61 Changements de l'information professionelle Insulin NovoNordisk Actrapid HM 100 IE/ml |
- +Principes actifs
-Principe actif: Insulinum humanum sol. 100 U.I./ml.
-Excipients: agent conservateur: Metacresolum 3 mg/ml; autres: Zn, Glycerolum, Aqua ad solut.
- +Insulinum humanum solutum 100 U.I./ml
-Principe actif: Insulinum humanum isophanum protaminum 100 U.I./ml.
-Excipients: agent conservateur: Metacresolum 1,5 mg/ml, Phenolum 0,65 mg/ml; autres: Zn, Glycerolum, Na. phosph., Aqua ad susp.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Actrapid HM est une solution injectable avec 100 UI/ml et est disponible sous la forme d’une solution aqueuse limpide et incolore.
-Insulatard HM est une suspension pour injection avec 100 U.I./ml et est disponible sous la forme d’une suspension aqueuse blanche et trouble.
-Une U.I. (unité internationale) correspond à 0,035 mg d’insuline humaine anhydre.
-
- +Insulinum humanum isophanum protaminum 100 U.I./ml
- +Excipients
- +Actrapid® HM (44610), Actrapid® HM Penfill (46875)
- +Agent conservateur: Metacresolum 3 mg/ml. Autres: Zn, Glycerolum, Aqua ad solut.
- +Insulatard® HM (45495), Insulatard® HM Penfill (49008), Insulatard® HM FlexPen (55891)
- +Agent conservateur: Metacresolum 1,5 mg/ml, Phenolum 0,65 mg/ml. Autres: Zn, Glycerolum, Na. phosph., Aqua ad susp.
- +
- +
-Diabète sucré, à condition qu’un traitement insulinique soit nécessaire.
- +Diabète sucré, à condition qu'un traitement insulinique soit nécessaire.
-Actrapid est une insuline à action rapide. Insulatard est une insuline à action prolongée (voir sous «Propriétés/Effets»).
-Posologie
-La posologie doit être déterminée individuellement par le médecin en fonction des besoins du patient. Les besoins individuels d’insuline chez les adultes et les enfants dès 2 ans se situent généralement entre 0,3 et 1,0 U/kg/jour.
-Actrapid peut être associé à de l’insuline à action prolongée. En l’espace de 30 minutes après l’injection d’Actrapid, un repas riche en hydrates de carbone ou un en-cas doivent être pris.
-Insulatard peut être pris seul ou peut être mélangé à de l’insuline à action rapide. Le médecin détermine si une ou plusieurs injections quotidiennes sont nécessaires. Dans le cadre d’une insulinothérapie intensifiée, Insulatard peut être utilisé sous la forme d’insuline basale (injection le soir et/ou le matin). Au moment des repas, de l’insuline à action rapide est utilisée.
-Adaptation de la dose
-Les maladies concomitantes, en particulier les infections et les états fébriles, augmentent généralement les besoins d’insuline du patient. Un trouble de la fonction rénale ou hépatique peut diminuer le besoin d’insuline. Une adaptation de la posologie peut également s’imposer lors d’une modification de l’activité physique ou des habitudes alimentaires du patient.
-Une adaptation de la dose peut s’imposer lorsque le patient passe d’une préparation d’insuline à une autre.
-Utilisation
-Destinées à l’administration sous-cutanée. Les suspensions d’insuline (Insulatard HM) ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse.
-L’insuline est administrée par voie sous-cutanée dans la cuisse, la paroi abdominale, les fesses ou le haut du bras.
-L’injection sous-cutanée dans la paroi abdominale provoque, par rapport aux autres sites d’injection, une absorption plus rapide. Lors d’une injection dans un pli cutané, le risque d’une injection accidentelle dans un muscle est le plus faible.
-Afin d’éviter une lipodystrophie, le site d’injection devrait être changé entre chaque injection à l’intérieur de la zone du corps choisie.
- +Actrapid HM est une insuline à action rapide. Insulatard HM est une insuline à action prolongée (voir sous «Propriétés/Effets»).
- +Posologie usuelle
- +La posologie doit être déterminée individuellement par le médecin en fonction des besoins du patient. Les besoins individuels d'insuline chez les adultes et les enfants dès 2 ans se situent généralement entre 0,3 et 1,0 U/kg/jour. Chez les patients insulinorésistants (par ex. lors de la puberté ou en raison d'obésité), le besoin journalier en insuline peut être plus élevé, et plus faible chez les patients présentant une production résiduelle d'insuline endogène.
- +Actrapid HM peut être associé à de l'insuline à action prolongée. En l'espace de 30 minutes après l'injection d'Actrapid HM, un repas riche en hydrates de carbone ou un en-cas doivent être pris.
- +Insulatard HM peut être pris seul ou peut être mélangé à de l'insuline à action rapide. Le médecin détermine si une ou plusieurs injections quotidiennes sont nécessaires. Dans le cadre d'une insulinothérapie intensifiée, Insulatard HM peut être utilisé sous la forme d'insuline basale (injection le soir et/ou le matin). Au moment des repas, de l'insuline à action rapide est utilisée.
- +Ajustement de la posologie / titration
- +Les maladies concomitantes, en particulier les infections et les états fébriles, augmentent généralement les besoins d'insuline du patient. Un trouble de la fonction rénale ou hépatique peut diminuer le besoin d'insuline. Une adaptation de la posologie peut également s'imposer lors d'une modification de l'activité physique ou des habitudes alimentaires du patient.
- +Une adaptation de la dose peut s'imposer lorsque le patient passe d'une préparation d'insuline à une autre.
- +Mode d'administration
- +Destinées à l'administration sous-cutanée. Les suspensions d'insuline (Insulatard HM) ne doivent jamais être administrées par voie intraveineuse. L'insuline est administrée par voie sous-cutanée dans la cuisse, la paroi abdominale, les fesses ou le haut du bras.
- +Actrapid HM est administré par voie sous-cutanée dans la paroi abdominale. La cuisse, la région fessière et le haut du bras peuvent également être utilisés pour l'injection. Par rapport aux autres sites d'injection, l'injection sous-cutanée dans la paroi abdominale induit une absorption plus rapide.
- +Insulatard HM est administré par voie sous-cutanée dans la cuisse. La paroi abdominale, la région fessière et le haut du bras peuvent également être utilisés pour l'injection. Par rapport aux autres sites d'injection, l'injection sous-cutanée dans la cuisse induit une absorption plus lente et moins variable.
- +Lors d'une injection dans un pli cutané, le risque d'une injection accidentelle dans un muscle est le plus faible.
