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Accueil - Information professionnelle sur Erythrocin 500 mg - Changements - 18.01.2018
86 Changements de l'information professionelle Erythrocin 500 mg
  • -Granulé: Saccharose (3,6 g d’hydrates de carbone utilisables pour 500 mg d’érythromycine), saccharine, carboxyméthylcellulose sodique, complexe colloïdal de silicate d’aluminium et de magnésium, citrate de sodium, dioxyde de silicium colloïdal, poloxamère 188, des agents aromatisants: orange bramble (vanilline et autres).
  • +Granulé: Saccharose (3,6 g d'hydrates de carbone utilisables pour 500 mg d'érythromycine), saccharine, carboxyméthylcellulose sodique, complexe colloïdal de silicate d'aluminium et de magnésium, citrate de sodium, dioxyde de silicium colloïdal, poloxamère 188, des agents aromatisants: orange bramble (vanilline et autres).
  • -Granulés: 500 mg et 1000 mg pro charta.
  • +Granulé: 500 mg et 1000 mg pro charta.
  • -Erythrocin est indiquée pour les infections suivantes, dues à des germes sensibles à l’érythromycine (voir spectre in vitro):
  • +Erythrocin est indiqué pour les infections suivantes, dues à des germes sensibles à l'érythromycine (voir spectre in vitro):
  • -Il convient de respecter les recommandations officielles sur l’utilisation appropriée des antibiotiques, en particulier les recommandations visant à empêcher l’augmentation de la résistance aux antibiotiques.
  • +Il convient de respecter les recommandations officielles sur l'utilisation appropriée des antibiotiques, en particulier les recommandations visant à empêcher l'augmentation de la résistance aux antibiotiques.
  • -Les quantités indiquées ci-dessous se rapportent à l’érythromycine base libre.
  • +Les quantités indiquées ci-dessous se rapportent à l'érythromycine base libre.
  • -Nourrissons et enfants de moins de 5 ans: du fait de la diversité des formes galéniques d’Erythrocin, Erythrocin n’est pas indiqué pour le traitement des nourrissons et des enfants de moins de 5 ans.
  • +Nourrissons et enfants de moins de 5 ans: du fait de la diversité des formes galéniques d'Erythrocin, Erythrocin n'est pas indiqué pour le traitement des nourrissons et des enfants de moins de 5 ans.
  • -Insuffisance hépatique: comme l’érythromycine est essentiellement éliminée par le foie, il faut l’administrer avec prudence en cas d’insuffisance hépatique.
  • -Insuffisance rénale: en cas d’insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <10 ml/min.) et d’anurie, il faut réduire la dose de 25–50%. L’érythromycine ne peut être éliminée ni par dialyse péritonéale ni par hémodialyse.
  • -Patients âgés: là aussi, il faut réduire la dose en cas de traitement prolongé, en raison du risque d’accumulation.
  • +Insuffisance hépatique: comme l'érythromycine est essentiellement éliminée par le foie, il faut l'administrer avec prudence en cas d'insuffisance hépatique.
  • +Insuffisance rénale: en cas d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <10 ml/min.) et d'anurie, il faut réduire la dose de 25–50%. L'érythromycine ne peut être éliminée ni par dialyse péritonéale ni par hémodialyse.
  • +Patients âgés: là aussi, il faut réduire la dose en cas de traitement prolongé, en raison du risque d'accumulation.
  • -En cas d’infection respiratoire haute et basse, la durée de traitement est généralement de 6 à 10 jours. Administrer l’Erythrocin pendant au moins 10 jours en cas d’infection due à des streptocoques β-hémolytiques du groupe A, pendant au moins 10 à 14 jours en cas de pneumonie à Mycoplasma et pendant 14 à 21 jours en cas d’infection vénérienne due à Chlamydia.
  • -Préparation du granulé en sachets à 500 mg et 1000 mg voir «Remarques particulières/Rremarques concernant la manipulation».
  • -Mode d’utilisation correct
  • +En cas d'infection respiratoire haute et basse, la durée de traitement est généralement de 6 à 10 jours. Administrer Erythrocin pendant au moins 10 jours en cas d'infection due à des streptocoques β-hémolytiques du groupe A, pendant au moins 10 à 14 jours en cas de pneumonie à Mycoplasma et pendant 14 à 21 jours en cas d'infection vénérienne due à Chlamydia.
  • +Préparation du granulé en sachets à 500 mg et 1000 mg voir «Remarques particulières/Remarques concernant la manipulation».
  • +Mode d'utilisation correct
  • -Hypersensibilité connue à l’érythromycine ou à d’autres macrolides, insuffisance hépatique grave.
  • -Erythrocin est contre-indiquée aux patients prenant de l’ergotamine ou de la dihydroergotamine (voir aussi «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • -L’érythromycine et les inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines) ne doivent pas être administrés simultanément, car ils sont en grande mesure métabolisés par le CYP3A4 (lovastatine ou simvastatine) (voir rubrique «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • -Erythrocin est contre-indiqué chez des patients avec des antécédents d’allongement de l’intervalle QT d’origine congénital ou acquis, ainsi qu’en cas de prise concomitante avec d’autres médicaments associés à un allongement de l’intervalle QT (voir «Mises en garde et précautions», «Interactions»).
  • -L’administration simultanée d’érythromycine avec de l’astémizole, de la terfénadine, du cisapride, de la dompéridone ou du pimozide est contre-indiquée (voir rubrique «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • +Hypersensibilité connue à l'érythromycine ou à d'autres macrolides, insuffisance hépatique grave.
  • +Erythrocin est contre-indiqué aux patients prenant de l'ergotamine ou de la dihydroergotamine (voir aussi «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • +L'érythromycine et les inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines) ne doivent pas être administrés simultanément, car ils sont en grande mesure métabolisés par le CYP3A4 (lovastatine ou simvastatine) (voir rubrique «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • +Erythrocin est contre-indiqué chez des patients avec des antécédents d'allongement de l'intervalle QT d'origine congénital ou acquis, ainsi qu'en cas de prise concomitante avec d'autres médicaments associés à un allongement de l'intervalle QT (voir «Mises en garde et précautions», «Interactions»).
