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Accueil - Information professionnelle sur Ebrantil 50 mg - Changements - 01.01.2020
90 Changements de l'information professionelle Ebrantil 50 mg
  • -Principe actif: Urapidilum 50 mg ut Urapidili hydrochloridum
  • -Excipients: Propylenglycolum, Natrii phosphates, Aqua
  • +Principe actif: Urapidilum 50 mg ut Urapidili hydrochloridum.
  • +Excipients: Propylenglycolum, Natrii phosphates, Aqua.
  • -Principe actif: Urapidilum 50 mg ut Urapidili hydrochloridum
  • +Principe actif: Urapidilum 50 mg ut Urapidili hydrochloridum.
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • -Formes urgentes dhypertension (p.ex. poussées tensionnelles), formes graves et très graves de la maladie hypertensive, hypertension artérielle résistant au traitement. Le traitement dune ascension tensionnelle paroxystique en cas de phéochromocytome est possible. Hypotension contrôlée chez des hypertendus pendant et/ou après une intervention. Abaissement tensionnel en cas dascension paroxystique de la pression artérielle chez un sujet normotendu, pendant et/ou après lintervention.
  • -Posologie/mode d’emploi
  • +Formes urgentes d'hypertension (p.ex. poussées tensionnelles), formes graves et très graves de la maladie hypertensive, hypertension artérielle résistant au traitement. Le traitement d'une ascension tensionnelle paroxystique en cas de phéochromocytome est possible. Hypotension contrôlée chez des hypertendus pendant et/ou après une intervention. Abaissement tensionnel en cas d'ascension paroxystique de la pression artérielle chez un sujet normotendu, pendant et/ou après l'intervention.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -LEbrantil sadministre par voie intraveineuse en injection ou en perfusion, le malade étant en position couchée.
  • -Urgences au cours de lhypertension artérielle, formes graves et très graves de lhypertension et hypertension résistant au traitement
  • -On peut pratiquer une ou plusieurs injections ou une perfusion prolongée par voie intraveineuse. Des injections peuvent être associées à une perfusion prolongée consécutive. On peut progressivement passer du traitement parentéral en aigu à un traitement prolongé par des médicaments dadministration orale.
  • -En injection intraveineuse on injecte 10 mg à 50 mg dEbrantil. On peut escompter une chute tensionnelle en lespace de 5 minutes. Suivant lévolution de la tension, on peut répéter linjection dEbrantil.
  • -Pour une perfusion prolongée par voie intraveineuse, le mieux est de diluer 250 mg dEbrantil (5 ampoules dEbrantil 50) dans 500 ml dun soluté compatible pour perfusion, p.ex. soluté salé physiologique, soluté glucosé à 5 ou à 10% ou solution de lévulose à 5% ou solution de dextran-40 avec chlorure de sodium à 0,9%. La concentration maximale compatible est de 4 mg dEbrantil par ml de soluté pour perfusion. En raison dincompatibilités physico-chimiques, Ebrantil ne doit pas être mélangé avec des solutés alcalins à injecter ou à perfuser. Etant donné lacidité de la solution injectable, une opalescence et une précipitation peuvent apparaître.
  • -Lorsquon utilise un perfuseur pour administrer la dose dentretien, on aspire 20 ml de solution dEbrantil à perfuser, soit 100 mg dEbrantil, dans la seringue du perfuseur et lon dilue jusquà 50 ml avec un soluté compatible pour perfusion (voir ci-dessus). A titre de posologie initiale, on peut régler la vitesse de perfusion à 2 mg/minute. La dose dentretien, en moyenne 9 mg/h, et la durée de la perfusion, de 48 heures au maximum, doivent être adaptées à lévolution tensionnelle.
  • -Limportance de la chute tensionnelle est fonction de la dose perfusée au cours des 15 premières minutes. Ensuite, les chiffres tensionnels peuvent être maintenus grâce à des doses nettement plus faibles.
  • +L'Ebrantil s'administre par voie intraveineuse en injection ou en perfusion, le malade étant en position couchée.
