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Accueil - Information professionnelle sur Olfen-25 - Changements - 15.07.2016
127 Changements de l'information professionelle Olfen-25
  • -Olfen-25/50 Lactab (gastrorésistants), Olfen-100 Depocaps, Olfen-75 retard Depotabs: Diclofenac natricum.
  • +Olfen 50/100, Rectocaps: diclofénac sodique
  • -Olfen-25/50 Lactab: color.: E 104 (jaune de quinoléine); excipiens pro compresso obducto.
  • -Olfen-100 Depocaps: color.: E 127 (érythrosine); excipiens pro capsula.
  • -Olfen-75 retard Depotabs: excipiens pro compresso obducto.
  • +Olfen 50/100 Rectocaps: lécithine (E 322) produite à partir de soja génétiquement modifié, antiox.: butylhydroxyanisol (E 320), excipiens pro capsula.
  • -Lactab à 25 mg, 50 mg.
  • -Depotabs à 75 mg.
  • -Depocaps à 100 mg.
  • +Rectocaps à 50 mg, 100mg.
  • -Etats inflammatoires et oedémateux douloureux post-traumatiques et post-opératoires (chirurgie dentaire/stomatologique ou orthopédique, par ex.).
  • -Etats douloureux et/ou inflammatoires en gynécologie (dysménorrhée primaire ou annexite, par ex.).
  • -Crises de goutte aiguës (Lactab).
  • -Comme adjuvant dans les infections inflammatoires douloureuses aiguës de la gorge, du nez ou de l'oreille, par ex. pharyngoamygdalite, otite (Lactab).
  • -Conformément aux principes généraux de thérapeutique, traiter l'affection sous-jacente avec les moyens thérapeutiques requis. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • +États inflammatoires et œdémateux douloureux post-traumatiques et postopératoires (chirurgie dentaire/stomatologique ou orthopédique, p. ex.).
  • +États douloureux et/ou inflammatoires en gynécologie (dysménorrhée primaire ou annexite, par ex.).
  • +Accès de migraine.
  • +Crises de goutte aiguës.
  • +Comme adjuvant dans les infections inflammatoires douloureuses graves de la gorge, du nez ou de loreille, par ex. pharyngoamygdalite, otite.
  • +Conformément aux principes généraux de thérapeutique, traiter laffection sous-jacente avec les moyens fondamentaux requis. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • -De manière générale, il est recommandé d'adapter individuellement le dosage.
  • -Administrer la dose minimale efficace sur une durée la plus courte possible pour contrôler les symptômes permet de réduire les effets indésirables (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +De manière générale, il est recommandé dadapter individuellement le dosage. Administrer la dose minimale efficace sur une durée la plus courte possible pour contrôler les symptômes permet de réduire les effets indésirables (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Lactab (gastrorésistant)
  • -La dose quotidienne initiale pour Olfen Lactab est généralement de 100 à 150 mg. Dans les cas bénins et pour le traitement de longue durée suffisent le plus souvent 75 à 100 mg par jour.
  • -En général, répartir la dose quotidienne en 2 à 3 prises. Pour prévenir les douleurs nocturnes et la raideur matinale, la dernière dose peut être prise avant le coucher.
  • +La dose quotidienne initiale d’Olfen est généralement de 100 à 150 mg. Dans les cas bénins et lors de traitement à long terme, 75-100 mg par jour sont habituellement suffisants. Pour la dose quotidienne de 75 mg, Olfen 50 Rectocaps doit être combinée avec une autre forme de dosage de diclofénac, comme la tablette pelliculé de 25 mg.
  • +La posologie quotidienne est généralement fractionnée en 2-3 doses.
  • +Pour supprimer les douleurs nocturnes et la raideur matinale, la prise de comprimés pelliculés Diclo-Acino dans la journée peut être complétée par l’application d’un suppositoire Olfen Rectocaps avant le coucher (la dose quotidienne maximale étant de 150 mg).
  • -Les Lactab doivent être pris avec du liquide, de préférence avant les repas: il ne faut ni les fractionner, ni les mâcher.
  • -Depotabs, Depocaps
  • -La posologie quotidienne recommandée d'Olfen retard est de 100–150 mg, soit 1 Depocaps de 100 mg ou 2 Depotabs de 75 mg par jour. Dans les cas bénins et lors de traitement à long terme, 1 Depotabs de 75 mg ou 1 Depocaps de 100 mg par jour est habituellement suffisant. Lorsque les symptômes sont plus marqués la nuit ou le matin, la prise d'Olfen retard s'effectuera plutôt le soir.
  • -Avaler les Depocaps resp. Depotabs avec un peu de liquide de préférence avec les repas, sans les mâcher.
  • +Introduire les Rectocaps profondément dans le rectum et de préférence après être allé à la selle.
  • +Dans le traitement des migraines par Olfen Rectocaps, la dose initiale est de 100 mg dès les premiers signes d’une crise imminente. Si cela s’avère nécessaire, une dose supplémentaire de Rectocaps ne dépassant pas 50 mg peut être administrée le même jour. Si le patient a besoin d’un traitement supplémentaire le lendemain, la dose quotidienne maximale devra être limitée à 150 mg, répartis en plusieurs prises.
  • -Enfants à partir de 1 an et adolescents: 0,5–2 mg/kg de poids corporel/jour selon la gravité de l'affection, répartis en 2–3 doses. Dans l'arthrite chronique juvénile, on peut augmenter la dose quotidienne jusqu'à un maximum de 3 mg/kg de poids corporel, répartis en plusieurs doses.
  • -La dose quotidienne maximale de 150 mg ne doit pas être dépassée.
  • -Ne pas administrer Olfen chez les enfants de moins de 1 an.
  • -En raison de leur teneur en principe actif, il n'est pas recommandé d'administrer aux enfants les Lactab Olfen à 50 mg.
  • -Chez ces patients, il convient d'administrer les Lactab Olfen à 25 mg.
  • -Olfen retard Depotabs à 75 mg et Olfen Depocaps à 100 mg ne conviennent pas aux enfants et aux adolescents.
  • +En raison de leur teneur en principe actif, les suppositoires Olfen Rectocaps 50 mg et 100 mg ne sont pas recommandés pour les enfants. En raison de leur teneur en principe actif, les suppositoires Olfen Rectocaps 50 mg ne sont pas recommandés pour les enfants et les adolescents de moins de 14 ans, les Rectocaps de 100 mg ne conviennent pas aux enfants ni aux adolescents.
  • -Aucun ajustement de la dose initiale n'est nécessaire chez les patients âgés (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucun ajustement de la dose initiale nest nécessaire chez les patients âgés (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -En général, un traitement par Olfen n'est pas recommandé pour les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire ou d'hypertension non contrôlée ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaires importants ne doivent être traités par Olfen qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Patients atteints d'une maladie rénale
  • -Olfen est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance rénale (cf. «Contre-indications»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction rénale limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Olfen aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction rénale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Patients atteints d'une maladie hépatique
  • -Olfen est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance hépatique (cf. «Contre-indications»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction hépatique limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Olfen aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +En général, un traitement par Olfen nest pas recommandé pour les patients atteints dune maladie cardiovasculaire ou dhypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients atteints dune maladie cardiovasculaire ou dhypertension non contrôlée ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaires importants ne doivent être traités par Olfen quaprès une évaluation méticuleuse et, en cas dadministration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients atteints dune maladie rénale
  • +Olfen est contre-indiqué chez les patients atteints dinsuffisance rénale (cf. «Contre-indications»). Aucune étude spécifique na été réalisée chez des patients avec une fonction rénale limitée; il nest donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de ladministration dOlfen aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction rénale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients atteints dune maladie hépatique
  • +Olfen est contre-indiqué chez les patients atteints dinsuffisance hépatique (cf. «Contre-indications»). Aucune étude spécifique na été réalisée chez des patients avec une fonction hépatique limitée; il nest donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de ladministration dOlfen aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -Antécédents de bronchospasme, d'urticaire, de rhinite aiguë, de polypes de la muqueuse nasale ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après la prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients selon la composition.
