90 Changements de l'information professionelle Tilcotil |
-Tilcotil est indiqué pour le traitement symptomatique des affections douloureuses suivantes de l’appareil locomoteur, qui sont de nature inflammatoire et dégénérative:
-polyarthrite rhumatoïde;
-ostéoarthrite, ostéoarthrose;
-spondylarthrite ankylosante (maladie de Bechterew);
-affections abarticulaires telles que tendinite, bursite, périarthrite de l’épaule (syndrome épaule-main) ou de la hanche, distensions ligamentaires et entorses;
-goutte aiguë.
- +Tilcotil est indiqué pour le traitement symptomatique des affections douloureuses suivantes de l'appareil locomoteur, qui sont de nature inflammatoire et dégénérative:
- +·polyarthrite rhumatoïde;
- +·ostéoarthrite, ostéoarthrose;
- +·spondylarthrite ankylosante (maladie de Bechterew);
- +·affections abarticulaires telles que tendinite, bursite, périarthrite de l'épaule (syndrome épaule-main) ou de la hanche, distensions ligamentaires et entorses;
- +·goutte aiguë.
-Dans toutes les indications à l’exception de la goutte, Tilcotil doit être pris à raison de 20 mg une fois par jour (1 comprimé), toujours au même moment de la journée.
-Bien que l’effet thérapeutique de Tilcotil se manifeste peu après le début du traitement, la réponse ne cesse d’augmenter au cours des deux premières semaines, jusqu’à ce que la concentration plasmatique ait atteint l’état d’équilibre.
-Eviter d’administrer des doses journalières supérieures à 20 mg, car cela augmenterait la fréquence et l’intensité des effets indésirables sans accroître sensiblement l’efficacité du traitement.
-Chez les patients pour lesquels un traitement de longue durée est nécessaire, la dose orale d’entretien peut être ramenée, à titre d’essai, à 10 mg (½ comprimé).
-Lors d’accès de goutte aiguë, il est recommandé de prendre une dose quotidienne de 40 mg (2 comprimés) une fois par jour pendant deux jours, puis 20 mg (1 comprimé) une fois par jour pendant les cinq jours suivants.
- +Dans toutes les indications à l'exception de la goutte, Tilcotil doit être pris à raison de 20 mg une fois par jour (1 comprimé), toujours au même moment de la journée.
- +Bien que l'effet thérapeutique de Tilcotil se manifeste peu après le début du traitement, la réponse ne cesse d'augmenter au cours des deux premières semaines, jusqu'à ce que la concentration plasmatique ait atteint l'état d'équilibre.
- +Eviter d'administrer des doses journalières supérieures à 20 mg, car cela augmenterait la fréquence et l'intensité des effets indésirables sans accroître sensiblement l'efficacité du traitement.
- +Chez les patients pour lesquels un traitement de longue durée est nécessaire, la dose orale d'entretien peut être ramenée, à titre d'essai, à 10 mg (½ comprimé).
- +Lors d'accès de goutte aiguë, il est recommandé de prendre une dose quotidienne de 40 mg (2 comprimés) une fois par jour pendant deux jours, puis 20 mg (1 comprimé) une fois par jour pendant les cinq jours suivants.
-En principe, les recommandations posologiques citées précédemment s’appliquent aussi aux patients âgés et à ceux qui souffrent d’une affection rénale ou hépatique (voir sous «Mises en garde et précautions»).
-Faute d’expérience clinique dans ce domaine, il n’y a pas, à ce jour, de posologie qui puisse être recommandée pour les patients de moins de 18 ans.
-Mode et durée d’administration
-Prendre les comprimés avec un verre d’eau, pendant ou après un repas, toujours au même moment de la journée.
- +En principe, les recommandations posologiques citées précédemment s'appliquent aussi aux patients âgés et à ceux qui souffrent d'une affection rénale ou hépatique (voir sous «Mises en garde et précautions»).
- +Faute d'expérience clinique dans ce domaine, il n'y a pas, à ce jour, de posologie qui puisse être recommandée pour les patients de moins de 18 ans.
- +Mode et durée d'administration
- +Prendre les comprimés avec un verre d'eau, pendant ou après un repas, toujours au même moment de la journée.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients conformément à la composition.
-Antécédents de bronchospasmes, d’urticaire ou de symptômes de type allergique (comme asthme ou rhinite) suite à la prise d’acide acétylsalicylique ou d’un autre AINS.
-Dernier trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
-Ulcère gastrique et/ou duodénal évolutif ou hémorragie gastro-intestinale.
-Affections intestinales inflammatoires telles que maladie de Crohn ou colite ulcéreuse.
-Insuffisance hépatique sévère (cirrhose du foie et ascite).
-Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min).
-Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III à IV).
-Traitement postopératoire après une opération de pontage coronarien (ou utilisation d’une machine coeur-poumons).
-Avant une anesthésie ou une intervention chirurgicale, ne pas administrer ce produit aux patients âgés ni aux malades présentant un risque accru de défaillance rénale ou d’hémorragie, en raison d’une augmentation – comme c’est le cas avec tout AINS – du risque de défaillance rénale aiguë et de la perturbation possible de l’hémostase.
-L’association avec des salicylés ou avec d’autres AINS doit être évitée, compte tenu du risque accru d’effets secondaires gastro-intestinaux.
- +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
- +·Antécédents de bronchospasmes, d'urticaire ou de symptômes de type allergique (comme asthme ou rhinite) suite à la prise d'acide acétylsalicylique ou d'un autre AINS.
- +·Dernier trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +·Ulcère gastrique et/ou duodénal évolutif ou hémorragie gastro-intestinale.
- +·Affections intestinales inflammatoires telles que maladie de Crohn ou colite ulcéreuse.
- +·Insuffisance hépatique sévère (cirrhose du foie et ascite).
- +·Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min).
- +·Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III à IV).
- +·Traitement postopératoire après une opération de pontage coronarien (ou utilisation d'une machine cœur-poumons).
- +Avant une anesthésie ou une intervention chirurgicale, ne pas administrer ce produit aux patients âgés ni aux malades présentant un risque accru de défaillance rénale ou d'hémorragie, en raison d'une augmentation – comme c'est le cas avec tout AINS – du risque de défaillance rénale aiguë et de la perturbation possible de l'hémostase.
- +L'association avec des salicylés ou avec d'autres AINS doit être évitée, compte tenu du risque accru d'effets secondaires gastro-intestinaux.
