70 Changements de l'information professionelle Zantic 150 mg |
-Principe actif: Ranitidinum (ut Ranitidini hydrochloridum).
- +Principe actif
- +Ranitidinum (ut Ranitidini hydrochloridum).
-Comprimés pelliculés: Excipiens pro compresso.
-Solution injectable: Aqua q.s. ad solutionem pro 5 ml.
- +Aqua ad iniect. q.s. ad solutionem pro 5 ml.
-Comprimés pelliculés (non sécables) à 150 mg et 300 mg de Ranitidinum.
-Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d’une infection à Helicobacter pylori avérée, la ranitidine doit être administrée en association avec deux antibiotiques (amoxicilline et métronidazole).
-Zantic est également indiqué dans la prévention des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l’appareil gastro-intestinal supérieur et dans la prévention des ulcères de stress.
-Zantic s’utilise également dans la dyspepsie acide et en prémédication anesthésique pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation de liquide gastrique.
- +Zantic est également indiqué dans la prévention des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l'appareil gastro-intestinal supérieur et dans la prévention des ulcères de stress.
- +Zantic s'utilise également dans la dyspepsie acide et en prémédication anesthésique pour atténuer les séquelles du syndrome d'inhalation de liquide gastrique.
-Administration orale
-Les comprimés pelliculés sont à avaler avec un peu de liquide.
-Ulcère duodénal, ulcère gastrique bénin, ulcère postopératoire: la posologie usuelle est de 150 mg 2×/jour (matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas), ou de 1× 300 mg au coucher pendant 4 à 6 semaines.
-La poursuite du traitement pour une deuxième période de 4 semaines n’est nécessaire que chez peu de patients. Dans le traitement de l’ulcère duodénal, une posologie de 300 mg 2×/jour pendant 4 semaines permet d’obtenir un meilleur taux de guérison chez les patients de sexe masculin qu’une posologie de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour au coucher pendant 4 semaines. La dose plus élevée de 300 mg 2×/jour ne sera utilisée que si la dose plus faible n’a pas abouti au résultat thérapeutique. Cette augmentation posologique ne se traduit pas par une fréquence accrue d’effets indésirables.
-La dose prophylactique de 150 mg par jour, administrée au coucher, peut s’avérer utile chez les patients ayant bien répondu au traitement à court terme, mais aussi notamment chez ceux prédisposés aux récidives.
-Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d’une infection à Helicobacter pylori avérée, Zantic est administré à raison de 300 mg 1×/jour au coucher ou de 150 mg 2×/jour, matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas, en association avec 750 mg d’amoxicilline 3×/jour par voie orale et 500 mg de métronidazole 3×/jour par voie orale pendant 2 semaines. Ensuite, la prise de Zantic doit être poursuivie pendant 4 semaines supplémentaires. Ce schéma thérapeutique a permis d’éradiquer le Helicobacter pylori chez 89% des patients, le taux de récidives n’étant que de 2% après 12 mois de suivi.
-Oesophagite de reflux: la posologie est de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour (au coucher) sur une période n’excédant pas 12 semaines.
-En cas d’œsophagite de reflux de gravité moyenne à sévère, la dose peut atteindre 150 mg 4×/jour pendant une période allant jusqu’à 12 semaines.
-Dans le traitement prolongé, la dose recommandée est de 150 mg 2×/jour.
-Syndrome de Zollinger-Ellison: la dose initiale est de 150 mg 3×/jour (le matin, à midi et au coucher); au besoin, elle peut être augmentée jusqu’à 600-900 mg par jour. Des doses journalières allant jusqu’à 6 g ont été bien tolérées.
-Dyspepsie acide: la posologie recommandée s’élève à 150 mg 2×/jour, pendant une période allant jusqu’à 6 semaines. Les patients réfractaires au traitement ou récidivant en peu de temps devraient être soumis à un examen approfondi.
-Prémédication anesthésique: pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): 150 mg 2 heures avant l’induction de l’anesthésie et, si possible, 150 mg la veille au soir.
