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Accueil - Information professionnelle sur Apranax 550 mg - Changements - 22.05.2023
100 Changements de l'information professionelle Apranax 550 mg
  • -§maladies rhumatismales inflammatoires et dégénératives (polyarthrite rhumatoïde, arthrose, spondylarthrite ankylosante);
  • -§rhumatisme extra-articulaire (bursite, tendinite, lumbago, etc.);
  • -§dysménorrhée;
  • -§douleurs postopératoires et post-traumatiques;
  • -§crise de goutte;
  • -§forme juvénile de la polyarthrite rhumatoïde.
  • +maladies rhumatismales inflammatoires et dégénératives (polyarthrite rhumatoïde, arthrose, spondylarthrite ankylosante);
  • +rhumatisme extra-articulaire (bursite, tendinite, lumbago, etc.);
  • +dysménorrhée;
  • +douleurs postopératoires et post-traumatiques;
  • +crise de goutte;
  • +forme juvénile de la polyarthrite rhumatoïde.
  • -Arthropathies rhumatismales inflammatoires et dégénératives: dose dattaque et en cas de poussée aiguë: La dose initiale recommandée est de 550 mg, suivie de 275 mg toutes les 6 à 8 heures suivant les besoins. La dose dentretien est de 550-1 100 mg/jour, selon lintensité des douleurs.
  • -Rhumatisme extra-articulaire, douleurs postopératoires et post-traumatiques: une dose journalière de 1 100 mg savère généralement efficace. La posologie doit être adaptée aux besoins individuels, mais ne doit pas dépasser 1 375 mg/jour.
  • -La dose journalière peut être administrée en une seule fois, le soir, ou en deux fois, à douze heures dintervalle.
  • +Arthropathies rhumatismales inflammatoires et dégénératives: dose d'attaque et en cas de poussée aiguë: La dose initiale recommandée est de 550 mg, suivie de 275 mg toutes les 6 à 8 heures suivant les besoins. La dose d'entretien est de 550-1 100 mg/jour, selon l'intensité des douleurs.
  • +Rhumatisme extra-articulaire, douleurs postopératoires et post-traumatiques: une dose journalière de 1 100 mg s'avère généralement efficace. La posologie doit être adaptée aux besoins individuels, mais ne doit pas dépasser 1 375 mg/jour.
  • +La dose journalière peut être administrée en une seule fois, le soir, ou en deux fois, à douze heures d'intervalle.
  • -Linnocuité et lefficacité dApranax ne sont pas attestées chez les enfants de moins de 2 ans.
  • -Forme juvénile de la polyarthrite rhumatoïde: la posologie recommandée est de 10 mg/kg de poids corporel/jour en deux prises, à 12 heures dintervalle.
  • -En cas de douleurs et de fièvre chez les enfants de plus de 2 ans: la dose initiale recommandée est de 10 mg/kg de poids corporel/jour, la dose dentretien recommandée est comprise entre 2,5 et 5 mg/kg avec des intervalles de 8 heures. Ne pas dépasser une dose totale journalière de 15 mg/kg.
  • +L'innocuité et l'efficacité d'Apranax ne sont pas attestées chez les enfants de moins de 2 ans.
  • +Forme juvénile de la polyarthrite rhumatoïde: la posologie recommandée est de 10 mg/kg de poids corporel/jour en deux prises, à 12 heures d'intervalle.
  • +En cas de douleurs et de fièvre chez les enfants de plus de 2 ans: la dose initiale recommandée est de 10 mg/kg de poids corporel/jour, la dose d'entretien recommandée est comprise entre 2,5 et 5 mg/kg avec des intervalles de 8 heures. Ne pas dépasser une dose totale journalière de 15 mg/kg.
  • -Chez les patients souffrant dune affection hépatique ou rénale ainsi que chez les patients âgés, la posologie doit être établie avec prudence, en commençant par la plus petite dose efficace. Chez les patients souffrant dune affection rénale, il est recommandé de surveiller la créatinine sérique et/ou la clairance de la créatinine.
  • -Il nest pas recommandé dadministrer Apranax à des patients qui présentent une clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min avant le début du traitement, car une accumulation de métabolites du naproxène a été observée chez des insuffisants rénaux sévères et chez des patients dialysés.
  • -Mode correct dadministration
  • +Chez les patients souffrant d'une affection hépatique ou rénale ainsi que chez les patients âgés, la posologie doit être établie avec prudence, en commençant par la plus petite dose efficace. Chez les patients souffrant d'une affection rénale, il est recommandé de surveiller la créatinine sérique et/ou la clairance de la créatinine.
  • +Il n'est pas recommandé d'administrer Apranax à des patients qui présentent une clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min avant le début du traitement, car une accumulation de métabolites du naproxène a été observée chez des insuffisants rénaux sévères et chez des patients dialysés.
  • +Mode correct d'administration
  • -§Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients selon la rubrique «Composition».
  • -§Anamnèse de bronchospasme, durticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise dacide acétylsalicylique ou dautres antiinflammatoires non stéroïdiens.
  • -§Troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse, allaitement»).
  • -§Ulcère gastriques ou duodénal actif ou antécédents dulcère gastrique ou duodénal, saignements gastro-intestinaux ou perforation.
  • -§Maladies intestinales inflammatoires (p. ex. maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • -§Insuffisance hépatique sévère (classe C de la classification de Child-Pugh).
  • -§Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite).
  • -§Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 mL/min).
  • -§Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • -§Traitement de douleurs post-opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation dune machine cœur-poumons).
  • -§Enfants de moins de 2 ans.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la rubrique «Composition».
  • +Anamnèse de bronchospasme, d'urticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres antiinflammatoires non stéroïdiens.
  • +Troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse, allaitement»).
  • +Ulcère gastriques ou duodénal actif ou antécédents d'ulcère gastrique ou duodénal, saignements gastro-intestinaux ou perforation.
  • +Maladies intestinales inflammatoires (p.ex. maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • +Insuffisance hépatique sévère (classe C de la classification de Child-Pugh).
  • +Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite).
  • +Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 mL/min).
  • +Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • +Traitement de douleurs post-opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine cœur-poumons).
  • +Enfants de moins de 2 ans.
  • -Mise en garde générale pour lutilisation danti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
  • -Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc dadministrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour lheure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Étant donné quaucune donnée issue détudes cliniques comparables nest actuellement disponible pour naproxène à la posologie maximale et dans le cadre dun traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusquà ce que de telles données soient disponibles, le naproxène ne doit être administré quaprès évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, dartériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant dimportants facteurs de risques cardiovasculaires (p. ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient dadministrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et dautres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le naproxène ne devrait donc être utilisé quavec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de lenzyme de conversion de langiotensine et en cas de risque élevé dhypovolémie.
