98 Changements de l'information professionelle Disoprivan 10 mg/ml |
-Propofolum (2,6-Diisopropylphenol)
- +Propofolum (2,6-Diisopropylphénol)
-1 ml d’émulsion (Disoprivan / Disoprivan PFS 10 mg/ml, 20 mg/ml) contient au maximum 0,086 mg de sodium.
- +1 ml d’émulsion (Disoprivan/Disoprivan PFS 10 mg/ml, 20 mg/ml) contient au maximum 0,086 mg de sodium.
-S’il existe un risque spécifique de syndrome de surcharge lipidique (fat overload syndrome), il est recommandé de surveiller la lipémie et d’adapter l’administration du Disoprivan aux résultats d’analyse.
-Si le patient reçoit simultanément d’autres lipides par voie intraveineuse, la quantité de ces lipides devra être réduite afin de prendre en compte la quantité apportée par l’émulsion Disoprivan. 1,0 ml de Disoprivan 10 mg/ml et 20 mg/ml contient environ 0,1g de lipides.
- +S’il existe un risque spécifique de syndrome de surcharge lipidique (fat overload syndrome), il est recommandé de surveiller la lipémie et d’adapter l’administration de Disoprivan aux résultats d’analyse.
- +Si le patient reçoit concomitamment d’autres lipides par voie intraveineuse, la quantité de ces lipides devra être réduite afin de prendre en compte la quantité apportée par l’émulsion Disoprivan. 1,0 ml de Disoprivan 10 mg/ml et 20 mg/ml contient environ 0,1 g de lipides.
-Chez les patients prémédiqués ou non, il est recommandé de titrer Disoprivan en fonction de la réponse du patient jusqu’à l’obtention des signes cliniques de narcose (injecter en bolus ou perfuser env. 40 mg/10 s chez les adultes en bonne santé et de constitution moyenne). Les adultes de moins de 55 ans requièrent généralement 1,5 à 2,5 mg/kg de propofol.
- +Chez les patients prémédiqués ou non, il est recommandé de titrer Disoprivan en fonction de la réponse du patient jusqu’à l’obtention des signes cliniques de l’anesthésie (injecter en bolus ou perfuser env. 40 mg/10 s chez les adultes en bonne santé et de constitution moyenne). Les adultes de moins de 55 ans requièrent généralement 1,5 à 2,5 mg/kg de propofol.
-La dose administrée pour induire la sédation chez l’adulte est généralement de 0,5 à 1,0 mg de propofol/kg pc en 1 à 5 minutes.
-Le maintien de la sédation est obtenu par ajustement de la posologie en fonction de la profondeur de sédation souhaitée. La dose se situe en général entre 1,5 et 4,5 mg de propofol/kg pc/h chez l’adulte.
- +La dose administrée pour induire la sédation chez l’adulte est généralement de 0,5 à 1,0 mg de propofol/kg PC en 1 à 5 minutes.
- +Le maintien de la sédation est obtenu par ajustement de la posologie en fonction de la profondeur de sédation souhaitée. La dose se situe en général entre 1,5 et 4,5 mg de propofol/kg PC/h chez l’adulte.
-Il est possible que, chez les patients ASA grade 3 et 4, une réduction de la dose et de la vitesse de perfusion soient nécessaires. De même, une posologie plus basse peut s’avérer nécessaire chez les patients de plus de 55 ans.
- +Il est possible que, chez les patients ASA grades 3 et 4, une réduction de la dose et de la vitesse de perfusion soient nécessaires. De même, une posologie plus basse peut s’avérer nécessaire chez les patients de plus de 55 ans.
-Posologies spéciales
-Classes de risque ASA 3 et 4
- +Instructions posologiques particulières
- +ASA degrés 3 et 4
-Les patients ASA grade 3 et 4 nécessitent une réduction supplémentaire de la dose et de la vitesse de perfusion.
-L’injection par bolus chez les patients âgés n’est pas recommandée, car elle pourrait provoquer une dépression cardiorespiratoire.
- +Les patients ASA grades 3 et 4 nécessitent une réduction supplémentaire de la dose et de la vitesse de perfusion.
- +L’injection par bolus ne doit pas être utilisée chez les patients âgés, étant donné que celle-ci peut entraîner une dépression cardiorespiratoire.
-Les enfants de moins de 6 mois ne doivent pas être anesthésiés avec Disoprivan.
-Pour induire l’anesthésie chez les enfants de plus de 6 mois, il est recommandé d’administrer Disoprivan lentement jusqu’à l’obtention des signes cliniques de l’anesthésie. La dose doit être adaptée à l’âge et/ou au poids de l’enfant. La plupart des patients de plus de 8 ans nécessitent une dose d’environ 2,5 mg/kg de propofol pour l’induction de l’anesthésie. La dose requise chez les enfants entre 6 mois et 8 ans est vraisemblablement plus élevée. Une dose plus faible est recommandée chez les enfants ASA grade 3 ou 4 (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
-Afin d’atténuer la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé dans une seringue de manière aseptique avec de la lidocaïne; mélanger 20 parties de Disoprivan 10 mg/ml avec 1 partie de lidocaïne injectable 0,5% ou 1% (sans agent antimicrobien), immédiatement avant l’utilisation (voir «Interactions»).
