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Accueil - Information professionnelle sur Timonil - Changements - 23.05.2023
110 Changements de l'information professionelle Timonil
  • -Timonil sirop : Conserv. : E 216, E 218, Arom.: Vanillinum et alia, Natrii cyclamas; Excip. ad suspensionem.
  • +Timonil sirop : Conserv. : E 216, E 218, Arom. : Vanillinum et alia, Natrii cyclamas ; Excip. ad suspensionem.
  • --Habituellement Timonil n’est pas efficace dans les absences (petit mal) ainsi que dans les crises myocloniques (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +-Habituellement Timonil n’est pas efficace dans les absences (petit mal) ainsi que dans les crises myocloniques (cf. « Mises en garde et précautions »).
  • -Avant l’instauration du traitement par Timonil, il est recommandé d’examiner les patients dont l’origine suggère un risque d’apparition de certaines réactions indésirables cutanées/d’hypersensibilité afin d’évaluer au mieux le risque de présence de l’allèle HLA-A*3101 (cf. «Mise en garde et précautions»).
  • +Avant l’instauration du traitement par Timonil, il est recommandé d’examiner les patients dont l’origine suggère un risque d’apparition de certaines réactions indésirables cutanées/d’hypersensibilité afin d’évaluer au mieux le risque de présence de l’allèle HLA-A*3101 (cf. « Mise en garde et précautions »).
  • -Lorsque Timonil est ajouté à un traitement antiépileptique existant, cela doit se faire graduellement en maintenant ou en adaptant au besoin la posologie de l’autre antiépileptique (cf. «Interactions»).
  • +Lorsque Timonil est ajouté à un traitement antiépileptique existant, cela doit se faire graduellement en maintenant ou en adaptant au besoin la posologie de l’autre antiépileptique (cf. « Interactions »).
  • -Commencer par 100 à 200 mg 1 ou 2×/j; augmenter lentement la dose jusqu’à obtention d’une réponse optimale, habituellement à 400 mg 2 à 3×/j (soit 800 – 1200 mg). Chez certains patients, la posologie adéquate pourra atteindre 1600 mg ou même 2000 mg par jour, ces doses élevées devant toutefois être évitées en raison des effets indésirables accrus.
  • +Commencer par 100 à 200 mg 1 ou 2×/j ; augmenter lentement la dose jusqu’à obtention d’une réponse optimale, habituellement à 400 mg 2 à 3×/j (soit 800 – 1200 mg). Chez certains patients, la posologie adéquate pourra atteindre 1600 mg ou même 2000 mg par jour, ces doses élevées devant toutefois être évitées en raison des effets indésirables accrus.
  • -Sirop : 10 à 20 mg de carbamazépine par kg de poids corporel par jour, répartis en plusieurs doses individuelles; c’est-à-dire* :
  • -jusqu’à 1 an : 100 à 200 mg/j (= 5-10 ml = 1 à 2 seringues pour administration orale);
  • -de 1 à 5 ans : 200 à 400 mg/j (= 10-20 ml = 2× 1 à 2 seringues pour administration orale);
  • -de 6 à 10 ans : 400 à 600 mg/j (= 20-30 ml = 2-3× 2 seringues pour administration orale);
  • +Sirop : 10 à 20 mg de carbamazépine par kg de poids corporel par jour, répartis en plusieurs doses individuelles ; c’est-à-dire* :
  • +jusqu’à 1 an : 100 à 200 mg/j (= 5-10 ml = 1 à 2 seringues pour administration orale) ;
  • +de 1 à 5 ans : 200 à 400 mg/j (= 10-20 ml = 2× 1 à 2 seringues pour administration orale) ;
  • +de 6 à 10 ans : 400 à 600 mg/j (= 20-30 ml = 2-3× 2 seringues pour administration orale) ;
  • -Dose quotidienne maximale recommandée:
  • +Dose quotidienne maximale recommandée :
  • -200 mg 3-4×/j pendant les deux premiers jours. Dans les cas graves, la posologie peut être augmentée à 1200mg/j durant les premiers jours. Ensuite, la dose devrait être diminuée lentement par paliers jusqu’à l’arrêt du traitement (cf. «Mises en garde et précautions/Interruption du traitement»).
  • +200 mg 3-4×/j pendant les deux premiers jours. Dans les cas graves, la posologie peut être augmentée à 1200 mg/j durant les premiers jours. Ensuite, la dose devrait être diminuée lentement par paliers jusqu’à l’arrêt du traitement (cf. « Mises en garde et précautions/Interruption du traitement »).
  • -Intervalle de posologie : environ 400 à 1600 mg par jour; habituellement 400 à 600 mg/j en 2 à 3 prises. Dans les accès maniaques aigus, les doses doivent être augmentées assez rapidement alors que pour le traitement à long terme des troubles bipolaires, de légères augmentations posologiques sont recommandées afin de garantir une tolérance optimale.
  • +Intervalle de posologie : environ 400 à 1600 mg par jour ; habituellement 400 à 600 mg/j en 2 à 3 prises. Dans les accès maniaques aigus, les doses doivent être augmentées assez rapidement alors que pour le traitement à long terme des troubles bipolaires, de légères augmentations posologiques sont recommandées afin de garantir une tolérance optimale.
