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Accueil - Information professionnelle sur Trittico 50 mg - Changements - 09.06.2021
110 Changements de l'information professionelle Trittico 50 mg
  • -Principe actif: Trazodone HCl.
  • +Principes actifs
  • +Chlorhydrate de trazodone.
  • -Comprimés filmés à 50 mg: Lactose monohydrate, hydrogénophosphate de calcium, colorant jaune orangé (E110), amidon de maïs, povidone, carboxyméthylamidon sodique, cellulose microcristalline, stéarate de magnésium, éthylcellulose, huile de ricin, cire de carnauba, talc.
  • -Comprimésfilmés à 100 mg: Lactose monohydrate, hydrogénophosphate de calcium, amidon de maïs, povidone, carboxyméthylamidon sodique, cellulose microcristalline, stéarate de magnésium, éthylcellulose, huile de ricin, cire de carnauba, talc.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 comprimé filmé à 50 mg contient: Trazodone HCl 50 mg, corresp. Trazodone 45,5 mg.
  • -1 comprimé filmé à 100 mg contient: Trazodone HCl 100 mg, corresp. Trazodone 91,1 mg.
  • +Comprimés filmés à 50 mg: Lactose monohydrate (83.5 mg), hydrogénophosphate de calcium dihydraté, jaune orangé S (E110) 0.1 mg, amidon de maïs, povidone, carboxyméthylamidon sodique, cellulose microcristalline, stéarate de magnésium, éthylcellulose, huile de ricin vierge, cire de carnauba, talc. Sodium total: 0.95 mg.
  • +Comprimés filmés à 100 mg: Lactose monohydrate (167.19 mg), hydrogénophosphate de calcium dihydraté, amidon de maïs, povidone, carboxyméthylamidon sodique, cellulose microcristalline, stéarate de magnésium, éthylcellulose, huile de ricin vierge, cire de carnauba, talc. Sodium total: 1.9 mg.
  • +
  • +
  • -Les comprimés filmés sont sécables pour permettre une augmentation/réduction graduelle de la posologie, en fonction de la gravité de la maladie, du poids, de lâge et de la condition générale du patient.
  • +Les comprimés filmés sont sécables pour permettre une augmentation/réduction graduelle de la posologie, en fonction de la gravité de la maladie, du poids, de l'âge et de la condition générale du patient.
  • -2ème semaine: 200 mg/j,
  • -semaines suivantes: selon besoin, la posologie peut être augmentée jusquà 300 mg/j, à administrer en une prise unique ou fractionnée. La prise la plus élevée est à administrer le soir au coucher.
  • -Chez les patients hospitalisés, la dose peut être augmentée jusquà 600 mg/j en prises fractionnées.
  • +2ème semaine: 200 mg/j,
  • +semaines suivantes: selon besoin, la posologie peut être augmentée jusqu'à 300 mg/j, à administrer en une prise unique ou fractionnée. La prise la plus élevée est à administrer le soir au coucher.
  • +Chez les patients hospitalisés, la dose peut être augmentée jusqu'à 600 mg/j en prises fractionnées.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +
  • -Hypersensibilité connue à la trazodone ou à lun des excipients.
  • -Intoxication à lalcool ou avec des hypnotiques et infarctus aigu du myocarde.
  • -En raison de la présence de lactose, ce médicament nest pas indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
  • +Hypersensibilité connue à la trazodone ou à l'un des excipients.
  • +Intoxication à l'alcool ou avec des hypnotiques et infarctus aigu du myocarde.
  • +En raison de la présence de lactose, ce médicament n'est pas indiqué chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares).
  • -Une dépression est associée à un risque accru de pensées suicidaires, dautomutilations et de suicide. Une aggravation des pensées suicidaires peut survenir pendant un traitement antidépresseur. Lanalyse détudes contrôlées montre en outre que ce risque est le plus élevé au début du traitement et en général chez les enfants et les adolescents.
  • +Une dépression est associée à un risque accru de pensées suicidaires, d'automutilations et de suicide. Une aggravation des pensées suicidaires peut survenir pendant un traitement antidépresseur. L'analyse d'études contrôlées montre en outre que ce risque est le plus élevé au début du traitement et en général chez les enfants et les adolescents.
  • -Les patients traités avec des antidépresseurs doivent donc faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes d'une aggravation de la dépression, en particulier du comportement suicidaire, ainsi que de linquiétude et de lagitation psychomotrice; ces symptômes surviennent surtout en début de traitement et lors de changement de doses. Cette surveillance doit cependant être maintenue même après larrêt du traitement, car de tels symptômes peuvent être le signe dun manque lié au sevrage ou du début dune rechute.
