114 Changements de l'information professionelle Zinacef 750 mg |
-Les recommandations officielles pour un emploi adéquat des antibiotiques devraient être respectées, notamment les recommandations d'utilisation, afin d'éviter une augmentation des résistances aux antibiotiques.
- +Les recommandations officielles sur le bon usage des antibiotiques devraient être respectées, notamment les recommandations d'utilisation, afin d'éviter une augmentation de la résistance aux antibiotiques.
-Zinacef doit être administré par injection intraveineuse sur une durée de 3 à 5 minutes directement dans une veine ou à l'aide d'un goutte-à-goutte ou par perfusion de 30 à 60 minutes, ou par injection intramusculaire profonde.
- +Zinacef doit être administré par injection intraveineuse sur une durée de 3 à 5 minutes directement dans une veine ou à l'aide d'un goutte-à-goutte, ou par perfusion de 30 à 60 minutes, ou par injection intramusculaire profonde.
-En général, Zinacef administré en monothérapie est suffisamment efficace; en cas de nécessité, il peut cependant être associé à un aminoside (toutefois, ne pas le mélanger dans la même seringue ou la même solution perfusable: voir «Incompatibilités» et «Remarques concernant la manipulation»). La fonction rénale devra cependant être surveillée attentivement (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +En général, Zinacef administré en monothérapie est suffisamment efficace; en cas de nécessité, il peut cependant être associé à un aminoglycoside (toutefois, ne pas le mélanger dans la même seringue ou la même solution pour perfusion: voir «Incompatibilités» et «Remarques concernant la manipulation»). La fonction rénale devra cependant être surveillée attentivement (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
-Enfants (<40 kg)
- +Enfants (<40 kg):
-Le moment du passage d'un traitement parentéral au traitement oral dépend du degré de gravité de l'infection, de l'état clinique du patient et de la sensibilité du germe en cause. En l'absence d'amélioration de l'état clinique au bout de 72 heures, ne pas passer au traitement oral par Zinat.
- +Le moment du passage d'un traitement parentéral à un traitement oral dépend du degré de gravité de l'infection, de l'état clinique du patient et de la sensibilité du germe en cause. En l'absence d'amélioration de l'état clinique au bout de 72 heures, ne pas passer au traitement oral par Zinat.
-La céfuroxime est éliminée quasi intégralement par les reins.
-L'expérimentation animale, de même que les résultats cliniques, montrent une très bonne tolérance rénale à la céfuroxime. Néanmoins, chez les patients souffrant d'une altération manifeste de la fonction rénale, la dose devrait être réduite pour compenser le ralentissement de l'élimination.
- +La céfuroxime est pratiquement intégralement éliminée par les reins.
- +Aussi bien l'expérimentation animale que les résultats cliniques, montrent une très bonne tolérance rénale à la céfuroxime. Néanmoins, chez les patients souffrant d'une altération manifeste de la fonction rénale, la dose devrait être réduite pour compenser le ralentissement de l'élimination.
-Patients sous hémodialyse 3,75 Une dose supplémentaire de 750 mg doit être administrée par voie intraveineuse ou par voie intramusculaire à la fin de chaque dialyse. En plus de l'utilisation parentérale, la céfuroxime sodique peut être incorporée dans le liquide de dialyse péritonéale (habituellement 250 mg par 2 litres de liquide de dialyse)
-Patients ayant une insuffisance rénale sous hémodialyse artérioveineuse continue (HAVC) ou hémofiltration à haut débit (HD) en unité de soins intensifs 7,9–12,6 (HAVC) 1,6 (HD) 750 mg deux fois par jour. Pour une hémofiltration à faible débit, suivre la posologie recommandée en cas d'insuffisance rénale
- +Patients sous hémodialyse 3,75 Une dose supplémentaire de 750 mg doit être administrée par voie intraveineuse ou par voie intramusculaire à la fin de chaque dialyse. En plus de l'utilisation parentérale, la céfuroxime sodique peut être incorporée dans le liquide de dialyse péritonéale (habituellement 250 mg pour 2 litres de liquide de dialyse)
- +Patients avec une insuffisance rénale sous hémofiltration artérioveineuse continue (HAVC) ou hémofiltration à haut débit (HD) en unité de soins intensifs 7,9–12,6 (HAVC) 1,6 (HD) 750 mg deux fois par jour. Pour une hémofiltration à faible débit, suivre la posologie recommandée en cas d'insuffisance rénale
-A l'apparition de réactions allergiques, Zinacef doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré. Lors de réactions d'hypersensibilité sévères et aiguës, il convient d'administrer de l'adrénaline, des antihistaminiques ou des corticostéroïdes.