  • -Les comprimés à libération prolongée sont sécables. Les comprimés de Timonil et les comprimés à libération prolongée de Timonil peuvent être pris avec un peu d’eau, pendant ou après les repas, ou après désagrégation (mise en suspension) dans l’eau. L’effet retard est maintenu même après la mise en suspension des comprimés à libération prolongée. Timonil sirop doit être agité avant usage et pris pendant ou après les repas.
  • -Le sirop (1 seringue pour administration orale = 5 ml = 100 mg; ½ seringue pour administration orale = 2.5 ml = 50 mg) convient particulièrement aux patients qui ont des difficultés à avaler les comprimés ou pour lesquels il faut ajuster la posologie initiale avec précaution.
  • +Les comprimés à libération prolongée de Timonil à 200 mg et à 400 mg sont pourvus d’une barre de sécabilité et sont sécables à des fins de dosage. Les comprimés à libération prolongée de Timonil à 300 mg et à 600 mg sont pourvus d’une barre de sécabilité décorative et peuvent être divisés pour faciliter la prise aux patients, mais pas pour le dosage d’une dose partielle.
  • +Les comprimés de Timonil et les comprimés à libération prolongée de Timonil peuvent être pris avec un peu d’eau, pendant ou après les repas, ou après désagrégation (mise en suspension) dans l’eau. L’effet retard est maintenu même après la mise en suspension des comprimés à libération prolongée. Timonil sirop doit être agité avant usage et pris pendant ou après les repas.
  • +Le sirop (1 seringue pour administration orale = 5 ml = 100 mg ; ½ seringue pour administration orale = 2.5 ml = 50 mg) convient particulièrement aux patients qui ont des difficultés à avaler les comprimés ou pour lesquels il faut ajuster la posologie initiale avec précaution.
  • --L’utilisation de Timonil en combinaison avec les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) n’est pas recommandée (voir «Interactions»). Avant de commencer un traitement par Timonil, il faut interrompre le traitement par IMAO au moins 2 semaines avant voire plus, si la situation clinique le permet.
  • +-L’utilisation de Timonil en combinaison avec les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) n’est pas recommandée (voir « Interactions »). Avant de commencer un traitement par Timonil, il faut interrompre le traitement par IMAO au moins 2 semaines avant voire plus, si la situation clinique le permet.
  • -présentant des pathologies cardiaques, hépatiques ou rénales, également dans leurs antécédents (cf. «Mises en garde et précautions»)
  • +présentant des pathologies cardiaques, hépatiques ou rénales, également dans leurs antécédents (cf. « Mises en garde et précautions »)
  • -Des réactions dermatologiques sévères, dont la nécrolyse épidermique toxique (NET ou syndrome de Lyell) et le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) ont été observées dans de rares cas après utilisation de la carbamazépine. Ces patients doivent être hospitalisés le cas échéant, car ces symptômes peuvent mettre leur vie en danger. La plupart des cas de SJS/NET ont été observés dans les premiers mois de traitement par la carbamazépine. Dans les pays dont la population est majoritairement caucasienne, la fréquence de ces réactions cutanées est estimée à 1-6 nouveaux patients sur 10000. Dans certains pays asiatiques, le risque est cependant environ 10 fois plus élevé, selon les estimations.
  • +Des réactions dermatologiques sévères, dont la nécrolyse épidermique toxique (NET ou syndrome de Lyell) et le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) ont été observées dans de rares cas après utilisation de la carbamazépine. Ces patients doivent être hospitalisés le cas échéant, car ces symptômes peuvent mettre leur vie en danger. La plupart des cas de SJS/NET ont été observés dans les premiers mois de traitement par la carbamazépine. Dans les pays dont la population est majoritairement caucasienne, la fréquence de ces réactions cutanées est estimée à 1-6 nouveaux patients sur 10 000. Dans certains pays asiatiques, le risque est cependant environ 10 fois plus élevé, selon les estimations.
  • -La fréquence de cet allèle varie fortement au sein des différents groupes ethniques. Dans la population européenne, la fréquence est d’environ 2-5% et dans la population japonaise d’environ 10%. Au sein de la majorité des populations australienne, asiatique, africaine et nord-américaine, on estime la fréquence de cet allèle à moins de 5%. Dans la population de l’Europe de l’Ouest, la fréquence de l’allèle HLA-A*3101 est évaluée selon la région géographique à environ 6.7%. Il existe quelques exceptions avec une fréquence de 5-12%. Parmi les groupes ethniques suivants, la fréquence est estimée supérieure à 15%: Amérique du Sud (Argentine et Brésil), Amérique du Nord (Navajo et Sioux aux Etats-Unis, Indiens Seri de Sonora au Mexique,) et Sud de l’Inde (Tamil Nadu).
  • -La fréquence de l’allèle présentée ici représente le pourcentage de chromosomes porteurs de l’allèle en question dans les populations spécifiées. C’est-à-dire que le pourcentage de patients porteurs d’une copie sur au moins l’un de leurs deux chromosomes (c.-à-d. la «fréquence des porteurs») est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle. Par conséquent, le pourcentage de patients à risque est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle.