  • +Urgences au cours de l'hypertension artérielle, formes graves et très graves de l'hypertension et hypertension résistant au traitement:
  • +On peut pratiquer une ou plusieurs injections ou une perfusion prolongée par voie intraveineuse. Des injections peuvent être associées à une perfusion prolongée consécutive. On peut progressivement passer du traitement parentéral en aigu à un traitement prolongé par des médicaments d'administration orale.
  • +En injection intraveineuse on injecte 10 mg à 50 mg d'Ebrantil. On peut escompter une chute tensionnelle en l'espace de 5 minutes. Suivant l'évolution de la tension, on peut répéter l'injection d'Ebrantil.
  • +Pour une perfusion prolongée par voie intraveineuse, le mieux est de diluer 250 mg d'Ebrantil (5 ampoules d'Ebrantil 50) dans 500 ml d'un soluté compatible pour perfusion, p.ex. soluté salé physiologique, soluté glucosé à 5 ou à 10% ou solution de lévulose à 5% ou solution de dextran-40 avec chlorure de sodium à 0,9%. La concentration maximale compatible est de 4 mg d'Ebrantil par ml de soluté pour perfusion. En raison d'incompatibilités physico-chimiques, Ebrantil ne doit pas être mélangé avec des solutés alcalins à injecter ou à perfuser. Etant donné l'acidité de la solution injectable, une opalescence et une précipitation peuvent apparaître.
  • +Lorsqu'on utilise un perfuseur pour administrer la dose d'entretien, on aspire 20 ml de solution d'Ebrantil à perfuser, soit 100 mg d'Ebrantil, dans la seringue du perfuseur et l'on dilue jusqu'à 50 ml avec un soluté compatible pour perfusion (voir ci-dessus).
  • +A titre de posologie initiale, on peut régler la vitesse de perfusion à 2 mg/minute. La dose d'entretien, en moyenne 9 mg/h, et la durée de la perfusion, de 48 heures au maximum, doivent être adaptées à l'évolution tensionnelle.
  • +L'importance de la chute tensionnelle est fonction de la dose perfusée au cours des 15 premières minutes. Ensuite, les chiffres tensionnels peuvent être maintenus grâce à des doses nettement plus faibles.
  • -Schéma posologique :
  • +Schéma posologique:
  • -Pour maintenir le niveau tensionel atteint avec linjection, on recourt à une perfusion continue à la pompe ou au goutte-à-goutte.
  • +Pour maintenir le niveau tensionel atteint avec l'injection, on recourt à une perfusion continue à la pompe ou au goutte-à-goutte.
  • -Si Ebrantil nest pas lunique hypotenseur à prendre il peut se produire une chute de tension importante accompagnée de bradycardie et/ou dasystole. Dans ce cas il faut attendre assez longtemps de sorte que lautre hypotenseur prescrit ait produit son effet. En conséquence il faut choisir une posologie de lEbrantil plus faible et correspondante.
  • +Si Ebrantil n'est pas l'unique hypotenseur à prendre il peut se produire une chute de tension importante accompagnée de bradycardie et/ou d'asystole. Dans ce cas il faut attendre assez longtemps de sorte que l'autre hypotenseur prescrit ait produit son effet. En conséquence il faut choisir une posologie de l'Ebrantil plus faible et correspondante.
  • -Chez les malades âgés, les antihypertenseurs doivent être administrés avec les précautions qui conviennent et, initialement, à plus faibles doses, de tels malades savérant souvent très sensibles aux antihypertenseurs.
  • +Chez les malades âgés, les antihypertenseurs doivent être administrés avec les précautions qui conviennent et, initialement, à plus faibles doses, de tels malades s'avérant souvent très sensibles aux antihypertenseurs.
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale et/ou hépatique légère à modérée, une réduction posologique moyenne dEbrantil peut savérer nécessaire.
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale et/ou hépatique légère à modérée, une réduction posologique moyenne d'Ebrantil peut s'avérer nécessaire.
  • -Les indications de ce médicament sont extrêmement rares en pédiatrie. Lapplication et la sécurité demploi de la solution injectable dEbrantil nont pas été étudiées à ce jour chez les enfants et les adolescents.