- +Disoprivan ne doit pas être utilisé pour l’anesthésie chez les enfants de moins de 6 mois.
- +Pour induire l’anesthésie chez les enfants de plus de 6 mois, il est recommandé d’administrer Disoprivan lentement jusqu’à l’obtention des signes cliniques de l’anesthésie. La dose doit être adaptée à l’âge et/ou au poids de l’enfant. La plupart des patients de plus de 8 ans nécessitent une dose d’env. 2,5 mg/kg de propofol pour l’induction de l’anesthésie. La dose requise chez les enfants entre 6 mois et 8 ans est vraisemblablement plus élevée. Une dose plus faible est recommandée chez les enfants ASA grades 3 et 4 (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
- +Afin d’atténuer la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé dans une seringue de manière aseptique avec de la lidocaïne; mélanger 20 parts de Disoprivan 10 mg/ml avec 1 part de lidocaïne injectable 0,5 % ou 1 % (sans agent antimicrobien), immédiatement avant l’utilisation (voir «Interactions»).
-On administrera Disoprivan 10 mg/ml aux enfants âgés de 1 mois à 3 ans. Il est possible d’administrer Disoprivan 10 mg/ml et Disoprivan 20 mg/ml aux enfants de plus de 3 ans.
-La posologie est choisie en fonction de la profondeur souhaitée de la sédation et de la réponse clinique. La plupart des patients pédiatriques nécessitent 1 à 2 mg de propofol par kg pc pendant au moins 1 minute pour l’induction de la sédation. Le maintien de la sédation se fait par titration de la perfusion de Disoprivan, jusqu’à l’obtention de la profondeur de sédation souhaitée. La plupart des patients pédiatriques nécessitent 1,5 à 9 mg de propofol/kg pc/h pour une sédation satisfaisante.
- +On administrera Disoprivan 10 mg/ml aux enfants en bas âge de 1 mois à 3 ans. Il est possible d’administrer Disoprivan 10 mg/ml et Disoprivan 20 mg/ml aux enfants de plus de 3 ans.
- +La posologie est choisie en fonction de la profondeur de sédation souhaitée et de la réponse clinique. La plupart des patients pédiatriques nécessitent 1 à 2 mg de propofol par kg PC pendant au moins 1 minute pour l’induction de la sédation. Le maintien de la sédation se fait par titration de la perfusion de Disoprivan, jusqu’à l’obtention de la profondeur de sédation souhaitée. La plupart des patients pédiatriques nécessitent 1,5 à 9 mg de propofol/kg PC/h pour une sédation satisfaisante.
-Les patients pédiatriques ASA grade 3 et 4 nécessitent vraisemblablement une réduction de la dose et de la vitesse de perfusion.
- +Les patients pédiatriques ASA grades 3 et 4 nécessitent vraisemblablement une réduction de la dose et de la vitesse de perfusion.
-Disoprivan est contre-indiqué pour la sédation des enfants (<16 ans), la sécurité et l’efficacité du médicament n’étant pas prouvées (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Disoprivan ne doit pas être utilisé pour la sédation des enfants (<16 ans), la sécurité et l’efficacité du médicament n’étant pas établies (voir «Mises en garde et précautions»).
-Avec le système Disoprifusor TCI, l’anesthésiste peut déterminer et adapter le temps d’induction et la profondeur de l’anesthésie ou de la sédation souhaités en définissant une concentration cible de propofol. Le système Disoprifusor TCI adapte automatiquement la vitesse de perfusion en fonction de la concentration de Disoprivan. Pour certains systèmes Disoprifusor où d’autres modalités d’administration sont possibles, seul le mode par TCI, qui se base sur des concentrations sanguines de propofol prédéterminées, est recommandé.
- +Avec le système Disoprifusor TCI, l’anesthésiste peut déterminer et adapter le temps d’induction et la profondeur de l’anesthésie ou de la sédation souhaités en définissant une concentration cible de propofol. Le système Disoprifusor TCI adapte automatiquement la vitesse de perfusion en fonction de la concentration de Disoprivan identifiée. Pour certains systèmes Disoprifusor où d’autres modalités d’administration sont possibles, seul le mode par TCI, qui se base sur des concentrations sanguines de propofol prédéterminées, est recommandé.
-Patients de plus de 55 ans et patients ASA grade 3 ou 4: on choisira une concentration cible initiale inférieure, que l’on pourra augmenter par paliers de 0,5 à 1,0 µg/ml toutes les minutes afin d’obtenir une induction progressive.
