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Accueil - Information professionnelle sur Ebrantil 50 mg - Changements - 29.04.2020
46 Changements de l'information professionelle Ebrantil 50 mg
  • -Urgences au cours de l'hypertension artérielle, formes graves et très graves de l'hypertension et hypertension résistant au traitement:
  • +Urgences au cours de l'hypertension artérielle, formes graves et très graves de l'hypertension et hypertension résistant au traitement
  • -Lorsqu'on utilise un perfuseur pour administrer la dose d'entretien, on aspire 20 ml de solution d'Ebrantil à perfuser, soit 100 mg d'Ebrantil, dans la seringue du perfuseur et l'on dilue jusqu'à 50 ml avec un soluté compatible pour perfusion (voir ci-dessus).
  • -A titre de posologie initiale, on peut régler la vitesse de perfusion à 2 mg/minute. La dose d'entretien, en moyenne 9 mg/h, et la durée de la perfusion, de 48 heures au maximum, doivent être adaptées à l'évolution tensionnelle.
  • +Lorsqu'on utilise un perfuseur pour administrer la dose d'entretien, on aspire 20 ml de solution d'Ebrantil à perfuser, soit 100 mg d'Ebrantil, dans la seringue du perfuseur et l'on dilue jusqu'à 50 ml avec un soluté compatible pour perfusion (voir ci-dessus). A titre de posologie initiale, on peut régler la vitesse de perfusion à 2 mg/minute. La dose d'entretien, en moyenne 9 mg/h, et la durée de la perfusion, de 48 heures au maximum, doivent être adaptées à l'évolution tensionnelle.
  • -On a observé chez des patients traités par Ebrantil des cas d'urticaire et d'angio-œdème du visage, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir aussi «Effets indésirables»). Ebrantil doit dans ces cas être interrompu immédiatement et le patient doit être attentivement surveillé jusqu'à ce que le gonflement ait disparu. Même les patients dont seule la langue est enflée et qui ne souffrent pas de détresse respiratoire ont besoin, selon les circonstances, d'être mis sous surveillance prolongée, car le traitement par antihistaminiques et corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant.
  • -Pour les patients chez qui la langue, la glotte ou le larynx sont touchés, il est possible que les voies respiratoires soient bloquées. Si la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il faut immédiatement prendre des mesures thérapeutiques adéquates, par exemple l'injection sous-cutanée d'une solution d'adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir que les voies respiratoires soient ouvertes. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance médicale étroite.
  • +On a observé chez des patients traités par Ebrantil des cas d'urticaire et d'angio-œdème du visage, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir aussi «Effets indésirables»). Ebrantil doit dans ces cas être interrompu immédiatement et le patient doit être attentivement surveillé jusqu'à ce que le gonflement ait disparu. Même les patients dont seule la langue est enflée et qui ne souffrent pas de détresse respiratoire ont besoin, selon les circonstances, d'être mis sous surveillance prolongée, car le traitement par antihistaminiques et corticostéroïdes peut s'avérer insuffisant. Pour les patients chez qui la langue, la glotte ou le larynx sont touchés, il est possible que les voies respiratoires soient bloquées. Si la langue, le larynx et la glotte sont touchés, il faut immédiatement prendre des mesures thérapeutiques adéquates, par exemple l'injection sous-cutanée d'une solution d'adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir que les voies respiratoires soient ouvertes. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance médicale étroite.
  • -Les antagonistes du récepteur alpha, les vasodilatateurs et d'autres médicaments utilisés pour traiter la maladie hypertensive (y compris les diurétiques), des états de déficit volumique (diarrhée, vomissements) ou la consommation d'alcool peuvent renforcer l'effet hypotenseur de l'urapidil. En cas d'administration simultanée de cimétidine, il faut escompter une élévation des pics sériques d'urapidil.
  • +Les antagonistes du récepteur alpha, les vasodilatateurs et d'autres médicaments utilisés pour traiter la maladie hypertensive (y compris les diurétiques), des états de déficit volumique (diarrhée, vomissements) ou la consommation d'alcool peuvent renforcer l'effet hypotenseur de l'urapidil.