  • +Les indications de ce médicament sont extrêmement rares en pédiatrie. L'application et la sécurité d'emploi de la solution injectable d'Ebrantil n'ont pas été étudiées à ce jour chez les enfants et les adolescents.
  • -LEbrantil injectable ne doit pas être utilisé en cas de sténose isthmique de laorte, de shunts artério-veineux à lexception dun shunt par dialyse inefficace du point de vue hémodynamique, et dhypersensibilité à lune des substances contenue dans le produit.
  • +L'Ebrantil injectable ne doit pas être utilisé en cas de sténose isthmique de l'aorte, de shunts artério-veineux à l'exception d'un shunt par dialyse inefficace du point de vue hémodynamique, et d'hypersensibilité à l'une des substances contenue dans le produit.
  • -Si dautres hypotenseurs ont été prescrits avant lEbrantil il faut prendre des précautions particulières en ce qui concerne la posologie et le temps dattente (voir sous «Posologie/Mode demploi»).
  • +Si d'autres hypotenseurs ont été prescrits avant l'Ebrantil il faut prendre des précautions particulières en ce qui concerne la posologie et le temps d'attente (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Lors de ladministration dEbrantil i.v. 50 mg, une prudence particulière simpose en cas de
  • -insuffisance cardiaque due à un dysfonctionnement mécanique (p.ex. sténose de valve aortique ou mitrale), en cas dembolie pulmonaire ou dinsuffisance de la fonction cardiaque liée à une affection péricardique;
  • -chez les enfants et les adolescents, car aucune étude nest disponible;
  • -chez les patients présentant une insuffisance hépatique;
  • -chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère;
  • -chez les patients âgés;
  • -chez les patients traités simultanément par la cimétidine (cf. rubrique 'Interactions').
  • -Hypersensibilité / urticaire / angio-œdème
  • -On a observé chez des patients traités par Ebrantil des cas durticaire et dangio-œdème du visage, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir aussi «Effets indésirables»). Ebrantil doit dans ces cas être interrompu immédiatement et le patient doit être attentivement surveillé jusquà ce que le gonflement ait disparu. Même les patients dont seule la langue est enflée et qui ne souffrent pas de détresse respiratoire ont besoin, selon les circonstances, dêtre mis sous surveillance prolongée, car le traitement par antihistaminiques et corticostéroïdes peut savérer insuffisant. Pour les patients chez qui la langue, la glotte ou le larynx sont touchés, il est possible que les voies respiratoires soient bloquées. Si la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il faut immédiatement prendre des mesures thérapeutiques adéquates, par exemple linjection sous-cutanée dune solution dadrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir que les voies respiratoires soient ouvertes. Le patient doit faire lobjet dune surveillance médicale étroite.
  • +Lors de l'administration d'Ebrantil i.v. 50 mg, une prudence particulière s'impose en cas de
  • +·insuffisance cardiaque due à un dysfonctionnement mécanique (p.ex. sténose de valve aortique ou mitrale), en cas d'embolie pulmonaire ou d'insuffisance de la fonction cardiaque liée à une affection péricardique;
  • +·chez les enfants et les adolescents, car aucune étude n'est disponible;
  • +·chez les patients présentant une insuffisance hépatique;
  • +·chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère;
  • +·chez les patients âgés;
  • +·chez les patients traités simultanément par la cimétidine (cf. rubrique «Interactions»).
  • +Hypersensibilité/urticaire/angio-œdème
  • +On a observé chez des patients traités par Ebrantil des cas d'urticaire et d'angio-œdème du visage, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir aussi «Effets indésirables»). Ebrantil doit dans ces cas être interrompu immédiatement et le patient doit être attentivement surveillé jusqu'à ce que le gonflement ait disparu. Même les patients dont seule la langue est enflée et qui ne souffrent pas de détresse respiratoire ont besoin, selon les circonstances, d'être mis sous surveillance prolongée, car le traitement par antihistaminiques et corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant.
  • +Pour les patients chez qui la langue, la glotte ou le larynx sont touchés, il est possible que les voies respiratoires soient bloquées. Si la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il faut immédiatement prendre des mesures thérapeutiques adéquates, par exemple l'injection sous-cutanée d'une solution d'adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir que les voies respiratoires soient ouvertes. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance médicale étroite.