-Maintien d’une anesthésie générale à l’aide de Disoprifusor TCI
-L’administration complémentaire d’analgésiques est généralement requise. La quantité d’analgésiques administrée simultanément permet une réduction de la concentration cible de Disoprivan nécessaire au maintien de l’anesthésie. Des concentrations cibles de 3 à 6 µg/ml permettent normalement de maintenir une anesthésie satisfaisante.
-Le patient se réveille généralement avec une concentration cible de 1,0 à 2,0 µg/ml, cela dépendant de la quantité d’analgésiques administrés durant le maintien de l’anesthésie.
- +Patients de plus de 55 ans et patients ASA grade 3 ou 4: on choisira une concentration cible initiale inférieure que l’on pourra augmenter par paliers de 0,5 à 1,0 µg/ml toutes les minutes afin d’obtenir une induction progressive.
- +Maintien d’une anesthésie générale à l’aide du Disoprifusor TCI
- +L’administration complémentaire d’analgésiques est généralement requise. La dose de ces médicaments adjuvants permet une réduction de la concentration cible de Disoprivan nécessaire au maintien de l’anesthésie. Des concentrations cibles de 3 à 6 µg/ml permettent normalement de maintenir une anesthésie satisfaisante.
- +Le patient se réveille généralement avec une concentration cible de 1,0 à 2,0 µg/ml, cela dépendant de la quantité d’analgésiques administrés durant l’anesthésie.
-Pendant l’induction de l’anesthésie, une hypotension ou une apnée transitoire peuvent se produire, qui dépendent de la posologie du produit, de la prémédication et des autres médicaments utilisés.
-Disoprivan n’a pas de propriétés vagolytiques. Une bradycardie, liée à une augmentation du tonus vagal pouvant résulter d’un acte chirurgical ou de l’utilisation concomitante d’autres narcotiques ou de curarisants, peut survenir, pouvant conduire à un arrêt cardiaque/une asystolie ou à un bloc cardiaque complet. C’est pourquoi il est conseillé d’administrer un anticholinergique en prémédication ou pendant l’anesthésie, en particulier dans les situations où un tonus vagal peut dominer ou lorsque des médicaments ayant une action chronotrope négative sont utilisés.
-En phase postopératoire, une perte de connaissance avec augmentation possible du tonus musculaire peut survenir dans de très rares cas. La perte de connaissance peut également survenir après que le patient a déjà repris connaissance. Bien que cet état soit spontanément réversible, il convient de surveiller attentivement le patient inconscient. La possibilité d’une telle complication devra être notamment prise en compte lors d’une anesthésie en ambulatoire.
- +Pendant l’induction de l’anesthésie, une hypotension et une apnée transitoire peuvent se produire qui dépendent de la posologie du produit, de la prémédication et des autres médicaments utilisés.
- +Disoprivan n’a pas de propriétés vagolytiques. Une bradycardie, liée à une augmentation du tonus vagal pouvant résulter d’un acte chirurgical ou de l’utilisation concomitante d’autres narcotiques ou de myorelaxants, peut survenir, pouvant conduire à un arrêt cardiaque/une asystolie ou à un bloc cardiaque complet. C’est pourquoi il est conseillé d’administrer un anticholinergique en prémédication ou pendant l’anesthésie, en particulier dans les situations où un tonus vagal peut dominer ou lorsque des médicaments ayant une action chronotrope négative sont utilisés.
- +En phase postopératoire, une perte de connaissance avec augmentation possible du tonus musculaire peut survenir dans de très rares cas. La perte de connaissance peut également survenir après que le patient a déjà repris connaissance. Bien que cet état soit spontanément réversible, il convient de prendre en charge le patient inconscient de manière adéquate. La possibilité d’une telle complication devra être notamment prise en compte lors d’une anesthésie en ambulatoire.
-La prudence est de mise chez les patients présentant une insuffisance cardiaque, pulmonaire, rénale ou hépatique, une hypovolémie, et chez les patients affaiblis (voir «Posologies spéciales»).
- +La prudence est de mise chez les patients présentant une insuffisance cardiaque, pulmonaire, rénale ou hépatique, une hypovolémie, et chez les patients hypovolémiques ou affaiblis (voir «Instructions posologiques particulières»).
-Le médecin traitant doit être conscient de ces effets indésirables éventuels chez les patients présentant les facteurs de risque décrits ci-dessus et doit interrompre immédiatement l’utilisation du propofol en cas d’apparition de signes des symptômes décrits ci-dessus.
-Des études précliniques montrent que l’utilisation, pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de la synaptogenèse, d’anesthésiques (fluranes) ou de sédatifs (propofol, kétamine) qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou renforcent l’activité de GABA entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, ce qui peut être associé à des déficits cognitifs permanents. La signification clinique de ces observations n’est pas connue (voir sous «Grossesse/Allaitement» et sous «Données précliniques»).