  • -Avant l’instauration d’un traitement par Timonil, il est recommandé d’examiner les patients dont l’origine représente un risque (par exemple les patients du Japon, les Caucasiens), et les populations indigènes d’Amérique, les patients d’origine espagnole ou portugaise ainsi que les patients originaires du Sud de l’Inde ou de l’Arabie), afin d’établir la présence de l’allèle HLA-A*3101 (cf. « Posologie/Mode d’emploi). En cas de résultat positif, il faut renoncer au traitement par Timonil, à moins que le bénéfice attendu ne dépasse le risque encouru. Un dépistage HLA-A*3101 n’est en général par recommandé chez les patients déjà traités depuis longtemps par Timonil, puisque les SJS/TEN, AGEP, DRESS et exanthèmes maculo-papuleux n’apparaissent la plupart du temps qu’au cours des premiers mois de traitement.
  • +La fréquence de cet allèle varie fortement au sein des différents groupes ethniques. Dans la population européenne, la fréquence est d’environ 2-5% et dans la population japonaise d’environ 10%. Au sein de la majorité des populations australienne, asiatique, africaine et nord-américaine, on estime la fréquence de cet allèle à moins de 5%. Dans la population de l’Europe de l’Ouest, la fréquence de l’allèle HLA-A*3101 est évaluée selon la région géographique à environ 6.7%. Il existe quelques exceptions avec une fréquence de 5-12%. Parmi les groupes ethniques suivants, la fréquence est estimée supérieure à 15% : Amérique du Sud (Argentine et Brésil), Amérique du Nord (Navajo et Sioux aux Etats-Unis, Indiens Seri de Sonora au Mexique,) et Sud de l’Inde (Tamil Nadu).
  • +La fréquence de l’allèle présentée ici représente le pourcentage de chromosomes porteurs de l’allèle en question dans les populations spécifiées. C’est-à-dire que le pourcentage de patients porteurs d’une copie sur au moins l’un de leurs deux chromosomes (c.-à-d. la « fréquence des porteurs ») est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle. Par conséquent, le pourcentage de patients à risque est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle.
  • +Avant l’instauration d’un traitement par Timonil, il est recommandé d’examiner les patients dont l’origine représente un risque (par exemple les patients du Japon, les Caucasiens), et les populations indigènes d’Amérique, les patients d’origine espagnole ou portugaise ainsi que les patients originaires du Sud de l’Inde ou de l’Arabie), afin d’établir la présence de l’allèle HLA-A*3101 (cf. « Posologie/Mode d’emploi »). En cas de résultat positif, il faut renoncer au traitement par Timonil, à moins que le bénéfice attendu ne dépasse le risque encouru. Un dépistage HLA-A*3101 n’est en général par recommandé chez les patients déjà traités depuis longtemps par Timonil, puisque les SJS/TEN, AGEP, DRESS et exanthèmes maculo-papuleux n’apparaissent la plupart du temps qu’au cours des premiers mois de traitement.
  • -Des études rétrospectives menées sur des patients de l’ethnie chinoise Han et sur des patients d’origine thaïlandaise ont montré une forte corrélation entre les réactions cutanées SJS/NET en relation avec l’utilisation de la carbamazépine et la présence de l’allèle HLA-B*1502 du Human Leucozyte Antigen. La fréquence de cet allèle est de 2-12% dans la population de l’ethnie chinoise Han et d’environ 8% en Thaïlande. Dans les pays asiatiques (p. ex. Taïwan, la Malaisie et les Philippines), où la fréquence de l’allèle HLA-B*1502 est plus élevée, l’effet indésirable SJS est rapporté plus souvent («occasionnellement» au lieu de «rarement»). La fréquence des porteurs de cet allèle est supérieure à 15% dans les Philippines et dans certaines populations malaises. Des fréquences de cet allèle allant jusqu’à 2% et 6% ont été rapportées en Corée et en Inde. La fréquence de l’allèle HLA-B*1502 est négligeable chez les Caucasiens, tout comme chez les Africains, la population indigène d’Amérique, les Japonais et les personnes d’origine espagnole (<1%).
  • -La fréquence de l’allèle présentée ici représente le pourcentage de chromosomes porteurs de l’allèle en question dans les populations spécifiées. C’est-à-dire que le pourcentage de patients porteurs d’une copie sur au moins l’un de leurs deux chromosomes (c.-à-d. la «fréquence des porteurs») est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle. Par conséquent, le pourcentage de patients à risque est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle.
  • +Des études rétrospectives menées sur des patients de l’ethnie chinoise Han et sur des patients d’origine thaïlandaise ont montré une forte corrélation entre les réactions cutanées SJS/NET en relation avec l’utilisation de la carbamazépine et la présence de l’allèle HLA-B*1502 du Human Leucozyte Antigen. La fréquence de cet allèle est de 2-12% dans la population de l’ethnie chinoise Han et d’environ 8% en Thaïlande. Dans les pays asiatiques (p. ex. Taïwan, la Malaisie et les Philippines), où la fréquence de l’allèle HLA-B*1502 est plus élevée, l’effet indésirable SJS est rapporté plus souvent (« occasionnellement » au lieu de « rarement »). La fréquence des porteurs de cet allèle est supérieure à 15% dans les Philippines et dans certaines populations malaises. Des fréquences de cet allèle allant jusqu’à 2% et 6% ont été rapportées en Corée et en Inde. La fréquence de l’allèle HLA-B*1502 est négligeable chez les Caucasiens, tout comme chez les Africains, la population indigène d’Amérique, les Japonais et les personnes d’origine espagnole (<1%).