  • +Antécédent de bronchospasme, urticaire, rhinite aiguë, polypes de la muqueuse nasale ou symptômes de type allergique après la prise dacide acétylsalicylique ou d’un autre anti-inflammatoire non stéroïdien.
  • -Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou hémorragies ou perforations gastro-intestinales.
  • -Maladies intestinales inflammatoires (p.ex. maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • -Insuffisance hépatique (Child pugh, classe C)(cirrhose hépatique et ascite).
  • -Insuffisance rénale (clairance de la créatine <30 ml/min).
  • -Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • -Traitement de douleurs post opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine coeur-poumons).
  • -
  • +Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou hémorragies gastro-intestinales ou perforation.
  • +Maladies intestinales inflammatoires comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse.
  • +Insuffisance hépatique (Child-Pugh classe C) (cirrhose hépatique et ascite).
  • +Insuffisance rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min).
  • +Insuffisance cardiaque grave (NYHA III-IV).
  • +Traitement de douleurs postopératoires après une opération de bypass (et utilisation dune circulation extracorporelle).
  • +Proctite.
  • +
  • -Mise en garde générale pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques:
  • -Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. On ignore cependant si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour le diclofénac à la posologie maximale et dans le cadre d'un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue. Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, diclofénac ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec oedèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le diclofénac ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
  • -Chez les personnes âgées les conséquences sont généralement plus sévères. En cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez un patient sous Olfen, le traitement doit être interrompu.
  • +Précautions générales d’emploi des anti-inflammatoires non stéroïdiens par voie systémique
  • +Des ulcères gastro-intestinaux, hémorragies ou perforations peuvent apparaître sous traitement par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), COX-2 sélectifs ou non, à tout moment et sans signes avant-coureurs ou indication anamnestique. Afin de diminuer ce risque, il faut utiliser la dose minimale efficace sur la période de traitement la plus courte possible.
  • +Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées par placebo ont révélé un risque plus élevé de complications thrombotiques cardio- ou cérébrovasculaires. On ne sait pas encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS concernés. Comme il n’existe pas actuellement de données cliniques comparables lors de traitement au long cours à des doses maximales, un risque similaire ne peut être exclu. Jusqu’à l’obtention de telles données, il ne faut utiliser le diclofénac qu’après avoir soigneusement évalué le rapport risques/bénéfices en cas de maladies coronaires cliniquement avérées, d’affections vasculaires cérébrales, dartériopathies oblitérantes périphériques ou chez les patients avec des facteurs de risque importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme). Pour ces mêmes raisons, il faut administrer la dose minimale efficace pour une durée de traitement la plus courte possible.
  • +La rétention liquidienne avec œdèmes et/ou l’hypertension artérielle sont les effets rénaux des AINS. Chez les patients ayant une fonction cardiaque compromise, et dans les autres situations prédisposant à la rétention liquidienne, le diclofénac doit être utilisé avec prudence. Celle-ci est aussi recommandée chez les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’ECA, ainsi qu’en cas de risque d’hypovolémie élevé.
  • +Chez les personnes âgées, les conséquences sont généralement plus sévères. En cas dhémorragie ou dulcération gastro-intestinale chez un patient sous Olfen, le traitement doit être interrompu.
  • -Des cas de réactions cutanées sévères parfois fatales, comme une dermatite exfoliative, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique ont été très rarement rapportés en relation avec l'administration d'AINS y compris le diclofénac (cf. «Effets indésirables»). Le risque pour les patients semble être le plus important en début de traitement, la réaction survenant généralement au cours du premier mois de traitement. La prise d'Olfen doit être interrompue lors des premiers signes d'éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • -Comme avec d'autres AINS, des réactions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactoïdes, peuvent apparaître avec le diclofénac dans de rares cas, même en l'absence de tout traitement antérieur par ce principe actif.
  • -Masquage des signes d'une infection
  • -En raison de ses propriétés pharmacodynamiques, Olfen peut masquer une symptomatologie infectieuse, comme d'autres AINS.
  • +Des cas de réactions cutanées sévères, parfois fatales, comme une dermatite exfoliative, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique ont été très rarement rapportés en relation avec ladministration dAINS, y compris le diclofénac (cf. «Effets indésirables»). Le risque pour les patients semble être le plus important en début de traitement, la réaction survenant généralement au cours du premier mois de traitement. L’administration d’Olfen doit être interrompue lors des premiers signes déruption cutanée, de lésions des muqueuses ou dautres signes dhypersensibilité.
  • +Comme avec dautres AINS, des réactions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactoïdes, peuvent apparaître dans de rares cas sous diclofénac, même en labsence de toute exposition antérieure à ce médicament.
  • +Masquage des signes dune infection
  • +En raison de ses propriétés pharmacodynamiques, Olfen peut masquer une symptomatologie infectieuse, comme dautres AINS.
  • -L'application conjointe d'Olfen et d'autres AINS systémiques, comme les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2, est à éviter, étant donné le risque d'effets indésirables additifs (voir «Interactions»).
  • -En se basant sur des considérations médicales générales, la prudence s'impose chez les sujets très âgés. Il est recommandé en particulier d'administrer la dose minimale efficace chez les patients âgés fragiles ou chez ceux dont le poids corporel est faible.
  • -Olfen 75 Depotabs et Olfen 100 Depocaps contiennent du lactose. Il est déconseillé aux patients ayant une intolérance héréditaire rare au galactose, un manque grave de lactase ou une malabsorption du glucose et du galactose de prendre Olfen 75 Depotabs et Olfen 100 Depocaps.
  • -Asthme préexistant
  • -Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnière, une enflure de la muqueuse nasale (c'est à dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux d'une rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme d'une exacerbation de l'asthme (intolérance aux analgésiques/asthme aux analgésiques), un oedème de Quincke ou une urticaire sont plus fréquentes que chez d'autres patients. C'est pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (piquet d'urgence). Ceci est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à d'autres substances sous la forme d'une éruption cutanée, d'un prurit ou d'une urticaire.
  • +Lapplication conjointe dOlfen et dautres AINS systémiques, comme les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2, est à éviter, vu qu’il existe un risque deffets indésirables additifs (cf. «Interactions»).
  • +En se basant sur des considérations médicales générales, la prudence simpose chez les sujets très âgés. Il est recommandé en particulier dadministrer la dose minimale efficace chez les patients âgés fragiles ou chez ceux dont le poids corporel est faible.
  • +Effets respiratoires (asthme préexistant)
  • +Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnière, une enflure de la muqueuse nasale (cest à dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux dune rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme dune exacerbation de lasthme (intolérance aux analgésiques/asthme aux analgésiques), un œdème de Quincke ou une urticaire sont plus fréquents que chez dautres patients. Cest pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (piquet durgence). Ceci est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à dautres substances sous la forme dune éruption cutanée, dun prurit ou dune urticaire.