-Contre-indications relatives
-Patients âgés ou patients dont l’état de santé pourrait accroître le risque d’insuffisance rénale, notamment dans les cas suivants:
-affection rénale préexistante;
-troubles de la fonction rénale chez les diabétiques;
-insuffisance cardiaque congestive;
-hypovolémie;
-traitement simultané par des diurétiques;
-traitement simultané par des médicaments au potentiel néphrotoxique connu;
-traitement simultané par des corticostéroïdes.
-Chez de tels patients, le risque est très élevé en phase périopératoire et postopératoire, en raison de l’importante perte de sang subie pendant l’opération. Ces patients doivent par conséquent être étroitement surveillés pendant la phase postopératoire et la phase de récupération.
-Mise en garde générale pour l’utilisation d’antirhumatismaux non stéroïdiens systémiques
-Des ulcérations, des hémorragies ou des perforations gastro-intestinales peuvent survenir à tout moment, même sans symptômes précurseurs ou signes anamnestiques, pendant le traitement par antirhumatismaux non stéroïdiens (AINS), sélectifs ou non de la COX-2. Pour réduire ce risque, il convient d’administrer la plus petite dose efficace pendant une durée de traitement la plus courte possible.
-Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence un risque accru de complications cardiovasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. On ne sait pas encore si ce risque est directement corrélé avec la sélectivité COX-1/COX-2 des différents AINS. En l’absence de données cliniques comparatives issues d’études relatives à la ténoxicam administrée à une dose maximale et à long terme, on ne peut pas exclure un risque accru similaire. Tant qu’on ne disposera pas de données à ce sujet, les patients présentant des coronaropathies cliniquement établies, des affections cérébrovasculaires, des artériopathies périphériques oblitérantes ou des facteurs de risque considérables (p.ex. hypertension artérielle, hyperlipidémie, diabète, tabagisme), devront être traités par ténoxicam uniquement après une évaluation approfondie des bénéfices et des risques. En raison de ce risque également, il convient également d’administrer la plus petite dose efficace pendant une durée de traitement la plus courte possible.
-Les effets rénaux des AINS comprennent une rétention hydrique avec des oedèmes et/ou une hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d’autres états prédisposant à la rétention hydrique, la ténoxicam devra être administrée avec précaution. La prudence est également de rigueur chez des patients traités de manière concomitante par des diurétiques ou des IEC ainsi que chez ceux présentant un risque accru d’hypovolémie.
-L’utilisation du ténoxicam en même temps que d’autres antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase 2, doit être évitée.
-Chez les patients âgés, les traitements aux AINS sont associés à un risque accru d’hémorragies et perforations gastro-intestinales, éventuellement à issue fatale. Les patients affaiblis semblent moins bien supporter les ulcères et les hémorragies que les autres groupes de patients. La plupart des complications gastro-intestinales à issue fatale sont survenues lors de l’utilisation d’AINS chez des patients âgés et/ou affaiblis. Le risque d’hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales augmente avec la dose d’AINS chez les patients ayant des antécédents d’ulcères, surtout compliqués d’hémorragies ou de perforations (voir «Contre-indications»), ainsi que chez les patients âgés. Le traitement de ces patients doit être commencé avec la plus faible dose efficace. Un traitement associé avec des médicaments protecteurs (p.ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) doit être envisagé chez ces patients, tout comme chez les patients recevant en même temps un traitement englobant de l’aspirine faiblement dosée ou d’autres agents susceptibles d’accroître le risque gastro-intestinal (voir ci-dessous et «Interactions»).
-La prudence est de rigueur chez les patients traités de façon concomitante avec un médicament susceptible d’accroître le risque d’ulcération ou d’hémorragie, comme par exemple les corticostéroïdes oraux, les anticoagulants de type coumarinique, les inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS) ou les antiagrégants plaquettaires comme par exemple l’aspirine (voir «Interactions»).
- +Patients âgés ou patients dont l'état de santé pourrait accroître le risque d'insuffisance rénale, notamment dans les cas suivants:
- +·affection rénale préexistante;
- +·troubles de la fonction rénale chez les diabétiques;
- +·insuffisance cardiaque congestive;
- +·hypovolémie;
- +·traitement simultané par des diurétiques;
- +·traitement simultané par des médicaments au potentiel néphrotoxique connu;
- +·traitement simultané par des corticostéroïdes.
- +Chez de tels patients, le risque est très élevé en phase périopératoire et postopératoire, en raison de l'importante perte de sang subie pendant l'opération. Ces patients doivent par conséquent être étroitement surveillés pendant la phase postopératoire et la phase de récupération.
- +En raison de la forte liaison du ténoxicam aux protéines plasmatiques, la prudence est de mise lors d'une diminution de la concentration plasmatique d'albumine.
- +Mise en garde générale pour l'utilisation d'antirhumatismaux non stéroïdiens systémiques
- +Des ulcérations, des hémorragies ou des perforations gastro-intestinales peuvent survenir à tout moment, même sans symptômes précurseurs ou signes anamnestiques, pendant le traitement par antirhumatismaux non stéroïdiens (AINS), sélectifs ou non de la COX-2. Pour réduire ce risque, il convient d'administrer la plus petite dose efficace pendant une durée de traitement la plus courte possible.
- +Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence un risque accru de complications cardiovasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. On ne sait pas encore si ce risque est directement corrélé avec la sélectivité COX-1/COX-2 des différents AINS. En l'absence de données cliniques comparatives issues d'études relatives à la ténoxicam administrée à une dose maximale et à long terme, on ne peut pas exclure un risque accru similaire. Tant qu'on ne disposera pas de données à ce sujet, les patients présentant des coronaropathies cliniquement établies, des affections cérébrovasculaires, des artériopathies périphériques oblitérantes ou des facteurs de risque considérables (p.ex. hypertension artérielle, hyperlipidémie, diabète, tabagisme), devront être traités par ténoxicam uniquement après une évaluation approfondie des bénéfices et des risques. En raison de ce risque également, il convient également d'administrer la plus petite dose efficace pendant une durée de traitement la plus courte possible.
- +Les effets rénaux des AINS comprennent une rétention hydrique avec des œdèmes et/ou une hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états prédisposant à la rétention hydrique, la ténoxicam devra être administrée avec précaution. La prudence est également de rigueur chez des patients traités de manière concomitante par des diurétiques ou des IEC ainsi que chez ceux présentant un risque accru d'hypovolémie.