-Prolifération de microorganismes non sensibles
- +À l'apparition de réactions allergiques, Zinacef doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré. Lors de réactions d'hypersensibilité sévères et aiguës, il convient d'administrer de l'adrénaline, des antihistaminiques ou des corticostéroïdes.
- +Des réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR) telles que syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), érythème polymorphe et pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) ont été rapportées chez des patients sous traitement par des antibiotiques bêta-lactamines, dont la céfuroxime sodique (voir aussi «Effets indésirables»). En cas de survenue de telles réactions, Zinacef doit être arrêté immédiatement et un traitement de substitution doit être envisagé.
- +Prolifération de micro-organismes non sensibles
-La survenue d'une diarrhée pendant ou après le traitement par Zinacef peut indiquer une infection par Clostridium difficile, surtout si la diarrhée est sévère, persistante et/ou sanguinolente. L'évolution la plus sévère est la colite pseudo-membraneuse. Si une telle complication est suspectée, le traitement par Zinacef doit immédiatement être arrêté et le patient doit être soumis à un examen approfondi en vue d'une éventuelle antibiothérapie spécifique (p.ex. métronidazole, vancomycine). L'administration de médicaments susceptibles d'inhiber le péristaltisme est contre-indiquée dans cette situation clinique.
- +La survenue de diarrhées pendant ou après le traitement par Zinacef peut indiquer une infection par Clostridium difficile, surtout si les diarrhées sont sévères, persistantes et/ou sanguinolentes. L'évolution la plus sévère est la colite pseudo-membraneuse. Si une telle complication est suspectée, le traitement par Zinacef doit immédiatement être arrêté et le patient doit être soumis à un examen approfondi en vue d'une éventuelle antibiothérapie spécifique (p.ex. métronidazole, vancomycine). L'administration de médicaments susceptibles d'inhiber le péristaltisme est contre-indiquée dans cette situation clinique.
-En cas de fonction rénale diminuée, la posologie de Zinacef doit être adaptée au degré de gravité de l'insuffisance rénale (voir «Instructions spéciales pour la posologie»).
-Association à des diurétiques puissants ou des aminosides
-En cas d'association d'une céphalosporine hautement dosée à un diurétique très puissant et/ou un aminoside, la prudence s'impose, ces associations pouvant exercer une action néfaste sur la fonction rénale (voir «Interactions»).
-Chez les patients sous traitement combiné et chez ceux présentant des antécédents d'atteinte rénale, de même que chez les patients âgés en général, la fonction rénale doit être surveillée régulièrement pendant le traitement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +En cas de fonction rénale diminuée, la posologie de Zinacef doit être adaptée au degré de gravité de l'insuffisance rénale (voir «Instructions posologiques particulières»).
- +Association à des diurétiques puissants ou des aminoglycosides
- +La prudence est de rigueur lors de l'association de hautes doses de céphalosporines et de diurétiques particulièrement puissants et/ou d'aminoglycosides, car cela pourrait influencer la fonction rénale de manière défavorable (voir «Interactions»).
- +Pendant le traitement, la fonction rénale doit être continuellement surveillée chez les patients polymédiqués, chez les patients présentant des lésions rénales préexistantes, et, d'une manière générale, chez les patients âgés.
-Une toxicité oculaire sévère incluant une opacification de la cornée, une toxicité rétinienne et une baisse de l'acuité visuelle a été rapportée après administration intracamérale de Zinacef. Zinacef ne doit pas être administré par voie intracamérale.