  • -Une surveillance médicale étroite est préconisée comme pour tous les AINS, y compris le diclofénac, et une précaution particulière est indiquée lors de la prescription d'Olfen aux patients ayant des symptômes évoquant des affections gastro-intestinales ou des patients avec des antécédents d'ulcères, d'hémorragies ou de perforations gastriques ou intestinales (cf. «Effets indésirables»). Le risque d'hémorragie gastro-intestinale est plus important avec une dose d'AINS plus élevée, de même que chez les patients avec des antécédents d'ulcère, en particulier lors de complications telles qu'hémorragie ou une perforation ou s'il s'agit d'un patient âgé.
  • -Afin de réduire le risque de toxicité gastro-intestinale chez les patients avec des antécédents d'ulcère, en particulier lors de complications telles qu'une hémorragie ou une perforation ou s'il s'agit d'un patient âgé, le traitement devrait être instauré et poursuivi à la dose minimale efficace.
  • -Il faut envisager la possibilité d'un traitement combiné à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p.ex.) chez ces patients de même que chez ceux qui nécessitent des médicaments contenant une faible dose d'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • -Les patients qui ont des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les patients âgés, devraient signaler tout symptôme abdominal inhabituel (surtout une hémorragie gastro-intestinale). La prudence s'impose chez les patients qui reçoivent simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d'une ulcération ou d'une hémorragie comme par exemple les corticoïdes systémiques, les anticoagulants, les anti-thrombotiques ou les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (cf. «Interactions»).
  • +Une surveillance médicale étroite est préconisée comme pour tous les AINS y compris le diclofénac, et une précaution particulière est indiquée lors de la prescription dOlfen aux patients qui ont des symptômes évoquant des affections gastro-intestinales ou aux patients ayant des antécédents dulcères, dhémorragies ou de perforations des voies gastro-intestinales (cf. «Effets indésirables»). Le risque dhémorragie gastro-intestinale est plus important avec une dose dAINS plus élevée, de même que chez les patients avec un antécédent d’ulcère, en particulier lors de complications telles qu’une hémorragie ou une perforation ou sil sagit dun patient âgé.
  • +Afin de réduire le risque de toxicité gastro-intestinale chez les patients ayant un antécédent d’ulcère, en particulier lors de complications telles quune hémorragie ou une perforation ou sil sagit dun patient âgé, le traitement devrait être instauré et poursuivi à la dose minimale efficace.
  • +Il faut envisager la possibilité dun traitement associé à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p.ex.) chez ces patients, de même que chez ceux qui nécessitent des médicaments contenant une faible dose dacide acétylsalicylique (AAS) ou dautres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • +Les patients qui ont des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les patients âgés, devraient signaler tout symptôme abdominal inhabituel (surtout une hémorragie gastro-intestinale). La prudence simpose chez les patients qui reçoivent simultanément des médicaments pouvant accroître le risque dune ulcération ou dune hémorragie comme par exemple les corticoïdes systémiques, les anticoagulants, les anti-thrombotiques ou les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (cf. «Interactions»).
  • -Une surveillance médicale étroite est nécessaire en cas d'administration d'Olfen/- retard à des patients présentant une insuffisance hépatique, car cela pourrait péjorer leur affection (cf. «Effets indésirables»).
  • -Comme avec tous les AINS, y compris le diclofénac, les valeurs d'une ou de plusieurs enzymes hépatiques peuvent augmenter sous Olfen/- retard. Ceci a été observé très fréquemment avec le diclofénac au cours d'études cliniques (chez environ 15% des patients) mais ne s'accompagne cependant que rarement de symptômes cliniques. Dans la plupart des cas, il s'agit d'élévations limitées. Fréquemment, (dans 2,5% des cas), il s'agissait d'une augmentation modérée des enzymes hépatiques (≥3–<8× la limite supérieure de la norme) alors que l'incidence des augmentations marquées (≥8× la limite supérieure de la norme) n'était que d'env. 1%. Au cours des études cliniques mentionnées ci-dessus, parallèlement à l'augmentation des enzymes hépatiques, des lésions hépatiques cliniquement manifestes ont été observées dans 0,5% des cas. En général, l'augmentation des enzymes hépatiques était réversible après l'arrêt du traitement.
  • -Comme avec les autres AINS la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement prolongé par Olfen/- retard.
  • -Le traitement par Olfen/- retard doit être interrompu lorsque les anomalies des valeurs hépatiques persistent ou s'aggravent ainsi que lorsque apparaissent des signes ou symptômes cliniques faisant suspecter le développement d'une hépatopathie ou d'autres manifestations (p.ex. éosinophilie, éruption cutanée, etc.).
  • -Parallèlement à l'augmentation des enzymes hépatiques, il a été fait état de rares cas de réactions hépatiques graves y compris d'ictère, d'hépatite fulminante, de nécrose hépatique et de défaillance hépatique, dont certains ont eu une issue fatale.
  • -Une hépatite peut se produire sans symptômes avant-coureurs. La prudence s'impose chez les patients atteints de porphyrie hépatique car Olfen/- retard pourrait déclencher une crise.
  • +Une surveillance médicale étroite est nécessaire en cas dadministration dOlfen à des patients avec une insuffisance hépatique, car cela pourrait péjorer leur affection (cf. «Effets indésirables»).
  • +Comme avec tous les AINS, y compris le diclofénac, les valeurs dune ou de plusieurs enzymes hépatiques peuvent augmenter sous Olfen. Ceci a été observé très fréquemment avec le diclofénac au cours détudes cliniques (chez environ 15% des patients), mais ne saccompagne cependant que rarement de symptômes cliniques. Dans la plupart des cas, il sagit délévations limitées. Fréquemment, (dans 2,5 % des cas), il sagissait dune augmentation modérée des enzymes hépatiques (≥3–<8× la limite supérieure de la norme) alors que lincidence des augmentations marquées (≥8× la limite supérieure de la norme) nétait que denv. 1 %. Au cours des études cliniques mentionnées ci-dessus, parallèlement à laugmentation des enzymes hépatiques, des lésions hépatiques cliniquement manifestes ont été observées dans 0,5 % des cas. En général, laugmentation des enzymes hépatiques était réversible après larrêt du traitement.
  • +Comme avec les autres AINS la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement prolongé par Olfen.
  • +Le traitement par Olfen doit être interrompu lorsque les anomalies des valeurs hépatiques persistent ou saggravent ainsi que lorsquapparaissent des signes ou symptômes cliniques faisant suspecter le développement dune hépatopathie ou dautres manifestations (p. ex. éosinophilie, éruption cutanée, etc.).
  • +Parallèlement à laugmentation des enzymes hépatiques, de rares cas de réactions hépatiques graves (y compris dictère, dhépatite fulminante, de nécrose hépatique et de défaillance hépatique), qui ont entraîné la mort dans des cas isolés, ont été rapportés.
  • +Une hépatite peut se produire sans symptômes avant-coureurs. La prudence simpose chez les patients atteints de porphyrie hépatique car Olfen pourrait déclencher une crise.
  • -Compte tenu de l'importance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement prolongé par des AINS à hautes doses, y compris le diclofénac, provoque souvent (1–10%) des oedèmes et une hypertension. Une prudence particulière s'impose chez les sujets présentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rénale, une anamnèse d'hypertension, chez les patients âgés, les malades sous diurétiques ou sous médicaments influençant sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant un important déficit de liquide extracellulaire, quelle qu'en soit la cause, p.ex. dans la phase pré- ou post-opératoire lors d'interventions chirurgicales lourdes (cf. «Contre-indications»). C'est pourquoi, lorsqu'Olfen est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. L'arrêt du traitement permet généralement de retrouver l'état antérieur au traitement.
