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Home - Fachinformation zu Rifater - Änderungen - 22.04.2022
64 Änderungen an Fachinfo Rifater
  • -Natrii laurilsulfas, Calcii stearas, Saccharum (105 mg), Carmellosum natricum, Magnesii subcarbonas levis, Aluminii silicas hydricum, Acaciae gummi, Povidonum, Titanii dioxidum (E 171), Talcum, Silica colloidalis anhydrica, aluminii oxidum hydricum, Ferrum oxidatum (E 172),
  • +Natrii laurilsulfas, Calcii stearas, Saccharum (105 mg), Carmellosum natricum, Magnesii subcarbonas levis, Aluminii silicas hydricum, Acaciae gummi, Povidonum, Titanii dioxidum (E 171), Talcum, Silica colloidalis anhydrica, Aluminii oxidum hydricum, Ferrum oxidatum (E 172).
  • +Réaction paradoxale
  • +Après une amélioration initiale de la tuberculose, Rifater est susceptible de déclencher des réactions paradoxales avec aggravation des symptômes de la tuberculose. Chez les patients touchés, une détérioration clinique ou radiologiques des lésions tuberculeuses existantes ou le développement de nouvelles lésions ont été détectées. De telles réactions ont été observées pendant les premières semaines voire plusieurs mois après l'instauration du traitement de la tuberculose.
  • +La raison de cette réaction paradoxale est encore incertaine. Toutefois il est possible qu'une réaction immunologique excessive en soit la cause. En cas de suspicion d'une réaction paradoxale, un traitement symptomatique consistant à supprimer la réaction immunologique excessive doit être instauré, si nécessaire. De plus, il est recommandé de poursuivre le traitement combiné de la tuberculose prévu. Les patients doivent être avisés de consulter immédiatement leur médecin si les symptômes s'aggravent. Les symptômes qui surviennent sont généralement propres aux tissus affectés. Des symptômes généraux possibles sont toux, fièvre, fatigue, essoufflement, céphalée, perte d'appétit, perte pondérale ou asthénie (voir «Effets indésirables»).
  • -L'utilisation concomitante de paracétamol et de rifampicine peut augmenter le risque connu d'hépatotoxicité observé pour chacun des médicaments. Aux doses thérapeutiques, le paracétamol est principalement métabolisé dans le foie sous forme sulfoconjuguée et glucuroconjuguée, moins de 10% de la dose étant métabolisée via le cytochrome P450 (CYP) et transformée en un métabolite réactif et hépatotoxique, le NAPQI (N-acétyl-p-quinonimine). La formation du NAPQI in vivo se fait principalement via l'isoforme CYP2E1. L'implication des isoformes CYP3A, CYP1A2, CYP2A6 et CYP2D6 a été observée in vitro mais leur rôle in vivo reste discutable. Les deux médicaments sont connus pour être hépatotoxiques même lorsqu'ils sont administrés en monothérapie. Une analyse pharmacocinétique suggère qu'à des doses plus élevées de paracétamol (dose unique de 500 mg) et/ou de rifampicine (600 mg/1xjour), on ne peut exclure que la rifampicine soit susceptible d'induire le métabolisme du paracétamol, entraînant une production accrue du métabolite toxique NAPQI. (Voir la section «Mises en garde et précautions/Hépatotoxicité»).
  • +L'utilisation concomitante de paracétamol et de rifampicine peut augmenter le risque connu d'hépatotoxicité observé pour chacun des médicaments. Aux doses thérapeutiques, le paracétamol est principalement métabolisé dans le foie sous forme sulfoconjuguée et glucuroconjuguée, moins de 10% de la dose étant métabolisée via le cytochrome P450 (CYP) et transformée en un métabolite réactif et hépatotoxique, le NAPQI (N-acétyl-p-quinonimine). La formation du NAPQI in vivo se fait principalement via l'isoforme CYP2E1. L'implication des isoformes CYP3A, CYP1A2, CYP2A6 et CYP2D6 a été observée in vitro mais leur rôle in vivo reste discutable. Les deux médicaments sont connus pour être hépatotoxiques même lorsqu'ils sont administrés en monothérapie. Une analyse pharmacocinétique suggère qu'à des doses plus élevées de paracétamol (dose unique de 500 mg) et/ou de rifampicine (600 mg/1xjour), on ne peut exclure que la rifampicine soit susceptible d'induire le métabolisme du paracétamol, entraînant une production accrue du métabolite toxique NAPQI (voir la section «Mises en garde et précautions/Hépatotoxicité»).