  • +Les patients traités avec des antidépresseurs doivent donc faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes d'une aggravation de la dépression, en particulier du comportement suicidaire, ainsi que de l'inquiétude et de l'agitation psychomotrice; ces symptômes surviennent surtout en début de traitement et lors de changement de doses. Cette surveillance doit cependant être maintenue même après l'arrêt du traitement, car de tels symptômes peuvent être le signe d'un manque lié au sevrage ou du début d'une rechute.
  • -Un traitement antidépresseur nest pas indiqué pour éviter une hospitalisation pour cause de mise en danger du patient par lui-même. Au début du traitement en particulier, il convient de prescrire le médicament dans le plus petit conditionnement disponible, afin de diminuer le risque de mise en danger du patient par lui-même.
  • -Outre la dépression, dautres diagnostiques psychiatriques peuvent être associés à un risque accru de comportement suicidaire et il convient dobserver les mêmes mesures de précaution que dans le cadre du traitement dune dépression.
  • -Les comprimés pelliculés à 50 mg contiennent le colorant azoïque jaune orangé S (E 110); ils doivent être utilisés avec précaution chez les patients souffrant dune hypersensibilité aux colorants azoïques, à lacide acétylsalicylique et à dautres inhibiteurs des prostaglandines.
  • +Un traitement antidépresseur n'est pas indiqué pour éviter une hospitalisation pour cause de mise en danger du patient par lui-même. Au début du traitement en particulier, il convient de prescrire le médicament dans le plus petit conditionnement disponible, afin de diminuer le risque de mise en danger du patient par lui-même.
  • +Outre la dépression, d'autres diagnostiques psychiatriques peuvent être associés à un risque accru de comportement suicidaire et il convient d'observer les mêmes mesures de précaution que dans le cadre du traitement d'une dépression.
  • +Les comprimés pelliculés à 50 mg contiennent le colorant azoïque jaune orangé S (E 110); ils doivent être utilisés avec précaution chez les patients souffrant d'une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique et à d'autres inhibiteurs des prostaglandines.
  • -·Patients présentant des troubles cardiaques tels quangine de poitrine, troubles de la conduction, blocs AV de degrés variables, infarctus du myocarde récent.
  • +·Patients présentant des troubles cardiaques tels qu'angine de poitrine, troubles de la conduction, blocs AV de degrés variables, infarctus du myocarde récent.
  • -·Troubles mictionnels tels quune hypertrophie de la prostate, bien quil ny ait pas lieu de craindre des effets indésirables, leffet anticholinergique de la trazodone nétant que mineur.
  • -·Glaucome à angle aigu et augmentation de la pression intraoculaire (bien quon ne doive pas sattendre à un changement majeur, vu le faible effet anticholinergique de la trazodone).
  • -En cas dapparition de jaunisse, le traitement avec la trazodone doit être interrompu.
  • -Ladministration dantidépresseurs chez les patients schizophréniques ou atteints dautres troubles psychotiques peut conduire à une détérioration des symptômes psychotiques. Les pensées paranoïdes peuvent sexacerber. Au cours dun traitement avec la trazodone, une phase dépressive peut passer dune psychose maniaco-dépressive à une phase de manie. Dans de tels cas, la thérapie doit être interrompue.
  • +·Troubles mictionnels tels qu'une hypertrophie de la prostate, bien qu'il n'y ait pas lieu de craindre des effets indésirables, l'effet anticholinergique de la trazodone n'étant que mineur.
  • +·Glaucome à angle aigu et augmentation de la pression intraoculaire (bien qu'on ne doive pas s'attendre à un changement majeur, vu le faible effet anticholinergique de la trazodone).
  • +En cas d'apparition de jaunisse, le traitement avec la trazodone doit être interrompu.
  • +L'administration d'antidépresseurs chez les patients schizophréniques ou atteints d'autres troubles psychotiques peut conduire à une détérioration des symptômes psychotiques. Les pensées paranoïdes peuvent s'exacerber. Au cours d'un traitement avec la trazodone, une phase dépressive peut passer d'une psychose maniaco-dépressive à une phase de manie. Dans de tels cas, la thérapie doit être interrompue.
  • -Comme lagranulocytose peut se manifester sous forme de symptômes grippaux, de maux de gorge et de fièvre, un contrôle hématologique est conseillé lors de lapparition de tels symptômes.
  • -Une hypotension (y c. hypotension orthostatique et syncope) a été rapportée lors de la prise de trazodone. Ladministration simultanée dun antihypertenseur et de trazodone peut nécessiter la réduction de la posologie de lantihypertenseur.
  • +Comme l'agranulocytose peut se manifester sous forme de symptômes grippaux, de maux de gorge et de fièvre, un contrôle hématologique est conseillé lors de l'apparition de tels symptômes.