  • +Compte tenu de limportance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement prolongé par des AINS à hautes doses, y compris le diclofénac, provoque souvent (1-10 %) des œdèmes et une hypertension. Une prudence particulière simpose chez les sujets présentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rénale ou des antécédents d’hypertension, chez les patients âgés, les malades sous diurétiques ou sous médicaments influençant sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant un important déficit de liquide extracellulaire, quelle quen soit la cause, p.ex. dans la phase pré- ou post-opératoire lors dinterventions chirurgicales lourdes (cf. «Contre-indications»). Cest pourquoi, lorsquOlfen est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. Larrêt du traitement permet généralement de retrouver létat antérieur au traitement.
  • -Un traitement par un AINS, y compris par le diclofénac, peut être associé à un risque légèrement accru d'événements thrombotiques cardiovasculaires sévères (y compris infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral), notamment à fortes doses et en cas d'utilisation à long terme.
  • -Généralement, le traitement par Olfen n'est pas recommandé chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire (insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique préexistante, artériopathie oblitérante des membres inférieurs) ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients avec une cardiopathie préexistante, une hypertension non contrôlée ou des facteurs de risque cardiovasculaires importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme) doivent être traités par Olfen qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg/jour au maximum.
  • -Les risques cardiovasculaires du diclofénac pouvant augmenter avec la dose et la durée de l'utilisation, il faut utiliser la dose quotidienne minimale efficace pendant la durée la plus courte possible. La nécessité du soulagement des symptômes pour le patient et la réponse au traitement doivent faire l'objet de réévaluations périodiques, en particulier si le traitement est appliqué pendant plus de 4 semaines.
  • -Les patients doivent faire attention aux signes et symptômes d'événements artériels thromboemboliques sévères (par ex. douleurs thoraciques, souffle court, faiblesse, troubles de l'élocution), qui peuvent survenir sans signes annonciateurs. Il faut enjoindre aux patients de consulter immédiatement un médecin en cas de survenue d'un tel événement.
  • +Un traitement par un AINS, y compris par le diclofénac, peut être associé à un risque légèrement accru dévénements thrombotiques cardiovasculaires sévères (y compris infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral), notamment à fortes doses et en cas dutilisation à long terme.
  • +Généralement, le traitement par Olfen nest pas recommandé chez les patients atteints dune maladie cardiovasculaire (insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique préexistante, artériopathie oblitérante des membres inférieurs) ou dhypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients avec une cardiopathie préexistante, une hypertension non contrôlée ou des facteurs de risque cardiovasculaires importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme) ne doivent être traités par Olfen quaprès une évaluation méticuleuse et, en cas dadministration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg/jour au maximum.
  • +Les risques cardiovasculaires du diclofénac pouvant augmenter avec la dose et la durée de lutilisation, il faut utiliser la dose quotidienne minimale efficace pendant la durée la plus courte possible. La nécessité du soulagement des symptômes pour le patient et la réponse au traitement doivent faire lobjet de réévaluations périodiques, en particulier si le traitement est appliqué pendant plus de 4 semaines.
  • +Les patients doivent faire attention aux signes et symptômes dévénements artériels thromboemboliques sévères (par ex. douleurs thoraciques, souffle court, faiblesse, troubles de lélocution), qui peuvent survenir sans signes annonciateurs. Il faut enjoindre aux patients de consulter immédiatement un médecin en cas de survenue dun tel événement.
  • -Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors de traitement prolongé avec Olfen/- retard ou d'autres AINS.
  • -Une inhibition temporaire de l'agrégation plaquettaire est aussi possible avec Olfen/- retard comme avec les autres AINS. Une surveillance attentive s'impose chez les patients souffrant de troubles de la coagulation.
  • +Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors de traitement prolongé avec Olfen ou dautres AINS.
  • +Une inhibition temporaire de lagrégation plaquettaire est aussi possible avec Olfen comme avec les autres AINS. Une surveillance attentive simpose chez les patients souffrant de troubles de la coagulation.
  • -Les interactions suivantes peuvent être observées sous Olfen/- retard et/ou sous d'autres formes d'application du diclofénac.
  • +Les interactions suivantes peuvent être observées sous Olfen Rectocaps et/ou sous dautres formes galéniques du diclofénac.
  • -La prudence est de rigueur lorsque le diclofénac est utilisé en même temps que de puissants inhibiteurs du CYP2C9 (par ex. voriconazole). L'inhibition du métabolisme du diclofénac peut être à l'origine d'une augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, d'une exposition accrue au diclofénac.
  • +La prudence est de rigueur lorsque le diclofénac est utilisé en même temps que de puissants inhibiteurs du CYP2C9 (p. ex. voriconazole). Linhibition du métabolisme du diclofénac peut être à lorigine dune augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, dune exposition accrue au diclofénac.
  • -Lors d'administration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique du lithium. Un contrôle des taux sériques de lithium est recommandé.
  • +Lors dadministration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique du lithium. Un contrôle des taux sériques de lithium est recommandé.
  • -Lors d'administration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique de la digoxine. Un contrôle des taux sériques de digoxine est recommandé.
  • -Diurétiques et anti-hypertenseurs
  • -Comme avec d'autres AINS, l'administration conjointe du diclofénac avec des diurétiques ou des anti-hypertenseurs (bêtabloquants, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) par ex.) peut provoquer une diminution de leurs effets anti-hypertenseurs. C'est pourquoi il faut être prudent dans l'utilisation d'une association médicamenteuse de ce type et contrôler régulièrement la tension artérielle, notamment chez les patients âgés. Il faut veiller à une hydratation suffisante des patients et la fonction rénale doit être étroitement surveillée après instauration du traitement combiné et par la suite régulièrement, surtout avec les diurétiques et les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, en raison d'un risque élevé de néphrotoxicité. (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Lors dadministration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique de la digoxine. Un contrôle des taux sériques de digoxine est recommandé.
  • +Diurétiques et antihypertenseurs
  • +Comme avec dautres AINS, ladministration concomitante du diclofénac avec des diurétiques ou des antihypertenseurs (bêtabloquants, inhibiteurs de lenzyme de conversion [ECA] p. ex.) peut provoquer une diminution de leurs effets antihypertenseurs. Cest pourquoi il faut être prudent dans lutilisation dune association médicamenteuse de ce type et contrôler régulièrement la tension artérielle, notamment chez les patients âgés. Il faut veiller à une hydratation suffisante des patients et la fonction rénale doit être étroitement surveillée après instauration du traitement associé et régulièrement par la suite, surtout avec les diurétiques et les inhibiteurs de lenzyme de conversion, en raison dun risque élevé de néphrotoxicité (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac peut accroître la néphrotoxicité de la ciclosporine par ses effets sur les prostaglandines rénales. Pour cette raison, le diclofénac doit être administré à des doses plus faibles chez les patients qui reçoivent de la ciclosporine par rapport à ceux qui n'en reçoivent pas.
  • +Comme dautres AINS, le diclofénac peut accroître la néphrotoxicité de la ciclosporine par ses effets sur les prostaglandines rénales. Pour cette raison, le diclofénac doit être administré à des doses plus faibles chez les patients qui reçoivent de la ciclosporine par rapport à ceux qui nen reçoivent pas.