  • +Rifater
  • +Troubles généraux et conditions du site d'administration
  • +Très fréquents/fréquents (fréquence fondée sur la publication de littérature): Réaction paradoxale aux médicaments (récidive ou survenue de nouveaux symptômes, signes physiques et radiologiques chez un patient qui avait auparavant montré une amélioration avec un traitement antituberculeux approprié, à savoir une réaction paradoxale, diagnostiquée après avoir pu exclure une faible observance thérapeutique, une résistance aux médicaments, des effets indésirables liés au traitement antituberculeux, infections bactériennes/fongiques secondaires) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Fréquent: thrombocytopénie (avec ou sans purpura), la plupart du temps avec un traitement intermittent. Elle est réversible pour autant que l'on interrompe le traitement dès l'apparition du purpura.
  • +Fréquents: thrombocytopénie (avec ou sans purpura), la plupart du temps avec un traitement intermittent. Elle est réversible pour autant que l'on interrompe le traitement dès l'apparition du purpura.
  • -Très rare: agranulocytose.
  • -Cas isolés: trouble de la coagulation vitamine K dépendant.
  • +Très rares: agranulocytose.
  • +Fréquence inconnue: trouble de la coagulation vitamine K dépendant.
  • -Rare: anaphylaxie.
  • +Rares: anaphylaxie.
  • -Fréquent: diminution de l'appétit.
  • +Fréquents: diminution de l'appétit.
  • -Cas isolés: hémorragies cérébrales avec éventuelle issue fatale lorsque l'administration de la rifampicine a été poursuivie ou reprise après l'apparition de purpura.
  • +Fréquence inconnue: hémorragies cérébrales avec éventuelle issue fatale lorsque l'administration de la rifampicine a été poursuivie ou reprise après l'apparition de purpura.
  • -Rare: conjonctivite exsudative.
  • +Rares: conjonctivite exsudative.
  • -Cas isolés: saignement.
  • +Fréquence inconnue: saignement.
  • -Rares: dyspnée, respiration haletante, voir aussi «Affections du système immunitaire».
  • +Rares: dyspnée, respiration haletante, voir aussi «Affections du système immunitaire ».
  • -Cas isolés: syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms) (voir «Mises en garde et précautions»), rash, prurit.
  • +Fréquence inconnue: syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms) (voir «Mises en garde et précautions»), rash, prurit.
  • -Cas isolés: douleurs osseuses.
  • +Fréquence inconnue: douleurs osseuses.
  • -Cas isolés: hémorragies Post partum, hémorragie foeto-maternelle.
  • +Fréquence inconnue: hémorragies Post partum, hémorragie foeto-maternelle.
  • -Cas isolés: diminution de la pression sanguine, augmentation de la créatinine sanguine
  • +Fréquence inconnue: diminution de la pression sanguine, augmentation de la créatinine sanguine
  • -Cas isolés: gynécomastie.
  • +Fréquence inconnue: gynécomastie.
  • -Rare: pellagre.
  • +Rares: pellagre.
  • -Rare: psychose toxique.
  • +Rares: psychose toxique.
  • -Fréquence inconnue: vasculite
  • +Fréquence inconnue: vasculite.
  • -Rare: sécheresse de la bouche.
  • +Rares: sécheresse de la bouche.
  • -Rare: fièvre.