  • -Lurapidil ne modifie ni lactivité, ni la réactivité individuelle de la rénine plasmatique.
  • -Les antagonistes du récepteur alpha, les vasodilatateurs et dautres médicaments utilisés pour traiter la maladie hypertensive (y compris les diurétiques), des états de déficit volumique (diarrhée, vomissements) ou la consommation dalcool peuvent renforcer leffet hypotenseur de lurapidil.
  • -En cas dadministration simultanée de cimétidine, il faut escompter une élévation des pics sériques durapidil.
  • -On na pas rapporté dinteractions lors de ladministration simultanée danesthésiques, de sédatifs et de produits cardio-vasculaires, danticoagulants, dhypo-uricémiants, dantidiabétiques ou dhypolipémiants.
  • -En labsence dune expérience clinique suffisante, lassociation avec des inhibiteurs de lECA nest pas recommandée.
  • -Grossesse, allaitement
  • +L'urapidil ne modifie ni l'activité, ni la réactivité individuelle de la rénine plasmatique.
  • +Les antagonistes du récepteur alpha, les vasodilatateurs et d'autres médicaments utilisés pour traiter la maladie hypertensive (y compris les diurétiques), des états de déficit volumique (diarrhée, vomissements) ou la consommation d'alcool peuvent renforcer l'effet hypotenseur de l'urapidil. En cas d'administration simultanée de cimétidine, il faut escompter une élévation des pics sériques d'urapidil.
  • +On n'a pas rapporté d'interactions lors de l'administration simultanée d'anesthésiques, de sédatifs et de produits cardio-vasculaires, d'anticoagulants, d'hypo-uricémiants, d'antidiabétiques ou d'hypolipémiants.
  • +En l'absence d'une expérience clinique suffisante, l'association avec des inhibiteurs de l'ECA n'est pas recommandée.
  • +Grossesse/Allaitement
  • -La solution injectable dEbrantil 50 ne peut être administrée pendant la grossesse quen cas dindication impérieuse. En effet, on ne dispose actuellement pas dexpérience sur sa sécurité demploi au cours des premier et second trimestres de la grossesse. Des études expérimentales faites chez lanimal nont fourni aucun argument en faveur dune action toxique pour le fruit de la conception.
  • +La solution injectable d'Ebrantil 50 ne peut être administrée pendant la grossesse qu'en cas d'indication impérieuse. En effet, on ne dispose actuellement pas d'expérience sur sa sécurité d'emploi au cours des premier et second trimestres de la grossesse. Des études expérimentales faites chez l'animal n'ont fourni aucun argument en faveur d'une action toxique pour le fruit de la conception.
  • -La solution injectable dEbrantil ne doit pas être utilisée pendant lallaitement.
  • +La solution injectable d'Ebrantil ne doit pas être utilisée pendant l'allaitement.
  • -En raison de réactions individuelles variées, la vigilance peut être affectée au point de compromettre laptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines ou à travailler dans des conditions manquant dappuis stables. Ceci est valable en particulier au début du traitement, lors dune augmentation posologique et de changement de traitement ainsi quen association avec lalcool.
  • +En raison de réactions individuelles variées, la vigilance peut être affectée au point de compromettre l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines ou à travailler dans des conditions manquant d'appuis stables. Ceci est valable en particulier au début du traitement, lors d'une augmentation posologique et de changement de traitement ainsi qu'en association avec l'alcool.
  • -Les effets indésirables susceptibles de survenir après ladministration dEbrantil sont énumérés ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: >10%; fréquents: ≥1% <10%; occasionnels: ≥0,1% <1%; rares ≥0,01% <0,1%; très rares y compris cas isolés: <0,01%.
  • +Les effets indésirables susceptibles de survenir après l'administration d'Ebrantil sont énumérés ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: >10%; fréquents: ≥1% <10%; occasionnels: ≥0,1% <1%; rares ≥0,01% <0,1%; très rares y compris cas isolés: <0,01%.
  • -Fréquents: vertiges*, céphalées*
  • -Très rares: inquiétude*
  • +Fréquents: vertiges*, céphalées*.
