58 Changements de l'information professionelle Corvaton |
-Traitement et prophylaxie des cardiopathies coronaires de tous les degrés; angine de poitrine, infarctus du myocarde (mais seulement après stabilisation de la circulation); traitement de l’infarctus du myocarde lors de douleurs angineuses.
- +Traitement et prophylaxie des cardiopathies coronaires de tous les degrés; angine de poitrine, infarctus du myocarde (mais seulement après stabilisation de la circulation); traitement de l'infarctus du myocarde lors de douleurs angineuses.
-Corvaton: en général, 1 comprimé de Corvaton 2–3×/jour. Dans quelques cas, ½ comprimé 2×/jour est suffisant, d’autre part dans les cas graves ou lors de surcharge physique ou psychique, il peut être nécessaire de prendre 1–2 comprimés 3×/jour.
-Corvaton forte: en général, 1 comprimé 2–4×/jour.
-Corvaton retard: en général et pour autant qu’il n’y ait aucune autre prescription, administrer 1 comprimé retard 1–2×/jour selon le degré de la maladie et la réponse du patient. Dans certains cas, un comprimé retard 3×/jour pourrait occasionnellement être nécessaire, dans des cas plus légers, ½ comprimé retard 2×/jour pourrait suffire.
- +Corvaton: en général, 1 comprimé de Corvaton 2-3×/jour. Dans quelques cas, ½ comprimé 2×/jour est suffisant, d'autre part dans les cas graves ou lors de surcharge physique ou psychique, il peut être nécessaire de prendre 1-2 comprimés 3×/jour.
- +Corvaton forte: en général, 1 comprimé 2-4×/jour.
- +Corvaton retard: en général et pour autant qu'il n'y ait aucune autre prescription, administrer 1 comprimé retard 1-2×/jour selon le degré de la maladie et la réponse du patient. Dans certains cas, un comprimé retard 3×/jour pourrait occasionnellement être nécessaire, dans des cas plus légers, ½ comprimé retard 2×/jour pourrait suffire.
-Ce produit n’est pas destiné pour l’utilisation chez les enfants ou les adolescents au-dessous de 18 ans.
- +Ce produit n'est pas destiné pour l'utilisation chez les enfants ou les adolescents au-dessous de 18 ans.
-Le médicament ne doit pas être prescrit en cas d’hypersensibilité à la molsidomine.
-Le Corvaton ne convient pas au traitement d’urgence des crises d’angine de poitrine.
-Ne pas administrer le Corvaton lors d’une défaillance circulatoire aiguë (état de choc, collapsus, pression de remplissage diminuée) et lors d’une hypotension sévère (tension artérielle systolique au-dessous de 100 mm Hg).
-La prise des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (p.ex. Viagra) et Corvaton est contre-indiquée (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +Le médicament ne doit pas être prescrit en cas d'hypersensibilité à la molsidomine.
- +Corvaton ne convient pas au traitement d'urgence des crises d'angine de poitrine.
- +Ne pas administrer Corvaton lors d'une défaillance circulatoire aiguë (état de choc, collapsus, pression de remplissage diminuée) et lors d'une hypotension sévère (tension artérielle systolique au-dessous de 100 mm Hg).
- +La prise des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (par ex. Viagra) et Corvaton est contre-indiquée (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +L'utilisation simultanée de donneurs d'oxyde nitrique tels que molsidomine, sous quelque forme que ce soit, avec des stimulateurs de la guanylate cyclase soluble (par ex. riociguat) est contre-indiquée en raison d'un risque accru d'hypotension (voir «Interactions»).
- +
-A la suite d’un infarctus récent, ne donner le Corvaton que sous contrôle médical strict, en observant continuellement l’évolution de la circulation sanguine.
-Les patients ayant un risque accru d’une réaction hypotensive doivent être surveillés étroitement. Une adaptation individuelle de posologie peut être nécessaire.