- +Afin de réduire le risque de lipodystrophie, le site d'injection devrait être changé entre chaque injection à l'intérieur de la zone du corps choisie.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
-Pour le diabétique traité à l’insuline, il existe en principe un risque d’hypoglycémie légère ou sévère. Ces phénomènes se présentent en particulier au début du traitement, lors d’un changement de préparation, d’injections irrégulières, de repas irréguliers, ainsi que plus généralement lors du diabète mal ou non équilibré, pouvant entraîner de fortes fluctuations de la glycémie, entre autres des hypoglycémies. En outre, les patients ayant déjà connu une hypoglycémie sévère présentent un risque accru de récidive. Afin de prévenir une hypoglycémie à temps, il y a lieu de recommander au patient de se munir constamment de sucre de raisin, de sucre en morceaux ou d’équivalents. Il doit aussi porter sur lui sa carte de diabétique.
-Une hypoglycémie peut apparaître lorsque la dose d’insuline est trop élevée par rapport au besoin d’insuline (voir sous «Effets indésirables»). L’omission d’un repas ou un effort physique intense non planifié peuvent provoquer une hypoglycémie.
-Lorsque des patients changent de type d’insuline, les symptômes annonciateurs précoces d’une hypoglycémie peuvent être différents ou moins marqués qu’avec l’insuline utilisée précédemment.
-Chez les patients présentant un état métabolique nettement amélioré (p.ex. en raison d’une insulinothérapie intensive), certains ou tous les symptômes annonciateurs de l’hypoglycémie peuvent dans certaines circonstances rester silencieux. Ces patients doivent être prévenus de ce problème. Chez les patients ayant un diabète préexistant depuis longtemps, les symptômes d’alerte habituels peuvent diminuer.
-Les bêta-bloquants peuvent affaiblir ou masquer les symptômes d’alerte habituels de l’hypoglycémie (inhibition de la gluconéogenèse hépatique). La consommation d’alcool peut renforcer le risque d’hypoglycémie (inhibition de la gluconéogenèse hépatique). La consommation de marijuana peut éventuellement provoquer une aggravation de la tolérance au glucose (d’autres substances illégales n’ont pas été testées, pour d’autres interactions, voir sous «Interactions»).
-Toutes les préparations d’insuline provoquent un déplacement du potassium de l’espace extracellulaire vers l’espace intracellulaire, ce qui pourrait éventuellement provoquer une hypokaliémie. Lorsqu’elle n’est pas traitée, l’hypokaliémie peut entraîner une paralysie respiratoire, une arythmie ventriculaire et le décès. La prudence est donc de mise chez les patients exposés à un possible risque d’hypokaliémie (p.ex. les patients traités à l’insuline par voie intraveineuse, les patients présentant un mauvais réglage de la glycémie et les patients recevant des médicaments qui provoquent une baisse du taux de potassium ou qui sont sensibles à la concentration sérique de potassium ainsi que les patients souffrant de diarrhée).
-Une dose insuffisante ou l’interruption du traitement peuvent provoquer une hyperglycémie, en particulier chez le diabétique de type 1. Les premiers symptômes d’une hyperglycémie se développent habituellement lentement, en quelques heures ou quelques jours. Ils comprennent des nausées, des vomissements, une somnolence, une peau sèche et rouge, une sécheresse buccale, des envies fréquentes d’uriner, une soif intense, une diminution de l’appétit ainsi qu’une confusion mentale et un coma. Une odeur d’acétone dans l’air expiré indique la présence d’une acidocétose diabétique, ce qui peut arriver surtout chez les diabétiques du type 1, mais également chez les diabétiques du type 2. Un coma hyperglycémique non traité, avec ou sans acidocétose, entraîne la mort.
-Directives à suivre lorsqu’on passe d’une préparation d’insuline à une autre
-Le passage à une autre préparation d’insuline ne devrait avoir lieu que sous contrôle strict du médecin et selon ses instructions. En cas de changement de la concentration, de la marque, du type, de l’espèce (origine animale, humaine, analogue de l’insuline humaine) et/ou de la méthode de production, un ajustement de la posologie pourra être requis.
- +Hypoglycémie
- +Pour le diabétique traité à l'insuline, il existe en principe un risque d'hypoglycémie légère ou sévère. Ces phénomènes se présentent en particulier au début du traitement, lors d'un changement de préparation, d'injections irrégulières, de repas irréguliers, ainsi que plus généralement lors du diabète mal ou non équilibré, pouvant entraîner de fortes fluctuations de la glycémie, entre autres des hypoglycémies. En outre, les patients ayant déjà connu une hypoglycémie sévère présentent un risque accru de récidive. Afin de prévenir une hypoglycémie à temps, il y a lieu de recommander au patient de se munir constamment de sucre de raisin, de sucre en morceaux ou d'équivalents. Il doit aussi porter sur lui sa carte de diabétique.
- +Une hypoglycémie peut apparaître lorsque la dose d'insuline est trop élevée par rapport au besoin d'insuline (voir sous «Effets indésirables»). L'omission d'un repas ou un effort physique intense non planifié peuvent provoquer une hypoglycémie.
- +Lorsque des patients changent de type d'insuline, les symptômes annonciateurs précoces d'une hypoglycémie peuvent être différents ou moins marqués qu'avec l'insuline utilisée précédemment.
- +Chez les patients présentant un état métabolique nettement amélioré (p.ex. en raison d'une insulinothérapie intensive), certains ou tous les symptômes annonciateurs de l'hypoglycémie peuvent dans certaines circonstances rester silencieux. Ces patients doivent être prévenus de ce problème. Chez les patients ayant un diabète préexistant depuis longtemps, les symptômes d'alerte habituels peuvent diminuer.
- +Les bêta-bloquants peuvent affaiblir ou masquer les symptômes d'alerte habituels de l'hypoglycémie. La consommation d'alcool peut renforcer le risque d'hypoglycémie (inhibition de la gluconéogenèse hépatique). La consommation de marijuana peut éventuellement provoquer une aggravation de la tolérance au glucose (d'autres substances illégales n'ont pas été testées, pour d'autres interactions, voir sous «Interactions»).
- +Toutes les préparations d'insuline provoquent un déplacement du potassium de l'espace extracellulaire vers l'espace intracellulaire, ce qui pourrait éventuellement provoquer une hypokaliémie. Lorsqu'elle n'est pas traitée, l'hypokaliémie peut entraîner une paralysie respiratoire, une arythmie ventriculaire et le décès. La prudence est donc de mise chez les patients exposés à un possible risque d'hypokaliémie (p.ex. les patients traités à l'insuline par voie intraveineuse, les patients présentant un mauvais réglage de la glycémie et les patients recevant des médicaments qui provoquent une baisse du taux de potassium ou qui sont sensibles à la concentration sérique de potassium ainsi que les patients souffrant de diarrhée).
- +Hyperglycémie
- +Une dose insuffisante ou l'interruption du traitement peuvent provoquer une hyperglycémie, en particulier chez le diabétique de type 1. Les premiers symptômes d'une hyperglycémie se développent habituellement lentement, en quelques heures ou quelques jours. Ils comprennent des nausées, des vomissements, une somnolence, une peau sèche et rouge, une sécheresse buccale, des envies fréquentes d'uriner, une soif intense, une diminution de l'appétit ainsi qu'une confusion mentale et un coma. Une odeur d'acétone dans l'air expiré indique la présence d'une acidocétose diabétique, ce qui peut arriver surtout chez les diabétiques du type 1, mais également chez les diabétiques du type 2. Un coma hyperglycémique non traité, avec ou sans acidocétose, entraîne la mort.