  • +Mise en garde générale pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
  • +Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • +Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour l'heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Étant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour naproxène à la posologie maximale et dans le cadre d'un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, le naproxène ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • +Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le naproxène ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
  • -Chez les patients présentant des antécédents daffections gastro-intestinales, Apranax ne doit être administré que sous étroite surveillance.
  • -Comme cest le cas avec dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens, la fréquence et lintensité des complications gastro-intestinales sous Apranax peuvent augmenter à mesure que la dose augmente et que le traitement se prolonge.
  • -Des hémorragies, ulcères ou perforations gastro-intestinales potentiellement mortelles ont été signalés à tout moment du traitement, quels que soient les anti-inflammatoires non stéroïdiens utilisés, y compris Apranax. Ces effets indésirables sont survenus avec ou sans symptômes dalerte préalables ou antécédents dévènements gastro-intestinaux sévères. Les études menées jusquici nont pas fourni dindications sur un sous-groupe de patients qui ne serait pas exposé au risque de maladie ulcéreuse ou dhémorragies.
  • +Chez les patients présentant des antécédents d'affections gastro-intestinales, Apranax ne doit être administré que sous étroite surveillance.
  • +Comme c'est le cas avec d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, la fréquence et l'intensité des complications gastro-intestinales sous Apranax peuvent augmenter à mesure que la dose augmente et que le traitement se prolonge.
  • +Des hémorragies, ulcères ou perforations gastro-intestinales potentiellement mortelles ont été signalés à tout moment du traitement, quels que soient les anti-inflammatoires non stéroïdiens utilisés, y compris Apranax. Ces effets indésirables sont survenus avec ou sans symptômes d'alerte préalables ou antécédents d'évènements gastro-intestinaux sévères. Les études menées jusqu'ici n'ont pas fourni d'indications sur un sous-groupe de patients qui ne serait pas exposé au risque de maladie ulcéreuse ou d'hémorragies.
  • -Les patients affaiblis semblent moins bien supporter les maladies ulcéreuses et les hémorragies que les autres. La plupart des évènements gastro-intestinaux ayant engagé le pronostic vital, en lien avec lutilisation danti-inflammatoires non stéroïdiens, ont touché des patients âgés et/ou affaiblis. Le risque dhémorragies, dulcères ou de perforations gastro-intestinales augmente avec la dose danti-inflammatoires non stéroïdiens; il augmente également chez les patients qui ont des antécédents dulcères, en particulier lorsquune complication telle quune hémorragie ou une perforation se manifeste (voir «Contre-indications»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, on débutera le traitement par la dose la plus faible possible. Pour ces patients, il faut envisager un traitement associé avec des gastroprotecteurs (p. ex: misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons); la même recommandation vaut pour les patients qui nécessitent un traitement associé par acide acétylsalicylique faiblement dosé ou par dautres médicaments, susceptibles daugmenter le risque gastro-intestinal (voir «Interactions»).
  • -Les patients avec des antécédents deffets indésirables gastro-intestinaux – surtout les patients âgés – doivent annoncer tous les symptômes inhabituels qui surviennent dans la région abdominale (en particulier les hémorragies gastro-intestinales); ceci particulièrement en début de traitement. En cas dhémorragies ou dulcères gastro-intestinaux chez des patients sous Apranax, on interrompra le traitement.
  • -La prudence est de mise chez des patients qui reçoivent des médicaments associés susceptibles daugmenter le risque dulcérations ou dhémorragies. Ces médicaments sont les corticostéroïdes oraux, les anticoagulants du type coumarinique, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ainsi que les inhibiteurs de lagrégation plaquettaire (p. ex: acide acétylsalicylique) (voir «Interactions»).
  • +Les patients affaiblis semblent moins bien supporter les maladies ulcéreuses et les hémorragies que les autres. La plupart des évènements gastro-intestinaux ayant engagé le pronostic vital, en lien avec l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, ont touché des patients âgés et/ou affaiblis. Le risque d'hémorragies, d'ulcères ou de perforations gastro-intestinales augmente avec la dose d'anti-inflammatoires non stéroïdiens; il augmente également chez les patients qui ont des antécédents d'ulcères, en particulier lorsqu'une complication telle qu'une hémorragie ou une perforation se manifeste (voir «Contre-indications»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, on débutera le traitement par la dose la plus faible possible. Pour ces patients, il faut envisager un traitement associé avec des gastroprotecteurs (p. ex: misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons); la même recommandation vaut pour les patients qui nécessitent un traitement associé par acide acétylsalicylique faiblement dosé ou par d'autres médicaments, susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal (voir «Interactions»).
  • +Les patients avec des antécédents d'effets indésirables gastro-intestinaux – surtout les patients âgés – doivent annoncer tous les symptômes inhabituels qui surviennent dans la région abdominale (en particulier les hémorragies gastro-intestinales); ceci particulièrement en début de traitement. En cas d'hémorragies ou d'ulcères gastro-intestinaux chez des patients sous Apranax, on interrompra le traitement.
  • +La prudence est de mise chez des patients qui reçoivent des médicaments associés susceptibles d'augmenter le risque d'ulcérations ou d'hémorragies. Ces médicaments sont les corticostéroïdes oraux, les anticoagulants du type coumarinique, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ainsi que les inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire (p. ex: acide acétylsalicylique) (voir «Interactions»).
  • -Des cas dinsuffisance rénale, de défaillance rénale, de néphrite interstitielle aiguë, dhématurie, de protéinurie et de nécrose papillaire ainsi que des cas isolés de syndrome néphrotique ont été rapportés lors de lutilisation de médicaments contenant du naproxène.
  • -La prudence est de rigueur chez les patients dont laffection entraîne une diminution du volume sanguin et/ou de lirrigation rénale et chez qui les prostaglandines rénales favorisent la perfusion rénale. Chez ces patients, ladministration de produits contenant du naproxène et dautres AINS peut entraîner une diminution dose-dépendante de la synthèse des prostaglandines dans le rein et déclencher une décompensation rénale manifeste ou une défaillance rénale. Le risque est majeur chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale, une hypovolémie, une insuffisance cardiaque, des troubles de la fonction hépatique ou un syndrome de perte de sel, chez les patients traités par des diurétiques, inhibiteurs de lECA ou antagonistes des récepteurs de langiotensine et chez les patients âgés. Les préparations à base de naproxène doivent être utilisées avec la plus extrême prudence chez de tels patients. Il est recommandé de surveiller la créatinine sérique et/ou la clairance de la créatinine et les patients doivent être suffisamment hydratés. Afin de prévenir le risque dune accumulation excessive des métabolites du naproxène chez ces patients, il convient denvisager de réduire la dose journalière.
