84 Changements de l'information professionelle Imovane |
-Noyau: lactosum monohydricum, calcii hydrogenophosphas dihydricus, triciti amylum, carboxymethylamylum natricum A, magnesii stearas.
- +Noyau: lactosum monohydricum, calcii hydrogenophosphas dihydricus, tritici amylum, carboxymethylamylum natricum A, magnesii stearas.
-Imovane est utilisé pour le traitement à court terme des troubles du sommeil (généralement, pas plus de 10 jours). Comme tous les hypnotiques, l'utilisation à long terme de zopiclone n'est pas recommandée. Le traitement avec Imovane doit être aussi bref que possible et ne devrait pas dépasser 4 semaines (phase d'arrêt progressif comprise). Toute prolongation du traitement ne doit avoir lieu qu'après une réévaluation stricte de l'état du patient, puisque le risque d'abus et de dépendance augmente avec la durée du traitement.
- +Imovane est utilisé pour le traitement à court terme des troubles du sommeil (généralement, pas plus de 10 jours). Comme tous les hypnotiques, l'utilisation à long terme de zopiclone n'est pas recommandée. Le traitement avec Imovane doit être aussi bref que possible et ne devrait pas dépasser 4 semaines (phase d'arrêt progressif comprise). Toute prolongation du traitement ne doit avoir lieu qu'après une réévaluation stricte par le médecin de l'état du patient, puisque le risque d'abus et de dépendance augmente avec la durée du traitement.
-Imovane est contre-indiqué en cas de trouble grave de la fonction hépatique. On ne dispose pas d'études pharmacodynamiques ni d'expérience clinique chez les patients présentant une fonction hépatique restreinte. La posologie de ½ comprimé sera administrée avec prudence.
- +Imovane est contre-indiqué en cas de trouble grave de la fonction hépatique. On ne dispose pas d'études pharmacodynamiques ni d'expérience clinique chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La posologie de ½ comprimé sera administrée avec prudence.
-Chez les patients souffrant d'insuffisance respiratoire chronique, il est recommandé de commencer le traitement avec ½ comprimé d'Imovane (3,75 mg). Les patients atteints d'insuffisance respiratoire grave ne peuvent pas être traités sous Imovane (voir «Contre-indications»).
- +Chez les patients souffrant d'insuffisance respiratoire chronique, il est recommandé de commencer le traitement avec ½ comprimé d'Imovane (3,75 mg). Les patients atteints d'insuffisance respiratoire grave ne peuvent pas être traités par Imovane (voir «Contre-indications»).
-Imovane est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la zopiclone ou à l'un des excipients entrant dans la composition du médicament, ainsi qu'en cas d'insuffisance hépatique grave, d'insuffisance respiratoire grave, de myasthénie grave, en cas de syndrome d'apnée de sommeil grave et chez les patients ayant de graves affections psychiatriques préexistantes.
-Imovane est contre-indiqué chez les patients qui ont déjà présenté des comportements complexes en matière de sommeil après avoir pris un médicament contenant du zopiclone ou du zolpidem (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Imovane est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la zopiclone ou à l'un des excipients entrant dans la composition du médicament, ainsi qu'en cas d'insuffisance hépatique grave, d'insuffisance respiratoire grave, de myasthénie grave, en cas de syndrome d'apnée du sommeil grave et chez les patients ayant de graves affections psychiatriques préexistantes.
- +Imovane est contre-indiqué chez les patients qui ont déjà présenté des comportements complexes en matière de sommeil après avoir pris un médicament contenant de la zopiclone ou du zolpidem (voir «Mises en garde et précautions»).
-Chez les patients ayant une fonction hépatique restreinte, chez les patients âgés et chez les patients atteints d'affections pulmonaires chroniques obstructives, la prescription d'Imovane sera soigneusement évaluée et la posologie sera réduite.
-En raison d'une possible dépression respiratoire des hypnotiques, Imovane doit être administré avec précaution aux patients avec une fonction respiratoire altérée.
- +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique, chez les patients âgés et chez les patients atteints d'affections pulmonaires chroniques obstructives, la prescription d'Imovane sera soigneusement évaluée et la posologie sera réduite.