- +Directives à suivre lorsqu'on passe d'une préparation d'insuline à une autre
- +Le passage à une autre préparation d'insuline ne devrait avoir lieu que sous contrôle strict du médecin et selon ses instructions. En cas de changement de la concentration, de la marque, du type, de l'espèce (humaine, analogue de l'insuline humaine) et/ou de la méthode de production, un ajustement de la posologie pourra être requis.
-Lors des infections avec ou sans fièvre ou des autres maladies, en cas de surcharge physique ou psychique, le besoin d’insuline peut se modifier de façon aiguë. Un changement du mode de vie peut également rendre nécessaire une adaptation de la posologie.
-Comme lors de toute insulinothérapie, des réactions peuvent apparaître au site d’injection, notamment des douleurs, des rougeurs, des démangeaisons, de l’urticaire, des gonflements et des inflammations. Le fait de changer à chaque fois le site d’injection à l’intérieur d’une certaine zone peut aider à réduire ou à éviter ces réactions. Ces réactions diminuent habituellement en l’espace de quelques jours ou semaines. Dans de rares cas, des réactions au site d’injection peuvent imposer l’arrêt d’Actrapid HM ou Insulatard HM.
-Actrapid et Insulatard contiennent du métacrésol, susceptible de déclencher des réactions allergiques.
-Avant de se déplacer dans d’autres zones horaires, le patient doit discuter avec son médecin, car cela peut signifier qu’il doit prendre l’insuline et les repas à d’autres moments de la journée.
-En raison du risque de précipitation dans les cathéters de pompes, Actrapid ne devrait pas être utilisé dans des pompes pour la perfusion continue d’insuline par voie sous-cutanée.
-Les suspensions d’insuline ne doivent pas être utilisées dans des pompes d’insuline.
-Association d’insuline et de pioglitazone
-Il existe des rapports spontanés de cas d’insuffisance cardiaque apparus lorsque la pioglitazone a été administrée en même que l’insuline, en particulier lors de l’administration à des patients présentant des facteurs de risque pour le développement d’insuffisance cardiaque. Il faut en tenir compte lorsque le traitement avec l’association de pioglitazone et d’insuline est envisagé. Lorsque l’association est utilisée, les patients devraient faire l’objet d’une observation du point de vue des signes et des symptômes d’insuffisance cardiaque, de prise de poids et d’oedèmes. La pioglitazone doit être arrêtée lors de toute aggravation de symptômes cardiaques. Suite à une augmentation de la sensibilité à l’insuline, le risque d’hypoglycémie peut augmenter et nécessiter une réduction de la dose d’insuline lors d’une association avec la pioglitazone.
- +Lors des infections avec ou sans fièvre ou des autres maladies, en cas de surcharge physique ou psychique, le besoin d'insuline peut se modifier de façon aiguë. Un changement du mode de vie peut également rendre nécessaire une adaptation de la posologie.
- +Comme lors de toute insulinothérapie, des réactions peuvent apparaître au site d'injection, notamment des douleurs, des rougeurs, des démangeaisons, de l'urticaire, des gonflements et des inflammations. Le fait de changer à chaque fois le site d'injection à l'intérieur d'une certaine zone peut aider à réduire ou à éviter ces réactions. Ces réactions diminuent habituellement en l'espace de quelques jours ou semaines. Dans de rares cas, des réactions au site d'injection peuvent imposer l'arrêt d'Actrapid HM ou Insulatard HM.
- +Actrapid HM et Insulatard HM contiennent du métacrésol, susceptible de déclencher des réactions allergiques.
- +Avant de se déplacer dans d'autres zones horaires, le patient doit discuter avec son médecin, car cela peut signifier qu'il doit prendre l'insuline et les repas à d'autres moments de la journée.
- +En raison du risque de précipitation dans les cathéters de pompes, Actrapid HM ne devrait pas être utilisé dans des pompes pour la perfusion continue d'insuline par voie sous-cutanée.
- +Les suspensions d'insuline ne doivent pas être utilisées dans des pompes d'insuline.
- +Association d'insuline et de pioglitazone
- +Il existe des rapports spontanés de cas d'insuffisance cardiaque apparus lorsque la pioglitazone a été administrée en même que l'insuline, en particulier lors de l'administration à des patients présentant des facteurs de risque pour le développement d'insuffisance cardiaque. Il faut en tenir compte lorsque le traitement avec l'association de pioglitazone et d'insuline est envisagé. Lorsque l'association est utilisée, les patients devraient faire l'objet d'une observation du point de vue des signes et des symptômes d'insuffisance cardiaque, de prise de poids et d'oedèmes. La pioglitazone doit être arrêtée lors de toute aggravation de symptômes cardiaques. Suite à une augmentation de la sensibilité à l'insuline, le risque d'hypoglycémie peut augmenter et nécessiter une réduction de la dose d'insuline lors d'une association avec la pioglitazone.
- +Prévention des confusions/erreurs médicamenteuses
- +Les patients doivent avoir pour consigne de toujours vérifier l'étiquette de l'insuline avant chaque injection afin d'éviter les confusions entre les préparations d'insuline.
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-1. Le besoin d’insuline peut diminuer en présence de substances qui améliorent l’effet de l’insuline (augmentent la sensibilité à l’insuline), augmentent la sécrétion d’insuline, inhibent la gluconéogenèse hépatique ou influencent l’absorption intestinale de glucose. Avec une quantité constante d’insuline, le risque d’hypoglycémie est par conséquent augmenté lors de la prise simultanée de:
-Antidiabétiques oraux; alcool; inhibiteurs de l’ECA (p.ex. le captopril et l’énalapril); les substances anti-arythmiques comme le disopyramide; les β-bloquants et la clonidine, les IRSS; la fenfluramine; les inhibiteurs de la MAO; les antidépresseurs tricycliques; les salicylés et (rarement) d’autres AINS; les fibrates; les tétracyclines; la pentamidine (hypoglycémie; occasionnellement suivie d’une hyperglycémie); les antipaludiques (la quinine, la chloroquine, la méfloquine); les sulfamides (p.ex. le cotrimoxazole); la cimétidine et la ranitidine.
-2. Le besoin d’insuline peut augmenter lors de la prise simultanée des substances ou des groupes de substances suivantes:
-Contraceptifs oraux et autres préparations estrogéniques ou progestatives; les corticostéroïdes et l’ACTH; l’HG (somatotropine); le danazol; les hormones thyroïdiennes, les sympathicomimétiques (surtout les β2-sympathicomimétiques comme la ritodrine, le salbutamol, la terbutaline, mais également des sympathicomimétiques alpha-sélectifs ainsi que non sélectifs comme l’épinéphrine); le diazoxide; l’acide nicotinique et ses dérivés; la chlorpromazine (surtout à des doses élevées) et d’autres dérivés de la phénothiazine; les diurétiques (p.ex. les diurétiques thiazidiques, l’indapamide et le furosémide); les substances anti-rétrovirales; les substances immunosuppressives (ciclosporine, tacrolimus, sirolimus).