  • +L'administration simultanée d'érythromycine avec de l'astémizole, de la terfénadine, du cisapride, de la dompéridone ou du pimozide est contre-indiquée (voir rubrique «Mises en garde et précautions» ainsi que «Interactions»).
  • -Allongement de l’intervalle QT
  • -Un allongement de l’intervalle QT et, plus rarement, des arythmies ont été observés. Pendant la surveillance qui suit la mise sur le marché, des cas de torsade de pointes ont été spontanément signalés chez des patients sous érythromycine, et des décès ont été également rapportés.
  • -L’administration d’érythromycine doit être évitée chez des patients avec un allongement connu de l’intervalle QT, chez des patients avec des troubles proarythmiques, tels qu’une hypokaliémie non traité ou une hypomagnésémie, une bradycardie cliniquement significative, ainsi que chez les patients traités par des antiarythmiques de classe IA (quinidine, procaïnamide) ou de classe III (dofétilide, amiodarone, sotalol), certains neuroleptiques, des antidépresseurs tri- et tétracycliques, du trioxyde d’arsenic, de la méthadone et de la budipine, certaines fluoroquinolones, des antifongiques imidazolés et des antipaludéens ainsi que la pentamidine i.v. (voir aussi «Interactions»).
  • -Chez les patients âgés, l’effet induit par les médicaments sur l’intervalle QT peut être plus fréquent.
  • -En cas d’apparition de symptômes susceptibles d’évoquer des arythmies tels que palpitations, vertiges ou syncopes sous traitement par érythromycine, il faut immédiatement initier un examen du patient, y compris un ECG et la mesure de l’intervalle QT.
  • -En cas d’insuffisance rénale grave (clairance <10 ml/min.) et/ou d’insuffisance hépatique, il faut réduire la dose et assurer une surveillance soigneuse. S’il apparaît des signes d’ototoxicité ou de toxicité hépatique (voir «Effets indésirables»), il faut immédiatement arrêter l’administration du produit.
  • -L’érythromycine est excrétée principalement par le foie. Il convient donc d’être prudent lors de l’administration d’érythromycine aux patients insuffisants hépatiques.
  • -La prudence est de mise chez les patients qui reçoivent en même temps des médicaments hépatotoxiques. Il faut informer les patients qu’ils doivent arrêter le traitement et consulter un médecin lorsqu’ils développent des signes et des symptômes d’affection hépatique, tels que manque d’appétit, ictère, urines foncées, démangeaisons ou sensibilité à la pression au niveau de l’abdomen.
  • +Allongement de l'intervalle QT
  • +Un allongement de l'intervalle QT et, plus rarement, des arythmies ont été observés. Pendant la surveillance qui suit la mise sur le marché, des cas de torsade de pointes ont été spontanément signalés chez des patients sous érythromycine, et des décès ont été également rapportés.
  • +L'administration d'érythromycine doit être évitée chez des patients avec un allongement connu de l'intervalle QT, chez des patients avec des troubles proarythmiques, tels qu'une hypokaliémie non traité ou une hypomagnésémie, une bradycardie cliniquement significative, ainsi que chez les patients traités par des antiarythmiques de classe IA (quinidine, procaïnamide) ou de classe III (dofétilide, amiodarone, sotalol), certains neuroleptiques, des antidépresseurs tri- et tétracycliques, du trioxyde d'arsenic, de la méthadone et de la budipine, certaines fluoroquinolones, des antifongiques imidazolés et des antipaludéens ainsi que la pentamidine i.v. (voir aussi «Interactions»).
  • +Chez les patients âgés, l'effet induit par les médicaments sur l'intervalle QT peut être plus fréquent.
  • +En cas d'apparition de symptômes susceptibles d'évoquer des arythmies tels que palpitations, vertiges ou syncopes sous traitement par érythromycine, il faut immédiatement initier un examen du patient, y compris un ECG et la mesure de l'intervalle QT.
  • +En cas d'insuffisance rénale grave (clairance <10 ml/min.) et/ou d'insuffisance hépatique, il faut réduire la dose et assurer une surveillance soigneuse. S'il apparaît des signes d'ototoxicité ou de toxicité hépatique (voir «Effets indésirables»), il faut immédiatement arrêter l'administration du produit.
  • +L'érythromycine est excrétée principalement par le foie. Il convient donc d'être prudent lors de l'administration d'érythromycine aux patients insuffisants hépatiques.
  • +La prudence est de mise chez les patients qui reçoivent en même temps des médicaments hépatotoxiques. Il faut informer les patients qu'ils doivent arrêter le traitement et consulter un médecin lorsqu'ils développent des signes et des symptômes d'affection hépatique, tels que manque d'appétit, ictère, urines foncées, démangeaisons ou sensibilité à la pression au niveau de l'abdomen.
  • -Des réactions allergiques graves, menaçant potentiellement le pronostic vital, telles que par exemple des réactions cutanées graves comme un érythème exsudatif multiforme, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique, ainsi qu’un Å“dème angioneurotique ou une anaphylaxie ont été rapportés sous érythromycine.
  • -Dès les premiers signes d’une réaction d’hypersensibilité, le traitement par érythromycine doit être immédiatement arrêté et les mesures d’urgence nécessaires correspondant aux symptômes doivent être instaurées.
  • -Une allergie croisée avec d’autres antibiotiques macrolides peut exister, de sorte que la plus grande prudence est de rigueur lors de l’utilisation en cas de réactions d’hypersensibilité connues aux macrolides ou à d’autres substances apparentées (p. ex. kétolides).
  • -Une aggravation de la faiblesse physique a été rapportée après administration d’érythromycine en cas de myasthénie grave préexistante (voir «Effets indésirables»).
  • -L’érythromycine ne doit pas être administrée simultanément avec les inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines), qui sont en grande mesure métabolisés par le CYP3A4 (lovastatine ou simvastatine), car il existe un risque accru de myopathie, y c. de rhabdomyolyse (voir aussi «Interactions»).
  • -Dans les situations ne permettant pas d’éviter l’utilisation concomitante d’érythromycine et d'une statine, il est recommandé de prescrire la plus faible dose autorisée de la statine. L’utilisation d’une statine non métabolisée par la CYP3A (p. ex. la fluvastatine) doit être envisagée. Les patients qui prennent simultanément d’autres statines doivent être informés par le médecin de surveiller tout signe de myopathie (p. ex. douleurs ou faiblesses musculaires inexpliquées ou urines foncées). Si une myopathie apparaît, il faut immédiatement arrêter de prendre la statine.