-Pour minimiser l’effet sur la biodisponibilité de la didanosine et de l’atazanavir, il est conseillé d’administrer la didanosine 2 heures après et l’atazanavir à un intervalle de 12 heures par rapport à des médicaments qui modifient le pH (cf. «Interactions»).
-Application parentérale
-L’application parentérale demeure réservée aux situations dans lesquelles la forme orale ne peut pas être administrée. Elle s’effectue de la manière suivante:
- +L'application parentérale demeure réservée aux situations dans lesquelles un traitement par voie orale n'est pas possible. Elle s'effectue de la manière suivante:
-Perfusion: 25 mg/h pendant 2 heures. Répéter après 6 à 8 heures.
-Injection i.v.: 50 mg (= 5 ml) à diluer dans 20 ml, puis injecter lentement (sur 2 min. au moins). Répéter toutes les 6 à 8 heures.
-Prophylaxie de l’ulcère de stress et des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l’appareil gastro-intestinal supérieur: 50 mg de Zantic 3 à 4×/jour par voie intraveineuse (de préférence en brève perfusion, voir plus haut «Injection i.v.»), puis continuer par 150 mg 2×/jour par voie orale. Chez des patients gravement malades, administrer une dose initiale de 50 mg de Zantic par voie intraveineuse, suivie d’une perfusion continue de 0,125 à 0,250 mg/kg/h.
-Prémédication anesthésique, pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): si la prémédication ne peut être effectuée par voie orale (voir «Administration orale»), diluer 50 mg dans 20 ml, puis injecter lentement (sur 2 min. au moins) une heure avant l’induction de l’anesthésie.
- +perfusion: 25 mg/h pendant 2 heures. Répéter après 6 à 8 heures.
- +injection i.v.: 50 mg (= 5 ml) à diluer à 20 ml, puis injecter lentement (sur 2 min. au moins). Répéter toutes les 6 à 8 heures.
- +Prophylaxie de l'ulcère de stress et des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l'appareil gastro-intestinal supérieur: 50 mg de Zantic 3 à 4×/jour par voie intraveineuse (de préférence en brève perfusion, voir plus haut «Injection i.v.»), puis continuer par 150 mg de ranitidine 2×/jour par voie orale. Chez des patients gravement malades, administrer une dose initiale de 50 mg de Zantic par voie intraveineuse, suivie d'une perfusion continue de 0,125 à 0,250 mg/kg/h.
- +Prémédication anesthésique, pour atténuer les séquelles du syndrome d'inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): une heure avant l'induction de l'anesthésie, diluer 50 mg à 20 ml, puis injecter lentement (sur 2 min. au moins).
-Enfants à partir d’un mois:
-Chez les enfants à partir d’un mois, la dose orale recommandée de Zantic dans le traitement de l’ulcère peptique est de 2 à 4 mg/kg de poids corporel 2× par jour, jusqu’à une dose journalière maximale de 300 mg. Toutefois, l’expérience acquise en pédiatrie est encore limitée.
-Patients de plus de 50 ans (cf. «Pharmacocinétique», cinétique pour certains groupes de patients).
-Fonction rénale réduite:
-La ranitidine est éliminée par voie rénale. En cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min), la concentration plasmatique est plus élevée et la demi-vie plasmatique est prolongée (cf. «Pharmacocinétique»): Chez ces patients, la dose recommandée s’élève à 150 mg par jour par voie orale et à la moitié de la dose habituelle par voie parentérale.
- +Patients de plus de 50 ans (voir «Pharmacocinétique», cinétique pour certains groupes de patients).
- +Fonction rénale réduite
- +La ranitidine est éliminée par voie rénale. En cas d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min), la concentration plasmatique est plus élevée et la demi-vie plasmatique est prolongée (voir «Pharmacocinétique»). Chez ces patients, la dose usuelle est de 25 mg (moitié de la dose usuelle).
-Zantic ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une hypersensibilité avérée à l’un de ses composants.
- +Zantic ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une hypersensibilité avérée à l'un de ses composants.
-Un accroissement du pH gastrique fait augmenter le risque d’une colonisation par des germes pathogènes.