-3. Lors de l’utilisation des substances ci-après, l’effet de l’insuline peut, selon la dose, être renforcé ou affaibli:
-Les dérivés de l’octréotide ou de l’acide salicylique, les sels du lithium (rarement).
-Les bêta-bloquants peuvent entraîner un renforcement de la résistance à l’insuline mais également, dans certains cas, une hypoglycémie. En outre, les symptômes d’alerte de l’hypoglycémie peuvent être affaiblis ou masqués.
-Un abus chronique d’alcool ou de laxatifs peut entraîner une détérioration du métabolisme.
- +1. Le besoin d'insuline peut diminuer en présence de substances qui améliorent l'effet de l'insuline (augmentent la sensibilité à l'insuline), augmentent la sécrétion d'insuline, inhibent la gluconéogenèse hépatique ou influencent l'absorption intestinale de glucose. Avec une quantité constante d'insuline, le risque d'hypoglycémie est par conséquent augmenté lors de la prise simultanée de:
- +Antidiabétiques oraux; alcool; inhibiteurs de l'ECA (p.ex. le captopril et l'énalapril); les substances antiarythmiques comme le disopyramide; les β-bloquants et la clonidine, les IRSS; la fenfluramine; les inhibiteurs de la MAO; les antidépresseurs tricycliques; les salicylés et (rarement) d'autres AINS; les fibrates; les tétracyclines; la pentamidine (hypoglycémie; occasionnellement suivie d'une hyperglycémie); les antipaludiques (la quinine, la chloroquine, la méfloquine); les sulfamides (p.ex. le cotrimoxazole); la cimétidine et la ranitidine.
- +2. Le besoin d'insuline peut augmenter lors de la prise simultanée des substances ou des groupes de substances suivantes:
- +Contraceptifs oraux et autres préparations estrogéniques ou progestatives; les corticostéroïdes et l'ACTH; l'HG (somatotropine); le danazol; les hormones thyroïdiennes, les sympathicomimétiques (surtout les β2-sympathicomimétiques comme la ritodrine, le salbutamol, la terbutaline, mais également des sympathicomimétiques alpha-sélectifs ainsi que non sélectifs comme l'épinéphrine); le diazoxide; l'acide nicotinique et ses dérivés; la chlorpromazine (surtout à des doses élevées) et d'autres dérivés de la phénothiazine; les diurétiques (p.ex. les diurétiques thiazidiques, l'indapamide et le furosémide); les substances anti-rétrovirales; les substances immunosuppressives (ciclosporine, tacrolimus, sirolimus).
- +3. Lors de l'utilisation des substances ci-après, l'effet de l'insuline peut, selon la dose, être renforcé ou affaibli:
- +Les dérivés de l'octréotide ou de l'acide salicylique, les sels du lithium (rarement).
- +Les bêta-bloquants peuvent entraîner un renforcement de la résistance à l'insuline mais également, dans certains cas, une hypoglycémie. En outre, les symptômes d'alerte de l'hypoglycémie peuvent être affaiblis ou masqués.
- +Un abus chronique d'alcool ou de laxatifs peut entraîner une détérioration du métabolisme.
-Il n’y a aucune limitation à respecter en ce qui concerne l’emploi d’insuline pour le traitement du diabète durant la grossesse, car l’insuline ne traverse pas la barrière placentaire.
-Aussi bien l’hypoglycémie que l’hyperglycémie susceptibles d’apparaître lors d’un traitement du diabète insuffisamment contrôlé augmentent le risque de malformation et de mort foetale in utéro. C’est pourquoi les femmes atteintes de diabète et qui planifient une grossesse ou qui sont déjà enceintes doivent faire l’objet d’une surveillance plus intense.
-Au cours du premier trimestre, le besoin d’insuline baisse habituellement, mais il augmente ensuite au cours du deuxième et du troisième trimestre.
-Après l’accouchement, le besoin d’insuline revient rapidement aux valeurs d’avant la grossesse.
-L’insulinothérapie de la mère qui allaite son nouveau-né ne comporte aucun risque pour ce dernier. Il peut toutefois être nécessaire d’adapter la dose d’insuline, vos habitudes alimentaires ou les deux.
- +Grossesse
- +Il n'y a aucune limitation à respecter en ce qui concerne l'emploi d'insuline pour le traitement du diabète durant la grossesse, car l'insuline ne traverse pas la barrière placentaire.
- +Aussi bien l'hypoglycémie que l'hyperglycémie susceptibles d'apparaître lors d'un traitement du diabète insuffisamment contrôlé augmentent le risque de malformation et de mort foetale in-utéro. Chez les femmes atteintes de diabète et qui planifient une grossesse ou sont déjà enceintes, les contrôles de la glycémie doivent être intensifiés.
- +Au cours du premier trimestre, le besoin d'insuline baisse habituellement, mais il augmente ensuite au cours du deuxième et du troisième trimestre.
- +Après l'accouchement, le besoin en insuline retombe normalement rapidement aux valeurs d'avant la grossesse.
- +Allaitement
- +L'insulinothérapie de la mère qui allaite son nouveau-né ne comporte aucun risque pour ce dernier. Il peut toutefois être nécessaire d'adapter la dose d'insuline, vos habitudes alimentaires ou les deux.
- +Fertilité
- +Les études de reproduction chez l'animal avec de l'insuline humaine n'ont révélé aucun signe de répercussions néfastes en ce qui concerne la fertilité (voir «Données précliniques»).
- +
-Un épisode hypoglycémique peut altérer les facultés de concentration et de réaction du patient, ce qui peut représenter un risque dans les situations dans lesquelles ces capacités sont importantes (p.ex. lors de la conduite d’un véhicule ou de machines).
-On recommande au patient de prendre des mesures de précaution pour éviter les hypoglycémies lors de la conduite de véhicules. Cela est important en particulier chez les patients souffrant de fréquents épisodes hypoglycémiques ainsi que ceux peu ou mal familiarisés avec les signes annonciateurs de l’hypoglycémie. Dans de telles circonstances, la capacité à conduire des véhicules doit être évaluée.
- +Un épisode hypoglycémique peut altérer les facultés de concentration et de réaction du patient, ce qui peut représenter un risque dans les situations dans lesquelles ces capacités sont importantes (p.ex. lors de la conduite d'un véhicule ou de machines).
- +On recommande au patient de prendre des mesures de précaution pour éviter les hypoglycémies lors de la conduite de véhicules. Ceci est particulièrement important chez les patients souffrant d'épisodes hypoglycémiques fréquents et ayant une perception réduite ou absente des symptômes d'hypoglycémie. Dans de telles circonstances, la capacité à conduire des véhicules doit être évaluée.
