80 Changements de l'information professionelle Gutron |
-Principe actif: Midodrini hydrochloridum.
- +Principes actifs
- +Midodrini hydrochloridum
-Comprimés: excip. pro compresso.
-Gouttes: natrii cyclamas; excip. ad solutionem, corresp. ethanolum 14% v/v.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Comprimés à 2,5 mg midodrine HCl.
-Gouttes à 10 mg midodrine HCl par 1 ml; 1 ml corresp. 30 guttae.
-Indications/Possibilités d’emploi
-Hypotension orthostatique «fonctionnelle» (forme sympathicotonique), après un alitement prolongé, chez des patients avec dysrégulation transitoire du système nerveux autonome.
- +Comprimés : excip. pro compresso
- +Gouttes : natrii cyclamas; excip. ad solutionem, corresp. ethanolum 14%
- +v/v
- +
- +Indications/possibilités d’emploi
- +Hypotension orthostatique « fonctionnelle » (forme sympathicotonique), après un alitement prolongé, chez des patients avec dysrégulation transitoire du système nerveux autonome.
-Formes graves d'hypotension orthostatique (asympathicotoniques):
-hypotension orthostatique idiopathique (HOI),
-hypotension orthostatique idiopathique à symptomatologie neurologique (syndrome de Shy-Drager/SSD),
-hypotension orthostatique secondaire (HOS, p.ex. en cas de neuropathie diabétique).
-Posologie/Mode d’emploi
-La posologie sera fixée en fonction de la gravité de l'affection et pour chaque patient séparément.
-L'administration de midodrine devrait se faire pendant la journée lorsque le patient effectue ses activités quotidiennes en position debout. Pour éviter une hypertension en position couchée, la dernière dose devrait être prise au moins 4 heures avant le coucher.
-Au début du traitement, la pression artérielle doit être contrôlée régulièrement en position assise et couchée (au moins 2 fois par semaine) et en cas d'hypertension excessive en position couchée, il faut arrêter la midodrine.
-a) Hypotension «fonctionnelle» sympathicotonique
-La dose standard est de 1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou de 7 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
-En traitement prolongé, cette dose peut être réduite selon la réponse clinique à: ½ comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou 3 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
-Si nécessaire, la dose peut être augmentée jusqu’à concurrence de 2 comprimés à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou 15 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
-b) Hypotension iatrogène
-1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2-3×/jour ou 7 gouttes de solution à 1% 2-3×/jour.
-c) Hypotensions orthostatiques graves (HOI, SSD, HOS)
-La dose doit être adaptée selon les cas. La prise devrait avoir lieu 30-45 minutes avant le lever puis plusieurs fois par jour à brefs intervalles. Il est recommandé de commencer par 1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 3×/jour et de corriger ensuite cette dose en fonction du résultat thérapeutique (mesurer la tension artérielle systolique 3 minutes après le lever, guetter les symptômes orthostatiques!). Dans certains cas, il peut être indiqué d'augmenter la dose jusqu'à 15 mg/jour.
-Augmenter la dose une fois par semaine en fonction de l'effet thérapeutique souhaité. La dose journalière maximale est de 30 mg de midodrine HCl, fractionnée en trois prises. Il est conseillé de ne pas la dépasser.
- +Formes graves d’hypotension orthostatique (asympathicotoniques) :
- +·hypotension orthostatique idiopathique (HOI)
- +·hypotension orthostatique idiopathique à symptomatologie neurologique (syndrome de Shy-Drager/SSD)
- +·hypotension orthostatique secondaire (HOS, p.ex. en cas de neuropathie diabétique)
- +Posologie/mode d’emploi
- +La posologie sera fixée en fonction de la gravité de l’affection et pour chaque patient séparément.
- +L’administration de midodrine devrait se faire pendant la journée lorsque le patient effectue ses activités quotidiennes en position debout. Pour éviter une hypertension en position couchée, la dernière dose devrait être prise au moins 4 heures avant le coucher.