  • +Très rares: inquiétude*.
  • -Occasionnels: palpitations*, tachycardie*, bradycardie*, sténocardie*, dyspnée*
  • -Très rares: états de type collapsus (orthostase)
  • +Occasionnels: palpitations*, tachycardie*, bradycardie*, sténocardie*, dyspnée*.
  • +Très rares: états de type collapsus (orthostase).
  • -Rares: nez bouché
  • +Rares: nez bouché.
  • -Fréquents: nausée*
  • -Occasionnels: vomissement*
  • +Fréquents: nausée*.
  • +Occasionnels: vomissement*.
  • -Occasionnels: transpiration*
  • -Rares: réactions allergiques (démangeaisons, rougeurs, exanthèmes)
  • -Cas isolés: angio-œdème et urticaire
  • +Occasionnels: transpiration*.
  • +Rares: réactions allergiques (démangeaisons, rougeurs, exanthèmes).
  • +Cas isolés: angio-œdème et urticaire.
  • -Rares: priapisme
  • -Troubles généraux et réactions au site dapplication
  • -Occasionnels: fatigue*
  • +Rares: priapisme.
  • +Troubles généraux et réactions au site d'application
  • +Occasionnels: fatigue*.
  • -Occasionnels: arythmies*
  • -*) Ces effets indésirables sont généralement dus à une chute tensionnelle trop brusque induite par lurapidil. Selon les expériences, ces effets secondaires disparaissent cependant en lespace de quelques minutes même sous perfusion prolongée ; une interruption du traitement nétant donc pas nécessaire.
  • -A ce jour, une rétention de sodium na pas été observée sous traitement par lurapidil.
  • +Occasionnels: arythmies*.
  • +*) Ces effets indésirables sont généralement dus à une chute tensionnelle trop brusque induite par l'urapidil. Selon les expériences, ces effets secondaires disparaissent cependant en l'espace de quelques minutes même sous perfusion prolongée; une interruption du traitement n'étant donc pas nécessaire.
  • +A ce jour, une rétention de sodium n'a pas été observée sous traitement par l'urapidil.
  • -Symptômes dun surdosage:
  • -concernant la circulation: vertiges, orthostase et collapsus
  • -concernant le système nerveux central: fatigue et diminution de la vigilance.
  • -Thérapie en cas de surdosage:
  • -Un abaissement exagéré de la pression artérielle peut être pallié par une mise en position haute des jambes et par une substitution de volume. Si ces mesures sont insuffisantes, des vasoconstricteurs peuvent être injectés lentement par voie i.v. sous contrôle de la pression artérielle. Dans de rares cas, il est nécessaire dadministrer de ladrénaline à la dilution et à la dose habituelle (100 à 1000 µg).
  • +Symptômes d'un surdosage
  • +·concernant la circulation: vertiges, orthostase et collapsus
  • +·concernant le système nerveux central: fatigue et diminution de la vigilance.
  • +Thérapie en cas de surdosage
  • +Un abaissement exagéré de la pression artérielle peut être pallié par une mise en position haute des jambes et par une substitution de volume. Si ces mesures sont insuffisantes, des vasoconstricteurs peuvent être injectés lentement par voie i.v. sous contrôle de la pression artérielle. Dans de rares cas, il est nécessaire d'administrer de l'adrénaline à la dilution et à la dose habituelle (100 à 1000 µg).
  • -Code ATC
  • -C02CA06
  • -Mécanisme daction, Pharmacodynamique
  • -Leffet hypotenseur de lurapidil est dû à un abaissement dorigine centrale et périphérique des résistances vasculaires. Lurapidil exerce une action inhibitrice préférentielle sur les récepteurs alpha1-adrénergiques périphériques post-synaptiques, atténue la transmission nerveuse au niveau des terminaisons neuronales sympathiques périphériques et entraîne une diminution du tonus sympathique central.
  • -Lavantage est quune interruption, soit volontaire, soit par inadvertance, du traitement par Ebrantil nentraîne aucune remontée tensionnelle brutale.
  • -Les poussées tensionnelles dues à leffort chez lhypertendu sont atténuées par Ebrantil.