  • +Rares: fièvre.
  • -Rare: angiooedème.
  • +Rares: angiooedème.
  • -Affections gastrointestinales
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Rare: aggravation d'ulcère peptique.
  • +Rares: aggravation d'ulcère peptique.
  • -Fréquent: malaise.
  • -Rare: fièvre.
  • +Fréquents: malaise.
  • +Rares: fièvre.
  • -L'isoniazide (INH) est bien absorbé par le tractus gastro-instestinal. Les pics de concentration plasmatique de 8 µg/ml env. sont mesurés 1 à 2 heures après l'administration orale d'une dose de 5 mg/kg poids corporel; ces pics s'abaissent jusqu'à 50% ou moins de la valeur maximale après 6 h.
  • +L'isoniazide (INH) est bien absorbé par le tractus gastro-instestinal.
  • +Les pics de concentration plasmatique de 8 µg/ml env. sont mesurés 1 à 2 heures après l'administration orale d'une dose de 5 mg/kg poids corporel; ces pics s'abaissent jusqu'à 50% ou moins de la valeur maximale après 6 h.
  • -L'absorption est rapide et totale au niveau gastro-intestinal. Les pics sériques d'environ 26 à 38 µg/ml sont atteints vers la deuxième heure après une prise orale de 25 mg/kg de poids corporel.
  • +L'absorption est rapide et totale au niveau gastro-intestinal.
  • +Les pics sériques d'environ 26 à 38 µg/ml sont atteints vers la deuxième heure après une prise orale de 25 mg/kg de poids corporel.
  • -20–30% de l'isoniazide sont liés à des protéines plasmatiques. Le volume de distribution est de 0,67 ± 0,15 l/kg. L'isoniazide diffuse facilement dans tous les liquides de l'organisme (liquide céphalo-rachidien, liquide pleural, ascite), tous les tissus, organes, sécrétions (sueur, salive, fèces). Sa concentration dans le liquide céphalo-rachidien équivaut au 90–100% de la concentration plasmatique. L'isoniazide passe la barrière placentaire et diffuse dans le lait maternel, à des concentrations comparables à celles du sang maternel.
  • +20–30% de l'isoniazide sont liés à des protéines plasmatiques.
  • +Le volume de distribution est de 0,67 ± 0,15 l/kg.
  • +L'isoniazide diffuse facilement dans tous les liquides de l'organisme (liquide céphalo-rachidien, liquide pleural, ascite), tous les tissus, organes, sécrétions (sueur, salive, fèces). Sa concentration dans le liquide céphalo-rachidien équivaut au 90–100% de la concentration plasmatique. L'isoniazide passe la barrière placentaire et diffuse dans le lait maternel, à des concentrations comparables à celles du sang maternel.
  • -Chez le sujet en bonne santé, le temps de demi-vie sérique d'une dose unique de rifampicine est d'env. 3 h (600 mg) à 5 h (900 mg). L'administration répétée entraîne une diminution de 2–3 h du temps de demi-vie. On retrouve dans l'urine jusqu'à 30% d'une dose, dont la moitié environ sous forme inchangée.
  • +Chez le sujet en bonne santé, le temps de demi-vie sérique d'une dose unique de rifampicine est d'env. 3 h (600 mg) à 5 h (900 mg). L'administration répétée entraîne une diminution de 2–3 h du temps de demi-vie.
  • +On retrouve dans l'urine jusqu'à 30% d'une dose, dont la moitié environ sous forme inchangée.
  • -Absence de données. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique ou rénale, le temps de demi-vie pourrait s'allonger.
  • +Absence de données.
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique ou rénale, le temps de demi-vie pourrait s'allonger.
  • -Rifampicin
  • +Rifampicine
  • -sanofi-aventis (suisse) sa
  • -1214 Vernier/GE
  • +sanofi-aventis (suisse) sa, 1214 Vernier/GE
  • -Octobre 2021
  • +Mars 2022
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