  • +La fréquence de l’allèle présentée ici représente le pourcentage de chromosomes porteurs de l’allèle en question dans les populations spécifiées. C’est-à-dire que le pourcentage de patients porteurs d’une copie sur au moins l’un de leurs deux chromosomes (c.-à-d. la « fréquence des porteurs ») est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle. Par conséquent, le pourcentage de patients à risque est presque deux fois plus élevé que la fréquence de l’allèle.
  • -Les réactions cutanées légères, comme un exanthème maculeux ou maculo-papuleux isolé, sont généralement passagères et sans danger; elles disparaissent le plus souvent en quelques jours ou semaines sans que le traitement ne soit interrompu ou bien après une réduction de la posologie. Toutefois, comme il est difficile de faire la différence entre une réaction cutanée légère et les premiers signes d’une réaction cutanée sévère, le patient sera soumis à une surveillance attentive et le traitement sera interrompu immédiatement en cas d’aggravation ou de signes indiquant une réaction d’hypersensibilité systémique.
  • +Les réactions cutanées légères, comme un exanthème maculeux ou maculo-papuleux isolé, sont généralement passagères et sans danger ; elles disparaissent le plus souvent en quelques jours ou semaines sans que le traitement ne soit interrompu ou bien après une réduction de la posologie. Toutefois, comme il est difficile de faire la différence entre une réaction cutanée légère et les premiers signes d’une réaction cutanée sévère, le patient sera soumis à une surveillance attentive et le traitement sera interrompu immédiatement en cas d’aggravation ou de signes indiquant une réaction d’hypersensibilité systémique.
  • -Timonil peut déclencher des réactions d’hypersensibilité susceptibles de survenir dans différentes associations, notamment le Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS), un syndrome d’hypersensibilité retardée multiorganique comportant fièvre, éruption cutanée, vascularite, lymphadénopathie, pseudolymphomes, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie, anomalies des paramètres hépatiques et syndrome de disparition des voies biliaires (lésion et perte des voies biliaires intrahépatiques). D’autres organes tels que poumon, reins, pancréas, myocarde et côlon peuvent aussi être atteints (cf. «Effets indésirables»).
  • +Timonil peut déclencher des réactions d’hypersensibilité susceptibles de survenir dans différentes associations, notamment le Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS), un syndrome d’hypersensibilité retardée multiorganique comportant fièvre, éruption cutanée, vascularite, lymphadénopathie, pseudolymphomes, arthralgie, leucopénie, éosinophilie, hépatosplénomégalie, anomalies des paramètres hépatiques et syndrome de disparition des voies biliaires (lésion et perte des voies biliaires intrahépatiques). D’autres organes tels que poumon, reins, pancréas, myocarde et côlon peuvent aussi être atteints (cf. « Effets indésirables »).
  • -Timonil possède une faible activité anticholinergique; c’est pourquoi les patients dont la pression intraoculaire est augmentée (glaucome) ou qui présentent une rétention urinaire seront surveillés de près au cours du traitement (cf. «Effets indésirables»).
  • +Timonil possède une faible activité anticholinergique ; c’est pourquoi les patients dont la pression intraoculaire est augmentée (glaucome) ou qui présentent une rétention urinaire seront surveillés de près au cours du traitement (cf. « Effets indésirables »).
  • -Des métrorragies ont été signalées chez des patientes sous contraceptifs hormonaux; l’efficacité des contraceptifs hormonauxpeut être annulée par la prise concomitante de Timonil. C’est pourquoi des méthodes de contraception alternatives non hormonales doivent être recommandées aux patientes en âge de procréer recevant un traitement par Timonil.
  • +Des métrorragies ont été signalées chez des patientes sous contraceptifs hormonaux ; l’efficacité des contraceptifs hormonauxpeut être annulée par la prise concomitante de Timonil. C’est pourquoi des méthodes de contraception alternatives non hormonales doivent être recommandées aux patientes en âge de procréer recevant un traitement par Timonil.
  • -La carbamazépine est un inducteur puissant du CYP3A4 et d’autres enzymes hépatiques de phase I et de phase II. La carbamazépine peut donc éventuellement réduire les concentrations plasmatiques de substances administrées simultanément et métabolisées principalement par le CYP3A4 (cf. «Interactions»).
  • +La carbamazépine est un inducteur puissant du CYP3A4 et d’autres enzymes hépatiques de phase I et de phase II. La carbamazépine peut donc éventuellement réduire les concentrations plasmatiques de substances administrées simultanément et métabolisées principalement par le CYP3A4 (cf. « Interactions »).
  • -Bien que la corrélation entre la posologie et les taux plasmatiques de carbamazépine, ainsi qu’entre les taux plasmatiques et l’efficacité clinique ou la tolérance, soit assez faible, la détermination des concentrations plasmatiques peut néanmoins s’avérer utile dans les cas suivants: augmentation subite et importante de la fréquence des crises, vérification de l’observance du traitement; grossesse; chez l’enfant ou l’adolescent; lors de suspicion de troubles de l’absorption; lorsqu’un effet toxique est suspecté lors de polymédication (cf. «Interactions»).
  • +Bien que la corrélation entre la posologie et les taux plasmatiques de carbamazépine, ainsi qu’entre les taux plasmatiques et l’efficacité clinique ou la tolérance, soit assez faible, la détermination des concentrations plasmatiques peut néanmoins s’avérer utile dans les cas suivants : augmentation subite et importante de la fréquence des crises, vérification de l’observance du traitement ; grossesse ; chez l’enfant ou l’adolescent ; lors de suspicion de troubles de l’absorption ; lorsqu’un effet toxique est suspecté lors de polymédication (cf. « Interactions »).