- +En raison d'une possible dépression respiratoire due aux hypnotiques, Imovane doit être administré avec précaution aux patients avec une fonction respiratoire altérée.
-Comme les autres médicaments hypnotiques/sédatifs, le zopiclone a des effets dépresseurs sur le système nerveux central (SNC).
- +Comme les autres médicaments hypnotiques/sédatifs, la zopiclone a des effets dépresseurs sur le système nerveux central (SNC).
-·le zopiclone est pris moins de 12 heures avant la réalisation d'activités qui nécessitent une bonne capacité de réaction,
- +·la zopiclone est prise moins de 12 heures avant la réalisation d'activités qui nécessitent une bonne capacité de réaction,
-·le zopiclone est co-administré avec d'autres dépresseurs du SNC, de l'alcool ou d'autres médicaments qui augmentent les concentrations sanguines de zopiclone (voir «Interactions»).
-Les patients doivent être mis en garde qu'à la suite de la prise de zopiclone et notamment au cours des 12 heures suivant la prise du médicament, les situations nécessitant une bonne capacité de réaction et une bonne coordination motrice sont risquées telles que l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules à moteur.
- +·la zopiclone est co-administrée avec d'autres dépresseurs du SNC, de l'alcool ou d'autres médicaments qui augmentent les concentrations sanguines de zopiclone (voir «Interactions»).
- +Les patients doivent être mis en garde qu'à la suite de la prise de zopiclone et notamment au cours des 12 heures suivant la prise du médicament, les situations nécessitant une bonne capacité de réaction et une bonne coordination motrice, telles que l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules à moteur, sont risquées.
-L'utilisation concomitante de benzodiazépines, incluant le zopiclone avec des opioïdes peut engendrer sédation, détresse respiratoire, coma et décès. En raison de ces risques, limiter la prescription simultanée de benzodiazépines et d'opioïdes aux patients pour lesquels les alternatives thérapeutiques sont inadéquates.
- +L'utilisation concomitante de benzodiazépines, incluant la zopiclone, avec des opioïdes peut engendrer sédation, détresse respiratoire, coma et décès. En raison de ces risques, limiter la prescription simultanée de benzodiazépines et d'opioïdes aux patients pour lesquels les alternatives thérapeutiques sont inadéquates.
-La prise de zopiclone peut mener à un abus ou à une dépendance physique et psychologique. Ce risque augmente lors de prise prolongée, de doses élevées et chez des patients prédisposés. Des cas de dépendances ont été plus fréquemment rapportés chez les patients traités par Imovane pour une période supérieure à 4 semaines. Le risque d'abus ou de dépendance est aussi important chez les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques, de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Imovane devrait être utilisé avec beaucoup de prudence chez les patients ayant des antécédents ou souffrant d'alcoolisme et de toxicomanie.
-Une fois que la dépendance s'est développée, l'arrêt brusque du traitement s'accompagne de symptômes de sevrage. Ces symptômes varient et peuvent se manifester par ex. par des troubles du sommeil («rebound-insomnia»), une anxiété, des tremblements, des sueurs, une agitation, une confusion mentale, des céphalées, des palpitations cardiaques, une tachycardie, un délire, des cauchemars, des hallucinations et une irritabilité. Des convulsions cérébrales peuvent apparaître dans de rares cas.
- +La prise de zopiclone peut mener à un abus ou à une dépendance physique et psychologique. Ce risque augmente lors de prise prolongée, de doses élevées et chez des patients prédisposés. Des cas de dépendances ont été plus fréquemment rapportés chez les patients traités par Imovane pour une période supérieure à 4 semaines. Le risque d'abus ou de dépendance est aussi important chez les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques, de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Imovane doit être utilisé avec beaucoup de prudence chez les patients ayant des antécédents ou souffrant d'alcoolisme et de toxicomanie.
- +Une fois qu'une dépendance s'est développée, l'arrêt brusque du traitement s'accompagne de symptômes de sevrage. Ces symptômes varient et peuvent se manifester par ex. par des troubles du sommeil («rebound insomnia»), une anxiété, des tremblements, une sécrétion de sueur, une agitation, une confusion mentale, des céphalées, des palpitations cardiaques, une tachycardie, un délire, des cauchemars, des hallucinations et une irritabilité. Des convulsions cérébrales peuvent apparaître dans de rares cas.