-Interférence avec les tests diagnostiques
- +Une toxicité oculaire sévère incluant une opacification de la cornée, une toxicité rétinienne et une baisse de l'acuité visuelle ont été rapportées après administration intracamérale de Zinacef. Zinacef ne doit pas être administré par voie intracamérale.
- +Interférence avec les tests diagnostiques de laboratoire
-Une légère interférence avec les méthodes basées sur la réduction du cuivre (test de Benedict, de Fehling, Clinitest) peut être observée. Toutefois, ceci ne devrait pas entraîner de résultat faussement positif, comme cela peut se produire avec d'autres céphalosporines.
-Etant donné qu'un résultat faussement négatif peut se produire avec les tests utilisant le ferricyanure, il est recommandé d'utiliser la méthode à la glucose oxydase ou à l'hexokinase pour le dosage du taux sanguin/plasmatique de glucose chez les patients recevant de la céfuroxime sodique.
- +Une légère interférence avec les méthodes basées sur la réduction du cuivre (test de Benedict, réaction de Fehling, Clinitest) peut être observée. Toutefois, ceci ne devrait pas entraîner de résultat faussement positif, comme cela peut se produire avec d'autres céphalosporines.
- +Il est recommandé d'utiliser la méthode à la glucose oxydase ou à l'hexokinase pour le dosage du taux sanguin/plasmatique de glucose chez les patients recevant de la céfuroxime sodique, étant donné que les tests utilisant le ferrocyanure peuvent produire un résultat faussement négatif.
-La poudre pour solution injectable ou pour perfusion de Zinacef contient du sodium, ceci doit être pris en compte pour les patients suivant un régime contrôlé en sel.
- +La poudre pour solution injectable ou pour perfusion de Zinacef contient du sodium, celui-ci doit être pris en compte pour les patients suivant un régime contrôlé en sel.
-L'association de Zinacef avec un aminoside présente, in vitro, le plus souvent une action additive, voire parfois synergique. Toutefois, les traitements par des doses élevées de céphalosporines doivent faire l'objet d'une prudence particulière chez les patients prenant un aminoside et/ou un diurétique puissant comme le furosémide, car une altération de la fonction rénale par de telles associations est possible. Lorsque Zinacef est associé à un aminoside, les deux produits doivent être administrés séparément, les céphalosporines pouvant entraîner une inactivation partielle des aminosides dans une solution mixte.
- +L'association de Zinacef avec un aminoglycoside présente, in vitro, le plus souvent une action additive, voire parfois synergique. Toutefois, les traitements par des doses élevées de céphalosporines doivent faire l'objet d'une prudence particulière chez les patients prenant un aminoglycoside et/ou un diurétique puissant comme le furosémide, car une altération de la fonction rénale par de telles associations est possible. Lorsque Zinacef est associé à un aminoglycoside, les deux produits doivent être administrés séparément, les céphalosporines pouvant entraîner une inactivation partielle des aminoglycosides dans une solution mixte.
-Dans de rares cas, un antagonisme avec le céfoxitine, l'imipenem ou le chloramphénicol a été démontré. L'importance clinique de ces résultats obtenus in vitro n'est pas connue.
-Le probénécide ralentit l'élimination rénale de Zinacef, augmentant ainsi sa concentration et sa persistance dans l'organisme. L'utilisation concomitante de probénécide n'est pas recommandée.
- +Dans de rares cas, un antagonisme avec la céfoxitine, l'imipenem ou le chloramphénicol a été démontré. L'importance clinique de ces résultats obtenus in vitro n'est pas connue.
- +Le probénécide ralentit l'élimination rénale de Zinacef, augmentant ainsi sa concentration et prolongeant sa durée de persistance dans l'organisme. L'utilisation concomitante de probénécide n'est pas recommandée.
-La détermination des concentrations sanguines/plasmatiques ou urinaires de glucose doit être faite à l'aide de méthodes enzymatiques (à la glucose oxydase ou à l'hexokinase). Des interférences avec la méthode par réduction (Benedikt, Fehling, Clinitest) ont été observées (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La détermination des concentrations sanguines/plasmatiques ou urinaires de glucose doit être réalisée à l'aide de méthodes enzymatiques (méthodes basées sur la glucose oxydase ou à l'hexokinase). Des interférences avec la méthode du test par réduction (Benedikt, Fehling, Clinitest) ont été observées (voir «Mises en garde et précautions»).