  • +Code ATC: C02CA06
  • +Mécanisme d'action, Pharmacodynamique
  • +L'effet hypotenseur de l'urapidil est dû à un abaissement d'origine centrale et périphérique des résistances vasculaires. L'urapidil exerce une action inhibitrice préférentielle sur les récepteurs alpha1-adrénergiques périphériques post-synaptiques, atténue la transmission nerveuse au niveau des terminaisons neuronales sympathiques périphériques et entraîne une diminution du tonus sympathique central.
  • +L'avantage est qu'une interruption, soit volontaire, soit par inadvertance, du traitement par Ebrantil n'entraîne aucune remontée tensionnelle brutale.
  • +Les poussées tensionnelles dues à l'effort chez l'hypertendu sont atténuées par Ebrantil.
  • -Le débit cardiaque nest pas modifié; un débit cardiaque diminué en raison dune post-charge plus élevée peut augmenter.
  • -L’injection dEbrantil nest suivie daucune ascension tensionnelle initiale.
  • +Le débit cardiaque n'est pas modifié; un débit cardiaque diminué en raison d'une post-charge plus élevée peut augmenter. L'injection d'Ebrantil n'est suivie d'aucune ascension tensionnelle initiale.
  • -Sous Ebrantil, la régulation normale de la tension artérielle est maintenue. Aussi na-t-on pas à redouter de chute tensionnelle conduisant à une hypotension artérielle.
  • -LEbrantil se distingue par sa grande marge de sécurité. Son effet est parfaitement contrôlable.
  • -Daprès les constatations faites jusquà présent, il ny a aucune raison dexclure les malades ayant une insuffisance cardiaque ou une atteinte de la fonction respiratoire.
  • +Sous Ebrantil, la régulation normale de la tension artérielle est maintenue. Aussi n'a-t-on pas à redouter de chute tensionnelle conduisant à une hypotension artérielle.
  • +L'Ebrantil se distingue par sa grande marge de sécurité. Son effet est parfaitement contrôlable.
  • +D'après les constatations faites jusqu'à présent, il n'y a aucune raison d'exclure les malades ayant une insuffisance cardiaque ou une atteinte de la fonction respiratoire.
  • -Des études cliniques ont prouvé que lurapidil peut être utilisé comme mono-thérapie pour le traitement à long terme de lhypertension artérielle. Après application intraveineuse, la réduction des chiffres tensionnels, tant systoliques que diastoliques, est certes rapide mais na rien de spectaculaire. Lorsquon arrête le traitement par voie intraveineuse, la tension artérielle ne tarde pas à remonter lentement en 2 à 3 heures. Cest là un avantage net en post-opératoire à la suite dune hypotension contrôlée per-opératoire chez un hypertendu.
  • +Des études cliniques ont prouvé que l'urapidil peut être utilisé comme mono-thérapie pour le traitement à long terme de l'hypertension artérielle. Après application intraveineuse, la réduction des chiffres tensionnels, tant systoliques que diastoliques, est certes rapide mais n'a rien de spectaculaire. Lorsqu'on arrête le traitement par voie intraveineuse, la tension artérielle ne tarde pas à remonter lentement en 2 à 3 heures. C'est là un avantage net en post-opératoire à la suite d'une hypotension contrôlée per-opératoire chez un hypertendu.
  • -En administration intraveineuse, lurapidil a une demi-vie délimination du sérum de 2,5 heures en moyenne. Le volume de distribution est de 0,59 l/kg et la valeur moyenne de la clairance de 0,17 l/h/kg.
  • +En administration intraveineuse, l'urapidil a une demi-vie d'élimination du sérum de 2,5 heures en moyenne. Le volume de distribution est de 0,59 l/kg et la valeur moyenne de la clairance de 0,17 l/h/kg.
  • -En dehors de la substance mère (10 à 15%), on trouve, dans les urines chez lhomme, le métabolite principal, biologiquement inactif M1 (=6-{3-[4-(2-méthoxy-4-hydroxyphényl)-pipérazine-1-yl]-propylamino}-1,3-diméthyluracil), qui représente environ 30% de la dose administrée et, en outre, de petites quantités des métabolites M2 et M3.