  • +Des réactions allergiques graves, menaçant potentiellement le pronostic vital, telles que par exemple des réactions cutanées graves comme un érythème exsudatif multiforme, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique, ainsi qu'un Å“dème angioneurotique ou une anaphylaxie ont été rapportés sous érythromycine.
  • +Dès les premiers signes d'une réaction d'hypersensibilité, le traitement par érythromycine doit être immédiatement arrêté et les mesures d'urgence nécessaires correspondant aux symptômes doivent être instaurées.
  • +Une allergie croisée avec d'autres antibiotiques macrolides peut exister, de sorte que la plus grande prudence est de rigueur lors de l'utilisation en cas de réactions d'hypersensibilité connues aux macrolides ou à d'autres substances apparentées (p.ex. kétolides).
  • +Une aggravation de la faiblesse physique a été rapportée après administration d'érythromycine en cas de myasthénie grave préexistante (voir «Effets indésirables»).
  • +L'érythromycine ne doit pas être administrée simultanément avec les inhibiteurs de la HMG-CoA-réductase (statines), qui sont en grande mesure métabolisés par le CYP3A4 (lovastatine ou simvastatine), car il existe un risque accru de myopathie, y c. de rhabdomyolyse (voir aussi «Interactions»).
  • +Dans les situations ne permettant pas d'éviter l'utilisation concomitante d'érythromycine et d'une statine, il est recommandé de prescrire la plus faible dose autorisée de la statine. L'utilisation d'une statine non métabolisée par la CYP3A (p.ex. la fluvastatine) doit être envisagée. Les patients qui prennent simultanément d'autres statines doivent être informés par le médecin de surveiller tout signe de myopathie (p.ex. douleurs ou faiblesses musculaires inexpliquées ou urines foncées). Si une myopathie apparaît, il faut immédiatement arrêter de prendre la statine.
  • -L’érythromycine peut provoquer des interactions cliniquement notables avec de nombreux médicaments (voir «Interactions»). Il faut en particulier éviter l’administration simultanée d’ergotamine (voir aussi «Contre-indications»), de terfénadine, d’astémizole, de dompéridone, de cisapride, de pimozide, de triazolam et de midazolam.
  • -Sous presque tout antibiotique, dont l’érythromycine, des diarrhées associées à Clostridium difficile (DACD) ont été rapportées. Le degré de sévérité peut aller d’une diarrhée légère jusqu’à une colite pseudomembraneuse à issue fatale. La possibilité d’une DACD doit être considérée chez tout patient souffrant de diarrhée après un traitement aux antibiotiques. Une évaluation soigneuse de l’anamnèse est nécessaire, étant donné qu’il existe des rapports de DACD survenues plus de deux mois après l’administration de l’antibiotique.
  • -En cas de suspicion d’une telle complication, il faut immédiatement arrêter l’administration d’érythromycine, et le patient doit être rapidement examiné pour initier, le cas échéant, une antibiothérapie spécifique (p. ex. métronidazole, vancomycine). Dans cette situation clinique, les agents inhibiteurs du péristaltisme sont contre-indiqués.
  • -Des rapports ont montré que les concentrations d’érythromycine atteintes dans le fÅ“tus ne suffisaient pas à empêcher une syphilis congénitale. Les nourrissons de mères traitées pendant la grossesse contre une syphilis précoce par érythromycine orale doivent être traités par un schéma approprié à base de pénicilline.
  • -Une utilisation prolongée ou répétée d’érythromycine peut entraîner une prolifération excessive de bactéries ou de champignons non sensibles. Dans le cas d’une surinfection, il faut arrêter le traitement par érythromycine et initier un traitement approprié.
  • -Il existe un risque de troubles visuels après la prise d’érythromycine. Chez certains patients, un dysfonctionnement préexistant du métabolisme mitochondrial peut éventuellement jouer un rôle, p. ex. une neuropathie optique héréditaire de Leber (LHON) ou une atrophie optique autosomique-dominante (ADOA).
  • +L'érythromycine peut provoquer des interactions cliniquement notables avec de nombreux médicaments (voir «Interactions»). Il faut en particulier éviter l'administration simultanée d'ergotamine (voir aussi «Contre-indications»), de terfénadine, d'astémizole, de dompéridone, de cisapride, de pimozide, de triazolam et de midazolam.
  • +Sous presque tout antibiotique, dont l'érythromycine, des diarrhées associées à Clostridium difficile (DACD) ont été rapportées. Le degré de sévérité peut aller d'une diarrhée légère jusqu'à une colite pseudomembraneuse à issue fatale. La possibilité d'une DACD doit être considérée chez tout patient souffrant de diarrhée après un traitement aux antibiotiques. Une évaluation soigneuse de l'anamnèse est nécessaire, étant donné qu'il existe des rapports de DACD survenues plus de deux mois après l'administration de l'antibiotique.
  • +En cas de suspicion d'une telle complication, il faut immédiatement arrêter l'administration d'érythromycine, et le patient doit être rapidement examiné pour initier, le cas échéant, une antibiothérapie spécifique (p.ex. métronidazole, vancomycine). Dans cette situation clinique, les agents inhibiteurs du péristaltisme sont contre-indiqués.
  • +Des rapports ont montré que les concentrations d'érythromycine atteintes dans le fÅ“tus ne suffisaient pas à empêcher une syphilis congénitale. Les nourrissons de mères traitées pendant la grossesse contre une syphilis précoce par érythromycine orale doivent être traités par un schéma approprié à base de pénicilline.
  • +Une utilisation prolongée ou répétée d'érythromycine peut entraîner une prolifération excessive de bactéries ou de champignons non sensibles. Dans le cas d'une surinfection, il faut arrêter le traitement par érythromycine et initier un traitement approprié.
  • +Il existe un risque de troubles visuels après la prise d'érythromycine. Chez certains patients, un dysfonctionnement préexistant du métabolisme mitochondrial peut éventuellement jouer un rôle, p.ex. une neuropathie optique héréditaire de Leber (LHON) ou une atrophie optique autosomique-dominante (ADOA).
  • -L’érythromycine influence le dosage des catécholamines urinaires par fluorimétrie.
