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Accueil - Information professionnelle sur Dormicum 15 mg - Changements - 02.11.2019
164 Changements de l'information professionelle Dormicum 15 mg
  • -Comprimés pelliculés de Dormicum à 7,5 mg: excipiens pro compresso obducto cum lactoso.
  • +Comprimés pelliculés de Dormicum à 7,5 mg: excipiens pro compresso obducto cum lactoso.
  • -Indications/Possibilités d’emploi
  • +Indications/possibilités d’emploi
  • -Posologie/Mode d’emploi
  • +Posologie/mode d’emploi
  • -Dose standard: 7,5-15 mg constituent la dose habituelle chez l'adulte. La formulation en comprimé pelliculé ne convient pas aux enfants.
  • +Dose standard: 7,5-15 mg constituent la dose habituelle chez ladulte. La formulation en comprimé pelliculé ne convient pas aux enfants.
  • -Chez les patients âgés et affaiblis, la dose habituelle est de 7,5 mg. L'effet sédatif étant plus prononcé chez les patients âgés, ces patients pourraient également présenter un risque accru de dépression circulatoire et respiratoire. Dormicum doit donc être utilisé avec une grande prudence chez les patients âgés et une posologie plus faible doit si nécessaire être choisie.
  • -Les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ne doivent pas être traités par Dormicum (voir «Contre-indications»). Chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, il convient d'utiliser la dose la plus faible possible et de ne pas dépasser 7,5 mg (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • -Chez les patients insuffisants rénaux sévères, Dormicum peut provoquer une sédation plus prononcée et prolongée, s'accompagnant éventuellement d'une dépression respiratoire et circulatoire cliniquement significative. Dormicum doit donc être dosé très prudemment dans cette population de patients et la dose doit être augmentée progressivement jusqu'à l'obtention de l'effet souhaité. Il convient d'utiliser la dose la plus faible possible et de ne pas dépasser 7,5 mg (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +Chez les patients âgés et affaiblis, la dose habituelle est de 7,5 mg. Leffet sédatif étant plus prononcé chez les patients âgés, ces patients pourraient également présenter un risque accru de dépression circulatoire et respiratoire. Dormicum doit donc être utilisé avec une grande prudence chez les patients âgés et une posologie plus faible doit si nécessaire être choisie.
  • +Les patients présentant une insuffisance hépatique sévère ne doivent pas être traités par Dormicum (voir «Contre-indications»). Chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, il convient dutiliser la dose la plus faible possible et de ne pas dépasser 7,5 mg (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +Chez les patients insuffisants rénaux sévères, Dormicum peut provoquer une sédation plus prononcée et prolongée, saccompagnant éventuellement dune dépression respiratoire et circulatoire cliniquement significative. Dormicum doit donc être dosé très prudemment dans cette population de patients et la dose doit être augmentée progressivement jusquà lobtention de leffet souhaité. Il convient dutiliser la dose la plus faible possible et de ne pas dépasser 7,5 mg (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • -Mode et durée d'administration (type d'utilisation)
  • -Etant donné le bref délai d'action, il convient de prendre Dormicum immédiatement avant le coucher, avec du liquide, sans le croquer.
  • -Dormicum peut être pris à toute heure de la journée à condition qu'une durée de sommeil ininterrompue d'au moins 7 à 8 heures soit ensuite garantie. Le risque d'amnésie antérograde doit être pris en considération (voir sous «Effets indésirables»).
  • -Le traitement doit toujours être instauré à la plus faible dose recommandée. La dose maximale recommandée ne doit pas être dépassée, car ceci augmenterait le risque de survenue d'effets indésirables nerveux centraux, y compris de dépression respiratoire et cardiovasculaire éventuellement cliniquement significative.
  • +Mode et durée dadministration (type dutilisation)
  • +Etant donné le bref délai daction, il convient de prendre Dormicum immédiatement avant le coucher, avec du liquide, sans le croquer.
  • +Dormicum peut être pris à toute heure de la journée à condition quune durée de sommeil ininterrompue dau moins 7 à 8 heures soit ensuite garantie. Le risque d'amnésie antérograde doit être pris en considération (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Le traitement doit toujours être instauré à la plus faible dose recommandée. La dose maximale recommandée ne doit pas être dépassée, car ceci augmenterait le risque de survenue deffets indésirables nerveux centraux, y compris de dépression respiratoire et cardiovasculaire éventuellement cliniquement significative.
  • -·Hypersensibilité aux benzodiazépines ou à l'un des excipients conformément à la composition;
  • -·Insuffisance respiratoire sévère;
  • -·Troubles du sommeil chez l'enfant et l'adolescent (1-18 ans);
  • -·Insuffisance hépatique sévère (les benzodiazépines ne sont pas indiquées pour le traitement de patients insuffisants hépatiques sévères, car elles peuvent provoquer une encéphalopathie);
  • -·Myasthénie;
  • -·Syndrome des apnées du sommeil.
  • +- Hypersensibilité aux benzodiazépines ou à lun des excipients conformément à la composition;
  • +- Insuffisance respiratoire sévère;
  • +- Troubles du sommeil chez lenfant et ladolescent (1-18 ans);
  • +- Insuffisance hépatique sévère (les benzodiazépines ne sont pas indiquées pour le traitement de patients insuffisants hépatiques sévères, car elles peuvent provoquer une encéphalopathie);
  • +- Myasthénie;
  • +- Syndrome des apnées du sommeil.
  • -L'administration réitérée de benzodiazépines à courte durée d'action pendant plusieurs semaines peut se traduire par une certaine perte des propriétés hypnotiques.
  • +Ladministration réitérée de benzodiazépines à courte durée daction pendant plusieurs semaines peut se traduire par une certaine perte des propriétés hypnotiques.
  • -Des troubles du sommeil peuvent réapparaître à l'arrêt d'un traitement par Dormicum, éventuellement même de manière plus prononcée qu'avant le début du traitement («troubles du sommeil de rebond»). Les troubles du sommeil de rebond ne sont la plupart du temps que passagers, mais ils peuvent s'accompagner d'autres réactions, telles que sautes d'humeur, anxiété et nervosité. Le risque de survenue de troubles du sommeil de rebond est plus élevé en cas d'arrêt brutal du traitement. C'est pourquoi il est recommandé de réduire lentement la posologie de Dormicum.
  • +Des troubles du sommeil peuvent réapparaître à larrêt dun traitement par Dormicum, éventuellement même de manière plus prononcée quavant le début du traitement («troubles du sommeil de rebond»). Les troubles du sommeil de rebond ne sont la plupart du temps que passagers, mais ils peuvent saccompagner dautres réactions, telles que sautes dhumeur, anxiété et nervosité. Le risque de survenue de troubles du sommeil de rebond est plus élevé en cas darrêt brutal du traitement. Cest pourquoi il est recommandé de réduire lentement la posologie de Dormicum.
  • -Dormicum peut provoquer une amnésie antérograde qui apparaît le plus souvent dans les premières heures suivant la prise du médicament. Pour diminuer le risque de survenue d'une telle amnésie, les patients doivent s'assurer de pouvoir dormir 7 à 8 heures sans interruption après la prise.
  • +Dormicum peut provoquer une amnésie antérograde qui apparaît le plus souvent dans les premières heures suivant la prise du médicament. Pour diminuer le risque de survenue dune telle amnésie, les patients doivent sassurer de pouvoir dormir 7 à 8 heures sans interruption après la prise.
  • -Lorsque la dose orale de Dormicum n'excède pas 15 mg par jour et qu'une durée de sommeil interrompue de 7 à 8 heures est garantie après la prise, aucun effet résiduel n'est observé après l'administration orale de Dormicum chez les patients normaux. Les observations cliniques faites au moyen de méthodes pharmacologiques sensibles le confirment.
  • +Lorsque la dose orale de Dormicum nexcède pas 15 mg par jour et quune durée de sommeil interrompue de 7 à 8 heures est garantie après la prise, aucun effet résiduel nest observé après ladministration orale de Dormicum chez les patients normaux. Les observations cliniques faites au moyen de méthodes pharmacologiques sensibles le confirment.
  • -La dose habituelle est de 7,5 mg pour les patients âgés et/ou affaiblis ainsi que pour les patients présentant une insuffisance respiratoire ou cardiovasculaire. La probabilité d'effets indésirables du midazolam, tels que dépression respiratoire et circulatoire, est plus élevée chez ces patients. Dormicum doit donc être utilisé avec une grande prudence dans ces groupes de patients; une posologie plus faible doit si nécessaire être choisie.
  • +La dose habituelle est de 7,5 mg pour les patients âgés et/ou affaiblis ainsi que pour les patients présentant une insuffisance respiratoire ou cardiovasculaire. La probabilité deffets indésirables du midazolam, tels que dépression respiratoire et circulatoire, est plus élevée chez ces patients. Dormicum doit donc être utilisé avec une grande prudence dans ces groupes de patients; une posologie plus faible doit si nécessaire être choisie.
  • -Dormicum doit être utilisé avec prudence dans ces groupes de patients en raison de la modification de la pharmacocinétique (allongement de la demi-vie d'élimination, augmentation de la biodisponibilité) (voir «Contre-indications» et «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Dormicum doit être utilisé avec prudence dans ces groupes de patients en raison de la modification de la pharmacocinétique (allongement de la demi-vie délimination, augmentation de la biodisponibilité) (voir «Contre-indications» et «Posologie/Mode demploi»).
  • -La probabilité d'effets indésirables est plus élevée chez les patients insuffisants rénaux sévères.
  • +La probabilité deffets indésirables est plus élevée chez les patients insuffisants rénaux sévères.
  • -Le volume de distribution du midazolam est accru chez les patients en surpoids, ce qui entraîne un allongement de la demi-vie d'élimination. Ceci nécessite le cas échéant une surveillance plus longue de ce groupe de patients après l'opération.
  • -Prise simultanée d'alcool/substances déprimant le SNC
  • -Eviter l'utilisation simultanée de Dormicum et d'alcool et/ou de substances déprimant le SNC. Une telle association potentialise l'effet clinique de Dormicum, incluant éventuellement une sédation sévère pouvant entraîner un coma ou le décès, une dépression respiratoire et/ou cardiovasculaire cliniquement significative (voir «Interactions»).
  • -Antécédents d'abus d'alcool ou de médicaments
  • -Dormicum doit être utilisé avec une très grande prudence chez les patients ayant des antécédents d'abus d'alcool, de médicaments ou de drogues.
  • -Prise simultanée de substances affectant l'activité du CYP3A4
  • -La prise simultanée de substances inhibant ou induisant le CYP3A4 altère la pharmacocinétique du midazolam. C'est pourquoi les effets cliniques et indésirables peuvent être augmentés ou diminués et la posologie du midazolam doit le cas échéant être adaptée (voir «Interactions»).