  • -Compte tenu de la forte liaison du naproxène aux protéines, lhémodialyse nabaisse pas la concentration plasmatique du produit.
  • +Des cas d'insuffisance rénale, de défaillance rénale, de néphrite interstitielle aiguë, d'hématurie, de protéinurie et de nécrose papillaire ainsi que des cas isolés de syndrome néphrotique ont été rapportés lors de l'utilisation de médicaments contenant du naproxène.
  • +La prudence est de rigueur chez les patients dont l'affection entraîne une diminution du volume sanguin et/ou de l'irrigation rénale et chez qui les prostaglandines rénales favorisent la perfusion rénale. Chez ces patients, l'administration de produits contenant du naproxène et d'autres AINS peut entraîner une diminution dose-dépendante de la synthèse des prostaglandines dans le rein et déclencher une décompensation rénale manifeste ou une défaillance rénale. Le risque est majeur chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale, une hypovolémie, une insuffisance cardiaque, des troubles de la fonction hépatique ou un syndrome de perte de sel, chez les patients traités par des diurétiques, inhibiteurs de l'ECA ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine et chez les patients âgés. Les préparations à base de naproxène doivent être utilisées avec la plus extrême prudence chez de tels patients. Il est recommandé de surveiller la créatinine sérique et/ou la clairance de la créatinine et les patients doivent être suffisamment hydratés. Afin de prévenir le risque d'une accumulation excessive des métabolites du naproxène chez ces patients, il convient d'envisager de réduire la dose journalière.
  • +Compte tenu de la forte liaison du naproxène aux protéines, l'hémodialyse n'abaisse pas la concentration plasmatique du produit.
  • -Le naproxène réduit lagrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Cet effet doit être pris en considération lors de la détermination du temps de saignement.
  • -Les patients présentant des troubles de la coagulation ou recevant des médicaments qui perturbent lhémostase doivent être étroitement surveillés lors du traitement par des produits contenant du naproxène. En cas de risque hémorragique élevé ou danticoagulothérapie (p. ex. par des dérivés du dicoumarol), ladministration concomitante de produits contenant du naproxène peut accroître la tendance aux hémorragies.
  • +Le naproxène réduit l'agrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Cet effet doit être pris en considération lors de la détermination du temps de saignement.
  • +Les patients présentant des troubles de la coagulation ou recevant des médicaments qui perturbent l'hémostase doivent être étroitement surveillés lors du traitement par des produits contenant du naproxène. En cas de risque hémorragique élevé ou d'anticoagulothérapie (p.ex. par des dérivés du dicoumarol), l'administration concomitante de produits contenant du naproxène peut accroître la tendance aux hémorragies.
  • -Selon les sujets, des réactions dhypersensibilité peuvent survenir.
  • -Des réactions anaphylactoïdes peuvent apparaître, que les patients présentent ou non une hypersensibilité connue à lacide acétylsalicylique, à dautres AINS ou à des médicaments contenant du naproxène.
  • -De telles réactions peuvent aussi survenir chez des personnes qui ont des antécédents dœdème de Quincke, de réactions bronchospastiques (p. ex: asthme), de rhinite et de polypes nasaux. Des réactions anaphylactoïdes peuvent – comme par exemple lanaphylaxie – conduire au décès.
  • -Un bronchospasme peut se produire chez les patients présentant ou ayant présenté un asthme bronchique, des allergies ou une hypersensibilité à lacide acétylsalicylique.
  • +Selon les sujets, des réactions d'hypersensibilité peuvent survenir.
  • +Des réactions anaphylactoïdes peuvent apparaître, que les patients présentent ou non une hypersensibilité connue à l'acide acétylsalicylique, à d'autres AINS ou à des médicaments contenant du naproxène.
  • +De telles réactions peuvent aussi survenir chez des personnes qui ont des antécédents d'œdème de Quincke, de réactions bronchospastiques (p. ex: asthme), de rhinite et de polypes nasaux. Des réactions anaphylactoïdes peuvent – comme par exemple l'anaphylaxie – conduire au décès.
  • +Un bronchospasme peut se produire chez les patients présentant ou ayant présenté un asthme bronchique, des allergies ou une hypersensibilité à l'acide acétylsalicylique.
  • -Comme cest généralement le cas avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens, une augmentation dune ou de plusieurs valeurs hépatiques peut se produire.
  • -De graves réactions hépatiques, y compris ictère et hépatite, ont été signalées dans le cadre de ladministration de ce produit, comme avec dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens. Des cas de réactivité croisée ont également été rapportés.
  • +Comme c'est généralement le cas avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens, une augmentation d'une ou de plusieurs valeurs hépatiques peut se produire.
  • +De graves réactions hépatiques, y compris ictère et hépatite, ont été signalées dans le cadre de l'administration de ce produit, comme avec d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens. Des cas de réactivité croisée ont également été rapportés.
  • -Dans de rares cas, des effets indésirables au niveau des yeux – notamment papillite, névrite rétrobulbaire et œdème papillaire – ont été signalés chez des utilisateurs dAINS, y compris de naproxène, sans quune relation causale ait pu être établie. Aussi, les patients qui développent des troubles de la vision sous traitement par des produits contenant du naproxène doivent se soumettre à un contrôle ophtalmologique.
  • +Dans de rares cas, des effets indésirables au niveau des yeux – notamment papillite, névrite rétrobulbaire et œdème papillaire – ont été signalés chez des utilisateurs d'AINS, y compris de naproxène, sans qu'une relation causale ait pu être établie. Aussi, les patients qui développent des troubles de la vision sous traitement par des produits contenant du naproxène doivent se soumettre à un contrôle ophtalmologique.
  • -Bien quaucune rétention sodée nait été observée dans les études du métabolisme, il se pourrait que les patients dont la fonction cardiaque est fragile ou perturbée soient exposés à un risque accru lorsquils prennent du naproxène.
  • -Des œdèmes périphériques ont été observés chez quelques patients qui ont pris Apranax ou dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Bien qu'aucune rétention sodée n'ait été observée dans les études du métabolisme, il se pourrait que les patients dont la fonction cardiaque est fragile ou perturbée soient exposés à un risque accru lorsqu'ils prennent du naproxène.