  • +L'érythromycine influence le dosage des catécholamines urinaires par fluorimétrie.
  • -Comme l’érythromycine inhibe les enzymes qui dépendent du cytochrome P 450 (en particulier le cytochrome 450 3 A), elle affecte le métabolisme de nombreux médicaments (cf. Contre-indications et Précautions):
  • -L’érythromycine perturbe le métabolisme de la terfénadine, de la dompéridone, de l’astémizole et du cisapride, ce qui peut provoquer des troubles cardio-vasculaires sérieux (allongement de l’intervalle QT, arythmies). Des effets similaires ont été observés chez des patients qui prenaient en même temps du pimozide et de la clarithromycine, un autre antibiotique de la classe des macrolides.
  • -Après l’administration d’érythromycine, les concentrations de bromocryptine sont fortement augmentées.
  • -Les concentrations de rifabutine peuvent être accrues après administration d’érythromycine.
  • -Une toxicité par la colchicine a été rapportée en cas d’administration simultanée avec Erythrocin.
  • -La surveillance postmarketing a révélé que l’administration simultanée d’Erythrocin et d’ergotamine ou de dihydroergotamine pouvait entraîner une toxicité aiguë par l’ergotamine s’exprimant sous forme de spasmes vasculaires et d’ischémie des extrémités et d’autres tissus, incluant le système nerveux central.
  • -Triazolobenzodiazépines (comme le triazolam et l’alprazolam) et benzodiazépines apparentés: iIl a été rapporté que l’érythromycine limite l’élimination du triazolam et du midazolam et peut donc renforcer et prolonger les effets pharmacologiques de ces benzodiazépines.
  • -Bien que ces interactions soient moins marquées en cas d’administration intraveineuse de midazolam, il faut là aussi être prudent.
  • -L’effet néphrotoxique de la ciclosporine est renforcée en cas d’administration simultanée d’érythromycine.
  • -Lors de l’administration concomitante d’érythromycine et de théophylline, la concentration sanguine de théophylline peut être augmentée, si bien qu’il peut apparaître des effets indésirables de la théophylline. Il en va de même en cas d’administration concomitante d’érythromycine et d’acide valproïque ou de carbamazépine.
  • -Chez les patients recevant de la digoxine, l’érythromycine peut provoquer une augmentation de la concentration plasmatique de digoxine, ce qui peut induire des nausées, des vomissements et des arythmies.
  • -En cas d’administration simultanée d’anticoagulants, le temps de prothrombine peut être augmenté (il faut donc surveiller le temps de prothrombine chez les patients recevant des anticoagulants).
  • -Sous traitement par l’érythromycine, la concentration plasmatique et, donc, aussi les effets indésirables du tacrolimus peuvent être augmentés.
  • -L’élimination de l’alfentanil, de la quinidine, du disopyramide, du félodipine, du méthylprednisolone, du sildénafil et de la vinblastine peut être retardée par l’érythromycine, leur action peut donc être renforcée.
  • -Inhibiteurs de l’HMG-CoA-réductase: iIl a été rapporté que l’érythromycine accroît les concentrations des inhibiteurs de l’HMG-CoA-réductase (par exemple lovastatine et simvastatine). De rares cas de rhabdomyolyse ont été rapportés chez des patients ayant pris ces médicaments simultanément.
  • -Lors de l’administration simultanée d’érythromycine et de certains inhibiteurs de la protéase (comme p. ex. le ritonavir), une forte inhibition de la métabolisation de l’érythromycine a été observée.
  • -L’administration simultanée d’érythromycine et d’oméprazole peut accroître nettement la biodisponibilité de ces deux médicaments. L’administration simultanée d’érythromycine et de cimétidine peut provoquer une augmentation de la concentration sanguine d’érythromycine.
  • -L’élimination de l’érythromycine peut être perturbée par des médicaments qui sont eux aussi métabolisés par le système du cytochrome P 450. C’est ainsi que les taux d’érythromycine peuvent être augmentés en cas d’administration simultanée de carbamazépine, de ciclosporine et de phénytoïne.
  • -La théophylline augmente l’élimination rénale de l’érythromycine, ce qui provoque une diminution des concentrations sériques d’érythromycine.
  • -En cas d’administration simultanée d’érythromycine et de zopiclone, la résorption de la zopiclone est accélérée, si bien que l’effet hypnotique peut apparaître plus rapidement.
  • -L’érythromycine peut inhiber l’effet antibactérien des pénicillines.
  • -On a observé un effet antagoniste, sur le plan de l’effet antimicrobien in vitro, quand l’érythromycine est associée à la lincomycine, à la clindamycine ou au chloramphénicol.
  • -Selon différents rapports, des grossesses ont été enregistrées après la prise de certains antibiotiques, dont l’érythromycine, et ce malgré la prise d’un contraceptif oral. Les femmes prenant des contraceptifs oraux doivent en être informées et utiliser une autre méthode contraceptive supplémentaire pendant le traitement par érythromycine et jusqu’à 7 jours après le traitement.
  • -Une hypotension, des bradyarythmies et une lactacidose ont été observées lors de l’administration concomitante de vérapamil, un inhibiteur calcique.
  • +Comme l'érythromycine inhibe les enzymes qui dépendent du cytochrome P 450 (en particulier le cytochrome 450 3 A), elle affecte le métabolisme de nombreux médicaments (cf. Contre-indications et Précautions):
  • +L'érythromycine perturbe le métabolisme de la terfénadine, de la dompéridone, de l'astémizole et du cisapride, ce qui peut provoquer des troubles cardio-vasculaires sérieux (allongement de l'intervalle QT, arythmies). Des effets similaires ont été observés chez des patients qui prenaient en même temps du pimozide et de la clarithromycine, un autre antibiotique de la classe des macrolides.
  • +Après l'administration d'érythromycine, les concentrations de bromocryptine sont fortement augmentées.
  • +Les concentrations de rifabutine peuvent être accrues après administration d'érythromycine.
  • +Une toxicité par la colchicine a été rapportée en cas d'administration simultanée avec Erythrocin.
  • +La surveillance post-marketing a révélé que l'administration simultanée d'Erythrocin et d'ergotamine ou de dihydroergotamine pouvait entraîner une toxicité aiguë par l'ergotamine s'exprimant sous forme de spasmes vasculaires et d'ischémie des extrémités et d'autres tissus, incluant le système nerveux central.