-Afin de diminuer au maximum le risque de dépendance, les benzodiazépines et principes actifs similaires ne devraient être prescrits qu'après examen approfondi de l'indication et pour une période aussi brève que possible (par ex. l'hypnotique zopiclone ne devrait pas être pris au-delà de 10 jours). La nécessité de continuer le traitement doit être périodiquement réexaminée.
-Rebond d'insomnie
-Lors de l'interruption du traitement, les troubles du sommeil peuvent réapparaître pour quelques nuits («rebound-insomnia»). Ce phénomène peut être atténué par une interruption progressive du traitement. Il est recommandé d'informer le/la patient(e).
- +Afin de diminuer au maximum le risque de dépendance, les benzodiazépines et principes actifs similaires ne devraient être prescrits qu'après examen approfondi de l'indication et pour une période aussi brève que possible (par ex. l'hypnotique zopiclone ne doit pas être pris au-delà de 10 jours). La nécessité de continuer le traitement doit être périodiquement réexaminée.
- +Insomnie de rebond
- +Lors de l'interruption du traitement, les troubles du sommeil peuvent réapparaître pendant quelques nuits («rebound insomnia»). Ce phénomène peut être atténué par une interruption progressive du traitement. Il est recommandé d'en informer le patient.
-Pour limiter le risque d'amnésie antérograde, les patients doivent s'assurer de prendre leur comprimé strictement avant le coucher et de pouvoir profiter d'une nuit complète de sommeil.
- +Pour limiter le risque d'amnésie antérograde, les patients doivent s'assurer de prendre leur comprimé juste avant le coucher et de pouvoir profiter d'une nuit complète de sommeil.
-D'autres réactions psychiatriques et paradoxales ont été rapportées comme fébrilité, agitation, confusion, irritabilité, agressivité, colère, cauchemars, hallucinations, psychoses, comportement anormal, délire et autres troubles comportementaux connus avec l'usage de sédatifs ou d'hypnotiques comme le zopiclone. Dans de tels cas, il faut arrêter la prise d'Imovane. Les personnes âgées sont plus sujettes à ce genre de réactions.
- +D'autres réactions psychiatriques et paradoxales ont été rapportées comme fébrilité, agitation, confusion, irritabilité, agressivité, colère, cauchemars, hallucinations, psychoses, comportement anormal, délire et autres troubles comportementaux connus en rapport avec l'usage de sédatifs ou d'hypnotiques comme la zopiclone. Dans de tels cas, il faut arrêter la prise d'Imovane. Les personnes âgées sont plus sujettes à ce genre de réactions.
-Des comportements de sommeil complexes, y compris le somnambulisme, la conduite en dormant et l'exercice d'autres activités alors que le patient n'est pas complètement éveillé, peuvent se produire à la suite de la première utilisation ou de toute utilisation ultérieure d'Imovane. Les patients peuvent être gravement blessés ou blesser d'autres personnes lors de comportements complexes de sommeil. Ces blessures peuvent être mortelles. D'autres comportements complexes liés au sommeil (par exemple, préparer des repas et manger, passer des appels téléphoniques ou avoir des relations sexuelles) ont également été signalés. Les patients ne se souviennent généralement pas de ces événements (amnésie). Les rapports de post-marketing ont montré que des comportements de sommeil complexes peuvent se produire avec Imovane seul aux doses recommandées, avec ou sans consommation concomitante d'alcool ou d'autres dépresseurs du système nerveux central (SNC). Des cas isolés de comportement d'automutilation ont également été rapportés dans ce contexte. Cesser immédiatement l'utilisation d'Imovane si un patient présente un comportement de sommeil complexe.