-En raison de son effet pharmacologique (inhibition de la dégradation du GMPc), les inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5, p.ex. le sildénafil (Viagra), potentialisent l’effet hypotenseur des dérivés nitrés et autres substances libérant de l’oxyde nitrique, ce qui peut conduire à une hypotension grave, souvent résistante au traitement. C’est pourquoi la prise des inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 est contre-indiquée pendant le traitement avec Corvaton. Le patient doit être informé de cette interaction pouvant mettre la vie en danger.
-Corvaton, Corvaton forte et Corvaton retard contiennent du lactose. Les patients souffrant de maladies héréditaires rares, telles qu’une intolérance au galactose, un déficit en lactase ou une malabsorption de glucose/galactose ne doivent donc pas être traités par ces médicaments.
- +A la suite d'un infarctus récent, ne donner Corvaton que sous contrôle médical strict, en observant continuellement l'évolution de la circulation sanguine.
- +Les patients ayant un risque accru d'une réaction hypotensive doivent être surveillés étroitement. Une adaptation individuelle de posologie peut être nécessaire.
- +En raison de son effet pharmacologique (inhibition de la dégradation du GMPc), les inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5, par ex. le sildénafil (Viagra), potentialisent l'effet hypotenseur des dérivés nitrés et autres substances libérant de l'oxyde nitrique, ce qui peut conduire à une hypotension grave, souvent résistante au traitement. C'est pourquoi la prise des inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 est contre-indiquée pendant le traitement avec Corvaton. Le patient doit être informé de cette interaction pouvant mettre la vie en danger.
- +Alcaloïdes de l'ergot: une interaction pharmacodynamique est possible entre les donneurs d'oxyde nitrique tels que molsidomine et les alcaloïdes de l'ergot (par ex. nicergoline, dihydroergocristine, dihydroergotamine, dihydroergocryptine) ce qui peut conduire à un effet antagoniste entre ces deux substances actives. Une utilisation concomitante de donneurs d'oxyde nitrique et d'alcaloïdes de l'ergot est à éviter.
- +Corvaton, Corvaton forte et Corvaton retard contiennent du lactose. Les patients souffrant de maladies héréditaires rares, telles qu'une intolérance au galactose, un déficit en lactase ou une malabsorption de glucose/galactose ne doivent donc pas être traités par ces médicaments.
-L’effet hypotenseur des substances libérant de l’oxyde nitrique et des dérivés nitrés en administration aiguë ou chronique est renforcé par les inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 p.ex. le sildénafil (Viagra). C’est pourquoi l’administration des inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 est contre-indiquée pendant le traitement avec Corvaton. Si toutefois un inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 a été administré, l’utilisation de Corvaton est contre-indiquée dans les 24 heures qui suivent la prise d’inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5.
-En cas d’administration simultanée de médicaments hypotenseurs, l’effet de ces derniers peut être potentialisé par le Corvaton.
-L’effet hypotenseur de la molsidomine peut être renforcé par l’alcool.
- +L'effet hypotenseur des substances libérant de l'oxyde nitrique et des dérivés nitrés en administration aiguë ou chronique est renforcé par les inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 par ex. le sildenafil (Viagra). C'est pourquoi l'administration des inhibiteurs de la phosphodiestérases de type 5 est contre-indiquée pendant le traitement avec Corvaton. Si toutefois un inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 a été administré, l'utilisation de Corvaton est contre-indiquée dans les 24 heures qui suivent la prise d'inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5.
- +En cas d'administration simultanée de médicaments hypotenseurs, l'effet de ces derniers peut être potentialisé par Corvaton.
- +L'effet hypotenseur de la molsidomine peut être renforcé par l'alcool.
- +L'utilisation concomitante de molsidomine et d'agonistes de la guanylate cyclase soluble (sGC), la sGC étant un récepteur pour l'oxyde nitrique, (par ex. riociguat) est contre-indiquée car cette association peut induire un risque accru d'hypotension (voir «Contre-indications»).
- +Une interaction pharmacodynamique est possible entre les donneurs d'oxyde nitrique tels que molsidomine et les alcaloïdes de l'ergot (voir «Mises en garde et précautions»).
-Les études de reproduction chez l’animal n’ont pas démontré de risque foetal, mais on ne dispose pas d’étude contrôlée chez la femme enceinte.