  • +Triazolobenzodiazépines (comme le triazolam et l'alprazolam) et benzodiazépines apparentés: il a été rapporté que l'érythromycine limite l'élimination du triazolam et du midazolam et peut donc renforcer et prolonger les effets pharmacologiques de ces benzodiazépines.
  • +Bien que ces interactions soient moins marquées en cas d'administration intraveineuse de midazolam, il faut là aussi être prudent.
  • +L'effet néphrotoxique de la ciclosporine est renforcé en cas d'administration simultanée d'érythromycine.
  • +Lors de l'administration concomitante d'érythromycine et de théophylline, la concentration sanguine de théophylline peut être augmentée, si bien qu'il peut apparaître des effets indésirables de la théophylline. Il en va de même en cas d'administration concomitante d'érythromycine et d'acide valproïque ou de carbamazépine.
  • +Chez les patients recevant de la digoxine, l'érythromycine peut provoquer une augmentation de la concentration plasmatique de digoxine, ce qui peut induire des nausées, des vomissements et des arythmies.
  • +En cas d'administration simultanée d'anticoagulants, le temps de prothrombine peut être augmenté (il faut donc surveiller le temps de prothrombine chez les patients recevant des anticoagulants).
  • +Sous traitement par l'érythromycine, la concentration plasmatique et, donc, aussi les effets indésirables du tacrolimus peuvent être augmentés.
  • +L'élimination de l'alfentanil, de la quinidine, du disopyramide, du félodipine, du méthylprednisolone, du sildénafil et de la vinblastine peut être retardée par l'érythromycine, leur action peut donc être renforcée.
  • +Inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase: il a été rapporté que l'érythromycine accroît les concentrations des inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase (par exemple lovastatine et simvastatine). De rares cas de rhabdomyolyse ont été rapportés chez des patients ayant pris ces médicaments simultanément.
  • +Lors de l'administration simultanée d'érythromycine et de certains inhibiteurs de la protéase (comme p.ex. le ritonavir), une forte inhibition de la métabolisation de l'érythromycine a été observée.
  • +L'administration simultanée d'érythromycine et d'oméprazole peut accroître nettement la biodisponibilité de ces deux médicaments. L'administration simultanée d'érythromycine et de cimétidine peut provoquer une augmentation de la concentration sanguine d'érythromycine.
  • +L'élimination de l'érythromycine peut être perturbée par des médicaments qui sont eux aussi métabolisés par le système du cytochrome P 450. C'est ainsi que les taux d'érythromycine peuvent être augmentés en cas d'administration simultanée de carbamazépine, de ciclosporine et de phénytoïne.
  • +La théophylline augmente l'élimination rénale de l'érythromycine, ce qui provoque une diminution des concentrations sériques d'érythromycine.
  • +En cas d'administration simultanée d'érythromycine et de zopiclone, la résorption de la zopiclone est accélérée, si bien que l'effet hypnotique peut apparaître plus rapidement.
  • +L'érythromycine peut inhiber l'effet antibactérien des pénicillines.
  • +On a observé un effet antagoniste, sur le plan de l'effet antimicrobien in vitro, quand l'érythromycine est associée à la lincomycine, à la clindamycine ou au chloramphénicol.
  • +Selon différents rapports, des grossesses ont été enregistrées après la prise de certains antibiotiques, dont l'érythromycine, et ce malgré la prise d'un contraceptif oral. Les femmes prenant des contraceptifs oraux doivent en être informées et utiliser une autre méthode contraceptive supplémentaire pendant le traitement par érythromycine et jusqu'à 7 jours après le traitement.
  • +Une hypotension, des bradyarythmies et une lactacidose ont été observées lors de l'administration concomitante de vérapamil, un inhibiteur calcique.
  • -Des études de reproduction chez des animaux n’ont montré aucun risque pour le fÅ“tus, mais aucune étude contrôlée n’a été réalisée sur la femme enceinte.
  • -Les études épidémiologiques font état d’un risque accru de malformation cardiovasculaire et de sténose hypertrophique du pylore infantile (IHPS) après exposition à l’érythromycine pendant la grossesse.
  • -C’est pourquoi l’érythromycine ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf si cela est clairement nécessaire.
  • +Des études de reproduction chez des animaux n'ont montré aucun risque pour le fÅ“tus, mais aucune étude contrôlée n'a été réalisée sur la femme enceinte.
  • +Les études épidémiologiques font état d'un risque accru de malformation cardiovasculaire et de sténose hypertrophique du pylore infantile (IHPS) après exposition à l'érythromycine pendant la grossesse.
  • +C'est pourquoi l'érythromycine ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf si cela est clairement nécessaire.
  • -Le principe actif passe dans le lait maternel et peut provoquer des troubles gastro-intestinaux chez le nourrisson, mais également l’apparition d’une sténose du pylore. Les résultats d’une étude de cohorte ont conclu que les macrolides (azithromycine, clarithromycine, érythromycine, roxithromycine et spiramycine) augmentaient le risque de sténose hypertrophique du pylore infantile pendant l’allaitement. De plus, une sensibilisation ou une colonisation par des levures est possible.
  • -L’érythromycine est sécrétée dans le lait maternel. L’érythromycine ne doit donc pas être utilisée pendant l’allaitement. En cas de nécessité, l’allaitement doit être provisoirement interrompu.
  • +Le principe actif passe dans le lait maternel et peut provoquer des troubles gastro-intestinaux chez le nourrisson, mais également l'apparition d'une sténose du pylore. Les résultats d'une étude de cohorte ont conclu que les macrolides (azithromycine, clarithromycine, érythromycine, roxithromycine et spiramycine) augmentaient le risque de sténose hypertrophique du pylore infantile pendant l'allaitement. De plus, une sensibilisation ou une colonisation par des levures est possible.
  • +L'érythromycine est sécrétée dans le lait maternel. L'érythromycine ne doit donc pas être utilisée pendant l'allaitement. En cas de nécessité, l'allaitement doit être provisoirement interrompu.
  • -En raison de ses effets secondaires possibles, ce médicament peut avoir une influence sur l’aptitude à la conduite ou à l’utilisation de machines.
  • +En raison de ses effets secondaires possibles, ce médicament peut avoir une influence sur l'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines.