  • +Le volume de distribution du midazolam est accru chez les patients en surpoids, ce qui entraîne un allongement de la demi-vie délimination. Ceci nécessite le cas échéant une surveillance plus longue de ce groupe de patients après lopération.
  • +Prise simultanée dalcool/substances déprimant le SNC
  • +Eviter lutilisation simultanée de Dormicum et dalcool et/ou de substances déprimant le SNC. Une telle association potentialise leffet clinique de Dormicum, incluant éventuellement une sédation sévère pouvant entraîner un coma ou le décès, une dépression respiratoire et/ou cardiovasculaire cliniquement significative (voir «Interactions»).
  • +Antécédents dabus dalcool ou de médicaments
  • +Dormicum doit être utilisé avec une très grande prudence chez les patients ayant des antécédents dabus dalcool, de médicaments ou de drogues.
  • +Prise simultanée de substances affectant lactivité du CYP3A4
  • +La prise simultanée de substances inhibant ou induisant le CYP3A4 altère la pharmacocinétique du midazolam. Cest pourquoi les effets cliniques et indésirables peuvent être augmentés ou diminués et la posologie du midazolam doit le cas échéant être adaptée (voir «Interactions»).
  • -La prise de Dormicum peut entraîner une dépendance physique et psychique. Ce risque augmente en cas de prise prolongée, de posologie élevée et chez les patients prédisposés ayant des antécédents connus d'abus d'alcool et/ou de médicaments.
  • +La prise de Dormicum peut entraîner une dépendance physique et psychique. Ce risque augmente en cas de prise prolongée, de posologie élevée et chez les patients prédisposés ayant des antécédents connus dabus dalcool et/ou de médicaments.
  • -Les symptômes de sevrage peuvent comprendre céphalées, diarrhée, douleurs musculaires, anxiété extrême, tension, nervosité, confusion et irritabilité. Dans les cas sévères, des épisodes de déréalisation et de dépersonnalisation, une hyperacousie, des fourmillements et une sensation d'engourdissement des extrémités, une sensibilité à la lumière, au bruit et au toucher, des hallucinations et des convulsions peuvent aussi apparaître.
  • +Les symptômes de sevrage peuvent comprendre céphalées, diarrhée, douleurs musculaires, anxiété extrême, tension, nervosité, confusion et irritabilité. Dans les cas sévères, des épisodes de déréalisation et de dépersonnalisation, une hyperacousie, des fourmillements et une sensation dengourdissement des extrémités, une sensibilité à la lumière, au bruit et au toucher, des hallucinations et des convulsions peuvent aussi apparaître.
  • -Le midazolam est presque exclusivement métabolisé par les isoenzymes CYP3A4 et CYP3A5 du cytochrome P450. Les inhibiteurs et les inducteurs du CYP3A peuvent augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques et par conséquent les effets pharmacodynamiques du midazolam. Excepté la modulation de l'activité du CYP3A, aucun autre mécanisme d'interaction pharmacocinétique cliniquement significative avec le midazolam n'a été démontré. Aucune modification de la pharmacocinétique d'autres médicaments provoquée par le midazolam n'est connue.
  • -En cas de prise simultanée d'un inhibiteur du CYP3A4, l'action clinique du midazolam administré par voie orale peut être renforcée et prolongée, imposant l'utilisation d'une dose plus faible. Inversement, en cas de prise simultanée d'un inducteur du CYP3A4, l'action peut être affaiblie et raccourcie, imposant l'utilisation d'une dose plus élevée.
  • -En cas d'induction du CYP3A4 et d'inhibition irréversible (inhibition dite liée au mécanisme), l'effet sur la pharmacocinétique du midazolam peut persister pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines après la prise du modulateur du CYP3A4. Les médicaments antibactériens (notamment la clarithromycine, l'érythromycine, l'isoniazide), les principes actifs antirétroviraux (p.ex. les inhibiteurs de la protéase du VIH tels que le ritonavir, y compris les inhibiteurs de protéase potentialisés par le ritonavir, et la delavirdine), les inhibiteurs des canaux calciques (p.ex. le vérapamil et le diltiazem), les inhibiteurs de la tyrosine kinase (p.ex. l'imatinib, le lapatinib, l'idélalisib) ou le raloxifène, un modulateur des récepteurs des estrogènes, sont notamment des exemples d'inhibiteurs du CYP3A par leur mécanisme d'action.
  • -L'éthinylestradiol en association au norgestrel ou au gestodène n'entraîne pas de modification cliniquement significative de l'exposition au midazolam.
  • +Le midazolam est presque exclusivement métabolisé par les isoenzymes CYP3A4 et CYP3A5 du cytochrome P450. Les inhibiteurs et les inducteurs du CYP3A peuvent augmenter ou diminuer les concentrations plasmatiques et par conséquent les effets pharmacodynamiques du midazolam. Excepté la modulation de lactivité du CYP3A, aucun autre mécanisme dinteraction pharmacocinétique cliniquement significative avec le midazolam na été démontré. Aucune modification de la pharmacocinétique dautres médicaments provoquée par le midazolam nest connue.
  • +En cas de prise simultanée dun inhibiteur du CYP3A4, laction clinique du midazolam administré par voie orale peut être renforcée et prolongée, imposant lutilisation dune dose plus faible. Inversement, en cas de prise simultanée dun inducteur du CYP3A4, laction peut être affaiblie et raccourcie, imposant lutilisation dune dose plus élevée.
  • +En cas dinduction du CYP3A4 et dinhibition irréversible (inhibition dite liée au mécanisme), leffet sur la pharmacocinétique du midazolam peut persister pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines après la prise du modulateur du CYP3A4. Les médicaments antibactériens (notamment la clarithromycine, lérythromycine, lisoniazide), les principes actifs antirétroviraux (p. ex. les inhibiteurs de la protéase du VIH tels que le ritonavir, y compris les inhibiteurs de protéase potentialisés par le ritonavir, et la delavirdine), les inhibiteurs des canaux calciques (p. ex. le vérapamil et le diltiazem), les inhibiteurs de la tyrosine kinase (p. ex. limatinib, le lapatinib, lidélalisib) ou le raloxifène, un modulateur des récepteurs des estrogènes, sont notamment des exemples dinhibiteurs du CYP3A par leur mécanisme daction.
  • +Léthinylestradiol en association au norgestrel ou au gestodène nentraîne pas de modification cliniquement significative de lexposition au midazolam.
  • -Les inhibiteurs du CYP3A4 peuvent être classés en fonction de la puissance de leur effet inhibiteur et de l'importance des modifications des effets cliniques, lors de la prise orale simultanée de midazolam.
  • -Le tableau suivant fournit des exemples d'interactions pharmacocinétiques cliniques entre le midazolam administré par voie orale et des inhibiteurs du CYP3A. Les valeurs numériques indiquées représentent le rapport des paramètres mesurés en présence et en absence (témoin) du principe actif pour lequel existe l'interaction.
  • +Les inhibiteurs du CYP3A4 peuvent être classés en fonction de la puissance de leur effet inhibiteur et de limportance des modifications des effets cliniques, lors de la prise orale simultanée de midazolam.
  • +Le tableau suivant fournit des exemples dinteractions pharmacocinétiques cliniques entre le midazolam administré par voie orale et des inhibiteurs du CYP3A. Les valeurs numériques indiquées représentent le rapport des paramètres mesurés en présence et en absence (témoin) du principe actif pour lequel existe linteraction.
  • -Principe actif Effet sur le médicament Cmax (rapport des moyennes) AUC (rapport des moyennes) Demi-vie (t½), autres paramètres (rapport des moyennes) Remarques cliniques/Mécanisme d'interactions potentiel
  • -Inhibiteurs très puissants du CYP3A: multiplication par >10 de l'AUC du midazolam L'association avec des inhibiteurs très puissants du CYP3A est contre-indiquée (voir Contre-indications).
  • +Principe actif Effet sur le médicament Cmax (rapport des moyennes) AUC (rapport des moyennes) Demi-vie (t1/2), autres paramètres (rapport des moyennes) Remarques cliniques / Mécanisme dinteractions potentiel
  • +
  • +Inhibiteurs très puissants du CYP3A: multiplication par >10 de lAUC du midazolam Lassociation avec des inhibiteurs très puissants du CYP3A est contre-indiquée (voir Contre-indications).
  • -Kétoconazole voie orale, 200–400 mg une fois par jour, 400 mg deux fois par jour pendant plusieurs jours ·Sujets sains (n = 28) midazolam 3,7–4,2a 8,72–16,0a t½ ↑ 2,61–3,10a
  • -Itraconazole voie orale, 100–200 mg une fois par jour pendant plusieurs jours ·Sujets sains (n = 33) midazolam 2,5–3,4a 5,75-10,8a t½ ↑ 1,92–3,60a
  • -Voriconazole (voie orale, 400 mg deux fois par jour le premier jour, 200 mg deux fois par jour le deuxième jour) ·Sujets sains (n = 10) midazolam 3,6d (2,9–4,4)e 9,85d (8,23–11,8)e t½ ↑ 3,57d (3,09–4,12)e
  • -1'-OH-midazolam 0,89d (0,64–1,2) e 2,39d (2,09–2,73) e Rapport AUC1'-OH/AUCmid 0,24d (0,20–0,30)e
  • +Kétoconazole voie orale, 200–400 mg une fois par jour, 400 mg deux fois par jour pendant plusieurs jours - Sujets sains (n = 28) midazolam ­ 3,7–4,2a ­ 8,72–16,0a t1/2­ 2,61–3,10a
  • +Itraconazole voie orale, 100–200 mg une fois par jour pendant plusieurs jours - Sujets sains (n = 33) midazolam ­2,5–3,4a ­5,75-10,8a t1/2­ 1,92–3,60a
  • +Voriconazole (voie orale, 400 mg deux fois par jour le premier jour, 200 mg deux fois par jour le deuxième jour) - Sujets sains (n = 10) midazolam ­3,6d(2,9–4,4)e ­9,85d(8,23–11,8)e t1/2­ 3,57d (3,09–4,12)e
  • +1’-OHmidazolam « 0,89d (0,64–1,2) e ­2,39d (2,09–2,73) e Rapport AUC1-OH/AUCmid ¯ 0,24d (0,20–0,30)e
  • -Lopinavir/ritonavir (LPV/R) (voie orale, 400 mg de LPV + 100 mg de R deux fois par jour pendant 14 jours) ·Sujets sains (n = 14) midazolam CL/F 0,08d (0,07–0,11)f
  • -Saquinavir/ritonavir (SAQ/R) (voie orale, 1000 mg de SAQ /100 mg de R deux fois par jour pendant 15 jours) ·Sujets sains (n = 18) midazolam 4,3d (3,6-5,0)e 12,4d (10,8–14,4)e t½ ↑ 3,19d
  • -1'-OH-midazolam 0,15d (0,12–0,18)e 0,49d (0,43-0,56)e
  • -Données regroupées: Danoprévir/ritonavir (DAN/R) voie orale, 100–200 mg de DAN / 100 mg de R une fois par jour; 200 mg / 100 mg deux fois par jour pendant 15 jours ·Patients naïfs de traitement (n = 25) midazolam 2,6a 9,41d (8,11-10,9)e
  • -↓ 1'-OH-midazolam 0,097a 0,111a Rapport AUC1'-OH/AUCmid 0,012d (0,008–0,016)e
  • -Inhibiteurs puissants du CYP3A: multiplication par 5 à 10 de l'AUC du midazolam Recommandation posologique: l'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A et de midazolam doit être évitée. Dans la mesure du possible, d'autres médicaments moins sensibles à l'inhibition du CYP3A4 doivent être utilisés.