  • +Des œdèmes périphériques ont été observés chez quelques patients qui ont pris Apranax ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -Chez les patients souffrant dhypertension et/ou dinsuffisance cardiaque légère à modérée à lanamnèse, il est nécessaire dexercer une surveillance appropriée, car des cas de rétention liquidienne et dœdèmes ont été signalés lors de traitements avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -Des données provenant dessais cliniques et des données épidémiologiques indiquent que lutilisation dinhibiteurs de la COX-2 et de quelques AINS (surtout à hautes doses et sur de longues durées) pourrait être associée à un risque légèrement plus élevé daccidents thromboemboliques artériels (p. ex: infarctus du myocarde ou attaque cérébrale). Bien que des données suggèrent que lutilisation de naproxène (1 000 mg/j) pourrait être associée à un risque plus faible, il nest pas possible dexclure un certain risque.
  • -On ne traitera les patients avec hypertension non contrôlée, insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique et/ou maladie cérébrovasculaire pré-existantes avec du naproxène quaprès une évaluation soigneuse.
  • +Chez les patients souffrant d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque légère à modérée à l'anamnèse, il est nécessaire d'exercer une surveillance appropriée, car des cas de rétention liquidienne et d'œdèmes ont été signalés lors de traitements avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Des données provenant d'essais cliniques et des données épidémiologiques indiquent que l'utilisation d'inhibiteurs de la COX-2 et de quelques AINS (surtout à hautes doses et sur de longues durées) pourrait être associée à un risque légèrement plus élevé d'accidents thromboemboliques artériels (p. ex: infarctus du myocarde ou attaque cérébrale). Bien que des données suggèrent que l'utilisation de naproxène (1 000 mg/j) pourrait être associée à un risque plus faible, il n'est pas possible d'exclure un certain risque.
  • +On ne traitera les patients avec hypertension non contrôlée, insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique et/ou maladie cérébrovasculaire pré-existantes avec du naproxène qu'après une évaluation soigneuse.
  • -Des réactions cutanées graves, dont certaines potentiellement mortelles, notamment la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson, le syndrome dhypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), ainsi que le syndrome de Lyell, ont été très rarement signalées en rapport avec ladministration dAINS (voir «Effets indésirables»). Le risque de survenue de telles réactions semble être le plus grand en début de traitement et, dans la plupart des cas, ces réactions cessent dans le mois qui suit le début du traitement. A lapparition déruptions et daltérations des muqueuses ou aux premiers signes dune réaction dhypersensibilité, on interrompra le traitement par Apranax.
  • -Dans de rares cas, des réactions de photosensibilité peuvent se produire. Lexposition au soleil (rayons UV) doit donc être réduite autant que possible pendant le traitement par naproxène.
  • -Association à dautres AINS
  • -Lassociation de produits contenant du naproxène avec dautres AINS nest pas recommandée, car il existe un risque cumulé de graves effets indésirables dus aux AINS.
  • -Précautions chez le patient âgé et chez lenfant
  • -Chez les personnes âgées, la concentration plasmatique du naproxène non lié aux protéines est augmentée, bien que la concentration totale reste inchangée. Par conséquent, la prudence est de mise lors de ladministration de fortes doses dApranax chez les patients âgés. Les effets indésirables des anti-inflammatoires non stéroïdiens surviennent plus fréquemment dans ces cas-là; en loccurrence, il sagit surtout dhémorragies et de perforations gastro-intestinales pouvant conduire au décès. Chez les personnes âgées, la clairance est diminuée. Il est recommandé dadministrer le médicament à faible posologie (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Lutilisation dApranax est contre-indiquée chez les enfants de moins de 2 ans.
  • +Des réactions cutanées graves, dont certaines potentiellement mortelles, notamment la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson, le syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), ainsi que le syndrome de Lyell, ont été très rarement signalées en rapport avec l'administration d'AINS (voir «Effets indésirables»). Le risque de survenue de telles réactions semble être le plus grand en début de traitement et, dans la plupart des cas, ces réactions cessent dans le mois qui suit le début du traitement. A l'apparition d'éruptions et d'altérations des muqueuses ou aux premiers signes d'une réaction d'hypersensibilité, on interrompra le traitement par Apranax.
  • +Dans de rares cas, des réactions de photosensibilité peuvent se produire. L'exposition au soleil (rayons UV) doit donc être réduite autant que possible pendant le traitement par naproxène.
  • +Association à d'autres AINS
  • +L'association de produits contenant du naproxène avec d'autres AINS n'est pas recommandée, car il existe un risque cumulé de graves effets indésirables dus aux AINS.
  • +Précautions chez le patient âgé et chez l'enfant
  • +Chez les personnes âgées, la concentration plasmatique du naproxène non lié aux protéines est augmentée, bien que la concentration totale reste inchangée. Par conséquent, la prudence est de mise lors de l'administration de fortes doses d'Apranax chez les patients âgés. Les effets indésirables des anti-inflammatoires non stéroïdiens surviennent plus fréquemment dans ces cas-là; en l'occurrence, il s'agit surtout d'hémorragies et de perforations gastro-intestinales pouvant conduire au décès. Chez les personnes âgées, la clairance est diminuée. Il est recommandé d'administrer le médicament à faible posologie (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +L'utilisation d'Apranax est contre-indiquée chez les enfants de moins de 2 ans.
  • -A linstar de tous les principes actifs dont on sait quils inhibent la synthèse de la cyclo-oxygénase/des prostaglandines, le naproxène peut influer sur la fertilité. Lutilisation de naproxène est donc déconseillée chez les femmes qui souhaitent avoir un enfant. Larrêt du traitement par le naproxène doit être envisagé chez les femmes faisant lobjet dune analyse de la fertilité.
  • +A l'instar de tous les principes actifs dont on sait qu'ils inhibent la synthèse de la cyclo-oxygénase/des prostaglandines, le naproxène peut influer sur la fertilité. L'utilisation de naproxène est donc déconseillée chez les femmes qui souhaitent avoir un enfant. L'arrêt du traitement par le naproxène doit être envisagé chez les femmes faisant l'objet d'une analyse de la fertilité.
  • -Ce médicament contient 50 mg de sodium par comprimé pelliculé, ce qui correspond à 2,5 % de lapport maximal quotidien en sodium alimentaire de 2 g recommandé par lOMS pour un adulte.
  • +Ce médicament contient 50 mg de sodium par comprimé pelliculé, ce qui correspond à 2,5 % de l'apport maximal quotidien en sodium alimentaire de 2 g recommandé par l'OMS pour un adulte.
  • -Ladministration concomitante dantiacides ou de cholestyramine ainsi que la prise alimentaire concomitante peuvent retarder labsorption du naproxène mais nont pas dinfluence sur lampleur de celle-ci.