- +Au début du traitement, la pression artérielle doit être contrôlée régulièrement en position assise et couchée (au moins 2 fois par semaine) et en cas d’hypertension excessive en position couchée, il faut arrêter la midodrine.
- +a) Hypotension « fonctionnelle » sympathicotoniqueLa dose standard est de 1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou de 7 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
- +En traitement prolongé, cette dose peut être réduite selon la réponse clinique à : ½ comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou 3 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
- +Si nécessaire, la dose peut être augmentée jusqu'à concurrence de 2 comprimés à 2,5 mg de midodrine HCl 2×/jour ou 15 gouttes de solution à 1% 2×/jour.
- +b) Hypotension iatrogène 1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 2-3×/jour ou 7 gouttes de solution à 1% 2-3×/jour.
- +c) Hypotensions orthostatiques graves (HOI, SSD, HOS)La dose doit être adaptée selon les cas. La prise devrait avoir lieu 30-45 minutes avant le lever puis plusieurs fois par jour à brefs intervalles. Il est recommandé de commencer par 1 comprimé à 2,5 mg de midodrine HCl 3×/jour et de corriger ensuite cette dose en fonction du résultat thérapeutique (mesurer la tension artérielle systolique 3 minutes après le lever, guetter les symptômes orthostatiques !). Dans certains cas, il peut être indiqué d’augmenter la dose jusqu’à 15 mg/jour.
- +Augmenter la dose une fois par semaine en fonction de l’effet thérapeutique souhaité. La dose journalière maximale est de 30 mg de midodrine HCl, fractionnée en trois prises. Il est conseillé de ne pas la dépasser.
-Faute d'études suffisantes, Gutron ne doit pas être administré chez les enfants âgés de moins de 12 ans.
- +Faute d’études suffisantes, Gutron ne doit pas être administré chez les enfants âgés de moins de 12 ans.
-Aucune étude spécifique sur une réduction posologique éventuelle chez les patients âgés n'a été effectuée.
- +Aucune étude spécifique sur une réduction posologique éventuelle chez les patients âgés n’a été effectuée.
-Aucune étude spécifique n'a été effectuée. Cependant, la midodrine est généralement contre-indiquée chez les patients présentant une affection rénale aiguë et une insuffisance rénale grave. Adapter la dose en cas d'insuffisance rénale légère à modérée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Aucune étude spécifique n’a été effectuée. Cependant, la midodrine est généralement contre-indiquée chez les patients présentant une affection rénale aiguë et une insuffisance rénale grave. Adapter la dose en cas d’insuffisance rénale légère à modérée (voir « Mises en garde et précautions »).
-Aucune étude spécifique n'a été effectuée.
- +Aucune étude spécifique n’a été effectuée.
-·Hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition,
-·cardiopathies organiques sévères (p.ex. bradycardie, cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque congestive, bloc cardiaque/troubles de la transmission de l'excitation ou anévrisme aortique),
- +·Hypersensibilité connue au principe actif ou à l’un des excipients conformément à la composition,
- +·cardiopathies organiques sévères (p. ex. bradycardie, cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque congestive, bloc cardiaque/troubles de la transmission de l’excitation ou anévrisme aortique),
-·trouble de la circulation de type hypotension avec réaction d'hypertension au test en position debout,
-·angiopathies oblitérantes, spasmodiques et sclérosantes sévères (p.ex. occlusions cérébrovasculaires et crampes),
- +·trouble de la circulation de type hypotension avec réaction d’hypertension au test en position debout,
- +·angiopathies oblitérantes, spasmodiques et sclérosantes sévères (p. ex. occlusions cérébrovasculaires et crampes),
-·insuffisance rénale sévère, troubles de la vidange vésicale en particulier en cas d'hypertrophie de la prostate associée à une augmentation du volume résiduel postmictionnel,
- +·insuffisance rénale sévère, troubles de la vidange vésicale en particulier en cas d’hypertrophie de la prostate associée à une augmentation du volume résiduel postmictionnel,
-Au cours du traitement, il convient de contrôler la pression artérielle en position couchée et assise. Le risque d'une hypertension orthostatique et clinostatique doit être évalué au début du traitement.