  • +Lopinavir/ritonavir (LPV/R) (voie orale, 400 mg de LPV + 100 mg de R deux fois par jour pendant 14 jours) - Sujets sains (n = 14) midazolam CL/F¯ 0,08d (0,07–0,11)f
  • +Saquinavir/ritonavir (SAQ/R) (voie orale, 1000 mg de SAQ / 100 mg de R deux fois par jour pendant 15 jours) - Sujets sains (n = 18) midazolam ­4,3d (3,6-5,0)e ­12,4d (10,8–14,4)e t1/2­ 3,19d
  • +1’-OHmidazolam ¯0,15d (0,12–0,18)e ¯0,49d (0,43-0,56)e
  • +Données regroupées: Danoprévir/ritonavir (DAN/R) voie orale, 100–200 mg de DAN / 100 mg de R une fois par jour; 200 mg / 100 mg deux fois par jour pendant 15 jours - Patients naïfs de traitement (n = 25) midazolam ­2,6a ­9,41d (8,11-10,9)e
  • +¯1’-OHmidazolam ¯0,097a ¯0,111a Rapport AUC1-OH/AUCmid ¯0,012d (0,008–0,016)e
  • +Inhibiteurs puissants du CYP3A: multiplication par 5 à 10 de lAUC du midazolam Recommandation posologique: ladministration concomitante dinhibiteurs puissants du CYP3A et de midazolam doit être évitée. Dans la mesure du possible, dautres médicaments moins sensibles à linhibition du CYP3A4 doivent être utilisés.
  • -Clarithromycine 500 mg deux fois par jour voie orale, 500 mg deux fois par jour pendant 7 jours ·Sujets sains (y comp. âgés >65 ans) (n = 32) midazolam 2,8a 7,00a (↑9,61a femmes) CL/F 0,14a (0.09a femmes) L'interaction a été plus prononcée chez les femmes que chez les hommes.
  • +Clarithromycine 500 mg deux fois par jour voie orale, 500 mg deux fois par jour pendant 7 jours - Sujets sains (y comp. âgés > 65 ans) (n = 32) midazolam ­2,8a ­7,00a9,61a femmes) CL/F ¯0,14a (¯0.09a femmes) Linteraction a été plus prononcée chez les femmes que chez les hommes.
  • -Idélalisib (voie orale, 150 mg deux fois par jour, administration répétée) ·Sujets sains (n = 11) midazolam 2,4d (2,00-2,83)e 5,37d (4,56–6,32)e
  • -Inhibiteurs modérés du CYP3A: multiplication par 2 à 5 de l'AUC du midazolam Les patients doivent être étroitement surveillés et une réduction de la dose de midazolam doit être envisagée
  • +Idélalisib (voie orale, 150 mg deux fois par jour, administration répétée) - Sujets sains (n = 11) midazolam ­2,4d (2,00-2,83)e ­ 5,37d (4,56–6,32)e
  • +Inhibiteurs modérés du CYP3A: multiplication par 2 à 5 de lAUC du midazolam Les patients doivent être étroitement surveillés et une réduction de la dose de midazolam doit être envisagée
  • -Fluconazole voie orale, 200 mg une fois par jour pendant 5 jours; dose unique de 400 mg; voie intraveineuse 400 mg pendant 60 min. ·Sujets sains midazolam 1,7–2,3a 3,44-3,73a t½ ↑ 2,10-2-23a Inhibition modérée du CYP3A. Le fluconazole renforce l’action pharmacodynamique du midazolam après administration orale et après administration i.v., sans différence entre les voies d’administration.
  • -1'-OH-midazolam 0,81–0,90b 1,50–1,56b Rapport AUC1'-OH/AUCmid 0,436–0,462b
  • -Posaconazole voie orale, 50–400 mg une fois par jour pendant 7 à 8 jours ·Sujets sains (n = 57) midazolam 2,0–2,7d 3,04-6,00d t½ ↑ 1,66–2,63 a
  • +Fluconazole voie orale, 200 mg une fois par jour pendant 5 jours; dose unique de 400 mg; voie intraveineuse 400 mg pendant 60 min. Sujets sains midazolam ­1,7–2,3a ­3,44-3,73a t1/2­ 2,10-2-23a Inhibition modérée du CYP3A. Le fluconazole renforce l’action pharmacodynamique du midazolam après administration orale et après administration i.v., sans différence entre les voies d’administration.
  • +1’-OHmidazolam « 0,81–0,90b ­1,50–1,56b Rapport AUC1-OH/AUCmid ¯0,436–0,462b
  • +Posaconazole voie orale, 50–400 mg une fois par jour pendant 7 à 8 jours -Sujets sains (n = 57) midazolam 2,0–2,7d 3,04-6,00d t1/2 1,66–2,63 a
  • -Diltiazem (voie orale, 60 mg trois fois par jour pendant 2 jours) ·Sujets sains (n = 9) midazolam 2,0b 3,75b t½ ↑ 1,49b Inhibition modérée du CYP3A * Le diltiazem est un inhibiteur irréversible de l’activité du CYP3A dans l’intestin grêle, sans modification correspondante des concentrations d’ARNm ou de protéines du CYP3A4 dans l’intestin. Les modifications de la pharmacocinétique du midazolam après l’administration concomitante de cet inhibiteur des canaux calciques étaient associées à un effet sédatif net et prolongé. Si l’administration de midazolam s’avère indispensable, il convient de réduire d’au moins 50% la dose de midazolam en cas de traitement concomitant par le diltiazem ou le vérapamil, pour éviter un sommeil inutilement profond et des effets hypnotiques prolongés. Il convient aussi de noter que le diltiazem et le vérapamil augmentent la demi-vie d’élimination du midazolam, ce qui peut entraîner un effet plus prolongé, indépendamment de la dose. Le diltiazem et le vérapamil étant des inhibiteurs du CYP3A par leur mécanisme d’action, l’effet inhibiteur ne régresse que lentement après l’interruption du traitement par le diltiazem ou le vérapamil.
  • -Vérapamil (voie orale, 80 mg trois fois par jour pendant 2 jours) ·Sujets sains (n = 9) midazolam 2,0b 2,92b t½ ↑ 1,41b
  • +Diltiazem (voie orale, 60 mg trois fois par jour pendant 2 jours) -Sujets sains (n = 9) midazolam 2,0b 3,75b t1/2­ 1,49b Inhibition modérée du CYP3A * Le diltiazem est un inhibiteur irréversible de l’activité du CYP3A dans l’intestin grêle, sans modification correspondante des concentrations d’ARNm ou de protéines du CYP3A4 dans l’intestin. Les modifications de la pharmacocinétique du midazolam après l’administration concomitante de cet inhibiteur des canaux calciques étaient associées à un effet sédatif net et prolongé. Si l’administration de midazolam s’avère indispensable, il convient de réduire d’au moins 50% la dose de midazolam en cas de traitement concomitant par le diltiazem ou le vérapamil, pour éviter un sommeil inutilement profond et des effets hypnotiques prolongés. Il convient aussi de noter que le diltiazem et le vérapamil augmentent la demi-vie d’élimination du midazolam, ce qui peut entraîner un effet plus prolongé, indépendamment de la dose. Le diltiazem et le vérapamil étant des inhibiteurs du CYP3A par leur mécanisme d’action, l’effet inhibiteur ne régresse que lentement après l’interruption du traitement par le diltiazem ou le vérapamil.
  • +Vérapamil (voie orale, 80 mg trois fois par jour pendant 2 jours) -Sujets sains (n = 9) midazolam 2,0b 2,92b t1/2­ 1,41b
  • -Érythromycine (voie orale, 500 mg trois fois par jour) ·Sujets sains (n = 12) midazolam 2,7b 4,42b t½↑ 2,38b Inhibiteur modéré du CYP3A. L'érythromycine ne doit pas être prescrite chez les patients traités par le midazolam, ou la dose de midazolam doit être réduite de 50% à 75%.
  • -Télithromycine midazolam - 6,1kA t½ ↑ 2,5kA Inhibiteur modéré du CYP3A Les patients traités par la télithromycine, très efficace, peuvent présenter une augmentation des effets du midazolam. La télithromycine est un inhibiteur du CYP3A4. L'interaction entre la télithromycine et le CYP3A4 ressemble à celle observée avec la clarithromycine. La prise orale de midazolam avec la télithromycine doit être évitée.
  • +Érythromycine (voie orale, 500 mg trois fois par jour) -Sujets sains (n = 12) midazolam ­2,7b ­4,42b t1/2­ 2,38b Inhibiteur modéré du CYP3A. Lérythromycine ne doit pas être prescrite chez les patients traités par le midazolam, ou la dose de midazolam doit être réduite de 50% à 75%.
  • +Télithromycine midazolam - ­6,1kA t1/2­ 2,5kA Inhibiteur modéré du CYP3A Les patients traités par la télithromycine, très efficace, peuvent présenter une augmentation des effets du midazolam.  La télithromycine est un inhibiteur du CYP3A4. Linteraction entre la télithromycine et le CYP3A4 ressemble à celle observée avec la clarithromycine. La prise orale de midazolam avec la télithromycine doit être évitée.
  • -Aprépitant voie orale, 125 mg le jour 1, 80 mg une fois par jour pendant 4 jours) ·Sujets sains (n = 8) midazolam 1,94d (1,35–2,78)f (taux de C1ht) 3,30d (2,39–4,56)f t½ ↑1,96h Inhibition modérée du CYP3A Aucune interaction n'est apparue lors de l'administration de 25 mg une fois par jour pendant 4 jours.