  • -Le traitement par Timonil a été associé à la survenue d’ataxie, de vertiges, de somnolence, d’hypotension, d’ètats confusionnels ou de sédation (voir «effets indésirables»), ce qui peut conduire à des chutes et ainsi à des fractures ou autres blessures. Chez les patients souffrant de maladies ou de troubles ou bien prenant des médicaments qui peuvent renforcer ces effets secondaires, une évaluation complète du risque de chute doit régulièrement être prise en considération en cas de traitement de longue durée par Timonil.
  • +Le traitement par Timonil a été associé à la survenue d’ataxie, de vertiges, de somnolence, d’hypotension, d’ètats confusionnels ou de sédation (voir « Effets indésirables »), ce qui peut conduire à des chutes et ainsi à des fractures ou autres blessures. Chez les patients souffrant de maladies ou de troubles ou bien prenant des médicaments qui peuvent renforcer ces effets secondaires, une évaluation complète du risque de chute doit régulièrement être prise en considération en cas de traitement de longue durée par Timonil.
  • -Le cytochrome P450 3A4 (CYP3A4) est la principale enzyme catalysant la formation du métabolite actif: l’époxy-10,11-carbamazépine. L’administration concomitante d’inhibiteurs du CYP3A4 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine susceptible d’induire des effets indésirables. L’administration concomitante d’inducteurs du CYP3A4 peut au contraire stimuler le métabolisme de Timonil, faire baisser le taux sérique de carbamazépine et éventuellement conduire à une diminution de l’effet thérapeutique. De même, l’interruption de l’administration d’un inducteur du CYP3A4 peut diminuer le métabolisme de la carbamazépine et conduire ainsi à une élévation des taux sériques de carbamazépine.
  • +Le cytochrome P450 3A4 (CYP3A4) est la principale enzyme catalysant la formation du métabolite actif : l’époxy-10,11-carbamazépine. L’administration concomitante d’inhibiteurs du CYP3A4 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de carbamazépine susceptible d’induire des effets indésirables. L’administration concomitante d’inducteurs du CYP3A4 peut au contraire stimuler le métabolisme de Timonil, faire baisser le taux sérique de carbamazépine et éventuellement conduire à une diminution de l’effet thérapeutique. De même, l’interruption de l’administration d’un inducteur du CYP3A4 peut diminuer le métabolisme de la carbamazépine et conduire ainsi à une élévation des taux sériques de carbamazépine.
  • -Substances susceptibles d’augmenter les concentrations plasmatiques de carbamazépine:
  • +Substances susceptibles d’augmenter les concentrations plasmatiques de carbamazépine :
  • -Substances susceptibles d’augmenter les concentrations plasmatiques d’époxy-10,11-carbamazépine :
  • -L’augmentation du taux plasmatique d’époxy-10,11-carbamazépine pouvant causer des effets indésirables (p. ex. vertiges, somnolence, ataxie, diplopie), la posologie de Timonil doit être surveillée attentivement et éventuellement ajustée, en cas d’administration simultanée avec les substances suivantes: brivaracétam, loxapine, quétiapine, primidone, progabide, acide valproïque, valnoctamide et valpromide.
  • +Substances susceptibles d’augmenter les concentrations plasmatiques d’époxy-10,11carbamazépine :
  • +L’augmentation du taux plasmatique d’époxy-10,11-carbamazépine pouvant causer des effets indésirables (p. ex. vertiges, somnolence, ataxie, diplopie), la posologie de Timonil doit être surveillée attentivement et éventuellement ajustée, en cas d’administration simultanée avec les substances suivantes : brivaracétam, loxapine, quétiapine, primidone, progabide, acide valproïque, valnoctamide et valpromide.
  • -Antidépresseurs : antidépresseurs tricycliques (p. ex. imipramine, amitriptyline, nortryptiline, clomipramine), bupropion (la carbamazépine peut abaisser le taux plasmatique du bupropion et élever celui de son métabolite l’hydroxybupropion et réduire ainsi l’efficacité clinique et la sécurité du bupropion), citalopram, miansérine, néfazodone, sertraline, trazodone. Timonil ne doit pas être utilisé en combinaison avec des inhibiteurs de la MAO; avant d’administrer le Timonil, il faut arrêter les inhibiteurs de la MAO pendant 2 semaines au moins, plus longtemps si la situation clinique le permet (voir «Contre-indications»).
  • +Antidépresseurs : antidépresseurs tricycliques (p. ex. imipramine, amitriptyline, nortryptiline, clomipramine), bupropion (la carbamazépine peut abaisser le taux plasmatique du bupropion et élever celui de son métabolite l’hydroxybupropion et réduire ainsi l’efficacité clinique et la sécurité du bupropion), citalopram, miansérine, néfazodone, sertraline, trazodone. Timonil ne doit pas être utilisé en combinaison avec des inhibiteurs de la MAO ; avant d’administrer le Timonil, il faut arrêter les inhibiteurs de la MAO pendant 2 semaines au moins, plus longtemps si la situation clinique le permet (voir « Contre-indications »).
  • -Antihelminthiques : praziquantel; albendazole.