  • +Une hypotension (y c. hypotension orthostatique et syncope) a été rapportée lors de la prise de trazodone. L'administration simultanée d'un antihypertenseur et de trazodone peut nécessiter la réduction de la posologie de l'antihypertenseur.
  • -Lors de traitement avec la trazodone, en particulier sur une période prolongée, une diminution graduelle du dosage est recommandée lors de larrêt du traitement afin de minimiser le risque de symptômes de sevrage (nausée, céphalée, malaise).
  • -Il ny a pas dévidence que la trazodone induise une dépendance.
  • -Comme pour les autres antidépresseurs, des cas de prolongation QT ont été très rarement rapportés pour la trazodone. La prudence est recommandée lors de co-médication avec dautres médicaments allongeant lintervalle QT. La trazodone devrait être administrée avec prudence chez les patients ayant des maladies cardiovasculaires (notamment celles associées avec un prolongement de lintervalle QT).
  • +Lors de traitement avec la trazodone, en particulier sur une période prolongée, une diminution graduelle du dosage est recommandée lors de l'arrêt du traitement afin de minimiser le risque de symptômes de sevrage (nausée, céphalée, malaise).
  • +Il n'y a pas d'évidence que la trazodone induise une dépendance.
  • +Comme pour les autres antidépresseurs, des cas de prolongation QT ont été très rarement rapportés pour la trazodone. La prudence est recommandée lors de co-médication avec d'autres médicaments allongeant l'intervalle QT. La trazodone devrait être administrée avec prudence chez les patients ayant des maladies cardiovasculaires (notamment celles associées avec un prolongement de l'intervalle QT).
  • -A linstar des médicaments ayant une activité alpha-adrénolytique, la trazodone a été associée très rarement avec le priapisme. Cet effet secondaire peut être traité avec une injection intracaverneuse de substance alpha-adrénergique tel que ladrénaline ou le métaraminol. Des cas de priapisme induits par la trazodone ayant nécessité une intervention chirurgicale ou mené à une dysfonction sexuelle irréversible ont cependant été rapportés. Les patients développant cet effet indésirable doivent immédiatement arrêter la prise de la trazodone.
  • +A l'instar des médicaments ayant une activité alpha-adrénolytique, la trazodone a été associée très rarement avec le priapisme. Cet effet secondaire peut être traité avec une injection intracaverneuse de substance alpha-adrénergique tel que l'adrénaline ou le métaraminol. Des cas de priapisme induits par la trazodone ayant nécessité une intervention chirurgicale ou mené à une dysfonction sexuelle irréversible ont cependant été rapportés. Les patients développant cet effet indésirable doivent immédiatement arrêter la prise de la trazodone.
  • +Excipients
  • +Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
  • +Les comprimés filmés 50 mg contiennt jaune orangé S (E110). Le colorant azoïque peut provoquer des réactions allergiques.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (39 mg) de potassium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans potassium».
  • +
  • -Des études in vitro du métabolisme du médicament suggèrent des interactions potentielles si la trazodone est administrée avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que lérythromycine, le kétoconazole, litraconazole, le ritonavir, lindinavir et la néfazodone.
  • -Les inhibiteurs du CYP3A4 semblent pouvoir conduire à de substantielles augmentations des concentrations plasmatiques de trazodone. Des études chez des patients sains ont démontré que lors de ladministration de 200 mg de ritonavir 2×/j, la concentration plasmatique de la trazodone a plus que doublé, provoquant des nausées, syncope et hypotension.
  • +Des études in vitro du métabolisme du médicament suggèrent des interactions potentielles si la trazodone est administrée avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que l'érythromycine, le kétoconazole, l'itraconazole, le ritonavir, l'indinavir et la néfazodone.
  • +Les inhibiteurs du CYP3A4 semblent pouvoir conduire à de substantielles augmentations des concentrations plasmatiques de trazodone. Des études chez des patients sains ont démontré que lors de l'administration de 200 mg de ritonavir 2×/j, la concentration plasmatique de la trazodone a plus que doublé, provoquant des nausées, syncope et hypotension.
  • -La carbamazépine réduit les concentrations plasmatiques de trazodone, en cas de co-administration. Ladministration concomitante de carbamazépine à 400 mg/j a mené à une diminution de la concentration plasmatique de la trazodone et de son métabolite actif présumé m-chlorophenylpiperazine de 76% et 60% respectivement. Les patients devraient être suivis de près pour voir sil est nécessaire daugmenter la dose de trazodone.