-Les enfants de moins de 6 mois ne doivent pas être anesthésiés avec Disoprivan. Disoprivan ne doit pas être utilisé pour la sédation des enfants (<16 ans) en soins intensifs, la sécurité et l’efficacité du médicament n’étant pas prouvées. Des effets indésirables graves (y compris des décès) ont été rapportés suite à une utilisation non conforme du propofol pour la sédation des patients de moins de 16 ans. Une relation de cause à effet n’a toutefois pas été établie. Acidose métabolique, hyperlipidémie, rhabdomyolyse et/ou défaillance cardiaque ont notamment été observées. Ces effets indésirables sont survenus le plus souvent chez des enfants présentant une infection des voies respiratoires et recevant des doses supérieures à celles recommandées pour la sédation de l’adulte en soins intensifs.
-Des cas d’acidose métabolique, de rhabdomyolyse, d’hyperkaliémie, d’hépatomégalie, d’insuffisance rénale, d’hyperlipidémie, d’arythmie cardiaque, de modifications de l’ECG (sus-décalage du segment ST en forme de dôme similaire aux anomalies de l’ECG du syndrome de Brugada) et/ou de défaillance cardiaque à évolution rapide (dans certains cas avec issue fatale) n’ayant généralement pas répondu au traitement inotrope de soutien ont également été rapportés. La combinaison de ces effets secondaires est appelée syndrome de perfusion du propofol. Il s’agissait principalement (mais pas uniquement) de patients souffrant de traumatismes crâniens et d’hypertension intracrânienne, ou d’enfants présentant des infections respiratoires et ayant reçu des doses supérieures à celles recommandées pour la sédation de l’adulte en soins intensifs. Les facteurs suivants semblent augmenter le risque de développer ces effets secondaires: réduction de l’apport en oxygène dans les tissus, lésions neurologiques graves et/ou septicémie, fortes doses d’une ou de plusieurs des substances pharmacologiques suivantes: vasoconstricteurs, stéroïdes, inotropes et/ou propofol (généralement après une augmentation de la dose avec des doses supérieures à 4 mg/kg/h pendant plus de 48 heures). C’est pourquoi les prescripteurs doivent veiller le plus possible à ne pas dépasser la posologie de propofol de 4 mg/kg pc/h. L’apparition des symptômes décrits doit être soigneusement surveillée. Au moindre signe de ces effets, la posologie devra être diminuée ou le passage à un autre sédatif envisagé. Lors d’un changement de traitement chez un patient ayant une hypertension intracrânienne, des mesures appropriées doivent être mises en place pour maintenir la perfusion cérébrale.
-L’EDTA forme des complexes avec les ions métalliques, y compris avec le zinc. Une substitution de zinc doit être envisagée lors de l’administration prolongée de Disoprivan, la concentration sérique de zinc pouvant baisser d’environ 5%, en particulier chez les patients prédisposés à une carence en zinc (patients souffrant de brûlures, de diarrhées, d’infections sévères et de cirrhose hépatique). C’est un fait connu qu’une carence en zinc peut déclencher les problèmes suivants: retardement de la croissance, alopécie, dermatite, diarrhée, troubles de la fonction immunitaire, troubles du développement, troubles psychiques, atrophie des gonades, troubles de la spermatogenèse ou malformations congénitales.
-Ces médicaments (Disoprivan/Disoprivan PFS 10 mg/ml, 20 mg/ml) contiennent moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par volume de dose, c.-à-d. qu’ils sont essentiellement «sans sodium».
- +Des études précliniques montrent que l’utilisation, pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de la synaptogenèse, d’anesthésiques (fluranes) ou de sédatifs (propofol, kétamine) qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou renforcent l’activité de GABA entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, ce qui peut être associé à des déficits cognitifs permanents. La signification clinique de ces observations n’est pas connue (voir sous «Grossesse, Allaitement» et sous «Données précliniques»).
- +Disoprivan ne doit pas être utilisé pour l’anesthésie chez les enfants de moins de 6 mois.
- +Disoprivan ne doit pas être utilisé pour la sédation des enfants (<16 ans) en soins intensifs, la sécurité et l’efficacité du médicament n’étant pas établies.
- +Des effets indésirables graves (y compris des décès) ont été rapportés suite à une utilisation non conforme du propofol pour la sédation des patients de moins de 16 ans. Une relation de cause à effet n’a toutefois pas été établie. Acidose métabolique, hyperlipidémie, rhabdomyolyse et/ou défaillance cardiaque ont notamment été observées. Ces effets indésirables sont survenus le plus souvent chez des enfants présentant une infection des voies respiratoires et recevant des doses supérieures à celles recommandées pour la sédation de l’adulte en soins intensifs.