  • -Nétupitant (voie orale, 300 mg, dose unique) ·Sujets sains (n = 10) midazolam 1,36a (1,16–1,59)e 2,26a (1,89-2,70)e t½ ↑ 1,64a Inhibition modérée du CYP3A Le nétupitant est un inhibiteur modéré du CYP3A4. À la posologie utilisée pour le traitement des nausées et des vomissements induits par la chimiothérapie, il modifie la pharmacocinétique de substrats du CYP3A4, tels que le midazolam. L'administration concomitante de nétupitant et d'autres principes actifs qui sont des substrats du CYP3A4 peut nécessiter un ajustement posologique.
  • -Inhibiteurs faibles du CYP3A: multiplication par 1,25 à <2 de l'AUC du midazolam L'administration concomitante de midazolam et d'inhibiteurs faibles du CYP3A n'entraîne généralement pas de modification significative des effets cliniques du midazolam
  • +Aprépitant voie orale, 125 mg le jour 1, 80 mg une fois par jour pendant 4 jours) Sujets sains (n = 8) midazolam &#xF0AD;1,94d (1,35–2,78)f (taux de C1ht) &#xF0AD;3,30d (2,39–4,56)f t1/2 &#xF0AD;1,96h Inhibition modérée du CYP3A Aucune interaction nest apparue lors de ladministration de 25 mg une fois par jour pendant 4 jours.
  • +Nétupitant (voie orale, 300 mg, dose unique) -Sujets sains (n = 10) midazolam &#xF0AD;1,36a (1,16–1,59)e &#xF0AD;2,26a (1,89-2,70)e t1/2 &#xF0AD;1,64a Inhibition modérée du CYP3A * Le nétupitant est un inhibiteur modéré du CYP3A4. À la posologie utilisée pour le traitement des nausées et des vomissements induits par la chimiothérapie, il modifie la pharmacocinétique de substrats du CYP3A4, tels que le midazolam. Ladministration concomitante de nétupitant et dautres principes actifs qui sont des substrats du CYP3A4 peut nécessiter un ajustement posologique.
  • +Inhibiteurs faibles du CYP3A: multiplication par 1,25 à <2 de lAUC du midazolam Ladministration concomitante de midazolam et dinhibiteurs faibles du CYP3A nentraîne généralement pas de modification significative des effets cliniques du midazolam
  • -Bicalutamide (voie orale, 150 mg une fois par jour pendant au moins 3 mois) ·Patients atteints de cancer de la prostate au stade précoce (n = 10) midazolam 1,13d (0,84–1,51)f 1,27d (0,85-1,92)f -
  • +Bicalutamide (voie orale, 150 mg une fois par jour pendant au moins 3 mois) - Patients atteints de cancer de la prostate au stade précoce (n = 10) midazolam &#xF0AB; 1,13d (0,84–1,51)f &#xF0AD;1,27d (0,85-1,92)f -
  • -Fluvoxamine (voie orale, titration de la dose de 50 à 100 mg deux fois par jour, puis 100 mg deux fois par jour pendant 6 jours) ·Sujets sains (n = 10) midazolam 1,63a 1,66a t½ ↑ 2,48a
  • +Fluvoxamine (voie orale, titration de la dose de 50 à 100 mg deux fois par jour, puis 100 mg deux fois par jour pendant 6 jours) -Sujets sains (n = 10) midazolam &#xF0AD;1,63a &#xF0AD;1,66a t1/2 &#xF0AD;2,48a
  • -Évérolimus (voie orale, 10 mg une fois par jour pendant 5 jours) ·Sujets sains (n = 23) midazolam 1,25d (1,14–1,37)e 1,30d (1,22-1,39)e t½ ↔ 1,03d (0,97–1,10)e
  • -1'-OH-midazolam 1,20d (1,07-1,34)e 1,25d (1,16-1,34)e Rapport AUC1'-OH/AUCmid 0,96d (0,89–1,03)e
  • -Inhibiteurs de la protéase du virus de l'hépatite C (VHC)
  • -Siméprévir (voie orale, 150 mg une fois par jour pendant 10 jours) ·Sujets sains (n = aucune indication) midazolam 1,31d (1,19-1,45)e 1,45d (1,35-1,57)e -
  • +Évérolimus (voie orale, 10 mg une fois par jour pendant 5 jours) -Sujets sains (n = 23) midazolam &#xF0AD; 1,25d (1,14–1,37)e &#xF0AD;1,30d (1,22-1,39)e t1/2&#xF0AB; 1,03d (0,97–1,10)e
  • +1’-OHmidazolam &#xF0AD;1,20d (1,07-1,34)e &#xF0AD;1,25d (1,16-1,34)e Rapport AUC1-OH/AUCmid 0,96d (0,89–1,03)e
  • +Inhibiteurs de la protéase du virus de lhépatite C (VHC)
  • +Siméprévir (voie orale, 150 mg une fois par jour pendant 10 jours) -Sujets sains (n = aucune indication) midazolam &#xF0AD;1,31d(1,19-1,45)e &#xF0AD;1,45d (1,35-1,57)e -
  • -Jus de pamplemousse (voie orale, 2× 200 ml de jus de pamplemousse, dose unique) ·Sujets sains (n = 8) midazolam 1,56b 1,52b t½ ↔ 0,979b
  • -1'-OH-midazolam 1,0b 1,30b Rapport AUC1'-OH/AUCmid 0,805b
  • -Extrait de racine d'Echinacea-purpurea (voie orale, 400 mg quatre fois par jour pendant 8 jours) ·Sujets sains (n = 12) midazolam (dose unique de 5 mg) 1,04d (0,89-1,2)e 1,00d (0,81-1,20)e t½ ↔ 0,81d (0,58–1,05)e
  • -1'-OH-midazolam Fraction de la dose dans les urines sous forme de 1'-OH-mid 1,01d (0,90–1,13)e
  • -Berbérine (voie orale, 300 mg trois fois par jour pendant 2 semaines) ·Sujets sains (n = 17) midazolam 1,38d (1,07–1,77)e 1,40d (1,17-1,68)e t½ ↔1,19d (1,01-1,39)e
  • -1'-OH-midazolam Mid/1'-OH-mid après 1 h dans le plasma 1,59d (1,30–1,94)e
  • +Jus de pamplemousse (voie orale, 2 x 200 ml de jus de pamplemousse, dose unique) -Sujets sains (n = 8) midazolam &#xF0AD;1,56b &#xF0AD;1,52b t1/2 &#xF0AB;0,979b
  • +1’-OHmidazolam &#xF0AB;1,0b &#xF0AD;1,30b Rapport AUC1-OH/AUCmid &#xF0AF;0,805b
  • +Extrait de racine dEchinacea-purpurea (voie orale, 400 mg quatre fois par jour pendant 8 jours) -Sujets sains (n = 12) &#xF0AB;&#xF020;midazolam (dose unique 5 mg) &#xF0AB;1,04d (0,89-1,2)e &#xF0AB;1,00d (0,81-1,20)e t1/2 &#xF0AB;0,81d (0,58–1,05)e
  • +1’-OHmidazolam Fraction de la dose dans les urines sous forme de 1’-OHmid &#xF0AB;1,01d (0,90–1,13)e
  • +Berbérine (voie orale, 300 mg trois fois par jour pendant 2 semaines) -Sujets sains (n = 17) midazolam &#xF0AD;1,38d (1,07–1,77)e &#xF0AD;1,40d (1,17-1,68)e t1/2 &#xF0AB;1,19d (1,01-1,39)e
  • +1’-OHmidazolam Mid/1’-OHmid après 1 h dans le plasma 1,59d (1,30–1,94)e
  • -Cimétidine (voie orale, 400 mg, 3 doses espacées de 12 heures) ·Sujets sains (n = 8) midazolam - 1,35a t½ ↔ 1,07a
  • -Ranitidine (voie orale, 150 mg, 3 doses espacées de 12 heures) ·Sujets sains (n = 8) midazolam - 1,23a t½ ↑ 1,21a
  • +Cimétidine (voie orale, 400 mg, 3 doses espacées de 12 heures) -Sujets sains (n = 8) midazolam - &#xF0AD;1,35a t1/2 «1,07a
  • +Ranitidine (voie orale, 150 mg, 3 doses espacées de 12 heures) -Sujets sains (n = 8) midazolam - &#xF0AD;1,23a t1/2 &#xF0AD;1,21a
  • -Cyclosporine (voie orale, dose moyenne de 203 ± 49 mg/jour, traitement au long cours) ·20 patients (en moyenne 23 mois après la transplantation); Groupe comparatif 20 patients correspondants traités par le tacrolimus (en moyenne 23 mois après la transplantation) midazolam 1,15a 1,37a
  • +Cyclosporine (voie orale, dose moyenne de 203 ± 49 mg/jour, traitement au long cours) 20 patients (en moyenne 23 mois après la transplantation); Groupe comparatif 20 patients correspondants traités par le tacrolimus (en moyenne 23 mois après la transplantation) midazolam &#xF0AD;1,15a &#xF0AD;1,37a
  • -Roxithromycine (voie orale, 300 mg une fois par jour pendant 6 jours) ·Sujets sains (n = 10) midazolam 1,37b 1,46b t½ ↑ 1,29b
  • -Médicaments destinés au traitement des mictions fréquentes et de l'incontinence
  • -Propivérine (voie orale, 15 mg deux fois par jour pendant 7 jours) ·Sujets sains (n = 16) midazolam 1,35d 1,46d (1,36-1,57)e t½ ↔ 1,01d
  • +Roxithromycine (voie orale, 300 mg une fois par jour pendant 6 jours) -Sujets sains (n = 10) midazolam &#xF0AD;1,37b &#xF0AD;1,46b t1/2 &#xF0AD;1,29b
  • +Médicaments destinés au traitement des mictions fréquentes et de lincontinence
  • +Propivérine (voie orale, 15 mg deux fois par jour pendant 7 jours) -Sujets sains (n = 16) midazolam &#xF0AD;1,35d &#xF0AD;1,46d (1,36-1,57)e t1/2 &#xF0AB;1,01d
  • -1'-OH: 1'-OH-midazolam; AUC: aire sous la courbe de concentration en fonction du temps; CL: clairance; CL/F: clairance orale; Cmax: concentration maximale; mid: midazolam; t1/2: demi-vie;
  • +1-OH: 1-OH-midazolam; AUC: aire sous la courbe de concentration en fonction du temps; CL: clairance; CL/F: clairance orale; Cmax: concentration maximale; mid: midazolam; t1/2: demi-vie;
  • -d Rapport des moyennes géométriques (GMR; Geometric Mean Ratio) ou moyennes géométriques des moindres carrés (GLS; Geometric Least Square) (IC à 90%)
  • -e IC à 90%
  • -f IC à 95%
  • -g Rapport des médianes
  • -h Rapport des moyennes harmoniques
  • -Inducteurs du CYP3A4
  • -Les patients traités simultanément par le midazolam et des inducteurs du CYP3A4 peuvent nécessiter des doses plus élevées de midazolam, notamment en cas d'association avec un inducteur puissant du CYP3A4.