  • +En cas d'administration simultanée de cimétidine, il faut escompter une élévation des pics sériques d'urapidil.
  • -La solution injectable d'Ebrantil 50 ne peut être administrée pendant la grossesse qu'en cas d'indication impérieuse. En effet, on ne dispose actuellement pas d'expérience sur sa sécurité d'emploi au cours des premier et second trimestres de la grossesse. Des études expérimentales faites chez l'animal n'ont fourni aucun argument en faveur d'une action toxique pour le fruit de la conception.
  • +Il n’existe que des données limitées sur l'utilisation chez les femmes enceintes.
  • +L'urapidil n'est pas tératogène chez les animaux, mais des études chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction à des doses considérées comme bien supérieures à la dose humaine maximale (voir «Données précliniques»). Urapidil 50 n'est pas recommandé pendant la grossesse à moins que le bénéfice attendu ne justifie le risque potentiel pour le foetus. Urapidil n'est pas recommandé pour les femmes en âge de procréer qui n'utilisent pas de contraception efficace.
  • -La solution injectable d'Ebrantil ne doit pas être utilisée pendant l'allaitement.
  • +On ne sait pas si l'urapidil est excrété dans le lait maternel, les mères ne doivent donc pas allaiter pendant qu'elles reçoivent de l'urapidil.
  • +Fertilité
  • +Aucune étude clinique sur les effets sur la fertilité masculine et féminine n'a été réalisée. Des études animales ont montré que l'urapidil affecte la fertilité (voir «Données précliniques»), mais sa pertinence pour l'homme est inconnue.
  • -Les effets indésirables susceptibles de survenir après l'administration d'Ebrantil sont énumérés ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: >10%; fréquents: ≥1% <10%; occasionnels: ≥0,1% <1%; rares ≥0,01% <0,1%; très rares y compris cas isolés: <0,01%.
  • -Troubles psychiques et troubles du système nerveux
  • +Les effets indésirables susceptibles de survenir après l'administration d'Ebrantil sont énumérés ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents: >10%; fréquents: ≥1% <10%; occasionnels: ≥0,1% <1%; rares ≥0,01% <0,1%; très rares y compris cas exceptionnels: <0,01%.
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles cardiovasculaires
  • -Occasionnels: palpitations*, tachycardie*, bradycardie*, sténocardie*, dyspnée*.
  • +Affections cardiaques
  • +Occasionnels: palpitations*, tachycardie*, bradycardie*, sténocardie*, dyspnée*, arythmies*.
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles fonctionnels de la peau et des tissus sous-cutanés
  • +Affectionsde la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles des organes de reproduction et du sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux et réactions au site d'application
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'application
  • -Examens
  • -Occasionnels: arythmies*.
  • -Symptômes d'un surdosage
  • +Symptômes d'un surdosage:
  • -Thérapie en cas de surdosage
  • +Thérapie en cas de surdosage:
  • -Code ATC: C02CA06
  • +Code ATC
  • +C02CA06
  • -Le débit cardiaque n'est pas modifié; un débit cardiaque diminué en raison d'une post-charge plus élevée peut augmenter. L'injection d'Ebrantil n'est suivie d'aucune ascension tensionnelle initiale.
  • +Le débit cardiaque n'est pas modifié; un débit cardiaque diminué en raison d'une post-charge plus élevée peut augmenter.
  • +L'injection d'Ebrantil n'est suivie d'aucune ascension tensionnelle initiale.
  • -L'élimination de l'urapidil se fait par voie rénale, à raison de 76% environ et, par voie fécale, à raison de 20% environ. La liaison aux protéines plasmatiques de l'urapidil dans le sérum humain est, in vitro, de 94%.
  • +L'élimination de l'urapidil se fait par voie rénale, à raison de 76% environ et, par voie fécale, à raison de 20% environ.
  • +La liaison aux protéines plasmatiques de l'urapidil dans le sérum humain est, in vitro, de 94%.