-Le traitement par un antagoniste des récepteurs H2 peut masquer les symptômes d’un cancer gastrique et en retarder le diagnostic. Il faut donc écarter, avant le traitement, la présence d’un ulcère malin chez les patients souffrant d’un ulcère gastrique ou chez les patients âgés présentant des symptômes dyspeptiques récents ou récemment modifiés.
-En cas d’insuffisance rénale, il faut réduire la dose (voir «Instructions spéciales de dosage»).
-Un contrôle régulier, notamment chez les patients âgés, est conseillé en cas d’ulcère peptique et de traitement concomitant avec des AINS.
-En cas d’application intraveineuse, une surveillance étroite est indiquée, en particulier chez les patients présentant des facteurs prédisposant aux troubles du rythme. (Dans de rares cas, une injection trop rapide a provoqué une bradycardie).
-L’administration de doses plus élevées que les doses recommandées d’antagonistes aux récepteurs H2 par voie i.v. a été associée à une augmentation des valeurs des enzymes hépatiques lorsque le traitement a été prolongé sur 5 jours.
-L’emploi de la ranitidine est à éviter chez les patients présentant des antécédents de porphyrie aiguë.
- +Un accroissement du pH gastrique fait augmenter le risque d'une colonisation par des germes pathogènes.
- +Le traitement par un antagoniste des récepteurs H2 peut masquer les symptômes d'un cancer gastrique et en retarder le diagnostic. Il faut donc écarter, avant le traitement, la présence d'un ulcère malin chez les patients souffrant d'un ulcère gastrique ou chez les patients âgés présentant des symptômes dyspeptiques récents ou récemment modifiés.
- +En cas d'insuffisance rénale, il faut réduire la dose (voir «Instructions spéciales de dosage»).
- +Un contrôle régulier, notamment chez les patients âgés, est conseillé en cas d'ulcère peptique et de traitement concomitant avec des AINS.
- +En cas d'application intraveineuse, une surveillance étroite est indiquée, en particulier chez les patients présentant des facteurs prédisposant aux troubles du rythme. (Dans de rares cas, une injection trop rapide a provoqué une bradycardie).
- +L'administration de doses plus élevées que les doses recommandées d'antagonistes aux récepteurs H2 par voie i.v. a été associée à une augmentation des valeurs des enzymes hépatiques lorsque le traitement a été prolongé sur 5 jours.
- +L'emploi de la ranitidine est à éviter chez les patients présentant des antécédents de porphyrie aiguë.
-La ranitidine a la capacité d’influencer la résorption, la métabolisation ou l’excrétion rénale d’autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut impliquer un ajustement du dosage pour les médicaments concernés ou l’arrêt du traitement.
-Les interactions peuvent se traduire par différents mécanismes
-1. Inhibition du système d’oxygénase multifonctionnelle dépendant du cytochrome P450:
-Administrée selon les dosages thérapeutiques habituels, la ranitidine n’induit pas le renforcement de l'effet des médicaments inactivés via ce système enzymatique, tels le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, le propranolol et la théophylline.
-Pour les anticoagulants coumariniques (par ex. la warfarine), une modification des temps de prothrombine a été rapportée. Peu de données concernant la phenprocoumone et l’acénocoumarol sont disponibles. Du fait de la marge thérapeutique étroite de ces médicaments, une surveillance étroite de l’allongement ou de la réduction du temps de prothrombine est recommandée durant le traitement concomitant avec la ranitidine.
- +La ranitidine a la capacité d'influencer la résorption, la métabolisation ou l'excrétion rénale d'autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut impliquer un ajustement du dosage pour les médicaments concernés ou l'arrêt du traitement.
- +Les interactions peuvent se traduire par différents mécanismes.
- +1. Inhibition du système d'oxygénase multifonctionnelle dépendant du cytochrome P450:
- +Administrée selon les dosages thérapeutiques habituels, la ranitidine n'induit pas le renforcement de l'effet des médicaments inactivés via ce système enzymatique, tels le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, le propranolol et la théophylline.