- +L'utilisation du ténoxicam en même temps que d'autres antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS), y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase 2, doit être évitée.
- +Chez les patients âgés en particulier, les traitements aux AINS sont associés à un risque accru d'hémorragies et perforations gastro-intestinales, éventuellement à issue fatale. Les patients affaiblis semblent moins bien supporter les ulcères et les hémorragies que les autres groupes de patients. La plupart des complications gastro-intestinales à issue fatale sont survenues lors de l'utilisation d'AINS chez des patients âgés et/ou affaiblis. Le risque d'hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales augmente avec la dose d'AINS chez les patients ayant des antécédents d'ulcères, surtout compliqués d'hémorragies ou de perforations (voir «Contre-indications»), ainsi que chez les patients âgés. Lorsqu'un AINS est jugé nécessaire, le traitement de ces patients doit être commencé avec la plus faible dose efficace et être administré pendant la durée la plus courte possible. Le patient doit être régulièrement surveillé au cours du traitement par AINS afin de détecter toute hémorragie gastro-intestinale. Un traitement associé avec des médicaments protecteurs (p.ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) doit être envisagé chez ces patients, tout comme chez les patients recevant en même temps un traitement englobant de l'aspirine faiblement dosée ou d'autres agents susceptibles d'accroître le risque gastro-intestinal (voir ci-dessous et «Interactions»).
- +La prudence est de rigueur chez les patients traités de façon concomitante avec un médicament susceptible d'accroître le risque d'ulcération ou d'hémorragie, comme par exemple les corticostéroïdes oraux, les anticoagulants de type coumarinique, les inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine (ISRS) ou les antiagrégants plaquettaires comme par exemple l'aspirine (voir «Interactions»).
-Des réactions cutanées sévères, parfois mortelles – y compris dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique – ont été rapportées dans de très rares cas en rapport avec l’utilisation d’AINS (voir «Effets indésirables»). Le risque le plus élevé de subir de telles réactions semble exister au début du traitement: les réactions ont commencé en majorité au cours du premier mois de traitement. Le traitement par Tilcotil doit être arrêté immédiatement aux premiers signes d’une réaction cutanée sérieuse.
- +Des réactions cutanées sévères, parfois mortelles – y compris dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique – ont été rapportées dans de très rares cas en rapport avec l'utilisation d'AINS (voir «Effets indésirables»). Le risque le plus élevé de subir de telles réactions semble exister au début du traitement: les réactions ont commencé en majorité au cours du premier mois de traitement. Le traitement par Tilcotil doit être arrêté immédiatement aux premiers signes d'une réaction cutanée sérieuse.
-Le ténoxicam inhibe l’agrégation plaquettaire et peut influencer l’hémostase. Tilcotil n’exerce pas d’influence significative sur les facteurs de coagulation, sur la durée de coagulation, sur le temps de Quick ou sur le temps de céphaline activée.
- +Le ténoxicam inhibe l'agrégation plaquettaire et peut influencer l'hémostase. Tilcotil n'exerce pas d'influence significative sur les facteurs de coagulation, sur la durée de coagulation, sur le temps de Quick ou sur le temps de céphaline activée.
-Comme c’est le cas pour d’autres AINS, il convient de renoncer à tout traitement simultané par des anticoagulants et/ou des antidiabétiques oraux si le patient ne peut pas faire l’objet de contrôles réguliers.
-L’inhibition de la prostaglandine synthétase peut avoir des effets indésirables au niveau de la fonction rénale. C’est pourquoi il est nécessaire de surveiller cette dernière de façon appropriée (azote uréique sanguin, créatinine, développement d’oedèmes, prise de poids, etc.) lorsque Tilcotil – ou tout autre AINS – est administré à des patients âgés ou à des patients dont l’état de santé pourrait accroître le risque de défaillance rénale (voir sous «Contre-indications relatives»).
- +Comme c'est le cas pour d'autres AINS, il convient de renoncer à tout traitement simultané par des anticoagulants et/ou des antidiabétiques oraux si le patient ne peut pas faire l'objet de contrôles réguliers.
- +L'inhibition de la prostaglandine synthétase peut avoir des effets indésirables au niveau de la fonction rénale. C'est pourquoi il est nécessaire de surveiller cette dernière de façon appropriée (azote uréique sanguin, créatinine, développement d'œdèmes, prise de poids, etc.) lorsque Tilcotil – ou tout autre AINS – est administré à des patients âgés ou à des patients dont l'état de santé pourrait accroître le risque de défaillance rénale (voir sous «Contre-indications relatives»).
-Les patients souffrant d’une hypertension non contrôlée, d’une insuffisance cardiaque décompensée, d’une maladie cardiaque ischémique préexistante, d’une artériopathie périphérique et/ou d’une maladie cérébrovasculaire ne doivent recevoir Tilcotil qu’après une évaluation soigneuse. Des réflexions similaires sont de mise également avant l’initiation d’un traitement prolongé chez les patients présentant des facteurs de risque cardio-vasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme).
-Une surveillance de la fonction rénale et du débit urinaire est nécessaire chez les patients ayant des antécédents d’hypertension et/ou d’insuffisance cardiaque décompensée de grade léger à modéré, étant donné que des accumulations de liquide et des oedèmes ont été rapportés chez ces groupes de patients en rapport avec des traitements aux AINS. Les patients doivent être instruits en conséquence.
-Les essais cliniques et les données épidémiologiques suggèrent qu’une utilisation d’inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase 2 (anti-COX-2) et de certains AINS, surtout en doses élevées et dans le cadre de traitements prolongés, peut être associée à un risque accru de complications thrombotiques artériels (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
- +Les patients souffrant d'une hypertension non contrôlée, d'une insuffisance cardiaque décompensée, d'une maladie cardiaque ischémique préexistante, d'une artériopathie périphérique et/ou d'une maladie cérébrovasculaire ne doivent recevoir Tilcotil qu'après une évaluation soigneuse. Des réflexions similaires sont de mise également avant l'initiation d'un traitement prolongé chez les patients présentant des facteurs de risque cardio-vasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme).
- +Une surveillance de la fonction rénale et du débit urinaire est nécessaire chez les patients ayant des antécédents d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque décompensée de grade léger à modéré, étant donné que des accumulations de liquide et des œdèmes ont été rapportés chez ces groupes de patients en rapport avec des traitements aux AINS. Les patients doivent être instruits en conséquence.