-Informer les patients qu'ils doivent signaler immédiatement au médecin traitant les symptômes d'une hypertension clinostatique tels que palpitations, céphalées et troubles visuels. Il faudra alors adapter la posologie ou, si nécessaire, interrompre le traitement.
-L'insuffisance rénale ralentit l'élimination du métabolite actif et nécessite par conséquent un ajustement posologique en rapport avec la gravité de l'affection.
-En cas de traitement à long terme par Gutron, il est conseillé de contrôler régulièrement la fonction rénale. La prudence s'impose en cas d'insuffisance cardiaque, de bradycardie et d'arythmies ainsi que de diabète sucré.
-Chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, les expériences disponibles ne sont pas suffisantes. Il est donc recommandé de vérifier la fonction hépatique régulièrement avant et pendant le traitement par Gutron. La solution de Gutron contient 14% v/v d'alcool.
- +Au cours du traitement, il convient de contrôler la pression artérielle en position couchée et assise. Le risque d’une hypertension orthostatique et clinostatique doit être évalué au début du traitement.
- +Informer les patients qu'ils doivent signaler immédiatement au médecin traitant les symptômes d’une hypertension clinostatique tels que palpitations, céphalées et troubles visuels. Il faudra alors adapter la posologie ou, si nécessaire, interrompre le traitement.
- +L’insuffisance rénale ralentit l’élimination du métabolite actif et nécessite par conséquent un ajustement posologique en rapport avec la gravité de l’affection.
- +En cas de traitement à long terme par Gutron, il est conseillé de contrôler régulièrement la fonction rénale. La prudence s’impose en cas d’insuffisance cardiaque, de bradycardie et d’arythmies ainsi que de diabète sucré.
- +Chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, les expériences disponibles ne sont pas suffisantes. Il est donc recommandé de vérifier la fonction hépatique régulièrement avant et pendant le traitement par Gutron. La solution de Gutron contient 14% v/v d’alcool.
-La midodrine est un inhibiteur du cytochrome P450 CYP2D6 et pourrait donc influencer le métabolisme d'autres médicaments (p.ex. la perphénazine, l'amiodarone, le métoclopramide) qui sont métabolisés par cette isoenzyme du cytochrome P450. Cela pourrait accroître l'exposition systémique et renforcer l'effet de ce médicament.
-Eviter l'administration concomitante de midodrine et de vasoconstricteurs, de sympathomimétiques, notamment des médicaments décongestionnants ou certains anorexigènes, et d'autres médicaments à effet hypertenseur (p.ex. le méthyldopa, les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques, les hormones thyroïdiennes, les inhibiteurs MAO) ainsi que de médicaments en vente libre, car une hypertension importante peut en résulter.
-L'effet de la midodrine peut être antagonisé par des α-bloquants comme la prazosine et la phentolamine.
-L'administration simultanée de midodrine et de α- et β-bloquants peut diminuer la fréquence cardiaque; une surveillance rigoureuse est donc nécessaire.
-L'administration simultanée de glycosides cardiotoniques n'est pas recommandée en raison d'une potentialisation de la bradycardie réflexe ainsi que d'une augmentation des troubles de la conduction.
-La midodrine peut renforcer ou potentialiser l'effet hypertenseur potentiel des préparations contenant de la cortisone.
-L'alcool peut renforcer l'effet des sympathomimétiques, car il stimule le tissu médullaire des surrénales et provoque ainsi la sécrétion de catécholamines.
-Grossesse/Allaitement
-Il n'existe aucune donnée clinique au sujet de femmes enceintes exposées à Gutron. Il n'existe pas d'expérimentations animales suffisantes concernant l'incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement fœtal et/ou le développement post-natal.
-Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu. L'administration de Gutron est donc contre-indiquée pendant la grossesse.
-L'utilisation de la midodrine n'est pas recommandée chez les femmes qui envisagent une grossesse. Si une femme tombe enceinte pendant le traitement par la midodrine, celui-ci doit être interrompu dès la constatation de la grossesse.