- +Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas démontré de risque foetal, mais on ne dispose pas d'étude contrôlée chez la femme enceinte.
-Le Corvaton ne doit pas être pris pendant la période d’allaitement.
- +Corvaton ne doit pas être pris pendant la période d'allaitement.
-Quelques effets secondaires (p.ex. vertige) peuvent réduire l’aptitude des patients à prendre une part active à la circulation publique ou à utiliser des machines. Le risque est accru au début de traitement ainsi en cas d’ingestion simultanée d’alcool.
- +Quelques effets secondaires (par ex. vertige) peuvent réduire l'aptitude des patients à prendre une part active à la circulation publique ou à utiliser des machines. Le risque est accru au début de traitement ainsi en cas d'ingestion simultanée d'alcool.
-Les effets indésirables (EI) sont classés en fonctions des types d’organes et de la fréquence: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10’000 à <1/1000) et très rares (<1/10'000). Dans chacune des classes de fréquences, les EI sont mentionnés par fréquence décroissante.
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Les effets indésirables (EI) sont classés en fonctions des types d'organes et de la fréquence: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000) et très rares (<1/10'000). Dans chacune des classes de fréquences, les EI sont mentionnés par fréquence décroissante.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles vasculaires
-Lors d'un traitement par le Corvaton, on devrait prendre en considération que la pression sanguine au repos, en particulier la valeur systolique, est diminuée. Une hypertension initiale est abaissée de manière plus distincte qu'une hypotension ou une normotension. Le débit et l'index cardiaques sont en règle générale diminués par la réduction de la précharge, pourtant lors d'une insuffisance myocardique, ils restent constants ou peuvent être augmentés selon l'état initial grâce à l'amélioration de la fonction de pompage.
- +Affections vasculaires
- +Lors d'un traitement par Corvaton, on devrait prendre en considération que la pression sanguine au repos, en particulier la valeur systolique, est diminuée. Une hypertension initiale est abaissée de manière plus distincte qu'une hypotension ou une normotension. Le débit et l'index cardiaques sont en règle générale diminués par la réduction de la précharge, pourtant lors d'une insuffisance myocardique, ils restent constants ou peuvent être augmentés selon l'état initial grâce à l'amélioration de la fonction de pompage.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Jusqu’à 60 mg de molsidomine ont été ingérés dans des cas de tentative de suicide, sans toutefois conduire au décès. De tels surdosages peuvent provoquer des baisses de pression systolique et diastolique descendant, le cas échéant, jusqu’à des valeurs qui ne sont plus mesurables. Parallèlement, on peut parfois noter une bradycardie pouvant entraîner l’apparition réversible d’un bloc AV d’intensité diverse.
-Ces surdosages n’ont pas laissé de séquelles organiques, ni influencé les paramètres du tableau chimique sanguin.
-Conduite thérapeutique en cas de surdosage: Pour rendre la chute de pression artérielle réversible, surélever les jambes du patient, administrer une substance accroissant la volémie plasmatique (Dextran), de la dopamine, de la dobutamine ou d’autres préparations à effet adrénergique. En cas de bradycardie, donner de l’atropine, de l’Akrinor®, de l’isoprotérénol ou de l’orciprénaline.
- +Jusqu'à 60 mg de molsidomine ont été ingérés dans des cas de tentative de suicide, sans toutefois conduire au décès. De tels surdosages peuvent provoquer des baisses de pression systolique et diastolique descendant, le cas échéant, jusqu'à des valeurs qui ne sont plus mesurables. Parallèlement, on peut parfois noter une bradycardie pouvant entraîner l'apparition réversible d'un bloc AV d'intensité diverse.
- +Ces surdosages n'ont pas laissé de séquelles organiques, ni influencé les paramètres du tableau chimique sanguin.
- +Conduite thérapeutique en cas de surdosage: Pour rendre la chute de pression artérielle réversible, surélever les jambes du patient, administrer une substance accroissant la volémie plasmatique (Dextran), de la dopamine, de la dobutamine ou d'autres préparations à effet adrénergique. En cas de bradycardie, donner de l'atropine, de l'Akrinor®, de l'isoprotérénol ou de l'orciprénaline.