- +Les essais cliniques et les données épidémiologiques suggèrent qu'une utilisation d'inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase 2 (anti-COX-2) et de certains AINS, surtout en doses élevées et dans le cadre de traitements prolongés, peut être associée à un risque accru de complications thrombotiques artériels (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
-Des résultats contradictoires d’examens oculaires ont été rapportés après traitement par des AINS, notamment par Tilcotil. C’est pourquoi il convient de procéder à un bilan ophtalmologique chez les patients présentant des troubles de la vision apparus récemment.
- +Des résultats contradictoires d'examens oculaires ont été rapportés après traitement par des AINS, notamment par Tilcotil. C'est pourquoi il convient de procéder à un bilan ophtalmologique chez les patients présentant des troubles de la vision apparus récemment.
-Comme tous les anti-inflammatoires, Tilcotil est susceptible de réprimer les symptômes normaux d’une inflammation.
-Intolérance au lactose
- +Comme tous les anti-inflammatoires, Tilcotil est susceptible de réprimer les symptômes normaux d'une inflammation.
- +Intolérances
- +Les patients présentant une intolérance héréditaire au galactose ou une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre les comprimés pelliculés Tilcotil.
-Comme c’est le cas avec d’autres AINS, les salicylates évincent le ténoxicam de ses sites de liaison aux protéines et accroissent ainsi sa clairance ainsi que son volume de distribution (voir sous «Mises en garde et précautions»). Le traitement simultané par Tilcotil et des salicylates ou d’autres AINS est déconseillé en raison du risque élevé d’effets indésirables.
- +Comme c'est le cas avec d'autres AINS, les salicylates évincent le ténoxicam de ses sites de liaison aux protéines et accroissent ainsi sa clairance ainsi que son volume de distribution (voir sous «Mises en garde et précautions»). Le traitement simultané par Tilcotil et des salicylates ou d'autres AINS est déconseillé en raison du risque élevé d'effets indésirables.
-Il existe un risque accru d’hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions») lors de l’administration d’un AINS en association avec un antiagrégant plaquettaire ou un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS).
- +Il existe un risque accru d'hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions») lors de l'administration d'un AINS en association avec un antiagrégant plaquettaire ou un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS).
-L’utilisation concomitante de méthotrexate et de certains AINS a été mise en relation avec une sécrétion réduite dans les tubules rénaux, des concentrations plasmatiques élevées et une toxicité importante du méthotrexate. La prudence est donc de rigueur lors d’utilisation simultanée de méthotrexate et de Tilcotil.
- +L'utilisation concomitante de méthotrexate et de certains AINS a été mise en relation avec une sécrétion réduite dans les tubules rénaux, des concentrations plasmatiques élevées et une toxicité importante du méthotrexate. La prudence est donc de rigueur lors d'utilisation simultanée de méthotrexate et de Tilcotil.
-Etant donné que Tilcotil diminue la clairance rénale du lithium, l’utilisation conjointe des deux substances peut entraîner des concentrations plasmatiques élevées et une toxicité plus importante du lithium.
- +Etant donné que Tilcotil diminue la clairance rénale du lithium, l'utilisation conjointe des deux substances peut entraîner des concentrations plasmatiques élevées et une toxicité plus importante du lithium.
- +Les concentrations de lithium doivent être étroitement surveillées.
- +
-Comme c’est le cas pour les AINS en général, Tilcotil ne doit pas être administré en même temps que des diurétiques épargnant le potassium. L’interaction entre les deux classes de substances est connue et peut provoquer une hyperkaliémie ainsi qu’une défaillance rénale.
-Aucune interaction cliniquement significative n’a été observée entre Tilcotil et le furosémide. En revanche, Tilcotil atténue l’effet antihypertensif de l’hydrochlorothiazide. Comme c’est le cas pour d’autres AINS, Tilcotil peut également atténuer l’effet antihypertensif des alphabloquants et des inhibiteurs de l’ECA.
-Aucune interaction n’a été observée entre Tilcotil et des agonistes des récepteurs alpha d’action centrale ou des antagonistes du calcium.
-De même, aucune interaction cliniquement notable n’a été constatée lors d’utilisation simultanée de Tilcotil et d’aténolol.
-Pendant les essais cliniques, aucune interaction n’a été mise en évidence entre Tilcotil et les digitaliques. Tilcotil et la digoxine peuvent donc être administrés simultanément sans grand risque.
- +Comme c'est le cas pour les AINS en général, Tilcotil ne doit pas être administré en même temps que des diurétiques épargnant le potassium. L'interaction entre les deux classes de substances est connue et peut provoquer une hyperkaliémie ainsi qu'une défaillance rénale.
- +Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée entre Tilcotil et le furosémide. En revanche, Tilcotil atténue l'effet antihypertensif de l'hydrochlorothiazide. Comme c'est le cas pour d'autres AINS, Tilcotil peut également atténuer l'effet antihypertensif des alpha-bloquants, des antagonistes bêta-adrénerqigues et des inhibiteurs de l'ECA.
- +De même, aucune interaction cliniquement notable n'a été constatée lors d'utilisation simultanée de Tilcotil et d'aténolol.
- +Pendant les essais cliniques, aucune interaction n'a été mise en évidence entre Tilcotil et les digitaliques. Tilcotil et la digoxine peuvent donc être administrés simultanément sans grand risque.
-Aucune interaction cliniquement notable n’a été constatée lors d’administration simultanée de Tilcotil et d’anti-acides – notamment la cimétidine – aux posologies recommandées.
- +Aucune interaction cliniquement notable n'a été constatée lors d'administration simultanée de Tilcotil et d'anti-acides – notamment la cimétidine – aux posologies recommandées.
-L’administration simultanée de probénécide et de ténoxicam peut entraîner une augmentation de la concentration plasmatique de ténoxicam. L’importance clinique de cette observation n’a pas encore été démontrée.
- +L'administration simultanée de probénécide et de ténoxicam peut entraîner une augmentation de la concentration plasmatique de ténoxicam. L'importance clinique de cette observation n'a pas encore été démontrée.
-Aucune interaction cliniquement notable n’a été observée entre Tilcotil et la warfarine, la phenprocoumone ou l’héparine de bas poids moléculaire administrées aux doses recommandées. Comme c’est également le cas pour d’autres AINS, il est recommandé, par mesure de précaution, de surveiller étroitement les patients prenant simultanément des anticoagulants.