-Les expérimentations animales ont montré que la midodrine passe dans le lait maternel. Gutron est contre-indiqué pendant l'allaitement. Si l'administration de Gutron s'avère nécessaire pendant l'allaitement, l'allaitement doit être interrompu.
- +La midodrine est un inhibiteur du cytochrome P450 CYP2D6 et pourrait donc influencer le métabolisme d’autres médicaments (p. ex. la perphénazine, l’amiodarone, le métoclopramide) qui sont métabolisés par cette isoenzyme du cytochrome P450. Cela pourrait accroître l’exposition systémique et renforcer l’effet de ce médicament.
- +Eviter l’administration concomitante de midodrine et de vasoconstricteurs, de sympathomimétiques, notamment des médicaments décongestionnants ou certains anorexigènes, et d’autres médicaments à effet hypertenseur (p. ex. le méthyldopa, les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques, les hormones thyroïdiennes, les inhibiteurs MAO) ainsi que de médicaments en vente libre, car une hypertension importante peut en résulter.
- +L’effet de la midodrine peut être antagonisé par des a-bloquants comme la prazosine et la phentolamine.
- +L’administration simultanée de midodrine et de a- et b-bloquants peut diminuer la fréquence cardiaque ; une surveillance rigoureuse est donc nécessaire.
- +L’administration simultanée de glycosides cardiotoniques n’est pas recommandée en raison d’une potentialisation de la bradycardie réflexe ainsi que d’une augmentation des troubles de la conduction.
- +La midodrine peut renforcer ou potentialiser l’effet hypertenseur potentiel des préparations contenant de la cortisone.
- +L’alcool peut renforcer l’effet des sympathomimétiques, car il stimule le tissu médullaire des surrénales et provoque ainsi la sécrétion de catécholamines.
- +Grossesse, Allaitement
- +Il n’existe aucune donnée clinique au sujet de femmes enceintes exposées à Gutron. Il n’existe pas d’expérimentations animales suffisantes concernant l’incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement fœtal et/ou le développement post-natal.
- +Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu. L’administration de Gutron est donc contre-indiquée pendant la grossesse.
- +L’utilisation de la midodrine n’est pas recommandée chez les femmes qui envisagent une grossesse. Si une femme tombe enceinte pendant le traitement par la midodrine, celui-ci doit être interrompu dès la constatation de la grossesse.
- +Les expérimentations animales ont montré que la midodrine passe dans le lait maternel. Gutron est contre-indiqué pendant l’allaitement. Si l’administration de Gutron s’avère nécessaire pendant l’allaitement, l’allaitement doit être interrompu.
-Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Lors de la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines, il faut considérer qu'une excitabilité et une irritabilité sont possibles occasionnellement.
- +Aucune étude correspondante n’a été effectuée. Lors de la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines, il faut considérer qu’une excitabilité et une irritabilité sont possibles occasionnellement.
-A fortes doses (comme celles recommandées dans les formes graves d'hypotension orthostatique), on constate souvent une hausse tensionnelle en clinostatisme. Cette réaction s'observe surtout lorsque Gutron est associé à la fludrocortisone; il suffit de corriger la posologie pour y remédier. Une bradycardie réflexe peut aussi se produire. Elle peut être traitée par l'atropine.
-Les indications de fréquence des effets indésirables reposent sur les catégories suivantes:
-très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); rares (≥1/10 000 et <1/1000); très rares (<1/10 000), cas isolés (la fréquence ne peut être évaluée sur la base des données disponibles).
- +A fortes doses (comme celles recommandées dans les formes graves d’hypotension orthostatique), on constate souvent une hausse tensionnelle en clinostatisme. Cette réaction s’observe surtout lorsque Gutron est associé à la fludrocortisone ; il suffit de corriger la posologie pour y remédier. Une bradycardie réflexe peut aussi se produire. Elle peut être traitée par l’atropine.