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Une faible quantité de Zinacef passe dans le lait maternel. Chez le nourrisson allaité, le risque d'une sensibilisation, de diarrhées ou d'une colonisation par les Blastomyces ne peut être exclu. Au cours du traitement par Zinacef, il ne faut donc allaiter qu'en cas de nécessité absolue.
- +Une faible quantité de Zinacef passe dans le lait maternel. Chez le nourrisson allaité, le risque d'une sensibilisation, de diarrhées ou d'une colonisation par les Blastomyces ne peut être exclue. Au cours du traitement par Zinacef, il ne faut donc allaiter qu'en cas de nécessité absolue.
-Les catégories de fréquence indiquées ci-dessous pour les différents effets indésirables ne sont que des estimations, étant donné que, pour la plupart de ces effets, les données disponibles sont insuffisantes pour permettre un calcul exact de leur incidence. De plus, en présence de céfuroxime sodique, l'incidence des effets indésirables est susceptible de varier d'une indication à l'autre.
-La fréquence des effets indésirables, de très fréquent jusqu'à rare, provient des données extraites des études cliniques. Les fréquences de toutes les autres réactions indésirables (c-à-d. réactions avec une incidence <1/10'000) proviennent, pour la plupart, de données obtenues à partir de rapports expérimentaux (Post-Marketing Reports) et correspondent donc à la fréquence de signalement et non à la fréquence d'apparition réelle.
- +Les catégories de fréquence indiquées ci-dessous pour les différents effets indésirables ne sont que des valeurs estimées, étant donné que, pour la plupart de ces effets, les données disponibles sont insuffisantes pour permettre un calcul exact de leur incidence. De plus, en présence de céfuroxime sodique, l'incidence des effets indésirables est susceptible de varier en fonction de l'indication.
- +La fréquence des effets indésirables, de très fréquents jusqu'à rares, provient des données extraites des études cliniques. Les fréquences de toutes les autres réactions indésirables (c.-à-d. réactions avec une incidence <1/10 000) proviennent, pour la plupart, de données obtenues à partir de rapports d'expérience (rapport de post-commercialisation) et correspondent donc à la fréquence de signalement et non à la fréquence d'apparition réelle.
-fréquents ≥1/100 et <1/10,
-occasionnels ≥1/1'000 et <1/100,
-rares ≥1/10'000 et <1/1'000,
-très rares <1/10'000.
- +fréquents ≥1/100 à <1/10,
- +occasionnels ≥1/1000 à <1/100,
- +rares ≥1/10 000 à <1/1000,
- +très rares <1/10 000.
-Fréquents: prolifération des candidas. Prolifération des germes non sensibles (p.ex. des entérocoques) lors d'une administration prolongée.
- +Fréquents: prolifération de Candida. Prolifération de germes non sensibles (p.ex. des entérocoques) lors d'une administration prolongée.
-Les antibiotiques de la classe des céphalosporines ont tendance à être absorbés à la surface des membranes des globules rouges et à réagir avec des anticorps dirigés contre le médicament, conduisant alors à un test de Coombs positif (pouvant interférer avec les tests de compatibilité sanguine croisée) et dans de très rares cas, à une anémie hémolytique.
- +Les antibiotiques de la classe des céphalosporines ont tendance à être absorbés à la surface des membranes des globules rouges et à réagir avec des anticorps dirigés contre le médicament. Ceci peut conduire alors à un test de Coombs positif (pouvant interférer avec les tests de compatibilité sanguine croisée) et dans de très rares cas, à une anémie hémolytique.
-Réactions d'hypersensibilité, entre autres
- +Réactions d'hypersensibilité, entre autres.
-Très rares: néphrite interstitielle aiguë, choc anaphylactique, vasculite cutanée.
- +Très rares: néphrite interstitielle, choc anaphylactique, vasculite cutanée.
-Voir aussi «Affections du système immunitaire».