- +Pour les anticoagulants coumariniques (par ex. la warfarine), une modification des temps de prothrombine a été rapportée. Peu de données concernant la phenprocoumone et l'acénocoumarol sont disponibles. Du fait de la marge thérapeutique étroite de ces médicaments, une surveillance étroite de l'allongement ou de la réduction du temps de prothrombine est recommandée durant le traitement concomitant avec la ranitidine.
-Comme la ranitidine est partiellement éliminée au moyen du système de transport des cations, la clairance des autres médicaments excrétés par cette voie peut s'en trouver affectée. Des doses élevées de ranitidine (p. ex. pour le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison) peuvent diminuer l’excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, et par conséquent, générer de fortes concentrations plasmatiques de ces médicaments.
-3. Modification de la valeur de pH de l’estomac:
-La modification du pH gastrique peut influencer la biodisponibilité de certains médicaments. La résorption peut être renforcée (par ex. triazolam, midazolam, didanosine, glipizide) ou réduite (par ex. kétoconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib) (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Rien n’indique qu’il existe une interaction entre Zantic et l'amoxicilline ou le métronidazol.
-Si des doses élevées (2 g) de sucralfate sont prises en même temps que le Zantic, la résorption de Zantic est réduite. C’est pourquoi il faut prendre le sucralfate au moins deux heures après Zantic.
- +Comme la ranitidine est partiellement éliminée au moyen du système de transport des cations, la clairance des autres médicaments excrétés par cette voie peut s'en trouver affectée. Des doses élevées de ranitidine (p.ex. pour le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison) peuvent diminuer l'excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, et par conséquent, générer de fortes concentrations plasmatiques de ces médicaments.
- +3. Modification de la valeur de pH de l'estomac:
- +La modification du pH gastrique peut influencer la biodisponibilité de certains médicaments. La résorption peut être renforcée (par ex. triazolam, midazolam, didanosine, glipizide) ou réduite (par ex. kétoconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib).
-Les études de reproduction menées chez l’animal n’ont révélé aucun risque pour l’embryon ou le fœtus; cependant, on ne dispose pas d’études contrôlées chez la femme enceinte.
-Lors de l’emploi de Zantic au cours de la grossesse, la prudence est donc de rigueur.
-Zantic franchit la barrière placentaire. Administré aux doses thérapeutiques au début de l’accouchement ou avant une césarienne, le médicament est dépourvu d’effets défavorables sur le travail, l’accouchement et l’enfant.
-Zantic passe dans le lait maternel; la portée clinique de cette constatation n’a pas encore été entièrement élucidée, mais la possibilité d’une perturbation de la sécrétion gastrique ne peut être écartée. Le produit ne devrait donc pas être utilisé pendant la période d’allaitement.
- +Les études de reproduction menées chez l'animal n'ont révélé aucun risque pour l'embryon ou le fœtus; cependant, on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte.
- +Lors de l'emploi de Zantic au cours de la grossesse, la prudence est donc de rigueur.
- +Zantic franchit la barrière placentaire. Administré aux doses thérapeutiques au début de l'accouchement ou avant une césarienne, le médicament est dépourvu d'effets défavorables sur le travail, l'accouchement et l'enfant.
- +Zantic passe dans le lait maternel; la portée clinique de cette constatation n'a pas encore été entièrement élucidée, mais la possibilité d'une perturbation de la sécrétion gastrique ne peut être écartée. Le produit ne devrait donc pas être utilisé pendant la période d'allaitement.
-Aucune étude correspondante n’a été effectuée. Toutefois, un effet négatif du médicament ne peut être exclu (voir «Effets indésirables»).
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Toutefois, un effet négatif du médicament ne peut être exclu (voir «Effets indésirables»).
-Les effets indésirables observés ont été classifiés au moyen de leur fréquence d’apparition de la façon suivante: très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100 et <1/10), occasionnel (>1/1‘000 et <1/100), rare (>1/10’000 et <1/1’000), très rare (<1/10’000).
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
-Très rares: Altérations de la formule sanguine (leucopénie, thrombopénie), en général réversibles.
-Agranulocytose, pancytopénie, parfois associée à une hypoplasie ou une aplasie médullaire.