  • +En dehors de la substance mère (10 à 15%), on trouve, dans les urines chez l'homme, le métabolite principal, biologiquement inactif M1 (=6-{3-[4-(2-méthoxy-4-hydroxyphényl)-pipérazine-1-yl]-propylamino}-1,3-diméthyluracil), qui représente environ 30% de la dose administrée et, en outre, de petites quantités des métabolites M2 et M3.
  • -Lélimination de lurapidil se fait par voie rénale, à raison de 76% environ et, par voie fécale, à raison de 20% environ.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques de lurapidil dans le sérum humain est, in vitro, de 94%.
  • +L'élimination de l'urapidil se fait par voie rénale, à raison de 76% environ et, par voie fécale, à raison de 20% environ. La liaison aux protéines plasmatiques de l'urapidil dans le sérum humain est, in vitro, de 94%.
  • -Des études portant sur la toxicité aiguë menées avec le chlorhydrate durapidil ont été réalisées sur des souris et des rats. Après administration orale, les DL50 (se référant à lurapidil-base) étaient comprises entre 508 et 750 mg/kg de poids corporel, et après administration intraveineuse entre 140 et 260 mg/kg de poids corporel. Les principaux symptômes étaient les suivants : sédation, ptose, diminution de la motilité, perte des réflexes de protection et hypothermie, respiration saccadée, cyanose, tremblements et convulsions avant le décès.
  • +Des études portant sur la toxicité aiguë menées avec le chlorhydrate d'urapidil ont été réalisées sur des souris et des rats. Après administration orale, les DL50 (se référant à l'urapidil-base) étaient comprises entre 508 et 750 mg/kg de poids corporel, et après administration intraveineuse entre 140 et 260 mg/kg de poids corporel. Les principaux symptômes étaient les suivants: sédation, ptose, diminution de la motilité, perte des réflexes de protection et hypothermie, respiration saccadée, cyanose, tremblements et convulsions avant le décès.
  • -Dans des études portant sur la toxicité chronique sur des rats menées pendant 6 et 12 mois avec des doses allant jusquà 250 mg/kg de poids corporel/jour après application orale avec la nourriture, les symptômes suivants ont été observés : sédation, ptose, diminution de la prise pondérale, allongement de loestrus et réduction du poids de lutérus.
  • -Sur le chien, la toxicité chronique a été évaluée dans des études durant 6 et 12 mois avec des doses allant jusquà 64 mg/kg de poids corporel. Les doses à partir de 30 mg/kg de poids corporel/jour ont provoqué une sédation, une hypersalivation et des tremblements. Des modifications histopathologiques ou cliniques nont pas été constatées chez le chien.
  • +Dans des études portant sur la toxicité chronique sur des rats menées pendant 6 et 12 mois avec des doses allant jusqu'à 250 mg/kg de poids corporel/jour après application orale avec la nourriture, les symptômes suivants ont été observés: sédation, ptose, diminution de la prise pondérale, allongement de l'oestrus et réduction du poids de l'utérus.
  • +Sur le chien, la toxicité chronique a été évaluée dans des études durant 6 et 12 mois avec des doses allant jusqu'à 64 mg/kg de poids corporel. Les doses à partir de 30 mg/kg de poids corporel/jour ont provoqué une sédation, une hypersalivation et des tremblements. Des modifications histopathologiques ou cliniques n'ont pas été constatées chez le chien.
  • -Dans des essais sur des bactéries (test dAMES, Host Mediated Assay), sur des lymphocytes humains et dans le test de moelle osseuse à la métaphase sur la souris, lurapidil na montré aucune propriété mutagène. Un test de réparation de lADN sur des hépatocytes de rats était également négatif.
  • -Des études de carcinogénicité menées sur des souris et des rats pendant 18 et 24 mois nont fourni aucun indice dun potentiel carcinogène pour lêtre humain.
  • -Dans des études spéciales menées sur des rats et des souris, il a été démontré que lurapidil augmente le taux de prolactine. Chez le rongeur, un taux de prolactine élevé stimule la croissance du tissu mammaire. Compte tenu des connaissances relatives au mécanisme daction, cet effet est improbable chez lhumain traité par des doses thérapeutiques et na pas été démontré dans des études cliniques.