- +Aucune interaction cliniquement notable n'a été observée entre Tilcotil et la warfarine, la phenprocoumone ou l'héparine de bas poids moléculaire administrées aux doses recommandées. Comme c'est également le cas pour d'autres AINS, il est recommandé, par mesure de précaution, de surveiller étroitement les patients prenant simultanément des anticoagulants.
-Aucune interaction cliniquement notable n’a été constatée entre Tilcotil et le glibornuride, le glibenclamide et le tolbutamide, trois antidiabétiques. Comme pour d’autres AINS, une surveillance étroite de la glycémie est de rigueur lors d’un traitement concomitant par Tilcotil et des antidiabétiques oraux.
- +Aucune interaction cliniquement notable n'a été constatée entre Tilcotil et le glibornuride, le glibenclamide et le tolbutamide, trois antidiabétiques. Comme pour d'autres AINS, une surveillance étroite de la glycémie est de rigueur lors d'un traitement concomitant par Tilcotil et des antidiabétiques oraux.
- +Colestyramine
- +La colestyramine peut augmenter la clairance et diminuer la demivie du ténoxicam.
- +Ciclosporine
- +Risque accru de néphrotoxicité.
- +
-Il n’existe aucune interaction significative entre Tilcotil et l’alcool.
- +Il n'existe aucune interaction significative entre Tilcotil et l'alcool.
-Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir des effets négatifs sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et foetal. Les données d’études épidémiologiques suggèrent un risque accru de fausses couches ainsi que de malformations cardiaques et de laparoschisis chez l’enfant après utilisation d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au stade précoce de la grossesse. On suppose que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement.
-Chez l’animal, on a démonté que l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne un risque accru de pertes pré-implantation, de pertes post-implantation et de mortalité embryonnaire et foetale. En outre, des incidences accrues ont été constatées chez l’animal pour différentes malformations, dont cardio-vasculaires, lors de l’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase d’organogenèse de la gestation.
-Le ténoxicam ne doit pas être administré pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Si le ténoxicam est utilisé par une femme qui cherche à tomber enceinte ou une femme pendant le premier ou deuxième trimestre d’une grossesse, le traitement doit être restreint à la plus courte durée nécessaire, avec une dose aussi faible que possible.
-Le ténoxicam est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
-exposer le foetus aux risques suivants:
-– toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture précoce du canal artériel et hypertension pulmonaire);
-– insuffisance rénale, pouvant déboucher sur une défaillance rénale avec oligohydramnios.
-exposer la mère et l’enfant aux risques suivants:
-– prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet inhibiteur de l’agrégation plaquettaire qui peut se produire même à de très faibles doses;
-– inhibition des contractions utérines, entraînant un retardement ou une prolongation du travail lors de l’accouchement.
- +Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir des effets négatifs sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et fœtal. Les données d'études épidémiologiques suggèrent un risque accru de fausses couches ainsi que de malformations cardiaques et de laparoschisis chez l'enfant après utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au stade précoce de la grossesse. On suppose que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement.
- +Chez l'animal, on a démonté que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne un risque accru de pertes pré-implantation, de pertes post-implantation et de mortalité embryonnaire et fœtale. En outre, des incidences accrues ont été constatées chez l'animal pour différentes malformations, dont cardio-vasculaires, lors de l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase d'organogenèse de la gestation.
- +Le ténoxicam ne doit pas être administré pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Si le ténoxicam est utilisé par une femme qui cherche à tomber enceinte ou une femme pendant le premier ou deuxième trimestre d'une grossesse, le traitement doit être restreint à la plus courte durée nécessaire, avec une dose aussi faible que possible.
- +Le ténoxicam est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent
- +·exposer le fœtus aux risques suivants:
- +·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture précoce du canal artériel et hypertension pulmonaire);
- +·insuffisance rénale, pouvant déboucher sur une défaillance rénale avec oligohydramnios;
- +·exposer la mère et l'enfant aux risques suivants:
- +·prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet inhibiteur de l'agrégation plaquettaire qui peut se produire même à de très faibles doses;
- +·inhibition des contractions utérines, entraînant un retardement ou une prolongation du travail lors de l'accouchement.
-L’utilisation du ténoxicam peut affecter la fertilité féminine. Ce médicament n’est donc pas recommandé chez les femmes envisageant une grossesse. Chez les femmes qui ont des difficultés à tomber enceintes ou se soumettent à des examens en raison d’une infertilité, on considérera un arrêt du traitement au ténoxicam.
- +L'utilisation du ténoxicam peut affecter la fertilité féminine. Ce médicament n'est donc pas recommandé chez les femmes envisageant une grossesse. Chez les femmes qui ont des difficultés à tomber enceintes ou se soumettent à des examens en raison d'une infertilité, on considérera un arrêt du traitement au ténoxicam.
-Les patients qui ont subi des effets indésirables tels Âqu’étourdissement, vertige rotatoire ou troubles visuels doivent renoncer à conduire un véhicule ou à manipuler des machines.
- +Les patients qui ont subi des effets indésirables tels qu'étourdissement, vertige rotatoire ou troubles visuels doivent renoncer à conduire un véhicule ou à manipuler des machines.
-Les essais cliniques menés avec la forme orale ont duré deux semaines à un an. Chez environ 12,5% des patients, il a été observé des effets cliniques indésirables ou des anomalies des valeurs de laboratoire. Ces effets ont été habituellement sans gravité et transitoires; ils ont disparu malgré la poursuite du traitement. Ils n’ont nécessité une interruption du traitement que chez environ 1% de l’ensemble des patients traités par Tilcotil à la dose journalière de 20 mg. Ces essais permettent d’évaluer la fréquence des effets indésirables de la façon suivante:
-très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100, <1/10), peu fréquent (>1/1000, <1/100), rare (>1/10’000, <1/1000), très rare (<1/10’000).
-Pour une durée de traitement de quelques semaines (jusqu’à trois mois)
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
-Rare: baisse du taux d’hémoglobine, anémie, agranulocytose, granulopénie, leucopénie, thrombopénie, légers oedèmes et photodermatose.
-Troubles du système immunitaire
-Très rare: réactions d’hypersensibilité telles que dyspnée, asthme, anaphylaxie, angio-oedèmes.