- +Des comportements complexes de sommeil, y compris le somnambulisme, la conduite en dormant et la réalisation d'autres activités alors que le patient n'est pas complètement éveillé, peuvent se produire à la suite de la première utilisation ou de toute utilisation ultérieure d'Imovane. Les patients peuvent être gravement blessés ou blesser d'autres personnes lors de comportements complexes de sommeil. Ces blessures peuvent être mortelles. D'autres comportements complexes liés au sommeil (par exemple, préparer des repas et manger, passer des appels téléphoniques ou avoir des relations sexuelles) ont également été signalés. Les patients ne se souviennent généralement pas de ces événements (amnésie). Les rapports de post-marketing ont montré que des comportements complexes de sommeil peuvent se produire avec Imovane seul aux doses recommandées, avec ou sans consommation concomitante d'alcool ou d'autres dépresseurs du système nerveux central (SNC). Des cas isolés de comportement d'automutilation ont également été rapportés dans ce contexte. Cesser immédiatement l'utilisation d'Imovane si un patient présente un comportement complexe de sommeil.
-Plusieurs études épidémiologiques ont montré une incidence accrue de suicides ou de tentatives de suicide chez les patients dépressifs ou non, traités par des benzodiazépines et autres hypnotiques (y compris le zopiclone). Aucun lien de causalité n'a été établi.
-Les hypnotiques ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression. Bien qu'aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative ou pharmacodynamique n'ait été démontrée avec les antidépresseurs ISRS (voir «Interactions»), comme pour les autres sédatifs/hypnotiques, le Imovane ne doit être administré qu'avec prudence chez les patients présentant des symptômes de dépression. En raison d'un risque suicidaire accru, le nombre de boîtes prescrites doit être le plus faible possible pour éviter tout surdosage intentionnel. Une dépression préexistante peut-être révélée au cours d'un traitement par le zopiclone. L'insomnie pouvant être le symptôme d'une dépression, le patient devra être réévalué si l'insomnie persiste.
- +Plusieurs études épidémiologiques ont montré une incidence accrue de suicides ou de tentatives de suicide chez les patients dépressifs ou non, traités par des benzodiazépines et autres hypnotiques (y compris la zopiclone). Aucun lien de causalité n'a été établi.
- +Les hypnotiques ne doivent pas être utilisés seuls dans le traitement de la dépression. Bien qu'aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative ni pharmacodynamique n'ait été démontrée avec les antidépresseurs ISRS (voir «Interactions»), comme pour tous les sédatifs/hypnotiques, Imovane ne doit être administré qu'avec prudence chez les patients présentant des symptômes de dépression. En raison d'un risque suicidaire accru, le nombre de boîtes prescrites doit être le plus faible possible pour éviter tout surdosage intentionnel. Une dépression préexistante peut-être révélée au cours d'un traitement par zopiclone. L'insomnie pouvant être le symptôme d'une dépression, le patient devra être réévalué si l'insomnie persiste.
-L'effet sédatif central d'Imovane est renforcé par l'administration simultanée d'autres principes actifs provoquant une sédation centrale comme par ex. les analgésiques, antidépresseurs, neuroleptiques (par ex. la chlorpromazine), hypnotiques, anxiolytiques/sédatifs, antiépileptiques, anesthésiques, antihistaminiques H1 à effet sédatif, ainsi que par l'alcool. Parce qu'aucune étude d'interactions correspondante n'est disponible, Imovane (zopiclone) ne doit pas être administré en même temps que ces principes actifs.
-La prise concomitante d'analgésiques narcotiques, peut potentialiser l'euphorie et mener à une augmentation de la dépendance psychique.
-La concentration plasmatique de la zopiclone est augmentée lorsque la zopiclone est administrée avec l'érythromycine (augmentation de l'AUC de 80%). En conséquence, l'effet hypnotique d'Imovane peut être accentué.
-Benzodiazépines et opioïdes: l'utilisation concomitante de benzodiazépines, incluant le zopiclone, avec des opioïdes, augmente le risque de sédation, de détresse respiratoire, de coma et de décès en raison des effets additionnels dépresseurs sur le système nerveux central. Limiter le dosage et la durée du traitement chez les patients prenant simultanément des benzodiazépines et des opioïdes.
- +L'effet dépresseur du SNC d'Imovane est renforcé par l'administration simultanée d'autres principes actifs provoquant une dépression du SNC comme les analgésiques, antidépresseurs, neuroleptiques (par ex. la chlorpromazine), hypnotiques, anxiolytiques/sédatifs, antiépileptiques, anesthésiques, antihistaminiques H1 à effet sédatif, ainsi que par l'alcool. Parce qu'aucune étude d'interaction correspondante n'est disponible, Imovane (zopiclone) ne doit pas être administré en même temps que ces principes actifs.