-Les effets secondaires observés chez les patients utilisant l’insuline sont principalement dose-dépendants et sont dus à l’action pharmacologique de l’insuline. Pour toutes les insulines, l’effet indésirable le plus fréquent est généralement l’hypoglycémie. Un tel effet peut apparaître lorsque la dose d’insuline utilisée est plus élevée que le besoin d’insuline. La fréquence observée au cours des études cliniques et lors des expériences après la mise sur le marché varie selon la population de patients et le schéma posologique, c’est pourquoi aucune fréquence spécifique ne peut être indiquée. Ces effets sont toutefois fréquents à très fréquents.
- +Les effets secondaires observés chez les patients utilisant l'insuline sont principalement dose-dépendants et sont dus à l'action pharmacologique de l'insuline. Pour toutes les insulines, l'effet indésirable le plus fréquent est généralement l'hypoglycémie. Un tel effet peut apparaître lorsque la dose d'insuline utilisée est plus élevée que le besoin d'insuline. La fréquence observée au cours des études cliniques et lors des expériences après la mise sur le marché varie selon la population de patients et le schéma posologique, c'est pourquoi aucune fréquence spécifique ne peut être indiquée. Ces effets sont toutefois fréquents à très fréquents.
-Les fréquences des effets indésirables observés au cours des études cliniques et pour lesquels une évaluation globale permet d’envisager l’existence d’un lien avec l’insuline sont citées ci-après. Les fréquences ont été définies comme suit (>1/1’000, <1/100). Les cas isolés rapportés spontanément sont définis comme étant très rares (<1/10’000).
-Troubles du système immunitaire
- +Les fréquences des effets indésirables observés au cours des études cliniques et pour lesquels une évaluation globale permet d'envisager l'existence d'un lien avec l'insuline sont citées ci-après.
- +Les fréquences ont été définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000).
- +Affections du système immunitaire
-Réactions anaphylactiques – très rares
-Les symptômes d’une réaction généralisée d’hypersensibilité sont une rougeur cutanée généralisée, des démangeaisons, une transpiration, des troubles gastro-intestinaux, un oedème angioneurotique, des difficultés respiratoires, des palpitations cardiaques et une diminution de la pression artérielle. Des réactions généralisées d’hypersensibilité peuvent potentiellement mettre la vie en danger.
-Métabolisme et troubles de l’alimentation
- +Réactions anaphylactiques – très rares.
- +Les symptômes d'une réaction généralisée d'hypersensibilité sont une rougeur cutanée généralisée, des démangeaisons, une transpiration, des troubles gastro-intestinaux, un oedème angioneurotique, des difficultés respiratoires, des palpitations cardiaques et une diminution de la pression artérielle. Des réactions généralisées d'hypersensibilité peuvent potentiellement mettre la vie en danger.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Les symptômes annonciateurs d’une hypoglycémie sont
-Signes neurovégétatifs: sueurs, sensation de faim, tremblements (dits symptômes d’alarme neurovégétatifs), pâleur, palpitations, céphalées.
-Signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, modifications du comportement (entre autres agitation, nervosité, agressivité, état confusionnel), troubles de la conscience, de la coordination, de la vue et de la parole. Ceux-ci peuvent aller jusqu’à l’étourdissement, la somnolence et même le coma. L’hypoglycémie peut aussi provoquer des crises épileptiques ou se manifester par un ictus cérébral, accompagné p.ex. d’hémiparésie, d’aphasie et de signe de Babinski positif.
-Signes d’alarme atténués/modifiés
-Les signes d’alarme de l’hypoglycémie peuvent être modifiés, et les symptômes neurovégétatifs l’accompagnant peuvent être perçus de façon atténuée ou retardée, en particulier lors d’un traitement visant des taux de glycémie basse, mais également lors de diabète ancien (éventuellement accompagné de polynévrite) ou lors d’un changement d’insuline. Veuillez donc informer le diabétique traité à l’insuline et son entourage que l’hypoglycémie peut se déclarer de manière soudaine et d’abord par des signes neuroglycopéniques tels que: troubles de la concentration, inquiétude, troubles du comportement et de la conscience, d’où le risque de négliger de prendre du sucre à temps.
-Sont à considérer entre autres comme causes de l’hypoglycémie: omission d’un repas, vomissements, diarrhée, effort physique inhabituel, surdosage d’insuline, maladies endocriniennes telles qu’insuffisance surrénalienne, hypothyroïdie, etc. Traitement de l’hypoglycémie: voir sous «Surdosage».
-Après chaque hypoglycémie grave, il convient de rééquilibrer le diabète. Par conséquent, il faut recommander au patient d’informer le médecin de chaque hypoglycémie sévère subie.
-Il faut recommander au patient d’informer son entourage (amis, collègues de travail) de son diabète et de la conduite à tenir pour l’aider; entre autres, comment injecter du glucagon par voie sous-cutanée.
-Système nerveux
-Neuropathie périphérique – occasionnelle.
-Une amélioration rapide du réglage glycémique peut être associée à un état désigné par «neuropathie aiguë douloureuse». Cet état est généralement passager.
-Yeux
-Anomalies de la réfraction – occasionnel.
-Au début d’une insulinothérapie, des anomalies de la réfraction, qui sont toutefois généralement passagères, peuvent apparaître.
-Rétinopathie diabétique – occasionnelle.
-Un contrôle glycémique amélioré à long terme diminue le risque de progression d’une rétinopathie diabétique. Toutefois, une intensification de l’insulinothérapie permettant une amélioration soudaine du réglage glycémique peut provoquer une aggravation passagère de la rétinopathie diabétique.
-Troubles fonctionnels de la peau et du tissu sous-cutané
-Lipodystrophie – fréquent.
-Si le patient omet de changer régulièrement de site d’injection à l’intérieur de la région d’injection, une lipodystrophie peut survenir au niveau du site d’injection.
-Troubles généraux et réactions au site d’injection
- +Les symptômes annonciateurs d'une hypoglycémie sont
- +Signes neurovégétatifs: sueurs, sensation de faim, tremblements (dits symptômes d'alarme neurovégétatifs), pâleur, palpitations, céphalées.
- +Signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, modifications du comportement (agitation, nervosité, agressivité, état confusionnel, etc.), troubles de la conscience, de la coordination, de la vue et de la parole. Ceux-ci peuvent aller jusqu'à l'étourdissement, la somnolence et même le coma. L'hypoglycémie peut aussi provoquer des crises épileptiques ou se manifester par un ictus cérébral, accompagné p.ex. d'hémiparésie, d'aphasie et de signe de Babinski positif.
- +Signes d'alarme atténués/modifiés
- +Les signes d'alarme de l'hypoglycémie peuvent être modifiés, et les symptômes neurovégétatifs l'accompagnant peuvent être perçus de façon atténuée ou retardée, en particulier lors d'un traitement visant des taux de glycémie basse, mais également lors de diabète ancien (éventuellement accompagné de polynévrite) ou lors d'un changement d'insuline. Veuillez donc informer le diabétique traité à l'insuline et son entourage que l'hypoglycémie peut se déclarer de manière soudaine et d'abord par des signes neuroglycopéniques tels que: troubles de la concentration, inquiétude, troubles du comportement et de la conscience, d'où le risque de négliger de prendre du sucre à temps.