  • -En raison de la forte liaison du naproxène à lalbumine plasmatique, des interactions sont théoriquement possibles avec dautres médicaments liant lalbumine, p. ex. les anticoagulants de type coumarinique, les sulfonylurées, les hydantoïnes, dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens et lacide acétylsalicylique. Les patients sous traitement concomitant avec des hydantoïnes (phénytoïne), des sulfamides ou des sulfonylurées doivent être soigneusement surveillés en vue dune éventuelle adaptation de la dose.
  • -Bien que les études cliniques naient fait apparaître aucune interaction significative entre le naproxène et les anticoagulants à base de coumarine ou les sulfonylurées, la prudence est de rigueur du fait que des interactions avec des produits appartenant au même groupe ont été observées. Par exemple, des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent potentialiser leffet des anticoagulants de type coumarinique. Le naproxène réduit lagrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Il convient de tenir compte de cet effet dans la détermination du temps de saignement.
  • -Ladministration simultanée de probénécide augmente les taux plasmatiques du naproxène et allonge sa demi-vie biologique.
  • -La prudence est de rigueur en cas dadministration concomitante dApranax et de méthotrexate, étant donné que le naproxène et dautres anti-inflammatoires non stéroïdiens ont entraîné chez un modèle animal une diminution de la sécrétion tubulaire du méthotrexate, ce qui pourrait renforcer sa toxicité.
  • -En outre, le naproxène peut diminuer leffet antihypertenseur des bêtabloquants, inhibiteurs de lECA et antagonistes des récepteurs de langiotensine.
  • -La co-administration dAINS et dinhibiteurs de lECA ou antagonistes des récepteurs de langiotensine peut augmenter le risque dinsuffisance rénale, en particulier chez les patients ayant une fonction rénale diminuée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Il a été signalé que leffet natriurétique du furosémide est inhibé par quelques produits de cette classe.
  • +L'administration concomitante d'antiacides ou de cholestyramine ainsi que la prise alimentaire concomitante peuvent retarder l'absorption du naproxène mais n'ont pas d'influence sur l'ampleur de celle-ci.
  • +En raison de la forte liaison du naproxène à l'albumine plasmatique, des interactions sont théoriquement possibles avec d'autres médicaments liant l'albumine, p.ex. les anticoagulants de type coumarinique, les sulfonylurées, les hydantoïnes, d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens et l'acide acétylsalicylique. Les patients sous traitement concomitant avec des hydantoïnes (phénytoïne), des sulfamides ou des sulfonylurées doivent être soigneusement surveillés en vue d'une éventuelle adaptation de la dose.
  • +Bien que les études cliniques n'aient fait apparaître aucune interaction significative entre le naproxène et les anticoagulants à base de coumarine ou les sulfonylurées, la prudence est de rigueur du fait que des interactions avec des produits appartenant au même groupe ont été observées. Par exemple, des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent potentialiser l'effet des anticoagulants de type coumarinique. Le naproxène réduit l'agrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Il convient de tenir compte de cet effet dans la détermination du temps de saignement.
  • +L'administration simultanée de probénécide augmente les taux plasmatiques du naproxène et allonge sa demi-vie biologique.
  • +La prudence est de rigueur en cas d'administration concomitante d'Apranax et de méthotrexate, étant donné que le naproxène et d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens ont entraîné chez un modèle animal une diminution de la sécrétion tubulaire du méthotrexate, ce qui pourrait renforcer sa toxicité.
  • +En outre, le naproxène peut diminuer l'effet antihypertenseur des bêtabloquants, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes des récepteurs de l'angiotensine.
  • +La co-administration d'AINS et d'inhibiteurs de l'ECA ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine peut augmenter le risque d'insuffisance rénale, en particulier chez les patients ayant une fonction rénale diminuée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Il a été signalé que l'effet natriurétique du furosémide est inhibé par quelques produits de cette classe.
  • -Le risque dhémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions») est accru lorsque des inhibiteurs de lagrégation plaquettaire et des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI) sont associés à des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Le risque d'hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions») est accru lorsque des inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire et des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI) sont associés à des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Linhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées détudes épidémiologiques, ladministration dinhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. Lon présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • -Chez les animaux, il est prouvé que ladministration dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de lorganogenèse.
  • -Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le naproxène ne devrait être administré quen cas de nécessité absolue. Si le naproxène est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • +Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
  • +Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le naproxène ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si le naproxène est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -La prise dAINS, y compris de naproxène, à partir de la 20e semaine de grossesse peut entraîner des troubles de la fonction rénale chez le fœtus pouvant provoquer un oligoamnios et, dans certains cas, une insuffisance rénale néonatale. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après plusieurs jours ou semaines de traitement, bien quun oligoamnios ait déjà été rapporté 48 heures après le début du traitement par AINS dans de rares cas. Un oligoamnios est souvent, mais pas toujours, réversible à larrêt du traitement. Les complications dun oligoamnios prolongé peuvent par exemple inclure des contractures des membres et un retard de maturation pulmonaire. Certains cas dinsuffisance rénale néonatale signalés après la mise sur le marché ont nécessité des procédures invasives comme une exsanguino-transfusion ou une dialyse.
  • -En outre, suite au traitement, un rétrécissement du canal artériel a été observé pendant le deuxième trimestre. Il sest résolu dans la plupart des cas après interruption du traitement. Une surveillance échographique du liquide amniotique et du cœur du fœtus doit être envisagée si le traitement par le naproxène dure plus de 48 heures. La prise de naproxène doit être interrompue en cas de survenue dun oligoamnios ou dun rétrécissement du canal artériel, et un examen de suivi doit être effectué conformément à la pratique clinique.
  • +La prise d'AINS, y compris de naproxène, à partir de la 20e semaine de grossesse peut entraîner des troubles de la fonction rénale chez le fœtus pouvant provoquer un oligoamnios et, dans certains cas, une insuffisance rénale néonatale. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après plusieurs jours ou semaines de traitement, bien qu'un oligoamnios ait déjà été rapporté 48 heures après le début du traitement par AINS dans de rares cas. Un oligoamnios est souvent, mais pas toujours, réversible à l'arrêt du traitement. Les complications d'un oligoamnios prolongé peuvent par exemple inclure des contractures des membres et un retard de maturation pulmonaire. Certains cas d'insuffisance rénale néonatale signalés après la mise sur le marché ont nécessité des procédures invasives comme une exsanguino-transfusion ou une dialyse.