- +Voir aussi «Affections du système immunitaire» et «Mises en garde et précautions».
-Voir aussi «Troubles du système immunitaire».
- +Voir aussi «Affections du système immunitaire».
-Fréquents: Réactions au site d'injection, y compris douleur et thrombophlébite. La thrombophlébite peut, dans une large mesure, être évitée par une injection lente du produit (en 3 à 5 minutes).
-A des posologies élevées, l'apparition de douleurs au site d'injection intramusculaire est très probable. Cependant, il est peu probable que ceci soit la cause d'un arrêt du traitement.
- +Fréquents: réactions au site d'injection, y compris douleur et thrombophlébite. La thrombophlébite peut, dans une large mesure, être évitée par une injection lente du produit (en 3 à 5 minutes).
- +À des doses élevées, l'apparition de douleurs au site d'injection intramusculaire est très probable. Cependant, il est peu probable que ceci induise l'arrêt du traitement.
-La céfuroxime est une céphalosporine semi-synthétique de 2e génération destinée à l'application parentérale. L'action bactéricide de la céfuroxime repose sur l'inhibition de la synthèse de la paroi bactérienne.
- +La céfuroxime est une céphalosporine semi-synthétique de 2ème génération destinée à l'application parentérale. L'action bactéricide de la céfuroxime repose sur l'inhibition de la synthèse de la paroi bactérienne.
-* L'efficacité clinique contre la céfuroxime a été démontrée dans des études cliniques.
- +* L'efficacité clinique à la céfuroxime a été démontrée dans des études cliniques.
-Streptococcus pyogenes* (et autres streptocoques β-hémolytiques)
-Staphylococcus aureus (isolats sensibles à la méthicilline)+
-Staphylocoques à coagulase négative (isolats sensibles à la méthicilline)
- +·Streptococcus pyogenes* (et autres streptocoques β-hémolytiques)
- +·Staphylococcus aureus (isolats sensibles à la méthicilline)+
- +·Staphylocoques à coagulase négative (isolats sensibles à la méthicilline)
-Haemophilus influenzae (y compris souches résistantes à l'ampicilline)*
-Haemophilus parainfluenzae*
-Moraxella catarrhalis*
- +·Haemophilus influenzae (y compris souches résistantes à l'ampicilline)*
- +·Haemophilus parainfluenzae*
- +·Moraxella catarrhalis*
-Streptococcus pneumoniae*
-Groupe Streptococcus viridans
- +·Streptococcus pneumoniae*
- +·Groupe Streptococcus viridans
-Bordetella pertussis
-Citrobacter spp. sans C. freundii
-Enterobacter spp. sans E. aerogenes et E. cloacae
-Escherichia coli*
-Klebsiella spp., y compris K. pneumoniae*
-Proteus mirabilis
-Proteus spp. sans P. penneri et P. vulgaris
-Providencia spp.
-Salmonella spp.
- +·Bordetella pertussis
- +·Citrobacter spp. sans C. freundii
- +·Enterobacter spp. sans E. aerogenes et E. cloacae
- +·Escherichia coli*
- +·Klebsiella spp., y compris K. pneumoniae*
- +·Proteus mirabilis
- +·Proteus spp. sans P. penneri et P. vulgaris
- +·Providencia spp.
- +·Salmonella spp.
-Clostridium spp. sans C. difficile
-Peptostreptococcus spp.
-Propionibacterium spp.
- +·Clostridium spp. sans C. difficile
- +·Peptostreptococcus spp.
- +·Propionibacterium spp.
-Bacteroides spp. sans B. fragilis
-Fusobacterium spp
-Espèces résistantes d'emblée:
- +·Bacteroides spp. sans B. fragilis
- +·Fusobacterium spp.
- +Espèces résistantes intrinsèquement:
-Enterococcus spp., y compris E. faecalis et E. faecium
-Listeria monocytogenes
- +·Enterococcus spp., y compris E. faecalis et E. faecium
- +·Listeria monocytogenes
-Acinetobacter spp.
-Burkholderia cepacia
-Campylobacter spp.