- +Les essais cliniques menés avec la forme orale ont duré deux semaines à un an. Chez environ 12,5% des patients, il a été observé des effets cliniques indésirables ou des anomalies des valeurs de laboratoire. Ces effets ont été habituellement sans gravité et transitoires; ils ont disparu malgré la poursuite du traitement. Ils n'ont nécessité une interruption du traitement que chez environ 1% de l'ensemble des patients traités par Tilcotil à la dose journalière de 20 mg.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment observés en rapport avec des AINS sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères gastriques, une perforation ou des hémorragies gastro-intestinales, parfois d'issue fatale, notamment chez les personnes âgées, peuvent survenir (voir «Mises en garde et précautions»). Après l'administration d'AINS, les effets indésirables suivants ont été rapportés: nausées, vomissements, diarrhée, flatulences, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, méléna, hématémèse, stomatite ulcéreuse, exacerbation d'une colite et d'une maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Les indications de fréquence des effets indésirables reposent sur les catégories suivantes:
- +Fréquences: très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut pas être évaluée sur la base des données disponibles).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Rares: diminution du taux d'hémoglobine, anémie, agranulocytose, granulocytopénie, leucopénie, thrombocytopénie.
- +Affections du système immunitaire
- +Très rares: réactions d'hypersensibilité telles que dyspnée, asthme, anaphylaxie, angio-œdème.
-Peu fréquent: manque d’appétit.
-Troubles psychiatriques
-Peu fréquent: perturbations du sommeil.
-Troubles du système nerveux
-Fréquent: vertiges et céphalées.
-Troubles oculaires
-Très rare: troubles visuels.
-Troubles de l’oreille et du conduit auditif
-Peu fréquent: vertige rotatoire.
-Troubles cardiaques
-Peu fréquent: palpitations.
-Troubles vasculaires
-Très rare: angéite.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquent (11%): douleurs gastriques, brûlures d’estomac, nausée, diarrhée, constipation.
-Fréquent: symptômes épigastriques et abdominaux, dyspepsie.
-Peu fréquent: stomatite, gastrite, vomissement, sécheresse buccale.
-Rare: hémorragies gastro-intestinales, y compris hématémèse et melæna, ulcères.
-Très rare: perforation gastro-intestinale.
-Troubles hépato-biliaires
-Très rare: hépatite.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Fréquent (1 à 2%): prurit, exanthème, érythème, urticaire.
-Comme avec les autres AINS, des réactions cutanées sérieuses telles que syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique peuvent se produire dans de rares cas.
-Très rare: sensibilité à la lumière.
-Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
-Peu fréquent: fatigue.
- +Occasionnels: diminution de l'appétit.
- +Affections psychiatriques
- +Occasionnels: troubles du sommeil.
- +Fréquence inconnue: état confusionnel, hallucinations.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: vertiges et céphalées.
- +Fréquence inconnue: paresthésies, somnolence.
- +Affections oculaires
- +Fréquence inconnue: troubles visuels (tels que baisse de la vision et vision floue).
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnels: vertiges rotatoires.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnels: palpitations.
- +Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque.
- +Affections vasculaires
- +Très rares: vascularite, hypertension.
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquents (11%): douleurs gastriques, nausées, diarrhée, constipation.
- +Fréquents: douleurs épigastriques et abdominales, dyspepsie.
- +Occasionnels: ulcère gastroduodénal, hémorragies gastro-intestinales y compris hématémèse et méléna, gastrite, vomissements, sécheresse buccale.
- +Rares: ulcérations buccales.
- +Très rares: perforation gastro-intestinale, pancréatite.
- +Fréquence inconnue: flatulences, exacerbation d'une colite ulcéreuse et d'une maladie de Crohn.
- +Affections hépatobiliaires
- +Très rares: hépatite.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: prurit, exanthème, érythème, urticaire.
- +Occasionnels: éruption cutanée, légers œdèmes.
- +Rares: photodermatose.
- +Très rares: sensibilité à la lumière, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique.
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Fréquence inconnue: infertilité chez la femme.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Occasionnels: signes de fatigue, œdèmes.
-Fréquent: augmentation des taux d’azote uréique sanguin ou de créatinine, augmentation des taux d’ASAT, d’ALAT, de γ-GT, de bilirubine.
- +Fréquent: augmentation des taux d'azote uréique sanguin ou de créatinine, augmentation des taux d'ASAT, d'ALAT, de γ-GT, de bilirubine.
-Des études de longue durée (12–48 mois) ne font apparaître aucune augmentation de la fréquence des effets indésirables.
- +Des études de longue durée (12-48 mois) ne font apparaître aucune augmentation de la fréquence des effets indésirables.
-On a rapporté des cas isolés d’infertilité féminine en rapport avec des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines/de la cyclooxygénase, dont le ténoxicam.
-Troubles cardiaques: insuffisance cardiaque.
-Troubles vasculaires: les essais cliniques et les données épidémiologiques suggèrent qu’une utilisation d’inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase 2 (anti-COX-2) et de certains AINS, surtout en doses élevées et dans le cadre de traitements prolongés, peut être associée à un risque légèrement accru de complications thrombotiques artérielles (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
-Bien qu’il n’existe aucun indice suggérant que le ténoxicam augmente l’incidence de complications thrombotiques telles que par exemple infarctus du myocarde, les données disponibles ne suffisent pas pour exclure entièrement un tel risque dans le cadre du traitement au ténoxicam.
-Troubles gastro-intestinaux: des exacerbations d’une colite ulcéreuse ou d’une maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportées après l’administration de ténoxicam.
- +On a rapporté des cas isolés d'infertilité féminine en rapport avec des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines/de la cyclooxygénase, dont le ténoxicam.
- +Affections cardiaques: insuffisance cardiaque.
- +Affections vasculaires: les essais cliniques et les données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation d'AINS (COX-1 et COX-2 sélectifs), surtout en doses élevées et dans le cadre de traitements prolongés, est associée à un risque légèrement accru de complications thrombotiques artérielles (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral).
- +Bien qu'il n'existe aucun indice suggérant que le ténoxicam augmente l'incidence de complications thrombotiques telles que par exemple infarctus du myocarde, les données disponibles ne suffisent pas pour exclure entièrement un tel risque dans le cadre du traitement au ténoxicam.
- +Affections gastro-intestinales: des exacerbations d'une colite ulcéreuse ou d'une maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportées après l'administration de ténoxicam.