  • +En outre, suite au traitement, un rétrécissement du canal artériel a été observé pendant le deuxième trimestre. Il s'est résolu dans la plupart des cas après interruption du traitement. Une surveillance échographique du liquide amniotique et du cœur du fœtus doit être envisagée si le traitement par le naproxène dure plus de 48 heures. La prise de naproxène doit être interrompue en cas de survenue d'un oligoamnios ou d'un rétrécissement du canal artériel, et un examen de suivi doit être effectué conformément à la pratique clinique.
  • -§toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
  • -§atteintes rénales allant jusquà la défaillance rénale et loligohydramniose.
  • -exposer la mère et lenfant aux risques suivants:
  • -§allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • -§inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant laccouchement.
  • +toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
  • +atteintes rénales allant jusqu'à la défaillance rénale et l'oligohydramniose.
  • +exposer la mère et l'enfant aux risques suivants:
  • +allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • +inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l'accouchement.
  • -Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le naproxène ne doit donc pas être pris par les femmes qui allaitent. Si le traitement savère indispensable, il convient alors de nourrir lenfant au biberon. Le naproxène passe dans le lait maternel en petites quantités (concentration denviron 1 % de la concentration de naproxène dans le plasma).
  • +Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, le naproxène ne doit donc pas être pris par les femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon. Le naproxène passe dans le lait maternel en petites quantités (concentration d'environ 1 % de la concentration de naproxène dans le plasma).
  • -Lutilisation de naproxène peut avoir un impact négatif sur la fertilité féminine et nest dès lors pas recommandée aux femmes qui envisagent une grossesse. Larrêt du naproxène devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests dinfertilité.
  • +L'utilisation de naproxène peut avoir un impact négatif sur la fertilité féminine et n'est dès lors pas recommandée aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt du naproxène devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests d'infertilité.
  • -Chez certains patients, la prise de naproxène peut entraîner une somnolence, des vertiges, des insomnies ou des dépressions. Cest pourquoi la prudence est de rigueur en cas dactivités nécessitant une attention accrue (conduite de véhicules, commande de machines).
  • +Chez certains patients, la prise de naproxène peut entraîner une somnolence, des vertiges, des insomnies ou des dépressions. C'est pourquoi la prudence est de rigueur en cas d'activités nécessitant une attention accrue (conduite de véhicules, commande de machines).
  • -Les effets indésirables sont classés par fréquence, en commençant par leffet indésirable le plus fréquent. La fréquence doit être indiquée comme suit: «très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (≥ 1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1 000, < 1/100), «rares» (≥ 1/10 000, < 1/1 000), «très rares» (< 1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Pour chaque fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante.
  • +Les effets indésirables sont classés par fréquence, en commençant par l'effet indésirable le plus fréquent. La fréquence doit être indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1 000, < 1/100), «rares» (≥1/10 000, < 1/1 000), «très rares» (< 1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Pour chaque fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante.
  • -Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Fréquents: acouphènes, troubles de laudition.
  • -Occasionnels: baisse de laudition.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Fréquents: acouphènes, troubles de l'audition.
  • +Occasionnels: baisse de l'audition.
  • -Occasionnels: alopécie, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, érythème noueux, érythème pigmenté fixe, lichen plan, réaction pustuleuse, éruptions cutanées, lupus érythémateux disséminé, syndrome de Stevens-Johnson, urticaire, réactions de photosensibilité, y compris de plus rares cas évoquant une porphyrie cutanée tardive (pseudoporphyrie) ou une épidermolyse bulleuse. En cas de fragilité cutanée, de formation de vésicules ou dautres symptômes évoquant une pseudoporphyrie, arrêter le traitement et surveiller le patient.
  • +Occasionnels: alopécie, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, érythème noueux, érythème pigmenté fixe, lichen plan, réaction pustuleuse, éruptions cutanées, lupus érythémateux disséminé, syndrome de Stevens-Johnson, urticaire, réactions de photosensibilité, y compris de plus rares cas évoquant une porphyrie cutanée tardive (pseudoporphyrie) ou une épidermolyse bulleuse. En cas de fragilité cutanée, de formation de vésicules ou d'autres symptômes évoquant une pseudoporphyrie, arrêter le traitement et surveiller le patient.
  • -Les effets indésirables suivants ont été signalés lors de lutilisation danti-inflammatoires non stéroïdiens et de naproxène:
  • +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors de l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens et de naproxène:
  • -Affections de loreille et du labyrinthe: troubles de laudition, acouphènes, vertiges.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe: troubles de l'audition, acouphènes, vertiges.
  • -Des données provenant dessais cliniques et des données épidémiologiques indiquent que lutilisation dinhibiteurs de la COX-2 et de quelques AINS (surtout à hautes doses et sur de longues durées) pourrait être associée à un risque légèrement plus élevé daccidents thromboemboliques artériels (p. ex: infarctus du myocarde ou attaque cérébrale). Bien que des données suggèrent que lutilisation de naproxène (1 000 mg/j) pourrait être associée à un risque plus faible, il nest pas possible dexclure un certain risque.
  • +Des données provenant d'essais cliniques et des données épidémiologiques indiquent que l'utilisation d'inhibiteurs de la COX-2 et de quelques AINS (surtout à hautes doses et sur de longues durées) pourrait être associée à un risque légèrement plus élevé d'accidents thromboemboliques artériels (p. ex: infarctus du myocarde ou attaque cérébrale). Bien que des données suggèrent que l'utilisation de naproxène (1 000 mg/j) pourrait être associée à un risque plus faible, il n'est pas possible d'exclure un certain risque.
  • -Affections gastro-intestinales: inflammations, hémorragies gastro-intestinales parfois mortelles, surtout chez les patients âgés, ulcérations, perforation et obstruction du tube digestif supérieur ou inférieur (voir «Mises en garde et précautions»). Pyrosis, nausées, œsophagite, vomissements, diarrhée, flatulences, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, melaena, hématémèse, stomatite, aggravation dune colite et de la maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions»). Pancréatite, gastrite.
  • -Affections hépatobiliaires: hépatite (quelques cas dhépatite ont été mortels), ictère, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané: ecchymoses, démangeaisons (prurit), purpura, exanthème, sudation, alopécie, nécrolyse épidermique, très rarement syndrome de Lyell, érythème polymorphe, réactions cutanées bulleuses, y compris syndrome de Stevens-Johnson, syndrome DRESS, érythème noueux, érythème pigmenté fixe, lichen plan, pustules, éruptions cutanées, lupus érythémateux disséminé, urticaire, réactions de photosensibilité, y compris de plus rares cas évoquant une porphyrie cutanée tardive (pseudoporphyrie) ou une épidermolyse bulleuse, ainsi quœdème de Quincke.