- +Sont à considérer entre autres comme causes de l'hypoglycémie: omission d'un repas, vomissements, diarrhée, effort physique inhabituel, surdosage d'insuline, maladies endocriniennes telles qu'insuffisance surrénalienne, hypothyroïdie, etc. Traitement de l'hypoglycémie: voir sous «Surdosage».
- +Après chaque hypoglycémie grave, il convient de rééquilibrer le diabète. Par conséquent, il faut recommander au patient d'informer le médecin de chaque hypoglycémie sévère subie.
- +Il faut recommander au patient d'informer son entourage (amis, collègues de travail) de son diabète et de la conduite à tenir pour l'aider; entre autres, comment injecter du glucagon par voie sous-cutanée.
- +Affections du système nerveux
- +Neuropathie périphérique – occasionnels.
- +Une amélioration rapide du contrôle de la glycémie peut être associée à une neuropathie douloureuse aiguë qui est normalement réversible.
- +Affections oculaires
- +Anomalies de la réfraction – occasionnels.
- +Au début d'une insulinothérapie, des anomalies de la réfraction, qui sont toutefois généralement passagères, peuvent apparaître.
- +Rétinopathie diabétique – occasionnels.
- +Une intensification de l'insulinothérapie avec une amélioration soudaine du contrôle de la glycémie peut être associée à une aggravation passagère de la rétinopathie diabétique, tandis qu'une amélioration a long terme du contrôle de la glycémie réduit le risque de progression d'une rétinopathie diabétique.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Lipodystrophie – occasionnels.
- +Si le patient omet de changer régulièrement de site d'injection à l'intérieur de la région d'injection, une lipodystrophie peut survenir au niveau du site d'injection.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Au début d’une insulinothérapie, des oedèmes peuvent apparaître. Ceux-ci sont toutefois généralement passagers.
-Réactions d’hypersensibilité localisées – fréquentes.
-Des réactions d’hypersensibilité localisées (douleurs, rougeurs, gonflements, démangeaisons, douleurs et hématome au site d’injection) peuvent apparaître pendant l’insulinothérapie. La plupart des réactions s’atténuent généralement et disparaissent au cours de la poursuite du traitement.
- +Au début d'une insulinothérapie, des oedèmes peuvent apparaître. Ceux-ci sont toutefois généralement passagers.
- +Réactions d'hypersensibilité localisées – occasionnels.
- +Au début de l'insulinothérapie, des œdèmes ou réactions au site d'injection (douleurs, rougeurs, urticaire, inflammations, hématomes, gonflements et prurit) peuvent se produire. Ces symptômes sont normalement passagers.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Un surdosage spécifique pour l’insuline ne peut pas être défini.
-Une hypoglycémie peut toutefois se développer progressivement lorsque des doses d’insuline trop élevées par rapport aux besoins d’insuline sont administrées.
-·Les épisodes hypoglycémiques modérés peuvent être traités par l’administration par voie orale de glucose ou d’autres aliments contenant du sucre. Les personnes diabétiques devraient toujours avoir quelques sucres en morceaux ou d’autres aliments contenant du sucre (p.ex. quelques biscuits) sur eux.
-·Lors d’épisodes hypoglycémiques sévères, ayant entraîné la perte de connaissance du patient, 0,5 à 1,0 mg de glucagon peuvent être injectés par voie intramusculaire ou sous-cutanée par une personne expérimentée, ou du glucose peut être administré par voie intraveineuse par un médecin. Si le patient n’a pas réagi à l’administration de glucagon après 10 à 15 minutes, il faut également administrer du glucose par voie intraveineuse.
- +Un surdosage spécifique pour l'insuline ne peut pas être défini.
- +Une hypoglycémie peut toutefois se développer progressivement lorsque des doses d'insuline trop élevées par rapport aux besoins d'insuline sont administrées.
- +Traitement
- +·Les épisodes hypoglycémiques modérés peuvent être traités par l'administration par voie orale de glucose ou d'autres aliments contenant du sucre. Les personnes diabétiques devraient toujours avoir quelques sucres en morceaux ou d'autres aliments contenant du sucre (p.ex. quelques biscuits) sur eux.
- +·Lors d'épisodes hypoglycémiques sévères, ayant entraîné la perte de connaissance du patient, 0,5 à 1,0 mg de glucagon peuvent être injectés par voie intramusculaire ou sous-cutanée par une personne expérimentée, ou du glucose peut être administré par voie intraveineuse par un médecin. Si le patient n'a pas réagi à l'administration de glucagon après 10 à 15 minutes, il faut également administrer du glucose par voie intraveineuse.
-Code ATC: Actrapid A10AB01, Insulatard A10AC01
-Du point de vue de leur composition et de leur structure chimique, les insulines humaines monocomposées (HM) de Novo Nordisk sont identiques à l’insuline humaine endogène. Les insulines HM sont produites par génie génétique à partir de cellules de levure. Elles ont un pH neutre.
-L’effet hypoglycémiant de l’insuline repose sur la capacité de la molécule d’augmenter l’absorption de glucose en se fixant sur des récepteurs de l’insuline au niveau des cellules musculaires et adipeuses. En même temps, l’insuline inhibe la libération de glucose par le foie.
- +Code ATC
- +Actrapid HM A10AB01, Insulatard HM A10AC01
- +Mécanisme d'action
- +Du point de vue de leur composition et de leur structure chimique, les insulines humaines monocomposées (HM) de Novo Nordisk sont identiques à l'insuline humaine endogène. Les insulines HM sont produites par génie génétique à partir de cellules de levure. Elles ont un pH neutre.
- +L'effet hypoglycémiant de l'insuline repose sur la capacité de la molécule d'augmenter l'absorption de glucose en se fixant sur des récepteurs de l'insuline au niveau des cellules musculaires et adipeuses. En même temps, l'insuline inhibe la libération de glucose par le foie.
-Préparation Début de l’effet après env. heures Durée de l’effet env. heures Action maximale entre env. heures
-Actrapid HM Insuline normale (insuline soluble), début d’action rapide ½ 8 1–3
-Insulatard HM Insuline intermédiaire (suspension isophane = insuline NPH) 1½ jusqu’à 24 4–12
- +Préparation Début de l'effet après env. heures Durée de l'effet env. heures Action maximale entre env. heures
- +Actrapid HM Insuline normale (insuline soluble), début d'action rapide ½ 8 1–3
- +Insulatard HM Insuline intermédiaire (suspension isophane = insuline NPH) 1½ jusqu'à 24 4–12
- +Efficacité clinique
- +Un étude clinique mené dans une unité de soins intensifs sur le traitement de l'hyperglycémie (glycémie supérieure à 10 mmol/l) et incluant 204 patients diabétiques et 1344 patients non diabétiques ayant subi d'importantes interventions chirurgicales a montré que la normoglycémie (glycémie comprise entre 4,4 et 6,1 mmol/l) induite par l'administration intraveineuse d'Actrapid HM réduisait la mortalité de 42% (8% contre 4,6%).