- +Les indications de fréquence des effets indésirables reposent sur les catégories suivantes :
- +très fréquents (≥ 1/10); fréquents (≥ 1/100 et < 1/10); occasionnels (≥ 1/1000 et < 1/100); rares (≥ 1/10 000 et < 1/1000); très rares (< 1/10 000), cas isolés (la fréquence ne peut être évaluée sur la base des données disponibles).
-Occasionnels: troubles du sommeil, insomnies.
-Cas isolés: peur, confusion.
- +Occasionnels : troubles du sommeil, insomnies.
- +Cas isolés : peur, confusion.
-Fréquents: paresthésies.
-Occasionnels: céphalées, irritabilité, nervosité, excitabilité, agitation.
- +Fréquents : paresthésies.
- +Occasionnels : céphalées, irritabilité, nervosité, excitabilité, agitation.
-Occasionnels: bradycardie réflexe, tachycardie, palpitations.
- +Occasionnels : bradycardie réflexe, tachycardie, palpitations.
-Fréquents et dose-dépendants: hausse tensionnelle en clinostatisme.
- +Fréquents et dosedépendants: hausse tensionnelle en clinostatisme.
-Occasionnels: nausées, dyspepsie, brûlures d'estomac et stomatite.
-Cas isolés: douleurs abdominales, vomissements, diarrhée.
- +Occasionnels : nausées, dyspepsie, brûlures d’estomac et stomatite.
- +Cas isolés : douleurs abdominales, vomissements, diarrhée.
-Rares: valeurs anormales de la fonction hépatique, élévation des enzymes hépatiques.
- +Rares : valeurs anormales de la fonction hépatique, élévation des enzymes hépatiques.
-Très fréquents: horripilation (chair de poule) (13%).
-Fréquents: prurit (surtout du cuir chevelu), rougeur de la peau, sensation de froid, éruption.
-Rares: réactions cutanées allergiques.
- +Très fréquents : horripilation (chair de poule) (13%).
- +Fréquents : prurit (surtout du cuir chevelu), rougeur de la peau, sensation de froid, éruption.
- +Rares : réactions cutanées allergiques.
-Très fréquents: dysurie (13%).
-Fréquents: rétention urinaire.
-Occasionnels: besoin impérieux d'uriner.
-Occasionnels et dose-dépendants: troubles de la miction.
- +Très fréquents : dysurie (13%).
- +Fréquents : rétention urinaire.
- +Occasionnels : besoin impérieux d’uriner.
- +Occasionnels et dose-dépendants : troubles de la miction.
- +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Les symptômes d'un surdosage sont identiques à ceux décrits dans la rubrique «Effets indésirables». Il s'agit surtout d'hypertension, d'horripilation (chair de poule), de sensation de froid, de bradycardie, de rétention urinaire et de besoin impérieux d'uriner.
- +Les symptômes d’un surdosage sont identiques à ceux décrits dans la rubrique « Effets indésirables ». Il s’agit surtout d’hypertension, d’horripilation (chair de poule), de sensation de froid, de bradycardie, de rétention urinaire et de besoin impérieux d’uriner.
-Outre le traitement habituellement instauré pour soutenir les fonctions vitales, il est nécessaire de mettre en œuvre les mesures générales basées sur les propriétés pharmacologiques de la préparation, d'induire les vomissements et d'administrer un α-sympatolytique (p.ex. la phentolamine, le nitroprussiate ou la nitroglycérine).
-La bradycardie et les troubles de la conduction bradycardique peuvent être levés par l'administration d'atropine aux doses thérapeutiques usuelles.
- +Outre le traitement habituellement instauré pour soutenir les fonctions vitales, il est nécessaire de mettre en œuvre les mesures générales basées sur les propriétés pharmacologiques de la préparation, d’induire les vomissements et d’administrer un asympatolytique (p. ex. la phentolamine, le nitroprussiate ou la nitroglycérine).
- +La bradycardie et les troubles de la conduction bradycardique peuvent être levés par l’administration d’atropine aux doses thérapeutiques usuelles.
-Code ATC: C01CA17
-Mécanisme d'action
-La midodrine, principe actif de Gutron, est une prodrogue qui est transformée après administration orale dans le métabolite actif desglymidodrine. Ce dernier est un α-sympathomimétique dont l'action s'exerce directement au niveau des récepteurs périphériques. Son action α-stimulante a pu être établie dans plusieurs modèles lors des études expérimentales.