  • -Événements indésirables survenus avec l’érythromycine au cours d’études cliniques et lors de la surveillance post-marketing
  • +Événements indésirables survenus avec l'érythromycine au cours d'études cliniques et lors de la surveillance post-marketing
  • -Troubles de l’immunité
  • +Troubles de l'immunité
  • -Troubles fonctionnels de l’oreille et de l’oreille interne
  • +Troubles fonctionnels de l'oreille et de l'oreille interne
  • -Rare: trouble de l’activité respiratoire³.
  • +Rare: trouble de l'activité respiratoire³.
  • -Troubles fonctionnels de l’appareil locomoteur, du tissu conjonctif et des os
  • +Troubles fonctionnels de l'appareil locomoteur, du tissu conjonctif et des os
  • -¹ Dans quelques cas, aggravation d’une myasthénie grave.
  • -² Perte de l’audition, bourdonnements d’oreille (pour la plupart réversibles), principalement lors d’une administration parentérale à des patients insuffisants rénaux et/ou hépatiques.
  • -³ Chez le nouveau-né, après administration i.v. de lactobionate d’érythromycine.
  • +¹ Dans quelques cas, aggravation d'une myasthénie grave.
  • +² Perte de l'audition, bourdonnements d'oreille (pour la plupart réversibles), principalement lors d'une administration parentérale à des patients insuffisants rénaux et/ou hépatiques.
  • +³ Chez le nouveau-né, après administration i.v. de lactobionate d'érythromycine.
  • -5 Principalement avec l’ester estolate, rarement chez l’enfant.
  • +5 Principalement avec l'ester estolate, rarement chez l'enfant.
  • -Symptômes d’ototoxicité (surdité), nausées sévères, vomissements, diarrhée et symptômes d’hépatotoxicité (augmentation des taux sériques de transaminases et de bilirubine, ictère).
  • +Symptômes d'ototoxicité (surdité), nausées sévères, vomissements, diarrhée et symptômes d'hépatotoxicité (augmentation des taux sériques de transaminases et de bilirubine, ictère).
  • -Lavage d’estomac, mesures générales de soutien.
  • -En cas de surdosage, il faut arrêter l’administration d’érythromycine.
  • -Ni l’hémodialyse ni la dialyse péritonéale ne sont efficaces. Les symptômes sont généralement réversibles. On ne connaît pas d’antidote spécifique.
  • +Lavage d'estomac, mesures générales de soutien.
  • +En cas de surdosage, il faut arrêter l'administration d'érythromycine.
  • +Ni l'hémodialyse ni la dialyse péritonéale ne sont efficaces. Les symptômes sont généralement réversibles. On ne connaît pas d'antidote spécifique.
  • +Intermédiaires
  • +
  • -Mécanisme d’action
  • -L’érythromycine, un antibiotique de la classe des macrolides, agit sous la forme de l’isomère A de la base libre et est très instable à un pH inférieur à 6,0. L’effet maximal est obtenu à un pH de 8,5. Il s’agit d’un effet bactériostatique résultant de la fixation aux sous-unités 50 S des ribosomes 70 S des bactéries. Cette fixation inhibe la translocation du peptidyl-ARN t et bloque la synthèse protéique.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'érythromycine, un antibiotique de la classe des macrolides, agit sous la forme de l'isomère A de la base libre et est très instable à un pH inférieur à 6,0. L'effet maximal est obtenu à un pH de 8,5. Il s'agit d'un effet bactériostatique résultant de la fixation aux sous-unités 50 S des ribosomes 70 S des bactéries. Cette fixation inhibe la translocation du peptidyl-ARN t et bloque la synthèse protéique.
  • -À forte concentration, l’érythromycine exerce aussi un effet bactéricide. La plupart des germes Gram(+) aérobies et anaérobies, quelques germes Gram(-) et quelques autres germes (Mycoplasma, Ureaplasma, Chlamydia, Legionella) sont sensibles à l’érythromycine.
  • +À forte concentration, l'érythromycine exerce aussi un effet bactéricide. La plupart des germes Gram(+) aérobies et anaérobies, quelques germes Gram(-) et quelques autres germes (Mycoplasma, Ureaplasma, Chlamydia, Legionella) sont sensibles à l'érythromycine.
  • -Bacteroides melanogenicus, Neisseria gonorrhoeae, Helicobacter pylori, Ccampylobacter jejuni, espèces de Clostridium, Haemophilus influenzae (parfois résistant) et parainfluenzae, Propionibacterium acnes, Staphylococcus aureus (10–20% sont résistants), Ureaplasma urealyticum.
  • +Bacteroides melanogenicus, Neisseria gonorrhoeae, Helicobacter pylori, Campylobacter jejuni, espèces de Clostridium, Haemophilus influenzae (parfois résistant) et parainfluenzae, Propionibacterium acnes, Staphylococcus aureus (10–20% sont résistants), Ureaplasma urealyticum.
  • -Quand la sensibilité des germes n’est pas parfaitement certaine, de même que s’il s’agit de germes partiellement résistants, il est recommandé d’effectuer un test de sensibilité. On peut déterminer la sensibilité à l’érythromycine par des méthodes standardisées comme par exemple celles qui sont recommandées par le «National Clinical and Laboratory Standards» Institute (CLSI) par des tests de diffusion sur disque ou par des méthodes de dilution. Le CLSI recommande de retenir les paramètres suivants comme critères de sensibilité:
  • - Test sur disque (15 µg) Diamètre d’inhibition (mm) Test de dilution CMI (µg/ml)
  • -Sensibles ≥ 23 ≤ 0,5
  • -
  • -Intermédiaires
  • +Quand la sensibilité des germes n'est pas parfaitement certaine, de même que s'il s'agit de germes partiellement résistants, il est recommandé d'effectuer un test de sensibilité. On peut déterminer la sensibilité à l'érythromycine par des méthodes standardisées comme par exemple celles qui sont recommandées par le «National Clinical and Laboratory Standards» Institute (CLSI) par des tests de diffusion sur disque ou par des méthodes de dilution. Le CLSI recommande de retenir les paramètres suivants comme critères de sensibilité:
  • + Test sur disque (15 µg) Diamètre d'inhibition (mm) Test de dilution CMI (µg/ml)
  • +Sensibles ≥23 ≤0,5
  • +Intermédiaires 14–22 1–4
  • +Résistants ≤13 ≥8
  • -Pour la détermination de la sensibilité de Haemophilus influenzae, le CLSI recommande l’emploi du milieu test pour Haemophilus (HTM) («Approved Standard, Document M2-A4, 1990»).