- +
-Dans la circulation sanguine, l’insuline possède une demi-vie de quelques minutes. C’est pourquoi le profil d’action au cours du temps d’une préparation d’insuline varie exclusivement en fonction de ses caractéristiques d’absorption.
-Ce processus est influencé par plusieurs facteurs (p.ex. dose d’insuline, voie et site d’injection, solidité du tissu adipeux sous-cutané, type de diabète). Les propriétés pharmacocinétiques de l’insuline sont donc soumises à une variabilité intra- et interindividuelle significative.
- +Dans la circulation sanguine, l'insuline possède une demi-vie de quelques minutes. C'est pourquoi le profil d'action au cours du temps d'une préparation d'insuline varie exclusivement en fonction de ses caractéristiques d'absorption.
- +Ce processus est influencé par plusieurs facteurs (p.ex. dose d'insuline, voie et site d'injection, solidité du tissu adipeux sous-cutané, type de diabète). Les propriétés pharmacocinétiques de l'insuline sont donc soumises à une variabilité intra- et interindividuelle significative.
-La concentration plasmatique maximale est atteinte en l’espace de
-·1,5 à 2,5 h sous Actrapid;
-·2 à 18 h sous Insulatard
- +La concentration plasmatique maximale est atteinte en l'espace de
- +·1,5 à 2,5 h sous Actrapid HM;
- +·2 à 18 h sous Insulatard HM
-Aucune liaison intense aux protéines plasmatiques, à l’exception des anticorps en circulation (pour autant qu’ils soient présents), n’a été observée.
- +Aucune liaison intense aux protéines plasmatiques, à l'exception des anticorps en circulation (pour autant qu'ils soient présents), n'a été observée.
-Il a été rapporté que l’insuline humaine est dégradée par des protéases de l’insuline ou des enzymes dégradant l’insuline et éventuellement par des isomérases de protéines disulfides isomérases. Une série de sites de scission (hydrolyse) sur la molécule d’insuline humaine a été prise en considération; aucun des métabolites formé par scission n’est actif.
-Elimination
-La demi-vie terminale varie en fonction du taux d’absorption à partir du tissu sous-cutané. La demi-vie terminale (t½) est donc plutôt une mesure de l’absorption que de l’élimination proprement dite de l’insuline à partir du plasma (dans la circulation sanguine, l’insuline présente une t½ de quelques minutes seulement).
-Des études ont montré une t½ d’environ
-·2 à 5 h pour Actrapid;
-·5 à 10 h Insulatard.
- +Il a été rapporté que l'insuline humaine est dégradée par des protéases de l'insuline ou des enzymes dégradant l'insuline et éventuellement par des isomérases de protéines disulfides isomérases. Une série de sites de scission (hydrolyse) sur la molécule d'insuline humaine a été prise en considération; aucun des métabolites formé par scission n'est actif.
- +Élimination
- +La demi-vie terminale varie en fonction du taux d'absorption à partir du tissu sous-cutané. La demi-vie terminale (t½) est donc plutôt une mesure de l'absorption que de l'élimination proprement dite de l'insuline à partir du plasma (dans la circulation sanguine, l'insuline présente une t½ de quelques minutes seulement).
- +Des études ont montré une t½ d'environ
- +·2 à 5 h pour Actrapid HM;
- +·5 à 10 h Insulatard HM.
-Le profil d’action pharmacocinétique d’Actrapid a été étudié chez un petit nombre (N= 18) d’enfants (6 à 12 ans) et d’adolescents (13 à 17 ans) atteints de diabète. Les données sont limitées, mais laissent supposer que le profil d’action pharmacocinétique chez les enfants et les adolescents est similaire à celui des adultes. Cependant, une variation de la Cmax a été observée en fonction de la tranche d’âge, ce qui souligne l’importance de la titration individuelle de la dose.
- +Le profil d'action pharmacocinétique d'Actrapid HM a été étudié chez un petit nombre (N= 18) d'enfants (6 à 12 ans) et d'adolescents (13 à 17 ans) atteints de diabète. Les données sont limitées, mais laissent supposer que le profil d'action pharmacocinétique chez les enfants et les adolescents est similaire à celui des adultes. Cependant, une variation de la Cmax a été observée en fonction de la tranche d'âge, ce qui souligne l'importance de la titration individuelle de la dose.
-Les données précliniques issues des études conventionnelles sur la sécurité pharmacologique, la toxicité chronique, la génotoxicité, le potentiel cancérigène et la toxicité de reproduction n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.
- +Les données précliniques issues des études conventionnelles sur la sécurité pharmacologique, la toxicité chronique, la génotoxicité, le potentiel cancérigène et la toxicité de reproduction n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
-Les suspensions d’insuline (insulines retard) ne doivent pas être administrées par voie intraveineuse (pompes à insuline, perfusions).
-L’insuline ne doit être ajoutée qu’à des substances dont on sait qu’elles sont compatibles.
-Les substances ajoutées à l’insuline peuvent causer une dégradation de la molécule d’insuline, par exemple si elles contiennent des thiols ou des sulfites.
- +Les suspensions d'insuline (insulines retard) ne doivent pas être administrées par voie intraveineuse (pompes à insuline, perfusions).
- +L'insuline ne doit être ajoutée qu'à des substances dont on sait qu'elles sont compatibles.
- +Les substances ajoutées à l'insuline peuvent causer une dégradation de la molécule d'insuline, par exemple si elles contiennent des thiols ou des sulfites.
-Les insulines humaines en cours d’emploi (aussi bien entamées que prises à titre de réserve) ont des durées de conservation différentes (voir sous «Remarques concernant le stockage»), qui varient en fonction de la température. Ensuite, elles doivent être jetées. C’est pourquoi il est recommandé de noter la date d’ouverture sur l’étiquette du récipient.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver au réfrigérateur (à une température située entre 2 et 8 °C). Ne pas conserver à proximité des éléments réfrigérants. Ne pas congeler. Conserver dans l’emballage d’origine, afin de protéger le contenu contre la lumière.
-Les conditions de conservation et les durées de vie des insulines humaines en cours d’emploi (aussi bien entamées que prises à titre de réserve) sont les suivantes:
-Flacons: à une température ne pas au-dessus de 25 °C durant six semaines ou au réfrigérateur (2 à 8 °C) jusqu’à trois mois.
-FlexPen et Penfill: à une température ne pas au-dessus de 30 °C jusqu’à 6 semaines. Ils ne doivent plus être conservés au réfrigérateur (2 à 8 °C). Laisser le capuchon du FlexPen en place afin de protéger ce dernier contre la lumière.