  • +Dans des essais sur des bactéries (test d'AMES, Host Mediated Assay), sur des lymphocytes humains et dans le test de moelle osseuse à la métaphase sur la souris, l'urapidil n'a montré aucune propriété mutagène. Un test de réparation de l'ADN sur des hépatocytes de rats était également négatif.
  • +Des études de carcinogénicité menées sur des souris et des rats pendant 18 et 24 mois n'ont fourni aucun indice d'un potentiel carcinogène pour l'être humain.
  • +Dans des études spéciales menées sur des rats et des souris, il a été démontré que l'urapidil augmente le taux de prolactine. Chez le rongeur, un taux de prolactine élevé stimule la croissance du tissu mammaire. Compte tenu des connaissances relatives au mécanisme d'action, cet effet est improbable chez l'humain traité par des doses thérapeutiques et n'a pas été démontré dans des études cliniques.
  • -Des études de toxicité de reproduction menées sur des rats, des souris et des lapins nont fourni aucun indice en faveur dun effet tératogène.
  • -Un allongement de loestrus chez les rats femelles a été constaté dans létude de reproduction et également dans les essais sur la toxicité chronique. Cet effet, comme dailleurs la diminution du poids de lutérus démontrée dans la toxicité chronique, ont été attribués à laugmentation du taux de prolactine survenue chez le rongeur après le traitement par lurapidil. La fertilité des femelles na pas été affectée.
  • -En raison des différences considérables entre les espèces, il nexiste toutefois aucun indice parlant en faveur dune signification de ces résultats pour lêtre humain. Dans des études cliniques à long terme, aucune influence sur le système hypophyse-gonades na pu être constatée.
  • +Des études de toxicité de reproduction menées sur des rats, des souris et des lapins n'ont fourni aucun indice en faveur d'un effet tératogène.
  • +Un allongement de l'oestrus chez les rats femelles a été constaté dans l'étude de reproduction et également dans les essais sur la toxicité chronique. Cet effet, comme d'ailleurs la diminution du poids de l'utérus démontrée dans la toxicité chronique, ont été attribués à l'augmentation du taux de prolactine survenue chez le rongeur après le traitement par l'urapidil. La fertilité des femelles n'a pas été affectée.
  • +En raison des différences considérables entre les espèces, il n'existe toutefois aucun indice parlant en faveur d'une signification de ces résultats pour l'être humain. Dans des études cliniques à long terme, aucune influence sur le système hypophyse-gonades n'a pu être constatée.
  • -Ebrantil 50 ne doit pas être mélangé avec des solutés alcalins à injecter ou à perfuser. Etant donné lacidité de la solution injectable, une opalescence et une précipitation peuvent apparaître.
  • +Ebrantil 50 ne doit pas être mélangé avec des solutés alcalins à injecter ou à perfuser. Etant donné l'acidité de la solution injectable, une opalescence et une précipitation peuvent apparaître.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention ‘EXP’ sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Médicament à tenir hors de la portée des enfants
  • +Médicament à tenir hors de la portée des enfants.
  • -La stabilité chimique et physique de la préparation prête à lemploi a été démontrée pendant 50 heures à 15-25°C. Du point de vue microbiologique, la préparation prête à lemploi doit être utilisée immédiatement. Si la préparation prête à lemploi nest pas utilisée immédiatement, lutilisateur assume la responsabilité pour la durée et les conditions de conservation.
  • -De plus amples informations: cf. rubrique 'Posologie/mode demploi'.
  • +La stabilité chimique et physique de la préparation prête à l'emploi a été démontrée pendant 50 heures à 15-25 °C. Du point de vue microbiologique, la préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement. Si la préparation prête à l'emploi n'est pas utilisée immédiatement, l'utilisateur assume la responsabilité pour la durée et les conditions de conservation.
  • +De plus amples informations: cf. rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -44486 (Swissmedic)
  • +44486 (Swissmedic).
  • -Takeda Pharma SA, Freienbach
  • +Takeda Pharma AG, 8152 Opfikon.
  • -Septembre 2014
  • +Septembre 2014.
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