-Dépourvu d'activité β-sympathomimétique, la midodrine n'a pas d'effet direct sur la fréquence cardiaque, la contractilité du myocarde, le tonus bronchique et l'activité utérine.
- +Code ATC
- +C01CA17
- +Mécanisme d’action
- +La midodrine, principe actif de Gutron, est une prodrogue qui est transformée après administration orale dans le métabolite actif desglymidodrine. Ce dernier est un a-sympathomimétique dont l’action s’exerce directement au niveau des récepteurs périphériques. Son action a-stimulante a pu être établie dans plusieurs modèles lors des études expérimentales.
- +Dépourvu d’activité b-sympathomimétique, la midodrine n’a pas d’effet direct sur la fréquence cardiaque, la contractilité du myocarde, le tonus bronchique et l’activité utérine.
-Gutron n'augmente pas la fréquence cardiaque. Le ralentissement de la fréquence cardiaque observé lors des essais cliniques est attribué à une stimulation réflexe du parasympathique.
-Les résultats des expériences de laboratoire visant à déterminer l'action de Gutron sur les récepteurs α-adrénergiques de la vessie et de l'urètre ont incité les cliniciens à utiliser Gutron dans l'incontinence d'effort et les troubles de l'éjaculation.
-L'effet sur l'incontinence d'effort, qui a pu être objectivé par des mesures urodynamiques, repose essentiellement sur une stimulation de l'urètre proximal et de la musculature vésicale.
-L'effet cliniquement démontré de Gutron sur différents troubles de l'éjaculation est attribué à une stimulation des récepteurs α-adrénergiques localisés respectivement dans le canal déférent et la région du col vésical.
- +Gutron n’augmente pas la fréquence cardiaque. Le ralentissement de la fréquence cardiaque observé lors des essais cliniques est attribué à une stimulation réflexe du parasympathique.
- +Les résultats des expériences de laboratoire visant à déterminer l’action de Gutron sur les récepteurs a-adrénergiques de la vessie et de l’urètre ont incité les cliniciens à utiliser Gutron dans l’incontinence d’effort et les troubles de l’éjaculation.
- +L’effet sur l’incontinence d’effort, qui a pu être objectivé par des mesures urodynamiques, repose essentiellement sur une stimulation de l’urètre proximal et de la musculature vésicale.
- +L’effet cliniquement démontré de Gutron sur différents troubles de l’éjaculation est attribué à une stimulation des récepteurs a-adrénergiques localisés respectivement dans le canal déférent et la région du col vésical.
-La pharmacocinétique de Gutron a été étudiée chez des volontaires sains et chez des patients souffrant d'hypotension orthostatique.
-L'absorption de Gutron administrée sous forme de comprimé ou de gouttes est rapide et presque complète. Le pic plasmatique (10 ng/ml) est atteint en 20-30 minutes après une dose de 2,5 mg.
- +La pharmacocinétique de Gutron a été étudiée chez des volontaires sains et chez des patients souffrant d’hypotension orthostatique.
- +L’absorption de Gutron administrée sous forme de comprimé ou de gouttes est rapide et presque complète. Le pic plasmatique (10 ng/ml) est atteint en 20-30 minutes après une dose de 2,5 mg.
-La midodrine est biotransformée en desglymidodrine (ST 1059), principal métabolite responsable de l'action pharmacodynamique de Gutron. Vingt minutes après la prise orale, ce métabolite est déjà présent en quantité décelable dans le plasma, où il atteint son pic (5 ng/ml) au bout d'une heure environ.
-Après injection intraveineuse ou administration per os sous forme de comprimé ou de gouttes, la demi-vie d'élimination terminale est de 3 heures en moyenne.