  • -Cytostatiques : imatinib; cyclophosphamide, lapatinib, temsirolimus.
  • +Antihelminthiques : praziquantel ; albendazole.
  • +Cytostatiques : imatinib ; cyclophosphamide, lapatinib, temsirolimus.
  • -Substances antivirales : inhibiteurs de la protéase pour le traitement du VIH: p ex. indinavir, ritonavir, saquinavir.
  • +Substances antivirales : inhibiteurs de la protéase pour le traitement du VIH : p ex. indinavir, ritonavir, saquinavir.
  • -L’association de carbamazépine et de lithium ou de métoclopramide et de carbamazépine peut aggraver les effets neurotoxiques des deux substances. C’est pourquoi il est nécessaire de surveiller attentivement les symptômes cliniques. Un traitement antérieur par neuroleptiques doit dater de plus de 8 semaines et ne pas avoir lieu simultanément. Il faut veiller aux signes suivants de symptômes neurotoxiques: démarche hésitante, ataxie, nystagmus horizontal, réflexes accrus, fasciculations musculaires.
  • +L’association de carbamazépine et de lithium ou de métoclopramide et de carbamazépine peut aggraver les effets neurotoxiques des deux substances. C’est pourquoi il est nécessaire de surveiller attentivement les symptômes cliniques. Un traitement antérieur par neuroleptiques doit dater de plus de 8 semaines et ne pas avoir lieu simultanément. Il faut veiller aux signes suivants de symptômes neurotoxiques : démarche hésitante, ataxie, nystagmus horizontal, réflexes accrus, fasciculations musculaires.
  • -La carbamazépine peut s’opposer aux effets des myorelaxants non dépolarisants (pancuronium p. ex.); leur posologie doit être augmentée le cas échéant et les patients doivent être surveillés attentivement en cas de suppression plus rapide que prévue du bloc neuromusculaire.
  • -Au même titre que les autres médicaments psycho-actifs, la carbamazépine peut réduire la tolérance à l’alcool; il est donc préférable que le patient s’abstienne d’en consommer.
  • +La carbamazépine peut s’opposer aux effets des myorelaxants non dépolarisants (pancuronium p. ex.) ; leur posologie doit être augmentée le cas échéant et les patients doivent être surveillés attentivement en cas de suppression plus rapide que prévue du bloc neuromusculaire.
  • +Au même titre que les autres médicaments psycho-actifs, la carbamazépine peut réduire la tolérance à l’alcool ; il est donc préférable que le patient s’abstienne d’en consommer.
  • -Durant toute la grossesse ainsi que pendant le post-partum, une surveillance étroite du traitement est nécessaire (contrôle du taux sérique et EEG). Les concentrations plasmatiques de carbamazépine doivent demeurer dans la zone inférieure de l’intervalle thérapeutique (3 à 7 µg/ml). Pour réduire encore le risque de malformations, on évitera un traitement associant divers antiépileptiques ou d’autres médicaments; une monothérapie est recommandée. Des éléments indiquent que le risque de malformations associé à la carbamazépine utilisée en polythérapie peut varier selon la médication associée et peut être plus élevé lors d’une polythérapie combinée avec l’acide valproïque.
  • +Durant toute la grossesse ainsi que pendant le post-partum, une surveillance étroite du traitement est nécessaire (contrôle du taux sérique et EEG). Les concentrations plasmatiques de carbamazépine doivent demeurer dans la zone inférieure de l’intervalle thérapeutique (3 à 7 µg/ml). Pour réduire encore le risque de malformations, on évitera un traitement associant divers antiépileptiques ou d’autres médicaments ; une monothérapie est recommandée. Des éléments indiquent que le risque de malformations associé à la carbamazépine utilisée en polythérapie peut varier selon la médication associée et peut être plus élevé lors d’une polythérapie combinée avec l’acide valproïque.
  • -Dans des études postnatales menées chez le rat, des effets indésirables ont été observés chez la progéniture de mères traitées par la carbamazépine (cf. «Données précliniques»).
  • +Dans des études postnatales menées chez le rat, des effets indésirables ont été observés chez la progéniture de mères traitées par la carbamazépine (cf. « Données précliniques »).
  • -Les réactions du patient peuvent être affectées par des crises épileptiques liées à l’état médical de celui-ci et par des effets indésirables induits par Timonil (tels que vertiges, somnolence, ataxie, diplopie, troubles de l’accommodation et vision trouble), surtout en début de traitement ou lors de réajustements posologiques; les patients ne doivent donc conduire un véhicule ou utiliser des machines qu’avec une grande prudence.
  • +Les réactions du patient peuvent être affectées par des crises épileptiques liées à l’état médical de celui-ci et par des effets indésirables induits par Timonil (tels que vertiges, somnolence, ataxie, diplopie, troubles de l’accommodation et vision trouble), surtout en début de traitement ou lors de réajustements posologiques ; les patients ne doivent donc conduire un véhicule ou utiliser des machines qu’avec une grande prudence.
  • -Taux de fréquence des effets indésirables: «très fréquents» (≥1/10); «fréquents» (≥1/100 à <1/10); «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100); «rares» ≥(1/10 000 à <1/1000); «très rares» (<1/10 000).