  • +La carbamazépine réduit les concentrations plasmatiques de trazodone, en cas de co-administration. L'administration concomitante de carbamazépine à 400 mg/j a mené à une diminution de la concentration plasmatique de la trazodone et de son métabolite actif présumé m-chlorophenylpiperazine de 76% et 60% respectivement. Les patients devraient être suivis de près pour voir s'il est nécessaire d'augmenter la dose de trazodone.
  • -Ladministration concomitante devrait être évitée vu le risque dinteraction. Le risque dun syndrome sérotoninergique et deffets indésirables cardiovasculaires devraient être pris en considération.
  • +L'administration concomitante devrait être évitée vu le risque d'interaction. Le risque d'un syndrome sérotoninergique et d'effets indésirables cardiovasculaires devraient être pris en considération.
  • -De rares cas délévation du taux plasmatique de la trazodone et deffets indésirables ont été rapportés lors de co-médication avec la fluoxétine, un inhibiteur du CYP1A2/2D6. Le mécanisme daction responsable de cette interaction pharmacocinétique na pas été complètement élucidé. Une interaction pharmacodynamique (syndrome sérotoninergique) ne peut pas être exclue.
  • +De rares cas d'élévation du taux plasmatique de la trazodone et d'effets indésirables ont été rapportés lors de co-médication avec la fluoxétine, un inhibiteur du CYP1A2/2D6. Le mécanisme d'action responsable de cette interaction pharmacocinétique n'a pas été complètement élucidé. Une interaction pharmacodynamique (syndrome sérotoninergique) ne peut pas être exclue.
  • -Des interactions ayant une relation possible avec les IMAO ont été occasionnellement rapportées. Bien que certains cliniciens administrent les deux médicaments simultanément, lutilisation concomitante (ou avec un intervalle de moins de 2 semaines après larrêt de ces substances) de la trazodone avec les IMAO nest pas recommandée. Ladministration dun IMAO à moins dune semaine dintervalle après larrêt de la trazodone nest également pas recommandée.
  • +Des interactions ayant une relation possible avec les IMAO ont été occasionnellement rapportées. Bien que certains cliniciens administrent les deux médicaments simultanément, l'utilisation concomitante (ou avec un intervalle de moins de 2 semaines après l'arrêt de ces substances) de la trazodone avec les IMAO n'est pas recommandée. L'administration d'un IMAO à moins d'une semaine d'intervalle après l'arrêt de la trazodone n'est également pas recommandée.
  • -Des hypotensions orthostatiques sévères ont été observées lors dutilisation concomitante avec les phénothiazines (p.ex. chlorpromazine, fluphénazine, lévomepromazine, perphénazine).
  • +Des hypotensions orthostatiques sévères ont été observées lors d'utilisation concomitante avec les phénothiazines (p.ex. chlorpromazine, fluphénazine, lévomepromazine, perphénazine).
  • -Des cas dinteractions sous forme de syndrome sérotoninergique et syndrome neuroleptique malin ont été rapportés lors dadministration concomitante avec de la trazodone.
  • +Des cas d'interactions sous forme de syndrome sérotoninergique et syndrome neuroleptique malin ont été rapportés lors d'administration concomitante avec de la trazodone.
  • -La trazodone peut renforcer les effets des myorelaxants et des anesthésiques par inhalation. La prudence est recommandée lors dutilisation concomitante.
  • +La trazodone peut renforcer les effets des myorelaxants et des anesthésiques par inhalation. La prudence est recommandée lors d'utilisation concomitante.
  • -La trazodone renforce les effets sédatifs de lalcool. La consommation dalcool devrait être évitée lors dun traitement avec de la trazodone.
  • +La trazodone renforce les effets sédatifs de l'alcool. La consommation d'alcool devrait être évitée lors d'un traitement avec de la trazodone.
  • -Ladministration concomitante de la trazodone avec des substances prolongeant lintervalle QT peut augmenter le risque darythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointes. La prudence est recommandée lors dadministration simultanée de ces substances avec la trazodone.
  • -Etant donné que la trazodone est un inhibiteur très faible de la recapture de la noradrénaline et ne modifie pas leffet de la tyramine sur la pression sanguine, une interférence sur leffet hypotensif des substances telles que la guanéthidine est improbable. Cependant des études précliniques suggèrent que la trazodone peut inhiber les effets aigus de la clonidine.
  • -Bien quaucune interaction nait été rapportée, la possibilité dun renforcement de leffet dautres substances antihypertensives devrait être prise en considération.
  • +L'administration concomitante de la trazodone avec des substances prolongeant l'intervalle QT peut augmenter le risque d'arythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointes. La prudence est recommandée lors d'administration simultanée de ces substances avec la trazodone.
  • +Etant donné que la trazodone est un inhibiteur très faible de la recapture de la noradrénaline et ne modifie pas l'effet de la tyramine sur la pression sanguine, une interférence sur l'effet hypotensif des substances telles que la guanéthidine est improbable. Cependant des études précliniques suggèrent que la trazodone peut inhiber les effets aigus de la clonidine.