- +La prise concomitante d'analgésiques narcotiques peut potentialiser l'effet euphorisant et mener à une augmentation de la dépendance psychique.
- +La concentration plasmatique de la zopiclone est augmentée lorsqu'elle est administrée avec l'érythromycine (augmentation de l'AUC de 80 %). Par conséquent, l'effet hypnotique d'Imovane peut être accentué.
- +Benzodiazépines et opioïdes: l'utilisation concomitante de benzodiazépines, incluant la zopiclone, avec des opioïdes, augmente le risque de sédation, de détresse respiratoire, de coma et de décès en raison des effets additionnels dépresseurs sur le système nerveux central. Limiter le dosage et la durée du traitement chez les patients prenant simultanément des benzodiazépines et des opioïdes.
-Parce que la zopiclone est métabolisée par l'isoenzyme CYP3A4 (voir «Pharmacocinétique»), les taux plasmatiques de la zopiclone peuvent être augmentés lorsque des inhibiteurs du CYP3A4 sont administrés simultanément comme par ex. l'érythromycine, l'acide valproïque, la cimétidine, l'amiodarone, le vérapamil, la ciclosporine, la clarithromycine, le kétoconazole, l'itraconazole et le ritonavir. Une réduction posologique d'Imovane peut être nécessaire en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A4. Inversement, les taux plasmatiques de la zopiclone peuvent être diminués lorsque des inducteurs du CYP3A4 sont administrés simultanément (par ex. rifampicine, carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne, millepertuis, oxcarbazépine, primidone, topiramate). Une augmentation posologique d'Imovane peut s'avérer nécessaire.
- +Parce que la zopiclone est métabolisée par l'isoenzyme CYP3A4 (voir «Pharmacocinétique»), les taux plasmatiques de zopiclone peuvent être augmentés lorsque des inhibiteurs du CYP3A4 sont administrés simultanément comme l'érythromycine, l'acide valproïque, la cimétidine, l'amiodarone, le vérapamil, la ciclosporine, la clarithromycine, le kétoconazole, l'itraconazole et le ritonavir. Une réduction posologique d'Imovane peut être nécessaire en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A4. Inversement, les taux plasmatiques de zopiclone peuvent être diminués lorsque des inducteurs du CYP3A4 sont administrés simultanément (par ex. rifampicine, carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne, millepertuis, oxcarbazépine, primidone, topiramate). Une augmentation posologique d'Imovane peut alors s'avérer nécessaire.
-Les études sur la reproduction menées chez l'animal avec Imovane n'ont pas mis en évidence de risque d'effets tératogènes ou embryotoxiques chez le fœtus; Il faut noter, qu'on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte.
-Le zopiclone traverse le placenta.
-Des cas de diminutions du mouvement fœtal et de la variabilité du rythme cardiaque fœtal ont été décrits après l'administration de benzodiazépines au cours du deuxième et/ou du troisième trimestre de grossesse. C'est pourquoi ces dernières seront administrées uniquement en cas d'indication vitale.
- +Les études sur la reproduction menées chez l'animal avec Imovane n'ont pas mis en évidence de risque d'effets tératogènes ou embryotoxiques chez le fœtus. Il faut toutefois noter qu'on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte.
- +La zopiclone traverse le placenta.
- +Des cas de diminutions du mouvement fœtal et de variabilité de la fréquence cardiaque fœtale ont été rapportés après l'administration de benzodiazépines au cours du deuxième et/ou du troisième trimestre de grossesse. C'est pourquoi ces médicaments seront administrés uniquement en cas d'indication vitale.
-L'administration d'Imovane pendant le dernier stade de grossesse ainsi qu'avant ou lors de l'accouchement peut induire chez le nouveau-né une hypothermie, une hypotension et une dépression respiratoire, une hypotonie musculaire et des troubles de la succion et donc des difficultés à s'alimenter («floppy infant syndrome»).