-Bien que l’on n’ait pas connaissance d’un cas de surdosage aigu du ténoxicam, on peut s’attendre, dans une telle éventualité, que les symptômes et les troubles mentionnés sous «Effets indésirables» surviennent avec une intensité renforcée.
-Des hémorragies gastro-intestinales peuvent survenir. Une hypertension, une insuffisance rénale aiguë, une dépression respiratoire ou un coma peuvent se produire, bien que rarement, après l’administration d’AINS.
-Des cas de réactions anaphylactoïdes ont été rapportés après la prise d’AINS. De telles réactions peuvent se produire suite à un surdosage.
- +Bien que l'on n'ait pas connaissance d'un cas de surdosage aigu du ténoxicam, on peut s'attendre, dans une telle éventualité, que les symptômes et les troubles mentionnés sous «Effets indésirables» surviennent avec une intensité renforcée.
- +Après un surdosage d'AINS, les patients sont généralement asymptomatiques. Un surdosage d'AINS ne provoque que des troubles du système nerveux central ou gastro-intestinaux minimes.
- +Des cas isolés d'intoxications plus sévères ont été rapportés après la prise d'un surdosage d'AINS. Ceux-ci ont compris des crises convulsives, un coma, une insuffisance rénale et un arrêt cardiaque. Des troubles de la fonction hépatique, une hypothrombinémie et une acidose métabolique ont également été rapportés.
-Lors d’un surdosage établi ou suspecté, l’administration du médicament doit être stoppée.
-Après un surdosage d’AINS, le patient doit recevoir un traitement de soutien en fonction des symptômes présents. On ne connaît pas d’antidote spécifique à ce jour. Une dialyse ne permet pas une élimination complète des AINS se trouvant dans la circulation sanguine.
-Les troubles gastro-intestinaux peuvent être traités par des anti-acides et des antagonistes des récepteurs H2. Si nécessaire, l’élimination du ténoxicam peut être accélérée de manière significative par l’administration de trois fois 4 g de cholestyramine.
- +Lors d'un surdosage établi ou suspecté, l'administration du médicament doit être stoppée.
- +Après un surdosage d'AINS, le patient doit recevoir un traitement de soutien en fonction des symptômes présents. On ne connaît pas d'antidote spécifique à ce jour. Une dialyse ne permet pas une élimination complète des AINS se trouvant dans la circulation sanguine.
- +Les troubles gastro-intestinaux peuvent être traités par des anti-acides et des antagonistes des récepteurs H2. Si nécessaire, l'élimination du ténoxicam peut être accélérée de manière significative par l'administration de trois fois 4 g de cholestyramine.
-Mécanisme d’action/Pharmacodynamie
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
-En tant qu’AINS, le ténoxicam a des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques; en outre, c’est un inhibiteur de l’agrégation plaquettaire. Il inhibe également fortement la biosynthèse des prostaglandines tant in vitro (vésicule séminale du mouton) qu’in vivo (protection à l’égard de l’effet toxique induit par l’acide arachidonique chez la souris).
- +En tant qu'AINS, le ténoxicam a des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques; en outre, c'est un inhibiteur de l'agrégation plaquettaire. Il inhibe également fortement la biosynthèse des prostaglandines tant in vitro (vésicule séminale du mouton) qu'in vivo (protection à l'égard de l'effet toxique induit par l'acide arachidonique chez la souris).
-Lors d’essais réalisés in vitro avec la peroxydase leucocytaire, il a été démontré que le ténoxicam neutralise l’oxygène actif produit au site de l’inflammation (capteur de radicaux).
- +Lors d'essais réalisés in vitro avec la peroxydase leucocytaire, il a été démontré que le ténoxicam neutralise l'oxygène actif produit au site de l'inflammation (capteur de radicaux).
-L’efficacité clinique de Tilcotil dans les indications susmentionnées a été démontrée par des essais cliniques réalisés chez plus de 70’000 patients ayant reçu le médicament par voie orale, rectale ou intraveineuse.
- +L'efficacité clinique de Tilcotil dans les indications susmentionnées a été démontrée par des essais cliniques réalisés chez plus de 70'000 patients ayant reçu le médicament par voie orale, rectale ou intraveineuse.
-Après administration extra-vasculaire, le ténoxicam est absorbé sous forme inchangée, totalement en cas d’administration orale. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en l’espace de deux heures après administration orale chez un sujet à jeun. Lorsque le ténoxicam est pris par voie orale au cours d’un repas, son absorption ne diminue pas, mais le pic de concentration est atteint plus tard.
- +Après administration extra-vasculaire, le ténoxicam est absorbé sous forme inchangée, totalement en cas d'administration orale. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en l'espace de deux heures après administration orale chez un sujet à jeun. Lorsque le ténoxicam est pris par voie orale au cours d'un repas, son absorption ne diminue pas, mais le pic de concentration est atteint plus tard.
-Après administration intraveineuse de 20 mg de ténoxicam, les concentrations plasmatiques du produit baissent rapidement au cours des deux premières heures en raison principalement du processus de distribution. Après ce court intervalle, on ne note aucune différence importante entre la forme intraveineuse et la forme orale du point de vue de la concentration plasmatique. A l’état d’équilibre, le volume de distribution est de 10 à 11 l en moyenne.
-Administré par voie intramusculaire, le ténoxicam atteint déjà des concentrations plasmatiques équivalant à 90% ou plus des concentrations maximales 15 minutes après l’injection, soit plus rapidement que lors d’administration orale. Les seules différences enregistrées entre les deux formes galéniques en ce qui concerne les concentrations plasmatiques le sont au cours des deux premières heures suivant l’administration. La biodisponibilité après injection d’une dose intramusculaire est totale et ne diffère en rien de celle déterminée après administration d’une dose orale.
-Le ténoxicam a un taux de liaison à l’albumine sérique de plus de 99%. Il pénètre bien dans la synovie. Toutefois, sa concentration maximale y est atteinte plus tard que dans le plasma.
-Lorsque le ténoxicam est administré à la posologie recommandée, soit 20 mg une fois par jour (par voie orale ou parentérale), les concentrations à l’état d’équilibre sont généralement atteintes après 10–15 jours, et il ne se produit pas d’accumulation. A l’état d’équilibre, les concentrations plasmatiques maximales sont de 11 mg/l en moyenne. Elles ne se modifient pas, pas même lors de traitements qui durent un à deux ans.
-Il ressort de résultats pharmacocinétiques après administration unique que la concentration plasmatique à l’état d’équilibre est 6 fois plus élevée qu’après une administration unique du médicament.