- +Syndrome de perfusion du propofol
- +Des cas d’acidose métabolique, de rhabdomyolyse, d’hyperkaliémie, d’hépatomégalie, de défaillance rénale, d’hyperlipidémie, d’arythmie cardiaque, de modifications de l’ECG (sus-décalage du segment ST en forme de dôme similaire aux anomalies de l’ECG du syndrome de Brugada) et/ou de défaillance cardiaque à évolution rapide (dans certains cas avec issue fatale) n’ayant généralement pas répondu au traitement inotrope de soutien ont également été rapportés. La combinaison de ces effets secondaires est appelée syndrome de perfusion du propofol. Il s’agissait principalement (mais pas uniquement) de patients souffrant de traumatismes crâniens et d’hypertension intracrânienne, ou d’enfants présentant des infections respiratoires et ayant reçu des doses supérieures à celles recommandées pour la sédation de l’adulte en soins intensifs. Les facteurs suivants semblent augmenter le risque de développer ces effets secondaires: réduction de l’apport en oxygène dans les tissus, lésions neurologiques graves et/ou septicémie, fortes doses d’une ou de plusieurs des substances pharmacologiques suivantes: vasoconstricteurs, stéroïdes, inotropes et/ou propofol (généralement après une augmentation de la dose avec des doses supérieures à 4 mg/kg/h pendant plus de 48 heures). C’est pourquoi les prescripteurs doivent veiller le plus possible à ne pas dépasser la posologie de propofol de 4 mg/kg PC/h. L’apparition des effets secondaires cités doit être soigneusement surveillée.
- +Au moindre signe de ces symptômes, la posologie devra être diminuée ou le passage à un autre sédatif envisagé. Lors d’un changement de traitement chez un patient ayant une hypertension intracrânienne, des mesures appropriées doivent être mises en place pour maintenir la perfusion cérébrale.
- +L’EDTA forme des complexes avec les ions métalliques, y compris avec le zinc. Une substitution de zinc doit être envisagée lors de l’administration prolongée de Disoprivan, la concentration sérique de zinc pouvant baisser d’environ 5 %, en particulier chez les patients prédisposés à une carence en zinc (patients souffrant de brûlures, de diarrhées, d’infections sévères et de cirrhose hépatique). C’est un fait connu qu’une carence en zinc peut déclencher les problèmes suivants: retardement de la croissance, alopécie, dermatite, diarrhée, troubles de la fonction immunitaire, troubles du développement, troubles psychiques, atrophie des gonades, troubles de la spermatogenèse ou malformations congénitales.
- +Sodium
- +Ces médicaments (Disoprivan/Disoprivan PFS 10 mg/ml, 20 mg/ml) contiennent moins de 1 mmol (23 mg) de sodium pour 1 ml, c.-à-d. qu’ils sont essentiellement «sans sodium».
-Disoprivan a été utilisé en association avec des anesthésies rachidiennes et épidurales, avec les prémédications habituelles, des curarisants, des anesthésiques par inhalation, et des analgésiques. Aucune incompatibilité pharmacologique n’a été observée.
-Les taux sanguins de Disoprivan peuvent être plus élevés en présence de fentanyl.
-On a signalé une leuco-encéphalopathie chez des patients recevant en même temps de la ciclosporine et des émulsions lipidiques (telles que propofol).
- +Disoprivan a été utilisé en association avec des anesthésies rachidiennes et épidurales, avec les prémédications habituelles, des curarisants, des anesthésiques par inhalation et des analgésiques. Aucune incompatibilité pharmacologique n’a été observée.
- +Les taux sanguins de Disoprivan peuvent être accrus en présence de fentanyl.
- +On a signalé une leucoencéphalopathie chez des patients recevant concomitamment de la ciclosporine et des émulsions lipidiques (telles que propofol).
-Grossesse, allaitement
- +Grossesse, Allaitement
-Il n’existe aucune donnée clinique sur l’application chez les femmes enceintes. Des études menées sur les animaux ont montré une toxicité pour la reproduction (voir «Données précliniques» et «Mises en garde et précautions»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
- +Il n’existe aucune donnée clinique sur l’application chez les femmes enceintes. Des études menées sur les animaux ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques» et «Mises en garde et précautions»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
-Disoprivan ne devrait donc pas être utilisé pendant la grossesse.
- +Disoprivan ne doit donc pas être utilisé pendant la grossesse.
-Les effets indésirables les plus souvent cités sont des effets indésirables pharmacologiquement prévisibles pour les anesthésiques, comme l’hypotension.
- +Les effets indésirables les plus souvent rapportés sont des effets indésirables pharmacologiquement prévisibles pour les anesthésiques, comme l’hypotension.
-Très fréquent: >1/10; fréquent: >1/100, <1/10; occasionnel: >1/1’000, <1/100; rare: >1/10’000, <1/1’000; très rare: <10’000
- +Très fréquents: >1/10; fréquents: >1/100, <1/10; occasionnels: >1/1000, <1/100; rares: >1/10 000, <1/1000; très rares: <10 000
-Très rare: fièvre postopératoire.
- +Très rares: fièvre postopératoire.
-Très rare: anaphylaxie, angio-œdème, bronchospasme, érythème et hypotension.
- +Très rares: angioœdème, bronchospasme, érythème et hypotension, anaphylaxie, y compris choc anaphylactique.
-Fréquent: maux de tête pendant la phase de réveil.
-Rare: mouvements épileptiformes, dont convulsions et opisthotonos pendant les phases d’induction, de maintien et de réveil.