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables sont présentés par classes de systèmes d’organes selon MedDRA et par fréquence selon la convention suivante :
  • +« très fréquents » (≥1/10) ;
  • +« fréquents » (≥1/100 à <1/10) ;
  • +« occasionnels » (≥1/1000 à <1/100) ;
  • +« rares » ≥(1/10 000 à <1/1000) ;
  • +« très rares » (<1/10 000) ;
  • +« fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Très fréquents : leucopénie (11%); persistante dans 2% des cas.
  • +Très fréquents : leucopénie (11%) ; persistante dans 2% des cas.
  • -Fréquents : œdème, rétention liquidienne, prise de poids; hyponatrémie et diminution de l’osmolalité plasmatique dues à un effet comparable à celui de l’hormone antidiurétique (ADH) et ayant conduit dans des cas isolés à une intoxication par l’eau accompagnée de léthargie, nausées, vomissements, céphalées, confusion, anomalies neurologiques, convulsions, désorientation, diminution de la perception, troubles visuels, encéphalopathie («syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH»).
  • -Très rares :gynécomastie, galactorrhée.
  • +Fréquents : œdème, rétention liquidienne, prise de poids ; hyponatrémie et diminution de l’osmolalité plasmatique dues à un effet comparable à celui de l’hormone antidiurétique (ADH) et ayant conduit dans des cas isolés à une intoxication par l’eau accompagnée de léthargie, nausées, vomissements, céphalées, confusion, anomalies neurologiques, convulsions, désorientation, diminution de la perception, troubles visuels, encéphalopathie (« syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH »).
  • +Très rares : gynécomastie, galactorrhée.
  • -Rareds : carence en acide folique, perte d’appétit.
  • +Rares : carence en acide folique, perte d’appétit.
  • -Très fréquents : vertiges (10-50%), ataxie (enfants: 10,4%; adultes: 50%), somnolence.
  • +Très fréquents : vertiges (10-50%), ataxie (enfants : 10,4% ; adultes : 50%), somnolence.
  • -Affectionsrespiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Rarement: ictère, hépatites cholestatiques, parenchymateuses (hépatocellulaires), ou mixtes, syndrome de disparition des voies biliaires.
  • -Très rarement: hépatite granulomateuse, défaillance hépatique.
  • -Affectionscutanés
  • +Rares : ictère, hépatites cholestatiques, parenchymateuses (hépatocellulaires), ou mixtes, syndrome de disparition des voies biliaires.
  • +Très rares : hépatite granulomateuse, défaillance hépatique.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Très rares : syndrome de Stevens-Johnson (dans certains pays asiatiques rapporté comme rare, cf. «Mises en garde et précautions»), épidermolysis bulleuse toxique, réaction de photosensibilité, érythème multiforme et noueux, modifications de la pigmentation, purpura, acné, hyperhidrose, chute de cheveux, hirsutisme.
  • +Très rares : syndrome de Stevens-Johnson (dans certains pays asiatiques rapporté comme rare, cf. « Mises en garde et précautions »), épidermolysis bulleuse toxique, réaction de photosensibilité, érythème multiforme et noueux, modifications de la pigmentation, purpura, acné, hyperhidrose, chute de cheveux, hirsutisme.
  • -Très rares : néphrite tubulo-interstitielle, défaillance rénale, troubles de la fonction rénale (p. ex. albuminurie, hématurie, oligurie; élévation de l’urée/ azotémie), pollakiurie, rétention urinaire.
  • +Très rares : néphrite tubulo-interstitielle, défaillance rénale, troubles de la fonction rénale (p. ex. albuminurie, hématurie, oligurie ; élévation de l’urée/ azotémie), pollakiurie, rétention urinaire.
  • -De très rares cas de diminution de la fertilité masculine et/ou de pathologie de la spermatogenèse ont été rapportés (cf. aussi «Données précliniques»).
  • +De très rares cas de diminution de la fertilité masculine et/ou de pathologie de la spermatogenèse ont été rapportés (cf. aussi « Données précliniques »).
  • -Très rares : augmentation de la pression intraoculaire, augmentation du taux de cholestérol, y compris de HDL-cholestérol et de triglycérides, anomalies des tests de la fonction thyroïdienne: diminution de la L-thyroxine (thyroxine libre, thyroxine, triiodothyronine) et augmentation des taux de TSH, habituellement sans manifestations cliniques, augmentation du taux de prolactine.
  • +Très rares : augmentation de la pression intraoculaire, augmentation du taux de cholestérol, y compris de HDL-cholestérol et de triglycérides, anomalies des tests de la fonction thyroïdienne : diminution de la L-thyroxine (thyroxine libre, thyroxine, triiodothyronine) et augmentation des taux de TSH, habituellement sans manifestations cliniques, augmentation du taux de prolactine.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS).
  • +
  • -Affections du système immunitaire
  • -Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms (DRESS).
  • -Les signes d’intoxication se manifestent généralement au niveau des systèmes nerveux central, cardiovasculaire, de l’appareil respiratoire et par les effets indésirables décrits sous «Effets indésirables».
  • -Système nerveux central : dépression du SNC; désorientation, réduction du niveau de conscience, somnolence, agitation, hallucinations, coma; vision trouble, difficultés d’élocution, dysarthrie, nystagmus, ataxie, dyskinésie, hyperréflexie initiale puis hyporéflexie; convulsions, troubles psychomoteurs, myoclonie, hypothermie, mydriase.