- +Après administration intraveineuse de 20 mg de ténoxicam, les concentrations plasmatiques du produit baissent rapidement au cours des deux premières heures en raison principalement du processus de distribution. Après ce court intervalle, on ne note aucune différence importante entre la forme intraveineuse et la forme orale du point de vue de la concentration plasmatique. A l'état d'équilibre, le volume de distribution est de 10 à 11 l en moyenne.
- +Administré par voie intramusculaire, le ténoxicam atteint déjà des concentrations plasmatiques équivalant à 90% ou plus des concentrations maximales 15 minutes après l'injection, soit plus rapidement que lors d'administration orale. Les seules différences enregistrées entre les deux formes galéniques en ce qui concerne les concentrations plasmatiques le sont au cours des deux premières heures suivant l'administration. La biodisponibilité après injection d'une dose intramusculaire est totale et ne diffère en rien de celle déterminée après administration d'une dose orale.
- +Le ténoxicam a un taux de liaison à l'albumine sérique de plus de 99%. Il pénètre bien dans la synovie. Toutefois, sa concentration maximale y est atteinte plus tard que dans le plasma.
- +Lorsque le ténoxicam est administré à la posologie recommandée, soit 20 mg une fois par jour (par voie orale ou parentérale), les concentrations à l'état d'équilibre sont généralement atteintes après 10-15 jours, et il ne se produit pas d'accumulation. A l'état d'équilibre, les concentrations plasmatiques maximales sont de 11 mg/l en moyenne. Elles ne se modifient pas, pas même lors de traitements qui durent un à deux ans.
- +Il ressort de résultats pharmacocinétiques après administration unique que la concentration plasmatique à l'état d'équilibre est 6 fois plus élevée qu'après une administration unique du médicament.
-Le ténoxicam est transformé en majeure partie en 5-hydroxy-pyridyl, métabolite inactif. Il existe d’autres métabolites sous forme glucuroconjuguée.
- +Le ténoxicam est transformé en majeure partie en 5-hydroxy-pyridyl, métabolite inactif. Il existe d'autres métabolites sous forme glucuroconjuguée.
-La valeur moyenne de la demi-vie du ténoxicam est de 72 heures (valeurs extrêmes: 59 et 74 heures). La dose est éliminée jusqu’aux deux tiers avec l’urine (essentiellement sous forme du métabolite inactif 5-hydroxy-pyridyl), le reste l’étant avec la bile (en proportion non négligeable sous forme glucuroconjuguée). Moins de 1% de la dose administrée est éliminé sous forme inchangée dans l’urine. La clairance plasmatique totale est de 2 ml/min.
-La pharmacocinétique du ténoxicam est linéaire dans le domaine étudié, qui s’étend de 10 à 100 mg (après administration unique).
- +La valeur moyenne de la demi-vie du ténoxicam est de 72 heures (valeurs extrêmes: 59 et 74 heures). La dose est éliminée jusqu'aux deux tiers avec l'urine (essentiellement sous forme du métabolite inactif 5-hydroxy-pyridyl), le reste l'étant avec la bile (en proportion non négligeable sous forme glucuroconjuguée). Moins de 1% de la dose administrée est éliminé sous forme inchangée dans l'urine. La clairance plasmatique totale est de 2 ml/min.
- +La pharmacocinétique du ténoxicam est linéaire dans le domaine étudié, qui s'étend de 10 à 100 mg (après administration unique).
-Les patients âgés présentent une incidence accrue d’effets indésirables des AINS, surtout en ce qui concerne les hémorragies et perforations gastro-intestinales (éventuellement mortelles) (voir «Mises en garde et précautions»).
-Chez les patients âgés et chez ceux qui souffrent d’insuffisance rénale ou de cirrhose hépatique, les études ont montré qu’il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie pour que les concentrations plasmatiques soient comparables à celles des sujets sains.
- +Les patients âgés présentent une incidence accrue d'effets indésirables des AINS, surtout en ce qui concerne les hémorragies et perforations gastro-intestinales (éventuellement mortelles) (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Chez les patients âgés et chez ceux qui souffrent d'insuffisance rénale ou de cirrhose hépatique, les études ont montré qu'il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie pour que les concentrations plasmatiques soient comparables à celles des sujets sains.
-Le taux de liaison du ténoxicam aux protéines plasmatiques étant élevé, la prudence est recommandée lorsque la concentration de l’albumine plasmatique est nettement réduite (en cas de syndrome néphrotique, par exemple).
- +Le taux de liaison du ténoxicam aux protéines plasmatiques étant élevé, la prudence est recommandée lorsque la concentration de l'albumine plasmatique est nettement réduite (en cas de syndrome néphrotique, par exemple).
-Lors d’essais toxicologiques réalisés chez l’animal, on a observé, comme c’est le cas pour d’autres inhibiteurs des prostaglandines, des effets indésirables rénaux et gastro-intestinaux ainsi qu’un nombre accru de cas de dystocie et de dépassement du terme.
-Le ténoxicam n’a aucun potentiel tératogène. Des études de fertilité menées chez le rat ont montré que le ténoxicam prolonge et retarde la mise basse. Les rates gravides sont plus sujettes aux effets indésirables. Le ténoxicam n’a aucune influence sur la fertilité de la descendance F1.
-Aucun potentiel mutagène ou carcinogène n’a pu être mis en évidence lors des études chez l’animal.
- +Lors d'essais toxicologiques réalisés chez l'animal, on a observé, comme c'est le cas pour d'autres inhibiteurs des prostaglandines, des effets indésirables rénaux et gastrointestinaux ainsi qu'un nombre accru de cas de dystocie et de dépassement du terme.
- +Le ténoxicam n'a aucun potentiel tératogène. Des études de fertilité menées chez le rat ont montré que le ténoxicam prolonge et retarde la mise basse. Les rates gravides sont plus sujettes aux effets indésirables. Le ténoxicam n'a aucune influence sur la fertilité de la descendance F1.
- +Aucun potentiel mutagène ou carcinogène n'a pu être mis en évidence lors des études chez l'animal.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Tilcotil cpr pell 20 mg 10 (sécables). (B)
-Tilcotil cpr pell 20 mg 30 (sécables). (B)
- +Tilcotil 20 mg: boîtes de 10 et de 30 comprimés pelliculés. [B]
-Octobre 2009.
- +Février 2017.
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