-Très rare: une perte de connaissance peut survenir en phase postopératoire avec augmentation possible du tonus musculaire.
- +Fréquents: céphalées pendant la phase de réveil.
- +Rares: mouvements épileptiformes, dont convulsions et opisthotonos pendant les phases d’induction, de maintien et de réveil.
- +Très rares: une perte de connaissance peut survenir en phase postopératoire avec augmentation possible du tonus musculaire.
-Rare: humeur euphorique
- +Rares: humeur euphorique.
-Fréquent: bradycardie. Des bradycardies sévères sont rares. Des cas isolés de progression jusqu’à l’asystolie ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnel: thromboses, phlébites.
-Très rare: œdème pulmonaire.
- +Fréquents: bradycardie. Des bradycardies sévères sont rares. Des cas isolés de progression jusqu’à l’asystolie ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Occasionnels: thromboses et phlébites.
- +Très rares: œdème pulmonaire.
-Fréquent: hypotension; l’administration de liquides intraveineux et une diminution de la vitesse d’administration de Disoprivan peuvent être occasionnellement nécessaires.
- +Fréquents: hypotension; l’administration de liquides intraveineux et une diminution de la vitesse d’administration de Disoprivan peuvent être occasionnellement nécessaires.
-Fréquent: apnée transitoire pendant l’induction de l’anesthésie.
- +Fréquents: apnée transitoire pendant l’induction de l’anesthésie.
-Fréquent: nausées et vomissements pendant la phase de réveil.
-Affections hépatiques et biliaires
-Très rare: pancréatite.
-Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
-Très rare: rhabdomyolyse.
- +Fréquents: nausées et vomissements pendant la phase de réveil.
- +Affections hépatobiliaires
- +Très rares: pancréatite.
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Très rares: rhabdomyolyse.
-Très rare: coloration de l’urine après une utilisation prolongée de Disoprivan.
-Affections des organes de reproduction et des seins
-Très rare: désinhibition sexuelle et priapisme.
-Affections générales et anomalies au point d’administration
-Très fréquent: douleurs locales. Elles peuvent survenir au site d’administration pendant l’injection et peuvent être atténuées si Disoprivan 10 mg/ml est injecté dans les grosses veines de l’avant-bras ou du pli du coude.
-Pour réduire la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut également être mélangé à de la lidocaïne (voir «Remarques particulières»: «Remarques concernant la manipulation»).
- +Très rares: coloration de l’urine après une utilisation prolongée de Disoprivan.
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Très rares: désinhibition sexuelle et priapisme.
- +Affections générales et anomalies au site d’administration
- +Très fréquents: douleurs locales. Elles peuvent survenir au site d’administration pendant l’injection et peuvent être atténuées si Disoprivan 10 mg/ml est injecté dans les grosses veines de l’avant-bras ou du pli du coude. Pour réduire la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut également être mélangé à de la lidocaïne (voir «Remarques particulières»: «Remarques concernant la manipulation»).
-Des rapports d’utilisation «off-label» montrent que l’utilisation de la posologie pédiatrique (entre 6 mois et 16 ans) pendant l’induction d’une anesthésie chez le nouveau-né peut entraîner une dépression cardio-respiratoire (voir «Posologie/mode d’emploi»).
-Syndrome de perfusion du propofol: des cas d’acidose métabolique, de rhabdomyolyse, d’hyperkaliémie, d’hépatomégalie, d’insuffisance rénale, d’hyperlipidémie, d’arythmie cardiaque, de modifications de l’ECG et/ou de défaillance cardiaque ont été observés dans le cadre de soins intensifs, dans certains cas avec issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Des rapports d’utilisation «off-label» montrent que l’utilisation de la posologie pédiatrique (entre 6 mois et 16 ans) pendant l’induction d’une anesthésie chez le nouveau-né peut entraîner une dépression cardiorespiratoire (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
- +Syndrome de perfusion du propofol: des cas d’acidose métabolique, de rhabdomyolyse, d’hyperkaliémie, d’hépatomégalie, de défaillance rénale, d’hyperlipidémie, d’arythmie cardiaque, de modifications de l’ECG et/ou de défaillance cardiaque ont été observés dans le cadre de soins intensifs, dans certains cas avec issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Mécanisme d’action / Pharmacodynamique
-Le propofol est un anesthésique général intraveineux à brève durée d’action, à délai d’action rapide, d’environ 30 secondes. Le réveil est généralement rapide. Comme pour tous les anesthésiques généraux, le mécanisme d’action du propofol est peu connu.
- +Mécanisme d’action/Pharmacodynamique
- +Le propofol est un anesthésique général intraveineux à brève durée d’action, d’installation rapide au bout d’environ 30 secondes. Le réveil est généralement rapide. Comme pour tous les anesthésiques généraux, le mécanisme d’action du propofol est peu connu.
-Deux minutes après une injection i.v. de 2,5 mg/kg (dose d’induction), la concentration sanguine est d’environ 4 µg/ml. Le patient se réveille avec une concentration sanguine d’environ 1 µg/ml.