  • -Le traitement concomitant par des diurétiques d'épargne potassique, de la ciclosporine, du tacrolimus ou du triméthoprime peut être associé à une augmentation des concentrations plasmatiques de potassium qu'il convient donc de contrôler fréquemment (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Le traitement concomitant par des diurétiques dépargne potassique, de la ciclosporine, du tacrolimus ou du triméthoprime peut être associé à une augmentation des concentrations plasmatiques de potassium quil convient donc de contrôler fréquemment (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Des cas isolés de convulsions qui auraient pu être dues à l'association d'AINS et de quinolones ont été rapportés.
  • +Des cas isolés de convulsions qui auraient pu être dues à lassociation dAINS et de quinolones ont été rapportés.
  • -L'administration concomitante du diclofénac avec d'autres AINS par voie systémique ou des corticostéroïdes peut augmenter la fréquence des effets indésirables gastro-intestinaux (cf. «Mises en garde et précautions»)
  • +Ladministration concomitante du diclofénac avec dautres AINS systémiques ou des corticostéroïdes peut augmenter la fréquence des effets indésirables gastro-intestinaux (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -La prudence est de rigueur, car une administration conjointe pourrait augmenter le risque d'hémorragies (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Bien que les études cliniques n'indiquent pas que le diclofénac influence l'effet des anticoagulants, des cas isolés de risque accru d'hémorragie lors d'emploi concomitant du diclofénac et d'anticoagulants ont été rapportés; c'est pourquoi une surveillance clinique étroite est recommandée dans de tels cas.
  • +La prudence est de rigueur, car une administration conjointe pourrait augmenter le risque dhémorragies (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Bien que les études cliniques nindiquent pas que le diclofénac influence leffet des anticoagulants, des cas isolés de risque accru dhémorragie lors demploi concomitant du diclofénac et danticoagulants ont été rapportés; cest pourquoi une surveillance clinique étroite est recommandée dans de tels cas.
  • -L'administration concomitante d'AINS par voie systémique, y compris le diclofénac, et d'ISRS peut augmenter le risque d'hémorragies gastro-intestinales (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Ladministration systémique d’AINS, y compris de diclofénac, en association avec un ISRS peut augmenter le risque dhémorragies gastro-intestinales (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Des essais cliniques ont montré que le diclofénac peut être administré conjointement avec des antidiabétiques oraux sans en modifier leur effet clinique. Cependant, des cas isolés d'effets hypoglycémiants et hyperglycémiants en présence du diclofénac ont été rapportés, rendant nécessaire une modification de la posologie des médicaments hypoglycémiants. Pour cette raison il est recommandé, par mesure de précaution, de contrôler les glycémies durant le traitement combiné.
  • +Des essais cliniques ont montré que le diclofénac peut être administré conjointement avec des antidiabétiques oraux sans en modifier leffet clinique. Cependant, des cas isolés deffets hypoglycémiants et hyperglycémiants en présence du diclofénac ont été rapportés, rendant nécessaire une modification de la posologie des médicaments hypoglycémiants. Pour cette raison, il est recommandé, par mesure de précaution, de contrôler la glycémie durant le traitement associé.
  • -La prudence s'impose lorsque des AINS, y compris le diclofénac, sont administrés moins de 24 h avant ou après un traitement au méthotrexate, car la concentration sanguine et la toxicité du méthotrexate peuvent augmenter.
  • +La prudence simpose lorsque des AINS, y compris le diclofénac, sont administrés moins de 24 h avant ou après un traitement au méthotrexate, car la concentration sanguine et la toxicité du méthotrexate peuvent augmenter.
  • -Lorsque la phénytoïne est utilisée en même temps que le diclofénac, une surveillance de la concentration plasmatique de la phénytoïne est recommandée car il faut s'attendre à une augmentation de l'exposition à la phénytoïne.
  • +Lorsque la phénytoïne est utilisée en même temps que le diclofénac, une surveillance de la concentration plasmatique de la phénytoïne est recommandée, car il faut sattendre à une augmentation de lexposition à la phénytoïne.
  • -L'utilisation de diclofénac peut altérer la fertilité féminine et n'est par conséquent pas recommandée chez les femmes désirant concevoir un enfant. Chez les femmes ayant des difficultés de conception ou qui sont en cours d'investigation pour une stérilité, il faut prendre en considération un arrêt éventuel de la prise de diclofénac.
  • -Chez l'animal, une diminution de la fertilité masculine ne peut pas être exclue vu l'existence de données correspondantes (cf. «Données précliniques»). La pertinence de ces observations pour l'être humain n'est pas connue.
  • +Lutilisation de diclofénac peut entraver la fertilité féminine et nest par conséquent pas recommandée chez les femmes désirant concevoir un enfant. Chez les femmes ayant des difficultés de conception ou qui sont en cours dinvestigation pour une stérilité, il faut prendre en considération un arrêt éventuel de la prise de diclofénac.
  • +Chez lanimal, une diminution de la fertilité des mâles ne peut pas être exclue vu lexistence de données correspondantes (cf. «Données précliniques»). La pertinence de ces observations pour lêtre humain nest pas connue.
  • -L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de laparoschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • -Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-foetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse (voir «Données précliniques»).
  • -Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, diclofénac ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si du diclofénac est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -Le diclofénac est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
  • -·exposer le foetus aux risques suivants:
  • -·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire, voir aussi «Données précliniques»),
  • -·atteintes rénales pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios,
  • -·exposer la mère et l'enfant aux risques suivants:
  • -·allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles,
  • -·inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l'accouchement.
  • +Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées détudes épidémiologiques, ladministration dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • +Il a été démontré chez lanimal que ladministration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré et postimplantatoires et une létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris des malformations cardio-vasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines durant la phase de lorganogenèse (cf. «Données précliniques»).
  • +Durant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le diclofénac ne devrait être administré quen cas de nécessité absolue. Si le diclofénac est utilisé par une femme qui désire une grossesse ou pendant le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose devrait être aussi faible que possible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +Le diclofénac est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • +×exposer le fœtus aux risques suivants:
  • +×toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire, cf. également «Données précliniques»),
  • +×trouble de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios,
  • +×exposer la mère et lenfant aux risques suivants:
  • +×prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet antiagrégant pouvant également survenir à très faibles doses,
  • +×inhibition des contractions utérines retardant ou prolongeant le travail.
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel.
  • -Par mesure de précaution, le diclofénac ne doit donc pas être utilisé par les femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
  • +Comme dautres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de précaution, le diclofénac ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être alimenté au biberon avec du lait de formule.
  • -Les patients qui souffrent de troubles de la vue, d'étourdissements, de vertiges, de somnolence ou d'autres troubles nerveux centraux lors d'un traitement par Olfen/- retard doivent renoncer à conduire un véhicule ou utiliser des machines.
  • +Les patients qui souffrent de troubles de la vue, détourdissements, de vertiges, de somnolence ou dautres troubles nerveux centraux sous Olfen doivent renoncer à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
  • -Les effets indésirables mentionnés ci-dessous comprennent ceux qui ont été rapportés pour Olfen/- retard et/ou d'autres formes de présentation du diclofénac, en traitement de courte ou de longue durée.
  • -Incidences
  • -Très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100 <1/10), occasionnels (>1/1'000 <1/100), rares (>1/10'000 <1/1'000), très rares (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables mentionnés ci-dessous comprennent ceux qui ont été rapportés pour Olfen Rectocaps et/ou dautres formes galéniques du diclofénac, en traitement de courte ou de longue durée.