-Les enfants nés de mères ayant pris de façon chronique des médicaments sédatifs et/ou hypnotiques pendant la fin de la grossesse, peuvent développer une dépendance physique. Ils risquent de souffrir de syndrome de sevrage pendant la période post-natale. Une surveillance appropriée du nouveau-né pendant la période postnatale est recommandée.
- +L'administration d'Imovane pendant le dernier stade de grossesse ainsi qu'avant ou lors de l'accouchement peut induire chez le nouveau-né une hypothermie, une pression artérielle basse, une dépression respiratoire, une hypotonie musculaire et des troubles de la succion et donc une réduction du gain pondéral («floppy infant syndrome»).
- +Les enfants nés de mères ayant pris de façon chronique des médicaments sédatifs et/ou hypnotiques pendant la fin de la grossesse peuvent développer une dépendance physique. Ils risquent de souffrir de syndrome de sevrage pendant la période post-natale. Une surveillance appropriée du nouveau-né pendant la période post-natale est recommandée.
-Même si la fraction de zopiclone passant dans le lait maternel est minime (environ 0,1-0,2% de la dose prise par la mère), une administration durant la période d'allaitement n'est pas recommandée.
- +Même si la fraction de zopiclone passant dans le lait maternel est minime (environ 0,1-0,2 % de la dose prise par la mère), une administration durant la période d'allaitement n'est pas recommandée.
-Comme pour tous les médicaments à action centrale sédative, la prise d'Imovane peut également diminuer la capacité de réaction. Le patient devra en tenir compte lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines.
- +Comme pour tous les médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC, la prise d'Imovane peut également diminuer la capacité de réaction. Le patient devra en tenir compte lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines.
-·le zopiclone est pris moins de 12 heures avant la réalisation d'activités qui nécessitent une bonne capacité de réaction,
- +·la zopiclone est prise moins de 12 heures avant la réalisation d'activités qui nécessitent une bonne capacité de réaction,
-·le zopiclone est co-administré avec d'autres dépresseurs du SNC, de l'alcool ou d'autres médicaments qui augmentent les concentrations sanguines de zopiclone (voir «Interactions»).
-Les patients doivent être mis en garde qu'à la suite de la prise de zopiclone et notamment au cours des 12 heures suivant la prise du médicament, les situations nécessitant une bonne capacité de réaction et une bonne coordination motrice sont risquées telles que l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules à moteur.
- +·la zopiclone est co-administrée avec d'autres dépresseurs du SNC, de l'alcool ou d'autres médicaments qui augmentent les concentrations sanguines de zopiclone (voir «Interactions»).
- +Les patients doivent être mis en garde qu'à la suite de la prise de zopiclone et notamment au cours des 12 heures suivant la prise du médicament, les situations nécessitant une bonne capacité de réaction et une bonne coordination motrice telles que l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules à moteur sont risquées.
-Les effets indésirables sont classés par organe et par groupe de fréquence en utilisant la convention suivante: très fréquent: (≥1/10); fréquent (≥1/100, <1/10); occasionnel (≥1/1000, <1/100): rare (≥1/10'000, <1/1000); très rare (<1/10'000); non connu (ne peut pas être estimé sur la base de données disponibles).
- +Les effets indésirables sont classés par organe et par groupe de fréquence en utilisant la convention suivante: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100, < 1/10); occasionnel (≥1/1000, < 1/100); rare (≥1/10 000, < 1/1000); très rare (< 1/10 000); inconnue (ne peut pas être estimé sur la base de données disponibles).
-Très rare: angioœdème, réactions anaphylactiques
- +Très rare: angioœdème, réactions anaphylactiques.
-Non connu: fébrilité, délire, illusions, colère, comportement anormal, pouvant être associé à de l'amnésie, comportements de sommeil complexes, y compris somnambulisme (voir «Mises en garde et précautions, somnambulisme et comportements associés»), dépendance, syndrome de sevrage, états dépressifs, masquage d'états dépressifs ou paranoïdes, notamment lors d'usage prolongé.
-Les symptômes de sevrage sont variables et peuvent inclure insomnie rebond, douleurs musculaires, anxiété, tremblements, sudation, agitation, confusion, maux de tête, palpitations, tachycardie, délire, cauchemars, irritabilité. Dans les cas sévères il peut survenir les symptômes suivants: perte de la réalité, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et picotements des extrémités, hypersensibilité à la lumière, aux bruits et au contact physique, hallucinations. Dans des cas très rares, des convulsions peuvent survenir.