- +Deux minutes après une injection IV de 2,5 mg/kg (dose d’induction), la concentration sanguine est d’environ 4 µg/ml. Le patient se réveille avec une concentration sanguine d’environ 1 µg/ml.
-Le propofol est lié pour environ 98% aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est d’environ 10 l/kg de poids corporel.
- +Le propofol est lié pour environ 98 % aux protéines plasmatiques. Le volume de distribution est d’env. 10 l/kg de poids corporel.
-Propofol n’était pas mutagène dans les études de génotoxicité.
- +Le propofol n’était pas mutagène dans les études de génotoxicité.
-Des études publiées menées chez l’animal (y compris chez des primates) portant sur les dosages qui provoquent une anesthésie légère à modérée montrent que l’utilisation, pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de la synaptogenèse, d’anesthésiques (fluranes) ou de sédatifs (propofol, kétamine) qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou renforcent l’activité de GABA entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, ce qui peut être associé à des déficits cognitifs à long terme. La signification clinique de ces observations non cliniques n’est pas connue.
- +Des études publiées menées chez l’animal (y compris chez des primates) portant sur les posologies qui provoquent une anesthésie légère à modérée montrent que l’utilisation, pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de la synaptogenèse, d’anesthésiques (fluranes) ou de sédatifs (propofol, kétamine) qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou renforcent l’activité de GABA entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, ce qui peut être associé à des déficits cognitifs à long terme. La signification clinique de ces observations non cliniques n’est pas connue.
-Disoprivan est incompatible avec les solutions injectables ou de perfusion et ne doit pas être mélangé avec celles-ci (p. ex. incompatibilité avec les solutions de NaCl ou les solutions de Ringer lactate). Si la même voie d’accès veineux est utilisée pour d’autres médicaments, ceux-ci doivent être ajoutés à la fin de la ligne de perfusion.
-L’atracurium et le mivacurium sont entre autres incompatibles avec Disoprivan et ne doivent pas être administrés par la même ligne de perfusion sans rinçage préalable.
- +Disoprivan est incompatible avec les solutions injectables ou de perfusion et ne doit pas être mélangé avec celles-ci (p. ex. incompatibilité avec les solutions de NaCl ou les solutions de Ringer lactate). Si la même voie d’accès veineux est utilisée pour d’autres médicaments, ceux-ci doivent être ajoutés à la fin de la ligne de perfusion. L’atracurium et le mivacurium sont entre autres incompatibles avec Disoprivan et ne doivent, par conséquent, pas être administrés par la même ligne de perfusion sans rinçage préalable.
-Ne pas conserver l’émulsion au-dessus de 25 °C. Ne pas congeler.
-Tenir hors de portée des enfants.
- +Ne pas conserver l’émulsion au-dessus de 25°C. Ne pas congeler.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Disoprivan ne contient pas d’agents conservateurs et offre aux microorganismes des conditions de croissance favorables. Par conséquent, pendant toute la manipulation, il est indispensable d’observer toutes les précautions visant à assurer l’asepsie. Des filtres antimicrobiens ne peuvent pas être utilisés.
- +Disoprivan ne contient pas d’agents conservateurs et offre aux micro-organismes des conditions de croissance favorables. Par conséquent, pendant toute la manipulation, il est indispensable d’observer toutes les précautions visant à assurer l’asepsie. Des filtres antimicrobiens ne peuvent pas être utilisés.
-Disoprivan peut être administré en parallèle à une solution de glucose 5%, de NaCl 0,9% ou de glucose 4% et de NaCl 0,18% (solutions de perfusion Ph. Helv. VII) au moyen d’un raccord en Y placé près du site d’injection. Disoprivan ne doit cependant pas être mélangé à des solutions de NaCl avant son utilisation.
-Disoprivan 10 mg/ml: Disoprivan 10 mg/ml peut être dilué avec du glucose 5% (solution de perfusion Ph. Helv. VII). Des flacons de perfusion en verre ou en PVC, de même que des poches de perfusion en PVC, conviennent parfaitement. La dilution ne devrait pas dépasser 1:5 (2 mg de propofol par ml). La solution diluée doit être préparée de manière aseptique immédiatement avant l’emploi et utilisée au plus tard dans les 6 heures qui suivent.
-Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé à une solution pour injection d’alfentanil 0,5 mg/ml selon un rapport entre 20:1 et 50:1 (V/V). Les mélanges doivent être préparés de manière aseptique immédiatement avant l’emploi et utilisés au plus tard dans les 6 heures qui suivent. Afin d’atténuer la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé dans une seringue de manière aseptique avec de la lidocaïne; mélanger 20 parties de Disoprivan 10 mg/ml avec 1 partie de lidocaïne solution injectable 0,5% ou 1% (sans agent antimicrobien) immédiatement avant l’utilisation.