-Les paramètres pharmacocinétiques de l'étude menée chez des volontaires sains figurent dans le tableau suivant:
- +La midodrine est biotransformée en desglymidodrine (ST 1059), principal métabolite responsable de l’action pharmacodynamique de Gutron. Vingt minutes après la prise orale, ce métabolite est déjà présent en quantité décelable dans le plasma, où il atteint son pic (5 ng/ml) au bout d’une heure environ.
- +Après injection intraveineuse ou administration per os sous forme de comprimé ou de gouttes, la demi-vie d’élimination terminale est de 3 heures en moyenne.
- +Les paramètres pharmacocinétiques de l’étude menée chez des volontaires sains figurent dans le tableau suivant :
-Paramètres Voie d'administration
-intraveineuse orale
- gouttes comprimé
- +Paramètres Voie d’administration
- + intraveineuse orale
- + gouttes comprimé
-t½ (h) 3,1±0,5 3,0±0,4 3,0±0,5
-SCC (ng × h/ml) 28,7±6,6 25,7±6,6 25,6±6,2
- +t1/2 (h) 3,1±0,5 3,0±0,4 3,0±0,5
- +SCC (ngxh/ml) 28,7±6,6 25,7±6,6 25,6±6,2
-U 0-24 h (% de la dose) 39,8±3,8 34,4±2,6 34,4±4,5
- +U 0-24h (% de la dose) 39,8±3,8 34,4±2,6 34,4±4,5
- +V = volume de distribution
- +
-V = volume de distribution.
-On ne retrouve le Gutron dans l'urine en l'espace de 24 heures après administration que 2-3% de la dose administrée sous forme inchangée mais 30-40% sous forme de desglymidodrine, principal métabolite actif.
-A peu près les mêmes taux de desglymidodrine ont été mesurés lors d'une étude menée chez des patients souffrant d'hypotension orthostatique,
-mais Gutron avait été administré à des doses plus élevées.
-La présence d'une insuffisance rénale freine l'élimination du métabolite actif desglymidodrine.
-Chez le dialysé, l'élimination de la desglymidodrine peut être accélérée.
- +On ne retrouve le Gutron dans l’urine en l'espace de 24 heures après administration que 2-3% de la dose administrée sous forme inchangée mais 30 - 40% sous forme de desglymidodrine, principal métabolite actif.
- +A peu près les mêmes taux de desglymidodrine ont été mesurés lors d’une étude menée chez des patients souffrant d’hypotension orthostatique, mais Gutron avait été administré à des doses plus élevées.
- +La présence d’une insuffisance rénale freine l’élimination du métabolite actif desglymidodrine.
- +Chez le dialysé, l’élimination de la desglymidodrine peut être accélérée.
-La midodrine n'a pas montré d'effets mutagènes.
- +La midodrine n’a pas montré d’effets mutagènes.
-Aucune étude de carcinogénicité n'est disponible.
- +Aucune étude de carcinogénicité n’est disponible.
-Des doses env. 50 fois supérieures à la dose thérapeutique maximale sur la base de mg/kg ont entraîné un taux d'avortement majoré chez des rats et des lapins.
- +Des doses env. 50 fois supérieures à la dose thérapeutique maximale sur la base de mg/kg ont entraîné un taux d’avortement majoré chez des rats et des lapins.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver Gutron dans son emballage d'origine pour le protéger de la lumière. Conserver à température ambiante (15-25 °C). Conserver hors de la portée des enfants.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur le récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver Gutron dans son emballage d’origine pour le protéger de la lumière. Conserver à température ambiante (15 - 25 °C). Conserver hors de la portée des enfants.
-44976, 44977 (Swissmedic).
- +44976, 44977 (Swissmedic)
-Gutron comprimés 2,5 mg: 20 et 50 comprimés [B]
-Gutron gouttes 1%: flacons compte-gouttes de 10 ml et 20 ml [B]
- +Gutron comprimés 2,5 mg : 20 et 50 comprimés [B]
- +Gutron gouttes 1% : flacons compte-gouttes de 10 ml et 20 ml [B]
-Takeda Pharma AG, 8152 Opfikon.
- +CPS Cito Pharma Services GmbH, 8610 Uster
-Juin 2015.
- +Juin 2015
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