-Troubles du système immunitaire
-Rares: Réactions d’hypersensibilité (urticaire, œdème de Quincke, fièvre, bronchospasme, chute tensionnelle, douleurs thoraciques).
- +Les effets indésirables observés ont été classifiés au moyen de leur fréquence d'apparition de la façon suivante: très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100 et <1/10), occasionnel (>1/1'000 et <1/100), rare (>1/10'000 et <1/1'000), très rare (<1/10'000).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Très rares: Altérations de la formule sanguine (leucopénie, thrombopénie), en général réversibles. Agranulocytose, pancytopénie, parfois associée à une hypoplasie ou une aplasie médullaire.
- +Affections du système immunitaire
- +Rares: Réactions d'hypersensibilité (urticaire, œdème de Quincke, fièvre, bronchospasme, chute tensionnelle, douleurs thoraciques).
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Certains rapports faisant état de vue brouillée évoquent des troubles de l’accommodation.
-Troubles cardiaques
-Très rares: Comme avec d’autres antagonistes des récepteurs H2, bradycardie, bloc AV et asystolies, notamment en cas d’injection trop rapide.
-Troubles vasculaires
- +Certains rapports faisant état de vue brouillée évoquent des troubles de l'accommodation.
- +Affections cardiaques
- +Très rares: Comme avec d'autres antagonistes des récepteurs H2, bradycardie, bloc AV et asystolies, notamment en cas d'injection trop rapide.
- +Affections vasculaires
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles rénaux et urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles des organes de reproduction et des seins
- +Affections des organes de reproduction et des seins
-Zantic ayant une action très spécifique, aucun problème particulier n’est à craindre en cas de surdosage.
- +Zantic ayant une action très spécifique, aucun problème particulier n'est à craindre en cas de surdosage.
-Zantic est un antagoniste spécifique des récepteurs H2. Le médicament inhibe la sécrétion basale et stimulée d’acide gastrique en réduisant à la fois le volume sécrété et la concentration en acide et pepsine.
-Administré par voie orale, Zantic présente une durée d’action relativement longue: une dose de 150 mg permet d’inhiber la sécrétion gastrique pendant 12 heures.
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- +Zantic est un antagoniste spécifique des récepteurs H2. Le médicament inhibe la sécrétion basale et stimulée d'acide gastrique en réduisant à la fois le volume sécrété et la concentration en acide et pepsine.
-Absorption
-Après administration orale de 150 mg de ranitidine, les concentrations plasmatiques maximales (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en 1 à 3 heures. Deux pics distincts ou un plateau dans la phase d’absorption résultent de la réabsorption du principe actif excrété dans l’intestin. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50-60%.
- +Immédiatement après l'administration intraveineuse de 50 mg de ranitidine en bolus, des valeurs sériques moyennes de 2359 ng/ml ont été déterminées; après 6 heures, elles étaient en moyenne de 243 ng/ml. En cas de perfusion de 0,125 mg de ranitidine/kg/heure, les concentrations sériques moyennes étaient de 280 ng/ml après 4 heures et de 461 ng/ml après 12 heures. La perfusion de 0,25 mg de ranitidine/kg/heure a donné des concentrations sériques moyennes de 429 ng/ml après 4 heures et de 740 ng/ml après 12 heures.
-La ranitidine n’est pas fortement liée aux protéines plasmatiques (15%), mais a un grand volume de distribution qui s’étend de 96 à 142 l.
- +La ranitidine n'est pas fortement liée aux protéines plasmatiques (15%), mais a un grand volume de distribution qui s'étend de 96 à 142 l.
-La ranitidine est peu métabolisée. La fraction de la dose retrouvée sous forme de métabolites est comparable après administration orale et intraveineuse; 6% de la dose retrouvée dans les urines est sous forme de N-oxyde, 2% sous forme de S-oxyde, 2% sous forme de ranitidine déméthylée et 1à 2% en tant qu’analogue de l’acide furoïque.
- +La ranitidine est peu métabolisée. La fraction de la dose retrouvée sous forme de métabolites est comparable après administration orale et intraveineuse; 6% de la dose retrouvée dans les urines est sous forme de N-oxyde, 2% sous forme de S-oxyde, 2% sous forme de ranitidine déméthylée et 1 à 2% en tant qu'analogue de l'acide furoïque.