  • +Les signes d’intoxication se manifestent généralement au niveau des systèmes nerveux central, cardiovasculaire, de l’appareil respiratoire et par les effets indésirables décrits sous « Effets indésirables ».
  • +Système nerveux central : dépression du SNC ; désorientation, réduction du niveau de conscience, somnolence, agitation, hallucinations, coma ; vision trouble, difficultés d’élocution, dysarthrie, nystagmus, ataxie, dyskinésie, hyperréflexie initiale puis hyporéflexie ; convulsions, troubles psychomoteurs, myoclonie, hypothermie, mydriase.
  • -Système cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, quelquefois hypertension, troubles de conduction avec élargissement du complexe QRS; syncope par arrêt cardiaque.
  • +Système cardiovasculaire : tachycardie, hypotension, quelquefois hypertension, troubles de conduction avec élargissement du complexe QRS ; syncope par arrêt cardiaque.
  • -Fonction rénale : rétention d’urine, oligurie ou anurie; rétention liquidienne, intoxication par l’eau due à un effet de la carbamazépine comparable à celui de l’ADH.
  • +Fonction rénale : rétention d’urine, oligurie ou anurie ; rétention liquidienne, intoxication par l’eau due à un effet de la carbamazépine comparable à celui de l’ADH.
  • -Thérapie
  • +Traitement
  • -Le traitement sera fonction de l’état clinique du patient; hospitalisation. Détermination de la concentration plasmatique pour confirmer l’intoxication par la carbamazépine et pour déterminer l’importance du surdosage.
  • +Le traitement sera fonction de l’état clinique du patient ; hospitalisation. Détermination de la concentration plasmatique pour confirmer l’intoxication par la carbamazépine et pour déterminer l’importance du surdosage.
  • -En sa qualité d’antiépilectique, Timonil possède le spectre d’activité suivant: crises partielles, simples et complexes, secondairement généralisées ou non; crises tonico-cloniques généralisées, ainsi que combinaisons de ces différentes formes d’épilepsie.
  • +En sa qualité d’antiépilectique, Timonil possède le spectre d’activité suivant : crises partielles, simples et complexes, secondairement généralisées ou non ; crises tonico-cloniques généralisées, ainsi que combinaisons de ces différentes formes d’épilepsie.
  • -Après administration orale, l’absorption de la carbamazépine est (selon la forme galénique) relativement lente: suite à une prise unique, la tmax est atteinte après 1 h (sirop), 14 h (comprimés) ou 28 h (comprimés à libération prolongée), respectivement.
  • +Après administration orale, l’absorption de la carbamazépine est (selon la forme galénique) relativement lente : suite à une prise unique, la tmax est atteinte après 1 h (sirop), 14 h (comprimés) ou 28 h (comprimés à libération prolongée), respectivement.
  • -La demi-vie d’élimination plasmatique après une dose unique est de 36 h en moyenne; après prises multiples (auto-induction du système enzymatique de la mono-oxygénase hépatique) elle est de 16-24 h en moyenne; lors d’association avec d’autres médicaments inducteurs des enzymes hépatiques (p. ex. phénytoïne, phénobarbital), elle est de 9-10 h en moyenne. Après une prise unique de 400 mg, l’excrétion est de 72% dans les urines (2% sous forme inchangée; 1% sous forme d’époxyde; env. 30% sous forme de carbamazépine-transdiol-10,11 et autres métabolites inactifs), et de 28% dans les fèces.
  • +La demi-vie d’élimination plasmatique après une dose unique est de 36 h en moyenne ; après prises multiples (auto-induction du système enzymatique de la mono-oxygénase hépatique) elle est de 16-24 h en moyenne ; lors d’association avec d’autres médicaments inducteurs des enzymes hépatiques (p. ex. phénytoïne, phénobarbital), elle est de 9-10 h en moyenne. Après une prise unique de 400 mg, l’excrétion est de 72% dans les urines (2% sous forme inchangée ; 1% sous forme d’époxyde ; env. 30% sous forme de carbamazépine-transdiol-10,11 et autres métabolites inactifs), et de 28% dans les fèces.
  • -Remarque : la cinétique est inchangée chez le sujet âgé; aucune donnée concernant les patients présentant une altération de la fonction hépatique ou rénale n’est disponible.
  • +Remarque : la cinétique est inchangée chez le sujet âgé ; aucune donnée concernant les patients présentant une altération de la fonction hépatique ou rénale n’est disponible.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « EXP » sur l’emballage.
  • -Timonil 200 comprimés: 50 [B]
  • -Timonil 200 retard, comprimés à libération prolongée (sécables): 50, 200 [B]
  • -Timonil 300 retard, comprimés à libération prolongée (sécables): 100 [B]
  • -Timonil 400 retard, comprimés à libération prolongée (sécables): 100 [B]
  • -Timonil 600 retard, comprimés à libération prolongée (sécables): 50 [B]
  • +Timonil 200 comprimés : 50 [B]
  • +Timonil 200 retard, comprimés à libération prolongée (avec barre de sécabilité, sécables) : 50, 200 [B]
  • +Timonil 300 retard, comprimés à libération prolongée (avec barre de sécabilité) : 100 [B]
  • +Timonil 400 retard, comprimés à libération prolongée (avec barre de sécabilité, sécables) : 100 [B]
  • +Timonil 600 retard, comprimés à libération prolongée (avec barre de sécabilité) : 50 [B]
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