  • +Bien qu'aucune interaction n'ait été rapportée, la possibilité d'un renforcement de l'effet d'autres substances antihypertensives devrait être prise en considération.
  • -Les effets indésirables peuvent être plus fréquents en cas dadministration simultanée de préparations à base dHypericum perforatum.
  • +Les effets indésirables peuvent être plus fréquents en cas d'administration simultanée de préparations à base d'Hypericum perforatum.
  • -Des données sur un nombre restreint (<200) de grossesses nont pas montré deffet indésirable de la trazodone sur la grossesse. Aucune autre donnée épidémiologique pertinente nest disponible actuellement. Les études précliniques ont révélé une toxicité de la reproduction en présence de toxicité maternelle (voir «Données précliniques»).
  • -La trazodone ne devrait pas être administrée durant la grossesse, sauf si le traitement est absolument indispensable. Si la trazodone est administrée jusquà laccouchement, les nouveau-nés devraient être surveillés pour le risque du syndrome de sevrage.
  • +Des données sur un nombre restreint (<200) de grossesses n'ont pas montré d'effet indésirable de la trazodone sur la grossesse. Aucune autre donnée épidémiologique pertinente n'est disponible actuellement. Les études précliniques ont révélé une toxicité de la reproduction en présence de toxicité maternelle (voir «Données précliniques»).
  • +La trazodone ne devrait pas être administrée durant la grossesse, sauf si le traitement est absolument indispensable. Si la trazodone est administrée jusqu'à l'accouchement, les nouveau-nés devraient être surveillés pour le risque du syndrome de sevrage.
  • -Des données restreintes indiquent que le passage de la trazodone dans le lait maternel est faible. Par contre aucune information sur la quantité des métabolites actifs excrétés dans le lait maternel nest disponible. Dû au manque de données, la trazodone ne devrait pas être administrée durant lallaitement; ou lallaitement devrait être stoppé en cas de traitement avec la trazodone.
  • +Des données restreintes indiquent que le passage de la trazodone dans le lait maternel est faible. Par contre aucune information sur la quantité des métabolites actifs excrétés dans le lait maternel n'est disponible. Dû au manque de données, la trazodone ne devrait pas être administrée durant l'allaitement; ou l'allaitement devrait être stoppé en cas de traitement avec la trazodone.
  • -Les symptômes suivants (parmi lesquels certains sont couramment rapportés lors dune dépression non-traitée) ont été également signalés chez les patients sous trazodone.
  • +Les symptômes suivants (parmi lesquels certains sont couramment rapportés lors d'une dépression non-traitée) ont été également signalés chez les patients sous trazodone.
  • -«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10000), «très rares» (<1/10000).
  • +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1'000), «rares» (<1/1'000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Occasionnels: en raison de la présence du colorant azoïque E 110, les comprimés filmés à 50 mg peuvent entraîner des réactions dhypersensibilité de la peau et des organes respiratoires, en particulier chez les patients souffrant dasthme, durticaire chronique ou présentant une hypersensibilité aux AINS.
  • +Occasionnels: en raison de la présence du colorant azoïque E 110, les comprimés filmés à 50 mg peuvent entraîner des réactions d'hypersensibilité de la peau et des organes respiratoires, en particulier chez les patients souffrant d'asthme, d'urticaire chronique ou présentant une hypersensibilité aux AINS.
  • -Occasionnels: syndrome de sécrétion inappropriée de lhormone antidiurétique (SIADH).
  • +Occasionnels: syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone antidiurétique (SIADH).
  • -Occasionnels: perte de poids, hyponatrémie (le statut des fluides et des électrolytes devrait être surveillé chez les patients symptomatiques), anorexie, augmentation de lappétit.
  • +Occasionnels: perte de poids, hyponatrémie (le statut des fluides et des électrolytes devrait être surveillé chez les patients symptomatiques), anorexie, augmentation de l'appétit.
  • -Occasionnels: syndromes sérotoninergiques, convulsions, étourdissements, vertiges, maux de tête, diminution de lattention, agitation, tremblement, trouble de la mémoire, myoclonie, aphasie expressive, dystonie, dysgueusie.
  • +Occasionnels: syndromes sérotoninergiques, convulsions, étourdissements, vertiges, maux de tête, diminution de l'attention, agitation, tremblement, trouble de la mémoire, myoclonie, aphasie expressive, dystonie, dysgueusie.