  • -Le tableau suivant fournit des exemples cliniques d'interactions pharmacocinétiques entre le midazolam administré par voie orale et des inducteurs du CYP3A. Les valeurs numériques indiquées représentent le rapport des paramètres mesurés en présence et en absence (témoin) du principe actif pour lequel existe l'interaction.
  • +d Rapport des moyennes géométriques (GMR; Geometric Mean Ratio) ou moyennes géométriques des moindres carrés (GLS; Geometric Least Square) (IC à 90%)e IC à 90%f IC à 95%g Rapport des médianesh Rapport des moyennes harmoniques
  • +Inducteurs du CYP3A4Les patients traités simultanément par le midazolam et des inducteurs du CYP3A4 peuvent nécessiter des doses plus élevées de midazolam, notamment en cas dassociation avec un inducteur puissant du CYP3A4.
  • +Le tableau suivant fournit des exemples cliniques dinteractions pharmacocinétiques entre le midazolam administré par voie orale et des inducteurs du CYP3A. Les valeurs numériques indiquées représentent le rapport des paramètres mesurés en présence et en absence (témoin) du principe actif pour lequel existe linteraction.
  • -Principe actif Action sur le médicament Cmax (rapport des moyennes) AUC (rapport des moyennes) Demi-vie (t½), autres paramètres (rapport des moyennes) Remarques cliniques/Mécanisme d'action potentiel
  • -Inducteurs puissants du CYP3A: diminution de ≥80% de l'AUC du midazolam Recommandation posologique: l'efficacité du midazolam est probablement réduite. Envisagez d'augmenter la dose de midazolam pour obtenir l'action souhaitée.
  • +Principe actif Action sur le médicament Cmax (rapport des moyennes) AUC (rapport des moyennes) Demi-vie (t1/2), autres paramètres (rapport des moyennes) Remarques cliniques/ Mécanisme daction potentiel
  • +Inducteurs puissants du CYP3A: diminution de ≥80% de lAUC du midazolam Recommandation posologique: lefficacité du midazolam est probablement réduite. Envisagez daugmenter la dose de midazolam pour obtenir laction souhaitée.
  • -Enzalutamide (voie orale, 160 mg, deux fois par jour) midazolam (NS) − ↓ 0,14NS
  • +Enzalutamide (voie orale, 160 mg, deux fois par jour) &#xF0AF;&#xF020;midazolam (NS) &#xF02D; &#xF0AF;0,14NS
  • -Rifampicine voie orale, 600 mg une fois par jour ou pendant 5-7 jours ·Sujets sains, (n=62) midazolam 0,064-0,10a 0,0412-0,103a t½ ↓ 0,419-0,429a CL/F 22,1a Un effet significatif du sexe a été observé concernant l'induction de la clairance du midazolam oral, avec un effet plus important chez les hommes que chez les femmes.
  • +Rifampicine voie orale, 600 mg une fois par jour ou pendant 5-7 jours -Sujets sains, (n=62) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,064-0,10a &#xF0AF;0,0412-0,103a t1/2 &#xF0AF; 0,419-0,429a CL/F &#xF0AD; 22,1a Un effet significatif du sexe a été observé concernant linduction de la clairance du midazolam oral, avec un effet plus important chez les hommes que chez les femmes.
  • -Carbamazépine (CBZ) et phénytoïne (PHT) (voie orale, CBZ (700-900 mg deux fois par jour) et PHT (150-300 mg deux fois par jour, les deux médicaments administrés séparément ou ensemble) ·Patients épileptiques (n=6) sous traitement concomitant par CBZ ou PHT par comparaison avec 7 sujets témoins sains. midazolam 0,07b 0,057b t½ ↓ 0,42b
  • +Carbamazépine (CBZ) et phénytoïne (PHT) (voie orale, CBZ (700-900 mg deux fois par jour) et PHT (150-300 mg deux fois par jour, les deux médicaments administrés séparément ou ensemble) -Patients épileptiques (n=6) sous traitement concomitant par CBZ ou PHT par comparaison avec 7 sujets témoins sains. &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,07b &#xF0AF;0,057b t1/2&#xF0AF; 0,42b
  • -Mitotane (voie orale, différentes doses (3,5 g trois fois par jour; 1,0 g trois fois par jour arrêté; 0,5 g trois fois par jour.; 1-2× 0.5 g un jour sur deux)) ·Patients atteints de carcinome cortico-surrénalien, n=4 ·Autres patients sans mitotane, n=7 (groupe témoin) midazolam - 0,055a - Le mitotane a un effet inducteur du CYP3A4 extrêmement puissant qui dure même pendant des mois après l'arrêt du traitement par mitotane.
  • -1'-OH-midazolam 11,7a
  • -Inducteurs modérés du CYP3A: diminution de 50% à <80% de l'AUC du midazolam L'activité thérapeutique réduite du midazolam doit être prise en considération pendant un traitement au long cours par des inducteurs modérés du CYP3A
  • +Mitotane (voie orale, différentes doses (3,5 g trois fois par jour; 1,0 g trois fois par jour arrêté; 0,5 g trois fois par jour.; 1-2 x 0.5 g un jour sur deux)) -Patients atteints de carcinome cortico-surrénalien, n=4 - Autres patients sans mitotane, n=7 (groupe témoin) &#xF0AF;&#xF020;midazolam - &#xF0AF;0,055a - Le mitotane a un effet inducteur du CYP3A4 extrêmement puissant qui dure même pendant des mois après larrêt du traitement par mitotane.
  • +1’-OHmidazolam &#xF0AD;11,7a
  • +Inducteurs modérés du CYP3A: diminution de &#xF0B3;50% à <80% de lAUC du midazolam L’activité thérapeutique réduite du midazolam doit être prise en considération pendant un traitement au long cours par des inducteurs modérés du CYP3A
  • -Millepertuis ·Voie orale, 300 mg trois fois par jour pendant 2 semaines ·Sujets sains (n=12) midazolam 0,57a 0.48a CL/F 2,09a La composition de l'extrait de millepertuis disponible dans le commerce varie considérablement, ce qui peut entraîner une grande incertitude concernant l'importance et la courbe en fonction du temps de l'interaction médicamenteuse avec ce complément alimentaire.
  • -1'-OH-midazolam Fraction de la dose dans les urines sous forme de 1'OH-mid 0,93a
  • -Inducteurs faibles du CYP3A: diminution de 20% à <50% de l'AUC du midazolam L'efficacité du midazolam peut être réduite. Envisagez d'augmenter la dose de midazolam pour obtenir l'action souhaitée.
  • +Millepertuis Voie orale, 300 mg trois fois par jour pendant 2 semaines -Sujets sains (n=12) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,57a 0.48a CL/F ­ 2,09a La composition de lextrait de millepertuis disponible dans le commerce varie considérablement, ce qui peut entraîner une grande incertitude concernant limportance et la courbe en fonction du temps de linteraction médicamenteuse avec ce complément alimentaire.
  • +1’-OHmidazolam Fraction de la dose dans les urines sous forme de 1OH-mid « 0,93a
  • +Inducteurs faibles du CYP3A: diminution de ³20% à <50% de lAUC du midazolam Lefficacité du midazolam peut être réduite. Envisagez daugmenter la dose de midazolam pour obtenir laction souhaitée.
  • -Vémurafénib (voie orale, 960 mg deux fois par jour pendant 15 jours) ·Sujets sains (n=20) midazolam 1'-OH-midazolam 0,65d (0,54-0,78)e 1,23d (1,04-1,44)e 0,61d (0,50-0,74)e 1,34d (1,17-1,54)e Rapport AUCmid/AUC1'OH 2,22d (1,86-2,65)e
  • +Vémurafénib [ (voie orale, 960 mg deux fois par jour pendant 15 jours) -Sujets sains (n=20) &#xF0AF;&#xF020;midazolam 1’-OHmidazolam &#xF0AF;0,65d (0,54-0,78)e &#xF0AD;1,23d (1,04-1,44)e ¯0,61d (0,50-0,74)e &#xF0AD;1,34d (1,17-1,54)e Rapport AUCmid/AUC1OH &#xF0AD; 2,22d (1,86-2,65)e
  • -Ticagrélor (voie orale, 180 mg deux fois par jour pendant 6 jours; 400 mg une fois par jour pendant 6 jours) ·Sujets sains (n=52) midazolam 0,73-0,76d 0,68-0,70d t½ ↔ 0,898-1,06c CL/F 1,39-1,46c
  • -1'-OH-midazolam 4-OH-midazolam 0,90-1,02d 0,60-0,65d 0,91-1,00d 0,53-0,58d Rapport AUC1'OH/AUCmid 1,18-1,48c Rapport AUC4'OH/AUCmid 0,786-0,815c
  • +Ticagrélor (voie orale, 180 mg deux fois par jour pendant 6 jours; 400 mg une fois par jour pendant 6 jours) -Sujets sains (n=52) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,73-0,76d &#xF0AF; 0,68-0,70d t1/2 « 0,898-1,06c CL/F &#xF0AD; 1,39-1,46c
  • +1’-OHmidazolam 4-OHmidazolam &#xF0AB;0,90-1,02d &#xF0AF;0,60-0,65d « 0,91-1,00d &#xF0AF;0,53-0,58d Rapport AUC1OH/AUCmid « 1,18-1,48c Rapport AUC4OH/AUCmid &#xF0AB; 0,786-0,815c
  • -Clobazam (voie orale, 40 mg une fois par jour pendant 15 jours) ·Sujets sains (n=18) midazolam 0,76d (0,67-0,88)e 0,73d (0,65-0,80)e t½ ↔ 0,878a
  • -1'-OH-midazolam 2,32d (1,91-2,82)e 4,32d (3,78-4,94)e Rapport AUC1'OH/AUCmid 5,51a
  • +Clobazam (voie orale, 40 mg une fois par jour pendant 15 jours) -Sujets sains (n=18) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,76d (0,67-0,88)e ¯0,73d (0,65-0,80)e t1/2 &#xF0AB; 0,878a
  • +1’-OHmidazolam &#xF0AD;2,32d (1,91-2,82)e &#xF0AD;4,32d (3,78-4,94)e Rapport AUC1OH/AUCmid &#xF0AD; 5,51a
  • -Quercétine (voie orale, 500 mg une fois par jour pendant 13 jours) ·Sujets sains (n=18) midazolam 1,2a 0,781a t½ ↓ 0,75a
  • -Panax Ginseng (voie orale, 500 mg (5% de ginsénosides) deux fois par jour pendant 28 jours) ·Sujets sains (n=12) midazolam 0,74d (0,56-0,93)e 0,66d (0,55-0,78)e t½ ↓ 0,71d (0,53-0,90)e CL/F1,51d (1,17-1,86)e
  • +Quercétine (voie orale, 500 mg une fois par jour pendant 13 jours) -Sujets sains (n=18) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AD;1,2a &#xF0AF;0,781a t1/2 &#xF0AF; 0,75a
  • +Panax Ginseng (voie orale, 500 mg (5% de ginsénosides) deux fois par jour pendant 28 jours) -Sujets sains (n=12) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF0AF;0,74d (0,56-0,93)e &#xF0AF;0,66d (0,55-0,78)e t1/2 &#xF0AF; 0,71d (0,53-0,90)e CL/F&#xF0AD;1,51d (1,17-1,86)e
  • -Éfavirenz (voie orale, 400 mg, dose unique) ·Sujets sains (n=12) midazolam − ↓ 0,591d CL/F 1,70d
  • -1'-OH-midazolam Rapport AUC1'OH/AUCmid 1,64d
  • +Éfavirenz (voie orale, 400 mg, dose unique) -Sujets sains (n=12) &#xF0AF;&#xF020;midazolam &#xF02D; ¯0,591d CL/F ­ 1,70d
  • +1’-OHmidazolam Rapport AUC1OH/AUCmid &#xF0AD; 1,64d
  • -1'-OH: 1'-OH-midazolam; 4'-OH: 4'-OH-midazolam; AUC: aire sous la courbe de concentration en fonction du temps; CL: clairance; CL/F: clairance orale; Cmax: concentration maximale; mid: midazolam; t1/2: demi-vie;
  • -NS Non spécifié
  • +1-OH: 1-OH-midazolam; 4-OH: 4-OH-midazolam; AUC: aire sous la courbe de concentration en fonction du temps; CL: clairance; CL/F: clairance orale; Cmax: concentration maximale; mid: midazolam; t1/2: demi-vie; NS Non spécifié
  • -c Moyenne géométrique
  • -d Rapport des moyennes géométriques (GMR; Geometric Mean Ratio) ou moyennes géométriques des moindres carrés (GLS; Geometric Least Square) (IC à 90%)
  • +c Moyenne géométrique dRapport des moyennes géométriques (GMR; Geometric Mean Ratio) ou moyennes géométriques des moindres carrés (GLS; Geometric Least Square) (IC à 90%)
  • -En toute logique, la prise simultanée de midazolam et d'autres sédatifs/hypnotiques, y compris d'alcool, potentialise l'effet sédatif et hypnotique. Les opiacés/opioïdes (utilisés comme analgésiques, antitussifs ou en traitement substitutif), les antipsychotiques, d'autres benzodiazépines utilisées comme anxiolytiques ou hypnotiques, les barbituriques, le propofol, la kétamine, l'étomidate en sont des exemples; en outre, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques, antiépileptiques et antihypertenseurs à action centrale. Cette potentialisation de l'action peut éventuellement être mise à profit sur le plan thérapeutique. Il faut particulièrement tenir compte de cette accentuation des effets chez les patients à risque. Dans des cas isolés, la potentialisation réciproque de l'alcool et de Dormicum peut provoquer des réactions imprévisibles.