  • -Tenir compte de la possibilité de résistance croisée entre l’érythromycine et d’autres macrolides ainsi que la lincosamine et la clindamycine (résistance macrolide/lincosamine/streptogramine, ou résistance MLS).
  • +Pour la détermination de la sensibilité de Haemophilus influenzae, le CLSI recommande l'emploi du milieu test pour Haemophilus (HTM) («Approved Standard, Document M2-A4, 1990»).
  • +Tenir compte de la possibilité de résistance croisée entre l'érythromycine et d'autres macrolides ainsi que la lincosamine et la clindamycine (résistance macrolide/lincosamine/streptogramine, ou résistance MLS).
  • -L’érythromycine est résorbée à partir de l’iléon. Après administration orale, la biodisponibilité est de 40%. Après une prise orale unique de 1000 mg d’érythromycine sous forme de comprimés pelliculés d’Erythrocin ES 500, la concentration plasmatique maximale (Cmax), de 3,07 µg/ml, a été atteinte au bout de 1,08 heure (tmax); après la prise de 1000 mg et de 400 mg d’Erythrocin granulé, la concentration maximale, qui était respectivement de 2,20 µg/ml et de 2,59 µg/ml, a été atteinte respectivement au bout de 1,04 heure (tmax) et de 2 heures. La base qui exerce l’effet antimicrobien est libérée par hydrolyse.
  • +L'érythromycine est résorbée à partir de l'iléon. Après administration orale, la biodisponibilité est de 40%. Après une prise orale unique de 1000 mg d'érythromycine sous forme de comprimés pelliculés d'Erythrocin ES 500, la concentration plasmatique maximale (Cmax), de 3,07 µg/ml, a été atteinte au bout de 1,08 heure (tmax); après la prise de 1000 mg et de 400 mg d'Erythrocin granulé, la concentration maximale, qui était respectivement de 2,20 µg/ml et de 2,59 µg/ml, a été atteinte respectivement au bout de 1,04 heure (tmax) et de 2 heures. La base qui exerce l'effet antimicrobien est libérée par hydrolyse.
  • -Le taux de liaison de l’érythromycine aux protéines plasmatiques dépend de la concentration et est respectivement d’environ 74%, 54% et 46% à des concentrations de 1, 16 et 24 mg/l. L’érythromycine se fixe essentiellement à la glycoprotéine alpha-1 acide, et moins fortement à l’albumine. Le volume de distribution est d’environ 75 litres. L’érythromycine diffuse bien dans la plupart des liquides et tissus de l’organisme, à l’exception du liquide céphalo-rachidien et du tissu cérébral. L’érythromycine se concentre même dans la plupart des tissus, ainsi que dans les leucocytes et les macrophages alvéolaires.
  • -L’érythromycine franchit la barrière placentaire, mais les concentrations plasmatiques fÅ“tales sont nettement inférieures aux concentrations maternelles (environ 5–20%). Dans le lait maternel, la concentration d’érythromycine représente environ 50% de la concentration sérique maternelle.
  • +Le taux de liaison de l'érythromycine aux protéines plasmatiques dépend de la concentration et est respectivement d'environ 74%, 54% et 46% à des concentrations de 1, 16 et 24 mg/l. L'érythromycine se fixe essentiellement à la glycoprotéine alpha-1 acide, et moins fortement à l'albumine. Le volume de distribution est d'environ 75 litres. L'érythromycine diffuse bien dans la plupart des liquides et tissus de l'organisme, à l'exception du liquide céphalo-rachidien et du tissu cérébral. L'érythromycine se concentre même dans la plupart des tissus ainsi que dans les leucocytes et les macrophages alvéolaires.
  • +L'érythromycine franchit la barrière placentaire, mais les concentrations plasmatiques fÅ“tales sont nettement inférieures aux concentrations maternelles (environ 5–20%). Dans le lait maternel, la concentration d'érythromycine représente environ 50% de la concentration sérique maternelle.
  • -L’érythromycine est partiellement dégradée dans le foie en Des-Nméthylérythromycine, inactive.
  • +L'érythromycine est partiellement dégradée dans le foie en Des-N-méthylérythromycine, inactive.
  • -L’érythromycine est essentiellement éliminée par le foie et la vésicule biliaire. On ne connaît pas l’effet des perturbations hépatiques sur l’élimination dans la bile, par voie hépatique. Moins de 5% d’une dose orale sont éliminés sous forme inchangée dans les urines (Q0 â‰0,95). La demi-vie d’élimination est de 1–2 heures.
  • +L'érythromycine est essentiellement éliminée par le foie et la vésicule biliaire. On ne connaît pas l'effet des perturbations hépatiques sur l'élimination dans la bile, par voie hépatique. Moins de 5% d'une dose orale sont éliminés sous forme inchangée dans les urines (Q0 ≡0,95). La demi-vie d'élimination est de 1–2 heures.
  • -L’érythromycine est essentiellement éliminée par le foie. C’est pourquoi, en cas d’insuffisance hépatique, elle ne doit être utilisée qu’avec prudence.
  • +L'érythromycine est essentiellement éliminée par le foie. C'est pourquoi, en cas d'insuffisance hépatique, elle ne doit être utilisée qu'avec prudence.
  • -En cas d’insuffisance rénale grave et d’anurie, il faut, le cas échéant, réduire la posologie (voir la rubrique «Posologies spéciales»). L’érythromycine n’est éliminée ni par dialyse péritonéale ni par hémodialyse.
  • +En cas d'insuffisance rénale grave et d'anurie, il faut, le cas échéant, réduire la posologie (voir la rubrique «Posologies spéciales»). L'érythromycine n'est éliminée ni par dialyse péritonéale ni par hémodialyse.