- +Les insulines humaines en cours d'emploi (aussi bien entamées que prises à titre de réserve) ont des durées de conservation différentes (voir sous «Remarques concernant le stockage»), qui varient en fonction de la température. Ensuite, elles doivent être jetées. C'est pourquoi il est recommandé de noter la date d'ouverture sur l'étiquette du récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver au réfrigérateur (2-8 °C). Ne pas conserver à proximité des éléments réfrigérants. Ne pas congeler. Conserver dans l'emballage d'origine, afin de protéger le contenu contre la lumière.
- +Les conditions de conservation et les durées de vie des insulines humaines en cours d'emploi (aussi bien entamées que prises à titre de réserve) sont les suivantes:
- +Flacons: à une température ne pas au-dessus de 25 °C durant six semaines ou au réfrigérateur (2 à 8 °C) jusqu'à trois mois.
- +FlexPen et Penfill: à une température ne pas au-dessus de 30 °C jusqu'à 6 semaines. Ils ne doivent plus être conservés au réfrigérateur (2 à 8 °C). Laisser le capuchon du FlexPen en place afin de protéger ce dernier contre la lumière.
- +Conserver hors de portée des enfants.
- +
-Seul Actrapid HM (solution d’insuline) peut être administré par voie intraveineuse!
-Les systèmes de perfusion avec Actrapid à des concentrations situées entre 0,05 UI/ml et 1,0 UI/ml d’insuline humaine dans les solutions de perfusion avec 0,9% de chlorure de sodium, 5% de D-glucose et 10% de D-glucose avec 40 mmol/l de chlorure de potassium sont stables pendant 24 heures à température ambiante dans des poches à perfusion en polypropylène. Bien que la solution soit stable, une certaine quantité d’insuline peut être adsorbée au matériel de la poche de perfusion au début. La glycémie doit être surveillée durant la perfusion.
-FlexPen est un stylo pré-rempli d’insuline.
-Les cartouches Penfill 3 ml sont destinées à être utilisées dans les injecteurs d’insuline de Novo Nordisk.
-Les injecteurs d’insuline de Novo Nordisk et le stylo prérempli d’insuline FlexPen doivent être utilisés avec des aiguilles NovoFine®.
-Pour éviter toute contamination, les Penfill et FlexPen en cours d’utilisation ne peuvent pas être utilisés par plusieurs personnes en même temps.
-Avant tout emploi, il faut contrôler l’aspect de la préparation d’insuline. Si l’insuline dissoute (Actrapid) n’est pas limpide et incolore ou si l’insuline en suspension (Insulatard) n’est pas uniformément blanchâtre et trouble, il convient de ne plus utiliser cette préparation.
- +Seul Actrapid HM (solution d'insuline) peut être administré par voie intraveineuse!
- +Les systèmes de perfusion avec Actrapid HM à des concentrations situées entre 0,05 UI/ml à 1,0 UI/ml d'insuline humaine dans les solutions de perfusion avec 0,9% de chlorure de sodium, 5% de D-glucose et 10% de D-glucose avec 40 mmol/l de chlorure de potassium sont stables pendant 24 heures à température ambiante dans des poches à perfusion en polypropylène. Bien que la solution soit stable, une certaine quantité d'insuline peut être adsorbée au matériel de la poche de perfusion au début. La glycémie doit être surveillée durant la perfusion.
- +FlexPen est un stylo pré-rempli d'insuline.
- +Les cartouches Penfill 3 ml sont destinées à être utilisées dans les injecteurs d'insuline de Novo Nordisk.
- +Les injecteurs d'insuline de Novo Nordisk et le stylo prérempli d'insuline FlexPen doivent être utilisés avec des aiguilles NovoFine®.
- +Pour éviter toute contamination, les Penfill et FlexPen en cours d'utilisation ne peuvent pas être utilisés par plusieurs personnes en même temps.
- +Avant tout emploi, il faut contrôler l'aspect de la préparation d'insuline. Si l'insuline dissoute (Actrapid HM) n'est pas limpide et incolore ou si l'insuline en suspension (Insulatard HM) n'est pas uniformément blanchâtre et trouble, il convient de ne plus utiliser cette préparation.
-Technique d’injection: Nettoyer à l’alcool la fermeture du flacon et le site d’injection. Ne pas utiliser de désinfectants mercuriels. Tirer sur le piston de façon à aspirer dans la seringue stérile de l’air jusqu’à la graduation correspondant à la quantité voulue. Transpercer le capuchon de caoutchouc, pousser le piston, c’est-à-dire introduire l’air inspiré dans le flacon d’insuline, retourner le flacon d’insuline et aspirer la dose. Avant d’injecter, chasser les éventuelles bulles d’air.
-Mélanges: Insulatard HM peut être mélangé à Actrapid HM afin d’obtenir une augmentation de l’effet initial. Les mélanges doivent être préparés dans la seringue. Ce faisant, il faut toujours aspirer de l’Actrapid HM en premier.
-Emploi des appareils à injection d’insuline
-Lors de l’utilisation des appareils d’injection de Novo Nordisk, observer scrupuleusement le mode d’emploi. Les cartouches 3 ml Penfill sont destinées à être utilisées dans les injecteurs d’insuline de Novo Nordisk.
- +Technique d'injection: Nettoyer à l'alcool la fermeture du flacon et le site d'injection. Ne pas utiliser de désinfectants mercuriels. Tirer sur le piston de façon à aspirer dans la seringue stérile de l'air jusqu'à la graduation correspondant à la quantité voulue. Transpercer le capuchon de caoutchouc, pousser le piston, c'est-à-dire introduire l'air inspiré dans le flacon d'insuline, retourner le flacon d'insuline et aspirer la dose. Avant d'injecter, chasser les éventuelles bulles d'air.
- +Mélanges: Insulatard HM peut être mélangé à Actrapid HM afin d'obtenir une augmentation de l'effet initial. Les mélanges doivent être préparés dans la seringue. Ce faisant, il faut toujours aspirer de l'Actrapid HM en premier.
- +Emploi des appareils à injection d'insuline
- +Lors de l'utilisation des appareils d'injection de Novo Nordisk, observer scrupuleusement le mode d'emploi. Les cartouches 3 ml Penfill sont destinées à être utilisées dans les injecteurs d'insuline de Novo Nordisk.
-Insuline Novo Nordisk Actrapid HM amp 10 ml. (B)
-Insuline Novo Nordisk Actrapid HM Penfill 5× 3 ml. (B)
-Insuline Novo Nordisk Insulatard HM amp 10 ml. (B)
-Insuline Novo Nordisk Insulatard HM Penfill 5× 3 ml. (B)
-Insuline Novo Nordisk Insulatard HM FlexPen stylo prè-rempli 5× 3 ml. (B)
- +Actrapid HM flacons perforables 10 ml. (B)
- +Actrapid HM Penfill 5× 3 ml. (B)
- +Insulatard HM flacons perforables 10 ml. (B)
- +Insulatard HM Penfill 5× 3 ml. (B)
- +Insulatard HM FlexPen stylo prè-rempli 5× 3 ml. (B)
-Octobre 2011.
- +Octobre 2019.
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