  • +Indications de fréquence
  • +Très fréquents (1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10’000), très rares (<1/10000).
  • -Très rares: angio-oedème (y compris oedème du visage).
  • +Très rares: angio-œdème (y compris œdème du visage).
  • -Affections oculaires
  • -Très rares: troubles de la vision, faiblesse visuelle, diplopie.
  • -Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Troubles oculaires
  • +Très rares: troubles de la vision, faiblesse de la vue, diplopie.
  • +Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Très rares: tinnitus, baisse de l'acuité auditive.
  • +Très rares: acouphènes, baisse de lacuité auditive.
  • -Très rares: hypertension, vasculite.
  • +Très rares: hypertension, vascularite.
  • -Fréquents: nausées, vomissements, diarrhées, dyspepsie, douleurs abdominales, flatulences, diminution de l'appétit.
  • -Rares: gastrite, hémorragie gastro-intestinale, hématémèse, diarrhées avec présence de sang, méléna, ulcère gastro-intestinal (avec ou sans hémorragie/perforation).
  • -Très rares: colite (y compris colite hémorragique et exacerbation d'une colite ulcéreuse ou d'une maladie de Crohn), constipation, stomatite, glossite, troubles oesophagiens, affection diaphragmatique intestinale, pancréatite.
  • -Olfen-75 retard peut provoquer des états inflammatoires chroniques avec pseudomembranes et sténoses dans la région distale de l'intestin (intestin grêle et colon).
  • +Fréquents: nausées, vomissements, diarrhées, dyspepsie, douleurs abdominales, flatulences, diminution de lappétit.
  • +Rares: gastrite, hémorragie gastro-intestinale, hématémèse, diarrhées avec présence de sang, méléna, ulcère gastro-intestinal (avec ou sans hémorragie/perforation), proctite.
  • +Très rares: colite (y compris colite hémorragique et exacerbation dune colite ulcéreuse ou dune maladie de Crohn), constipation, stomatite, glossite, troubles œsophagiens, affection intestinale diaphragmatique, pancréatite, aggravation d’hémorroïdes.
  • -Fréquents: augmentation des transaminases.
  • +Fréquents: augmentation des transaminases sériques.
  • -Très rares: dermatite bulleuse, eczéma, érythème, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique), dermatite exfoliative, alopécie, réaction de photosensibilisation, purpura, purpura de Henoch-Schönlein, prurit.
  • +Très rares: dermatite bulleuse, eczéma, érythème, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell (épidermolyse toxique aiguë), érythrodermie (dermatite exfoliative), alopécie, réaction de photosensibili, purpura, purpura de Schönlein-Henoch, prurit.
  • -Fréquents: rétention de liquide, oedèmes, hypertension artérielle.
  • +Fréquents: rétention de liquide, œdèmes, hypertension artérielle.
  • -Troubles généraux
  • -Rares: oedèmes.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Fréquents: irritation locale.
  • +Rares: œdème.
  • -Les méta-analyses d'études cliniques contrôlées et des données pharmaco-épidémiologiques montrent que l'utilisation du diclofénac, en particulier à hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue durée, peut être mise en corrélation avec des événements thromboemboliques artériels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral par ex.) (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Les méta-analyses détudes cliniques contrôlées et des données pharmaco-épidémiologiques montrent que lutilisation du diclofénac, en particulier à hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue durée, peut être mise en corrélation avec des événements thromboemboliques artériels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral par ex.) (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Il n'existe pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut engendrer des symptômes tels des vomissements, une hémorragie gastro-intestinale, des diarrhées, des étourdissements, un acouphène ou des convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale et à des lésions hépatiques.
  • +Il nexiste pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut engendrer des symptômes tels que des vomissements, une hémorragie gastro-intestinale, des diarrhées, des étourdissements, des acouphènes ou des convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale aiguë et à des lésions hépatiques.
  • -Le traitement de l'intoxication aiguë par les AINS, y compris le diclofénac, consiste essentiellement en une surveillance clinique et en la mise en place de mesures symptomatiques. Les complications telles qu'hypotension, insuffisance rénale, convulsions, irritation gastro-intestinale et dépression respiratoire requièrent une surveillance clinique et un traitement symptomatique.
  • +Le traitement de lintoxication aiguë par les AINS, y compris par le diclofénac, consiste essentiellement en une surveillance clinique et en la mise en place de mesures symptomatiques. Les complications telles quhypotension, insuffisance rénale, convulsions, irritation gastro-intestinale et dépression respiratoire requièrent des mesures de soutien et un traitement symptomatique.
  • -Code ATC: M01AB05
  • -Mécanisme d'action/pharmacodynamie
  • -Olfen contient du diclofénac sodique, un composé non stéroïdien doté de propriétés antirhumatismales, anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques prononcées.
  • -Son mécanisme d'action s'appuie essentiellement sur l'inhibition, prouvée expérimentalement, de la biosynthèse des prostaglandines qui jouent un rôle majeur dans la genèse de l'inflammation, de la douleur et de la fièvre.
  • -In vitro, à des concentrations équivalentes à celles que l'on atteint chez l'homme, Olfen n'inhibe pas la biosynthèse des protéoglycanes dans le cartilage.
  • +Code ATC: M01A B05
  • +Mécanisme daction/pharmacodynamique
  • +Olfen contient du diclofénac sodique, un agent actif non stéroïdien doté de propriétés antirhumatismales, anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques prononcées.
  • +Son mécanisme daction sappuie essentiellement sur linhibition, prouvée expérimentalement, de la biosynthèse des prostaglandines qui jouent un rôle majeur dans la genèse de linflammation, de la douleur et de la fièvre. In vitro, à des concentrations équivalentes à celles que lon atteint chez lhomme, Olfen ninhibe pas la biosynthèse des protéoglycanes dans le cartilage.
  • -Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale, gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et post-opératoires, Olfen soulage rapidement les douleurs spontanées et en mouvement et réduit l'oedème d'origine inflammatoire ainsi que l'oedème d'origine traumatique.
  • -Des études cliniques ont mis en évidence une action analgésique prononcée également dans les douleurs non rhumatismales, modérées et graves. Olfen peut atténuer les douleurs et diminuer l'intensité de l'hémorragie dans la dysménorrhée primaire.
  • +Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques de Diclo-Acino se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale et gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et postopératoires, Olfen soulage rapidement les douleurs spontanées et dues au mouvement et réduit l’œdème dorigine inflammatoire ainsi que l’œdème dorigine traumatique.
  • +Des études cliniques ont mis en évidence une action analgésique prononcée également dans les douleurs non rhumatismales d’intensité modérée à sévère. Diclo-Acino peut atténuer les douleurs et diminuer lintensité de lhémorragie dans la dysménorrhée primaire.
  • +Les suppositoires Olfen Rectocaps ont également une action bénéfique sur les symptômes des crises migraineuses.
  • +
  • -Lactab
  • -L'absorption du diclofénac se fait après le passage des Lactab gastrorésistants dans l'estomac; elle est complète et rapide mais il est possible qu'elle soit retardée au début par l'enrobage gastrorésistant des Lactab. Des concentrations plasmatiques maximales moyennes de 1,5 µg/ml sont atteintes 2 h en moyenne après la prise d'un Lactab à 50 mg. La prise des Lactab pendant ou après un repas ralentit le passage gastrique, par rapport à la prise des Lactab avant le repas. La quantité de diclofénac absorbée reste cependant identique.
