Des doses de 200 mg de succinate de doxylamine/kg/j n'ont pas entraîné de diminution de l'appétit ni du taux de croissance.
  • -Aucune modification hématologique et histologique liée à la substance n'a été observée dans les différentes études.
  • -Potentiel mutagène et carcinogène
  • +Des rats nont présenté aucun effet toxique jusquà une dose de 90 mg de succinate de doxylamine/kg/jour pendant 38 jours. Des doses de 200 mg de succinate de doxylamine/kg/j ont entraîné une diminution de lappétit et du taux de croissance.
  • +Aucune modification hématologique et histologique liée à la molécule n’a été observée dans les différentes études.
  • +Génotoxicité et carcinogénicité
  • -Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu’aucun effet génotoxique n’apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l’animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu’à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • -Des études approfondies n'ont pas montré d'éléments en faveur d'un risque génotoxique significatif du paracétamol dans la fourchette thérapeutique, c.-à-d. non toxique.
  • +Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dosedépendant. Etant donné les mécanismes présumés susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu’aucun effet génotoxique n’apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs seuils peuvent être plus basses. Les valeurs seuils à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l’animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu’à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • +Des études approfondies nont pas montré déléments en faveur dun risque génotoxique significatif du paracétamol dans la fourchette thérapeutique, c.-à-d. non toxique.
  • -Sulfate d'éphédrine
  • -Sur Salmonella typhimurium (test d'Ames), l'éphédrine n'a pas été mutagène, avec ou sans activation métabolique. Aucun effet clastogène sur les cellules CHL n'a pu être non plus constaté in vitro.
  • -A des posologies correspondant environ à 10 ou 30 fois la dose humaine, l'éphédrine n'a pas eu d'effets carcinogènes chez la souris et le rat.
  • +Sulfate déphédrine
  • +Sur Salmonella typhimurium (test dAmes), léphédrine na pas été mutagène, avec ou sans activation métabolique. Aucun effet clastogène sur les cellules CHL na pu être constaté in vitro.
  • +A des posologies correspondant environ à 10 ou 30 fois la dose humaine, léphédrine na pas eu deffets carcinogènes chez la souris et le rat.
  • -L'hydrobromure de dextrométhorphane n'a pas fait l'objet d'études suffisantes quant aux effets mutagènes. Un test bactérien sur des mutations ponctuelles s'est avéré négatif. Le potentiel mutagène ne peut pas être apprécié suffisamment. On ne dispose d'aucune expérimentation animale à long terme sur le potentiel carcinogène.
  • +Lhydrobromure de dextrométhorphane na pas fait lobjet détudes suffisantes quant aux effets mutagènes. Un test bactérien sur des mutations ponctuelles sest avéré négatif. Le potentiel mutagène ne peut pas être apprécié suffisamment. On ne dispose daucune expérimentation animale
  • +à long terme sur le potentiel carcinogène.
  • -Les effets mutagènes de la doxylamine ont été suffisamment étudiés. Des études in vitro et in vivo n'ont pas montré d'éléments significatifs en faveur d'un potentiel mutagène de la doxylamine.
  • -Dans une étude de cancérogénicité chez le rat, menée avec de fortes doses, des dégénérescences, puis des modifications prolifératives des hépatocytes se sont formées, par stimulation métabolique accrue dans le foie. Sur la base de ces modifications, des tumeurs hépatocytaires bénignes et malignes se sont développées dans quelques cas.
  • +Les effets mutagènes de la doxylamine ont été suffisamment étudiés. Des études in vitro et in vivo nont pas montré déléments significatifs en faveur dun potentiel mutagène de la doxylamine.
  • +Dans une étude de cancérogénicité chez le rat, menée avec de fortes doses, des dégénérescences, puis des modifications prolifératives des hépatocytes sont apparues, par stimulation métabolique accrue dans le foie. Sur la base de ces modifications, des tumeurs hépatocytaires bénignes et malignes se sont développées dans quelques cas.
  • -L'administration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. L'administration répétée à des rats mâle de doses très élevées de paracétamol (≥500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • +Ladministration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. Ladministration répétée à des rats mâles de doses très élevées de paracétamol (≥ 500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • -Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d'une élévation apparente de l'uricémie lorsqu'elle est dosée par la méthode de réduction du phosphotungstate.
  • +Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase. Il peut également être responsable dune élévation apparente de luricémie lorsquelle est dosée par la méthode de réduction de l’acide phosphotungstique.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention EXP sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Ce médicament contient 15% d'alcool, c.-à-d. 3,83 g d'alcool par dose journalière de 30 ml.
  • +Ce médicament contient 15 % d’alcool, c.-à-d. 3.83 g dalcool par dose journalière de 30 ml.
  • -VICKS MediNait sirop 180 ml D
  • +VICKS MediNait sirop 180 ml (D).
  • -Novembre 2020.
  • +Décembre 2023.
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