- +Disoprivan peut être administré en parallèle à une solution de glucose 5 %, de NaCl 0,9 % ou de glucose 4 % et de NaCl 0,18 % (solutions de perfusion Ph. Helv. VII) au moyen d’un raccord en Y placé près du site d’injection. Disoprivan ne doit cependant pas être mélangé à des solutions de NaCl avant son utilisation.
- +Disoprivan 10 mg/ml: Disoprivan 10 mg/ml peut être dilué avec du glucose 5 % (solution de perfusion Ph. Helv. VII). Des flacons de perfusion en verre ou en PVC, de même que des poches de perfusion en PVC, conviennent parfaitement. La dilution ne devrait pas dépasser 1:5 (2 mg de propofol par ml). La solution diluée doit être préparée de manière aseptique immédiatement avant l’emploi et utilisée au plus tard dans les 6 heures qui suivent.
- +Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé à une solution injectable d’alfentanil 0,5 mg/ml selon un rapport entre 20:1 et 50:1 (V/V). Les mélanges doivent être préparés de manière aseptique immédiatement avant l’emploi et utilisés au plus tard dans les 6 heures qui suivent. Afin d’atténuer la douleur à l’injection, Disoprivan 10 mg/ml peut être mélangé dans une seringue de manière aseptique avec de la lidocaïne; mélanger 20 parts de Disoprivan 10 mg/ml avec 1 part de lidocaïne solution injectable 0,5 % ou 1 % (sans agent antimicrobien) immédiatement avant l’utilisation.
-Si l’on utilise du matériel de perfusion en PVC, le réservoir de perfusion doit être toujours plein. Aussi, le volume prévu pour Disoprivan doit être d’abord prélevé de la poche de perfusion, puis remplacé par un volume identique de Disoprivan 10 mg/ml.
- +Si l’on utilise du matériel de perfusion en PVC, le réservoir de perfusion doit toujours être plein. Aussi, le volume prévu pour Disoprivan doit être d’abord prélevé de la poche de perfusion, puis remplacé par un volume identique de Disoprivan 10 mg/ml.
-Si l’on utilise une seringue Disoprivan PFS avec un pousse-seringue, il faut veiller à ce que les deux soient compatibles. Le pousse-seringue doit être conçu de manière à exclure notamment un effet siphon et être muni d’une alarme d’occlusion (pas plus de 1’000 mmHg). Si l’on utilise un pousse-seringue programmable compatible avec plusieurs types de seringues, il faut choisir pour Disoprivan PFS la position de réglage «BD 50/60 ml PLASTIPAK».
-Les utilisateurs du système TCI doivent être familiarisés non seulement avec le mode de fonctionnement de la pompe de perfusion, mais aussi avec celui de Disoprivan en TCI et l’emploi correct du système d’identification des seringues.
- +Si l’on utilise une seringue Disoprivan PFS avec un pousse-seringue, il faut veiller à ce que les deux soient compatibles. Le pousse-seringue doit être conçu de manière à exclure notamment un effet siphon et être muni d’une alarme d’occlusion (pas plus de 1000 mm Hg). Si l’on utilise un pousse-seringue programmable compatible avec plusieurs types de seringues, il faut choisir pour Disoprivan PFS la position de réglage «BD 50/60 ml PLASTIPAK».
- +Les utilisateurs du système TCI doivent être familiarisés non seulement avec le mode de fonctionnement de la pompe de perfusion, mais également avec celui de Disoprivan en TCI et l’emploi correct du système d’identification des seringues.
-5 flacons à 20 ml [B]
-Flacons de perfusion à 50 ml et 100 ml [B]
-Seringue prête à l’emploi (PFS) à 50 ml [B]
- +5 flacons de 20 ml [B]
- +Flacons de perfusion de 50 ml et 100 ml [B]
- +Seringue prête à l’emploi (PFS) de 50 ml [B]
-Flacons de perfusion à 50 ml [B]
-Seringue prête à l’emploi (PFS) à 50 ml [B]
- +Flacons de perfusion de 50 ml [B]
- +Seringue prête à l’emploi (PFS) de 50 ml [B]
-Septembre 2021
- +Juin 2023
-1.Retirer la seringue en verre de l’étui et vérifier son intégrité; agiter. Retirer le capuchon en plastique. Désinfecter le bouchon de caoutchouc avec de l’alcool à 70% et laisser sécher.
- +1.Retirer la seringue en verre de l’étui et vérifier son intégrité; agiter. Retirer le capuchon en plastique. Désinfecter le bouchon de caoutchouc avec de l’alcool à 70 % et laisser sécher.
-3.Tenir le corps de la seringue en verre verticalement sur une surface stable. Enfoncer fermement l’aiguille de l’unité de connexion Luer, afin qu’elle perce la membrane de caoutchouc et que l’embout masque complètement le capuchon.
- +3.Tenir le corps de la seringue en verre verticalement sur une surface stable. Enfoncer fermement l’aiguille de l’unité de connexion Luer afin qu’elle perce la membrane de caoutchouc et que l’embout masque complètement le capuchon.
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