  • -Depocaps, Depotabs
  • -Si l'on en juge d'après l'excrétion urinaire du diclofénac inchangé et de ses métabolites hydroxylés, la quantité de diclofénac libérée et absorbée pour Olfen retard Depotabs et Olfen Depocaps est identique à celle obtenue pour les Lactab Olfen gastrorésistants. La disponibilité systémique du diclofénac contenu dans Olfen retard s'élève toutefois en moyenne à 82% de celle que l'on obtient avec la même dose d'Olfen administrée sous forme de Lactab gastrorésistants (probablement à cause de l'effet de «premier passage» dépendant du taux de libération). Le principe actif étant libéré plus lentement à partir d'Olfen retard, les pics de concentration plasmatiques sont moins élevés que ceux que l'on obtient avec les Lactab gastrorésistants.
  • -On atteint des concentrations maximales moyennes de 0.5 µg/ml ou de 0.4 µg/ml 4 h en moyenne après la prise d'un Depocaps/Depotabs à libération modifiée à 100 mg ou 75 mg. La nourriture n'a pas d'influence notable sur l'absorption et la disponibilité systémique du diclofénac.
  • -Par ailleurs, on observe des concentrations plasmatiques moyennes de 13 ng/ml 24 h (16 h) après l'administration d'Olfen Depocaps 100 mg (Olfen retard Depotabs, 75 mg).
  • -Les concentrations plasmatiques minimales se situent aux alentours de 22 ng/ml resp. 25 ng/ml après la prise d'Olfen Depocaps 100 mg une fois par jour, respectivement d'Olfen retard Depotabs 75 mg deux fois par jour.
  • +Labsorption du diclofénac commence rapidement après l’administration des Rectocaps, bien que la vitesse d’absorption soit plus lente que pour les comprimés pelliculés gastro-résistants administrés par voie orale. Après administration des Rectocaps à 50 mg, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en 1 heure en moyenne, mais les concentrations maximales par unité de prise correspondent environ aux deux tiers de celles que l’on obtient après la prise de comprimés pelliculés gastro-résistants.
  • +Près de la moitié du principe actif étant métabolisée dans le foie (effet de «premier passage»), l’aire sous la courbe de concentration (AUC) après l’administration rectale correspond environ à la moitié de celle que lon obtient après une dose parentérale équivalente. Le profil pharmacocinétique n’est pas modifié lors d’administrations répétées. Il n’y a pas d’accumulation lorsque les intervalles posologiques recommandés sont respectés. Les concentrations plasmatiques chez l’enfant recevant des doses équivalentes (mg/kg de poids corporel) sont similaires à celles obtenues chez l’adulte.
  • -Le diclofénac est lié à 99.7% aux protéines sériques, principalement à l'albumine (99.4%).
  • -Le calcul du volume de distribution apparent donne des valeurs se situant entre 0.12 et 0.17 l/kg.
  • -Le diclofénac pénètre dans le liquide synovial où les concentrations maximales sont atteintes 2 à 4 h après le pic plasmatique. La demi-vie apparente d'élimination du liquide synovial est de 3–6 h. Les concentrations de principe actif dans le liquide synovial sont plus élevées que les concentrations plasmatiques déjà deux heures après le pic plasmatique et le restent pendant une période pouvant aller jusqu'à 12 h.
  • -De faibles concentrations de diclofénac ont été décelées dans le lait d'une femme allaitante (100 ng/ml). La quantité estimée, absorbée par un nourrisson allaité, correspond à une dose de 0,03 mg/kg/jour.
  • +Le diclofénac est lié à 99,7 % aux protéines sériques, principalement à lalbumine (99,4 %). Le calcul du volume de distribution apparent donne des valeurs se situant entre 0,12 et 0,17 l/kg. Le diclofénac pénètre dans le liquide synovial où les concentrations maximales sont atteintes 2 à 4 h après le pic plasmatique. La demi-vie d’élimination apparente dans le liquide synovial est de 3–6 h. Les concentrations de principe actif dans le liquide synovial sont plus élevées que les concentrations plasmatiques déjà deux heures après le pic plasmatique et le restent pendant une période pouvant aller jusquà 12 h.
  • +De faibles concentrations de diclofénac ont été décelées dans le lait dune femme allaitante (100 ng/ml). On estime que la quantité absorbée par un nourrisson allaité correspond à une dose de 0,03 mg/kg/jour.
  • -La biotransformation du diclofénac s'effectue en partie par glucuroconjugaison de la molécule inchangée mais surtout par hydroxylation et par méthoxylation simples et multiples entraînant la formation de différents métabolites phénoliques (3'-hydroxy, 4'-hydroxy, 5-hydroxy, 4',5-dihydroxy et 3'-hydroxy-4'-méthoxy diclofénac) qui sont éliminés pour la plupart sous forme glucuroconjuguée. Deux de ces métabolites phénoliques sont pharmacologiquement actifs mais à un degré nettement moindre que le diclofénac.
  • +La biotransformation du diclofénac seffectue en partie par glucuroconjugaison de la molécule inchangée mais surtout par hydroxylation et par méthoxylation simples et multiples entraînant la formation de différents métabolites phénoliques (3-hydroxy, 4-hydroxy, 5-hydroxy, 4,5-dihydroxy et 3-hydroxy-4-méthoxy diclofénac) qui sont éliminés pour la plupart sous forme glucuroconjuguée. Deux de ces métabolites phénoliques sont pharmacologiquement actifs mais à un degré nettement moindre que le diclofénac.
  • -La clairance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min (moyenne ± écart-type). La demi-vie plasmatique terminale est de 1–2 h. Quatre parmi les métabolites, dont les deux actifs, ont également une demi-vie plasmatique brève de 1–3 h. Un autre métabolite, le 3'-hydroxy-4'-méthoxy diclofénac, a en revanche une demi-vie nettement plus longue mais il est pratiquement inactif.
  • -Environ 60% de la dose administrée sont éliminés dans les urines sous la forme de métabolites. Moins de 1% est excrété sous forme inchangée. Le reste est éliminé sous forme de métabolites, par la bile, avec les fèces.
  • +La clairance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min (moyenne ± ET). La demi-vie terminale est de 1–2 h. Quatre des métabolites, dont les deux métabolites actifs, ont également une demi-vie brève de 1–3 h. Le métabolite pratiquement inactif 3’-hydroxy-4-méthoxy-diclofénac a une demi-vie nettement plus longue.
  • +Environ 60 % de la dose administrée sont éliminés par voie rénale sous forme de métabolites. Moins de 1 % est éliminé sous forme inchangée. Le reste est éliminé sous forme de métabolites par voie biliaire dans les selles.
  • -Aucune relation significative entre l'âge des patients et l'absorption, le métabolisme ou l'excrétion du médicament n'a été observée.
  • -Chez les insuffisants rénaux, la cinétique de dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min, la concentration plasmatique des métabolites à l'état d'équilibre est environ quatre fois supérieure à celle enregistrée chez les sujets sains. Les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • -En présence d'une insuffisance hépatique (hépatite chronique ou cirrhose non décompensée), la cinétique et le métabolisme du diclofénac sont les mêmes que chez les patients dont le foie est intact.
  • +Aucune relation significative entre lâge des patients et labsorption, le métabolisme ou lexcrétion du médicament na été observée.