  • -Rares: arythmies cardiaques2) (y compris torsade de pointes, palpitations, contractions ventriculaires prématurées, couplets ventriculaires, tachycardies ventriculaires), bradycardie, tachycardie, anomalies dans lECG (allongement de lintervalle QT: voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -2) Les études précliniques ont montré que la trazodone présente une cardiotoxicité moindre que celle des antidépresseurs tricycliques. Les études cliniques suggèrent que la trazodone engendrerait moins darythmies cardiaques. Les études cliniques auprès de patients présentant une maladie cardiaque préexistante indique que la trazodone peut être arythmogénique chez certains dentre eux.
  • +Rares: arythmies cardiaques2) (y compris torsade de pointes, palpitations, contractions ventriculaires prématurées, couplets ventriculaires, tachycardies ventriculaires), bradycardie, tachycardie, anomalies dans l'ECG (allongement de l'intervalle QT: voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +2) Les études précliniques ont montré que la trazodone présente une cardiotoxicité moindre que celle des antidépresseurs tricycliques. Les études cliniques suggèrent que la trazodone engendrerait moins d'arythmies cardiaques. Les études cliniques auprès de patients présentant une maladie cardiaque préexistante indique que la trazodone peut être arythmogénique chez certains d'entre eux.
  • -Occasionnels: nausées, vomissements, diarrhées, douleur destomac, dyspepsie, gastroentérite.
  • +Occasionnels: nausées, vomissements, diarrhées, douleur d'estomac, dyspepsie, gastroentérite.
  • -Rares: troubles de la fonction hépatique, parfois sérieux, (dont jaunisse et dommages aux cellules hépatiques)*), cholestase intrahépatique, élévation des enzymes hépatiques.
  • +Rares: troubles de la fonction hépatique, parfois sérieux, (dont jaunisse et dommages aux cellules hépatiques)*, cholestase intrahépatique, élévation des enzymes hépatiques.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site dadministration
  • +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -*) Dans de tels cas la thérapie devrait être interrompue immédiatement.
  • +* Dans de tels cas la thérapie devrait être interrompue immédiatement.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Effets indésirables les plus fréquemment rapportés lors de surdosage: étourdissement, somnolence, nausées et vomissements. Dans des cas plus graves: coma, tachycardie, hypotension, hyponatrémie, convulsions et arrêt respiratoire. Les symptômes cardiaques peuvent comprendre: bradycardie, allongement de lintervalle QT et torsades de pointes. Les symptômes peuvent apparaître en lespace de 24 heures ou plus après le surdosage.
  • -Un surdosage de trazodone en combinaison avec dautres antidépresseurs peut provoquer un syndrome sérotoninergique.
  • +Effets indésirables les plus fréquemment rapportés lors de surdosage: étourdissement, somnolence, nausées et vomissements. Dans des cas plus graves: coma, tachycardie, hypotension, hyponatrémie, convulsions et arrêt respiratoire. Les symptômes cardiaques peuvent comprendre: bradycardie, allongement de l'intervalle QT et torsades de pointes. Les symptômes peuvent apparaître en l'espace de 24 heures ou plus après le surdosage.
  • +Un surdosage de trazodone en combinaison avec d'autres antidépresseurs peut provoquer un syndrome sérotoninergique.
  • -Il nexiste pas dantidote spécifique pour la trazodone. Ladministration de charbon actif dans lheure suivant lapparition des symptômes est à envisager pour les adultes ayant ingéré plus de 1 g de trazodone, ou chez les enfants ayant ingéré plus de 150 mg de trazodone. Lalternative dun lavage gastrique peut être considérée chez les adultes, dans lheure suivant lingestion dune dose potentiellement mortelle. Surveiller le patient au minimum 6 heures après lingestion (ou 12 h dans le cas de la prise de la formulation retard). Surveiller la pression sanguine, le pouls et le score de Glasgow (Glasgow Coma Scale (GCS). Surveiller la saturation en oxygène si le score de GCS est bas. Un monitoring cardiaque est indiqué chez les patients symptomatiques.
  • -Les convulsions brèves et isolées ne nécessitent pas dintervention. Traiter les convulsions fréquentes et prolongées avec du diazépam i.v. (0.1-0.3 mg/kg poids corporel) ou du lorazépam (4 mg/kg [adulte] et 0.05 mg/kg [enfant]). Si ces mesures ne permettent pas de maîtriser les attaques, une perfusion i.v. de phénytoïne peut savérer utile. Administrer de loxygène et corriger les perturbations de léquilibre acide-base et métaboliques si nécessaire.
  • -En cas dhypotension et de sédation excessive, un traitement symptomatique et de soutien devrait être instauré. Si une hypotension sévère persiste, ladministration dinotropes (p.ex. dopamine ou dobutamine) est à considérer.