-Citrobacter freundii
-Enterobacter aerogenes
-Enterobacter cloacae
-Morganella morganii
-Proteus penneri
-Proteus vulgaris
-Pseudomonas spp., y compris P. aeruginosa
-Serratia spp.
-Stenotrophomonas maltophilia
- +·Acinetobacter spp.
- +·Burkholderia cepacia
- +·Campylobacter spp.
- +·Citrobacter freundii
- +·Enterobacter aerogenes
- +·Enterobacter cloacae
- +·Morganella morganii
- +·Proteus penneri
- +·Proteus vulgaris
- +·Pseudomonas spp., y compris P. aeruginosa
- +·Serratia spp.
- +·Stenotrophomonas maltophilia
-Clostridium difficile
- +·Clostridium difficile
-Bacteroides fragilis
- +·Bacteroides fragilis
-Chlamydia species
-Mycoplasma species
-Legionella species
- +·Chlamydia species
- +·Mycoplasma species
- +·Legionella species
-Les valeurs critiques des concentrations minimales inhibitrices (CMI) établies par l'European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing (EUCAST) sont les suivantes:
-Micro-organisme Valeurs critiques de sensibilité (mg/L)
- +Les valeurs limites des concentrations minimales inhibitrices (CMI) établies par l'European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing (EUCAST) sont les suivantes:
- +Micro-organisme Valeurs limites de sensibilité (mg/L)
-Valeurs critiques non reliées à une espèce1 ≤45 >85
-1 Les valeurs critiques des céphalosporines pour les entérobactéries permettront de détecter tout mécanisme de résistance clinique important (y compris les BLSE et les enzymes AmpC à médiation plasmidique). Certaines souches produisant des bêta-lactamases sont sensibles ou de sensibilité intermédiaire aux céphalosporines de 3ème ou 4ème génération à ces valeurs critiques et doivent être rapportées comme trouvées, c'est-à-dire que la présence ou l'absence d'une BLSE n'influence pas en soi la catégorisation de la sensibilité. Dans de nombreux cas, la détection et la caractérisation d'une BLSE sont recommandées ou obligatoires, à des fins de contrôle des infections. 2 La valeur critique fait référence à une dose de 1,5 g × 3 et à E. coli, P. mirabilis et Klebsiella spp. uniquement. 3 La sensibilité des staphylocoques aux céphalosporines est déduite de la sensibilité à la méticilline, excepté pour la ceftazidime, le céfixime et le ceftibutène, pour lesquels il n'existe pas de valeurs critiques et qu'il convient de ne pas utiliser pour des infections à staphylocoques. 4 La sensibilité aux bêta-lactamines des streptocoques bêta-hémolytiques des groupes A, B, C et G est déduite de la sensibilité à la pénicilline. 5 Les valeurs critiques s'appliquent à une dose intraveineuse journalière de 750 mg × 3 et à une dose élevée d'au moins 1,5 g × 3.
- +Valeurs limites non reliées à une espèce1 ≤45 >85
- +1 Les valeurs limites des céphalosporines pour les entérobactéries enregistrent tout mécanisme de résistance clinique important (y compris les BLSE et les enzymes AmpC à médiation plasmidique). Certaines souches produisant des bêta-lactamases sont sensibles ou de sensibilité intermédiaire aux céphalosporines de 3ème ou 4ème génération à ces valeurs limites et doivent être rapportées en conséquence, c'est-à-dire que la présence ou l'absence d'une BLSE n'influence pas en soi la catégorisation de la sensibilité. Dans de nombreux cas, la détection et la caractérisation d'une BLSE sont recommandées ou obligatoires, à des fins de contrôle des infections. 2 La valeur limite fait référence à une dose de 1,5 g x 3 et à E. coli, P. mirabilis et Klebsiella spp. uniquement. 3 La sensibilité des staphylocoques aux céphalosporines est déduite de la sensibilité à la méticilline, excepté pour la ceftazidime, le céfixime et le ceftibutène, pour lesquels il n'existe pas de valeur limite et qu'il convient de ne pas utiliser pour des infections à staphylocoques. 4 La sensibilité aux bêta-lactamines des streptocoques bêta-hémolytiques des groupes A, B, C et G est déduite de la sensibilité à la pénicilline. 5 Les valeurs limites s'appliquent à une dose intraveineuse journalière de 750 mg x 3 et à une dose élevée d'au moins 1,5 g x 3.