  • +En toute logique, la prise simultanée de midazolam et dautres sédatifs/hypnotiques, y compris dalcool, potentialise leffet sédatif et hypnotique. Les opiacés/opioïdes (utilisés comme analgésiques, antitussifs ou en traitement substitutif), les antipsychotiques, dautres benzodiazépines utilisées comme anxiolytiques ou hypnotiques, les barbituriques, le propofol, la kétamine, létomidate en sont des exemples; en outre, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques, antiépileptiques et antihypertenseurs à action centrale. Cette potentialisation de laction peut éventuellement être mise à profit sur le plan thérapeutique. Il faut particulièrement tenir compte de cette accentuation des effets chez les patients à risque. Dans des cas isolés, la potentialisation réciproque de lalcool et de Dormicum peut provoquer des réactions imprévisibles.
  • -Une accentuation des effets indésirables tels qu'une sédation et une dépression cardio-respiratoire peut également survenir lors de l'association de midazolam et de toute substance déprimant le système nerveux central, dont l'alcool. Les patients traités par le midazolam doivent éviter de consommer de l'alcool (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Voir «Surdosage» pour les mises en garde concernant d'autres substances déprimant le système nerveux central, dont l'alcool.
  • -Les médicaments renforçant l'éveil et la capacité mémorielle, tels que l'inhibiteur de l'AchE physostigmine, peuvent annuler les effets hypnotiques du midazolam. De la même manière, l'administration de caféine a partiellement annulé l'effet sédatif du midazolam à une dose de 250 mg.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Une accentuation des effets indésirables tels quune sédation et une dépression cardio-respiratoire peut également survenir lors de lassociation de midazolam et de toute substance déprimant le système nerveux central, dont lalcool. Les patients traités par le midazolam doivent éviter de consommer de lalcool (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Voir «Surdosage» pour les mises en garde concernant dautres substances déprimant le système nerveux central, dont lalcool.
  • +Les médicaments renforçant léveil et la capacité mémorielle, tels que linhibiteur de lAchE physostigmine, peuvent annuler les effets hypnotiques du midazolam. De la même manière, ladministration de caféine a partiellement annulé leffet sédatif du midazolam à une dose de 250 mg.
  • +Grossesse, allaitement
  • -La prudence est de rigueur lors de la prise de benzodiazépines pendant le dernier trimestre de la grossesse ou à de fortes doses pendant l'accouchement, étant donné qu'il peut se produire, chez le fœtus, des irrégularités de la fréquence cardiaque et une hypotension, et, selon les circonstances, chez le nouveau-né, une moindre envie de téter, une dépression respiratoire, une baisse d'activité, une diminution de la tonicité musculaire («floppy infant syndrome») ainsi que des symptômes de sevrage et une hypothermie.
  • -Un risque accru de malformations congénitales associé à l'utilisation de benzodiazépines pendant le premier trimestre de la grossesse est suspecté.
  • +La prudence est de rigueur lors de la prise de benzodiazépines pendant le dernier trimestre de la grossesse ou à de fortes doses pendant laccouchement, étant donné quil peut se produire, chez le fœtus, des irrégularités de la fréquence cardiaque et une hypotension, et, selon les circonstances, chez le nouveau-né, une moindre envie de téter, une dépression respiratoire, une baisse dactivité, une diminution de la tonicité musculaire («floppy infant syndrome») ainsi que des symptômes de sevrage et une hypothermie.
  • +Un risque accru de malformations congénitales associé à lutilisation de benzodiazépines pendant le premier trimestre de la grossesse est suspecté.
  • -Dormicum a une forte influence sur l'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines.
  • -Les patients doivent être invités à ne pas conduire de véhicule et à ne pas commander de machines aussi longtemps qu'ils ne disposent pas de leur pleine faculté d'attention et de réactions. Le médecin traitant doit décider quand le patient peut reprendre ces activités.
  • -Une baisse de la vigilance est plus probable en cas de manque de sommeil ou de consommation d'alcool (voir «Interactions»).
  • +Dormicum a une forte influence sur laptitude à la conduite ou à lutilisation de machines.
  • +Les patients doivent être invités à ne pas conduire de véhicule et à ne pas commander de machines aussi longtemps quils ne disposent pas de leur pleine faculté dattention et de réactions. Le médecin traitant doit décider quand le patient peut reprendre ces activités.
  • +Une baisse de la vigilance est plus probable en cas de manque de sommeil ou de consommation dalcool (voir «Interactions»).
  • -De manière générale, il y a lieu de s'attendre à une fatigue lors du traitement par le midazolam: ce symptôme survient surtout au début du traitement et disparaît normalement lors de la poursuite de l'administration.
  • +De manière générale, il y a lieu de sattendre à une fatigue lors du traitement par le midazolam: ce symptôme survient surtout au début du traitement et disparaît normalement lors de la poursuite de ladministration.
  • -Réactions d'hypersensibilité, angiœdème.
  • +Réactions dhypersensibilité, angiœdème.
  • -Etat confusionnel, désorientation, fluctuations de l'humeur et instabilité émotionnelle. Ces manifestations surviennent surtout au début du traitement et disparaissent généralement lors de la poursuite de l'administration.
  • +Etat confusionnel, désorientation, fluctuations de lhumeur et instabilité émotionnelle. Ces manifestations surviennent surtout au début du traitement et disparaissent généralement lors de la poursuite de ladministration.
  • -Réactions paradoxales telles qu'inquiétude, agitation, hyperactivité, nervosité, anxiété, agressivité, accès de colère, cauchemars, rêves anormaux, hallucinations, euphorie, comportement inapproprié ou autres troubles du comportement. Le médicament doit être arrêté si de telles réactions paradoxales surviennent. La probabilité de telles réactions est plus élevée chez les patients âgés.
  • -Dépendance: l'utilisation de midazolam – même à doses thérapeutiques – peut entraîner le développement d'une dépendance physique après une administration prolongée. Un arrêt brutal du médicament peut s'accompagner de manifestations de sevrage ou de phénomènes de rebond, tels qu'insomnie de rebond, sautes d'humeur, anxiété, nervosité pouvant aller jusqu'à des convulsions de sevrage. Une dépendance psychique peut se produire. Un abus peut avoir lieu dans le cadre d'une polytoxicomanie.
  • +Réactions paradoxales telles quinquiétude, agitation, hyperactivité, nervosité, anxiété, agressivité, accès de colère, cauchemars, rêves anormaux, hallucinations, euphorie, comportement inapproprié ou autres troubles du comportement. Le médicament doit être arrêté si de telles réactions paradoxales surviennent. La probabilité de telles réactions est plus élevée chez les patients âgés.
  • +Dépendance: lutilisation de midazolam – même à doses thérapeutiques – peut entraîner le développement dune dépendance physique après une administration prolongée. Un arrêt brutal du médicament peut saccompagner de manifestations de sevrage ou de phénomènes de rebond, tels quinsomnie de rebond, sautes dhumeur, anxiété, nervosité pouvant aller jusquà des convulsions de sevrage. Une dépendance psychique peut se produire. Un abus peut avoir lieu dans le cadre dune polytoxicomanie.
  • -Sédation prolongée, convulsions (plus fréquemment chez les nourrissons ou nouveau-nés prématurés dont la mère a pris du midazolam pendant la grossesse), somnolence diurne, céphalées, vertiges, diminution de l'attention, ataxie, tremblements, stupeur, hyperactivité psychomotrice. Ces manifestations surviennent surtout au début du traitement et disparaissent généralement lors de la poursuite de l'administration.