  • +Il n'existe pas d'antidote spécifique pour la trazodone. L'administration de charbon actif dans l'heure suivant l'apparition des symptômes est à envisager pour les adultes ayant ingéré plus de 1 g de trazodone, ou chez les enfants ayant ingéré plus de 150 mg de trazodone. L'alternative d'un lavage gastrique peut être considérée chez les adultes, dans l'heure suivant l'ingestion d'une dose potentiellement mortelle. Surveiller le patient au minimum 6 heures après l'ingestion (ou 12 h dans le cas de la prise de la formulation retard). Surveiller la pression sanguine, le pouls et le score de Glasgow (Glasgow Coma Scale (GCS). Surveiller la saturation en oxygène si le score de GCS est bas. Un monitoring cardiaque est indiqué chez les patients symptomatiques.
  • +Les convulsions brèves et isolées ne nécessitent pas d'intervention. Traiter les convulsions fréquentes et prolongées avec du diazépam i.v. (0.1-0.3 mg/kg poids corporel) ou du lorazépam (4 mg/kg [adulte] et 0.05 mg/kg [enfant]). Si ces mesures ne permettent pas de maîtriser les attaques, une perfusion i.v. de phénytoïne peut s'avérer utile. Administrer de l'oxygène et corriger les perturbations de l'équilibre acide-base et métaboliques si nécessaire.
  • +En cas d'hypotension et de sédation excessive, un traitement symptomatique et de soutien devrait être instauré. Si une hypotension sévère persiste, l'administration d'inotropes (p.ex. dopamine ou dobutamine) est à considérer.
  • -Code ATC: N06AX05
  • -Mécanisme d'action, pharmacodynamique
  • +Code ATC
  • +N06AX05
  • +Mécanisme d'action
  • +Pharmacodynamique
  • -La trazodone est un dérivé triazolopyridinique efficace dans le traitement de troubles dépressifs y compris la dépression avec anxiété et troubles du sommeil et caractérisé par un début daction rapide (environ 1 semaine).
  • +La trazodone est un dérivé triazolopyridinique efficace dans le traitement de troubles dépressifs y compris la dépression avec anxiété et troubles du sommeil et caractérisé par un début d'action rapide (environ 1 semaine).
  • -Après application d'une dose unique orale de 100 mg à des patients jeunes, une Cmax de 1,2 µg/ml est atteinte avec Tmax = 1 h. LAUC0-∞ est de 7,3 µg/ml/h. Demi-vie d’élimination: 6,6 h.
  • -En comparant les surfaces sous les courbes de concentration plasmatique après administration i.v. et orale, aucune différence significative n'a pu être constatée. Labsorption, après administration orale, correspond pratiquement à 100%.
  • -L'élimination de la trazodone se fait principalement par voie rénale. Elle est ralentie chez les patients âgés.
  • -Distribution et métabolisme
  • -La trazodone est fortement métabolisée dans l'organisme et seul 0,1% est éliminé par les urines. La principale voie métabolique est représentée par des produits d'oxydation (et leurs conjugués) et d'hydrolyse.
  • +Absorption
  • +Après application d'une dose unique orale de 100 mg à des patients jeunes, une Cmax de 1.2 µg/ml est atteinte avec Tmax = 1 h. L'AUC0-∞ est de 7.3 µg/ml/h.
  • +En comparant les surfaces sous les courbes de concentration plasmatique après administration i.v. et orale, aucune différence significative n'a pu être constatée. L'absorption, après administration orale, correspond pratiquement à 100%.
  • +Distribution
  • +La liaison aux protéines est d'env. 95% et le volume de distribution d'env. 0.8 l/kg de poids corporel.
  • +Métabolisme
  • +La trazodone est fortement métabolisée dans l'organisme et seul 0.1% est éliminé par les urines. La principale voie métabolique est représentée par des produits d'oxydation (et leurs conjugués) et d'hydrolyse.
  • -La liaison aux protéines est d'env. 95% et le volume de distribution d'env. 0,8 l/kg de poids corporel.
  • +Élimination
  • +Demi-vie d'élimination: 6.6 h.
  • +L'élimination de la trazodone se fait principalement par voie rénale. Elle est ralentie chez les patients âgés.
  • -Chez les personnes âgées, l'élimination est ralentie: après application d'une dose unique de 100 mg à des patients âgés, une Cmax de 1,6 µg/ml est atteinte avec Tmax denviron 1,5 h. LAUC0-∞ est de 17 µg/ml/h. Après administration répétée, Tmax et AUC demeurent pratiquement inchangés et la Cmax est denviron 2 µg/ml.
  • -Demi-vie délimination: 9-11 h.