  • +Chez les insuffisants rénaux, la cinétique de dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min, la concentration plasmatique des métabolites à létat déquilibre est environ quatre fois supérieure à celle enregistrée chez les sujets sains. Les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • +En présence dune insuffisance hépatique (hépatite chronique ou cirrhose non décompensée), la cinétique et le métabolisme du diclofénac sont les mêmes que chez les patients dont le foie est intact.
  • -Des résultats précliniques d'études de pharmacologie de sécurité, de toxicité aiguë et de toxicité après applications répétées ainsi que de génotoxicité, mutagénicité et de carcinogenèse du diclofénac n'ont pas montré de risque particulier pour l'homme aux doses thérapeutiques prévues.
  • -L'incidence accrue de lymphomes (thymus) chez la souris et l'incidence accrue de fibromes sous-cutanés, de fibroadénomes (glande mammaire) ou d'adénomes à cellules C (thyroïde) chez le rat ont été dans les limites de contrôle historiques du laboratoire pour la souche animale utilisée et ont été considérées comme fortuites.
  • -Dans toutes les études de toxicité réalisées chez le rat, une hypertrophie des ganglions lymphatiques mésentériques ou une lymphadénite avec hyperplasie réactive ont été observées. Ces modifications se sont accompagnées d'une neutrophilie, laquelle a également été observée dans les études chez le singe. On suppose qu'il s'agit de réactions secondaires aux ulcères gastro-intestinaux observés. Dans une étude sur 2 ans, une augmentation dose-dépendante des occlusions thrombotiques des vaisseaux cardiaques a été observée chez des rats traités par le diclofénac.
  • -Des études supplémentaires indiquent que le diclofénac administré à des doses orales répétées chez le rat (>1 mg/kg de poids corporel) a des effets sur la fertilité (diminution du taux de testostérone, ainsi que réduction du poids des épididymes et des testicules, associées à des modifications histopathologiques). Des effets similaires ont également été observés dans la génération F1 après des doses ≥1.25 mg/kg dans une étude sur 2 générations. Chez le chien, l'administration sous-cutanée quotidienne de 2 mg/kg de diclofénac sodique a augmenté le nombre des spermatides. D'autres études décrivent une diminution du pourcentage de rates s'accouplant après administration répétée de doses de diclofénac ≥0.5 mg/kg. Un effet sur la fertilité aussi bien masculine que féminine ne peut donc pas être exclu.
  • -Le diclofénac passe la barrière placentaire chez les rongeurs. L'administration d'AINS (y compris le diclofénac) a inhibé l'ovulation chez le lapin ainsi que l'implantation et le développement du placenta chez le rat, et a entraîné une fermeture prématurée du canal artériel chez la rate gravide. Chez le rat, des doses de diclofénac toxiques pour la mère ont été associées à une dystocie, un allongement de la gestation, une diminution de la survie fœtale et un retard de croissance intra-utérin. Les faibles effets du diclofénac sur les paramètres de la reproduction et de la mise bas ainsi que sur la fermeture du canal artériel in utero sont des effets pharmacologiques de cette classe d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines (cf. «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • -Dans une étude chez la souris, une tératogénicité (fente palatine) a été observée à la dose de 4 mg/kg, toxique pour les mères. Chez le rat et le lapin, le traitement à des doses allant jusqu'à la dose toxique pour les mères n'a pas entraîné d'effets tératogènes. Un retard d'ossification et une réduction du poids foetal dans une étude chez le lapin ont été les seules modifications observées dans ces études.
  • +Des résultats précliniques détudes de pharmacologie de sécurité, de toxicité aiguë et de toxicité après applications répétées ainsi que de génotoxicité, de mutagénicité et de carcinogénicité du diclofénac nont pas montré de risque particulier pour lhomme aux doses thérapeutiques prévues.
  • +Lincidence accrue de lymphomes (thymus) chez la souris et lincidence accrue de fibromes sous-cutanés, de fibroadénomes (glande mammaire) ou dadénomes à cellules C (thyroïde) chez le rat ont été dans les limites de contrôle historiques du laboratoire pour la souche animale utilisée et ont été considérées comme fortuites.
  • +Dans toutes les études de toxicité réalisées chez le rat, une hypertrophie des ganglions lymphatiques mésentériques ou une lymphadénite avec hyperplasie réactive a été observée. Ces modifications se sont accompagnées dune neutrophilie, laquelle a également été observée dans les études chez le singe. On suppose quil sagit de réactions secondaires aux ulcères gastro-intestinaux observés. Dans une étude sur 2 ans, une augmentation dose-dépendante des occlusions thrombotiques des vaisseaux cardiaques a été observée chez des rats traités par le diclofénac.
  • +Des études supplémentaires indiquent que le diclofénac administré à des doses orales répétées chez le rat (>1 mg/kg de poids corporel) a des effets sur la fertilité (diminution du taux de testostérone ainsi que réductions du poids des épididymes et des testicules, associées à des modifications histopathologiques). Des effets similaires ont également été observés dans la génération F1 après des doses ≥1,25 mg/kg dans une étude sur 2 générations. Chez le chien, ladministration sous-cutanée quotidienne de 2 mg/kg de diclofénac sodique a augmenté le nombre des spermatides. Dautres études décrivent une diminution du pourcentage de rates saccouplant après administration répétée de doses de diclofénac ≥0,5 mg/kg. Un effet sur la fertilité aussi bien masculine que féminine ne peut donc pas être exclu.
  • +Le diclofénac passe la barrière placentaire chez les rongeurs. Ladministration dAINS (y compris le diclofénac) a inhibé lovulation chez le lapin ainsi que limplantation et le développement du placenta chez le rat, et a entraîné une fermeture prématurée du canal artériel chez la rate gravide. Chez le rat, des doses de diclofénac toxiques pour la mère ont été associées à une dystocie, un allongement de la gestation, une diminution de la survie fœtale et un retard de croissance intra-utérin. Les faibles effets du diclofénac sur les paramètres de la reproduction et de la mise bas ainsi que sur la fermeture du canal artériel in utero sont des effets pharmacologiques de cette classe dinhibiteurs de la synthèse des prostaglandines (cf. «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • +Dans une étude chez la souris, une tératogénicité (fente palatine) a été observée à la dose de 4 mg/kg, toxique pour les mères. Chez le rat et le lapin, le traitement à des doses allant jusquà la dose toxique pour les mères na pas entraîné deffets tératogènes. Un retard dossification et une réduction du poids fœtal dans une étude chez le lapin ont été les seules modifications observées dans ces études.
  • -Les médicaments ne doivent pas être utilisés au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C), au sec et dans l'emballage original. Tenir hors de la portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) dans un endroit sec et dans lemballage d’origine. Tenir hors de portée des enfants.
  • +Les Rectocaps ne doivent pas être coupés car de mauvaises conditions de stockage peuvent être à l’origine d’une distribution inhomogène du principe actif.
  • +
  • -46519, 54702, 46851 (Swissmedic).
  • +46852 (Swissmedic)
  • -Lactab à 25 mg: 30 et 100 (B)
  • -Lactab à 50 mg: 20 et 100 (B)
  • -Depotabs à 75 mg: 20 et 100 (B)
  • -Depocaps à 100 mg: 10, 30 et 100 (B)
  • +Olfen 50, Rectocaps: 10 (B)
  • +Olfen 100, Rectocaps: 5 (B)
  • -Mepha Pharma AG, Basel.
  • +Acino Pharma AG, Liesberg
  • -Numéro de version interne: 5.3
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