-Mécanisme d’action
- +Mécanisme d'action
-Sur le plan moléculaire, la molsidomine agit par la formation d’un groupe de NO libre qui active la guanylyl cyclase soluble entrainant une augmentation de la concentration de cyclic guanosyl-monophosphate (cGMP) et, par conséquent, entraîne une relaxation de la musculature vasculaire lisse.
-Pharmacodynamie et efficacité clinique
-L’action prédominante du Corvaton est constituée par une diminution de la précharge, réduisant ainsi la résistance des coronaires.
- +Sur le plan moléculaire, la molsidomine agit par la formation d'un groupe d'oxyde nitrique (NO) libre qui active la guanosyl-monophosphate-cyclase (cGMP) soluble et, par conséquent, entraîne une relaxation de la musculature vasculaire lisse.
- +Pharmacodynamique et efficacité clinique
- +L'action prédominante du Corvaton est constituée par une diminution de la précharge, réduisant ainsi la résistance des coronaires.
-Cette diminution de la précharge, et de la postcharge indirectement, signifie une réduction de la tension pariétale du myocarde (30%) et une diminution de la consommation d’oxygène (26%). Le segment PQ et le temps de perfusion ne sont pas influencés. Une influence directe sur la résistance des vaisseaux n’a pas été mise en évidence, de même, aucune augmentation de la fréquence cardiaque réflexe n’a été observée.
- +Cette diminution de la précharge, et de la postcharge indirectement, signifie une réduction de la tension pariétale du myocarde (30%) et une diminution de la consommation d'oxygène (26%). Le segment PQ et le temps de perfusion ne sont pas influencés. Une influence directe sur la résistance des vaisseaux n'a pas été mise en évidence, de même, aucune augmentation de la fréquence cardiaque réflexe n'a été observée.
-Les taux de radioactivité mesurés dans les urines et les fèces après l’administration orale du Corvaton marqué (14C) montrent que l’absorption est quasi complète.
- +Les taux de radioactivité mesurés dans les urines et les fèces après l'administration orale du Corvaton marqué (14C) montrent que l'absorption est quasi complète.
-Prise après le repas, la molsidomine est résorbée d’une manière ralentie mais quasi complète. Le taux sanguin maximal est atteint 30 à 60 minutes plus tard que chez un sujet à jeun.
- +Prise après le repas, la molsidomine est résorbée d'une manière ralentie mais quasi complète. Le taux sanguin maximal est atteint 30 à 60 minutes plus tard que chez un sujet à jeun.
-Après l’administration d’un comprimé de 2 mg, la concentration plasmatique est de 20 ± 10 ng/ml; elle est de 41,3 ± 21,8 ng/ml après un comprimé de 4 mg. Les concentrations maximales dans le sang sont obtenues après 30 à 60 minutes. La durée d’action est de 4 à 6 heures.
- +Après l'administration d'un comprimé de 2 mg, la concentration plasmatique est de 20 ± 10 ng/ml; elle est de 41,3 ± 21,8 ng/ml après un comprimé de 4 mg. Les concentrations maximales dans le sang sont obtenues après 30 à 60 minutes. La durée d'action est de 4 à 6 heures.
-Les courbes de concentration plasmatique après administration orale et parentérale sont parallèles, les mêmes concentrations sériques ont été mesurées avec les mêmes dosages indépendamment du mode d’application.
-Le volume de distribution de la molsidomine est de 98,1 ± 47,9 l. Il n’y a aucune fixation aux protéines plasmatiques.
- +Les courbes de concentration plasmatique après administration orale et parentérale sont parallèles, les mêmes concentrations sériques ont été mesurées avec les mêmes dosages indépendamment du mode d'application.
- +Le volume de distribution de la molsidomine est de 98,1 ± 47,9 l. Il n'y a aucune fixation aux protéines plasmatiques.
-Après la métabolisation, l’élimination se fait à 90% par les urines, à 9% par les fèces. Moins de 2% seront éliminés en molsidomine inchangée.