-Mécanisme de résistance
- +Mécanismes de résistance
-A l'instar d'autres pénicillines et céphalosporines, une résistance croisée peut apparaître avec des antibiotiques de la même famille.
- +À l'instar d'autres pénicillines et céphalosporines, une résistance croisée peut apparaître avec des antibiotiques de la même famille.
-Après une injection i.m. ou i.v., l'antibiotique diffuse dans la plupart des liquides et des tissus organiques. Le volume de distribution chez l'adulte sain est compris entre 9,3 et 15,8 L/1,73 m2. La liaison aux protéines plasmatiques est de 33 à 50%, suivant la méthode de détermination.
-Le principe actif peut être retrouvé à hautes concentrations dans les reins, le cœur, la bile, le foie, la prostate, les ovaires, l'utérus, les os, le tissu adipeux, la salive, la sécrétion bronchique, les exsudats de plaies, l'humeur aqueuse, ainsi que dans les liquides synovial, péricardique, péritonéal et pleural. La céfuroxime ne franchit la barrière hémato-encéphalique qu'en cas d'inflammation des méninges.
-La céfuroxime traverse la barrière placentaire. 3 à 5,5 heures après l'administration intramusculaire d'une dose unique de 750 mg, une concentration de 18 µg/mL de céfuroxime peut être décelée dans le liquide amniotique.
- +Après une injection i.m. ou i.v., l'antibiotique diffuse dans la plupart des liquides corporels et des tissus. Le volume de distribution chez l'adulte sain est compris entre 9,3 et 15,8 L/1,73 m2. La liaison aux protéines plasmatiques est de 33 à 50%, selon la méthode de détermination.
- +Le principe actif peut être retrouvé à hautes concentrations dans les reins, le cœur, la vésicule biliaire, le foie, la prostate, les ovaires, l'utérus, les os, le tissu adipeux, la salive, la sécrétion bronchique, les exsudats de plaies, l'humeur aqueuse, ainsi que dans les liquides synovial, péricardique, péritonéal et pleural. La céfuroxime ne franchit la barrière hémato-encéphalique qu'en cas d'inflammation des méninges.
- +La céfuroxime traverse la barrière placentaire. 3 à 5,5 heures après l'administration intramusculaire d'une dose unique de 750 mg, une concentration de 18 µg/mL de céfuroxime peut être mesurée dans le liquide amniotique.
-·Insuffisance rénale: chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale, la demi-vie sérique se trouve prolongée. La persistance de la substance dans l'organisme dépend du degré de gravité de l'atteinte rénale. Chez le patient anurique, des demi-vies de 15 à 22 heures ont été mesurées.
- +·Insuffisance rénale: chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale, la demi-vie sérique est prolongée. La persistance de la substance dans l'organisme dépend du degré de gravité de l'atteinte rénale. Chez le patient anurique, des demi-vies de 15 à 22 heures ont été mesurées.
-On ne dispose pas de données précliniques pertinentes pour l'emploi de Zinacef.
- +On ne dispose pas de données précliniques pertinentes quant à l'utilisation de Zinacef.
-Zinacef ne doit pas être donné avec une solution de bicarbonate de sodium.
- +Zinacef ne doit pas être ajouté à une solution de bicarbonate de sodium.
-Un traitement par Zinacef peut provoquer dans certains cas un test de Coombs direct positif. L'épreuve sérologique de compatibilité croisée peut se trouver influencée.
-Pour la détermination du glucose dans le sang/plasma ou dans les urines, il convient d'utiliser une méthode enzymatique (méthode à la glucose-oxydase ou à l'hexokinase). Des interférences avec les tests de réduction (Benedikt, Fehling, Clinitest) ont été observées.
- +Un traitement par Zinacef peut provoquer dans certains cas un test de Coombs direct positif. Le test sérologique de compatibilité croisée peut se trouver influencée.