  • -En cas de fragilité cutanée, de formation de vésicules ou dautres symptômes évoquant une pseudoporphyrie, arrêter le traitement et surveiller le patient.
  • +Affections gastro-intestinales: inflammations, hémorragies gastro-intestinales parfois mortelles, surtout chez les patients âgés, ulcérations, perforation et obstruction du tube digestif supérieur ou inférieur (voir «Mises en garde et précautions»). Pyrosis, nausées, œsophagite, vomissements, diarrhée, flatulences, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, melaena, hématémèse, stomatite, aggravation d'une colite et de la maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions»). Pancréatite, gastrite.
  • +Affections hépatobiliaires: hépatite (quelques cas d'hépatite ont été mortels), ictère, anomalies des tests de la fonction hépatique.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: ecchymoses, démangeaisons (prurit), purpura, exanthème, sudation, alopécie, nécrolyse épidermique, très rarement syndrome de Lyell, érythème polymorphe, réactions cutanées bulleuses, y compris syndrome de Stevens-Johnson, syndrome DRESS, érythème noueux, érythème pigmenté fixe, lichen plan, pustules, éruptions cutanées, lupus érythémateux disséminé, urticaire, réactions de photosensibilité, y compris de plus rares cas évoquant une porphyrie cutanée tardive (pseudoporphyrie) ou une épidermolyse bulleuse, ainsi qu'œdème de Quincke.
  • +En cas de fragilité cutanée, de formation de vésicules ou d'autres symptômes évoquant une pseudoporphyrie, arrêter le traitement et surveiller le patient.
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Un surdosage important de naproxène peut entraîner les manifestations suivantes: étourdissements, somnolence, douleurs épigastriques, douleurs abdominales, troubles digestifs, nausées, troubles temporaires de la fonction hépatique, hypoprothrombinémie, troubles de la fonction rénale, acidose métabolique, apnée, désorientation et vomissements. Étant donné quApranax est parfois rapidement absorbé, des concentrations sanguines élevées sont possibles peu après ladministration. Chez quelques rares patients, des convulsions ont été observées, mais leur lien avec le naproxène est incertain.
  • -Des hémorragies gastro-intestinales peuvent survenir. Hypertension, insuffisance rénale aigüe, dépression respiratoire et coma peuvent se manifester après ingestion danti-inflammatoires non stéroïdiens, mais sont rares.
  • -Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées après la prise de doses thérapeutiques danti-inflammatoires non stéroïdiens, elles peuvent survenir après un surdosage.
  • +Un surdosage important de naproxène peut entraîner les manifestations suivantes: étourdissements, somnolence, douleurs épigastriques, douleurs abdominales, troubles digestifs, nausées, troubles temporaires de la fonction hépatique, hypoprothrombinémie, troubles de la fonction rénale, acidose métabolique, apnée, désorientation et vomissements. Étant donné qu'Apranax est parfois rapidement absorbé, des concentrations sanguines élevées sont possibles peu après l'administration. Chez quelques rares patients, des convulsions ont été observées, mais leur lien avec le naproxène est incertain.
  • +Des hémorragies gastro-intestinales peuvent survenir. Hypertension, insuffisance rénale aigüe, dépression respiratoire et coma peuvent se manifester après ingestion d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, mais sont rares.
  • +Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées après la prise de doses thérapeutiques d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, elles peuvent survenir après un surdosage.
  • -Après un surdosage aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, on administrera au patient un traitement symptomatique et de soutien. Il nexiste pas dantidote spécifique. Il peut être indiqué dempêcher que les patients nen absorbent davantage (p. ex. à laide de charbon actif) lorsque les patients présentent des symptômes dans les 4 heures suivant lingestion des AINS ou quils les ont pris en surdose importante. Compte tenu de leur forte liaison aux protéines, la diurèse forcée, lalcalinisation de lurine, lhémodialyse ou lhémoperfusion ne sont parfois pas appropriées.
  • +Après un surdosage aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, on administrera au patient un traitement symptomatique et de soutien. Il n'existe pas d'antidote spécifique. Il peut être indiqué d'empêcher que les patients n'en absorbent davantage (p.ex. à l'aide de charbon actif) lorsque les patients présentent des symptômes dans les 4 heures suivant l'ingestion des AINS ou qu'ils les ont pris en surdose importante. Compte tenu de leur forte liaison aux protéines, la diurèse forcée, l'alcalinisation de l'urine, l'hémodialyse ou l'hémoperfusion ne sont parfois pas appropriées.
  • -Mécanisme daction
  • -Apranax possède de puissantes propriétés analgésiques, anti-inflammatoires et antipyrétiques. Le naproxène sodique, dérivé non stéroïdien de lacide propionique, inhibe la synthèse des prostaglandines. Le sel sodique de la substance active est rapidement et complètement absorbé, de sorte que leffet analgésique se manifeste déjà 15 à 30 minutes après ladministration orale.
  • +Mécanisme d'action
  • +Apranax possède de puissantes propriétés analgésiques, anti-inflammatoires et antipyrétiques. Le naproxène sodique, dérivé non stéroïdien de l'acide propionique, inhibe la synthèse des prostaglandines. Le sel sodique de la substance active est rapidement et complètement absorbé, de sorte que l'effet analgésique se manifeste déjà 15 à 30 minutes après l'administration orale.
  • -Voir «Mécanisme daction»
  • +Voir «Mécanisme d'action»
  • -Le naproxène sodique est rapidement et complètement absorbé dans le tractus gastro-intestinal. Des concentrations plasmatiques significatives sont enregistrées en lespace de 20 minutes et les concentrations maximales sont atteintes 1-2 heures après ladministration orale. La prise simultanée de nourriture peut retarder labsorption du naproxène sodique, mais na pas dinfluence sur lampleur de celle-ci.
  • +Le naproxène sodique est rapidement et complètement absorbé dans le tractus gastro-intestinal. Des concentrations plasmatiques significatives sont enregistrées en l'espace de 20 minutes et les concentrations maximales sont atteintes 1-2 heures après l'administration orale. La prise simultanée de nourriture peut retarder l'absorption du naproxène sodique, mais n'a pas d'influence sur l'ampleur de celle-ci.
  • -Le volume de distribution du naproxène est de 0,16 L/kg. La substance active se lie à plus de 99 % à lalbumine sérique. À des doses supérieures à 500 mg/jour, laugmentation de la concentration plasmatique nest plus proportionnelle, car la clairance augmente lors de ladministration de doses élevées, en raison de la saturation de la liaison aux protéines. En revanche, laugmentation de naproxène non lié reste proportionnelle à la dose administrée.