-La demi-vie d’élimination terminale de la molsidomine (t) est de 1,6 ± 0,75 heures, celle du comprimé retard de 3,4 ± 0,3 heures.
- +Après la métabolisation, l'élimination se fait à 90% par les urines, à 9% par les fèces. Moins de 2% seront éliminés en molsidomine inchangée.
- +La demi-vie d'élimination terminale de la molsidomine (t½) est de 1,6 ± 0,75 heures, celle du comprimé retard de 3,4 ± 0,3 heures.
-Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale, on n’a pas noté de variation de la cinétique molsidomine-plasma; elle correspond à celle des patients sains. La molsidomine est métabolisée dans le foie. En cas d’insuffisance hépatique grave (rétention BSP de 20 à 50%), on observe une augmentation de la concentration de molsidomine dans le plasma et une prolongation de la demi-vie biologique.
- +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale, on n'a pas noté de variation de la cinétique molsidomine-plasma; elle correspond à celle des patients sains. La molsidomine est métabolisée dans le foie. En cas d'insuffisance hépatique grave (rétention BSP de 20 à 50%), on observe une augmentation de la concentration de molsidomine dans le plasma et une prolongation de la demi-vie biologique.
-La mutagénicité de la molsidomine a été testée lors de plusieurs tests in vitro et in vivo. Le test très détaillé n’a mis en évidence aucun indice important d’un effet mutagène.
-La molsidomine a été testée sur des souris et des rats dans le cadre d’études à long terme portant sur la carcinogénicité. Alors qu’aucune augmentation des tumeurs n’a été observée chez les souris sous molsidomine par rapport au groupe de contrôle, des tumeurs malignes dans la région ethmoturbinale du nez ont été observées chez des rats à des posologies élevées et au bout de longues périodes d’exposition. Un mécanisme génotoxique a pu être exclu comme cause, si bien qu’une dose-seuil peut être supposée.
- +La mutagénicité de la molsidomine a été testée lors de plusieurs tests in vitro et in vivo. Le test très détaillé n'a mis en évidence aucun indice important d'un effet mutagène.
- +La molsidomine a été testée sur des souris et des rats dans le cadre d'études à long terme portant sur la carcinogénicité. Alors qu'aucune augmentation des tumeurs n'a été observée chez les souris sous molsidomine par rapport au groupe de contrôle, des tumeurs malignes dans la région ethmoturbinale du nez ont été observées chez des rats à des posologies élevées et au bout de longues périodes d'exposition. Un mécanisme génotoxique a pu être exclu comme cause, si bien qu'une dose-seuil peut être supposée.
-Des tests menés sur des rats et des souris n’ont mis en évidence aucun indice de troubles de la fertilité à des doses allant jusqu’à 12 mg/kg. Chez les rats et les souris, aucun indice d’effet embryotoxique n’a été observé à la dose la plus élevée étudiée, c’est-à-dire 150 mg/kg, respectivement 200 mg/kg. Chez les lapins, des malformations du squelette de la main ont été observées dans des cas isolés à des doses maternelles toxiques (à partir de 15 mg/kg).
- +Des tests menés sur des rats et des souris n'ont mis en évidence aucun indice de troubles de la fertilité à des doses allant jusqu'à 12 mg/kg. Chez les rats et les souris, aucun indice d'effet embryotoxique n'a été observé à la dose la plus élevée étudiée, c'est-à-dire 150 mg/kg, respectivement 200 mg/kg. Chez les lapins, des malformations du squelette de la main ont été observées dans des cas isolés à des doses maternelles toxiques (à partir de 15 mg/kg).
-Ne pas utiliser la préparation lorsque la date de péremption, indiquée par «EXP», est dépassée.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver les comprimés de Corvaton à température ambiante (15–25 °C) et dans son emballage d’origine à l’abri de la lumière.
- +Conserver les comprimés de Corvaton à température ambiante (15-25 °C) et dans son emballage d'origine à l'abri de la lumière. Tenir hors de portée des enfants.
-Octobre 2013.
- +Mai 2016.
|
|