  • +Sédation prolongée, convulsions (plus fréquemment chez les nourrissons ou nouveau-nés prématurés dont la mère a pris du midazolam pendant la grossesse), somnolence diurne, céphalées, vertiges, diminution de lattention, ataxie, tremblements, stupeur, hyperactivité psychomotrice. Ces manifestations surviennent surtout au début du traitement et disparaissent généralement lors de la poursuite de ladministration.
  • -Possibilité d'amnésie antérograde, même à doses thérapeutiques. Le risque augmente proportionnellement à la dose. L'effet amnésique peut éventuellement être associé à un comportement inapproprié.
  • -L'amnésie antérograde peut encore être présente à la fin de l'intervention et une durée encore plus prolongée a été rapportée dans des cas isolés.
  • +Possibilité damnésie antérograde, même à doses thérapeutiques. Le risque augmente proportionnellement à la dose. Leffet amnésique peut éventuellement être associé à un comportement inapproprié.
  • +Lamnésie antérograde peut encore être présente à la fin de lintervention et une durée encore plus prolongée a été rapportée dans des cas isolés.
  • -Diplopie. Cette manifestation survient surtout au début du traitement et disparaît généralement lors de la poursuite de l'administration.
  • +Diplopie. Cette manifestation survient surtout au début du traitement et disparaît généralement lors de la poursuite de ladministration.
  • -La probabilité de survenue d'événements potentiellement mortels est plus élevée chez les adultes de plus de 60 ans et chez les patients atteints d'une insuffisance respiratoire ou cardiaque préexistante, surtout si l'injection est trop rapide ou la dose élevée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La probabilité de survenue dévénements potentiellement mortels est plus élevée chez les adultes de plus de 60 ans et chez les patients atteints dune insuffisance respiratoire ou cardiaque préexistante, surtout si linjection est trop rapide ou la dose élevée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Réactions cutanées telles qu'urticaire, éruption cutanée, prurit.
  • +Réactions cutanées telles quurticaire, éruption cutanée, prurit.
  • -Faiblesse musculaire. Cette manifestation survient surtout au début du traitement et disparaît généralement lors de la poursuite de l'administration.
  • +Faiblesse musculaire. Cette manifestation survient surtout au début du traitement et disparaît généralement lors de la poursuite de ladministration.
  • -Les symptômes d'un surdosage de Dormicum consistent essentiellement en une accentuation de l'effet thérapeutique (obnubilation, ataxie, dysarthrie, nystagmus). Un surdosage de Dormicum met rarement le pronostic vital en jeu lorsque le médicament a été pris seul, mais peut provoquer une aréflexie, une apnée, une hypotension, une dépression cardiorespiratoire et un coma. Si un coma survient, il ne dure généralement que quelques heures, mais peut aussi être plus long et cyclique, surtout chez les patients âgés. Les effets dépresseurs respiratoires des benzodiazépines sont plus sévères chez les patients atteints d'affections respiratoires.
  • -Les benzodiazépines augmentent les effets d'autres substances déprimant le système nerveux central, dont l'alcool.
  • +Les symptômes dun surdosage de Dormicum consistent essentiellement en une accentuation de leffet thérapeutique (obnubilation, ataxie, dysarthrie, nystagmus). Un surdosage de Dormicum met rarement le pronostic vital en jeu lorsque le médicament a été pris seul, mais peut provoquer une aréflexie, une apnée, une hypotension, une dépression cardiorespiratoire et un coma. Si un coma survient, il ne dure généralement que quelques heures, mais peut aussi être plus long et cyclique, surtout chez les patients âgés. Les effets dépresseurs respiratoires des benzodiazépines sont plus sévères chez les patients atteints daffections respiratoires.
  • +Les benzodiazépines augmentent les effets dautres substances déprimant le système nerveux central, dont lalcool.
  • -Surveiller les fonctions vitales du patient et instaurer les mesures de soutien indiquées en fonction de l'état clinique du patient. Un traitement symptomatique des effets cardiorespiratoires ou nerveux centraux peut notamment s'avérer nécessaire chez les patients.
  • -Après une prise orale, il faut prévenir la poursuite de la résorption par des méthodes appropriées, p.ex. en administrant du charbon activé dans l'heure ou les deux heures suivantes. Chez les patients obnubilés, la protection des voies respiratoires est impérative lorsque du charbon activé est utilisé. En cas de prise mixte, un lavage gastrique peut être envisagé, mais non en mesure de routine.
  • -Si la dépression du SNC est sévère, il faut envisager l'administration de flumazénil (Anexate®), un antagoniste des benzodiazépines. L'administration devra toutefois se faire sous surveillance étroite. Le produit a une demi-vie courte (environ une heure), si bien que les patients recevant du flumazénil doivent être surveillés une fois que ses effets ont disparu. Le flumazénil doit être utilisé avec une grande prudence après la prise de médicaments abaissant le seuil épileptogène (p.ex. antidépresseurs tricycliques). Pour de plus amples informations sur l'utilisation correcte du flumazénil (Anexate®), consulter l'information professionnelle du produit.
  • -Propriétés/Effets
  • -Code ATC: N05CD08
  • -Mécanisme d'action
  • -Dormicum a des effets hypnotiques et sédatifs, caractérisés par leur apparition rapide et leur courte durée. D'une manière générale, le temps d'endormissement après l'ingestion de Dormicum est inférieur à 20 minutes, la durée du sommeil redevenant normale par rapport à l'âge du patient. En outre, Dormicum a des effets anxiolytiques, anticonvulsivants et myorelaxants. Il altère les fonctions psychomotrices après une administration unique et/ou répétée, mais ne provoque que des modifications hémodynamiques minimes.
  • -Chez les patients traités à la posologie adéquate, produisant une durée de sommeil appropriée, il n'a été observé aucune atteinte des performances ou de la capacité de réaction.
  • +Surveiller les fonctions vitales du patient et instaurer les mesures de soutien indiquées en fonction de létat clinique du patient. Un traitement symptomatique des effets cardiorespiratoires ou nerveux centraux peut notamment savérer nécessaire chez les patients.
  • +Après une prise orale, il faut prévenir la poursuite de la résorption par des méthodes appropriées, p.ex. en administrant du charbon activé dans lheure ou les deux heures suivantes. Chez les patients obnubilés, la protection des voies respiratoires est impérative lorsque du charbon activé est utilisé. En cas de prise mixte, un lavage gastrique peut être envisagé, mais non en mesure de routine.
  • +Si la dépression du SNC est sévère, il faut envisager ladministration de flumazénil (Anexate), un antagoniste des benzodiazépines. Ladministration devra toutefois se faire sous surveillance étroite. Le produit a une demi-vie courte (environ une heure), si bien que les patients recevant du flumazénil doivent être surveillés une fois que ses effets ont disparu. Le flumazénil doit être utilisé avec une grande prudence après la prise de médicaments abaissant le seuil épileptogène (p.ex. antidépresseurs tricycliques). Pour de plus amples informations sur lutilisation correcte du flumazénil (Anexate), consulter linformation professionnelle du produit.
  • +Propriétés/effets
  • +Code ATC N05CD08
  • +Mécanisme daction
  • +Dormicum a des effets hypnotiques et sédatifs, caractérisés par leur apparition rapide et leur courte durée. Dune manière générale, le temps dendormissement après lingestion de Dormicum est inférieur à 20 minutes, la durée du sommeil redevenant normale par rapport à lâge du patient. En outre, Dormicum a des effets anxiolytiques, anticonvulsivants et myorelaxants. Il altère les fonctions psychomotrices après une administration unique et/ou répétée, mais ne provoque que des modifications hémodynamiques minimes.
  • +Chez les patients traités à la posologie adéquate, produisant une durée de sommeil appropriée, il na été observé aucune atteinte des performances ou de la capacité de réaction.
  • -Les effets centraux des benzodiazépines sont médiés par une augmentation de la neurotransmission GABAergique au niveau de synapses inhibitrices. En présence de benzodiazépines, l'affinité du récepteur du GABA pour le neurotransmetteur est renforcée par une modulation allostérique positive, entraînant une augmentation du flux transmembranaire postsynaptique des ions chlore, due à l'augmentation de la libération de GABA. Dormicum exerce une action sédative et hypno-inductrice très rapide. Il exerce également un effet anxiolytique, anticonvulsivant et myorelaxant.
  • +Les effets centraux des benzodiazépines sont médiés par une augmentation de la neurotransmission GABAergique au niveau de synapses inhibitrices. En présence de benzodiazépines, laffinité du récepteur du GABA pour le neurotransmetteur est renforcée par une modulation allostérique positive, entraînant une augmentation du flux transmembranaire postsynaptique des ions chlore, due à laugmentation de la libération de GABA. Dormicum exerce une action sédative et hypno-inductrice très rapide. Il exerce également un effet anxiolytique, anticonvulsivant et myorelaxant.
  • -Plusieurs études cliniques contrôlées ainsi que divers essais menés en laboratoire de sommeil ont démontré que Dormicum réduit le temps d'endormissement et allonge la durée du sommeil, sans affecter quantitativement le sommeil REM. Les phases de veille sont réduites et le sommeil a un effet réparateur plus marqué.
  • +Plusieurs études cliniques contrôlées ainsi que divers essais menés en laboratoire de sommeil ont démontré que Dormicum réduit le temps dendormissement et allonge la durée du sommeil, sans affecter quantitativement le sommeil REM. Les phases de veille sont réduites et le sommeil a un effet réparateur plus marqué.
  • -La concentration plasmatique maximale de midazolam une heure après la prise d'une dose unique de 15 mg sous forme de comprimés est de 70-120 ng/ml. La prise concomitante de nourriture retarde d'une heure l'obtention de la concentration plasmatique maximale (tmax = 1,7 heure avec nourriture; tmax = 1 heure à jeun), ce qui indique que le taux d'absorption du midazolam est diminué. La demi-vie d'absorption est de 5-20 minutes.
  • +La concentration plasmatique maximale de midazolam une heure après la prise dune dose unique de 15 mg sous forme de comprimés est de 70-120 ng/ml. La prise concomitante de nourriture retarde dune heure lobtention de la concentration plasmatique maximale (tmax = 1,7 heure avec nourriture; tmax = 1 heure à jeun), ce qui indique que le taux dabsorption du midazolam est diminué. La demi-vie dabsorption est de 5-20 minutes.
  • -Le midazolam est rapidement distribué dans les tissus: après prise orale, la phase de distribution est terminée au bout de 1-2 heures. Le volume de distribution à l'état d'équilibre (steady state) est de 0,7–1,2 l/kg après administration intraveineuse. Le midazolam est lié à 96-98% aux protéines plasmatiques, en majorité à l'albumine. La substance passe lentement et en quantité négligeable dans le liquide céphalo-rachidien.