-Les concentrations plasmatiques diminuent de façon bi-exponentielle, avec une demi-vie finale de 2-3 heures. L’élimination a lieu principalement par voie rénale. Après administration intraveineuse de 150 mg de ranitidine marquée (3H), 98% de la radioactivité est retrouvée, 5% dans les fèces et 93% dans l’urine dont 70% sous la forme inchangée du principe actif. Après administration orale de 150 mg de ranitidine marquée (3H), 96% de la radioactivité est retrouvée, 26% dans les fèces et 70% dans l’urine dont 35% sous la forme inchangée du principe actif. Moins de 3% de la dose sont excrétés avec la bile. La clairance rénale est d’environ 500 ml/min et excède le taux de filtration glomérulaire ce qui suggère une sécrétion tubulaire rénale.
- +Les concentrations plasmatiques diminuent de façon bi-exponentielle, avec une demi-vie finale de 2-3 heures. L'élimination a lieu principalement par voie rénale. Après administration intraveineuse de 150 mg de ranitidine marquée (3H), 98% de la radioactivité est retrouvée, 5% dans les fèces et 93% dans l'urine dont 70% sous la forme inchangée du principe actif. Moins de 3% de la dose sont excrétés avec la bile. La clairance rénale est d'environ 500 ml/min et excède le taux de filtration glomérulaire ce qui suggère une sécrétion tubulaire rénale.
-Patients ayant des troubles de la fonction rénale et patients âgés:
-La ranitidine étant principalement éliminée par voie rénale, les taux plasmatiques sont augmentés chez les patients ayant une fonction rénale réduite et chez les patients âgés ayant une clairance rénale diminuée (cf. «Posologie/Mode d’emploi» et «Mises en garde et précautions»).
-Patients de plus de 50 ans:
-Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3-4 h) et la clairance réduite, en conséquence à la diminution de la fonction rénale liée à l’âge. L’exposition systémique est augmentée d’environ 50%.
- +Patients ayant des troubles de la fonction rénale et patients âgés
- +La ranitidine étant principalement éliminée par voie rénale, les taux plasmatiques sont augmentés chez les patients ayant une fonction rénale réduite et chez les patients âgés ayant une clairance rénale diminuée (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
- +Patients de plus de 50 ans
- +Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3-4 h) et la clairance réduite, en conséquence à la diminution de la fonction rénale liée à l'âge. L'exposition systémique est augmentée d'environ 50%.
-Compatibilité (solution injectable)
- +Compatibilité
-solution de NaCl à 0,9%, solution de glucose à 5%, solution de NaCl à 0,18% et de glucose à 4%, solution d’hydrogénocarbonate de sodium à 4,2%, solution de Hartmann.
- +solution de NaCl à 0,9%, solution de glucose à 5%, solution de NaCl à 0,18% et de glucose à 4%, solution d'hydrogénocarbonate de sodium à 4,2%, solution de Hartmann.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Les comprimés pelliculés de Zantic doivent être conservés en dessous de 30 °C, la solution injectable en dessous de 25 °C et à l’abri de la lumière.
-Conservation de la solution injectable prête à l’emploi (non diluée) après ouverture de l’ampoule:
-La préparation est exempte de conservateurs. La solution injectable non diluée est à utiliser immédiatement après l’ouverture de l’ampoule. La solution inutilisée doit être jetée.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +La solution injectable de Zantic est à conserver en dessous de 25 °C et à l'abri de la lumière.
- +Conservation de la solution injectable prête à l'emploi (non diluée) après ouverture de l'ampoule:
- +La préparation est exempte de conservateurs. La solution injectable non diluée est à utiliser immédiatement après l'ouverture de l'ampoule. La solution inutilisée doit être jetée.
-44375, 44374 (Swissmedic).
- +44374 (Swissmedic).
-Comprimés pelliculés à 150 mg: 20, 60 (B)
-Comprimés pelliculés à 300 mg: 20, 60 (B)
-Mars 2015.
- +Juillet 2018.
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