  • -Le naproxène passe dans la synovie, franchit la barrière placentaire et a été mis en évidence dans le lait de femmes en période dallaitement à des concentrations correspondant environ à 1 % de la concentration plasmatique.
  • +Le volume de distribution du naproxène est de 0,16 L/kg. La substance active se lie à plus de 99 % à l'albumine sérique. À des doses supérieures à 500 mg/jour, l'augmentation de la concentration plasmatique n'est plus proportionnelle, car la clairance augmente lors de l'administration de doses élevées, en raison de la saturation de la liaison aux protéines. En revanche, l'augmentation de naproxène non lié reste proportionnelle à la dose administrée.
  • +Le naproxène passe dans la synovie, franchit la barrière placentaire et a été mis en évidence dans le lait de femmes en période d'allaitement à des concentrations correspondant environ à 1 % de la concentration plasmatique.
  • -Environ 95 % de la dose administrée sont éliminés dans lurine sous forme de naproxène inchangé, de 6-O-déméthyl-naproxène inactif ou de conjugués du naproxène. De faibles quantités (≤ 3 %) sont éliminées dans les selles.
  • -La clairance du naproxène est denviron 0,13 mL/min/kg. La demi-vie biologique dans le plasma est denviron 14 heures.
  • +Environ 95 % de la dose administrée sont éliminés dans l'urine sous forme de naproxène inchangé, de 6-O-déméthyl-naproxène inactif ou de conjugués du naproxène. De faibles quantités (≤3 %) sont éliminées dans les selles.
  • +La clairance du naproxène est d'environ 0,13 mL/min/kg. La demi-vie biologique dans le plasma est d'environ 14 heures.
  • -Étant donné que le naproxène et ses métabolites sont principalement éliminés par les reins, une accumulation du produit est théoriquement possible en cas dinsuffisance rénale. Chez les patients présentant un trouble grave de la fonction rénale, lélimination du naproxène est réduite.
  • -Chez ces patients (clairance de la créatinine < 10 mL/min), lélimination du naproxène est toutefois plus importante que ce que laisserait supposer lampleur de linsuffisance rénale.
  • +Étant donné que le naproxène et ses métabolites sont principalement éliminés par les reins, une accumulation du produit est théoriquement possible en cas d'insuffisance rénale. Chez les patients présentant un trouble grave de la fonction rénale, l'élimination du naproxène est réduite.
  • +Chez ces patients (clairance de la créatinine < 10 mL/min), l'élimination du naproxène est toutefois plus importante que ce que laisserait supposer l'ampleur de l'insuffisance rénale.
  • -Chez lenfant de 5 à 16 ans, le profil pharmacocinétique du naproxène est similaire à celui constaté chez ladulte, bien que lélimination chez lenfant intervienne généralement plus rapidement que chez ladulte. La pharmacocinétique du naproxène na pas été étudiée chez lenfant de moins de 5 ans.
  • +Chez l'enfant de 5 à 16 ans, le profil pharmacocinétique du naproxène est similaire à celui constaté chez l'adulte, bien que l'élimination chez l'enfant intervienne généralement plus rapidement que chez l'adulte. La pharmacocinétique du naproxène n'a pas été étudiée chez l'enfant de moins de 5 ans.
  • -Le naproxène a été administré chez le rat Spague-Dawley, conjointement avec la nourriture, à des doses de 8, 16 et 24 mg/kg/jour pendant 24 mois. Il ne sest pas avéré cancérogène chez le rat.
  • +Le naproxène a été administré chez le rat Spague-Dawley, conjointement avec la nourriture, à des doses de 8, 16 et 24 mg/kg/jour pendant 24 mois. Il ne s'est pas avéré cancérogène chez le rat.
  • -Aucune mutagénicité na été mise en évidence dans des souches de Salmonella typhimurium (5 lignées cellulaires) et de Saccharomyces cerevisiae (1 lignée cellulaire), ni dans des tests sur le lymphome murin.
  • +Aucune mutagénicité n'a été mise en évidence dans des souches de Salmonella typhimurium (5 lignées cellulaires) et de Saccharomyces cerevisiae (1 lignée cellulaire), ni dans des tests sur le lymphome murin.
  • -Ladministration orale de naproxène à raison de 30 mg/kg/jour à des rats mâles et de 20 mg/kg/jour à des rats femelles na mis en évidence aucune influence sur la fertilité.
  • +L'administration orale de naproxène à raison de 30 mg/kg/jour à des rats mâles et de 20 mg/kg/jour à des rats femelles n'a mis en évidence aucune influence sur la fertilité.
  • -Lors de ladministration orale de doses de 20 mg/kg/jour pendant lorganogenèse, le naproxène na fait preuve daucune tératogénicité chez le rat et le lapin.
  • +Lors de l'administration orale de doses de 20 mg/kg/jour pendant l'organogenèse, le naproxène n'a fait preuve d'aucune tératogénicité chez le rat et le lapin.
  • -Ladministration orale de naproxène à des rats femelles en gestation, à des doses de 2, 10 et 20 mg/kg/jour pendant le troisième trimestre, a entraîné des difficultés lors de la mise bas. Il sagit là dun effet connu de cette classe de substances, qui a également été mis en évidence avec lacide acétylsalicylique et lindométacine.
  • +L'administration orale de naproxène à des rats femelles en gestation, à des doses de 2, 10 et 20 mg/kg/jour pendant le troisième trimestre, a entraîné des difficultés lors de la mise bas. Il s'agit là d'un effet connu de cette classe de substances, qui a également été mis en évidence avec l'acide acétylsalicylique et l'indométacine.
  • -Etant donné quApranax peut interférer par artéfact avec certains dosages des 17-cétostéroïdes, il importe dinterrompre le traitement 48 heures avant un examen de la fonction surrénalienne. Apranax peut également interférer avec le dosage urinaire de lacide 5-hydroxyindole-acétique.
  • -Apranax entraîne une inhibition de lagrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Cet effet doit être pris en considération lors de la détermination du temps de saignement.
  • +Etant donné qu'Apranax peut interférer par artéfact avec certains dosages des 17-cétostéroïdes, il importe d'interrompre le traitement 48 heures avant un examen de la fonction surrénalienne. Apranax peut également interférer avec le dosage urinaire de l'acide 5-hydroxyindole-acétique.
  • +Apranax entraîne une inhibition de l'agrégation plaquettaire et prolonge le temps de saignement. Cet effet doit être pris en considération lors de la détermination du temps de saignement.
  • -Recordati AG, 6340 Baar
  • +Atnahs Pharma Switzerland AG, Zug.
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