- +Inconnu: impatiences, délire, illusions, colère, comportement anormal, pouvant être associé à de l'amnésie, comportements complexes du sommeil, y compris somnambulisme (voir «Mises en garde et précautions, Somnambulisme et comportements associés»), dépendance, syndrome de sevrage, humeur dépressive, masquage d'états dépressifs ou paranoïdes, notamment lors d'usage prolongé.
- +Les symptômes de sevrage sont variables et peuvent inclure insomnie de rebond, douleurs musculaires, anxiété, tremblements, sécrétion de sueur, agitation, confusion, céphalée, palpitations, tachycardie, délire, cauchemars, irritabilité. Dans les cas sévères, les symptômes suivants peuvent apparaître: déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et picotements des extrémités, hypersensibilité à la lumière, aux bruits et au contact physique, hallucinations. Dans des cas très rares, des convulsions peuvent survenir.
-Fréquent: dysgueusie (goût amer), somnolence résiduelle.
-Occasionnel: vertiges, céphalée.
- +Fréquent: troubles du goût (goût amer), somnolence résiduelle.
- +Occasionnel: étourdissement, céphalée.
-Non connu: ataxie, paresthésie, troubles cognitifs tels que perte de mémoire, trouble de l'attention, trouble de l'élocution.
- +Inconnu: ataxie, paresthésie, troubles cognitifs tels que perte de mémoire, trouble de l'attention, trouble de l'élocution.
-Non connu: diplopie
-Affections respiratoires
- +Inconnu: diplopie.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Non connu: dépression respiratoire.
- +Inconnu: dépression respiratoire.
-Non connu: dyspepsie.
- +Inconnu: dyspepsie.
-Rare: réactions allergiques (manifestations cutanées comme par ex. prurit, érythème, urticaire).
-Affections musculo-squelettiques
-Non connu: hypotonie musculaire.
- +Rare: réactions allergiques (manifestations cutanées, par ex. prurit, érythème, urticaire).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Inconnu: hypotonie musculaire.
-Occasionnel: fatigue
-Traumatisme, intoxication et complications liées à l'administration
- +Occasionnel: fatigue.
- +Lésion, intoxication et complications liées à l'administration
-En fonction de la dose administrée, un surdosage est généralement caractérisé par diverses phases de l'inhibition centrale. Les symptômes apparaissant dans les cas légers sont somnolence, confusion mentale et léthargie, dans les cas sévères on observe en plus une ataxie, une méthémoglobinémie, dépression respiratoire ou circulatoire et un coma.
-Les intoxications ne menacent généralement pas le pronostic vital, sauf en cas d'association avec d'autres substances à effet dépresseur central (y compris l'alcool). Les facteurs de risque supplémentaires comme les maladies concomitantes ou un mauvais état général peuvent aggraver la sévérité des symptômes et, dans des cas très rares, conduire au décès.
- +En fonction de la dose administrée, un surdosage est généralement caractérisé par divers stades de dépression du SNC. Les symptômes apparaissant dans les cas légers sont somnolence, confusion mentale et léthargie, dans les cas sévères on observe également une ataxie, une méthémoglobinémie, une dépression respiratoire ou circulatoire et un coma.
- +Les intoxications ne menacent généralement pas le pronostic vital, sauf en cas d'association avec d'autres substances à effet dépresseur sur le SNC (y compris l'alcool). Les facteurs de risque supplémentaires comme les maladies concomitantes ou une mauvaise condition physique générale peuvent aggraver la sévérité des symptômes et, dans des cas très rares, conduire au décès.
-Des cas très rares de bloc atrio-ventriculaire ont été rapportés notamment en cas d'intoxication intentionnelle en combinaison avec d'autres substances.
- +Des cas très rares de bloc AV ont été rapportés, notamment en cas d'intoxication intentionnelle en combinaison avec d'autres substances.