  • +Chez les personnes âgées, l'élimination est ralentie: après application d'une dose unique de 100 mg à des patients âgés, une Cmax de 1.6 µg/ml est atteinte avec Tmax d'environ 1.5 h. L'AUC0-∞ est de 17 µg/ml/h. Après administration répétée, Tmax et AUC demeurent pratiquement inchangés et la Cmax est d'environ 2 µg/ml.
  • +Demi-vie d'élimination: 9-11 h.
  • -Des études subchroniques ont été effectuées chez le rat, le lapin et le chien, et des études chroniques chez le rat, le chien et le singe, avec administration orale de :
  • +Des études subchroniques ont été effectuées chez le rat, le lapin et le chien, et des études chroniques chez le rat, le chien et le singe, avec administration orale de:
  • -Chez le chien: renforcement des effets dune intoxication aiguë. NOEL: 10 mg/kg/j.
  • +Chez le chien: renforcement des effets d'une intoxication aiguë. NOEL: 10 mg/kg/j.
  • -Chez le rat, avec des doses jusquà 300 mg/kg/j, on na observé aucun effet sur la fertilité. Augmentation des effets létaux sur lembryon, aux doses toxiques pour lorganisme maternel (300-450 mg/kg/j).
  • -Chez le lapin, des effets létaux sur lembryon et de rares cas danomalies congénitales nont été observés quaux doses toxiques chez les mères (210-450 mg/kg/j).
  • -Labsence deffets directs sur lembryon est confirmée, chez le rat, par des études sur le passage placentaire de la trazodone: seule une concentration négligeable du principe actif a été observée dans les tissus embryonnaires et le liquide amniotique. Des études péri- et post-natale chez le rat nont montré quune réduction du poids corporel des nourrissons à des doses supérieures à 30 mg/kg/j.
  • +Chez le rat, avec des doses jusqu'à 300 mg/kg/j, on n'a observé aucun effet sur la fertilité. Augmentation des effets létaux sur l'embryon, aux doses toxiques pour l'organisme maternel (300-450 mg/kg/j).
  • +Chez le lapin, des effets létaux sur l'embryon et de rares cas d'anomalies congénitales n'ont été observés qu'aux doses toxiques chez les mères (150-450 mg/kg/j).
  • +L'absence d'effets directs sur l'embryon est confirmée, chez le rat, par des études sur le passage placentaire de la trazodone: seule une concentration négligeable du principe actif a été observée dans les tissus embryonnaires et le liquide amniotique. Des études péri- et post-natale chez le rat n'ont montré qu'une réduction du poids corporel des nourrissons à des doses supérieures à 30 mg/kg/j.
  • -Les tests in vitro et in vivo (micronucléus de souris, analyse de métaphase chromosomique chez le rat) nont montré aucun effet mutagène.
  • +Les tests in vitro et in vivo (micronucléus de souris, analyse de métaphase chromosomique chez le rat) n'ont montré aucun effet mutagène.
  • -Les études chez la souris et le rat nont montré aucun potentiel carcinogène.
  • +Les études chez la souris et le rat n'ont montré aucun potentiel carcinogène.
  • -Les effets cardiovasculaires ont été étudiés chez le rat, le cochon dInde, le chat et le chien. Ils nont montré aucune variation dECG aux doses non hypotensives.
  • +Les effets cardiovasculaires ont été étudiés chez le rat, le cochon d'Inde, le chat et le chien. Ils n'ont montré aucune variation d'ECG aux doses non hypotensives.
  • -Des doses uniques de 20 mg/kg chez la rate ont causé une légère augmentation de la prolactine. Cet effet disparaît lors de ladministration chronique.
  • +Des doses uniques de 20 mg/kg chez la rate ont causé une légère augmentation de la prolactine. Cet effet disparaît lors de l'administration chronique.
  • -2 études chez le rat ont exclu tout potentiel deffet de dépendance au médicament.
  • +2 études chez le rat ont exclu tout potentiel d'effet de dépendance au médicament.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -A température ambiante (15-25 °C), hors de portée des enfants.
  • +Influence sur les méthodes de diagnostic
  • +Interférence avec des tests urinaires:
  • +Lorsque des dosages immunologiques sont utilisés pour le dépistage de drogues dans l'urine, une réactivité du métabolite trazodone méta-chlorophénylpipérazine (m-CPP) qui est structurellement similaire à la méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA, ecstasy) peut provoquer une fausse positivité pour l'amphétamine. Dans ce cas, il est recommandé d'effectuer une analyse de confirmation par spectrométrie de masse (MS).
  • +Stabilité
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C). Tenir hors de portée des enfants.
  • -OM Pharma Suisse SA, Villars-sur-Glâne
  • +OM Pharma Suisse SA, Villars-sur-Glâne.
  • -Octobre 2012.
  • +Décembre 2020.
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