  • -Au cours d’études à long terme pendant lesquelles des rats et des souris ont reçu jusqu’à 400 mg/kg/jour et jusqu’à 500 mg/kg/jour, respectivement, de stéarate d’érythromycine pendant deux ans par voie orale, aucun potentiel oncogène n’a pu être observé. Les études du pouvoir mutagène n’ont démontré aucun potentiel génotoxique. De même, aucun effet détectable sur la fertilité des rats et des rates n’a été observé après administration de 700 mg/kg/jour d’érythromycine base via une sonde gastrique.
  • -Il n’existe aucun signe de tératogénicité ni d’autres effets indésirables sur la reproduction chez les rates ayant reçu 350 mg/kg/jour d’érythromycine base (soit 7 fois la dose humaine) par sonde gastrique avant et pendant l’accouplement, pendant la gestation et pendant le sevrage.
  • -Aucun signe de tératogénicité ni d’embryotoxicité n’a été observé lorsque des rates et des souris gravides ou des lapines gravides ont reçu 700 mg/kg/jour (14 fois la dose humaine) ou 125 mg/kg/jour (2,5 fois la dose humaine), respectivement, d’érythromycine base par sonde gastrique.
  • -Une légère diminution du poids à la naissance a été constatée lorsque des rates ont reçu des doses orales élevées de 700 mg/kg/jour d’érythromycine base avant et pendant l’accouplement, pendant la gestation et l’allaitement. Au moment du sevrage, le poids des petits était cependant à nouveau comparable au poids des petits du groupe de contrôle. À ces doses, aucun signe de tératogénicité ni d’effets indésirables sur la reproduction n’a été observé. Lorsque l’administration de 700 mg/kg/jour (14 fois la dose humaine) a eu lieu en fin de gestation et pendant l’allaitement, cette administration n’a eu aucun effet indésirable sur le poids de naissance, la croissance ni la survie des petits.
  • +Au cours d'études à long terme pendant lesquelles des rats et des souris ont reçu jusqu'à 400 mg/kg/jour et jusqu'à 500 mg/kg/jour, respectivement, de stéarate d'érythromycine pendant deux ans par voie orale, aucun potentiel oncogène n'a pu être observé. Les études du pouvoir mutagène n'ont démontré aucun potentiel génotoxique. De même, aucun effet détectable sur la fertilité des rats et des rates n'a été observé après administration de 700 mg/kg/jour d'érythromycine base via une sonde gastrique.
  • +Il n'existe aucun signe de tératogénicité ni d'autres effets indésirables sur la reproduction chez les rates ayant reçu 350 mg/kg/jour d'érythromycine base (soit 7 fois la dose humaine) par sonde gastrique avant et pendant l'accouplement, pendant la gestation et pendant le sevrage.
  • +Aucun signe de tératogénicité ni d'embryotoxicité n'a été observé lorsque des rates et des souris gravides ou des lapines gravides ont reçu 700 mg/kg/jour (14 fois la dose humaine) ou 125 mg/kg/jour (2,5 fois la dose humaine), respectivement, d'érythromycine base par sonde gastrique.
  • +Une légère diminution du poids à la naissance a été constatée lorsque des rates ont reçu des doses orales élevées de 700 mg/kg/jour d'érythromycine base avant et pendant l'accouplement, pendant la gestation et l'allaitement. Au moment du sevrage, le poids des petits était cependant à nouveau comparable au poids des petits du groupe de contrôle. À ces doses, aucun signe de tératogénicité ni d'effets indésirables sur la reproduction n'a été observé. Lorsque l'administration de 700 mg/kg/jour (14 fois la dose humaine) a eu lieu en fin de gestation et pendant l'allaitement, cette administration n'a eu aucun effet indésirable sur le poids de naissance, la croissance ni la survie des petits.
  • -L’érythromycine peut modifier les résultats du dosage des catécholamines urinaires par fluorimétrie et du dosage des 17-hydroxycorticoïdes urinaires par colorimétrie, de même que du dosage des transaminases sériques par colorimétrie, en donnant des résultats faussement augmentés.
  • -Remarque à l’intention des sujets diabétiques
  • -Sachets d’Erythrocin 500 mg et 1000 mg: le granulé donne une suspension aromatisée à l’orange. 1 sachet de 500 mg ou 1000 mg contient respectivement 3,6 g de saccharose (soit 61,8 kJ (14,8 kcal) ou 3,6 g d’hydrates de carbone utilisables) ou 7,2 g saccharose (soit 123,6 kJ (29,5 kcal) ou 7,2 g d’hydrates de carbone utilisables).
  • -En cas de dysphagie (p. ex. patients âgés) le granulé est la forme d’administration préférée.
  • +L'érythromycine peut modifier les résultats du dosage des catécholamines urinaires par fluorimétrie et du dosage des 17-hydroxycorticoïdes urinaires par colorimétrie, de même que du dosage des transaminases sériques par colorimétrie, en donnant des résultats faussement augmentés.
  • +Remarque à l'intention des sujets diabétiques
  • +Sachets d'Erythrocin 500 mg et 1000 mg: le granulé donne une suspension aromatisée à l'orange. 1 sachet de 500 mg ou 1000 mg contient respectivement 3,6 g de saccharose (soit 61,8 kJ (14,8 kcal) ou 3,6 g d'hydrates de carbone utilisables) ou 7,2 g saccharose (soit 123,6 kJ (29,5 kcal) ou 7,2 g d'hydrates de carbone utilisables).
  • +En cas de dysphagie (p.ex. patients âgés) le granulé est la forme d'administration préférée.
  • -N’utiliser le médicament que jusqu’à la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «EXP».
  • +N'utiliser le médicament que jusqu'à la date de péremption figurant sur la boîte sous la mention «EXP».
  • -Verser le contenu du sachet dans un verre avec un peu d’eau du robinet, mélanger immédiatement et attendre une minute. Le granulé se dissout rapidement et est prêt à boire.
  • +Verser le contenu du sachet dans un verre avec un peu d'eau du robinet, mélanger immédiatement et attendre une minute. Le granulé se dissout rapidement et est prêt à boire.
  • -Erythrocin granulés 500 mg: 18 sachets de granulé. (B)
  • -Erythrocin granulés 1000 mg: 12 sachets de granulé. (B)
  • +Erythrocin granulé 500 mg: 18 sachets de granulé. (B)
  • +Erythrocin granulé 1000 mg: 12 sachets de granulé. (B)
  • -Pro Farma AG, Baar
  • +Recordati AG, 6340 Baar.
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