  • -Il a été prouvé que, chez l'homme, le midazolam passe lentement la barrière placentaire et qu'il parvient dans la circulation fœtale. Une demi-heure à une heure après la prise orale d'une dose de 15 mg, le rapport entre concentration sérique fœtale (sang du cordon) et concentration sérique chez la mère était de 0,6-1,0. La demi-vie d'élimination du midazolam chez le nouveau-né est de 6,3 heures environ. Dans l'organisme humain, de faibles quantités de midazolam ont également été mises en évidence dans le lait maternel. Le midazolam n'est pas un substrat pour les transporteurs de principes actifs.
  • +Le midazolam est rapidement distribué dans les tissus: après prise orale, la phase de distribution est terminée au bout de 1-2 heures. Le volume de distribution à létat déquilibre (steady state) est de 0,7–1,2 l/kg après administration intraveineuse. Le midazolam est lié à 96-98% aux protéines plasmatiques, en majorité à lalbumine. La substance passe lentement et en quantité négligeable dans le liquide céphalo-rachidien.
  • +Il a été prouvé que, chez lhomme, le midazolam passe lentement la barrière placentaire et quil parvient dans la circulation fœtale. Une demi-heure à une heure après la prise orale dune dose de 15 mg, le rapport entre concentration sérique fœtale (sang du cordon) et concentration sérique chez la mère était de 0,6-1,0. La demi-vie délimination du midazolam chez le nouveau-né est de 6,3 heures environ. Dans lorganisme humain, de faibles quantités de midazolam ont également été mises en évidence dans le lait maternel. Le midazolam nest pas un substrat pour les transporteurs de principes actifs.
  • -Le midazolam est hydroxylé par l'isoenzyme CYP3A du cytochrome P450. Les deux isoenzymes, le CYP3A4 et le CYP3A5, sont activement impliqués dans les deux principales voies du métabolisme oxydatif hépatique du midazolam. Après administration orale, le midazolam est métabolisé de manière comparable par le CYP3A intestinal et par le CYP3A hépatique.
  • -Les deux principaux métabolites oxydés sont le 1'-hydroxymidazolam (aussi appelé α-hydroxymidazolam) et le 4'-hydroxymidazolam. Le principal métabolite dans l'urine et dans le plasma est le 1'-hydroxymidazolam. La concentration plasmatique du 1'-hydroxymidazolam peut atteindre 30-50% de celle de la substance mère. Le 1'-hydroxymidazolam est pharmacologiquement actif et contribue significativement (environ 34%) à l'action du midazolam administré par voie orale.
  • +Le midazolam est hydroxylé par lisoenzyme CYP3A du cytochrome P450. Les deux isoenzymes, le CYP3A4 et le CYP3A5, sont activement impliqués dans les deux principales voies du métabolisme oxydatif hépatique du midazolam. Après administration orale, le midazolam est métabolisé de manière comparable par le CYP3A intestinal et par le CYP3A hépatique.
  • +Les deux principaux métabolites oxydés sont le 1-hydroxymidazolam (aussi appelé α-hydroxymidazolam) et le 4-hydroxymidazolam. Le principal métabolite dans lurine et dans le plasma est le 1-hydroxymidazolam. La concentration plasmatique du 1-hydroxymidazolam peut atteindre 30-50% de celle de la substance mère. Le 1-hydroxymidazolam est pharmacologiquement actif et contribue significativement (environ 34%) à laction du midazolam administré par voie orale.
  • -Chez des volontaires jeunes et sains, la demi-vie d'élimination est comprise entre une heure et demie et deux heures et demie. La demi-vie d'élimination du 1'-hydroxymidazolam est inférieure à une heure. Après administration de midazolam, les concentrations de la substance mère et du métabolite principal diminuent donc en parallèle. Moins de 1% de la dose apparaît dans l'urine sous forme de substance inchangée. 60-80% de la dose sont glucuroconjugués et éliminés dans les urines sous forme de conjugué de 1'-hydroxymidazolam.
  • -Lors de prise monoquotidienne le soir, le midazolam ne s'accumule pas. L'administration réitérée de midazolam n'entraîne pas d'induction d'enzymes métaboliques spécifiques.
  • +Chez des volontaires jeunes et sains, la demi-vie délimination est comprise entre une heure et demie et deux heures et demie. La demi-vie délimination du 1-hydroxymidazolam est inférieure à une heure. Après administration de midazolam, les concentrations de la substance mère et du métabolite principal diminuent donc en parallèle. Moins de 1% de la dose apparaît dans lurine sous forme de substance inchangée. 60-80% de la dose sont glucuroconjugués et éliminés dans les urines sous forme de conjugué de 1-hydroxymidazolam.
  • +Lors de prise monoquotidienne le soir, le midazolam ne saccumule pas. Ladministration réitérée de midazolam nentraîne pas dinduction denzymes métaboliques spécifiques.
  • -Chez les volontaires masculins âgés de plus de 60 ans, la demi-vie d'élimination du midazolam a été significativement plus longue (d'un facteur de 2,5) que chez les volontaires masculins jeunes. Chez les volontaires masculins âgés, la clearance totale du midazolam a été nettement diminuée et la biodisponibilité de la dose orale sous forme de comprimés a été significativement augmentée.
  • -Chez les volontaires féminines âgées, aucune différence significative n'a cependant été constatée par rapport aux volontaires féminines jeunes.
  • +Chez les volontaires masculins âgés de plus de 60 ans, la demi-vie délimination du midazolam a été significativement plus longue (dun facteur de 2,5) que chez les volontaires masculins jeunes. Chez les volontaires masculins âgés, la clearance totale du midazolam a été nettement diminuée et la biodisponibilité de la dose orale sous forme de comprimés a été significativement augmentée.
  • +Chez les volontaires féminines âgées, aucune différence significative na cependant été constatée par rapport aux volontaires féminines jeunes.
  • -La pharmacocinétique du midazolam a été significativement modifiée chez les patients atteints d'affections hépatiques chroniques, y compris de cirrhose hépatique avancée. Chez les patients cirrhotiques, la demi-vie d'élimination a notamment été prolongée et la biodisponibilité totale du midazolam administré par voie orale a été significativement augmentée par rapport au groupe témoin, en raison de la réduction de la clearance hépatique.
  • +La pharmacocinétique du midazolam a été significativement modifiée chez les patients atteints daffections hépatiques chroniques, y compris de cirrhose hépatique avancée. Chez les patients cirrhotiques, la demi-vie délimination a notamment été prolongée et la biodisponibilité totale du midazolam administré par voie orale a été significativement augmentée par rapport au groupe témoin, en raison de la réduction de la clearance hépatique.
  • -La pharmacocinétique du midazolam libre n'est pas modifiée chez les patients insuffisants rénaux sévères. En cas d'insuffisance rénale sévère, il se produit une accumulation du métabolite principal pharmacologiquement peu actif et éliminé par les reins, le 1'-hydroxymidazolam glucuronide. Cette accumulation provoque une sédation prolongée. Le midazolam administré par voie orale devra donc être utilisé avec une grande prudence et la dose devra être augmentée progressivement jusqu'à l'obtention de l'effet souhaité (voir «Posologie/Mode d'emploi – Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +La pharmacocinétique du midazolam libre nest pas modifiée chez les patients insuffisants rénaux sévères. En cas dinsuffisance rénale sévère, il se produit une accumulation du métabolite principal pharmacologiquement peu actif et éliminé par les reins, le 1-hydroxymidazolam glucuronide. Cette accumulation provoque une sédation prolongée. Le midazolam administré par voie orale devra donc être utilisé avec une grande prudence et la dose devra être augmentée progressivement jusquà lobtention de leffet souhaité (voir «Posologie/Mode demploi – Instructions spéciales pour la posologie»).
  • -Le volume de distribution du midazolam augmente chez les patients en surpoids. C'est pourquoi la demi-vie d'élimination du midazolam est prolongée chez les patients en surpoids par rapport aux patients de poids normal (5,9 heures versus 2,3 heures). La biodisponibilité orale des comprimés de midazolam a été identique chez les patients en surpoids et chez ceux de poids normal. Ceci exige éventuellement une plus longue surveillance des patients après l'opération. Il faut attirer l'attention de ceux-ci sur le fait que l'action du midazolam peut être prolongée.
  • +Le volume de distribution du midazolam augmente chez les patients en surpoids. Cest pourquoi la demi-vie délimination du midazolam est prolongée chez les patients en surpoids par rapport aux patients de poids normal (5,9 heures versus 2,3 heures). La biodisponibilité orale des comprimés de midazolam a été identique chez les patients en surpoids et chez ceux de poids normal. Ceci exige éventuellement une plus longue surveillance des patients après lopération. Il faut attirer lattention de ceux-ci sur le fait que laction du midazolam peut être prolongée.
  • -Dans le cadre d'études à long terme chez la souris et le rat, des tumeurs du foie et de la thyroïde ont été observées. De l'avis général, il n'est pas possible d'extrapoler ces données à l'homme.
  • -Les résultats des études de génotoxicité in vitro et in vivo montrent qu'il ne faut pas s'attendre à des effets mutagènes, clastogènes ou aneugènes dans le cadre de l'utilisation clinique prévue du midazolam.
  • +Dans le cadre détudes à long terme chez la souris et le rat, des tumeurs du foie et de la thyroïde ont été observées. De lavis général, il nest pas possible dextrapoler ces données à lhomme.
  • +Les résultats des études de génotoxicité in vitro et in vivo montrent quil ne faut pas sattendre à des effets mutagènes, clastogènes ou aneugènes dans le cadre de lutilisation clinique prévue du midazolam.
  • -Lors d'études chez le rat et la souris, il n'a été relevé aucun indice de propriétés tératogènes du midazolam.
  • +Lors détudes chez le rat et la souris, il na été relevé aucun indice de propriétés tératogènes du midazolam.
  • +Conserver les médicaments hors de la portée des enfants.
  • +
  • -45163 (Swissmedic).
  • +45163 (Swissmedic)
  • -Comprimés pelliculés de Dormicum à 7,5 mg: 10 et 30 comprimés pelliculés. [B]
  • -Comprimés pelliculés de Dormicum à 15 mg: 10, 30, et conditionnement hospitalier de 100 comprimés pelliculés. [B]
  • +Comprimés pelliculés de Dormicum à 7,5 mg: 10 et 30 comprimés pelliculés [B]
  • +Comprimés pelliculés de Dormicum à 15 mg: 10, 30, et conditionnement hospitalier de 100 comprimés pelliculés [B]
  • -Roche Pharma (Suisse) SA, 4153 Reinach.
  • +CPS Cito Pharma Services GmbH, 8610 Uster
  • -Juillet 2018.
  • +Juillet 2018
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