-Les essais chez l'animal montrent que la zopiclone est dotée d'effets hypnotiques, sédatifs, anticonvulsifs et myorelaxants. Toutefois, la zopiclone est exclusivement utilisée comme hypnotique qui se caractérise par une rapide entrée en action et une influence multiple sur le sommeil: réduction du temps d'endormissement, diminution de la fréquence des réveils nocturnes et prolongation de la durée globale du sommeil, sans affecter, d'une manière générale, la durée du sommeil paradoxal. Une amélioration subjective de la qualité du sommeil est ressentie.
- +Les essais chez l'animal montrent que la zopiclone est dotée d'effets hypnotiques, sédatifs, anticonvulsivants et myorelaxants. Toutefois, la zopiclone est exclusivement utilisée comme hypnotique qui se caractérise par une rapide entrée en action et une influence multiple sur le sommeil: réduction du temps d'endormissement, diminution de la fréquence des réveils nocturnes et prolongation de la durée globale du sommeil, sans affecter, d'une manière générale, la durée du sommeil paradoxal. Une amélioration subjective de la qualité du sommeil est ressentie.
-La zopiclone est rapidement absorbée après administration orale. La zopiclone subit probablement un effet de premier passage. Sa biodisponibilité s'élève à 75-80%. Le taux plasmatique maximal est atteint en l'espace de 1,5-2 heures et s'élève à 60 ng/ml environ, après une prise de 7,5 mg de zopiclone.
- +La zopiclone est rapidement absorbée après administration orale. Elle subit probablement un effet de premier passage. Sa biodisponibilité s'élève à 75-80 %. Le taux plasmatique maximal est atteint en l'espace de 1,5-2 heures et s'élève à 60 ng/ml environ, après une prise de 7,5 mg de zopiclone.
-La zopiclone se lie à environ 45% aux protéines plasmatiques et est rapidement distribuée depuis le système vasculaire.
- +La zopiclone se lie à environ 45 % aux protéines plasmatiques et est rapidement distribuée depuis le système vasculaire.
-La métabolisation de la zopiclone aboutit essentiellement à deux métabolites: la N-oxyde- zopiclone pharmacologiquement active chez l'animal (demi-vie plasmatique de 4,4 heures) et la N-desméthyl-zopiclone pharmacologiquement inactive (demi-vie plasmatique de 7,3 heures). Des études effectuées in vitro ont montré que le métabolisme a lieu principalement par l'isoenzyme CYP3A4. Le CYP2C8 semble également participer à la formation de la N-desméthyl–zopiclone. Aucune induction enzymatique n'a été observée dans les essais chez l'animal, même à des doses élevées de zopiclone
- +La métabolisation de la zopiclone aboutit essentiellement à deux métabolites: la N-oxyde-zopiclone pharmacologiquement active chez l'animal (demi-vie plasmatique de 4,4 heures) et la N-desméthyl-zopiclone pharmacologiquement inactive (demi-vie plasmatique de 7,3 heures). Des études effectuées in vitro ont montré que le métabolisme a lieu principalement par l'isoenzyme CYP3A4. Le CYP2C8 semble également participer à la formation de la N-desméthyl–zopiclone. Aucune induction enzymatique n'a été observée dans les essais chez l'animal, même à des doses élevées de zopiclone.
-Seule une faible proportion de la zopiclone est éliminée sous forme inchangée; 80% sont éliminés dans l'urine et 16% dans les selles, sous forme de métabolites libres.
- +Seule une faible proportion de la zopiclone est éliminée sous forme inchangée; 80 % sont éliminés dans l'urine et 16 % dans les selles, sous forme de métabolites libres.
-Chez les patients souffrant d'une cirrhose du foie, un ralentissement de la déméthylation de la zopiclone provoque une diminution de 40% environ de la clairance plasmatique et un allongement de t½, qui devient supérieure à 10 heures. Aucune étude pharmacodynamique menée dans l'insuffisance hépatique n'est disponible.
- +Chez les patients souffrant d'une cirrhose du foie, un ralentissement de la déméthylation de la zopiclone provoque une diminution de 40 % environ de la clairance plasmatique et un allongement de la t½, qui devient supérieure à 10 heures. Aucune étude pharmacodynamique menée dans l'insuffisance hépatique n'est disponible.
|
|