- +Pour la détermination du glucose dans le sang/plasma ou dans les urines, il convient d'utiliser une méthode enzymatique (méthode à la glucose-oxydase ou à l'hexokinase). Des interférences ont été observées avec la méthode par réduction (Benedikt, Fehling, Clinitest).
-Les solutions plus diluées (1,5 g dans 50 mL d'eau pour préparation injectable) restent stables pendant 24 heures à 25 °C et jusqu'à 72 heures à 4 °C (voir aussi «Remarques concernant la manipulation»). L'intensité de la couleur des suspensions et solutions reconstituées peut s'intensifier pendant ces périodes, sans que l'efficacité et la tolérance ne soient modifiées.
- +Les solutions plus diluées (1,5 g dans 50 mL d'eau pour préparations injectables) restent stables pendant 24 heures à 25 °C et jusqu'à 72 heures à 4 °C (voir aussi «Remarques concernant la manipulation»). L'intensité de la couleur des suspensions et solutions reconstituées peut s'intensifier pendant ces périodes, sans que l'efficacité et la tolérance ne soient modifiées.
-Ajouter 3 mL d'eau pour préparation injectable au flacon-ampoule à 750 mg. L'agiter légèrement jusqu'à l'obtention d'une suspension laiteuse. L'adjonction d'un anesthésique local n'est pas indispensable.
- +Ajouter 3 mL d'eau pour préparations injectables au flacon-ampoule à 750 mg. L'agiter légèrement jusqu'à l'obtention d'une suspension laiteuse. L'adjonction d'un anesthésique local n'est pas indispensable.
-Il faut ajouter au moins 6 mL d'eau pour préparation injectable au flacon-ampoule à 750 mg et 15 mL au flacon-ampoule à 1,5 g. Agiter délicatement pour obtenir une solution jaunâtre. Ces solutions peuvent être administrées directement en injection i.v. lente (en 3 à 5 minutes).
- +Il faut ajouter au moins 6 mL d'eau pour préparations injectables au flacon-ampoule à 750 mg et 15 mL au flacon-ampoule à 1,5 g. Agiter délicatement pour obtenir une solution jaunâtre. Ces solutions peuvent être administrées directement en injection i.v. lente (en 3 à 5 minutes).
-Dissoudre 1,5 g de substance sèche de Zinacef dans 20 mL d'eau pour préparation injectable et l'ajouter à une quantité de 50 à 100 mL de solution pour perfusion (solutions pour perfusion compatibles citées ci-dessous).
- +Dissoudre 1,5 g de substance sèche de Zinacef dans 20 mL d'eau pour préparations injectables et l'ajouter à une quantité de 50 à 100 mL de solution pour perfusion (solutions pour perfusion compatibles citées ci-dessous).
-Lors de l'adjonction à une perfusion continue, dissoudre 1,5 g de Zinacef dans 20 mL d'eau pour préparation injectable, puis l'ajouter à la quantité requise de solution à perfuser.
- +Lors de l'adjonction à une perfusion continue, dissoudre 1,5 g de Zinacef dans 20 mL d'eau pour préparations injectables, puis l'ajouter à la quantité requise de solution à perfuser.
-1,5 g de Zinacef dilué dans 15 mL d'eau pour préparation injectable est compatible avec les solutions médicamenteuses suivantes:
- +1,5 g de Zinacef dilué dans 15 mL d'eau pour préparations injectables est compatible avec les solutions médicamenteuses suivantes:
-N'utiliser, dans la mesure du possible, que des solutions fraîchement préparées. Ces solutions jaunâtres peuvent, devenir plus foncées après un certain temps, mais ce phénomène n'a aucune influence sur l'efficacité ou la tolérance du produit sur une courte période (voir «Remarques particulières/Stabilité»).
- +N'utiliser, dans la mesure du possible, que des solutions fraîchement préparées. Ces solutions jaunâtres peuvent devenir plus foncées après un certain temps, mais ce phénomène n'a aucune influence sur l'efficacité ou la tolérance du produit sur une courte période (voir «Remarques particulières/Stabilité»).
-Octobre 2019.
- +Mai 2020.
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