  • -Toxicité aiguë
  • -Des études portant sur la toxicité aiguë menées avec le chlorhydrate d'urapidil ont été réalisées sur des souris et des rats. Après administration orale, les DL50 (se référant à l'urapidil-base) étaient comprises entre 508 et 750 mg/kg de poids corporel, et après administration intraveineuse entre 140 et 260 mg/kg de poids corporel. Les principaux symptômes étaient les suivants: sédation, ptose, diminution de la motilité, perte des réflexes de protection et hypothermie, respiration saccadée, cyanose, tremblements et convulsions avant le décès.
  • -Toxicité chronique/subchronique
  • -Dans des études portant sur la toxicité chronique sur des rats menées pendant 6 et 12 mois avec des doses allant jusqu'à 250 mg/kg de poids corporel/jour après application orale avec la nourriture, les symptômes suivants ont été observés: sédation, ptose, diminution de la prise pondérale, allongement de l'oestrus et réduction du poids de l'utérus.
  • -Sur le chien, la toxicité chronique a été évaluée dans des études durant 6 et 12 mois avec des doses allant jusqu'à 64 mg/kg de poids corporel. Les doses à partir de 30 mg/kg de poids corporel/jour ont provoqué une sédation, une hypersalivation et des tremblements. Des modifications histopathologiques ou cliniques n'ont pas été constatées chez le chien.
  • +Les données précliniques ne montrent aucun risque particulier pour l'homme en raison des études menées sur la pharmacologie de sécurité.
  • +Toxicité à doses répétées
  • +L'administration intraveineuse répétée aux animaux n'a montré aucune létalité jusqu'à la dose la plus élevée testée (chez le rat 300 mg/kg pendant 7 jours et 40 mg/kg pendant 4 semaines; chez le chien 75 mg/kg sur 7 jours et 50 mg/kg sur 4 semaines). Les résultats tels que la sédation, la diminution de la motricité, la dyspnée, l'augmentation du rythme cardiaque, la baisse de la pression artérielle et l'hypertension musculaire étaient réversibles en quelques heures après l'administration chez le rat et en 24 heures chez le chien.
  • +Des études de toxicité chronique, dans lesquelles des doses allant jusqu'à 266 mg/kg chez le rat et des doses de 64 mg/kg chez le chien ont été administrées par voie orale sur une période de 12 mois, ont montré des signes tels que sédation, allongement du cycle œstrogénique, hypersalivation et tremblements à fortes doses.
  • -Des études de toxicité de reproduction menées sur des rats, des souris et des lapins n'ont fourni aucun indice en faveur d'un effet tératogène.
  • -Un allongement de l'oestrus chez les rats femelles a été constaté dans l'étude de reproduction et également dans les essais sur la toxicité chronique. Cet effet, comme d'ailleurs la diminution du poids de l'utérus démontrée dans la toxicité chronique, ont été attribués à l'augmentation du taux de prolactine survenue chez le rongeur après le traitement par l'urapidil. La fertilité des femelles n'a pas été affectée.
  • -En raison des différences considérables entre les espèces, il n'existe toutefois aucun indice parlant en faveur d'une signification de ces résultats pour l'être humain. Dans des études cliniques à long terme, aucune influence sur le système hypophyse-gonades n'a pu être constatée.
  • +Urapidil n'était pas tératogène chez des souris, des rats et des lapins. De plus, l'urapidil n'a eu aucun effet sur les rates allaitantes ou sur la progéniture pendant la lactation et plus tard après le sevrage, tel que mesuré par la survie, le comportement, l'apparence, le poids corporel et les signes de maturation. L'urapidil a le potentiel de diminuer la fertilité masculine et féminine et d'induire une mortalité embryo-fœtale. Une prolongation du cycle œstral chez les rats et les souris femelles a été observée dans les études de toxicité de reproduction et la toxicité chronique, mais sa pertinence pour l'homme est inconnue.
  • -Médicament à tenir hors de la portée des enfants.
  • +Médicament à tenir hors de la portée des enfants
  • -Takeda Pharma AG, 8152 Opfikon.
  • +Takeda Pharma SA, 8152 Opfikon.
  • -Septembre 2014.
  • +Mars 2020.
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